Catégorie : who’s who

  • Eric Fourcaud nouveau président de MIMA, inaugure le Festival

    Eric Fourcaud nouveau président de MIMA, inaugure le Festival

    Le Festival MIMA des Arts de la Marionnette ouvre ses portes aujourd’hui à Mirepoix à midi avec une inauguration officielle par le Conseil départemental, la communauté de communes de Mirepoix et la mairie, l’équipe de Caroline Galmot et Eric Fourcaud le nouveau président de l’association Filentrope qui porte le Festival à bout de bras depuis sa création.

    MIMA fait partie des plus gros festival d’été de l’Ariège et fait partie depuis déjà quelques années des manifestations labellisées par le département. Quelques semaines avant la 29ème édition  MIMA a changé de président et Eric Fourcaud que l’on connait par ailleurs en Ariège dans d’autres activités (LUDOVIA, AZINAT.COM, …) a relevé le défi proposé par Caroline Galmot et le CA de Filentrope, il nous confie «J’ai accepté la présidence de MIMA et de l’association le Filentrope tout d’abord car je suis de Mirepoix, et que cette ville a la chance d’accueillir depuis longtemps ce Festival d’envergure internationale.

    Je n’y connais rien en marionnettes et ce n’est pas grave car je fais totale confiance à Caroline Galmot la directrice qui excelle sur ce point. Nous sommes, complémentaires et tous deux avons une bonne expérience de la gestion d’évènements, moi avec LUDOVIA, que j’ai su faire grandir en notoriété nationale et internationale…

    …Ce sera donc une édition que je vais découvrir comme beaucoup car je reste « tout jeune » dans le poste de président, mais j’accompagnerai la 30ème édition l’an prochain avec cette équipe qui donne tout son talent. Mon rôle : la relation avec les collectivités qui nous aident, et peut-être aussi apporter un autre regard au vu de mon expérience du monde de l’entreprise.»

  • Lavelanet, Biennale Mady de La Giraudière à partir du 14 juillet

    Lavelanet, Biennale Mady de La Giraudière à partir du 14 juillet

    La peinture de Mady de La Giraudière, haute en couleurs, rieuse et pétillante va illuminer la période estivale de Lavelanet.

    Vendredi 14 juillet, marquera l’ouverture d’ un événement majeur pour Lavelanet. Pour la deuxième biennale que la Ville a tenu à organiser jusqu’au samedi 26 août 2017, le thème proposé sera «Mes Pyrénées sur un plateau».

    Quand on connaît l’amour de Mady de LaGiraudière pour ses chères montagnes qu’elle peint si souvent, on ne peut que se réjouir de retrouver l’immense talent de cette artiste de renommée internationale.

    Pour ce nouvel hommage seront présentés tableaux ,lithographies et une quarantaine de nouvelles reproductions inèdites que le public découvrira avec bonheur. C’est l’ensemble de l’oeuvre de Mady de La Giraudière,artiste-peintre,conteuse et créatrice des « compagnons de l’imaginaire » et collages que les visiteurs de la Biennale pourront admirer.

    Cette exposition aura pour cadre la salle d’honneur de l’Hôtel de Ville et sera ouverte du lundi au samedi de 10h à 12h et de 14h30 à18h30.

    Du 14 au 26 juillet 2017
    Mairie de Lavelanet
    7 avenue Alsace Lorraine

    Voir ou revoir nos entretiens avec Mady

                                

  • Who’s who : Floriane Caux, André Trigano et Alain Leplus en tête

    Who’s who : Floriane Caux, André Trigano et Alain Leplus en tête

    Et encore un trimestre de passé et nous voilà déjà en été. En ce début juillet Azinat.com, comme à son habitude vous propose le classement des 99 personnalités à plus forte notoriété en Ariège.

    Si rien ne bouge à la première place puisque, encore une fois, la charmante photographe Floriane Caux garde sa première place, il n’en est pas de même pour la suite avec même quelques surprises.

    Tout d’abord André Trigano, Maire de Pamiers vient prendre la deuxième place avec un score de 55.300 pages sur Google, à peine moins que Floriane.

    Ensuite, Alain Leplus, directeur de l’ADT , arrive sur la troisième marche avec une remonté de 60 places et pas moins de 45.700 pages affichées sur Google.

    En quatrième position avec une remontée de 104 places, Jean-Marc Bonnel , écrivain lavelanétien et vivant à Marseille.

    A noter en 6ème et 7ème position Alain Duran notre sénateur gagne 29 places et Philipe Faur, artisan glacier qui en gagne 22.

    Trois nouvelles entrées ce trimestre avec, legislatives obligent, nos deux nouveaux députés Bénédicte Taurine et Michel Lavigne avec de très beaux scores, puisqu’ils arrivent respectivement en 8ème et 9ème position.

    Marie Cantagrill violoniste virtuose et Directrice musicale de l’Orchestre de Chambre d’Ariège (O.C.A.), intègre également dans notre who’s who en 34ème position.

    Voir le classement complet de ce second trimestre : Classement-whoswho-Azinat-avril-juin2017

    Le Baromètre de notoriété des personnalités qui font l’Ariège sur Internet est tenu par Azinat.com depuis le 15 septembre 2007, il est remis à jour tous les 3 mois

    Classement des 99 personnalités à plus forte notoriété en Ariège sur Internet. Score avec catégorie et nombre de pages référencées sur Google.fr (méthode : recherche par nom associé au mot ariège*, comme : «Prénom Nom» + Ariège ) Premier classement effectué le 15/09/07.
    (pour obtenir l’historique des classements et le détails sur plus de 99 personnalités suivies du pannel, merci de nous contacter par email redaction@azinat.com)

    Reproduction même partielle, interdite sans accord préalable

    Tous droits réservés Azinat 2007-2017 ©

    si vous n’êtes pas sur ce classement et que vous pensez avoir été oublié merci de nous le signaler

    Crédit photo : Floriane Caux – www.florianecaux.com

  • L’invité de la semaine : Françoise Deixonne « Passage de la violette à l’edelweiss »

    L’invité de la semaine : Françoise Deixonne « Passage de la violette à l’edelweiss »

    Passer de la ville à la montagne, de la trousse à maquillage à la débroussailleuse, de la violette à l’edelweiss… de ce changement de vie radicale, Françoise Deixonne en a fait un roman. Elle est venue dans nos locaux pour nous parler de son livre : une décennie de vie avec sa maman et sa fille, un trio intergénérationnel perdu au fond de l’Ariège.

    Mère célibataire, aide soignante au service des grands brulés à l’hôpital Rangueil, Françoise ne vit que pour sa fille et son métier qui la passionne, avec l’aide inestimable de sa maman. Mais elle trouve que la vie passe trop vite : «On avait pas le temps de se rendre compte des choses, ma fille adorait l’Ariège et la maison de mes arrières grands parents. Quand nous venions, c’était une déchirure d’en repartir. J’ai donc décidé de tout plaquer et de venir vivre ici».

    Une décision difficile pour Françoise, qui adore son métier. Elle passe le CAP petite enfance pour devenir assistante maternelle «A changer de vie autant la changer complètement» explique t’elle. Sa mère va les suivre dans cette aventure et voilà un trio féminin intergénérationnel passant de « la violette à l’edelweiss » 

    La montagne, des chevaux, «une vie particulière et fabuleuse qu’il fallait vraiment vivre» !

    Ma vie a été riche, pleine de rebondissements, j’ai pris des tas de décisions… mais cette décision-là, celle de tout planter et de recommencer ailleurs, a été la plus folle, la plus culottée. Ma maman m’a suivie sans aucun reproche, sans aucune défaillance, elle a été à mes côtés, sans doute emplie de craintes, de questions et d’angoisses, mais sans jamais me les faire ressentir.

    Trois générations embarquées dans le même bateau ou plutôt, à certains moments, la même galère.

    Des moments merveilleux, d’autres un peu moins, mais toujours soudées contre l’adversité. Toujours cet amour qui nous a aidés à avancer. De l’inconnu, des situations cocasses ont marqué cette décennie, ce passage de la violette à l’edelweiss.

    La découverte du monde équin, cet animal si merveilleux, qui mérite d’être pris en considération à sa juste valeur, cet animal qui sait tant nous apaiser…

    Une tranche de vie fabuleuse qui méritait d’être immortalisée.

    ISBN-13 : 9791028402709
    118 pages 
    Paru aux éditions Vérone – 27/04/17

    Vente en ligne sur la Fnac et Amazon et sur commande dans toutes les librairies.

  • Foix, Librairie Surre rencontre avec Luce Perez-Tejedor – 24 juin

    Foix, Librairie Surre rencontre avec Luce Perez-Tejedor – 24 juin

    Luce Perez-Tejedor vécut son enfance dans le Vicdessos où elle situe l’action de son premier roman « Ce sale hasard qu’est la vie », transposée dans les années 60.

    La narratrice est une fillette d’une dizaine d’années. Elle vit au creux du Vicdessos avec sa famille, émigrée d’un Portugal qui traverse sa dernière décennie de dictature sous la houlette de Salazar. Peu douée pour l’école, elle se débat contre son institutrice et les mathématiques car « cela a l’air si difficile d’être inculte qu’il ne faut pas redoubler ». 

    Les événements d’une chronique familiale grave et tendre s’enchaînent, avec des personnages pittoresques : son père, ouvrier à l’usine Pechiney la nuit, éleveur de vaches le jour ; sa mère, qui s’occupe des lapins et du jardin ; son frère Jean-Claude, apprenti maçon et adepte des quatre cents coups ; ses sœurs aînées, Célia et Yolande, l’une coquette, l’autre rebelle, fraîchement débarquées à la ville. L’intrépide Yolande tombera amoureuse d’un garçon de bonne famille dont les parents interdiront à leur fils de fréquenter « la fille des Portugais ».  

    Le fragile équilibre du clan s’ébranle, secoué par le lointain écho de Mai 68, quand les enfants grandissent et affrontent un à un la vie, plus difficile pour ceux qui viennent d’ailleurs.

    Voyage dans la France profonde des Trente Glorieuses, Ce sale hasard qu’est la vie fait le portrait de l’exil à travers le regard d’une fillette que la vie bouscule et que tout interroge.

    Edition : Le pas d’oiseaux

    samedi 24 juin à partir de 15H00

    Librairie papeterie SURRE MAJUSCULE
    40 rue Théophile Delcassé
    09000 Foix
    05 61 05 05 80 
    surre@majuscule.com

  • Bientôt l’été avec le nouveau clip de Florent Adroit

    Bientôt l’été avec le nouveau clip de Florent Adroit

    Après l’Album «le Grand Voyage» sorti en 2012 avec des titres plein de douceurs, de souvenirs et de nostalgie dont le fameux   Ariege Moun Pais , Florent nous concoctait de nouveaux morceaux aux accents du sud, aux souvenirs de soirées entre copains dans un EP intitulé « Mets toi à Lèze »

    En décembre 2015 sortait le premier clip « L’Air méditerranéen » 

    « Si j’ai commencé par L’Air méditerranéen« , expliquait Florent, « c’est qu’elle donne le ton de l’album, je surfe sur la vague du régionalisme de l’identité, de l’accent du sud et bien sûr de l’Ariège. Avec la fusion Midi-Pyrénées et de Languedoc Roussillon on sera aussi un peu méditerranéen.

    « On m’a souvent dit que si je voulais réussir il fallait que je gomme mon accent, ça m’a énervé, c’est pourquoi j’ai fais cette chanson qui commence par : ça sent le sud dans mon accent que tu le veuilles ou non peuchère. Dans cette chanson on comprend l’occitan sans forcément le parler ». 

    Il aura fallut attendre deux ans pour enfin découvrir le deuxième clip « Mets toi à Lèze » avec ce jeu de mots bien réfléchi en référence à la rivière.

    Les fans sont donc aux anges depuis samedi, puisque à 8h30 très précise le clip était en ligne sur Youtube.

    Un clip qui sent bon l’été, les vacances et bien sûr les apéros avec les amis !

    Florent sera en concert à Roumengoux, le 24 juin dans le cadre du Circuit Court Musica organisé par le Pays d’art et d’histoire des Pyrénées Cathares 

    www.facebook.com / www.youtube.com

  • Raphaël Kann, un photographe au coeur du terroir

    Raphaël Kann, un photographe au coeur du terroir

    « Plus que de beaux paysages, c’est mon mode de vie que j’ai trouvé ici. Un terroir, des Hommes, un savoir-faire. » C’est ce que disait Raphael Kann, dans un portrait que nous avions fait de lui en  mai 2012

    Cinq ans plus tard, le terroir, les Hommes et les savoir-faire, Raphaël a su les mettre en valeur à travers son métier de photographe et de réalisateur vidéo. Dès son arrivée  en Ariège il y a dix ans il travaille avec les offices de tourisme  et le PNR et les contacts se font spontanément avec les acteurs touristiques, les artisans d’art, les restaurateurs et les producteurs. Ce sera l’occasion d’une première exposition en 2011 aux Forges de Pyrène, mettant en avant le terroir ariégeois. Les connexions vont alors se multiplier et déboucher sur un concept de décoration pour restaurateurs : « Fier de ses producteurs ».  Aujourd’hui Raphaël est résolument impliqué auprès des producteurs ariégeois et deux projets sont en cours de réalisation. Tout d’abord une exposition – dont le shooting est en cours – « Gueule du terroir » pour rendre hommage aux producteurs, éleveurs, artisans. «Depuis que je suis arrivé en Ariège, j’ai cette admiration  pour ceux qui travaillent en amont de la chaine. Souvent on oublie, quand on a une belle assiette qu’il y a un énorme travail pour obtenir la matière première. J’ai donc voulu rendre hommage aux hommes et aux femmes qui sont un peu dans l’ombre et sont méconnus» explique Raphaël. Le concept novateur, c’est que ce sont les gens qui «dénoncent» leur figure locale, permettant ainsi au photographe de sillonner l’Ariège à la rencontre de «gueules» qu’il ne connait pas. 

    «Et si le monde rural avait ses propres People ?»

    C’est le thème du deuxième projet de Raphaël, «Terroir People», un web-magazine pour valoriser les métiers et les acteurs du terroir. Un magazine qui vous entrainera, par le biais de photos ainsi que de vidéos, à la rencontre des acteurs du territoire (agriculteurs, éleveurs, artisans d’art et de bouche, restaurateurs) dont le métier et les valeurs sont liés à un mode de vie simple et à une production alimentaire raisonnée.  L’antagonisme des mots terroir et people c’est l’idée de rapprocher deux mondes, celui de la campagne et de la ville : De montrer aux citadins qu’à la campagne il y a une vie, une dynamique, un savoir-faire, et, pourquoi pas, créer le déclic et inciter les gens à venir s’installer dans nos campagnes.  Le premier clip est en ligne depuis quelques jour, le portrait de Jean-Marc, un boulanger passionné qui produit son pain au levain naturel avec des farines anciennes et cuit au feu de bois.  www.terroirpeople.net

    Raphaël Kann www.facebook.com/photovideotourismeterroir

    TERROIR PEOPLE
    contact@terroirpeople.net
    www.terroirpeople.net
    www.facebook.com/terroirpyrenees  

  • Le sénateur Alain Duran appelle à voter Emmanuel Macron

    Le sénateur Alain Duran appelle à voter Emmanuel Macron

    Lundi, il sera trop tard !

    « Après le séisme du 21 avril 2002, voici l’héritière, la fille du vieux chef nationaliste qui dimanche, en recueillant 7,6 millions de suffrages a permis au Front National d’atteindre un triste chiffre record. Ils étaient 4,8 millions il y a 15 ans. Et pourtant, dimanche soir, face à ces résultats effrayants, aucune colère sur les plateaux télé, aucun appel à manifester dans la rue, où était donc passé l’esprit du 21 avril ? Tout semblait normal,  alors que notre pays, notre république n’ont jamais été aussi menacés. Certes, l’héritière semble plus présentable que le père, mais elle a conservé le même programme populiste, destructeur de l’unité nationale. Les fondamentaux demeurent, priorité nationale, politique nataliste, femme au foyer, isolement de la France, exclusion, haine, violences de tous ordres.

    Dimanche prochain nous devons dire haut et fort que nous ne voulons pas faire vivre ce cauchemar à la France, aux françaises et aux français. Dimanche prochain je voterai sans état d’âme pour Emmanuel Macron et j’invite les ariègeoises et les ariègeois à en faire de même au nom de notre attachement aux valeurs de la République pour que vivent la liberté, l’égalité et la fraternité. Lundi, il sera trop tard ! »

    Alain DURAN
    Sénateur de l’Ariège

  • Le 1er Mai, Mobilisons-nous pour la République !

    Le 1er Mai, Mobilisons-nous pour la République !

    Chaque année, les socialistes Ariégeois organisent un hommage à François CAMEL, député de l’Ariège, mort pour la France le 1er mai 1941.

    Cette année, cette commémoration prend un tour particulier au moment où un parti national populiste xénophobe est aux portes du pouvoir et menace de nous replonger dans les heures les plus sombres de notre histoire.

    La fédération socialiste de l’Ariège appelle ses militants, ses sympathisants et tous les citoyens attachés aux valeurs de la République à participer nombreux à l’hommage à François CAMEL

    9 h.30      Devant la Stèle Jean Jaurès  – Parc de la Mairie à LAVELANET

    ——-

    18 h          Dépôt de gerbe au cimetière de SAINT-LIZIER 
    18 h 30     Dépôt de gerbe devant la stèle route de LASSERRE
    19 h          Prises de parole suivies d’un pot amical – Salle Joseph BUSCA à LARA  (Montjoie)

     

    COMMUNIQUÉ  de la Fédération Socialiste de l’Ariège 

  • Dany Chevalier-Consola à la librairie SURRE, 29 avril

    Dany Chevalier-Consola à la librairie SURRE, 29 avril

    Dany Chevalier-Consola présentera deux de ses ouvrages « Il était une  Foix » et « Panique au poulailler »  à la librairie Surre le Samedi 29 avril à partir de 15h00.

     Il était une Foix

    Il y eut une fois, dans un temps hors du temps, un grand émoi dans la ville de Foix. Une véritable tragédie tourneboula les Fuxéens, les plongeant dans une immense détresse. Par une journée de printemps qui s’annonçait pourtant paisible, il fallut se rendre à l’évidence : le château de Foix, là-haut, sur son rocher, n’était plus le même ! Qui avait osé y toucher ? 

    Ancienne élève de l’École normale de Foix, Dany Chevalier-Consola a enseigné plus de 20 ans dans cette même ville à laquelle elle reste toujours attachée. Après La Prophétie de l’Euprocte (2014), elle porte son regard de conteuse sur ce haut lieu de l’Ariège. 

    Panique au poulailler 

    « Au fond du jardin de Roman, le poulailler, où vivent ses trois poules : Tango, l’élégante et fière poule noire, Polka, la poule rousse dévouée et bavarde, Salsa, la poule blanche, la dernière arrivée. Si Polka et Tango ont bien pondu leur oeuf, celui de Salsa semble manquer depuis quelques jours. Puisque Salsa ne pond plus, dimanche prochain elle passera à la casserole. Impensable pour Polka et Tango ! Inimaginable pour Roman, amateur d’oeuf gobé chaque matin. Pour éviter le pire, Tango, Polka et Roman mènent l’enquête.»

  • Résidence de création : Marie Cantagrill et l’OCA en concert à la Chapelle Notre-Dame de Montgauzy

    Résidence de création : Marie Cantagrill et l’OCA en concert à la Chapelle Notre-Dame de Montgauzy

    Pour la quatrième année consécutive, le Conseil Départemental de l’Ariège organise une nouvelle résidence d’artistes avec la violoniste Marie Cantagrill et l’Orchestre de Chambre d’Ariège, qui s’achèvera par un concert en la Chapelle Notre-Dame de Montgauzy, à Foix. 

    Ces résidences permettent de promouvoir les artistes et valoriser les Grands Sites patrimoniaux du département en incitant les Ariégeois à découvrir leurs richesses culturelles. 

    La rencontre avec les musiciens s’inscrit également dans une démarche d’éducation à la culture. En effet, elle est ouverte au public, aux étudiants, aux élèves des écoles, des collèges et enfin aux écoles de musiques. Des répétitions et des conférences publiques se dérouleront au Centre Universitaire de l’Ariège à Foix, les 25, 26 et 27 avril, en présence des musiciens et du compositeur, Omar Yagoubi. 

    La Chapelle de Montgauzy accueillera le jeudi 27 avril à 19 heures, le concert de la soliste Marie Cantagrill et l’Orchestre de Chambre d’Ariège constitué de 12 à 20 musiciens. Ils interprèteront une nouvelle oeuvre contemporaine créée pour Marie Cantagrill et l’OCA, « l’Ariègeois » d’Omar Yagoubi 

    Réservation obligatoire, tél. 06.83.58.49.08 

  • «Traque au thé dansant», une enquête 100% ariégeoise

    «Traque au thé dansant», une enquête 100% ariégeoise

    Claude Souquet, ariégeois passionné d’écriture, et auteur de « Bosc », « Sur les sentiers de la Liberté » et de « Un risque majeur » signe son quatrième roman, un polar dont l’action est bien ancrée en Ariège au coeur du Couserans

    Pour les anciens en quête des derniers feux de l’amour comme pour ceux que la vie a bousculés, les thés dansants du dimanche sont synonymes d’ambiance assurée. Un terrain de chasse idéal pour un prédateur au pays des battues au sanglier, entre Couserans, Comminges et plaine toulousaine.

    Costumes sombres et chemisiers lumineux habillent de tendresse et d’amitié ces après-midi passées au rythme de la valse lente, du chachacha ou de la rumba. Mais que cherche le séducteur Bo Gosse dans ce petit monde dédiés aux ultimes jeux de séduction rythmé qui animent les pistes du dimanche ? 

    Le commandant Bertrand Bosc aura bien besoin de Florence, Daniel, Aude, de la profileuse Marthe Ferrer, et du major Paul Dubois pour traquer la bête.

    Bo Gosse était là, assis en bordure de piste. C’est Bertrand qui l’avait ainsi surnommé. Assez grand, mince, des cheveux argentés, ondoyants, il impressionnait favorablement les femmes. Cela flattait son ego. Bien sûr les hommes le trouvaient trop séduisant, trop élégant, trop bon danseur, trop…

    Lui s’en moquait, cela ne le gênait pas. Il savait sourire, se montrer convivial, lancer des clins d’œil, des petits gestes pour s’infiltrer dans les groupes, se faire accepter. Un vrai charmeur. Il évitait d’inviter les femmes qu’il savait en couple. Sauf si leur compagnon dansait avec une copine. Il avait le choix. Tiens, cette brunette… elle ne semblait pas accompagnée, au prochain paso, il l’inviterait. Il procédait de manière graduée dans ses approches : ne jamais débuter par un tango ou un slow… mieux valait rompre la glace par une Marche ou un Paso. Les danses plus intimistes viendraient ensuite, seulement si les premiers contacts s’étaient révélés encourageants. Il maîtrisait à merveille toutes ces techniques. Oui, cette brunette, plutôt bien balancée, il la “sentait” déjà dans ses bras. Et que lui importeraient les regards assassins de Châtel et autres jaloux de l’assemblée. Ils ignoraient à qui ils avaient affaire.

    Claude Souquet anime la chronique « À vos plumes » sur des radios locales.

    Claude Souquet dédicacera « Traque au thé dansant » à la librairie La Mousson de Saint-Girons, samedi 22 avril à partir de 10 h