Catégorie : L’invité.e de la semaine

  • L’invité.e de la semaine : Jérôme Azéma, référent départemental LREM

    L’invité.e de la semaine : Jérôme Azéma, référent départemental LREM

    Avec 2300 portes frappées, la Grande Marche pour l’Europe s’est achevée le 13 mai dernier, après 5 semaines de porte-à-porte dans toute l’Ariège. Un succès local qui contribue au succès national de l’opération.

    Du 7 avril au 13 mai dernier, les adhérents de La République En Marche de l’Ariège sont allés à la rencontre des citoyens dans le cadre d’une vaste opération nationale de porte-à-porte, afin d’écouter leurs préoccupations, leurs attentes et leurs propositions pour la refondation du projet européen. La Grande Marche pour l’Europe a cherché à sortir de la logique d’entre-soi des cercles informés, convaincus ou sceptiques, en allant à la rencontre de tous les habitants de l’Ariège.

    « La Grande Marche pour l’Europe, c’est d’abord un succès militant, qui prouve la mobilisation des marcheuses et les marcheurs de l’Ariège. C’est aussi le succès d’une méthode : celle de l’écoute méticuleuse du terrain. Pendant ces 5 semaines nous sommes allés à la rencontre de chacun, et particulièrement de ceux qui se sentent loin de l’Europe, et qui ne partagent pas forcément notre point de vue sur le rôle qu’elle doit tenir. Nous avons refusé la facilité, et privilégié l’écoute réelle, sans concession. Et je crois que celles et ceux qui nous ont répondu ont tous été sensibles à notre démarche. » Jérome AZEMA, référent La République En Marche pour l’Ariège.

    A l’échelle nationale la Grande Marche pour l’Europe a dépassé les objectifs initialement fixés, avec plus de 230 000 portes frappées (contre 100 000 prévues), 5400 événements organisés et plus de 80 000 questionnaires remplis grâce à ces 5 semaines de mobilisations. Le diagnostic issu de la Grande Marche pour l’Europe sera présenté dans les prochaines semaines après l’analyse de tous les questionnaires remplis. Ce diagnostic permettra de nourrir les consultations citoyennes européennes portées par le Président de la République, ainsi que le projet de La République En Marche pour les prochaines élections européennes.

    Le questionnaire de la Grande Marche pour l’Europe est consultable ici.

    Contact Presse LaREM 09 : Jérôme AZEMA, jerome.azema@en-marche.fr, 06 71 25 07 65

  • L’invité.e de la semaine : Pierre Sipra, Président de Mirepoix en Avant

    L’invité.e de la semaine : Pierre Sipra, Président de Mirepoix en Avant

    Nous avons reçu cette semaine dans nos locaux, Pierre Sipra Président de « Mirepoix en avant », l’association des commerçants, artisans et professions libérales, qui s’évertue comme toujours depuis plus de 20 ans à embellir et faire vivre la belle bastide de Mirepoix.

    Avec lui nous avons évoqué : les réelles missions que l’association devrait accomplir, l’organisation des différentes manifestations, mais aussi les difficultés à faire vivre une association et recruter des membres et des bénévoles. 

    Mirepoix en Avant c’est, à ce jour, plus de 30 adhérents et 6 membres du Bureau 

    Pierre Sipra –  Garage automobile Sipra

    Marie Hernandez – Mirepoix Optique

    Martine Lacroix du magasin  Perles 

    David Villa – vente ambulante 

    Anne Dreyer – Les Saveurs des Couverts 

    Martina Leyendecker – création de vêtements

    Depuis le début de cette années, deux nouveau venu dans l’association : 

    L’épicerie d’Amont

    La Flambée 

    Manifestations 

    • Marchés nocturnes de l’été les jeudis 12 et 26 juillet et les jeudis 9 et 23 août 
    • Traditionnelle Fête de la Pomme les 20 et 21 octobre
    • Les marchés de Noël  les dimanches 9 et 16 décembre

    Contact :

    Mairie Place Maréchal Leclerc
    09500 MIREPOIX
    05 61 68 10 47 / 06 76 66 71 58
    mirepoixenavant@gmail.com
    page Facebook

  • L’invité.e de la semaine : Jacques Soucasse et Hélène Nirascou Co-Présidents de l’association PPERMS

    L’invité.e de la semaine : Jacques Soucasse et Hélène Nirascou Co-Présidents de l’association PPERMS

    L’Association PPERMS a pour but de voir la reprise de l’exploitation de la mine de Salau dans le cadre de la mine responsable. Elle a vue le jour en octobre 2015 suite au refus du permis de Recherche à l’unanimité par le Conseil Municipal de Couflens.

    Le premier objectif de l’association a donc été de défendre le Permis de recherche et de faire en sorte qu’il soit accordé par l’Etat mais aussi, dans le cas d’une exploitation de la mine, imaginer cette exploitation dans le cadre d’une mine responsable. 

    Nous avons reçu dans nos locaux les deux co-Présidents, Jacques Soucasse et Hélène Nirascou, pour faire le point avec eux des différentes polémiques qui secouent le projet de réouverture. voir la première partie de l’interview ICI

    Siège de l’association PPERMS :  
    BP12 – 09140 SEIX  
    perminesalau@gmail.com
    www.perminesalau.jimdo.com

    A voir ou revoir aussi l’interview des co-présidents de « Stop mine salau« 

  • L’invité.e de la semaine : Jacques Soucasse et Hélène Nirascou Co-Présidents de l’association PPERMS

    L’invité.e de la semaine : Jacques Soucasse et Hélène Nirascou Co-Présidents de l’association PPERMS

    Il y a deux mois nous avons reçu dans nos locaux Marcel Ricordeau et Jacques Renoud les Co-Présidents de l’Association « Stop Mine Salau ». Avec eux nous avions abordé l’historique de l’exploitation de la mine, la polémique sur la présence d’amiante, la protection de l’environnement, des taux – supposés ou non- de tungstène et d’or contenus dans la mine…. 

    Aujourd’hui c’est au tour de Jacques Soucasse et Hélène Nirascou Co-Présidents de l’association PPERMS (Pour le Projet d’Etude et de Recherche de la Mise de Salau) de venir s’exprimer.

    L’Association PPERMS a pour but de voir la reprise de l’exploitation de la mine de Salau dans le cadre de la mine responsable. Elle a vue le jour en octobre 2015 suite au refus du permis de Recherche à l’unanimité par le Conseil Municipal de Couflens. Le premier objectif de l’association a donc été de défendre le Permis de recherche et de faire en sorte qu’il soit accordé par l’Etat mais aussi, dans le cas d’une exploitation de la mine, imaginer cette exploitation dans le cadre d’une mine responsable. 

    Siège de l’association PPERMS :  
    BP12 – 09140 SEIX  
    perminesalau@gmail.com
    www.perminesalau.jimdo.com

  • L’invité.e de la semaine : Pierre-Yves Sagorin, Président du Zéro Nine BMX de Pamiers

    L’invité.e de la semaine : Pierre-Yves Sagorin, Président du Zéro Nine BMX de Pamiers

    Nous avons reçu cette semaine dans nos locaux, le Président du club de BMX de Pamiers Pierre-Yves Sagorin. L’occasion de parler d’un club qui a le vent en poupe avec 80 pilotes.

    Le club a été créé en 2010, il est l’émanation du club « AC Pamiers » qui s’est scindé il y a 8 ans afin de créer une section BMX et construire une piste dédiée. A l’époque une dizaine de pilotes constituait le Zéro Nine BMX, ils sont aujourd’hui 80. 

    La piste de BMX, que l’on ne manque pas d’apercevoir lorsqu’on se trouve sur la 4 voies, a vue le jour en 2014 grâce à des financements de la Mairie de Pamiers, de l’Etat, du Conseil Département et du Conseil Régional. «Elle est aujourd’hui une des plus belle piste du Grand Sud-Ouest et tous les grands clubs nous l’envie» explique le Président.

    La majorité des pilotes du Zéro Nine BMX ont entre 6 et 14 ans, mais dès lors que l’on a abandonné les petites roues on peut adhérer au club. 

    L’événement du club cette année se déroulera le week-end du 2 et 3 juin avec l’organisation : le samedi, de la 3ème manche du challenge France qui accueillera les meilleurs pilotes nationaux, et le dimanche, la coupe d’Occitanie qui rassemblera les meilleurs pilotes de la Région. Entre 700 et 800 pilotes sont attendus sur les deux jours. 

    Pour les accompagnateurs et les visiteurs un village commerçant et gourmand sera l’occasion de découvrir de la restauration rapide et locale ainsi que le fameux poulet basquaise du club qui, aux dires du Président, est connu et reconnu dans toute l’Occitanie. 

    En point d’orgue le samedi à partir de 18h00 un concert du groupe Drakkar.

    «Il n’y a pas d’autre solutions que de venir sur ce week-end BMX» conclu le Président 

    Rendez-vous donc les 2 et 3 juin sur la piste de BMX de Pamiers

    www.09bmx-pamiers.fr

  • L’invité.e de la semaine : Frédérique Massat du SDE 09

    L’invité.e de la semaine : Frédérique Massat du SDE 09

    Nous parlerons cette semaine de transition énergétique avec Frédérique Massat du Syndicat des Energies de l’Ariège. Notre ancienne parlementaire qui avait oeuvré en son temps pour le développement de politiques liées à la transition énergétique, met aujourd’hui en application ce dossier. La transition énergétique concerne tout le monde et est souvent symbolisée par la voiture électrique qui commence à parcourir les routes ariégeoises et avec elle son parc aujourd’hui assez conséquent de bornes de recharges que l’on peut retrouver un peu partout en ville à Foix, Pamiers, Ax-les-Thermes, Saint-Girons et autres villes pour totaliser aujourd’hui plus de 45 points de distribution… 

    Mais la transition énergétique c’est aussi d’autres technologies, d’autres accompagnements que le Syndicat des Energies de l’Ariège met en oeuvre pour que l’Ariège qui fut en son temps un des berceaux de la Houille Blanche, devienne aujourd’hui un département d’excellence sur les nouvelles énergies …Frédérique Massat nous explique comment en 10 minutes d’interview vidéo.

  • L’invité de la semaine : Philippe Ward, écrivain – Artahe le dieu ours

    L’invité de la semaine : Philippe Ward, écrivain – Artahe le dieu ours

    Philippe Laguerre alias Philippe Ward, vient nous parler d’ours !

    Son dernier roman, dont il nous parle ici, c’est aussi le premier. «Artahe le dieu ours», qu’il a décidé d’écrire il y a une trentaine d’années, le jour où, déçu par un roman, il se dit qu’il pourrait faire mieux et se lance dans l’écriture de son premier ouvrage, « Artahe » l’histoire d’un Dieu Ours dans les Pyrénées. Cela lui prendra 10 ans, « Je me suis rendu compte que ce n’était pas si facile d’écrire, et puis l’Ours en Ariège c’est un sujet sensible » explique t’il.

    Aujourd’hui, grâce aux éditions Cairn, Artahe est de retour !

    « J’ai pris pour thème l’animal emblématique des Pyrénées : L’ours. C’est un roman très personnel, car ma famille paternelle est originaire de Gourbit depuis… l’homme préhistorique. Ce roman je le traîne dans ma tête depuis que jeune, mes parents m’ont amené visiter le Château de Foix où il y avait un squelette d’ours préhistorique, cette vision est toujours ancrée en moi. Je pense qu’elle est à l’origine du roman. L’ours reste pour moi mon animal totem. Artahe est pour moi un hymne aux Pyrénées, même si le sujet est devenu au fil des années très polémique, voir politique et même dangereux. »

    Après dix années passées à Paris, Arnaud revient vivre à Raynat, village pyrénéen moribond. Il retrouve avec émotion Berthe Galy, une vieille femme malade qui a aidé sa grand‐mère à l’élever après la mort de ses parents et Cathy, une amie d’enfance qu’un accident a rendu aveugle. Son retour coïncide avec l’apparition d’un mystérieux ours qui ne se contente bientôt plus de massacrer des moutons et s’attaque aux hommes.

    Deux bras puissants se refermèrent sur lui. La terreur disparut aussitôt, il se sentit enveloppé par une fourrure douce et soyeuse qui réchauffa son corps. Sa dernière pensée fut pour le simple mot que venait de prononcer l’ombre, un mot qu’il n’avait jamais entendu et pourtant qu’il connaissait : Artahe !

    • Broché: 288 pages
    • Editeur : Editions Cairn (27 février 2018)
    • Collection : Polar
    • Langue : Français
    • ISBN-10: 2350686140
    • ISBN-13: 978-2350686141

     

  • Les invités de la semaine : Marcel Ricordeau et Jacques Renoud « Stop Mine Salau » dernière partie

    Les invités de la semaine : Marcel Ricordeau et Jacques Renoud « Stop Mine Salau » dernière partie

    La mine de Salau, sujet polémique s’il est en Ariège, et son cortège de communiqués, de vérités et de contre-vérités, de défenseurs et d’opposants… 

    Pour y voir un peu plus clair et suite à certains communiqués que nous avons passé dans nos colonnes, nous avons voulu donner la parole à l’association « Stop Mine Salau ». Nous avons donc reçu dans nos locaux deux des Co-Présidents et fondateurs : Monsieur Marcel Ricordeau et Monsieur Jacques Renoud.

    Après avoir abordé l’historique de l’exploitation de la mine et la polémique sur la présence d’amiante, la protection de l’environnement, il est question aujourd’hui des taux – supposés ou non- de tungstène et d’or contenus dans la mine.

    Pour les co-présidents, il est aberrant d’annoncer des taux de tungsten et d’or en outre assez énorme, puisque aucune recherche n’a commencé. Les seuls documents existant sur le potentiel du gisement sont des documents du BRGM (Bureau de Recherches Géologiques et Minières) et de la l’ancienne SMA (Société des mines d’Anglade) qui indiquent 3000 t de tungstène et beaucoup d’amiante « non prédictive » et d’arsenic !

    Le taux présumé de 2% est faux ; les teneurs exploitées étaient plutôt, de 1976 à 1986 de 1%, c’est seulement dans les derniers mois d’exploitation, en 1986, lorsque la direction a donné l’ordre de « piller » le gisement, que les teneurs du minerai extrait ont pu atteindre 2% voire plus. En terme de teneur, si l’on compare à certaines mines d’aujourd’hui où on exploite à des teneurs de 0,3%, les teneurs étaient effectivement élevées. Mais ces exploitations produisent trois fois plus de déchets et utilisent trois fois plus de produits de traitements, trois fois plus d’énergie….

    En ce qui concerne de prétendus travaux scientifiques qui démontreraient que le minerai, particulièrement riche en tungstène, est également riche en or (supérieur à 5 g/t) !!!  ce qui préserverait la future exploitation des fluctuations sur le cours du tungstène, et garantirait l’économie du projet sur le long terme, messieurs Ricordeau et Renoud expliquent que la SMA avait cherché à l’époque à récupérer l’or – environ 1g par tonne  – mais n’était jamais arrivée à récupérer à la fois l’or et le tungstène

    L’association Stop Mine Salau organise, avec ses soutiens, Couflens Salau Demain, Le Comité Écologique Ariégeois, APRA Le Chabot, Monnaie 09, ATTAC 09, Solidaires 09, Les Faucheurs Volontaires 09, Les Urgentistes du Climat, Zad-31, ADDEVA 81, ANPER-PY, Le CIAPP, Les Amis de la Terre MP, France Nature Environnement Midi Pyrénées, Ban Abestos France, Association Henri Pézerat, José Bové, EELV, La France Insoumise, Le Coucou, … une marche citoyenne le 07 avril 2018 à Saint Girons.
    Rendez vous à 10h sur le parking du Centre Aquatique de Saint Girons.
    Cette marche citoyenne a pour but d’informer les populations sur les problématiques actuelles
    du PERM de Couflens concernant les recherches minières à Salau et notamment :
    – Sur la présence avéré d’amiante à Salau confirmée récemment par Géodéris.
    – Sur l’irrespect des règlementations et des législations par les acteurs du PERM avec une certaine complicité de l’administration.
    – Sur le rachat de Variscan Mines SAS par Apollo Minerals Ltd – dans les faits par Juniper Capital Partners Ltd, une société offshore basée aux Îles Vierges, aujourd’hui, le plus important actionnaire d’Apollo Minerals Ltd.
    – Sur la violation, délibérée, de la zone de protection du gypaète.
  • Les invités de la semaine : Marcel Ricordeau et Jacques Renoud « Stop Mine Salau » 2ème partie

    Les invités de la semaine : Marcel Ricordeau et Jacques Renoud « Stop Mine Salau » 2ème partie

    La mine de Salau, sujet polémique s’il est en Ariège, et son cortège de communiqués, de vérités et de contre-vérités, de défenseurs et d’opposants… 

    Pour y voir un peu plus clair et suite à certains communiqués que nous avons passé dans nos colonnes, nous avons voulu donner la parole à l’association « Stop Mine Salau ». Nous avons donc reçu dans nos locaux deux des Co-Présidents et fondateurs : Monsieur Marcel Ricordeau et Monsieur Jacques Renoud.

    Dans un premier entretien Marcel Ricordeau et Jacques Renoud sont revenus sur l’historique de l’exploitation de la mine et de la polémique sur la présence d’amiante.

    Aujourd’hui, il est question de la protection de l’environnement – Il est a rappeler que la mine est incluse dans le site Natura 2000 « Massif du Mont Valier » – : préservation de l’habitat et de la reproduction du Gypaète barbu, préservation de la rivière Salat et ses sources….

    et des irrégularités constatées par l’association : Réouverture de la route de la mine sans autorisation, héliportage sur la zone sensible de la reproduction du Gypaète, construction d’un mur sur une parcelle communale sans autorisation… 

    La semaine prochaine nous reviendrons sur les taux (supposés ou non) de tungstène et d’or contenus dans la mine

    www.stopminesalau.com

     

    L’association STOP MINE SALAU organise, avec ses partenaires, APRA le Chabot, le Comité écologique Ariégeois et l’association Gratte Papier, une journée d‘information sur la « Mine de Salau » à Toulouse le Samedi 31 mars 2018, à « La Chapelle » 36 rue Danielle Casanova.

    Au programme de cette journée : conférences, débats, projections….

    – Rachat de Variscan, qui vient de recevoir 700 000€ de Crédit d’impôt recherche, par Apollo Minerals, et malversations financières.
    – Attribution d’un permis de recherche en Espagne.
    – Non respect des règlementations et des législations.
    – Non respect de l’environnement…

  • Les invités de la semaine : Marcel Ricordeau et Jacques Renoud « Stop Mine Salau »

    Les invités de la semaine : Marcel Ricordeau et Jacques Renoud « Stop Mine Salau »

    La mine de Salau, sujet polémique s’il est en Ariège, et son cortège de communiqués, de vérités et de contre-vérités, de défenseurs et d’opposants… 

    Pour y voir un peu plus clair et suite à certains communiqués que nous avons passé dans nos colonnes, nous avons voulu donner la parole à l’association « Stop Mine Salau ». Nous avons donc reçu dans nos locaux deux des Co-Présidents et fondateurs : Monsieur Marcel Ricordeau et Monsieur Jacques Renoud.

    Une conversation de 45 minutes que nous allons diffuser en plusieurs parties pour plus de clarté.

    Dans ce premier entretien revenons à l’historique de l’exploitation de la mine et de la polémique sur la présence d’amiante. 

    La mine a été ouverte au début année 70 et a fermée en décembre 1986 à l’époque où il y avait un dumping chinois sur le tungsten. Mais le e dumping chinois a servit de prétexte à la fermeture. La plupart des mines de tungstène dans le monde, sauf les chinoises ont fermé à la fin des années 80, mais toutes ont rouvert. Certaines après quelques mois, d’autres après plusieurs années, après avoir modernisé leurs installations.

    La mine de Salau est restée définitivement fermée – pourquoi ?

    Depuis les années 1983-84 des maladies liées à l’amiante se déclaraient chez les mineurs de Salau. Plusieurs maladies professionnelles ont été reconnues et la direction s’est sans doute servit du prétexte du « dumping chinois » pour étouffer dans l’œuf les problèmes d’amiantes : la mine de Salau a fermé le 24 décembre 1986 et la direction donnait l’ordre de démanteler les installations le 17 janvier 1987.

    Les syndicats CGT et FO communiquaient beaucoup à partir des années 1983-84 pour alerter la direction et l’État sur les conséquences de l’amiante sur la santé des mineurs. Pour preuve, plusieurs thèses universitaires, des rapports de l’INSERM et du CNRS, du BRGM, des témoignages de médecins, d’infirmières, des affirmations des personnels de la DREAL, des personnels de Géodéris, témoignent du fait qu’il y avait de l’amiante à Salau du temps de l’ancienne exploitation… 

    La semaine prochaine : La protection et la sauvegarde d’un cadre et d’un style de vie

  • L’invité de la semaine : Michel Larive député de l’Ariège

    L’invité de la semaine : Michel Larive député de l’Ariège

    Azinat.com  a reçu il y a quelques jours, Michel Larive député de l’Ariège. Membre de la commission éducation, culture, mais aussi jeunesse, sport, innovation et recherche, il nous précise quels sont les enjeux des dossiers qu’il traite pour l’Ariège et leur incidence pour l’avenir .

    Nous commencerons bien entendu sur le sujet des fermetures de classes sur le département et l’importance de ne pas négliger les plateaux techniques et filières développées dans nos établissements scolaires et de formation professionnelle. Pour Michel Larive ce n’est pas parce que notre territoire est préservé qu’il n’y faut rien y faire, bien au contraire, mais ceci doit se faire en cohérence avec nos spécificités.

    Economie, service public, fibre optique, savoir-faire et anciennes filières, tels sont les sujets qu’ils souhaite faire émerger et suivre, quels rôles se donne t’il et quelles missions depuis sa prise de mandat, nous vous invitons à le découvrir…le tout en vidéo.

    PS : à noter que quelques soucis techniques lors de notre plateau TV avec Michel Larive, ne nous ont pas permis de publier la totalité de l’entretien.

     

  • L’invitée de la semaine : Florence Rouch présidente du SMECTOM du Plantaurel

    L’invitée de la semaine : Florence Rouch présidente du SMECTOM du Plantaurel

    Florence Rouch, présidente du SMECTOM du Plantaurel est l’invitée de la semaine sur le plateau d’Azinat.com TV. On parle de tri et de déchets en Ariège pour 80% de la population du département. 

    Chacun connait le SMECTOM du Plantaurel et ses préoccupations en matière de traitement des déchets et de gestion du centre d’enfouissement et de valorisation du biogaz de Berbiac à Manses.

    Comme chacun le sait, c’est surtout en consommant le moins possible de déchets qu’on en produit le moins et Florence Rouche tenant à la rappeler également.

    Certes chacun peut se retrouver démuni parfois face à la démarche de tri sélectif, car les consignes de tris sont parfois différentes dans le temps, ou selon les régions, car elles dépendent de la manière et des technologies de traitement des centres dédiés.

    Pourtant le tri est essentiel si on veut limiter la production de déchets et l’enfouissement de ceux-ci. D’ailleurs la préfète de l’Ariège a donné des objectifs assez stricts pour les années à venir ; s’ils ne sont pas respectés le risque est la fermeture définitive du centre de Berbiac et l’envoi hors département des déchets pour leur traitement.

    Ce risque existe et avec lui une évolution vers le haut des taxes sur les ordures ménagères à terme pour les ariégeois.es.