Ecrit et tourné en deux jours par Mathieu Maury de M Production à Foix, au bar La RAP de Saint-Jean-d’Aigues-Vives et à la boulangerie Recoules de Lavelanet, avec des amis ariégeois, Florent ne renie pas ses racines ariégeoises.
La chanson est extraite de son EP (extended play) « Mets toi à Lèze« , encore une référence ariégeoise. Chaque chanson fera l’objet d’un clip.
« Si j’ai commencé par L’Air méditerranéen« , explique Florent, « c’est qu’elle donne le ton de l’album, je surfe sur la vague du régionalisme de l’identité, de l’accent du sud et bien sûr de l’Ariège. Avec la fusion Midi-Pyrénées et de Languedoc Roussillon on sera aussi un peu méditerranéen.
« On m’a souvent dit que si je voulais réussir il fallait que je gomme mon accent, ça m’a énervé, c’est pourquoi j’ai fais cette chanson qui commence par : ça sent le sud dans mon accent que tu le veuilles ou non peuchère. Dans cette chanson on comprend l’occitan sans forcément le parler ».
Quand on lui demande la date de sortie du son prochain clip, Florent reste évasif «en 2016» dit ‘il. Soyons sûr que le prochain clip sera encore meilleur et on l’attend déjà avec impatience !
En attendant régalons nous de « l’air méditerranéen » à l’accent du sud si bien prononcé.
Des huitres de la ferme ostréicole de Cancale et du vin blanc du Domaine Gayla, voilà un excellent moyen de finir la semaine avant les fêtes !
Du vendredi soir au lundi, vous pourrez vous régaler d’huitres savoureuses et iodées, accompagnées d’un petit verre de vin blanc du Domaine de Gayda, nos voisins de l’Aude, dont les cépages spécialisés sont le Sauvignon et le Viognier.
Dans la charmante bastide médiévale qu’est Mirepoix, n’hésitez pas à pousser la porte des Raisin de Pyrène, et si vous n’aimez pas les huitres vous pourrez aussi gouter aux planchas de charcuteries et fromages ariégeois.
Pour réserver et s’y rendre :
Hôtel Maison des Consuls
Place Maréchal Leclerc 09500 Mirepoix – 05.61.68.81.81
Maire de Mazères pendant 24 ans, maire de Pamiers de puis 1995, André Trigano fut député de la deuxième circonscription de l’Ariège de 1993 à 1997, président de la commission du tourisme de Midi-Pyrénées, conseiller général du canton de Saverdun pendant 12 ans et Président de la Compagnie internationale André-Trigano. Il nous livre sa vision de l’Ariège et des ariégeois…
Issu d’une famille juive et fuyant la France occupée , André Trigano est arrivé en Ariège avec son frère et ses parents dans les années 40.
D’abord réfugié à Ax-les-Thermes où l’accueil fut mitigé, la famille Trigano vit quelques temps à Foix puis s’installe à Mazères. Durant cette période André Trigano et son frère Gilbert entreront dans la résistance. « Cet accueil a permis à mes parents de vivre sans être trop inquiété et nous avons pu ainsi passer entre les mailles du filet« .
C’est ce qui lui a inspiré une profonde reconnaissance pour l’Ariège et les ariégeois. Sa rencontre avec une jeune ariégeoise finiront de le convaincre de rester en Ariège. « Souvent les femmes sont responsables des personnes qui s’installent dans ce département » dit’il.
« le camping c’est Trigano »
A la fin de la guerre, avec son père et son frère, il s’engage dans le tourisme, ainsi naîtront la compagnie internationale André Trigano et et le ClubMed. Deux entreprises créatrices d’emploi , 15000 emplois au ClubMed et 3000 pour la Compagnie, ce qui lui a donné le surnom de Monsieur emplois. « La chance, le bonheur, un petit peu de culot, un peu d’audace… nous avons à peu près réussi notre vie professionnelle »
Mais cette réussite professionnelle ne suffit pas, « j’avais besoin de reconnaissance pour les mazèriens et pour les ariégeois » explique t’il, c’est ainsi qu’en 1971 on lui demande de se présenter à la municipalité de Mazères. N’ayant quasiment jamais voté de sa vie, André Trigano devient maire et le restera durant 24 ans.
« Je n’étais pas fait pour être un homme politique
mais peut-être un homme public »
Maire de Mazères, Maire de Pamiers, Président de la communauté de communes du Pays de Pamiers, Député de la deuxième circonscription de l’Ariège , Conseiller régional, Conseiller général du canton de Saverdun, André Trigano se définit comme un homme sans étiquette, un homme neutre, avec quelques tendances libérales d’un côté, et sociales de l’autre.
« En dehors des extrêmes, surtout l’extrème droite que je ne porte pas particulièrement dans mon coeur, je respecte tout ce qui est démocratique. J’ai connu les communistes qui ont été formidables pendant la résistance, ça m’a laissé un bon souvenir […] je n’ai jamais pris de carte de parti, vivre indépendant vivre libre, c’est pas mauvais. Voilà ce que je suis« .
« Former, transmettre, c’est
quelque chose qui me passionne »
C’est ainsi qu’André Trigano à formé 270 jeunes dans son école de formation pour les animateurs de tourisme qui sont devenus des cadres de ce secteur. Certains lui écrivent encore pour le remercier. Sa deuxième passion sont les voitures anciennes, il en possède 120. « J’ai le plaisir de voir les voitures que je n’ai pas pu avoir quand j’étais jeune »
« On aime le cassoulet, on aime le foie gras, je crois qu’on aime la vie, il faut savoir chanter, il faut savoir vivre et partager »
Interview réalisée à Pamiers, propos recueillis par Azinat.com
Voilà 14 ans que Kevin vit en Ariège et plus précisément à Pamiers. La passion de la moto, il est tombé dedans, ou plutôt monté dessus, à l’âge de sept ans, une passion qui lui venait de son père.
« Une fois que j’ai posé mes fesses dessus, impossible de m’en décoller«
A 11 ans l’envie de faire de la compétition le prend, l’envie de se dépasser, de se faire reconnaitre, de faire mieux. Mais pour cela l’entraînement est primordial et pour préparer la saison c’est 8h de travail physique par semaine, moto et vélo, des exercices spécifiques de musculation auxquels se rajoutent trois 1/2 journées d’entraînement par semaine.
La moto c’est une histoire de famille, puisque son père l’accompagne dans tous ses déplacements et est son mécanicien personnel.
Après avoir fini troisième au championnat de ligue Midi-Pyrénées, Kévin vient de rentrer du Super-Cross (SX) international de Genève.
« C’est un honneur de rouler là bas, il y a des pilotes américains qui sont des spécialistes de la discipline, rouler avec eux c’est un rêve de gosse qui se réalise ». Un rêve presque réalisé, mais un soucis technique et une chute ont privé Kevin de sa place en finale. Malgré cela, les chronos étaient très proches des tops de la discipline.
Kevin sera ce week-end, samedi 12 décembre, en finale du championnat de France de SX à Montpellier, ensuite se sera un peu de repos puis il repartira pour 2016 pour le championnat de ligue Midi-Pyrénées et le championnat de France SX.
Un bel avenir attend Kévin sur les pistes de cross ! Un avenir qui se compte avec ses sponsors qu’il tient à remercier.
Andorran d’origine, Jean-Claude Montané fait toutes ses études en France et notamment à Toulouse. Mais L’Ariège ne lui est pas étrangère, puisqu’il passe de nombreuses vacances au camping de la Vernière du coté d’Auzat et travaille plusieurs années dans la station service de son oncle à la Bastide de Sérou.
C’est la neige qui me fait vivre
Jean-Claude Montané a commencé sa carrière comme professeur d’éducation Physique au lycée français d’Andorre. Il a ensuite travaillé pendant quatre ans pour la Fédération andorrane de ski et c’est là qu’il décide de faire un break et reprend ses études pour se spécialiser dans la montagne et le tourisme. Il entreprend donc un brevet de direction d’entreprise ainsi que des formations liées au ski, pisteur, moniteur, traceur…
Les Monts d’Olmes, un coup de coeur
Directeur de la station de ski andorrane d’Arcalis durant 20 ans, Jean-Claude Montané revient aujourd’hui à ses premières amoures, puisque la station des Mont d’Olmes est la première station française où il a skié lorsqu’il faisait ses études au collège à Toulouse.
A peine avait il pris ses fonctions que le nouveau directeur avait déjà été « gouter » la neige. « Je suis déjà monté faire de la randonnée, j’ai fais une piste. On prend toujours autant de plaisir à skier aux Monts d’Olmes« . conclut il avec le sourire.
[notice]La station des Monts d’Olmes ouvrira partiellement pour le week-end du 12 – 13 décembre (Sous réserve de conditions météo favorables)
Cela devrait permettre une reprise en douceur pour les skieurs… histoire de se remettre en jambes tout doucement !!! L’ouverture définitive est fixée au samedi 19 décembre. www.montsdolmes.com[/notice]
Au lieu-dit «Rabot», à l’entrée des gorges de Péreille, sur la commune de Roquefixade, Marc Vallvé élève depuis plusieurs années des brebis laitières de race Basco-Béarnaise. Rencontre avec un éleveur passionné.
Tomme des Pyrénées, brousse, yaourts, le tout au lait cru, la totalité du lait est réservée à la transformation fromagère.
« Dans le secteur il n’y a pas de collecte de lait, donc lorsque je me suis installé je suis allé naturellement vers une transformation totale de la production »
Un avantage selon Marc car cela permet de mieux valoriser et de mieux maitriser le produit.
La brebis basco-béarnaise
Le choix de la race basco-béarnaise coulait de source, c’est d’abord une des trois races laitières des Pyrénées, donc bien adapté au territoire. Si elle est moins productive que la lacaune, cela est compensé par le fait qu’elle se nourrit quasiment toute l’année d’herbe. C’est également un choix personnel, une affinité avec cette race si particulière au nez busqué et aux poils longs.
En 2015 Marc compte atteindre une production de 3 tonnes de fromages. En comparaison, explique t’il un industriel produit 500 tonnes par an. Mais Marc ne veut pas dépasser 5 tonnes. Au delà dit-il on ne maitrise plus la production et l’on risque de faire un produit dénaturé.
Si sa principale production est la tomme des Pyrénées, il élabore aussi, en petite quantité, quelques yaourts et de la brousse qu’il réserve à ses fidèles clients de Lavelanet
Circuit courts
Sa production est essentiellement écoulée sur le marché de Lavelanet ainsi que dans les épiceries fines, les fromageries, les restaurants, dans un rayon de 80km autour de la ferme.
« Ma volonté c’est de travailler avec le territoire et de faire découvrir ce que l’on peut produire dans notre Pays des Pyrénées Cathares »
Kamel est une figure bien connue dans le Pays d’Olmes, l’Ariège, et la Région Midi-Pyrénées mais également dans les instances politiques nationale, puisqu’il oeuvre depuis plusieurs années auprès de notre Ministre de l’écologie, Ségolène Royale.
Kamel est un enfant du Pays d’Olmes. Ses parents sont arrivés à Lavelanet dans les années 60 où son père fut ouvrier textile.
Quand on lui pose la question, Kamel Chibli répond qu’il ne se définit pas comme un enfant de l’intégration ; ce mot, a pour lui une connotation négative :
Je me définis comme un enfant de l’Ariège,
un enfant de la France,
un enfant de la République qui a une histoire derrière lui,
comme des centaines de milliers de français
Né à Lavelanet, il grandit à Laroque d’Olmes, y fait ses études et, après un passage à Rivesaltes, revient au Pays. C’est là qu’il commence son « militantisme associatif« . Kamel et à été élu treize ans à la mairie de Lavelanet. Pour lui, l’Ariège est une terre de caractère et d’hospitalité, une terre chaleureuse et un peu sauvage.
Il s’engage très tôt dans la vie associative et politique. Après avoir été Conseiller du Président du Sénat en charge de la jeunesse, des sports et de la vie associative, il est aujourd’hui secrétaire National du Parti Socialiste et pour ces élections régionales, tête de liste du département de l’Ariège.
Cela fait donc cinq mois qu’il sillonne l’Ariège dans tous les sens, de Lavelanet à Saint-Girons, de Mazères à Ax-les-Thermes, à la rencontre des ariégeois, pour confronter ses idées et son point de vue sur l’Ariège et la future grande région.
Il n’y a rien de pire pour l’Ariège que d’avoir le sentiment d’être exclue ou oubliée
Pour Kamel, l’Ariège, avec sa proximité du Languedoc, a de nombreux atouts pour la future région. Dans ce contexte, pour lui, le département doit passer à la vitesse supérieure sur le plan du développement économique et touristique, de l’ouverture vers l’extérieur ; en cela la fusion avec le Languedoc-Roussillon est une chance inespérée.
J‘ai envie de réussir cette élection et
j’ai envie de montrer aux ariégeois que c’est possible«
Lorsqu’on lui demande s’il a des ambitions nationales, car on le voit souvent en compagnie de personnalités nationales comme Nicolas Hulot, Ségolène Royale, …Il répond qu’il travaille surtout à créer des réseaux, des connections.
Pour lui, qui ne souhaite pas que l’Ariège soit considérée comme un territoire de seconde zone, il considère pourtant que le département seul n’est pas capable de créer les conditions de développement, un appui national ne peut être que bénéfique.
Samedi 28 novembre, suite à la « journée Promo » qui c’est déroulée au centre multisports de Lavelanet, l’équipe de la SAVA.SEM à expliqué à un public venu nombreux sa politique économique, commerciale et touristique pour la station du Pays d’Olmes.
A notre micro Fabrice Esquirol, Directeur et Cyril Bardin, responsable marketing nous explique.
L’idée de se rapprocher de la station des Monts d’Olmes pour la SAVA.SEM, c’était de compléter une offre et d’élargir son périmètre de compétence, afin de pouvoir faire face aux trois autres grands groupes des Pyrénées, Altiservice, N’PY et PGI Management qui ont une forte visibilité car ils gèrent un grand nombre de stations.
« Nous à Ax, tout seul avec notre petite soeur Ascou-Pailhères, si on est très fier de notre indépendance , on sait que le consommateur a tendance à être à l’écoute de ces grands groupes » explique Fabrice Esquirol
Les trois stations étant proches les unes des autres, cela correspond à une unité de consommation. Les skieurs pourront indifféremment skier dans l’une ou l’autre des stations en fonction du temps ou de l’enneigement.
Il y aura trois marques, trois produits différents, mais avec des services et des supports communs, RH, service financier, service technique, service qualité et environnement (la SAVA.SEM est en cours de certification environnementale).
Au niveau du personnel, une évolution par rapport aux années passées, puisque de 35 salariés en pleine saison, l’effectif se situerait entre 40 et 45 soit 16 temps plein au lieu de 12. Le tout premier emploi créé étant celui du Directeur, Monsieur Jean-Claude Montané*.
« Les Monts d’Olmes c’est une marque très connue et très forte », nous explique le directeur, « peut être un peu tombée en désuétude ces dernières années, mais nous avons la certitude que l’on va être fier de cette station et qu’elle redeviendra en quelques années ce qu’elle était il y a une ou deux décennies ».
En ce qui concerne le marketing cyril Bardin nous explique que que les grands objectifs de la SAVA.SEM en matière de communication, sont de reconquérir la clientèle locale et élargir leur territoire d’influence afin de pouvoir vendre sur toute la France, mais également l’Espagne et la Grande Bretagne.
Dans un tout premier temps, la DSP étant toute récente, les Monts d’Olmes ont prévu un plan de communication surtout centré autour de la station. Il y a une situation d’urgence à communiquer efficacement et simplement et sur les bassins proche, Ax-les-Thermes, Foix, Pamiers Toulouse, Carcassonne.
Un projet est cependant en préparation pour l’année prochaine d’une communication sur le réseau des 3 stations, tout en gardant une budget par station. Sont également à l’étude, des partenariats avec les stations de Beille et du Chioula.
«La station des Monts d’Olmes est ouverte sur l’ancienne Région Languedoc Roussillon, Carcassonne, Narbonne, Perpignan mais également Montpellier, il faut passer devant avant d’aller sur d’autres stations des Pyrénées Orientales, ce n’est pas logique de passer tout droit sans tourner la tête. On doit pouvoir faire tourner la tête à tous ces gens là. Les Monts d’Olmes c’est l’atout pour attirer l’attention et faire bifurquer ce public»
[notice]La station des Monts d’Olmes devrait ouvrir le 12 décembre, si les conditions le permettent, sinon rendez-vous sur les pistes le 19 pour le premier jour des vacances scolaires. www.montsdolmes.com[/notice]
Gérald Sgobbo est président de la communauté de communes du pays d’Olmes. Une personnalité maintenant bien connue du monde économique et de ce bassin industriel qui aujourd’hui essaie de se redresser et affronter la nouvelle donne de l’avenir.
Gérald Sgobbo a fait ses classes dans le pays d’Olmes, c’est un enfant du pays : Né à Lavelanet, il grandit à Villeneuve d’Olmes. Bien sûr comme beaucoup d’enfants de l’Ariège, il part faire ses études à Toulouse…
Après un passage assez court dans l’éducation nationale, il reprend l’entreprise familiale ; le garage automobile SGOBBO.
Il s’interesse progressivement au monde économique et à la chose publique, il est appelé pour prendre des responsabilités politiques, après s’être impliqué dans les organisations professionnelle, en 2001, où il devient premier adjoint à la mairie de Villeneuve et vice-président de la communauté de communes du pays d’Olmes.
Un engagement politique comme une continuité de son premier métier
En 2008, il devient opposant à Marc Sanchez alors président de la communauté de communes d’alors où s’exprime déjà les divergences.
En 2014, Gérald Sgobbo devient président de la communauté de communes où il trouve un travail énorme à accomplir et des choses importantes à accomplir. Un travail important à faire au vu de l’historique, pour donner des perspectives dans un contexte national qui rebat les cartes sans cesse et les règles du jeu.
Gérald est aussi passionné d’automobile, non pas par les belles carrosseries, mais plutôt ce qu’il y a sous le capot, il est d’ailleurs expert automobile auprès de la Cours d’Appel de Toulouse depuis quelques années.
Un handballeur au pays du rugby et passionné de Trail depuis peu
Gérald Sgobbo a été un Handballeur au pays du rugby pendant presque 30 ans, il pratique aujourd’hui le vélo et la course à pied et est devenu depuis peu « trailer » amateur et passionné de lecture en tout genres. On le voit s’inscrire au Trail des Citadelles pour affronter la rudesse des cols du Pays d’Olmes comme affronter ses défis économiques.
«L’Ariège est un département qui a un fort caractère et qui a un potentiel énorme et qui aujourd’hui devient stratégiquement bien situé avec la nouvelle organisation territoriale et la future grande région. C’est un département qui a beaucoup de qualité et un gros potentiel, mais aussi qui demande un gros travail pour appréhender la direction à prendre et les enjeux pour ne pas encore une fois laisser passer le train.»
«L’Ariege je pourrais dire que ça monte et ça descend au vu de ma passion pour le trail, mais je préférerais dire : vive l’Ariège de demain et nous saurons la rendre forte !»
Interview réalisée à Lavelanet, propos recueillis par Azinat.com
Nous voici sur la commune de Montbel, à quelques kilomètres des rives de lac et au pied des Pyrénées. Un endroit magique où Claude produit et transforme des fruits issus de l’agriculture biologique.
La ferme est labellisée « agriculture biologique » depuis très longtemps mais le petit plus c’est qu’elle porte la mention « Nature et progrès » qui comporte en plus une dimension sociale et un plus fort engagement.
Au gré d’une promenade au lac de Montbel, vous pourrez voir au verger des cassissiers et groseilliers, des pommiers de variétés anciennes, pruniers, figuiers, cognassiers… et aussi des châtaigniers dans la forêt.
A la ferme, vous pourrez vous régaler :
– de confitures, de Châtaigne, cassis Prune, figue, potimarron, pastèque à confire (plusieurs versions : au citron, à l’orange et au citron, au citron et au gingembre, au citron et à la mélisse).
– de gelée de groseille et de fleurs de sureau ou encore un délicieux « Choco-Nut », une pâte à tartiner gourmande et locale, à base de butternut, un vrai régal !
– de compotes et jus de pommes
– et également de pâté végétal de châtaigne et de potiron
Venez donc rencontrer Claude à la ferme (sur rendez-vous), sur les marchés de Chalabre et de Mirepoix, sur les foires bio (Couiza et Lorp-Sentaraille)…
Voir tous les points de vente sur le site internet.
L’origine de château de Montréal-de-Sos, remonte à l’époque carolingienne. A l’époque Charles le Chauve a totalement réorganisé la région et l’a fait rentrer dans le royaume des Francs, au moins du point de vue administratif.
Ce qu’ont mis en évidence les fouilles du château de Montréal, c’est l’ampleur des restructurations à l’époque carolingienne, au moins les trois quart du site de 8000 m2 nous explique Florence.
C’est une des grandes étapes des fouilles, et ce qui est très intéressant c’est que l’on connait très mal les époques antérieurs au XIIIème siècle. Le site va donc servir à toutes les fouilles régionales pour regarder la vie quotidienne à l’époque carolingienne.
« C’est très exceptionnel de trouver du carolingiens en place comme ça, et en montagne c’est quasiment unique. Déjà que le site est exceptionnel on a en plus cette chance qu’XIIIème XIVème siècle ils n’aient pas tout recouvert » se réjouie Florence
Avec un gîte d’étape, un restaurant, une boutique dédiée aux produits issus de l’artisanat local et un café-bar, Jennifer à plus d’une corde à son arc.
Avant de venir en France, il y a 19 ans, Jennifer a su faire de sa passion, une grande réussite dans son pays natal, le Royaume Uni, et elle récidive aujourd’hui avec l’Auberge des Troubadours.
Coté café-restau
C’est un des seuls petits restaurants de campagne ouvert toute l’année. Ambassadrice de ce qu’elle appelle la « Real Food » (vraie nourriture) Jennifer cuisine avec passion des plats à base de produits locaux, linguini dans sa marée de patates douces et lardons de truite de Montferrié, filet de poulet fermier à la bière ambrée (Le Grand Bison)…
Elle propose également des spécialités au four à bois et notamment des tourtes, (tartes salées spécifiques à l’Angleterre), à l’inspiration de l’histoire du pays cathares : «Cathare», «Amour courtois», «Templier» ou «Troubadour».
Un mariage des cultures, une inspiration saisonnière, Jennifer nous régale d’une cuisine à la fois simple et campagnarde mais recherchée.
On peut également venir passer un petit moment de tranquillité sur la terrasse ensoleillée, et déguster un café, un thé, la limonade de Fontestorbes ou la bière de Lavelanet.
Coté gîte
Le gîte peut accueillir une vingtaine de personnes, pèlerins, randonneurs, cavaliers, touristes. Jennifer dispose également de deux chambres de qualité « chambre d’hôtes. De quoi satisfaire une nombreuse clientèle, qui peut profiter du restaurant de la terrasse ensoleillée et bien sûr s’approvisionner dans la boutique.
Coté troubadours.
Coté musique, David est toujours présent, aux heures des repas, l’après midi, pour accueillir les pèlerins il joue ou fait jouer de la musique. Cet hiver, Jennifer et David organiseront des « banquets troubadours » tous les vendredis soirs avec des animations par de vrais troubadours.
Ils envisagent également de créer cet été un « festival des troubadours » en faisant venir des troubadours d’autres régions, et d’organiser une parade à travers le village de Roquefixade, en bref faire découvrir la culture des troubadours. Une affaire à suivre !
Horaires d’hiver 2015 – 2016 –Restaurant – les midis du jeudi au dimanche et les soirs du vendredi et samedi sur réservation Bar, café et boutique ouvertes de mercredi à dimanche à partir de 14.00
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