Catégorie : Territoires

  • Verniolle : Journée polar et soirée Chansons et Rebonds – 10 février

    Verniolle : Journée polar et soirée Chansons et Rebonds – 10 février

    La journée va être chargé samedi au Relais de Poche 

    Le matin dès 11h00, des auteurs du coin, qui parfois parlent de l’Ariège. Venez les découvrir, venez les rencontrer, ils vous parleront crimes et autres joyeusetés

    Remy MARROT

    L’affaire Erwan Dominici

    Il était une fois en Ariège, une ombre maléfique s’adonnant à un jeu de piste sur des lieux de mémoire de la Première Guerre mondiale. Il était une fois dans un pays des Balkans en guerre, une petite fille qui aimait les caramels et dont le frère avait fait une promesse ; celle d’être toujours à ses côtés pour la protéger. Quel lien existe-t-il entre ces deux histoires ? Alors que le journaliste Erwan Dominici voit resurgir ses cauchemars d’enfance et se retrouve suspecté dans l’enquête, la commissaire Elisabeth Melvin va devoir démêler le vrai du faux. Mais saura-t-elle mettre de côté ses sentiments pour Erwan alors que tout accuse ce dernier ? Un roman policier et sentimental marqué par les traumatismes de l’enfance et l’empreinte de l’Histoire. Comme dans son premier roman, Le Tribunal du peuple paru chez TDO Éditions en 2014, l’auteur poursuit en parallèle deux histoires : l’une dans le passé, l’autre contemporaine.

    Le tribunal du peuple

    Un jeune randonneur sauvagement assassiné en montagne, un vieillard retrouvé étouffé dans sa maison de retraite ; deux personnes en apparence sans histoires ni aucun lien présumé. C’est beaucoup plus qu’il n’en faut pour semer la panique dans ce coin d’Ariège au quotidien d’ordinaire si paisible. Erwan, seul pigiste disponible à la Rédaction de La Feuille du Sud, le journal local, se retrouve propulsé sur sa première scène de crime. L’occasion pour lui de faire ses preuves ! Débute alors sa tumultueuse collaboration avec Elisabeth Melvin, la commissaire chargée de l’enquête. Peu à peu, grâce à un talent d’investigation certain et une intuition quasi policière, Erwan va patiemment s’attacher à dénouer les fils d’une intrigue complexe où les meurtres se succèdent au grand dam d’habitants qui s’entêtent à refuser de livrer un douloureux secret de village…

    Patrick CAUJOLE 

    Beau temps pour les couleuvres

    On n’en meurt pas, c’est vrai, mais leur morsure fait mal et c’est ce que va apprendre à ses dépens le capitaine de police Gérard Escaude. Une femme retrouvée poignardée dans sa maison, et voilà comment, de Toulouse à Paris en passant par Montauban ou les Pyrénées, ce condé à l’ancienne, spirituel et amateur de spiritueux, va voir plusieurs bêtes à sang froid valser autour de son enquête. Loin des parodies des séries policières, l’écriture de Patrick Caujolle plonge sans concession ses lecteurs dans le réalisme d’une enquête policière.

    Histoire de la France polissonne

    Dans une passionnante enquête – première du genre dans l’hexagone – l’écrivain Patrick Gaujolle soulève les jupes de l’histoire de France pour en tirer de succulents récits. Sait-on qu’une maison close idyllique et dessinée en forme de phallus a été conçue au XVIIIe siècle par l’un des plus grands architectes de notre pays ? Comment le Docteur Voronoff a-t-il redonné la vigueur sexuelle à de célèbres patients en leur greffant des testicules de singe ? De quelle manière Victor Hugo, qui était accroc au sexe, a-t-il consigné tous ses « exploits » dans des carnets secrets ? Des talents d’une « petite comtesse » de Béziers, en passant par le parc aux cerfs de Louis XV, jusqu’aux écarts de Napoléon III et du président de la République Félix Faure, c’est avec faconde et finesse que Patrick Caujolle dévoile les faces cachées de notre passé. Tout, vous saurez tout des nuits folles du Régent, des frasques du jésuite toulonnais Girard, du phimosis de Louis XVI, de la délicate procédure du « Congrès », de l’histoire de la ceinture de chasteté ou de cette noble dame fécondée… par un vent d’Est pour le moins coquin. Prêts à dévorer tous ces récits ?

    R.I.P.

    Patrick Caujolle a été flic, un écrivain spécialisé dans le polar n’a pas forcément besoin de l’avoir été mais il faut bien reconnaître que ce type d’expérience vous donne une bonne longueur d’avance sur vos poursuivants. A ce titre Caujolle possède le talent des écrivains qui savent dès les premières pages placer le lecteur dans une atmosphère particulière, en l’occurrence celle du commissariat de Carcassonne où travaille le capitaine de police Gérard Escaude qui a fui Toulouse et ses embouteillages pour retrouver une existence plus paisible.
    Mais la région de Carcassonne possède des particularités inattendues. D’abord la roche de Bugarach, son magnétisme, son supposé trésor caché et son tarmac à OVNI façon rencontre du troisième type. Deux cent habitants selon le recensement officiel , dix mille selon les organisateurs d’embarquement planétaire. Non loin de là Rennes-le-Château, son église et son cimetière ésotériques, quand à son trésor il fait courir pas mal de monde depuis des décennies.
    Alors quand on découvre dans le village en plein hiver, le corps sans vie d’une écrivaine locale la main droite amputée, le capitaine Escaude se retrouve embarquée dans une affaire où les cadavres de femmes se multiplient et où la vérité parait aussi figée que le mercure du thermomètre.
    Patrick Caujolle parvient après “ Beau temps pour les couleuvres” à nous proposer un second roman abouti où personne ne repose vraiment en paix comme le suggère le titre “Requiescat in Pace” . Où l’on en apprend beaucoup sur le refroidissement progressif d’un cadavre, la technique des interrogatoires informels façon encéphalogramme et sur la fin du vieux rêve que fait tout policier en début de carrière : ressembler à un flic de série télévisée.
    “R.I.P” est une œuvre solide qui sait jouer sur les codes du genre en nous entrainant dans une affaire remarquablement bien ficelée. On se laisse entrainer dans le courant trouble d’un récit qui charrie tout ce que l’humanité peut inventer d’idées bizarres et d’inventions farfelues ce qui n’empêche pas la police de faire son travail.
                                                                                               Archibald PLOOM (CULTURE-CHRONIQUE)

    Ennemis publics N°1

    Ils ont fait trembler la France et lancé les polices du monde entier à leurs trousses ! Pourtant, ces ennemis publics n°1 de notre pays sont souvent mal connus : qui se souvient d’Alexandre Jacob, de Joseph Vacher, de Ludinghausen-Wolff ou d’Ange Luccarotti ? Leurs évasions, leurs coups de génie, leurs cavales ponctuent des vies extraordinaires dont on tire le fil avec stupéfaction. Dans ce livre, d’autres voyous d’envergure aux noms plus familiers sont mis à nu : Bonnot, Mesrine, Spaggiari, Landru…L’auteur dévoile enfin: leurs véritables personnalités, leurs motivations. La folie, l’argent facile, la revanche ? Pas toujours…De Cartouche au gang des Lyonnais, de Mandrin à Thierry Paulin, du XVIIIe siècle aux portes du XXIe, Patrick Caujolle nous embarque dans des chasses à l’homme haletantes. Comment un homme devient-il un ennemi public n°1 ? Comment un ennemi public n°1 devient-il une légende ? La réponse est dans ces pages…Attention aux balles perdues ! 

    Casses du siècle, meurtre au sommet de l’Etat Français, …

    Thierry BENOIT

    Sans Homicide Fixe

    Le gendarme tenait son arme à bout de bras. En déplaçant ses jumelles, Mehdi suivit la direction du pistolet. Il eut à peine le temps d’apercevoir la vache. Le sang gicla entre les deux cornes, l’animal s’effondra et il entendit le coup de feu avec le léger décalage dû à la distance. Sans jeter un coup d’œil au bovin, les militaires s’étaient précipités vers une touffe de ronces à quelques pas de l’animal. Mehdi cherchait en vain l’objet de leur agitation quand la cavalerie entra en scène : six voitures de pompiers et de gendarmerie approchaient, sirènes hurlantes. Il n’y comprenait rien, mais sa vieille expérience de vagabond lui commandait la prudence : mettre les voiles. Adieu sédentarité ariégeoise, retour à la rue toulousaine.

    Samedi 10 février de 1h00 à 16h00

    Possibilité de manger avec les auteurs entre midi et 14h00 … sur réservation uniquement (au 06 71 598 298)

    Et le soir ça continue….

    Accordéon brut c’est à dire poumon, guitare saturée comme qui dirait tronçonneuse, et jonglerie percussive autant​ dire batterie spectaculaire, ZAP est un trio tout venin ! Chansons, instrumentaux, improvisations, textes, compos ou reprises ; éclectique, inclassable, surprenant, ZAP défriche, fouille, se mouille, tente, met les pieds dans le plat et les mains à la pâte.

    Un spectacle musical, circassien qui fait entendre le son des mots et le sens des sons en questionnant sans cesse le là -ici- et le là -maintenant-.

    Claude Delrieu tombe tôt dans l’univers des sons. Il débute l’accordéon vers l’âge de 5 ans (à ce qu’on lui a dit) puis étudie la guitare au conservatoire de Toulouse ou il obtient une médaille d’or. Il suit alors un cheminement très intuitif allant du rock patois (groupe tric trac) à la chanson (album solo « tes lapins »),en passant par la musique classique (duo Delrieu Pagès) ou improvisée (Duo « Dos à Dos » avec Philippe Gelda). Il croise, accompagne, partage des spectacles avec : Jean Pierre Beauredon, Michel Vivoux, Loïc Lantoine, Eric Lareine, La compagnie des musiques à Ouir, Denis Charolles, Les Etrangers Familiers, Brigitte Fontaine.

    Pablo Nicoleau est unGuitariste agité, élevé par un chat noir. Influencé par la scène garage/lo-fi (Thee Oh Sees, Ty Segall…),il a suivi les inégalables cours de l’école de musique de Saverdun. Il a participé au spectacle ‘Cabaret chez Georges’ (Cie du chat noir), avant de fonder avec 3 amis lycéens le groupe de rock indé Purr. La clique enregistre un EP chez Claude Delrieu, et clôt sa courte mais prolifique existence par un enregistrement ‘fait maison’ (disponible gratuitement sur Bandcamp). Devenu batteur d’I&I, quintet rock qui compose en français et humble lauréat du très très très prestigieux tremplin du CROUS Toulouse, Pablo poursuit en parallèle ses études de philosophie. Du fait de son jeune âge et de son éparpillement stylistique, vous constaterez ici qu’on a plus affaire à une ébauche qu’à une carrière.

    Tibo Tout Court est un jongleur percussif , diablotin assoiffé de jongle rebondissante et de musique. Formé à l’Ecole de Cirque du Lido de Toulouse où il entre en 1994 sous l’œil de Christian Coumin, il commence en 2004 un réel travail autour de la jonglerie sonore, prétexte à de multiples collaborations avec : Mr Le Directeur, Le Cirque Plume, Le Cirque Gosh, Bouglione, Dorembus, EnguerranKonglo et Tempo d’la Balle, L’Agit .  Un parcours atypique, jonglant entre les scènes de théâtre, les chapiteaux de Cirques, les plateaux de cinéma …L’amour de la scène du Public et de l’instant présent !! All the ball in the hole and the show will go on !

    Samedi 10 Février 2018 à 20h30 au Relais de Poche à Verniolle (09)​

    ​Ouverture des Portes à 20h00, possibilité d’une petite restauration sur place de 19h00 à 20H00 // Réservation:06 71 59 82 98​

    Le relais de Poche 
    2 rue de la République – 09340 Verniolle

    Réservation sur www.relaisdepoche.org
    06 71 598 298

  • Pamiers : « Echos » ANNULÉ POUR CAUSE D’INTEMPÉRIE

    Pamiers : « Echos » ANNULÉ POUR CAUSE D’INTEMPÉRIE

    Compagnie de danse hip hop créée en décembre 1994 à Chambéry, Alexandra N’Possee est issue de ce mouvement initié par la Cie Traction Avant dans toute la région Rhône-Alpes à la fin des années 80.

    Se faire l’écho de soi-même, de ses ondes, de ses murmures dans un environnement traversé par les ondes et le murmure de l’autre, de tous les autres, de tout ce qui vit. Semer des graines de visions, de réflexions, avec sagesse ou folie. Une graine de silence, puis une de mémoire, puis un autre de rêve, puis une autre d’exil… 

     Se servir du geste de semer comme de la base d’une expression, d’un mouvement, d’une direction, d’une histoire commune… Abdennour Belalit invite l’art et l’écologie à dialoguer à propos d’une même source, d’une même préoccupation : préserver et promouvoir la biodiversité, la liberté d’être et de se mouvoir, parce que tout dans l’un comme dans l’autre participe, avec force et fragilité, de ce même vivant désir du beau, du tragique, du sublime et du différent.

    Jeudi 8 février 2018 à 20h45

    Salle du Jeu du Mail.  
    Tout public
    13€, 9€, Gratuit pour les moins de 13€. Asis, placement libre. DAC :

    05.61.60.95.60.
    Billeterie : www.ville-pamiers.fr

  • Verniolle : Le Mégaphone Tour – 4 février

    Verniolle : Le Mégaphone Tour – 4 février

    Le Mégaphone Tour est un festival itinérant, voulu comme un dispositif national d’aide a la tournée qui défend la formation de la scène par la scène et revendique le passage dans de petits lieux comme étant plus que jamais une étape formatrice et indispensable dans la carrière d’un artiste.

    Chaque année, 12 auteurs-compositeurs-interprètes, préalablement sélectionnés, partent sur 4 tournées dans 4 grandes Régions de France (Sud Ouest, Sud Est, Nord Est, Nord Ouest), proposant ainsi un plateau découverte de 3 artistes en bas de chez vous …

    Massy Inc.

    Après quatre albums sous le nom de Tante Hortense, Stéphane Massy réapparaît sous le nom de MASSY Inc, un trio formé avec Eddy Godeberge (cavaco électrique) et Christophe Rodomisto (guitares, synthétiseurs).

    Arrive en effet un moment où une érudition digne de ce nom ne peut se satisfaire des bibliothèques municipales, mais suppose la fréquentation assidue des Boîtes de Nuit. MASSY Inc. découle de ce constat, et propose une chanson électro à la fois jouissive et existentielle. Qui fait rire, danser, partager, et pourtant vous accompagne dans une éventuelle introspection. On pourrait qualifier ça d’eurodance à texte, ou bien évoquer un croisement fatal entre Peaches et Gérard Manset.

    L’album “3349” est sorti en mars 2017, et est le premier du trio, qui a commencé depuis quelques mois à attiser la curiosité par ses concerts ainsi qu’en publiant quelques extraits de l’opus à venir, sous la forme d’une série de videoclips tournés à New-York. 

    https://youtu.be/PUJXC33tdGc

     Gisèle Pape

    Gisèle Pape aime le lever du jour, cette petite suspension bleue pendant laquelle les oiseaux cessent de chanter pour quelques secondes. Mais elle se lève toujours trop tard, alors, triste, Gisèle Pape s’en va dans sa pièce à musique. Parce que chez elle, Gisèle a une pièce à musique. Dans cette pièce, Gisèle n’est plus triste, n’est pas joyeuse non plus d’ailleurs, Gisèle est. Concentrée, parfois studieuse, parfois buissonnière, elle est, dans son monde, à la recherche de ce qu’elle croit être bien.

    Gisèle Pape est aussi musicienne professionnelle au service de pièces de danse et théâtre. Régisseuse lumière également. Et puis ex-réalisatrice de films expérimentaux. Elle a quelques diplômes du conservatoire : en orgue liturgique, en chant aussi, mais ne sait plus si elle a un diplôme en guitare, synthé́ ou ordinateur, mais en tout cas elle en joue. Elle est aussi diplômée de Louis Lumière pour sa partie cinéma et a eu un jour une mention au bac dont elle est fière. 
    Dans sa pièce à musique il y a beaucoup d’images. Une femme russe en toque verte qui la regarde mystérieusement, une plume de paon, une photographie de Munch avec un nu et un œil, un flyer jaune de Copenhague, des pellicules et des bobines de fil. Du fil surtout, parce qu’une chanson, ca se tricote.                                          

    https://youtu.be/b8IZKDhhKAo

    Camille Hardouin – marraine de la tournée

    Le monde ne fournira jamais assez de bras pour porter toutes les histoires qui dansent la vie de Camille Hardouin. Et pourtant c’est là, sur ces bras comme le fleuve devant lequel on s’assoit pour contempler son eau toujours renouvelée, sur ces bras toujours les deux mêmes, que Camille inscrit et efface et puis retrace les textes de ses chansons.
    Un seul de ces mots posé sur sa voix contient déjà tous les sourires, mais aussi toutes les inquiétudes, les révoltes et les espoirs dont elle a fait une fantastique ménagerie intérieure qui parfois, souvent, la pousse à ne plus trouver le sommeil. Parce que la ville la nuit se charge de secrets pour lesquels il faut escalader les façades des immeubles jusqu’au Grand Ciel qui prend tout, des silences aux éclats de rires, ou alors rester au sol et bien regarder les trottoirs sur lesquels sont inscrites d’autres histoires, humaines et donc magiques. Et hors la ville, où les trains nous mènent quand ils le veulent bien, c’est une cérémonie permanente qui s’opère, par les hommes qui dansent et les oiseaux de nuit et les arbres qui frissonnent et les étoiles.
    Et quand il s’agit d’aller, à n’importe quelle heure, dormir, alors il faut traverser le chat, les instruments à musique qui jonchent le parcours jusqu’au lit, les livres au sol, les petites choses trouvées qui sont forcément le début de quelque chose, les lettres blanches qui contiennent tous les mots qu’elle a l’intention de dire aux uns et aux autres, en particulier à celui-ci, sans oublier celle-là. Il faut traverser tout ça sans se laisser distraire parce qu’au bout il doit bien y avoir un rêve et les rêves n’ont pas la même saveur en bouche que le monde debout, qui se vit souvent assis à même le plancher. Parce que dans les rêves il y a des embrouilles à détricoter et des choses simples à s’en donner des vertiges. Et une chanson se nourrit aussi de ces deux ingrédients-là.
    Camille ne nourrit pas ses chansons. Les chansons de Camille se servent toutes seules dans la vie de Camille. Elles ont trouvé là le parfait véhicule pour mener la Grande Vie. Celle où un manège pour enfants endormis devient évidemment le plus beau rendez-vous d’amour, celle où toutes les bouches du monde se mangent, celle où l’on crève d’amour et c’est doux et c’est drôle et c’est toujours important mais surtout jamais grave.

    Et heureusement, heureusement que les deux bras de Camille durent tant de kilomètres. Ils font de ce disque une étape, un moment de pause sur la Grand Route, un récif d’où nous déployons la carte d’un territoire immense et parcourons les pays traversés des longs doigts d’une demoiselle qu’on aimerait tant connaître, avant d’égarer nos yeux vers l’horizon aux mille promesses offertes par ses mots, par sa voix et par ses gestes de rires, de soucis, de révoltes, d’amours et d’espoirs.                                              

    https://youtu.be/Kjzvad7OVQw

    Dimanche 4 janvier à 17h00

    Le relais de Poche 
    2 rue de la République – 09340 Verniolle

    Réservé aux adhérents (1€ la soirée – 10€ à l’année) Participation libre mais nécessaire
    Réservation sur www.relaisdepoche.org
    06 71 598 298

     

     

  • Foix : Conférence « Mythes et réalités de l’identité » – Hélène Fresnel – 5 février

    Foix : Conférence « Mythes et réalités de l’identité » – Hélène Fresnel – 5 février

     » Pourtant, jamais autant qu’aujourd’hui, face à la prolétarisation généralisée de l’existence, les citoyens, adultes, enfants ou adolescents ne se sont montrés affamés de nouvelles forces symboliques, de nouvelles fictions, pour vivre, désirer et rêver ensemble. » C’est une citation de Roalnd Gori, psychanalyste et philosophe, auteur de « Un monde sans esprit » entre autres.

    De quoi un être est-il fait ? Qu’est-ce qui le fonde, l’ancre dans la vie ? Ses racines ? L’extérieur ? Comment laisser advenir des éléments d’authenticité de soi que nous avons ignorés, maîtrisés, écrasés pour retrouver nos désirs d’accomplissement singuliers, nos désirs d’être ?

    Journaliste indépendante, réalisatrice de documentaires pour la télévision française, auteure de : « Savoir vivre. Manuel à l’usage des désespérés », « À la rue, quand travailler ne suffit plus », Hélène Fresnel s’est formée à la psychanalyse. Elle s’intéresse à la folie, aux passions humaines, aux normes, à ceux qui vivent en marge de la société.

    L’accueil du public sera fait par des élèves de la section Accueil du Lycée Professionnel Jean Durroux.

    En présence de l’auteur et metteur en scène Nasser Djemaï.

    Lundi 05 Février à 18h00

    L’Estive scène nationale de Foix et de l’Ariège
    accueil@lestive.com – 05.61.05.05.55 – 20 avenue du général de Gaulle 09000 FOIX
    www.lestive.com

  • Clermont : Florilège de pulls et bonnets moches au Souleilla – du 1er au 4 février

    Clermont : Florilège de pulls et bonnets moches au Souleilla – du 1er au 4 février

    Ce week-end Au programme : on joue , on “reste pas tout seul” et on délire avec le premier concourt de pulls et bonnets moches

    Jeudi 1 Février à partir de 19 H : soirée jeux 

    Vendredi 2 Février

    A partir de 19H soirée “reste pas tout seul ! ”apéro quizz, jeux de comptoir et Dj open session pour finir

    Samedi 3 Février : place au délire avec …

    Le premier concours de pull et bonnet moches !

    Dimanche 4 Février

    A partir de 19H soirée fondues ou raclette élaborer avec de la viandes et de la charcuteries local et du fromages bio de Camarade 09

    Le resto est ouvert midi et soir du jeudi au dimanche 

    Le Souleilla Village 
    Clermont 09240

    www.souleilla.com / 05 34 09 02 20

  • Saurat : Café Rencontre « Projets Paysans » – 3 février

    Saurat : Café Rencontre « Projets Paysans » – 3 février

    Un collectif de porteurs de projets agricoles (Maraîchage, Pépinière, Apiculture…) vous invite à un café-rencontre le Samedi 3 février 2018 de 15h à 17h (Salle Saint André à SAURAT). 

    Venez découvrir leurs projets, échanger sur le contexte agricole actuel et déguster un café gourmand (participation libre)

    Ces personnes sont en recherche active de foncier depuis plusieurs mois, et comptent donc sur votre présence pour les aider ! 

    Plus d’informations sur nos groupes « Accéder au foncier en Ariège » (Groupe Facebook et Google Group/Forum)

  • La Bastide-de-Sérou : 30 ans d’Ornithologie en Ariège – 3 février

    La Bastide-de-Sérou : 30 ans d’Ornithologie en Ariège – 3 février

    Venez découvrir un rapide historique des suivis ornithologiques réalisés par l’Ana, ainsi qu’une présentation des différentes prospections d’oiseaux en cours, à travers des diaporamas commentés, suivis d’un apéro-buffet partagé vers 20h00 !

    Déroulement :

    – Les suivis et actions réalisés et en cours pour le Gypaète barbu et l’Aigle royal, par Julien Garric
    – Les suivis de Vautour percnoptère, Milan Royal et Chouette Chevêche d’Athéna, par Julien Vergne,
    – Les suivis et prospections prévus pour 2018 (Busard cendré, Busard St-Martin, Oedicnème criard, Pics …), par Thomas Cuypers et Julien Vergne,
    – La liste des espèces d’oiseaux présentes en Ariège, par Etienne Colliat

    Cette soirée sera l’occasion d’échanger entre ornithologues amateurs ou éclairés et de s’inscrire aux différents programmes de prospection en cours et autres inventaires participatifs.

    Nous vous attendons nombreux !

    Avec Julien Garric, Etienne Colliat, Julien Vergne et Thomas Cuypers.

    Samedi 3 février à 18h00

    Mairie de La Bastide-de-Sérou

    La salle se trouve au premier étage dans la mairie.

    Informations et inscription : thomas.c@ariegenature.fr – 05 61 65 80 54

  • Ax-les-Thermes : Un Sourire d’Hiver – 3 février

    Ax-les-Thermes : Un Sourire d’Hiver – 3 février

    L’Association Artambouille a le plaisir de vous présenter Un Sourire d’Hiver avec les groupes :

    Slivo Electric Klub (neuro trad)

    Edonist Beats (tropical beats)

    Alumine Guerrero et les enfants perdus (world latino urbain)

    Dr Cocktails (cocktail techno)

    Samedi 3 février à partir de 18h 

    Salle Café Musique du Casino
    Allée Paul Salette – Ax-les-Thermes

  • Sainte-Croix-Volvestre : Funk & Fanfare – 3 février

    Sainte-Croix-Volvestre : Funk & Fanfare – 3 février

    Ça va bouger à Sainte-Croix-Volvestre ce samedi, les parrains des fanfares modernes, grooveurs et globe-trotters infatigables, les si bien nommés Ceux qui marchent debout seront sur la scène d’Art’Cade !

    Après 19 ans de carrière, 8 albums et plus de 1000 concerts, le groupe ne cesse de confirmer que le funk est synonyme de joie de vivre et de jeunesse éternelle.

    Samedi le public ariégeois aura droit à un show fun et énergique parsemé de descentes dans la fosse qui a déjà fait bouger les danseurs du monde entier !

     

     

    En première partie de soirée ce sera le brass band de poche, Les Roger’s, qui réchauffera l’ambiance. Du swing, du blues, du funk, des chansons créoles ou françaises cuisinées à la sauce louisianaise…

    Le jeune combo toulousain emportera le public avec panache dans l’atmosphère chaleureuse et intemporelle du « berceau du jazz » made in New-Orleans !

    Vous l’aurez compris, une soirée pour bouger, groover et faire la fête !

    samedi 3 février –21h00

    Association Art’Cade Place du village, 09230 Ste-Croix-Volvestre
    05 61 04 69 27 – com@art-cade.com
    www.art-cade.com
    Facebook

    Vous trouverez l’ensemble de la programmation d’Art’Cade ainsi que les détails de son activité dans le programme trimestriel, accessible en ligne ici : www.art-cade.fr

    Tarifs : plein 10€ / réduit 7€ / adhérent Art’Cade 6€ / réduc’09 5€

  • Orgibet : Concert « David Lahore » – 2 février

    Orgibet : Concert « David Lahore » – 2 février

    David Lafore seul sur scène ! aïe !

    Vous allez pleurer et rire et en même temps des fois ! c’est beau et puis paf! ça devient n’importe quoi! et on redescend!

    Montagne russe!Punk, romantique…avec panache dans l’atmosphère chaleureuse et intemporelle du « berceau du Jazz ».

    Vendredi 2 février 2018 à 21h
    au Noste Courtiu

    route des Pyrénées
    09 800 ORGIBET
    05.61.02.60.17
    noste-courtiu.fr

  • Saint-Girons : Ciné-conférence « Le Pays Basque – Des Pyrénées-Atlantiques à Bilbao » – 2 février

    Saint-Girons : Ciné-conférence « Le Pays Basque – Des Pyrénées-Atlantiques à Bilbao » – 2 février

    Balayé par les embruns et lové sur les deux flancs des Pyrénées, le Pays Basque fascine l’imaginaire des hommes.

    De l’origine mystérieuse de ce peuple à la langue unique au monde, des aléas politiques à sa force légendaire, nous irons sur les traces de pêcheurs de baleines, de corsaires de Saint-Jean-de-Luz, d’explorateurs, autant de héros modestes aux prémices d’une diaspora si puissante.

    Hadrien a filmé la vie d’ouvriers, d’éleveurs en estive, de pêcheurs, de religieux, de pèlerins de Compostelle mais aussi la permanence de traditions par les danses, les fêtes de Pampelune ou encore la variété de la pelote…

    Des rêveries de Victor Hugo à la Belle Époque de l’impératrice Eugénie jusqu’à l’émergence d’un tourisme symbolisé par le surf, il montre la transformation de Biarritz et sa belle côte escarpée. Il vogue à travers l’économie de Bilbao, San Sebastian, Bayonne ou au gré des paysages ruraux, d’Espelette au sommet de la Rhune.

    Dans le cadre du cycle Connaissance du Monde

    Vendredi 02 février à 14h30 

    salle Max Linder – Saint-Girons

    Voir la bande-annonce clic

    Renseignements :
    05 61 04 03 27 – service.culturel@ville-st-girons.fr 

  • Ax-les-Thermes : « Palabre » de la Mio Company – 2 février

    Ax-les-Thermes : « Palabre » de la Mio Company – 2 février

    Palabre est une invitation à se balader ensemble dans la réalité absurde de l’humain.

    Un voyage surréaliste dans les profondeurs de nos peurs loufoques, de nos rêves improbables et de nos envies décalées. Installez-vous, prenez le risque de regarder l’Homme en brut, seul et sensible au milieu de la foule.

    Un regard onirique, une oreille intime nous amène à sentir le vent souffler dans une autre direction.

    Lâchez…

    Vendredi 2 février à 18h

    Au théâtre du casino
    Ax-les-Thermes