Après avoir tout fait pour maintenir le domaine ouvert, nous sommes au regret de vous annoncer que la station fermera ce soir en raison des conditions d’enneigement insuffisantes pour vous garantir la pratique du ski en toute sécurité.
Les activités en pied de pistes sont maintenues :
– Jeudi 31, vendredi 1er janvier 2016 de 14 h à 17 h
– Jeudi 31 décembre : vin chaud et feu d’artifices à 20h30.
Nous vous donnons rendez-vous sur les pistes dès les prochaines chutes de neige.
Nous souhaitons de très belles fêtes de fin d’année.
Merci de votre compréhension et de la confiance que vous nous avez témoigné
Nous vous suggérons d’en profiter pour rendre visite à nos collègues des stations d’Ax 3 domaines et d’Ascou Pailhères qui sont ouvertes.
La direction et l’ensemble du personnel de la station.
Le millas en occitan milhàs’, de milh, millet ou maïs, parfois appelé aussi escauton, escaouton, broye, cruchade ou millade, est une spécialité culinaire du sud-ouest de la France. Parent proche de la polenta, faite avec de la semoule de maïs, il était à l’origine, à base de farine de millet, d’où son nom.
À l’origine, le millas est fait uniquement de farine de maïs cuite dans de l’eau : la bouillie épaisse obtenue est étalée, mise à refroidir et coupée en carrés. Le millas ainsi préparé peut être frit à la poêle, salé ou sucré. Il peut aussi être préparé comme une sorte de galette ou de crêpe épaisse. Sa fabrication, loin d’être une « spécialité locale » comme on est tenté de le croire, était courante dans toutes les zones de production traditionnelle de maïs
Sur la base de la préparation et selon les terroirs, les recettes de millas sont d’un grande variété : nature ou salé et cuit à la graisse, il a évolué vers le sucré et peut constituer une pâtisserie raffinée.
La consommation du Millas est étroitement liée à la fabrication du confit de porc, d’oie ou de canard, qui se situe à la fin de l’hiver et au début du printemps. Traditionnellement, sa fabrication était réalisée dans les chaudrons ayant servis à la cuisson des confits, en raison de leur dimension. En effet, on ne peut faire du Millas en petite quantité, et un récipient d’une dizaine de litres a la taille idéale, pour ensuite tourner un long moment sans faire de grumeaux.
Le millas peut être préparé de manières plus élaborées, en ajoutant d’autres ingrédients (lait, œufs, parfums variés), notamment dans les versions « dessert » qui sont aujourd’hui plus pratiquées.
La recette de Paul :
10 litres d’eau
3 Kg de farine de maïs
2 poignées de farine de blé
10 sachets de sucre vanillé
1 feuille de laurier
les écorces d’1 orange
graisse de canard (de préférence des confits)
sel « a bisto » 1 bonne cuillère à soupe
1 litre de lait (de préférence entier)
2 verres d’eau de vie de prune (1 avant l’étalage, l’autre pour finir de curer le chaudron)
Pour préparer le millas, il faut un chaudron de cuivre (à défaut, un grand faitout), une « toudeilho », cime de sapin (à défaut, une grande spatule) et une nappe blanche de grosse toile.
Dans le chaudron, faire bouillir l’eau, le lait, le laurier, les écorces d’orange, saler et verser la farine en saupoudrant et en remuant sans s’arrêter pour éviter la formation de grumeaux.
Mettre la graisse de canard, le sucre vanillé
Cuire à feu doux jusqu’à ce que le milha ne colle plus à la cuillère.
Verser alors le millas sur la nappe farinée en une couche de 2 cm d’épaisseur.
Le millas se mange lorsqu’il a refroidi, découpé en petits carrés frits à la poêle et sucré.
Des huitres de la ferme ostréicole de Cancale et du vin blanc du Domaine Gayla, voilà un excellent moyen de finir la semaine avant les fêtes !
Du vendredi soir au lundi, vous pourrez vous régaler d’huitres savoureuses et iodées, accompagnées d’un petit verre de vin blanc du Domaine de Gayda, nos voisins de l’Aude, dont les cépages spécialisés sont le Sauvignon et le Viognier.
Dans la charmante bastide médiévale qu’est Mirepoix, n’hésitez pas à pousser la porte des Raisin de Pyrène, et si vous n’aimez pas les huitres vous pourrez aussi gouter aux planchas de charcuteries et fromages ariégeois.
Pour réserver et s’y rendre :
Hôtel Maison des Consuls
Place Maréchal Leclerc 09500 Mirepoix – 05.61.68.81.81
Andorran d’origine, Jean-Claude Montané fait toutes ses études en France et notamment à Toulouse. Mais L’Ariège ne lui est pas étrangère, puisqu’il passe de nombreuses vacances au camping de la Vernière du coté d’Auzat et travaille plusieurs années dans la station service de son oncle à la Bastide de Sérou.
C’est la neige qui me fait vivre
Jean-Claude Montané a commencé sa carrière comme professeur d’éducation Physique au lycée français d’Andorre. Il a ensuite travaillé pendant quatre ans pour la Fédération andorrane de ski et c’est là qu’il décide de faire un break et reprend ses études pour se spécialiser dans la montagne et le tourisme. Il entreprend donc un brevet de direction d’entreprise ainsi que des formations liées au ski, pisteur, moniteur, traceur…
Les Monts d’Olmes, un coup de coeur
Directeur de la station de ski andorrane d’Arcalis durant 20 ans, Jean-Claude Montané revient aujourd’hui à ses premières amoures, puisque la station des Mont d’Olmes est la première station française où il a skié lorsqu’il faisait ses études au collège à Toulouse.
A peine avait il pris ses fonctions que le nouveau directeur avait déjà été « gouter » la neige. « Je suis déjà monté faire de la randonnée, j’ai fais une piste. On prend toujours autant de plaisir à skier aux Monts d’Olmes« . conclut il avec le sourire.
[notice]La station des Monts d’Olmes ouvrira partiellement pour le week-end du 12 – 13 décembre (Sous réserve de conditions météo favorables)
Cela devrait permettre une reprise en douceur pour les skieurs… histoire de se remettre en jambes tout doucement !!! L’ouverture définitive est fixée au samedi 19 décembre. www.montsdolmes.com[/notice]
Au lieu-dit «Rabot», à l’entrée des gorges de Péreille, sur la commune de Roquefixade, Marc Vallvé élève depuis plusieurs années des brebis laitières de race Basco-Béarnaise. Rencontre avec un éleveur passionné.
Tomme des Pyrénées, brousse, yaourts, le tout au lait cru, la totalité du lait est réservée à la transformation fromagère.
« Dans le secteur il n’y a pas de collecte de lait, donc lorsque je me suis installé je suis allé naturellement vers une transformation totale de la production »
Un avantage selon Marc car cela permet de mieux valoriser et de mieux maitriser le produit.
La brebis basco-béarnaise
Le choix de la race basco-béarnaise coulait de source, c’est d’abord une des trois races laitières des Pyrénées, donc bien adapté au territoire. Si elle est moins productive que la lacaune, cela est compensé par le fait qu’elle se nourrit quasiment toute l’année d’herbe. C’est également un choix personnel, une affinité avec cette race si particulière au nez busqué et aux poils longs.
En 2015 Marc compte atteindre une production de 3 tonnes de fromages. En comparaison, explique t’il un industriel produit 500 tonnes par an. Mais Marc ne veut pas dépasser 5 tonnes. Au delà dit-il on ne maitrise plus la production et l’on risque de faire un produit dénaturé.
Si sa principale production est la tomme des Pyrénées, il élabore aussi, en petite quantité, quelques yaourts et de la brousse qu’il réserve à ses fidèles clients de Lavelanet
Circuit courts
Sa production est essentiellement écoulée sur le marché de Lavelanet ainsi que dans les épiceries fines, les fromageries, les restaurants, dans un rayon de 80km autour de la ferme.
« Ma volonté c’est de travailler avec le territoire et de faire découvrir ce que l’on peut produire dans notre Pays des Pyrénées Cathares »
Kamel est une figure bien connue dans le Pays d’Olmes, l’Ariège, et la Région Midi-Pyrénées mais également dans les instances politiques nationale, puisqu’il oeuvre depuis plusieurs années auprès de notre Ministre de l’écologie, Ségolène Royale.
Kamel est un enfant du Pays d’Olmes. Ses parents sont arrivés à Lavelanet dans les années 60 où son père fut ouvrier textile.
Quand on lui pose la question, Kamel Chibli répond qu’il ne se définit pas comme un enfant de l’intégration ; ce mot, a pour lui une connotation négative :
Je me définis comme un enfant de l’Ariège,
un enfant de la France,
un enfant de la République qui a une histoire derrière lui,
comme des centaines de milliers de français
Né à Lavelanet, il grandit à Laroque d’Olmes, y fait ses études et, après un passage à Rivesaltes, revient au Pays. C’est là qu’il commence son « militantisme associatif« . Kamel et à été élu treize ans à la mairie de Lavelanet. Pour lui, l’Ariège est une terre de caractère et d’hospitalité, une terre chaleureuse et un peu sauvage.
Il s’engage très tôt dans la vie associative et politique. Après avoir été Conseiller du Président du Sénat en charge de la jeunesse, des sports et de la vie associative, il est aujourd’hui secrétaire National du Parti Socialiste et pour ces élections régionales, tête de liste du département de l’Ariège.
Cela fait donc cinq mois qu’il sillonne l’Ariège dans tous les sens, de Lavelanet à Saint-Girons, de Mazères à Ax-les-Thermes, à la rencontre des ariégeois, pour confronter ses idées et son point de vue sur l’Ariège et la future grande région.
Il n’y a rien de pire pour l’Ariège que d’avoir le sentiment d’être exclue ou oubliée
Pour Kamel, l’Ariège, avec sa proximité du Languedoc, a de nombreux atouts pour la future région. Dans ce contexte, pour lui, le département doit passer à la vitesse supérieure sur le plan du développement économique et touristique, de l’ouverture vers l’extérieur ; en cela la fusion avec le Languedoc-Roussillon est une chance inespérée.
J‘ai envie de réussir cette élection et
j’ai envie de montrer aux ariégeois que c’est possible«
Lorsqu’on lui demande s’il a des ambitions nationales, car on le voit souvent en compagnie de personnalités nationales comme Nicolas Hulot, Ségolène Royale, …Il répond qu’il travaille surtout à créer des réseaux, des connections.
Pour lui, qui ne souhaite pas que l’Ariège soit considérée comme un territoire de seconde zone, il considère pourtant que le département seul n’est pas capable de créer les conditions de développement, un appui national ne peut être que bénéfique.
Samedi 28 novembre, suite à la « journée Promo » qui c’est déroulée au centre multisports de Lavelanet, l’équipe de la SAVA.SEM à expliqué à un public venu nombreux sa politique économique, commerciale et touristique pour la station du Pays d’Olmes.
A notre micro Fabrice Esquirol, Directeur et Cyril Bardin, responsable marketing nous explique.
L’idée de se rapprocher de la station des Monts d’Olmes pour la SAVA.SEM, c’était de compléter une offre et d’élargir son périmètre de compétence, afin de pouvoir faire face aux trois autres grands groupes des Pyrénées, Altiservice, N’PY et PGI Management qui ont une forte visibilité car ils gèrent un grand nombre de stations.
« Nous à Ax, tout seul avec notre petite soeur Ascou-Pailhères, si on est très fier de notre indépendance , on sait que le consommateur a tendance à être à l’écoute de ces grands groupes » explique Fabrice Esquirol
Les trois stations étant proches les unes des autres, cela correspond à une unité de consommation. Les skieurs pourront indifféremment skier dans l’une ou l’autre des stations en fonction du temps ou de l’enneigement.
Il y aura trois marques, trois produits différents, mais avec des services et des supports communs, RH, service financier, service technique, service qualité et environnement (la SAVA.SEM est en cours de certification environnementale).
Au niveau du personnel, une évolution par rapport aux années passées, puisque de 35 salariés en pleine saison, l’effectif se situerait entre 40 et 45 soit 16 temps plein au lieu de 12. Le tout premier emploi créé étant celui du Directeur, Monsieur Jean-Claude Montané*.
« Les Monts d’Olmes c’est une marque très connue et très forte », nous explique le directeur, « peut être un peu tombée en désuétude ces dernières années, mais nous avons la certitude que l’on va être fier de cette station et qu’elle redeviendra en quelques années ce qu’elle était il y a une ou deux décennies ».
En ce qui concerne le marketing cyril Bardin nous explique que que les grands objectifs de la SAVA.SEM en matière de communication, sont de reconquérir la clientèle locale et élargir leur territoire d’influence afin de pouvoir vendre sur toute la France, mais également l’Espagne et la Grande Bretagne.
Dans un tout premier temps, la DSP étant toute récente, les Monts d’Olmes ont prévu un plan de communication surtout centré autour de la station. Il y a une situation d’urgence à communiquer efficacement et simplement et sur les bassins proche, Ax-les-Thermes, Foix, Pamiers Toulouse, Carcassonne.
Un projet est cependant en préparation pour l’année prochaine d’une communication sur le réseau des 3 stations, tout en gardant une budget par station. Sont également à l’étude, des partenariats avec les stations de Beille et du Chioula.
«La station des Monts d’Olmes est ouverte sur l’ancienne Région Languedoc Roussillon, Carcassonne, Narbonne, Perpignan mais également Montpellier, il faut passer devant avant d’aller sur d’autres stations des Pyrénées Orientales, ce n’est pas logique de passer tout droit sans tourner la tête. On doit pouvoir faire tourner la tête à tous ces gens là. Les Monts d’Olmes c’est l’atout pour attirer l’attention et faire bifurquer ce public»
[notice]La station des Monts d’Olmes devrait ouvrir le 12 décembre, si les conditions le permettent, sinon rendez-vous sur les pistes le 19 pour le premier jour des vacances scolaires. www.montsdolmes.com[/notice]
Gérald Sgobbo est président de la communauté de communes du pays d’Olmes. Une personnalité maintenant bien connue du monde économique et de ce bassin industriel qui aujourd’hui essaie de se redresser et affronter la nouvelle donne de l’avenir.
Gérald Sgobbo a fait ses classes dans le pays d’Olmes, c’est un enfant du pays : Né à Lavelanet, il grandit à Villeneuve d’Olmes. Bien sûr comme beaucoup d’enfants de l’Ariège, il part faire ses études à Toulouse…
Après un passage assez court dans l’éducation nationale, il reprend l’entreprise familiale ; le garage automobile SGOBBO.
Il s’interesse progressivement au monde économique et à la chose publique, il est appelé pour prendre des responsabilités politiques, après s’être impliqué dans les organisations professionnelle, en 2001, où il devient premier adjoint à la mairie de Villeneuve et vice-président de la communauté de communes du pays d’Olmes.
Un engagement politique comme une continuité de son premier métier
En 2008, il devient opposant à Marc Sanchez alors président de la communauté de communes d’alors où s’exprime déjà les divergences.
En 2014, Gérald Sgobbo devient président de la communauté de communes où il trouve un travail énorme à accomplir et des choses importantes à accomplir. Un travail important à faire au vu de l’historique, pour donner des perspectives dans un contexte national qui rebat les cartes sans cesse et les règles du jeu.
Gérald est aussi passionné d’automobile, non pas par les belles carrosseries, mais plutôt ce qu’il y a sous le capot, il est d’ailleurs expert automobile auprès de la Cours d’Appel de Toulouse depuis quelques années.
Un handballeur au pays du rugby et passionné de Trail depuis peu
Gérald Sgobbo a été un Handballeur au pays du rugby pendant presque 30 ans, il pratique aujourd’hui le vélo et la course à pied et est devenu depuis peu « trailer » amateur et passionné de lecture en tout genres. On le voit s’inscrire au Trail des Citadelles pour affronter la rudesse des cols du Pays d’Olmes comme affronter ses défis économiques.
«L’Ariège est un département qui a un fort caractère et qui a un potentiel énorme et qui aujourd’hui devient stratégiquement bien situé avec la nouvelle organisation territoriale et la future grande région. C’est un département qui a beaucoup de qualité et un gros potentiel, mais aussi qui demande un gros travail pour appréhender la direction à prendre et les enjeux pour ne pas encore une fois laisser passer le train.»
«L’Ariege je pourrais dire que ça monte et ça descend au vu de ma passion pour le trail, mais je préférerais dire : vive l’Ariège de demain et nous saurons la rendre forte !»
Interview réalisée à Lavelanet, propos recueillis par Azinat.com
Jusqu’à la Révolution, l’histoire de Leychert dépend de celle de Roquefixade. Après avoir appartenu au comte de Toulouse et au seigneur de Saint Paul, Bernard Amiel de Pailhès, Leychert est compris, depuis la moitié du 13éme siècle, dans la Province du Languedoc et non du Comté de Foix.
Inclus dans la châtellenie de Roquefixade qui comprenait, outre Roquefixade, Nalzen, Leychert, Saint Cirac, Soula et En rivière (Caraybat était une seigneurie indépendante comprise dans le Comté de Foix), Leychert était dans le domaine du roi de France.
Par contrat avec ce dernier, le seigneur de Celles en sera le maître de la fin du XVIIéme siècle jusqu’à la Révolution.
A la Révolution, Leychert est rattaché au canton de Saint Paul de Jarrat, puis le 15 octobre 1801 à celui de Lavelanet.
L’église Sainte Anne : Nef unique de quatre travées, chapelle au sud et chevet plat. Attribuée au XVe siècle, elle possède toutefois des éléments postérieurs comme l’original clocheton, la sacristie du XVIIe siècle ou encore le porche de pierres taillées en bossage de 1781.
La pièce majeure est incontestablement le retable en bois doré du XVIIe siècle classé au titre des objets mobiliers en 1961.
La SAVASEM qui a obtenu la gestion de la station en DSP il y a quelques semaines, a pris la gestion du personnel et de la commercialisation des Monts d’Olmes.
Elle est également chargée de la communication avec les médias, de la recherche d’une nouvelle clientèle et du développement du projet tourisme.
Elle vient de nommer le nouveau directeur de la station des Monts d’Olmes.
Originaire d’Andorre et de la station d’Arcalis, Jean Claude Montané souhaite faire vivre et développer la station en privilégiant l’accueil et les bonnes relations entre tous les partenaires de la station.
Il sera présenté, Samedi 28 novembre 2015 à 18 h, à l’occasion de la présentation du projet de la SAVASEM pour la station des MONTS D’OLMES lors de la Journée PROMO sur les forfaits saison.
Lors de l’édition 2015, l’équipe des Afrikaneers, Christian et Claudine ont préparé une « coquille de Compostelle aux jardins de Mirepoix façon tartare« , qui leur a valu de remporter la mirepoix d’or.
Aujourd’hui ils ont bien voulus partager leur recette avec les lecteurs d’Azinat et nous les en remercions.
Un peu d’histoire
Le mirepoix de légumes est un appareil de carottes, céleri et oignons coupés en dés d’un centimètre de côté. La mirepoix est la préparation mère qui en résulte, une fois les légumes cuits et réduits.
Agrémentée d’aromates et rissolée, elle sert de base à une sauce ou à une garniture aromatique. Ainsi, elle peut prendre le nom de « Matignon » lorsqu’on y ajoute du lard maigre ou du jambon cru taillé en dés, ou de « sauce espagnole » quand on lui ajoute de la tomate.
Cette sauce mirepoix fut créée vers 1788 par le cuisinier de Gabrielle Marguerite de Beauvau-Craon. Veuve de Gaston Pierre Charles de Lévis, Duc de Levis-Mirepoix, Maréchal de France, ambassadeur de Louis XV, elle était connue à la cour de Versailles en tant que « maréchale de Mirepoix ».
La mirepoix est utilisée par les cuisiniers du monde entier, elle représente une taille de légumes et une sauce fondamentale sur le plan gastronomique car elle sert de base à de nombreuses préparations
La recette de Christian et Claudine
[callout]La coquille de Compostelle aux jardins de Mirepoix façon tartare »
pour 4 personnes:
pour le tartare :
12 noix de st jacques hyper fraiches
1/2 mangue mûre
1 citron vert
1/2 orange
1/2 bouquet de coriandre
une bonne pincée de piment d’Espelette
quelques tours de moulin d’un bon poivre
de la fleur de sel
de l’huile de noisette
pour la Mirepoix :
trois belles carottes
deux branches de céleri
un oignon
cinq topinambours
un panais moyen
1 dl de vin blanc sec
1/2 tranche de jambon de pays
du thym deux pincées
du poivre
du sel
du beurre environ 100g
couper les légumes en dés de 1cm de coté après les avoir nettoyer et laver
faire chauffer le beurre y mettre les cubes a dorer
assaisonner de thym sel poivre mouiller avec le vin blanc et remuer sans arrêt (on peut rajouter un peu d’eau s’il manque du liquide)
laisser cuire à couvert tout en surveillant et remuant.
Pendant que les légumes cuisent, tailler les st jacques en petits dés de deux mm ainsi que la demi mangue. assaisonner avec piment sel poivre jus du citron vert et orange, l’huile de noisette et le demi bouquet de coriandre ciselé réserver au frais.
quand les légumes sont presque cuits selon votre gout plus ou moins craquants ajouter le jambon de pays préalablement taillé en dés de 2 mm remuer et laisser cuire quelques minutes de plus.
faire refroidir les légumes.
mettre un cercle sur l’assiette de service mettre au fond les légumes froids la moitié du cercle puis y rajouter le tartare avec le poussoir tasser la préparation puis ôter le cercle.
vous pouvez décorer d’une baguette de pate feuilletée cuite avec des graines de sésame
mettre une touffe de petites pousses de salade en garniture ainsi que dans une verrine quelques légumes cuits avec un palet de parmesan cuit pour décorer.[/callout]
Nous voici sur la commune de Montbel, à quelques kilomètres des rives de lac et au pied des Pyrénées. Un endroit magique où Claude produit et transforme des fruits issus de l’agriculture biologique.
La ferme est labellisée « agriculture biologique » depuis très longtemps mais le petit plus c’est qu’elle porte la mention « Nature et progrès » qui comporte en plus une dimension sociale et un plus fort engagement.
Au gré d’une promenade au lac de Montbel, vous pourrez voir au verger des cassissiers et groseilliers, des pommiers de variétés anciennes, pruniers, figuiers, cognassiers… et aussi des châtaigniers dans la forêt.
A la ferme, vous pourrez vous régaler :
– de confitures, de Châtaigne, cassis Prune, figue, potimarron, pastèque à confire (plusieurs versions : au citron, à l’orange et au citron, au citron et au gingembre, au citron et à la mélisse).
– de gelée de groseille et de fleurs de sureau ou encore un délicieux « Choco-Nut », une pâte à tartiner gourmande et locale, à base de butternut, un vrai régal !
– de compotes et jus de pommes
– et également de pâté végétal de châtaigne et de potiron
Venez donc rencontrer Claude à la ferme (sur rendez-vous), sur les marchés de Chalabre et de Mirepoix, sur les foires bio (Couiza et Lorp-Sentaraille)…
Voir tous les points de vente sur le site internet.
Crédit photo : Trifine Cuvillier – Pays des Pyrénées Cathares
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