Catégorie : Personnalités

  • Denise Déjean et « Lardoulens » au salon du livre de Tarascon

     

    Denise Déjean est née à Tarascon-sur-Ariège le 19 juillet 1956. Elle a mené ses études au lycée Gabriel Fauré de Foix, puis obtenu son bac Philo au lycée de Mirepoix. Elle a étudié sur le terrain l’ethnologie montagnarde, dans le cadre de la fondation et de l’animation du Musée Pyrénéen de Niaux.  Elle est maman d’une jeune femme également écrivain.

    Elle a exercé plusieurs métiers qui gravitent autour de la culture et du livre : mise en page de manuscrits, correctrice dans un hebdomadaire, conférencière, guide de musée. Elle a été chargée de programmation culturelle à la ville de Tarascon-sur-Ariège. Aujourd’hui, elle est à la fois bibliothécaire, conteuse et correspondante de presse. Elle s’investit avec passion dans plusieurs associations, dont L’Oiseau-Lyre qui organise chaque année le Salon du Livre de Tarascon-sur-Ariège, le 2e dimanche d’août.

    Son expérience littéraire : en tant qu’écrivain, elle a cosigné plusieurs ouvrages ethnographiques sur les Pyrénées ariégeoises, avant de se tourner en 1996 vers la nouvelle et le roman, sur les conseils d’un “parrain” de poids : Georges Coulonges. Ce besoin d’écrire a donné naissance à des textes salués par la critique, et récompensés par plusieurs prix. Son premier roman “Le crime du Gamat” a reçu en mai 2000 le prix Fabien Artigue de l’Académie des Jeux Floraux.

     

    oeuvres publiées seule ou en co écriture avec son mari :

    – Traditions pyrénéennes  , éd. Combier, 1984

    – L’Ariège d’autrefois , éd. Horvath, 1988

    – Vieux métiers et pratiques oubliées en Ariège , éd. Horvath, 1989

    – Découvrir l’Ariège , éd. Horvathn 1991

    – Veillées ariégeoises : recueil de nouvelles , éditions Lacour – 1996

    – L’Ariège au coin du feu :  recueil de nouvelles, éditions Lacour – 1998

    – Le crime du Gamat : roman historique , éditions Lacour – 1999

    – L’école de Niaux a 100 ans : essai , éditions Lacour – 2003

    – Pyrénéennes : recueil de nouvelles   éditions Pyrégraph – 2005

    – Le pot-aux-sous : nouvelle   in Revue Largevision n° 19 – 2007

    – Tri sélectif : nouvelle  in Revue  Largevision n° 23 – 2008

    Max et Denise Déjean : créateurs Le musée pyrénéen de Niaux http://www.originepyrenees.com/mag/interv/index.htm

    Lors du prochain salon du livre de Tarascon, Denise Déjean dédicacera son dernier roman « Lardoulens » paru chez Elan Sud.
    Cette parution commence à faire du bruit dans les collines ariégeoise ainsi que dans la presse et chez les lecteurs.
    « Les libraires nous appellent pour prévoir des séances de dédicaces, des lecteurs nous en commandent directement chaque jour. Cette sortie est une réussite pour cet auteur de Banat » annonce Dominique Lin son éditeur…

    Agenda de rencontres avec Denise en 20108 août de 10 h à 18 h:
    (09) Tarascon sur Ariège, salon du livre avec L’oiseau Lyre…
    Stand de la maison d’édition Elan Sud avec Denise Déjean et Dominique LIN.
    Sortie officielle du roman de Denise Déjean : « LARDOULENS » .
    14h30, table ronde animée par Aline PAILLER, journaliste à France-Culture : « La vie rurale dans les Pyrénées: la fin d’un monde? »
    avec Denise DEJEAN, Olivier de MARLIAVE et Alain LEYGONIE.

    23 août de 10 h à 13 h:
    (09) Mirepoix,  librairie des couverts
    7 place du maréchal leclerc
    Denise Déjean dédicace « Lardoulens »

    25 août de 10 h à 13 h:
    (09) marché de Ste Croix Volvestre,
    Denise Déjean dédicace « Lardoulens »

    28 août de 10 h à 18 h:
    (84) Coustellet, journée de la fête du livre…
    Stand de la maison d’édition Elan Sud : Denise Déjean, F. Hertier, D. Lin, A. Raoux-Granier.

    12 septembre de 10 h à 18 h:
    (09) Ax les thermes. Festival des saveurs
    Denise Déjean dédicace « Lardoulens »

  • Jean-Paul Tisseyre : « je suis persuadé que chacun est doué pour une chose mais nous n’avons qu’une vie pour le découvrir »

    tisseyre-photoNé le 07 novembre 1962 à La Bastide sur l’Hers, mon petit village d’Ariège que je n’ai  jamais quitté.  J’arrête les études contre l’avis de mes professeurs après un CAP, BEP mécanicien tourneur, fraiseur, ajusteur au collège Jacquard de Lavelanet pour passer 21 ans de tranquillité en tant que responsable maintenance à la Société Ariélux au village voisin.

    Je pouvais ainsi m’adonner à ma passion : la chasse (j’avais d’ailleurs négocié avec mon patron les mercredis en période d’ouverture), j’étais le plus heureux des hommes. En ce temps je pensai « tant que personne ne connaitra l’Ariège, nous serons tranquille ».

    Le temps a passé, bien des choses ont changé. Ma seconde passion a pris le pas sur la première et bien que je n’aie jamais vraiment songé à être coutelier, le destin m’y a mené ; la vie est faite de rencontres et la chance n’existe pas, elle se force.

    Moi qui était timide et renfermé, je me suis ouvert, qui ne voulait pas partager mon Ariège natale, j’invite le monde à la découvrir, qui n’avais qu’un CAP, j’ai un titre de MOF.

    Aussi incroyable que cela paraisse, je n’ai jamais vu une personne fabriquer un couteau et ma plus grande satisfaction est d’être arrivé à imposer ma technique et mon style au plus prestigieux des jurys.

    Aujourd’hui, j’ai gardé de ma première passion de merveilleux souvenirs ; la nature et le gibier étaient encore « sauvages », j’ai besoin quelques fois de gravir la montagne, pour me ressourcer. Préservons là !

    « je suis persuadé que chacun est doué pour une chose mais nous n’avons qu’une vie pour le découvrir » Jean-Paul Tisseyre pour Azinat.com – juin 2010

    Le site de Jean-Paul Tisseyre : http://www.couteaux-tisseyre.com

  • Florent Adroit un ariégeois au festival EMERGENZA à Toulouse chante ARIEGE MOUN PAIS

    florent-adroit-concert-armounpaisFlorent Adroit présentait pour la première fois en concert, le nouveau morceau « ARIEGE MOUN PAIS » au Festival EMERGENZA au Studio One à Toulouse Mercredi 5 mai à l’occasion de la demi-finale. Une soixantaine de Fans venant d’Ariège et de Toulouse sont venus l’encourager lui et ses trois camarades (Ludovic à la basse, Xavier à la guitare et Mickaël à la batterie). La présence de tous ses fans n’a malheureusement pas permis à Florent de se qualifier pour la finale, les votes se faisant à main levée, mais comme il le dit lui même, « on est venus là pour se faire plaisir » et c’est vrai qu’on s’est fait plaisir, surtout quand le groupe a entonné  « ARIEGE MOUN PAIS », l’hymne ariégeois revisité  avec des accents reggae.

    Cet été le groupe partira certainement en tournée avec Radio Montaillou et enchaînera festivals et concerts. On leur souhaite beaucoup de succès.

    Les photos du concert à visionner

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  • Frédérique MASSAT : « L’Ariège entre traditions et authenticité cultive sa qualité de vie dans un écrin de nature et de solidarité façonné par les hommes à travers les siècles ».

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    Mon engagement pour l’Ariège s’est fait naturellement au fil de prises de responsabilités politiques croissantes.

    Riche de sa diversité, des ses femmes et de ses hommes et de ses ressources naturelles, l’Ariège fascine par sa capacité à incarner l’authenticité sur un air de modernité.

    Confronté aux défis majeurs de développement, pour ne pas sombrer dans l’oubli, nous revendiquons à ses côtés notre volonté de vivre et d’exister et pas seulement sur des cartes postales.

    Frédérique MASSAT Députée : « L’Ariège entre traditions et authenticité cultive sa qualité de vie dans un écrin de nature et de solidarité façonné par les hommes à travers les siècles » pour Azinat.com, mai 2010

  • Michel Sébastien : « L’Ariège, l’asile que choisit l’été pour passer l’hiver »

    michel-sebastienJ’ai 73 ans mais reste toujours jeune ! Et en plus manie l’humour avec allégresse. Je suis un métèque que l’Ariège a accueilli avant la guerre, non pas celle de 14/18 tout de même. Et donc je dis merci l’Ariège, merci la France de nous avoir, nous tous les immigrés, si bien accueilli. Depuis toujours j’ai la passion de ce pays, de sa somptueuse nature, de ses montagnes, de son eau. C’est pourquoi j’ai créé en 1973 l’association pour la protection des rivières et sites d’Ariège. La même année, avec quelques amis, nous avons commencé à nous intéresser à la création d’un parc national. Cela a abouti en 2009 à la création du Parc Naturel Régional des Pyrénées Ariégeoises. On peut donc espérer que dans 37 ans de plus ! on verra la création du Parc Pyrénéen des trois Nations avec l’Andorre et l’Espagne. Par ailleurs j’ai un peu publié sur des choses sérieuses (géographie : « Torrents et rivières d’Ariège* ») sur des choses agréables (sur la montagne : « Mais où sont les neiges d’antan *») et même sur l’humour, « Sourires d’un  mountagnol ariégeois * » Je fais quelques publications sur divers médias, en particulier une chronique humoristico-légère sur Ariègenews . Enfin, ma dernière «couillonnade», je fais parti des 1200 français volontaires pour être cobayes ou « cow-boy » au choix, sur l’étude de la maladie d’Alzheimer.

    Quel beau programme d’avenir !

    Michel Sébastien pour Azinat.com Avril 2010

    Crédits photos :Ariegenews

    *Editions. Lacour – ollé : www.editions-lacour.com

  • Brigitte Proust : l’Ariège ? : « Un pays qui vous rend fort »

    brigitteproustpostJe ne saurai me tenir éloignée plus d’un an de « mon » Roc de Caralp. C’est en effet à son pied que ma mère est née et que la légende familiale s’est développée (au lieu du restaurant le Grand Gousier). Parisienne de naissance, je me vis comme une ariégeoise en exil.

    De formation à la fois scientifique et musicale, Brigitte Proust est professeure de chimie en classe préparatoire au Lycée Louis Le Grand à Paris.

    Passionnée de chimie, elle a écrit de nombreux ouvrages d’enseignement pour le secondaire et l’enseignement supérieur, ainsi que des livres pour le grand public.

    Chanteuse mezzo-soprano, elle s’est spécialisée dans le chant médiéval et se perfectionne depuis plusieurs années au Centre de Musique Médiévale de Paris sous la direction de Brigitte Lesne. Elle a souvent animé avec son compagnon Dominique Proust les concerts du marché en l’abbatiale St Volusien à Foix.

    L’Ariège ? : « Un pays qui vous rend fort » – Brigitte Proust pour Azinat.com – mars 2010

    Ses deux derniers ouvrages (aux éditions Seuil) : « Bel & Bio , Nature et chimie douce » « Petite géométrie des parfums »

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  • Anne-Sophie Terral : « L’Ariège, parsemée de rencontres …»

    La quiétude d’un agriculteur, la foi d’un écologiste, les arguments d’un chasseur, les inquiétudes d’un homme politique local, le destin d’un immigré échoué au beau milieu des Pyrénées…

    Entre des projets visionnaires et un certain traditionalisme bien trempé, l’Ariège a l’art de rassembler les contraires qui finissent par fusionner dans un tout inimitable, chaotique parfois, passionnant surtout…  quand on est comme Anne Sophie Terral, journaliste dans le département.

    Originaire de Toulouse, et après des études à Sciences Po Lille, la jeune femme de 23 ans a atterri dans l’Ariège pour travailler comme journaliste pour AriegeNews.com, un site d’information sur le net en plein boom. Une opportunité en or pour elle d’intégrer une équipe de travail soudée et créative.

    Entre l’écriture et la vidéo, son quotidien consiste à arpenter vallées, villes, et villages pour en extraire la substance, en racontant avec le plus de justesse possible ce qui est vu, entendu, perçu.

    Travailler dans un département rural, c’est aborder des problématiques globales mais en partant d’une situation et d’un vécu local. Au niveau où les choses se passent, où les projets émergent et se façonnent, là où les conflits parlent vrais aussi.

    Bref, pour commencer une carrière, pour rien au monde, la jeune journaliste ne voudrait être ailleurs qu’en Ariège.

    Anne-Sophie Terral pour Azinat.com Mars 2010 : « L’Ariège, parsemée de rencontres …

  • Anne-Sophie Terral en tête des 100 personnalités qui font parler de l’Ariège sur le Net

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    Ça y est, le nouveau classement des « Ambassadeurs de l’Ariège sur le Net », le maintenant fameux « Who’s Who des personnalités de l’Ariège » vient d’être publié le 8 mars 2010 (journée de la femme). Beaucoup de changement en tête du classement. Si le dernier classement avait vu une féminisation du top 10, celui de mars 2010 propose un rajeunissement. Bien entendu des nouveaux ont intégré le Who’s Who (Philippe Lacube, Paul Fontvieille, Michel Sébastien, Patrick Caujolle et Josiane Gouze-Fauré). La surprise du mois de mars c’est donc l’ascension fulgurante d’Anne-Sophie Terral qui occupe aujourd’hui la première place de ce classement. Journaliste à Ariegenews, elle fait découvrir tous les recoins de l’Ariège à ses lecteurs et est surtout reprise et rediffusée sur de nombreux blogues qui parlent de l’Ariège. On note que la classe politique ariégeoise est encore aux premiers rangs et qu’elle fait parler d’elle sur le Net, avec notamment Paul-Louis Maurat délaissé par son parti aux régionales, Frédérique Massat toujours première femme politique du who’s who et Michel Teychenné qui a remué ciel et terre pour les régionales 2010 dans le lanterneau politique (PS) et subit la polémique après avoir annoncé son homosexualité dans la presse.

    Découvrir le classement intégral du 8 mars 2010

  • Fabien Pelous : « L’Ariège, ici ce sont mes racines ! »

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    Joueur de l’équipe de France de Rugby, le plus capé avec plus de 113 séléctions. Originaire de Saverdun. Fabien Pelous (dit Le Pélican à ses débuts professionnels), né le 7 décembre 1973, est un joueur de rugby à XV français. Il joue en équipe de France et évolue au poste de deuxième ligne au sein de l’effectif du Stade toulousain (1,98 m pour 112 kg). Il a une formation de kinésithérapeute.
    Formé à Saverdun (Ariège) et issu d’une famille locale d’agriculteurs, il joue au Stade toulousain depuis 1997, après deux saisons à l’US Dax. Il a été capitaine de l’équipe de France et du Stade toulousain, il a battu le record de sélections en équipe de France avec plus de 118 capes depuis le 13 Octobre 2007: Un record !

  • Floriane Caux : « L’Ariège et ses paysages source d’inspiration »

    floriane_cauxFloriane Caux naît à Pamiers le 18 Mars 1988. Après des études de Photographie à l’ETPA de Toulouse, elle s’installe à son compte en tant qu’Auteur-Photographe en juillet 2009. Elle est une rêveuse plus qu’une chasseuse d’images. C’est en réinventant le monde dans lequel nous vivons qu’elle se complait. Les rêves, la douceur, la musique, les associations d’idées, les sourires… Elle prend tout ça au vol, le mélange dans un shaker géant caché dans un coin de sa tête et se donne entièrement dans ce qui défile devant ses yeux pour en faire au mieux des photographies, au pire, des bribes d’idées qui s’installeront plus tard en image latente.

    C’est la frontière entre rêve et réalité qui l’intéresse le plus, mêler la perte de toute dimension ou de temporalité afin de transporter les regards dans un univers onirique. Il y a cette idée de fragmenter, de montrer le réel et l’imaginaire en même temps. Avec un esthétisme féminin, elle aime raconter des histoires, laisser place à l’imagination du spectateur. Il faut aller au-delà du visible, s’imprégner des pixels de ses images, fermer les yeux, retenir son souffle et s’adonner à de merveilleux voyages qui nous transportent haut et loin. Elle ne veut pas soumettre d’identité à ses photographies, préférant le mystère à l’évidence.

    Valsant, virevoltant entre rêve et réalité, les photographies de Floriane Caux sont de véritables petites comptines qui permettent de s’évader de notre quotidien. A côté de ses projets personnels, elle travaille dans l’événementiel : Mariages, reportages de concerts, théâtre de rue, photos de presse pour les artistes…

    Plus d’informations sur http://www.myspace.com/floriane.caux

    Floriane Caux – « L’Ariège et ses paysages source d’inspiration » pour azinat.com Février 2010

    Crédits Photo : ©Amel Kerkeni

  • Philippe Lacube « rien ne définit mieux l’Ariège que ces mots de mots de mon grand-père :la seule richesse des gens de là-haut, c’est la liberté. »

    philippe_lacubePhilippe Lacube est né en 1963 à Foix. Le fil rouge de sa vie, c’est le lien qui unit l’homme à la montagne, dans les Pyrénées, les Andes, l’Atlas ou les Aurès. « Etre enraciné dans sa culture donne les clés pour comprendre celle des autres ». Aussi c’est le même petit mountanhol qui après avoir usé ses godillots sur les crêtes de Haute-Ariège, est parti découvrir le monde à la rencontre des communautés indiennes Quechua.

    ll revient au pays en 1995 pour créer la ferme du Quié aux Cabannes. La ferme du Quié, c’est le mariage de l’élevage traditionnel bovin transhumant (de race Gasconne) avec une dynamique commerciale permettant de vivre dignement de ce métier et de créer de l’emploi. Pour générer cette valeur ajoutée, Philippe a créé un réseau de vente du producteur au consommateur (viande veau et bœuf, canard gras), et des gîtes au village.

    Il anime dans sa grange l’hiver et sur le plateau de Beille en été, des balades pédagogiques qui rencontrent un succès considérable. « Paysan libre des Pyrénées », comme l’a qualifié Yann Arthus-Bertrand, parfois rebelle, toujours très attaché à la légitimité des peuples à décider de leur avenir et de leur développement, il s’est beaucoup investi dans le combat de l’ours. Aujourd’hui Philippe Lacube partage son temps entre sa ferme, la présidence du CER France-Ariège, ses missions de consultant international en développement rural. Et on le rencontre toujours sur les crêtes de l’Aston avec ses amis bergers …

    « Pour moi, rien ne définit mieux l’Ariège que ces mots de mon grand-père : « la seule richesse des gens de là-haut, c’est la liberté. » Justin Lacube, 1925 – Philippe Lacube pour le Who’s who d’azinat.com – Janvier 2010

    Découvrir la ferme du Quié : 05.61.64.91.36 http://www.lafermeduquie.com/

  • Frédérique Massat : Députée de l’Ariège

    massatFrédérique Massat est née le 14 janvier 1964. Cette jeune femme au caractère bien trempé n’a pas eu besoin de se battre pour se faire un prénom… élue à la mairie de Foix puis Conseillère Régional en charge du développement durable auprès de Martin Malvy, fidèle à ses engagements et à son Ariège, elle bataille aujourd’hui sur les bancs de l’Assemblée. En quelques mois, Frédérique Massat a réussi à faire sa place dans ce milieu machiste, à force d’opiniâtreté et de travail, elle commence à récolter les fruits de ses prises de position. Elle est aujourd’hui députée de l’Ariège, Membre de la commission des affaires économiques de l’Assemblée Nationale et Maire Adjointe de Foix.