Catégorie : z-newsletter

  • Tour de France 2019 : la Grande Boucle au Prat d’Albis

    Tour de France 2019 : la Grande Boucle au Prat d’Albis

    La 106ème course du Tour de France partira le 6 juillet de Bruxelles, en hommage à Eddy Merckx pour les 50 ans de la première de ses cinq victoires sur l’épreuve.

    Elle sera attendue dimanche 21 juillet avec une montée inédite au Prat d’Albis. L’Ariège sera donc à nouveau sous les feux des projecteurs pour cette 106ème édition.

    Gare aux embouteillages, nous prévient notre ami CIRE 

    © Cire Illustrateur www.cirebox.com

    En savoir plus sur les étapes : www.ladepeche.fr

  • Derrière la vitrine du Festival MIMA

    Derrière la vitrine du Festival MIMA

    MIMA à l’année c’est : une saison culturelle, des résidences de territoire, des résidences artistiques, des ateliers marionnettes enfants / ados, son festival international et bien d’autres activités. C’est aussi 5 salariés permanents travaillent toute l’année au bon fonctionnement de l’association.

    Aujourd’hui, la situation demeure fragile et précaire.

    Les évolutions du festival Mima et de sa structure associative sont significatives depuis quelques années (reconnaissance, nouveaux partenariats, développement du projet artistique et culturelle), en parallèle d’une reconnaissance de la marionnette par le ministère. Les arts de la marionnette connaissent une dynamique de structuration et de renouvellement ces 30 dernières années, comme en témoigne l’étude de Lucile BODSON Les Arts de la Marionnette en France – Etat des lieux réalisée en 2016 pour le ministère de la culture.Le dynamisme de l’Occitanie ressort comme la 2ème région la plus importante de France en nombre de compagnies. Fort de ce constat, des concertations régionales s’engagent en 2018 à l’initiative de la DRAC Occitanie et de la Plateforme Marionnette, pour l’élaboration d’un SODAM (Schéma d’Orientation pour le Développement des Arts de la Marionnette).

    Dans ce contexte de structuration de la profession, une réflexion concertée s’est mise en place depuis janvier 2018 pour trouver des solutions à la « précarité durable » dans laquelle les acteurs de la marionnette de la Région Occitanie sont installées depuis trop longtemps. L’association FILENTROPE qui porte le festival MIMA n’y échappe pas.

    C’est pourquoi MIMA vous invite à une réunion publique lors de l’AG pour vous faire partager les enjeux du développement de l’association, ses répercussions sur la ville de Mirepoix et son territoire environnant, et la création.

    Réunion publique / Assemblée Générale MIMA
    Mercredi 17 octobre 2018 – 17h00 
    Salle Paul Dardier à Mirepoix

    Confirmez-nous votre présence par mail : comm.mima@artsdelamarionnette.com 

    Téléchargez la Convocation à l’AG / Réunion Publique 2018

  • Lâcher d’Ours : les associations FERUS et Pays de l’Ours-Adet communiquent

    Lâcher d’Ours : les associations FERUS et Pays de l’Ours-Adet communiquent

     Le sauvetage de l’ours en Béarn est en marche ! 
     
     En 2004, le cadavre de l’ourse Cannelle, dernière ourse béarnaise, a été transporté par hélicoptère ; ces images ont choqué des millions de Français. Quatorze ans après, le retour des ourses en Béarn se fait par les airs, tout un symbole. Il faut des millions d’années pour créer une espèce, et quelques dizaines seulement pour la détruire … ou la sauver.
     
    La deuxième ourse promise a été lâchée ce jour en Béarn.
     
    Ce renforcement de la population d’ours des Pyrénées occidentales répond à la demande de 73% des habitants des Pyrénées-Atlantiques et des Hautes-Pyrénées.
     
    Grâce à son plan « ours » et son plan pour la biodiversité parus en 2018, la France poursuit son action pour respecter à terme ses engagements européens vis à vis de la restauration d’une population d’ours dans les Pyrénées.
     
    FERUS et Pays de l’Ours-Adet saluent le travail accompli ces derniers mois par les services et responsables de l’État.
     
    Nos principales demandes, nos alertes, nos objections :
     
    Nécessité absolue de protéger les ourses des poursuites des anti-ours par un dispositif exceptionnel et durable pendant au moins un an (brigades anti-braconnage de l’ONCFS, gardes ONCFS habituels et gardes du Parc National des Pyrénées) ;
     
    Ce renforcement est limité puisque la dernière expertise scientifique (MNHN, 2013) précise qu’il faudrait lâcher 6 à 17 ours sur l’ensemble des Pyrénées pour réduire de façon satisfaisante les risques d’extinction. Nécessité de recommencer à travailler pour atteindre l’objectif que la France s’est fixé dès 1992 ;
     
    Suite au retour de l’ours en Pyrénées centrales il y a maintenant 22 ans, on constate que cela n’a pas été la fin des activités humaines dans les Pyrénées. Ce ne sont pas seulement 2 femelles en Haut-Béarn qui vont révolutionner la vie des montagnards les plus habitués à cohabiter avec l’ours (exemple : le Patou des Pyrénées a toujours été employé en Haut Béarn) ;

    Une bonne quarantaine d’ours vivent désormais dans les Pyrénées grâce à plus de 20 ans d’énormes efforts associatifs et grâce aux coups de pouce de l’État. Ces ours, contrairement à ce que prédisaient tous les opposants, n’ont mis fin ni au pastoralisme, ni à la chasse, ni au tourisme, ni au commerce local, ni à la fréquentation de la montagne. Les faits donnent le ton : les ours sont là et les Pyrénées ne s’en portent pas plus mal, bien au contraire.

    Enfin, tous nos remerciements aux élus locaux qui ont tenu bon face aux pressions, à une violence écœurante des opposants à l’ours et à leurs exactions ou appels aux exactions.

    Contacts : Alain Reynes : 06 13 59 29 76 / Sabine Matraire : 06 71 89 62 62

  • Lâcher d’ourses : la Confédération Paysanne communique

    Lâcher d’ourses : la Confédération Paysanne communique

     Lâcher d’ourses : le mépris pour l’élevage pastoral doit cesser.

    C’est par hélicoptère qu’a dû se faire ce matin l’introduction des deux ourses dans les Pyrénées, selon des témoignages recueillis par France Bleu Béarn, ce qui témoigne du climat de tension qui règne dans la vallée d’Aspe du fait de la non-écoute du Ministère sur ce dossier.

    Il est vraiment regrettable que l’État ne mette pas les mêmes moyens pour faire baisser la pression de la prédation en Ariège, alors que même les dossiers de dommages « ours » dans ce département atteignent le nombre de 379 (au 20 septembre 2018) contre 239 en 2017.

    La Confédération paysanne regrette une nouvelle fois que ne soit pas pris en compte l’impasse dans laquelle se trouvent les éleveur-e-s et berger-e-s confrontés à la prédation ni l’avis des populations concernées. Les moyens de protection existants (chiens, clôtures, gardiennage…) ont très largement montré leur limite. Nous rappelons la nécessité de la création d’une brigade de piégeage non létal et d’effarouchement des ours. Qu’envisage le gouvernement pour remplir son obligation de protection des troupeaux conformément à l’article L113-1 du code rural ? Pour atteindre cet objectif, la protection des troupeaux doit intégrer à minima cette possibilité d’action sur le prédateur.

    La Confédération paysanne exige donc de l’Etat qu’il entende enfin la détresse exprimée et les difficultés que pose la prolifération des grands prédateurs comme l’ours dans les territoires d’élevage pastoral et qu’il y réponde par des actes forts.

    Contacts Ariège :

     David Eychenne, Porte-parole : 06 47 65 08 33
    –  François Thibaut, commission ours Ariège : 06 81 18 83 82

     

  • Pose de la première pierre de la caserne de Gendarmerie de Lavelanet : un « acte fondateur » pour la Préfète

    Pose de la première pierre de la caserne de Gendarmerie de Lavelanet : un « acte fondateur » pour la Préfète

    Chantal Mauchet, préfète de l’Ariège, le Colonel Wanecque et Marc Sanchez maire de Lavelanet ont posé, ce vendredi 21 septembre à 11h, la première pierre de la future caserne de gendarmerie de Lavelanet sur le chantier, rue Napoléon Peyrat.

    «Je suis ravie d’avoir été invité » a glissé la Préfète, avant de se tourner vers le maire de Lavelanet : « on a senti votre émotion, votre dynamisme, toute votre volonté.»  

    « Une synergie État, gendarmerie, Mairie, en faveur de cette construction»

    C’est donc en présence d’élus de la majorité, du territoire, de la sous-préfète de l’arrondissement de Pamiers Agnès Bonjean, du Colonel Didier directeur du SDIS, du commissaire divisionnaire Christine Bertrand (Directrice de la Direction Départementale de la Sécurité Publique), du directeur du CHIVA-Lavelanet Jean-Marc Viguier et de Bénédicte Taurine Députée qu’a eu lieu la pose de cette première pierre. « Merci de m’avoir invité. C’est très émouvant ; on sait que l’on débute quelque chose aujourd’hui ; c’est un acte fondateur», a indiqué la Préfète alors qu’elle posait la première pierre. Pour Marc Sanchez, « ce que nous fêtons aujourd’hui, c’est la poursuite d’un service public qui va permettre à nos gendarmes de poursuivre leurs missions dans un cadre plus adapté et modernisé. C’est un acte, certes symbolique, mais cet acte donne confiance à nos concitoyens pour qui la sécurité est un enjeu important de qualité de vie, et qui complète le triptyque que nous portons santé (avec le futur hôpital, sécurité, et bien-être avec la rénovation d’abord et ensuite la construction de la piscine municipale couverte qui pourrait intervenir en début d’année). Les élus du groupe majoritaire se joignent à moi pour remercier une nouvelle fois les services de la préfecture et ceux du colonel Waneque pour leur engagement et leur disponibilité envers notre Ville comme pour le Pays d’Olmes.» Salle d’honneur de l’Hôtel de Ville, Chantal Mauchet a rappelé: « l’État a consacré 1/3 des 3M d’euros de cette construction. Je remercie très chaleureusement Mr le Maire de Lavelanet, sa Ville pour leur investissement envers nos gendarmes. » Propos relayés par le Colonel Wanecque : le projet a eu des hauts et des bas, mais aujourd’hui, le chantier est lancé. Dans 19 mois, la brigade de Lavelanet pourra travailler dans des locaux adaptés, et les familles seront logées dans un bel endroit » (la future ancienne gendarmerie date de 1957. «  Bien que porté par la seule municipalité de Lavelanet avec regret je le dis ici même, ce projet est un projet de territoire qui profitera à tous nos concitoyens du Pays d’Olmes » a conclu Marc Sanchez. Concernant les travaux, le Colonel Wanecque a souligné : « le cahier des charges est très strict. Les Affaires immobilières de la Gendarmerie participeront toutes les semaines aux réunions de chantier avec l’équipe du Maître d’œuvre Sébastien Chevallier et le Directeur des services techniques Alexandre Pereira. »

    Avant que tous ne se quittent, Marc Sanchez a offert aux deux représentantes de l’État le livre : « Lavelanet… Une histoire au fil du temps » édité par la municipalité et a glissé à Chantal Mauchet : « une autre page de l’histoire de Lavelanet s’ouvre aujourd’hui, une histoire que nous écrirons ensemble Madame la Préfète. »

  • Fête de la noisette à Lavelanet : une 19ème édition réussie

    Fête de la noisette à Lavelanet : une 19ème édition réussie

    Comme chaque année depuis 19 ans, la fête de la noisette rythme la vie festive de la cité de la noisette ou Avellana (en latin) au moment des premiers jours de l’automne. Pour cette 19ème édition Marc Sanchez recevait comme chaque année une délégation d’habitants de Tregueux dans les côtes d’Armor qui se joignent aux producteurs locaux. 

    Après un samedi où la fréquentation était « mitigée » au dire des exposants, le Dimanche a fait le plein sous un soleil radieux ! Une centaine d’exposants nous précise le président Olivier Canipel heureux d’avoir pu réunir cette année « un village des producteurs et des éleveurs » complet ; l’an passé (pour cause de grippe aviaire), les gallinacés n’avaient pas pu se joindre à la fête.

    Marc Sanchez qui a inauguré cette 19ème fête an matinée samedi, a aussi annoncé que le terrain laissé libre et qui devait accueillir l’hôpital permettra dès 2019 d’accueillir notamment la fête de la Noisette et portera le nom d’André Roudière, en hommage à cet industriel qui fit la richesse de la ville dans son passé.

  • Oh la belle récolte !  Aux vergers de Gailladé cette année, on a fait le plein de pommes et de poires!

    Oh la belle récolte ! Aux vergers de Gailladé cette année, on a fait le plein de pommes et de poires!

    Les années se suivent et ne se ressemblent pas. L’an passé, les éléments s’étaient déchaînés sur les vergers ; cette année : la pluie, le soleil et des filets de protection contre la grêle ont permis à Franck et Sabine Lopez des Vergers de Gailladé de faire le plein de fruits ; gros, bien sucrés, juteux…et en quantité !

    Sabine Lopez nous reçoit entre deux « clients » habitués ou curieux qui viennent remplir leur voiture et leurs sacs de pommes tout juste cueillies. Car à la propriété, on peut venir ramasser ses pommes ou ses poires depuis les années 80 quand les beaux parents tenaient encore « la boutique ».
    Aujourd’hui c’est Sabine Lopez qui reçoit du Lundi au Dimanche de 8h30 à 19h00 pendant la pleine saison de la cueillette, les habitués ou clients de passage au magasin de la propriété.

    On peut ramasser ses fruits pour les amoureux de la cueillette, mais on peut aussi directement se faire conseiller par Sabine sur les quantités, la qualité des fruits selon ce que on veut en faire ; les peser, panacher les variétés et y ajouter les jus voire d’autres produits locaux qui sont proposés sur place.

    Nous sommes déjà en octobre et la saison des premières poires est presque terminée ; la « Conférence » pointe son nez et les autres pommes Gala, Golden, Goldfish, Elstar et autres variétés nous tendent les bras !

    Il y en aura peut-être pour tout le monde, surtout que l’accueil à la ferme se fait jusqu’en Avril, mais l’hiver sera passé par là !

    Plus d’infos sur : www.vergers-de-gaillade.fr

    Les Vergers de Gailladé, établissement situé à Mirepoix, dans le département de l’Ariège, propose un large choix de fruits. Dans la famille, depuis le début des années 80, l’exploitation produit et commercialise pommes, poires, jus et pétillants, mais aussi de délicieuses confitures et eaux-de-vie. Un terroir d’exception, sur les rives de l’Hers, aux portes de Mirepoix, pays de la pomme. De fin août à début novembre, venez récolter vos fruits et passer un bon moment en famille. Venez découvrir une exploitation agricole et son environnement – Cueillette libre pour les individuels et en groupe (sur réservation).

  • Encore une ariégeoise pour le prix « Femina Numerica » Occitanie

    Encore une ariégeoise pour le prix « Femina Numerica » Occitanie

    C’est la deuxième année consécutive que le titre de « Femina Numerica » de la Mêlée Numérique est décerné à une ariégeoise. Un titre attribué à un homme (Homo Numericus) et à une femme (Femina Numerica) pour leur action en faveur du développement du numérique dans les organisations et la société.

    Les trophées de l’Homo Numéricus et Femina Numérica récompensent deux personnes pour leur action de promotion du numérique dans la Région Occitanie ; à ce titre Aurélie Julien, cheffe de projet LUDOVIA (Université d’été du numérique dans l’éducation) et rédactrice en chef de LUDOMAG (magazine en ligne spécialisé dans le même domaine) a été récompensée et nommée Femina Numerica  jeudi 27 septembre dernier à Toulouse au « Quai des Savoirs », lors d’une soirée de remise des prix pour le 18ème anniversaire de la Mêlée.
    Son prix lui a été remis par le président du Conseil Départemental de la Haute-Garonne.

    Aurélie Julien a été félicitée, après son passage à la tribune, par Nadia Pellefigue en personne qui connaît l’Université d’été LUDOVIA depuis quelques années et qui s’était déjà rendue à Ax-les-Thermes en compagnie de Martin Malvy, alors Président de la Région, lors d’une inauguration de cette même Université d’été.

    Aurélie, qui travaille en Ariège, succède à Annie Fachetti également en fonction dans le département et à qui le prix avait été décerné en 2017 pour son action en faveur du télétravail en région Occitanie.

    «Ce prix récompense indirectement l’action du département qui apporte son soutien indéfectible à LUDOVIA depuis sa création», précise Aurélie.
    LUDOVIA accueille aujourd’hui chaque année un millier d’enseignants, de chercheurs et d’industriels francophone du monde entier et en particulier d’Occitanie pour échanger sur les nouvelles pratiques pédagogiques à l’aide du numérique. Son modèle d’Université d’été s’exporte depuis peu à l’étranger avec une première édition d’un LUDOVIA en Suisse (dans le canton de Vaud) lors de laquelle Henri Nayrou, Président du Conseil Départemental avait été invité. (Voir notre article)

    Plus d’infos sur la Mêlée : www.meleenumerique.com, sur LUDOVIA : www.ludovia.org

    Crédits Photos Azinat.com TV : Nadia Pellefigue (en haut) qui félicite la cheffe de projet dans un « Twitt » et photo du bas de gauche à droite : Aurélie Julien, Annie Fachetti en compagnie de l’animateur de la soirée de remise des prix, Nicolas Vitry.

  • NATTUR : un séminaire européen pour promouvoir une économie des activités de pleine nature dans le respect de l’environnement

    NATTUR : un séminaire européen pour promouvoir une économie des activités de pleine nature dans le respect de l’environnement

    Le Département de l’Ariège a accueilli le séminaire européen NATTUR au Parc de la Préhistoire à Tarascon. Le projet de coopération transfrontalière NATTUR vise à promouvoir et développer les activités de pleine nature, en alliant économie et développement durable dans l’espace frontalier Espagne-France-Andorre.

    Plus d’une centaine de personnes ont pu participer aux ateliers, tables rondes, rencontres informelles et échanges d’expérience. Ainsi, le retour d’expérience du réseau de 51 refuges et gîtes autour du Mont-Blanc démontre combien la coopération volontaire, les échanges et le partenariat peuvent apporter des réponses concrètes et efficaces. Des solutions simples et efficaces au service d’un projet commun sur trois pays (France, Italie et Suisse), telles que le développement de plateforme de réservation commune, la stratégie de communication ont fait leur preuve.

    Il ressort par exemple que transmettre la culture de la montagne à de jeunes publics urbains apparaît comme un défi pour renouveler la fréquentation touristique. De plus en plus d’habitants des villes n’ont jamais fréquenté le milieu montagnard dans leur jeunesse. Et la montagne ne les attire pas nécessairement une fois l’âge adulte venu. L’UCPA a présenté des exemples d’actions à conduire pour faire vivre des expériences aux plus jeunes, et diffuser chez eux les prémices d’une « culture montagne ». Un enjeu majeur pour le tourisme Pyrénéen.

    Enfin, à l’occasion de la table ronde officielle, chacun s’est accordé sur la nécessité d’imaginer de nouveaux modèles pour le tourisme en montagne. Le partenariat entre collectivités territoriales et le monde de la recherche universitaire tel qu’il existe dans le projet NATTUR est un atout indéniable. La force de proposition des acteurs de la recherche universitaire est mobilisée sur des questions concrètes.

    Le budget du projet NATTUR mobilise ainsi plus d’1,7 millions d’euros, cofinancés à hauteur de 65 % par le Fonds Européen de Développement Régional (FEDER) dans le cadre du Programme Interreg V-A Espagne- France-Andorre (POCTEFA 2014-2020). L’objectif du POCTEFA est de renforcer l’intégration économique et sociale de l’espace frontalier Espagne-France-Andorre. Son aide est concentrée sur le développement d’activités économiques, sociales et environnementales transfrontalières par le biais de stratégies conjointes qui favorisent le développement durable du territoire.

    Source et Photo : ©CD09

  • Savourez, Cuisinez l’Ariège ! : Un livre de recettes 100% Ariégeoises

    Savourez, Cuisinez l’Ariège ! : Un livre de recettes 100% Ariégeoises

    La Cité du Goût et des Saveurs de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de l’Ariège est très heureuse de présenter la concrétisation de son projet financé par l’Europe par le biais de LEADER, un livre de recette typiques Ariégeoises nommé « Savourez, cuisinez l’Ariège ».

    Il sort bientôt ! le livre de recettes Ariégeoises créé par l’équipe de la Cité du Goût et des Saveurs de l’Ariège sortira en novembre 2018 après 2 ans de travail passionnant de recueil de recettes et de coordination de création d’un livre.

    « Savourez, Cuisinez l’Ariège ! » propose 45 recettes, dont 14 enregistrées par des chef Ariégeois en vidéo sur youtube, non seulement vous aurez la recette sur le livre mais vous aurez aussi le tutoriel en vidéo. Et ce n’est pas tout, vous trouverez le livre illustré de photos et de 10 apports historiques.

    Avant de lancer l’impression du livre, un financement participatif a été lancé le 7 septembre 2018, grâce à KisskissBankbank. Ce financement participatif servira à pré commander le livre à un prix préférentiel avant sa sortie officielle. Cela permettra de savoir combien de livres seront édités et permettra aussi de soutenir financièrement le projet pour assumer le coût des photos et l’impression du livre. Sur le site de KKBB, vous pourrez trouver le projet sous le nom « le livre de recettes 100% de la Cité du Goût et des Saveurs ».

    https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-livre-de-recettes-100-ariegeoises-de-la-cite-du-gout-et-des-saveurs

    Une animation dédiée au livre et au financement participatif :

    Le samedi 13 octobre 2018 à partir de 14h00 : « MIREPOIX MET LE COUVERT » la fête de la gastronomie Mirapicienne, accueille la cité du goût et des saveurs pour une animation démonstration/dégustation spéciale « Savourez, Cuisinez l’Ariège ». Bernard Fraisse et la blogueuse Laetitia Bicheyre feront la démonstration culinaire de deux recettes du livre. De plus, nous visionnerons en exclusivité une des deux recettes en vidéos. Et ce n’est pas tout, Sylvie Campech, historienne culinaire entamera un échange avec ces deux chefs afin de confronter son discours scientifique durant la démonstration (Une animation en collaboration avec Pays d’Art et d’Histoire)

  • Thierry Fischer : « La Maison des Pêcheurs » son nouveau roman

    Thierry Fischer : « La Maison des Pêcheurs » son nouveau roman

    Originaire de Pamiers, Thierry Fischer a vécu sa petite enfance dans l’Ariège. Au gré des différentes affectations de son père, proviseur de Lycée, il a connu l’Extrême Orient, l’Afrique, la Polynésie pour finalement revenir en Ariège à Saint Girons.

    En 1968, étudiant en droit à la Faculté de Toulouse, il rencontre son épouse originaire du Mas d’Azil. Il connait donc bien le pays ariégeois et en particulier le Plantaurel qu’il a eu l’occasion de sillonner en accompagnant à l’occasion son beau-père médecin de campagne. Il a toujours eu l’envie d’écrire mais sa carrière professionnelle ne lui en a pas laisser l’occasion. Aujourd’hui retraité, il a décidé de se lancer ! C’est son épouse qui a découvert le Cabinet Vox Scriba® et la maison d’édition indépendante de Florence Cortes.

    C’est ainsi que « Le Messager de la Bastide » a pu voir le jour en 2016. L’histoire qui se déroule dans le comté de Foix en pleine guerre de religions au XVIIe siècle est celle d’un cavalier inconnu, arrivé mystérieusement à la Bastide qui accepte de participer à sa défense lorsque celle-ci est assiégée par l’armée royale.

    Dans « La Maison des Pêcheurs » qui vient de paraître, il nous raconte l’errance d’un jeune homme livré à lui-même, bien décidé à survivre par tous les moyens, qui finira par perdre sa foi, dans un pays d’Afrique en proie à un brutal changement climatique, au pillage de ses ressources naturelles, à une guerre civile sans fin et à la corruption de sa classe politique.

    On parle dans les ouvrages de Thierry Fischer d’intégrisme, du refus de soumission, de révolte, des causes que l’on soutient ou combat et du hasard de la naissance qui oriente grandement nos vies bien plus que nos choix. Ces fictions romanesques se veulent porteuses d’espoir et de paix et ouvrent la porte à de nombreuses réflexions et discussions.

    L’auteur dédicacera ces deux ouvrages le vendredi 12 octobre au Relais de Poche de Verniolle, les 13 et 14 octobre sur le Festi’Scrib de Banat et le mardi 16 octobre au centre culturel du Leclerc de Foix.

  • Journée « En Marche » sur les bords du lac de Montbel

    Journée « En Marche » sur les bords du lac de Montbel

    Comme plus de 12 000 adhérents et sympathisants le même week-end en France, les « marcheurs » ariégeois se sont réunis en cette rentrée sur les rives du lac de Montbel, pour faire le point sur l’action du gouvernement et parfois  sur les réformes entamées qui ne passent pas ou sont peu comprises par les citoyens.

    Jérôme Azéma, référent départemental LREM réunissait samedi dernier une trentaine de militants et sympathisants dans une salle du restaurant « La Régate » sur les rives du Lac de Montbel. Par cette belle journée d’automne, le programme était dense et servait surtout à rassurer les troupes tout en préparant l’avenir.

    Il est vrai que l’été d’Emmanuel Macron et sa chute dans les sondages ne rassurent pas ; le départ de Nicolas Hulot, l’affaire Benalla,..Bref plein de sujets qui brouillent les pistes et rabattent les cartes. Les réformes même insignifiantes comme la réduction de la vitesse à 80 km/heure sur les routes départementales font réagir parmi les militants : elles  concernent beaucoup nos ariégeois et ont du mal à passer.

    Une journée pour le référent départemental pour faire le point, rassurer et motiver les troupes pour les prochaines élections européennes mais pas que…Les municipales pointent le bout de leur nez, et le mouvement compte bien être présent dans le débat.