Mirepoix, retour sur le salon du livre « MIRENPAGE »
Dimanche 9 juillet a eu lieu la vingt-troisième édition du Salon du livre de Mirepoix. toute la journée, sous la Halle, 60 exposants dont 54 auteurs, des éditeurs, des associations et des artisans du livre, ont présenté et dédicacé des ouvrages de tous les genres d’écriture.
Sous un soleil mitigé, le groupe «voisin et ami» a animé la Place centrale d’accents de jazz manouche, tandis que, sous le «petit Couvert», un savoureux déjeuner a permis un agréable moment d’échange entre visiteurs et auteurs.
11 auteurs ont été récompensé, 3 ont reçu le prix « Joseph-Laurent Olive » et 7 le « Prix Spécial du Jury ». et, comme depuis plusieurs années, nous étions également de la partie pour une série d’interviews des auteurs récompensés.
Voir les interviews sur notre chaine Youtube : www.youtube.com/playlist
prix « Joseph-Laurent Olive » :
Claude ALIQUOT : Histoire de la Grande Guerre
Max BRUNET : Les soldats …monument aux morts de Sainte Colombe sur l’Hers
Association Centenaire : 1916-1916 les années charnières
« Prix Spécial du Jury »
Sylvie ANAHORY : Aucune terre ne sera mienne
Paco n’a que 5 ans lorsqu’il rejoint le petit séminaire des jésuites à Huesca. C’est une véritable opportunité pour cet enfant pauvre de paysans aragonais. Les années passent. Paco grandit dans l’enfermement des règles jésuites, coupé du monde extérieur et loin de l’amour maternel. Heureusement, au séminaire, il tisse des liens d’amitié très forts. (Éditeur : CAIRN (02/11/2016))
Christine BELCIKOWSKI « Loin des chateaux, l’histoire d’une impénitente
Nicole CHAPPE : Mille ans plus loin
Vers l’An 1000, Sei Shônagon, Dame de compagnie à la Cour de l’empereur du Japon, nous a livré ses pensées sur le monde qui l’entourait. Au fil de ses observations, elle a décrit dans une oeuvre magnifique avec délicatesse mais sans concession les êtres et les choses de son temps, peinture intimiste, spontanée, parfois espiègle et aussi critique de sa vie au jour le jour. (Éditeur : 5 SENS)
Gisèle GONNEAU : A flanc de coteau
En 1895, en Ariège, un meurtre est commis et un mystérieux gendarme enquête malgré l’opposition de sa hiérarchie.
Il va découvrir, dans une atmosphère captivante, une victime au passé sulfureux dont les épouses sont décédées les unes après les autres et de nombreux suspects, mais aussi des notables peu scrupuleux, complices de spoliations de terres, une vieille femme « faiseuse d’anges » et des secrets de famille. (Editions ACALA)
Patrick DE MEERLEER : Le Belge égaré en Ariège… et autres divagations pyrénéennes
Recueil de 10 nouvelles, qui, comme l’indique son titre, pérégrinent sans jamais perdre de vue la chaîne pyrénéenne, témoigne d’un trait de dérision dont j’ai sans doute hérité à ma naissance. C’est mon amour pour la montagne et ma tendresse pour ses habitants, d’est en ouest de la chaîne, qui sont le moteur de ces récits.(Editeur : Complicités)
Luce PEREZ-TEJEDOR : Ce sale hasard qu’est la vie
La narratrice est une fillette d’une dizaine d’années. Elle vit au creux du Vicdessos avec sa famille, émigrée d’un Portugal qui traverse sa dernière décennie de dictature sous la houlette de Salazar. Peu douée pour l’école, elle se débat contre son institutrice et les mathématiques car « cela a l’air si difficile d’être inculte qu’il ne faut pas redoubler ». (Edition : Le pas d’oiseaux)
Dany CHEVALIER-CONSOLA : Il était une Foix
l y eut une fois, dans un temps hors du temps, un grand émoi dans la ville de Foix. Une véritable tragédie tourneboula les Fuxéens, les plongeant dans une immense détresse. Par une journée de printemps qui s’annonçait pourtant paisible, il fallut se rendre à l’évidence : le château de Foix, là-haut, sur son rocher, n’était plus le même ! Qui avait osé y toucher ? (Edition : Le pas d’oiseaux)
Gilles CASTROVIEJO : Dictionnaire passionnel de Marie Lafarge
Depuis 1840, il existe un mystère Marie Cappelle Lafarge. La question lancinante n’est pas de savoir si elle a empoisonné son mari avec de l’arsenic. Des centaines de crimes de cette nature ont été commis et leurs auteurs sont rapidement tombés dans l’immense fosse de l’oubli. (Mon petit éditeur)