Catégorie : Pamiers Basse-Ariège

  • Pamiers : Théâtre « Quel petit vélo…? » – 17 février

    Pamiers : Théâtre « Quel petit vélo…? » – 17 février

    Une bande d’amis cherche par tous les moyens à faire réformer Karaboom, leur « pote » qui ne veut pas aller se battre en Algérie, car sa douce l’attend et qu’il préfère la chaleur d’un lit au froid des armes.

    Une belle performance de trois acteurs, pékins philosophes à la petite semaine. Par leur jeu précis, juste, les trois clampins érudits rivalisent d’application dans la loufoquerie et d’aplomb dans l’absurde.

    Une épopée burlesque, à la fois mineure et intime, majeure et historique. Celle du gars Karamanlis ou quelque chose comme ça, deuxième classe à Vincennes. Et celle du Pollack Henri, maréchal des logis, à Vincennes lui aussi. Et celle de ses potes à lui, le dit Pollack Henri.

     

    Samedi 17 février 2018 à 20h45

    Salle du Jeu du Mail
    Pamiers 

    tout public Plein tarif : 12€, Adhérents : 8€ – Assis, Placement libre. Office du tourisme : 05.61.67.52.52 – Infos : afthawordpress.com

    Contacts et infos: www.facebook.com/associationaftha/
    et 05 61 69 64 32 .

    aftha.wordpress.com

  • Pamiers : Didier Super  » Ta vie sera plus moche que la mienne  » – 15 février

    Pamiers : Didier Super  » Ta vie sera plus moche que la mienne  » – 15 février

    L’ironie, le cynisme, le second degré et la dérision sont les armes favorites de Didier Super. On lui avait prédit une carrière très courte or ça fait maintenant 12 ans que la marque Didier Super continue de toujours mieux vous satisfaire, vous tous, qui en êtes réduits à devoir payer pour rire tant votre vie est fade, et nous vous en remercions.

    Pour son 5ème spectacle, « l’artiste » tente de vous raconter l’histoire d’un chômeur qui rencontre une fée. Le consommateur sera surpris de découvrir un produit théâtral qui conjugue à la fois qualité artistique et accessibilité (au peuple).

     A partir de 15 ans 

    Tarifs : 13 €, 9€. Placement assis libre.
    Infos et réservation : Direction des Affaires Culturelles : 05 61 60 93 60.
    Billetterie en ligne : www.ville-pamiers.fr

    Jeudi 15 Février – 20h45 

    Salle du Jeu du Mail – Pamiers

  • Pamiers : Rencontre avec l’auteur de « La fille du van » – 13 février

    Pamiers : Rencontre avec l’auteur de « La fille du van » – 13 février

    Première présentation pour un  Premier roman au Bleu du Ciel. LudovicMinet viendra nous parler de « La fille du van » publié aux éditions Serge Safran.

    Ce roman nous présente des personnages profondément humains : Sonja, infirmière qui revient d’Afghanistan avec ses cauchemars & Pierre, Sabine, Abbes… Leur rencontre avec
    Sonja les entraînera dans un tourbillon de vie, d’espoir, d’amitié, d’amour, ..

    Ludovic Minet nous entraîne de pages sombres en pages lumineuses & aborde des sujets de société graves. Traumatismes d’après guerre, déchéance, mais aussi reconstruction & sauvetage de soi & de l’autre.

    La fille du van est en finale avec 3 autres romans pour l’attribution du Prix Méditerranée Des Lycéens Région Occitanie.

    La présentation sera suivie d’une dédicace & d’un p’tit pot de l’amitié…

    Mardi 13 février à partir de 18h.

    Librairie Bleu du ciel
    15 Rue Victor Hugo – Pamiers
    05 61 60 02 79
    librairielebleuduciel.com

  • Pamiers : Quatuor ERELL hautbois et trio à cordes – 11 février

    Pamiers : Quatuor ERELL hautbois et trio à cordes – 11 février

    Pour cette formation peu usité, le quatuor se livre à de nombreux arrangements sur les chemins du Soleil

    ​Programme

    Jean-Sébastien Bach (1685-1750)
    Concerto italien    Andante, Presto
     
    Luigi Gatti (1740-1817)
    Quatuor en Do Majeur 
    Allegro con brio, Adagio, Allegro moderato

    Entracte

    Domenico Scarlatti (1685-1757) Concerto en Ré m
    à partir de trois sonates  k9, k208, k5

    Jacques Ibert (1890-1962)
    Petite Suite tirée de Histoires, pour piano 
    (cor anglais/ hautbois et trio à cordes)
    La Meneuse de Tortues d’Or, Le Petit âne Blanc,
    Le Vieux Mendiant, Bajo la Mesa
     

    Manuel De Falla / Claude Debussy / Isaac Albeniz 
    Suite Espagnole réunissant des œuvres de ces trois auteurs.
    Siete Canciones  Espanolas (3 extraits)
    Sérénade interrompue
    El Corpus en Sevilla

    Dimanche 11 février à 16 h – salle Aglaë Moyne à Pamiers

    www.promusicapamiers.net

  • Verniolle : Journée polar et soirée Chansons et Rebonds – 10 février

    Verniolle : Journée polar et soirée Chansons et Rebonds – 10 février

    La journée va être chargé samedi au Relais de Poche 

    Le matin dès 11h00, des auteurs du coin, qui parfois parlent de l’Ariège. Venez les découvrir, venez les rencontrer, ils vous parleront crimes et autres joyeusetés

    Remy MARROT

    L’affaire Erwan Dominici

    Il était une fois en Ariège, une ombre maléfique s’adonnant à un jeu de piste sur des lieux de mémoire de la Première Guerre mondiale. Il était une fois dans un pays des Balkans en guerre, une petite fille qui aimait les caramels et dont le frère avait fait une promesse ; celle d’être toujours à ses côtés pour la protéger. Quel lien existe-t-il entre ces deux histoires ? Alors que le journaliste Erwan Dominici voit resurgir ses cauchemars d’enfance et se retrouve suspecté dans l’enquête, la commissaire Elisabeth Melvin va devoir démêler le vrai du faux. Mais saura-t-elle mettre de côté ses sentiments pour Erwan alors que tout accuse ce dernier ? Un roman policier et sentimental marqué par les traumatismes de l’enfance et l’empreinte de l’Histoire. Comme dans son premier roman, Le Tribunal du peuple paru chez TDO Éditions en 2014, l’auteur poursuit en parallèle deux histoires : l’une dans le passé, l’autre contemporaine.

    Le tribunal du peuple

    Un jeune randonneur sauvagement assassiné en montagne, un vieillard retrouvé étouffé dans sa maison de retraite ; deux personnes en apparence sans histoires ni aucun lien présumé. C’est beaucoup plus qu’il n’en faut pour semer la panique dans ce coin d’Ariège au quotidien d’ordinaire si paisible. Erwan, seul pigiste disponible à la Rédaction de La Feuille du Sud, le journal local, se retrouve propulsé sur sa première scène de crime. L’occasion pour lui de faire ses preuves ! Débute alors sa tumultueuse collaboration avec Elisabeth Melvin, la commissaire chargée de l’enquête. Peu à peu, grâce à un talent d’investigation certain et une intuition quasi policière, Erwan va patiemment s’attacher à dénouer les fils d’une intrigue complexe où les meurtres se succèdent au grand dam d’habitants qui s’entêtent à refuser de livrer un douloureux secret de village…

    Patrick CAUJOLE 

    Beau temps pour les couleuvres

    On n’en meurt pas, c’est vrai, mais leur morsure fait mal et c’est ce que va apprendre à ses dépens le capitaine de police Gérard Escaude. Une femme retrouvée poignardée dans sa maison, et voilà comment, de Toulouse à Paris en passant par Montauban ou les Pyrénées, ce condé à l’ancienne, spirituel et amateur de spiritueux, va voir plusieurs bêtes à sang froid valser autour de son enquête. Loin des parodies des séries policières, l’écriture de Patrick Caujolle plonge sans concession ses lecteurs dans le réalisme d’une enquête policière.

    Histoire de la France polissonne

    Dans une passionnante enquête – première du genre dans l’hexagone – l’écrivain Patrick Gaujolle soulève les jupes de l’histoire de France pour en tirer de succulents récits. Sait-on qu’une maison close idyllique et dessinée en forme de phallus a été conçue au XVIIIe siècle par l’un des plus grands architectes de notre pays ? Comment le Docteur Voronoff a-t-il redonné la vigueur sexuelle à de célèbres patients en leur greffant des testicules de singe ? De quelle manière Victor Hugo, qui était accroc au sexe, a-t-il consigné tous ses « exploits » dans des carnets secrets ? Des talents d’une « petite comtesse » de Béziers, en passant par le parc aux cerfs de Louis XV, jusqu’aux écarts de Napoléon III et du président de la République Félix Faure, c’est avec faconde et finesse que Patrick Caujolle dévoile les faces cachées de notre passé. Tout, vous saurez tout des nuits folles du Régent, des frasques du jésuite toulonnais Girard, du phimosis de Louis XVI, de la délicate procédure du « Congrès », de l’histoire de la ceinture de chasteté ou de cette noble dame fécondée… par un vent d’Est pour le moins coquin. Prêts à dévorer tous ces récits ?

    R.I.P.

    Patrick Caujolle a été flic, un écrivain spécialisé dans le polar n’a pas forcément besoin de l’avoir été mais il faut bien reconnaître que ce type d’expérience vous donne une bonne longueur d’avance sur vos poursuivants. A ce titre Caujolle possède le talent des écrivains qui savent dès les premières pages placer le lecteur dans une atmosphère particulière, en l’occurrence celle du commissariat de Carcassonne où travaille le capitaine de police Gérard Escaude qui a fui Toulouse et ses embouteillages pour retrouver une existence plus paisible.
    Mais la région de Carcassonne possède des particularités inattendues. D’abord la roche de Bugarach, son magnétisme, son supposé trésor caché et son tarmac à OVNI façon rencontre du troisième type. Deux cent habitants selon le recensement officiel , dix mille selon les organisateurs d’embarquement planétaire. Non loin de là Rennes-le-Château, son église et son cimetière ésotériques, quand à son trésor il fait courir pas mal de monde depuis des décennies.
    Alors quand on découvre dans le village en plein hiver, le corps sans vie d’une écrivaine locale la main droite amputée, le capitaine Escaude se retrouve embarquée dans une affaire où les cadavres de femmes se multiplient et où la vérité parait aussi figée que le mercure du thermomètre.
    Patrick Caujolle parvient après “ Beau temps pour les couleuvres” à nous proposer un second roman abouti où personne ne repose vraiment en paix comme le suggère le titre “Requiescat in Pace” . Où l’on en apprend beaucoup sur le refroidissement progressif d’un cadavre, la technique des interrogatoires informels façon encéphalogramme et sur la fin du vieux rêve que fait tout policier en début de carrière : ressembler à un flic de série télévisée.
    “R.I.P” est une œuvre solide qui sait jouer sur les codes du genre en nous entrainant dans une affaire remarquablement bien ficelée. On se laisse entrainer dans le courant trouble d’un récit qui charrie tout ce que l’humanité peut inventer d’idées bizarres et d’inventions farfelues ce qui n’empêche pas la police de faire son travail.
                                                                                               Archibald PLOOM (CULTURE-CHRONIQUE)

    Ennemis publics N°1

    Ils ont fait trembler la France et lancé les polices du monde entier à leurs trousses ! Pourtant, ces ennemis publics n°1 de notre pays sont souvent mal connus : qui se souvient d’Alexandre Jacob, de Joseph Vacher, de Ludinghausen-Wolff ou d’Ange Luccarotti ? Leurs évasions, leurs coups de génie, leurs cavales ponctuent des vies extraordinaires dont on tire le fil avec stupéfaction. Dans ce livre, d’autres voyous d’envergure aux noms plus familiers sont mis à nu : Bonnot, Mesrine, Spaggiari, Landru…L’auteur dévoile enfin: leurs véritables personnalités, leurs motivations. La folie, l’argent facile, la revanche ? Pas toujours…De Cartouche au gang des Lyonnais, de Mandrin à Thierry Paulin, du XVIIIe siècle aux portes du XXIe, Patrick Caujolle nous embarque dans des chasses à l’homme haletantes. Comment un homme devient-il un ennemi public n°1 ? Comment un ennemi public n°1 devient-il une légende ? La réponse est dans ces pages…Attention aux balles perdues ! 

    Casses du siècle, meurtre au sommet de l’Etat Français, …

    Thierry BENOIT

    Sans Homicide Fixe

    Le gendarme tenait son arme à bout de bras. En déplaçant ses jumelles, Mehdi suivit la direction du pistolet. Il eut à peine le temps d’apercevoir la vache. Le sang gicla entre les deux cornes, l’animal s’effondra et il entendit le coup de feu avec le léger décalage dû à la distance. Sans jeter un coup d’œil au bovin, les militaires s’étaient précipités vers une touffe de ronces à quelques pas de l’animal. Mehdi cherchait en vain l’objet de leur agitation quand la cavalerie entra en scène : six voitures de pompiers et de gendarmerie approchaient, sirènes hurlantes. Il n’y comprenait rien, mais sa vieille expérience de vagabond lui commandait la prudence : mettre les voiles. Adieu sédentarité ariégeoise, retour à la rue toulousaine.

    Samedi 10 février de 1h00 à 16h00

    Possibilité de manger avec les auteurs entre midi et 14h00 … sur réservation uniquement (au 06 71 598 298)

    Et le soir ça continue….

    Accordéon brut c’est à dire poumon, guitare saturée comme qui dirait tronçonneuse, et jonglerie percussive autant​ dire batterie spectaculaire, ZAP est un trio tout venin ! Chansons, instrumentaux, improvisations, textes, compos ou reprises ; éclectique, inclassable, surprenant, ZAP défriche, fouille, se mouille, tente, met les pieds dans le plat et les mains à la pâte.

    Un spectacle musical, circassien qui fait entendre le son des mots et le sens des sons en questionnant sans cesse le là -ici- et le là -maintenant-.

    Claude Delrieu tombe tôt dans l’univers des sons. Il débute l’accordéon vers l’âge de 5 ans (à ce qu’on lui a dit) puis étudie la guitare au conservatoire de Toulouse ou il obtient une médaille d’or. Il suit alors un cheminement très intuitif allant du rock patois (groupe tric trac) à la chanson (album solo « tes lapins »),en passant par la musique classique (duo Delrieu Pagès) ou improvisée (Duo « Dos à Dos » avec Philippe Gelda). Il croise, accompagne, partage des spectacles avec : Jean Pierre Beauredon, Michel Vivoux, Loïc Lantoine, Eric Lareine, La compagnie des musiques à Ouir, Denis Charolles, Les Etrangers Familiers, Brigitte Fontaine.

    Pablo Nicoleau est unGuitariste agité, élevé par un chat noir. Influencé par la scène garage/lo-fi (Thee Oh Sees, Ty Segall…),il a suivi les inégalables cours de l’école de musique de Saverdun. Il a participé au spectacle ‘Cabaret chez Georges’ (Cie du chat noir), avant de fonder avec 3 amis lycéens le groupe de rock indé Purr. La clique enregistre un EP chez Claude Delrieu, et clôt sa courte mais prolifique existence par un enregistrement ‘fait maison’ (disponible gratuitement sur Bandcamp). Devenu batteur d’I&I, quintet rock qui compose en français et humble lauréat du très très très prestigieux tremplin du CROUS Toulouse, Pablo poursuit en parallèle ses études de philosophie. Du fait de son jeune âge et de son éparpillement stylistique, vous constaterez ici qu’on a plus affaire à une ébauche qu’à une carrière.

    Tibo Tout Court est un jongleur percussif , diablotin assoiffé de jongle rebondissante et de musique. Formé à l’Ecole de Cirque du Lido de Toulouse où il entre en 1994 sous l’œil de Christian Coumin, il commence en 2004 un réel travail autour de la jonglerie sonore, prétexte à de multiples collaborations avec : Mr Le Directeur, Le Cirque Plume, Le Cirque Gosh, Bouglione, Dorembus, EnguerranKonglo et Tempo d’la Balle, L’Agit .  Un parcours atypique, jonglant entre les scènes de théâtre, les chapiteaux de Cirques, les plateaux de cinéma …L’amour de la scène du Public et de l’instant présent !! All the ball in the hole and the show will go on !

    Samedi 10 Février 2018 à 20h30 au Relais de Poche à Verniolle (09)​

    ​Ouverture des Portes à 20h00, possibilité d’une petite restauration sur place de 19h00 à 20H00 // Réservation:06 71 59 82 98​

    Le relais de Poche 
    2 rue de la République – 09340 Verniolle

    Réservation sur www.relaisdepoche.org
    06 71 598 298

  • Pamiers : « Echos » ANNULÉ POUR CAUSE D’INTEMPÉRIE

    Pamiers : « Echos » ANNULÉ POUR CAUSE D’INTEMPÉRIE

    Compagnie de danse hip hop créée en décembre 1994 à Chambéry, Alexandra N’Possee est issue de ce mouvement initié par la Cie Traction Avant dans toute la région Rhône-Alpes à la fin des années 80.

    Se faire l’écho de soi-même, de ses ondes, de ses murmures dans un environnement traversé par les ondes et le murmure de l’autre, de tous les autres, de tout ce qui vit. Semer des graines de visions, de réflexions, avec sagesse ou folie. Une graine de silence, puis une de mémoire, puis un autre de rêve, puis une autre d’exil… 

     Se servir du geste de semer comme de la base d’une expression, d’un mouvement, d’une direction, d’une histoire commune… Abdennour Belalit invite l’art et l’écologie à dialoguer à propos d’une même source, d’une même préoccupation : préserver et promouvoir la biodiversité, la liberté d’être et de se mouvoir, parce que tout dans l’un comme dans l’autre participe, avec force et fragilité, de ce même vivant désir du beau, du tragique, du sublime et du différent.

    Jeudi 8 février 2018 à 20h45

    Salle du Jeu du Mail.  
    Tout public
    13€, 9€, Gratuit pour les moins de 13€. Asis, placement libre. DAC :

    05.61.60.95.60.
    Billeterie : www.ville-pamiers.fr

  • Verniolle : Le Mégaphone Tour – 4 février

    Verniolle : Le Mégaphone Tour – 4 février

    Le Mégaphone Tour est un festival itinérant, voulu comme un dispositif national d’aide a la tournée qui défend la formation de la scène par la scène et revendique le passage dans de petits lieux comme étant plus que jamais une étape formatrice et indispensable dans la carrière d’un artiste.

    Chaque année, 12 auteurs-compositeurs-interprètes, préalablement sélectionnés, partent sur 4 tournées dans 4 grandes Régions de France (Sud Ouest, Sud Est, Nord Est, Nord Ouest), proposant ainsi un plateau découverte de 3 artistes en bas de chez vous …

    Massy Inc.

    Après quatre albums sous le nom de Tante Hortense, Stéphane Massy réapparaît sous le nom de MASSY Inc, un trio formé avec Eddy Godeberge (cavaco électrique) et Christophe Rodomisto (guitares, synthétiseurs).

    Arrive en effet un moment où une érudition digne de ce nom ne peut se satisfaire des bibliothèques municipales, mais suppose la fréquentation assidue des Boîtes de Nuit. MASSY Inc. découle de ce constat, et propose une chanson électro à la fois jouissive et existentielle. Qui fait rire, danser, partager, et pourtant vous accompagne dans une éventuelle introspection. On pourrait qualifier ça d’eurodance à texte, ou bien évoquer un croisement fatal entre Peaches et Gérard Manset.

    L’album “3349” est sorti en mars 2017, et est le premier du trio, qui a commencé depuis quelques mois à attiser la curiosité par ses concerts ainsi qu’en publiant quelques extraits de l’opus à venir, sous la forme d’une série de videoclips tournés à New-York. 

    https://youtu.be/PUJXC33tdGc

     Gisèle Pape

    Gisèle Pape aime le lever du jour, cette petite suspension bleue pendant laquelle les oiseaux cessent de chanter pour quelques secondes. Mais elle se lève toujours trop tard, alors, triste, Gisèle Pape s’en va dans sa pièce à musique. Parce que chez elle, Gisèle a une pièce à musique. Dans cette pièce, Gisèle n’est plus triste, n’est pas joyeuse non plus d’ailleurs, Gisèle est. Concentrée, parfois studieuse, parfois buissonnière, elle est, dans son monde, à la recherche de ce qu’elle croit être bien.

    Gisèle Pape est aussi musicienne professionnelle au service de pièces de danse et théâtre. Régisseuse lumière également. Et puis ex-réalisatrice de films expérimentaux. Elle a quelques diplômes du conservatoire : en orgue liturgique, en chant aussi, mais ne sait plus si elle a un diplôme en guitare, synthé́ ou ordinateur, mais en tout cas elle en joue. Elle est aussi diplômée de Louis Lumière pour sa partie cinéma et a eu un jour une mention au bac dont elle est fière. 
    Dans sa pièce à musique il y a beaucoup d’images. Une femme russe en toque verte qui la regarde mystérieusement, une plume de paon, une photographie de Munch avec un nu et un œil, un flyer jaune de Copenhague, des pellicules et des bobines de fil. Du fil surtout, parce qu’une chanson, ca se tricote.                                          

    https://youtu.be/b8IZKDhhKAo

    Camille Hardouin – marraine de la tournée

    Le monde ne fournira jamais assez de bras pour porter toutes les histoires qui dansent la vie de Camille Hardouin. Et pourtant c’est là, sur ces bras comme le fleuve devant lequel on s’assoit pour contempler son eau toujours renouvelée, sur ces bras toujours les deux mêmes, que Camille inscrit et efface et puis retrace les textes de ses chansons.
    Un seul de ces mots posé sur sa voix contient déjà tous les sourires, mais aussi toutes les inquiétudes, les révoltes et les espoirs dont elle a fait une fantastique ménagerie intérieure qui parfois, souvent, la pousse à ne plus trouver le sommeil. Parce que la ville la nuit se charge de secrets pour lesquels il faut escalader les façades des immeubles jusqu’au Grand Ciel qui prend tout, des silences aux éclats de rires, ou alors rester au sol et bien regarder les trottoirs sur lesquels sont inscrites d’autres histoires, humaines et donc magiques. Et hors la ville, où les trains nous mènent quand ils le veulent bien, c’est une cérémonie permanente qui s’opère, par les hommes qui dansent et les oiseaux de nuit et les arbres qui frissonnent et les étoiles.
    Et quand il s’agit d’aller, à n’importe quelle heure, dormir, alors il faut traverser le chat, les instruments à musique qui jonchent le parcours jusqu’au lit, les livres au sol, les petites choses trouvées qui sont forcément le début de quelque chose, les lettres blanches qui contiennent tous les mots qu’elle a l’intention de dire aux uns et aux autres, en particulier à celui-ci, sans oublier celle-là. Il faut traverser tout ça sans se laisser distraire parce qu’au bout il doit bien y avoir un rêve et les rêves n’ont pas la même saveur en bouche que le monde debout, qui se vit souvent assis à même le plancher. Parce que dans les rêves il y a des embrouilles à détricoter et des choses simples à s’en donner des vertiges. Et une chanson se nourrit aussi de ces deux ingrédients-là.
    Camille ne nourrit pas ses chansons. Les chansons de Camille se servent toutes seules dans la vie de Camille. Elles ont trouvé là le parfait véhicule pour mener la Grande Vie. Celle où un manège pour enfants endormis devient évidemment le plus beau rendez-vous d’amour, celle où toutes les bouches du monde se mangent, celle où l’on crève d’amour et c’est doux et c’est drôle et c’est toujours important mais surtout jamais grave.

    Et heureusement, heureusement que les deux bras de Camille durent tant de kilomètres. Ils font de ce disque une étape, un moment de pause sur la Grand Route, un récif d’où nous déployons la carte d’un territoire immense et parcourons les pays traversés des longs doigts d’une demoiselle qu’on aimerait tant connaître, avant d’égarer nos yeux vers l’horizon aux mille promesses offertes par ses mots, par sa voix et par ses gestes de rires, de soucis, de révoltes, d’amours et d’espoirs.                                              

    https://youtu.be/Kjzvad7OVQw

    Dimanche 4 janvier à 17h00

    Le relais de Poche 
    2 rue de la République – 09340 Verniolle

    Réservé aux adhérents (1€ la soirée – 10€ à l’année) Participation libre mais nécessaire
    Réservation sur www.relaisdepoche.org
    06 71 598 298

     

     

  • Pamiers : «Abutbul Music» par le quintette de Jazz d’Omer Avital -1er février

    Pamiers : «Abutbul Music» par le quintette de Jazz d’Omer Avital -1er février

    « Abutbul Music » Omer Avital, poète de la contrebasse, est reconnu comme l’un des musiciens les plus innovants de sa génération

    Dans le New York Times, Ben Ratliff a écrit « D’abord formé à la guitare classique, il plaque ses accords sur tout le manche et utilise le strumming tel un guitariste, avec des accents de flamenco ou de blues.

    Il peut sonner jazz, flottant et mélodique dans le style d’Oscar Pettiford, puis faire résonner la tonique comme un chanteur habité. Issu d’une famille maroco-yéménite, ses influences arabes et hispaniques se mêlent au blues. Mais une bonne technique ne fait pas tout, et c’est en martelant et en pinçant les cordes qu’il crée un langage nouveau pour son instrument.

    En dehors de Charles Mingus et du contrebassiste free-jazz William Parker, une violence si spectaculaire à l’égard de l’instrument est difficile à trouver !.

    Jeudi 1er Février – Pamiers
    20h45 – Salle du Jeu du Mail

    Tarifs : 18€, 13€. Gratuit pour les -13 ans. Placement assis libre.
    Réservation et infos : Direction des Affaires Culturelles : 05 61 60 93 60.
    Billetterie en ligne : www.ville-pamiers.fr.
     

  • Pamiers : Soirée Cabaret – 27 janvier

    Pamiers : Soirée Cabaret – 27 janvier

    Voici le menu de la soirée Cabaret millésime 2018. Après un verre apéritif offert, venez découvrir un couple improbable :

    1ère partie :  » Stoïk  » par la Cie Les Güms : Ils sont là, monsieur et madame tout le monde, sans rien. Une scénographie épurée, où le moteur est l’ennui et le carburant l’attente. Il est grand, dégingandé et mollasson, veut bien faire. Elle est petite, énergique, mais tout ça la dépasse. Un mélange de cirque, de jeu clownesque et de musique pour un spectacle poétique, esthétique et comique.

    2e partie :  » Manhattan sisters  » avec Anna et Mathilde Ramade. En 1947, dans le fin fond du Massachusetts, deux soeurs rêvent d’une existence palpitante, pareille à celle des stars Hollywoodiennes. A la vitesse d’un Tex Avery, les gags nous rappellent les Marx Brothers. On assiste à la grandeur et décadence de deux pinup qui chantent à deux voix, swinguent et dansent. C’est glamour, cartoon et charleston. Adeptes de l’épure et de la sobriété, passez votre chemin. Voici un spectacle qui fleure bon la démesure et le faste.

    Samedi 27 Janvier – Pamiers
    19h30 – Salle du Jeu du Mail

    Tarif unique : 25€ repas compris. Placement assis numéroté (jauge limitée).
    Billets en vente à l’Office de Tourisme, Bd Delcassé. Tél.05 61 67 52 52.

    aftha.wordpress.com

  • Pamiers : Conférence « L’Affaire Martin Guerre » – 25 janvier

    Pamiers : Conférence « L’Affaire Martin Guerre » – 25 janvier

    Claudine Pailhès, Conservateur général du patrimoine, présente cette célèbre affaire d’usurpation d’identité, jugée à Toulouse en 1560.

    Entrée gratuite. Conférence proposée par la Société
    Historique et Archéologique Pamiers Basse Ariège.

    Jeudi 25 Janvier – Pamiers
    18h30 – Maison des associations, rue Saint-Vincent (salle 1, rez-de-chaussée)

  • Pamiers, Olivier Py chante, les 1ers adieux de Miss knife  – 20 janvier

    Pamiers, Olivier Py chante, les 1ers adieux de Miss knife  – 20 janvier

    Avec Olivier Py au chant, Julien Jolly à la batterie, Olivier Bernard aux saxophone et flûte, Stéphane Leach au piano et Sébastien Maire à la contrebasse. 

    Olivier Py comédien, auteur dramaturge, metteur en scène de théâtre et d’opéra et directeur du festival d’Avignon est pour un soir Miss Kniffe. 

    Une chanteuse de cabaret aux multiples vies, aux multiples visages, aux multiples rencontres…Miss Kniffe chante l’amour et ses désillusions, la vie et ses passions comme un éternel recommencement et un éternel adieu…

    La forme est celle d’une petite comédie musicale qui alterne des récits chantés parlés et des airs musiques. Miss kniffe entourée de ses musiciens nous rappelle la fragilité de l’artiste, sa beauté, ses peines, ses joies. Un spectacle étonnant, le parcours d’une vie d’artiste par un bouleversant Olivier Py. 

    Des adieux à ne pas manquer… »

    Samedi 20 janvier à 20h45
    salle du Jeu du Mail à Pamiers

    TOUT PUBLIC, Gratuit pour les moins de 13 ans, 18€ et 13€, assis, placement libre. DAC : 05.61.60.93.60, www.ville-pamiers.fr

  • Pamiers : spectacle Hip-Hop « Break & Sign » – 18 janvier

    Pamiers : spectacle Hip-Hop « Break & Sign » – 18 janvier

    Dans le cadre de l’opération « Entrez dans la Danse » avec le Département 09, «Les balades culturelles» présente  BREAK & SIGN, un spectacle à la croisée des arts, ou le signe est mouvement ou le langage devient danse, du Hip hop à la danse des signes de la musique électro au texte contemporain, 5 artistes danseurs et musiciens vous proposent un moment artistique fort, au-delà de la différence : l’intensité d’une rencontre.

    Break & Sign est un projet chorégraphique qui croise différentes disciplines artistiques : la danse, la langue des signes et la culture hip-hop. Break & Sign réunit des sourds, des danseurs, des acteurs, des beatmakers, et des breakers. Un melting pot singulier et inédit à la recherche de sens commun pour nourrir l’espace scénique.

    Véritable melting pot urbain, le hip hop mêle graf ti – break dance – rap – beatmaking – Djing… Break and sign se nourrit de cette force créative et propose aux spectateurs une création live du beatmaker Riot Pata Negra associée à une performance chorégraphique des deux danseurs Tito et Tellyron

    Pour tous à partir de 10 ans
    Jeudi 18 janvier à 20h45 à la salle du Jeu du Mail
    13€/9€, gratuit pour les – de 13 ans