Catégorie : Chefs d’entreprises

  • David Descoins développe son concept de restaurant-golf « Le Comptoir »

    David Descoins développe son concept de restaurant-golf « Le Comptoir »

    David Descoins est un enfant du pays comme il aime à le préciser, il est revenu sur ses terres pour développer un concept de Restaurant-Golf à Montardit dans le Couserans depuis 2013.

    Parti d’un projet golfique, David a glissé progressivement sur une idée mixte de restauration autour du Golf. Flanqué dans les contreforts des Pyrénées avec une vue imprenable sur les Montagnes du Couserans, son établissement, « caché au milieu de nul part », arrive bon an mal an à développer son activité.

    Des golfeurs qui s’arrêtent pour découvrir et restent finalement pour manger, des gens de saint-Girons et du Volvestre qui connaissent la bonne adresse et des habitués, constituent le gros de sa clientèle.

    Une cuisine simple qui utilise des produits du terroir, sans être tous bio, mais de bonne qualité, proposés par des fournisseurs de confiance et de proximité, un zeste d’originalité dans la présentation, différents niveaux de prix pour les menus et les fins de semaine : voilà la solution que David a choisi pour développer sa notoriété et celle de son établissement.

    Le reste, ce sont les concerts du week-end qui animent les soirées d’été comme d’hiver (deux par mois pour le hors saison et tous les vendredi sur la haute saison).

    L’équipe est réduite, mais tout ceci fonctionne à la perfection ; l’établissement est d’ailleurs référencé sur le Guide du Routard depuis cette année et le Petit Futé a relevé la bonne adresse !

    Le Comptoir – Golf & Restaurant
    Baudet- 09230 Montardit
    05 61 02 90 74
    Golf ouvert tous les jours sur réservation
    Restaurant ouvert tous les midis, vendredi et samedi soir

     

     

  • Philippe Faur, l’Ariège est une terre de vérité

    Philippe Faur, l’Ariège est une terre de vérité

    A Caumont dans la Couserans, Philippe Faur exerce le métier d’artisan glacier depuis 1998. Depuis 18 ans, c’est la passion qui le guide et le fait avancer. La passion du métier, la passion des produits et des producteurs, la passion de l’excellence et du travail bien fait, mais aussi la passion du Pays qui l’a vu naître, le Couserans.

    Philippe Faur est originaire de Saint-Girons depuis plusieurs générations. Son arrière grand-père était gérant du Casino d’Aulus, ses parents ont tenu une brasserie pendant 42 ans à Saint-Girons.

    C’est son père qui a commencé son activité de glacier en 1969. Après avoir travaillé 12 ans dans l’affaire familiale, Philippe décide de s’installer à Saint-Girons et de développer cette activité de glacier.

    « J’ai vu le grossissement du monde industriel et la disparition d’un grand nombre d’artisans glacier. Aujourd’hui, le marché de la glace est détenu à 95% par des industriels, c’est pourquoi j’ai voulu créer une entreprise qui respecte les vraies valeurs de ce produit avec des produits de qualité. Je me suis associé « moralement » avec mon producteur de lait à Lescure et, étant un enfant du Pays, j’ai décidé de me battre et de véhiculer cette image de qualité et prouver que l’on peut exister tout en restant dans l’Ariège. »

    Sa première motivation est de faire des produits de haute qualité et de tirer son métier vers le haut, ensuite, c’est d’innover pour le faire évoluer. Un pari réussi pour Philippe Faur puisqu’il gagne le « 1er prix mondial de l’innovation » en 2007 avec la glace au foie gras.

    Depuis il ne cesse de bousculer les codes dans ce métier un peu « statique ».  Pour cela, il se nourrit beaucoup de l’autre et d’ailleurs. Il voyage, il lit, il va à la rencontre des producteurs des clients des concurrents même.

    « Je fais fonctionner mon cerveau comme une éponge. Je le remplis de pas mal d’informations, de choses qui me touchent, même de manière négative, j’ai des cahiers d’idées, et quand j’ai besoin d’idées, je presse le cerveau et je lui demande qu’il me restitue les éléments que je lui ai donné et ça fonctionne relativement bien. »

    Si l’on demande à Philippe Faur quelles sont ses plus grandes réussites ou ses plus grandes fiertés, il répond que c’est d’abord d’avoir toujours été intègre, de n’avoir jamais décrié la qualité des produits, des « process » ou des matériels. Ensuite c’est d’avoir réussi sur un territoire plutôt « difficile ».

    Le dernier concours qu’il souhaite présenter et gagner, est celui  de meilleur ouvrier de France qui a lieu dans deux ans. « C’est pour aller au bout de la démarche, au bout de mon métier. Là je friserai la cinquantaine et il sera temps que j’arrête les concours et que je laisse la place aux jeunes.« 

    Interview réalisée à Caumont, propos recueillis par Azinat.com

    http://www.philippefaur.com

     

  • Bernard Garcia décoré de la médaille d’or du tourisme par Madame le préfet de l’Ariège

    Bernard Garcia décoré de la médaille d’or du tourisme par Madame le préfet de l’Ariège

    Autour de ses amis et de personnalités liées au monde politique et touristique Bernard Garcia en présence de Madame le préfet de l’Ariège a reçu cette distinction pour les 30 et quelques années de travail dans le développement du tourisme local et national. Bernard Garcia après avoir reçu la décoration et avant d’inviter la centaine de personnes présente à un pot de l’amitié a tenu à donner quelques mots dont nous vous proposons quelques extraits choisis :

    «..Quand on aborde la dernière année des 50..on prend conscience que le temps laisse des marques, parfois difficile à accepter, mais aussi le temps fait du bien aux choses , bref comme on dit dans nos métiers, «  il a quelques heure de vol », je me suis amusé a les estimer…5000 heures de vol , aie ça fait mal.. 

    … je voudrais surtout dire que l’essentiel des actions au bénéfice de l’économie d’un pays c’est celui que j’ai conduit à travers mes entreprises, je pense, que nous devons renouer avec l’esprit bâtisseurs qui a créé cette ville (Mirepoix), ces bâtisseurs qui ont su mettre l’humain au cœur de l’urbain et qui aujourd’hui encore, trouvent un écho à ce que cherche le touriste, une identité, une originalité., qui restent un défi face a l’uniformisation en tout genre de cette société qui se dit moderne…

    Je souhaiterai dire ce message a nos élus et Elite de l’ état

    Les entrepreneurs aujourd’hui souffrent d’un manque de considération réelle, mais celle des mots qui depuis peu deviennent plu complaisant, mais la vraie reconnaissance au quotidien reste d’actualité comme le disait SIR WINSTON CHURCHILL voit en eux ceux qui tirent le char des contraintes en tout genre

    – vous dire que le tourisme est une activité plus complexe que l’accueil, il faut des services et des métiers, des femmes et des hommes professionnels et rappeler que l’attrait d’un territoire ce ne sont pas les outils liés à internet et autres bornes interactives, mais bien ceux liés à un style de rapport humains, parler l’anglais c’est bien mais c’est encore mieux de préserver la singularité d’un territoire avec la «  touche » locale

    – la qualité du tourisme passe par la singularité des infrastructures et non par la standardisation internationale, ou la standardisation tout court, une politique d’accueil, c’est une politique de préservation des sites et de l’originalité des territoires.

    Bref je voulais vous dire que légitimer et distinguer ceux qui contribuent à l’économie et à l’identité d’un territoire c’est contribuer à l’attractivité du pays…»

    Cette médaille d’or du tourisme a été décernée à Bernard Garcia par Mme la ministre Carole DELGA en reconnaissance de son investissement bénévole dans les différentes institutions professionnelles liées au tourisme.

    [info]Petite Biographie de Bernard Garcia
    Depuis 1986 : président-fondateur d’Afat Pyrène Voyage.
    1992 : vice-président de la chambre de commerce de l’Ariège.
    Depuis 1994 : propriétaire de l’Hôtel des Consuls.
    Depuis 2001 : président de l’UMIH 09.
    2007 : administrateur national du SNAV.
    Depuis 2010 : administrateur d’AS voyages.[/info]

  • Bernard Garcia « la fin du monde en 2012 ? Bugarach c’est pas loin et puis c’est pas grave en Ariège on a toujours eu 100 ans de retard »

    Ariégeois d’origine et forcément de coeur, Bernard Garcia est né le 2 avril 1956 à LAVELANET d’une famille paysanne, et il est père d’un garçon, Nicolas né en 1988.  De 1956 à 1969  il passe son enfance dans la ferme familiale où il se familiarise aux petits travaux agricoles. Après une scolarité primaire à l’école du village de Chalabre, il entre en secondaire au lycée de ST GIRONS puis de FOIX.

    Attiré par le tourisme (animateur en club de vacance en Tunisie,Grèce, …, responsable de bureau de représentation touristique pour le Tour Operateur FRAM , responsable commerciaux du CDT de l’Aude), il obtient  son Brevet de Technicien Tourisme en 1976. Dix ans plus tard c’est la création de PYRENE VOYAGES, agence réceptive en PAYS CATHARE et Grand Sud Ouest. Cette PME  ariégeoise, dont il est toujours à la tête, compte aujourd’hui 7 points de ventes, 17 collaboratrices et réalise un volume d’affaires de 6M€.

    En 1994 il acquiert et réhabilite « La Maison des Consuls » à MIREPOIX et la transforme en  hôtel de charme de 8 chambres avec un concept de Bistro de Pays.

    Parallèlement, il cumule plusieurs fonctions représentatives : Fondateur du club Parfum de France regroupant 30 agences réceptives. Vice président de la chambre de commerce de l’Ariège depuis 1992. Président de l’UMIH 09 depuis 2001 et vice président MIDI PYRENEE. Vice président fondateur du club Hôtel de charme en MIDI PYRENEE. Administrateur national du SNAV depuis 2007. Administrateur d’AS voyages depuis sa création par la fusion AFAT/SELECTOUR en 2010.

    Si l’on demande à Bernard Garcia sa vision de l’Ariège, il répond :

    « Je vois une industrie touristique « bio », la mise en scène de notre patrimoine pour l’offrir au regard des autres et la préservation de l’authenticité par la vie. Non aux villages musées oui aux villages vivants, en trouvant le juste équilibre entre commerce de tradition et de proximité et ceux, plus saisonniers, dédiés aux visiteurs. Et après la révolution de jasmin et celle du Nil, à quand celle de l’ AZINAT, pour une Ariège ouverte à toutes les idées dans la tolerance et le respect »

    Bernard Garcia pour Azinat, février 2011 : « la fin du monde en 2012 ? Bugarach c’est pas loin et puis c’est pas grave en ARIEGE on a toujours eu 100 ans de retard »

  • Jean-Paul Tisseyre : « je suis persuadé que chacun est doué pour une chose mais nous n’avons qu’une vie pour le découvrir »

    tisseyre-photoNé le 07 novembre 1962 à La Bastide sur l’Hers, mon petit village d’Ariège que je n’ai  jamais quitté.  J’arrête les études contre l’avis de mes professeurs après un CAP, BEP mécanicien tourneur, fraiseur, ajusteur au collège Jacquard de Lavelanet pour passer 21 ans de tranquillité en tant que responsable maintenance à la Société Ariélux au village voisin.

    Je pouvais ainsi m’adonner à ma passion : la chasse (j’avais d’ailleurs négocié avec mon patron les mercredis en période d’ouverture), j’étais le plus heureux des hommes. En ce temps je pensai « tant que personne ne connaitra l’Ariège, nous serons tranquille ».

    Le temps a passé, bien des choses ont changé. Ma seconde passion a pris le pas sur la première et bien que je n’aie jamais vraiment songé à être coutelier, le destin m’y a mené ; la vie est faite de rencontres et la chance n’existe pas, elle se force.

    Moi qui était timide et renfermé, je me suis ouvert, qui ne voulait pas partager mon Ariège natale, j’invite le monde à la découvrir, qui n’avais qu’un CAP, j’ai un titre de MOF.

    Aussi incroyable que cela paraisse, je n’ai jamais vu une personne fabriquer un couteau et ma plus grande satisfaction est d’être arrivé à imposer ma technique et mon style au plus prestigieux des jurys.

    Aujourd’hui, j’ai gardé de ma première passion de merveilleux souvenirs ; la nature et le gibier étaient encore « sauvages », j’ai besoin quelques fois de gravir la montagne, pour me ressourcer. Préservons là !

    « je suis persuadé que chacun est doué pour une chose mais nous n’avons qu’une vie pour le découvrir » Jean-Paul Tisseyre pour Azinat.com – juin 2010

    Le site de Jean-Paul Tisseyre : http://www.couteaux-tisseyre.com

  • Martine Crespo : « L’Ariège, c’est une passion que j’essaie de faire partager au travers de mes croustades …»

    martinecrespoNée en 1956 à St Girons, Martine CRESPO a lancé sa première boutique à Croustades il y a plus de 20 ans. Une vraie passion et l’envie de perpétuer ce gâteau de l’Ariège qui la conduit à inviter autour du produit traditionnel toute une gamme salée et sucrée : des croustades au fromage de montagne, à l’ortie,…, la fameuse TOC ! Des produits proposés dans des boutiques aujourd’hui en Ariège et Haute-Garonne et demain partout en France au travers d’un réseau de boutiques en cours de développement.

    « L’Ariège, c’est une passion que j’essaie de faire partager au travers de mes croustades qui perpétuent les valeurs de notre pays : qualité, simplicité et convivialité. » Martine Crespo septembre 2009, pour Azinat.com

    Découvrir le site de Martine Crespo : www.croustade.com

  • Pierre Peyronne : « L’Ariège c’est la diversité , la liberté ,la modernité : c’est un territoire d’avenir ! »

    peyronne

    Pierre PEYRONNE, 54 ans, Maire d’Ax les Thermes depuis 1 an, au début de son troisième mandat d’élu.

    Depuis 1995, il était président de l’Office de Tourisme des Vallées d’Ax et de la station de ski « Ax 3 Domaines » en tant qu’élu d’Ax les thermes. Ariègeois d’origine, diplômé d’économie (DEA d’économie industrielle tlse 1), dirige une P.M.E. de conseil et de formation spécialisée dans le développement économique et social.

    Son DEA, il l’a fait sur le Textile de Midi-Pyrénées et depuis il a travaillé sans cesse sur le développement économique et territorial et donc sur beaucoup de projets ariégeois,  il est rentré en politique parce qu’en 1993 la ville où il passait le plus clair de son temps, Ax-les-Thermes était à l’abandon et qu’avec des axéens de tous les horizons et notamment Augustin Bonrepaux, ils avaient créés une association Ax développement qui a imaginé le projet qui 13 ans plus tard est toujours le même .Un coktail de développement économique, de travail sur les services et la vie quotidienne et une volonté d ‘équilibrage social.

    L’Ariège, il la connaît aussi d’en haut, skis ou chaussure de montagnes au pied . L’Ariège c’est la diversité, des paysages, des activités humaines de toutes natures, de ses habitants qui ont su accueillir et la liberté de fréquenter le dernier grand domaine montagnard où les règles sont celles de la nature et pas de ceux qui la réinvente sans cesse .C’est aussi une terre ou la modernité fait rage et qui saura profiter de la liberté du numérique grâce a ses audaces politiques .

    « L’Ariège c’est la diversité , la liberté ,la modernité : c’est un territoire d’avenir » Pierre Peyronne, septembre 2009 pour Azinat.com

  • Marc Mesplié : « On ne quitte l’Ariège que pour le délicieux plaisir d’y revenir »

    marcmesplie2Né à Paris en 1957. De souche ariégeoise (Fougax et Lieurac) Lycée technique à Mirepoix, dessin industriel, bac E. d’abord attiré par le dessin et la gravure. Ecole d’ingénieur textile à Epinal (1976-79 ) je fréquente le milieu des beaux-arts, grave et tire ma première eau-forte. Début de récoltes photographiques, en noir et blanc avec un folding 6×9.

    Mon emploi, pendant 15 ans, dans une usine textile du Pays d’Olmes me donne une excellente connaissance des réalités du travail dans l’environnement industriel. L’usine ferme en 1990.

    Reconversion (1990-93) à l’I.C.P.A (Ecole de design photographique) de Cahors. Assistant dans la société ABAX, mise en place de scénographies lumineuses sur des évènements (Printemps de la Photo,VISA Perpignan, Rencontres d’Arles, ) puis dans un grand studio publicitaire aux Pays-Bas (où je visite systématiquement les musées d’art ancien et contemporain).

    En 1993, j’obtiens le diplôme de l’I.C.P.A – option photographie publicitaire- et crée le Studio Mesplié à Bélesta, avec ma compagne Cécile, graphiste.Nous aménageons un loft spacieux et fonctionnel dans une ancienne filature.

    Outre les prestations très professionnelles du Studio, j’interviens en tant qu’artiste en milieu scolaire et secteur jeunesse. Je montre régulièrement mes travaux personnels dans de nombreuses expositions.

    Engagé dans la vie ariégeoise, je deviens conseiller municipal à Bélesta aux dernières élections. Amateur de jazz, je suis bassiste du groupe « Les Spitfires » du Pays d’Olmes.

    « On ne quitte l’Ariège que pour le délicieux plaisir d’y revenir. » Marc Mesplié – août 2009 pour Azinat.com

  • Didier Kuss : « en Ariège comme partout ailleurs, il n’est de richesse que d’Hommes ! »

    Didier Kuss : « en Ariège comme partout ailleurs, il n’est de richesse que d’Hommes ! »

    didier-kussDidier KUSS  a 45 ans, né le 23 mai 1964 à METZ ( Lorraine ) dans une famille ( papa chef d’entreprise et maman institutrice, retraités tous les deux ) et titulaire d’une Maîtrise de Sciences de Gestion option finances à l’IAE de METZ puis un DEA de Gestion des Systèmes Industriel à l’INPL à Nancy ( 1990 ). Il intègre ensuite SODIE la société de reconversion du Groupe sidérurgique USINOR en commençant avec une mission d’un an dans une lorraine touchée par les fermetures massives d’unités sidérurgiques ( Thionville – Longwy ), quelques temps après, il  prend la direction de Paris, au siège de SODIE à la Défense, de la prospection nationale et internationale ( 1995 – 1998 ) avec pour mission de faire choisir la France à des investissements étranger. Il arrive en Ariège en mai 1998 où il est pendant 2 ans le chef de mission de la convention qui lie le Conseil Général, l’Etat et le groupe Péchiney pour la création d’emplois en Ariège et en charge du développement commercial pour le Sud – Ouest. Et il succède à Michel Delau à la Direction d’Ariège Expansion en juin 2000, poste qu’il assume depuis cette date.

    Point plus perso : Didier Kuss a le cerveau « ovale » ! « Je suis RUGBY. J’ai joué, et je joue encore un peu, 3ème ligne aile, flanker, comme disent les british J. En Ariège, un seul club depuis 1998, Etoile Sportive St Jean du Falga dont je suis aussi le co – Président et avec lequel j’ai été deux fois champion des Pyrénées ».  « Je suis aussi un collectionneur : j’ai plus de 300 maillots du monde entier, une centaine de livres récents ou anciens, des photos, des vieux ballons, des anciens trophées,… »

    Pourquoi l’Ariège ? Parce que ……. « Michel, Gilles, Jacques, Jean, Benoît, Paul, Roger, le Ster, Mimi, Henri, le Grand, André, Bernard, Francis, Frédéric, …… » En Ariège comme partout ailleurs, il n’est de richesse que d’Hommes ! Didier Kuss août 2009 pour Azinat.com
  • Patrick Lagarde : ariégeois jusqu’au bout des ongles

     

    Patrick Lagarde - Crédits Photos La depeche
    Patrick Lagarde – Crédits Photos La depeche

    Patrick Lagarde est natif de La Bastide de Sérou, où il a passé un grande partie de son enfance avant de quitter le nid familial pour aller faire ses études au collège à Foix, puis à l’Université sur Toulouse. Rugbyman à l’USF à Foix, il a appris la rudesse du terrain et l’amitié solide propre aux ariégeois. Patrick oeuvre au sein du CAPI pour la promotion de l’Ariège et pour que l’on ne confonde plus notre département avec l »Ardèche ». Fier d’être ariégeois, il rentre au pays 3 ou 4 fois par an et quitte ses occupations à la Brinks, où il est devenu récemment Pdg.

  • Ariel Nuñez la pêche par correspondance

     

    Chronocarpe.com
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    Chef d’entreprise ariégeois originaire de Lavelanet. Ariel Nuñez ancien directeur marketing dans le secteur du matériel de pêche de loisirs, il a quitté sa carrière à 48 ans pour revenir s’installer dans son Ariège natal. Homme de tempérament et de conviction, il a su s’investir pour développer son affaire au pieds des MOnts d’Olmes. Originaire du Pays d’Olmes, il vit à Lavelanet et est Pdg d’une entreprise de commerce en ligne sur Internet d’une dizaine d’employés Chronoloisirs.com