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  • Labastide de Sérou : du grabuge et de la casse perpétrés sur des véhicules

    Labastide de Sérou : du grabuge et de la casse perpétrés sur des véhicules

    Suite à la violente manifestation à l’appel de la fédération de chasse 09 et de la FDSEA le 5 mai à la Bastide de Sérou contre la réunion de« l’État des lieux de l’Environnement» des APNE ariègeoises, des lecteurs nous ont informé que les choses ne se sont pas passées aussi pacifiquement que rapporté par certains medias.

    En effet, dans l’après-midi, deux personnes se rendant à leurs véhicules se sont fait prendre en chasse par une dizaine de manifestants violents, armés de bâtons, sous des invectives violentes : « Ces deux-là, je les ai vus sortir [de la réunion des associations écologistes], il faut les rattraper ».

    Les deux personnes qui marchaient sur la route après le pont de la Bastide en direction de St. Girons se sont fait courser et rattraper au niveau du véhicule d’une des deux personnes. Là, ils ont pu se réfugier dans le véhicule juste à temps.

    Les poursuivants déchaînés se sont ensuite acharnés sur le véhicule en frappant violemment vitre arrière, pare-brise et rétroviseur et en arrachant les essuie-glaces.

    Les deux passagers traumatisés ont pu démarrer le véhicule et rejoindre les gendarmes positionnés à une centaine de mètres de là, qui ont pu observer et entendre la scène.

    Ci-après deux photos prises de l’intérieur du véhicule au moment du démarrage et quelques photos des dégâts occasionnés.

    Les deux personnes traumatisées souhaitent garder l’anonymat, mais vont porter plainte à la Gendarmerie pour injures, menaces et destruction de biens. Elles seront défendues par un avocat pénaliste.

    Source : un lecteur présent lors des manifestations du 5 mai 2018

  • Évènements du 5 mai à la Bastide, la Confédération paysanne se désolidarise !

    Évènements du 5 mai à la Bastide, la Confédération paysanne se désolidarise !

    La Confédération paysanne, qui s’est toujours illustrée par ses actions non violentes, tient à se désolidariser des insultes, intimidations et autres menaces proférées à l’encontre d’individus réunis pour partager et échanger sur leurs idées.

    Comme nous l’avions annoncé par communiqué de presse, notre syndicat n’appelait pas à participer à la « contre-manifestation » organisée par une partie du monde rural.

    La Confédération paysanne exprimait dans ce communiqué de presse et lors de la conférence de presse du 5 mai à la Bastide, son incompréhension de la participation à cet état des lieux des atteintes à l’environnement en Ariège de trois associations, à savoir Ferus, l’Adet et L214.

    Mais il est bien entendu que le fait d’être choqué ne remet pas en cause la liberté de penser, de se réunir et de s’exprimer, à laquelle nous sommes fortement attachés !

    Syndicalistes responsables, nous ne pouvons cautionner des propos démagogiques aux relents nauséabonds.

    Communiqué du 9 mai 2018 de la Confédération Paysanne.

     

  • Les girls du « Zéro Nine » à l’honneur au championnat d’Occitanie à Mauguio

    Les girls du « Zéro Nine » à l’honneur au championnat d’Occitanie à Mauguio

    Les Championnats d’Occitanie se déroulaient le week-end dernier à Mauguio.  Le Zéro NINE BMX s’était déplacé en nombre avec 22 pilotes.

    Ce sont les filles du Zéro NINE, Laurine  Schiavo et Margot Jansen qui brillent en finissant 2ème et 3ème.

    Chez les garçons, c’est en catégorie « Cruiser » que les pilotes se sont illustrés en minime avec Lenny Vidal Moreno qui termine 4ème comme Titouan Sagorin en Cadet, qui lui, était accompagné par Corentin Dreano à la 5ème place.

    En 20 pouce seul Axel Poree atteint la finale en benjamin 5ème. Le leader de la Coupe d’Occitanie, dans sa categorie, est déçu tellement le titre était à sa portée !

    Le week end prochain, se sera Frontignan pour la 2ème manche du Challenge de France avec une bonne dizaine de pilotes qui auront déjà en tête la 3ème Manche qui se déroulera à Pamiers le 2 juin 2018.

    Crédit photo : Eric Paulin

  • Taxe d’habitation : une promesse électorale qui tourne au casse-tête !

    Taxe d’habitation : une promesse électorale qui tourne au casse-tête !

    Communiqué du sénateur Alain Duran. Pendant la campagne électorale, le candidat Macron promettait la suppression de la taxe d’habitation (TH) pour 80% de la population. Finalement, le président Macron a opté pour la suppression de la TH pour tous, y compris donc pour les Français les plus riches.

    Ce choix impose de trouver 10 milliards d’euros de plus en compensation pour les collectivités locales.

    Le rapport Richard-Bur remis ce mercredi 9 mai au gouvernement propose deux scénarii :

    – La première piste consiste à transférer aux communes et à leurs groupements, un impôt jusqu’ici perçu par les départements. Reste à trouver ensuite une part d’impôt national à verser aux départements en compensation ; une mesure qui entrainera une perte d’autonomie fiscale pour les départements.

    – La deuxième piste consiste à transférer aux communes et à leurs groupements, en compensation, un impôt national, non territorialisé. Mais les élus locaux n’auraient aucun pouvoir de choix du taux d’imposition (contrairement à l’actuelle TH) ! Le rapport va plus loin en proposant même de limiter le pouvoir des élus locaux sur la fixation du taux sur le foncier bâti.

    Dans les deux cas, les collectivités locales perdent une part de leur autonomie fiscale vis-à-vis de l’Etat qui reprend le pouvoir. La recentralisation est en marche !

    Mais surtout le rapport ne dit pas où trouver les 10 milliards qui manqueront dans le budget de l’Etat. Il se borne à évoquer quelques leviers :

             – renoncement à certains allégements fiscaux : lesquels ?

             – suppression ou réduction de niches fiscales : va-t-on par exemple supprimer l’aide fiscale pour l’embauche d’une personne à domicile ?

             – et surtout de nouvelles économies : s’agit-il par exemple de baisser encore un peu plus les APL, de renoncer à la création de postes dans la police, la gendarmerie, la justice ou bien de nouvelles coupes dans les EHPAD ou les hôpitaux … ?

    Il y a bien quelques points positifs de ce rapport, comme l’affirmation que la révision des valeurs locatives cadastrales est une condition majeure de l’équilibre de la réforme. Mais cela ne doit pas faire oublier que cette réforme ciblée sur la TH, « impôt imbécile et injuste » selon le Président, ne corrige en rien le caractère injuste de notre fiscalité. Un système de péréquation nationale est indispensable et le gouvernement ne dit rien sur ce point.

    En conclusion, un danger se profile. Il apparaît de plus en plus probable que le cadeau de 10 milliards fait aux plus aisés (par la suppression, pour tous les foyers, de la TH) va être financé par l’ensemble des Français ! Pour les 500 000 foyers fiscaux gagnant plus de 6 700 euros par mois, c’est un cadeau en moyenne de 1 445 euros.

    Le Groupe socialiste et républicain du Sénat avec le Groupe socialiste Nouvelle Gauche de l’Assemblée nationaleet le Parti socialiste dénoncent le mensonge qui consiste à faire croire aux Français que la suppression de la TH ne leur coûtera rien. En réalité, ils paieront l’addition par moins de services publics locaux et plus d’impôts nationaux que le Gouvernement cherche à dissimuler. Le rapport Richard-Bur ne dit pas autre chose.

    Communiqué d’Alain DURAN, Sénateur de l’Ariège, sur la suppression de la Taxe d’habitation du 11 mai 2018

  • EELV Ariège : Nous n’avons plus le choix !

    EELV Ariège : Nous n’avons plus le choix !

    « Les voir se réunir chez nous, c’est inacceptable ! » Nous sommes profondément choqué-es par de tels propos et par l’organisation de la manifestation de samedi 5 mai dernier, alors qu’il n’y avait à La Bastide de Sérou qu’un simple forum organisé par des associations qui défendent pacifiquement l’environnement.

    Comment en 2018, certain-es peuvent-ils décider de qui a le droit de se réunir ou pas et par la force chercher à imposer un mode de pensée unique ? Cela est grave. La diversité, la mixité, la solidarité et la tolérance font la richesse de notre monde et on peut se demander ce qu’ils auraient pensé si d’autres étaient venu-es en masse tenter d’empêcher ou d’assourdir une de leurs réunions.

    Ou est le respect du droit de réunion, d’expression voire de pensée ? Et quelle image déplorable pour le développement touristique et économique de notre département…

    Toutes ces polémiques organisées qui cachent le mal être profond de beaucoup sur nos territoires doivent cesser. L’impératif écologique, pour l’avenir de la planète et celui de nos enfants, ne doit pas être source de clivage, c’est aujourd’hui une question d’intérêt général qui nous concerne tout-es. « Personne ne doit donner de leçon à personne. » Il faut arriver à concilier la production alimentaire et l’activité économique avec le respect de l’environnement.

    Nous n’avons plus le choix !

    Pour cela, il faut permettre la mise en valeur de la diversité des territoires en adéquation avec les conditions écologiques de ceux-ci, en associant étroitement l’agriculture, l’élevage, la transformation locale des produits et leur commercialisation de proximité. Pour ce faire, le maintien d’un environnement rural sain, de grande biodiversité sauvage et domestique, sans pollution majeure de l’air, des eaux et des sols est nécessaire.
    Les éleveur-ses défendant des pratiques pour un territoire vivant ont besoin d’eau, de sols et d’air de qualité. Il est donc complètement irrationnel et absurde de les voir se dresser contre des associations dont les combats sont justement la protection de ces biens communs.

    En date du 17 avril 2018, suite à l’occupation symbolique du château de Foix, Henri Nayrou, Président du Conseil Départemental de l’Ariège, communiquait : « …et je me réserve le droit de poursuivre en justice celles et ceux qui ne respectent rien, même pas leur prochain.»
    La salle où se tenait le forum des associations environnementales ariégeoises n’était pas une « Zone à Défendre », mais bien une « Zone à Respecter », nous demandons donc aux élu-es du département de condamner de tels agissements sur nos territoires.

    Florence Cortès
    Porte-Parole EELV Ariège

    *Communiqué EELV Ariège

  • Un tour de France en Mob !

    Un tour de France en Mob !

    C’est sous un beau soleil que Jojo, l’ariégeois est parti de Bourdax le 25 avril dernier. Son but : Faire le tour de France en Mob.

    Croix occitane à l’arrière, sticker Azinat à l’avant (ça fait plaisir) Jojo traverse le pays : d’Occitanie en Aquitaine, puis de Cérons à Royan, départ pour Jard sur Mer puis direction la Pointe-du-Raz, notre Mobeur est arrivé en Bretagne fin avril.

    Et le 1er mai, le voilà en Normandie au pied du magnifique Mont Saint Michel depuis lequel il nous a gentiment envoyer cette photo.

    Ce 4 mai Jojo fait escale chez des amis, à Crasville dans le département de la Manche. 

    Il reste encore du chemin à parcourir, mais quand on traverse la France en Mob, l’important c’est de prendre son temps, de découvrir autrement les petites histoires des pays traversés, les paysages, les gens.. bref c’est prendre le temps de vivre.

    Demain direction le Cap Gris-Nez, mais comme il le dis lui même « demain sera une autre histoire »

    Nous suivrons le tour de Jojo, on attend encore des photos, mais si vous voulez suivre son périple, c’est ici : jojo.voyage.over-blog.org

  • Camon, le village aux 400 rosiers

    Camon, le village aux 400 rosiers

    A une quinzaine de kilomètres à l’Est de Mirepoix, non loin des montagnes ariègeoises, Camon s’est construit au pied de son abbaye fortifiée. Il est le seul « plus beau village de France » d’Ariège.

    Fortifié autour d’une ancienne abbaye-château, il est surnommé le village aux plus de 400 rosiers.  A quelques semaines de la 16ème fete des roses, qui aura lieu le 20 mai, un petit focus sur le village forteresse

    Un village-forteresse au milieu des rosiers

    Dans une boucle de l’Hers, aux confins de l’Ariège et de l’Aude, Camon est né d’une abbaye bénédictine fondée au IXème siècle au pied de laquelle s’implantent quelques maisons, en bordure de rivière.
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    En 1279, une terrible inondation emporte tout sur son passage. L’abbaye, elle-même, est sérieusement endommagée par la catastrophe. Devenu inhospitalier, le village est d’abord abandonné quelques années avant d’être reconstruit et de nouveau habité.

    En 1494, le monastère est cette fois-ci dévasté par un pillage. Il faut attendre le XVIème siècle pour voir le village retrouver sécurité et prospérité. Philippe de Lévis, évêque de Mirepoix, fait en effet reconstruire l’abbaye en y ajoutant des fortifications, l’église commune aux religieux et aux habitants, et entoure l’ensemble du village d’une ceinture de remparts.

    Ainsi, Camon s’étoffe et s’embellit. Les maisons, serrées les unes contre les autres comme pour mieux se protéger, sont édifiées en matériaux du pays et couvertes de la traditionnelle tuile romane qui donne à l’ensemble cette silhouette caractéristique des villages fortifiés de l’Ariège.

    La « tour château » de l’abbaye, résidence du prieur, est une importante bâtisse de quatre niveaux, laissant toujours apparaître ses superbes fenêtres à croisées de meneaux.

    Autres pièces maîtresses du village : la Maison Haute et ses magnifiques colombages, construite le long des remparts et aménagée au XVIème siècle en maison seigneuriale occupée
    par un notaire royal ainsi que l’église, initialement modeste chapelle de l’abbaye, largement transformée au XIXème siècle. Elle abrite une série de sculptures du XIIème siècle représentant des évangélistes, un triptyque du XVIIIème siècle ainsi que des trésors inscrits à l’inventaire des Monuments Historiques.

    Aujourd’hui : le village aux 400 rosiers

    Aujourd’hui, le village a conservé sa silhouette allongée au creux de la vallée de l’Hers avec, en arrière- plan, les cimes enneigées des Pyrénées ariègeoises.

    Le caractère parfois austère des pierres grises de ses façades est adouci par les teintes plus chaudes de ses toitures de tuiles rondes mais aussi par les nombreux rosiers qui, aux beaux jours, fleurissent dans une douce explosion de couleurs et de senteurs. Ce n’est pas pour rien si Camon est surnommé «le village aux plus de quatre cent rosiers» !

    Les premiers ont été plantés par la municipalité qui les a offerts aux Camonais en 1995. Ils se sont engagés à les entretenir.

    Chaque année en mai, une fête leur est consacrée qui rappelle le passé viticole de la cité. En effet au XIXème siècle, les habitants avaient eu l’idée, pour protéger leurs vignes, de planter à leurs pieds des rosiers. Plus sensibles aux maladies ils prévenaient ainsi les vignerons du danger. Si le phylloxéra a finalement eu raison des vignes, les rosiers, quant à eux, ont résisté et sont devenus l’emblème de la cité.

    Autre témoin du passé viticole de Camon, les anciennes «cabanes» de vignerons en pierre sèche. Elles font désormais l’objet d’une visite thématique sur l’histoire paysanne et le petit patrimoine bâti de Camon et donne l’occasion de découvrir la faune et la flore locale.

    Une balade accompagnée sur ce sentier sera proposée à l’occasion de la Fête des Roses.

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  • 1798-2018 – « Pleins feux sur la Màp » au Musée Aristide Bergès.

    1798-2018 – « Pleins feux sur la Màp » au Musée Aristide Bergès.

    Créé par une association d’anciens ouvriers et de passionnés, le Musée Aristide Bergès est situé sur une ancienne usine à papier. C’est un lieu privilégié où l’on peut découvrir un patrimoine culturel et industriel qui reste une activité économique bien vivante en pays du Couserans : La fabrication du papier

    Association Aristide Bergès (A.S.A.B.) a su conserver et protéger la machine à papier, la « Màp », de l’ancienne usine Bergès, devenue le fleuron des collections du Musée Aristide Bergès.

    Avec son cycle complet de fabrication du papier, le seul conservé à ce jour dans un contexte muséal, elle est un véritable « unicum » dans le patrimoine industriel européen.

    L’Association Aristide Bergès qui œuvre depuis plus de vingt ans pour la sauvegarde et la valorisation de ce patrimoine industriel, célèbre en cette année 2018, les 220 ans de l’invention de la toute première machine à fabriquer du papier en continu, inventée par Louis-Nicolas Robert en 1798.

    C’est Pierre Bergès – le père d’Aristide – qui, en véritable pionnier, a introduit la toute première « Màp » dans la région. Il est le premier à installer dans son moulin cette innovation technique capitale qui fait entrer la fabrication du papier dans l’ère industrielle.

    Il fait ainsi de la papeterie Bergès le berceau de l’industrie papetière du Couserans, industrie qui a été pendant de nombreuses décennies le poumon économique de ce territoire.

    Pour fêter cette invention révolutionnaire et cette machine qui exerce encore aujourd’hui une puissante fascination, le Musée Aristide Bergès organise, pendant deux ans, des manifestations de nature différente qui composent l’opération.

    Voici d’ores et déjà le programme pour 2018 :

    Samedi 19 mai 2018, de 19h.00 à minuit : Nuit européenne des Musées

    La « Màp » révélée 

    ….par le regard de René Stinville, concepteur lumière.

    19 et 20 mai 2018, de 14h.30 à 18h.30 : Journée européenne des Moulins

    Samedi 14 juillet 2018, 22h.30Spectacle son et lumière

    « Confidences d’une machine à papier»

    Création par René Stinville, concepteur lumière

    La « Màp » remonte pour nous l’horloge du temps et pour nous…. elle se souvient !

    Du vendredi 20 juillet 2018 au lundi 27 août 2018 : Exposition L’Art à l’usine 

    « Nuée blanche » Par Emmanuelle Radzyner

    Appréhender un lieu par l’accumulation, l’investir d’un objet fabriqué qui se multiplie, se l’approprier par l’envahissement d’un espace, tels sont les réflexions qui définissent la démarche artistique d’Emmanuelle Radzyner.

    Avec une grande maîtrise dans l’art de la transformation du papier, cette plasticienne grenobloise réalise des installations éphémères, spécialement conçues pour les lieux qu’elle investit et adaptées à leur histoire.

    Quoi de mieux qu’une ancienne papeterie qu’elle a décidé d’investir par des envolée d’oiseaux jaillissant pour révéler son talent !

    Ouverture de l’exposition, tous les jours, même le mardi et jours fériés,   de 14h.30 à 18h.30

    15 et 16 septembre 2018 :  Journées européennes du patrimoine et Journées européennes des Moulins de France. Année Gutenberg 2018

    La typographie à caractères mobiles de l’époque de Gutenberg, démonstration typographique des caractères mobiles, présentation par des professionnels de l’imprimerie.

    Samedi 15 septembre 2018 : de 14h.30 à 18h.30

    Dimanche 16 septembre 2018 : de 09h.00 à 18h.30.

    Musée Aristide Bergès, Arts graphiques, Imprimerie
    Chemin des papetiers – Prat du Ritou
    09190 Lorp Sentaraille

    05.61.66.13.97 / aab@aab.asso.fr / www.aab.asso.fr

  • « L’Escale des Créateurs » : un site de géolocalisation “Made in Ariège”

    « L’Escale des Créateurs » : un site de géolocalisation “Made in Ariège”

    Petit dernier des sites de géolocalisation, le site L’Escale des Créateurs propose de trouver des créateurs et artisans d’art près de chez soi. A l’origine de ce projet : faciliter la mise en relation entre consommateurs et créateurs d’une région et booster l’achat local.

    Les mordus d’artisanat et du « Made in France » géolocalisent rapidement les professionnels référencés dans leur périmètre puis se rendent directement en boutique, à l’Atelier ou peuvent directement effectuer leur achat sur le site du créateur. Son fondateur, Nader Safieddine, ambitionne de valoriser davantage l’artisanat auprès du public.

    Précédemment ingénieur en informatique puis gérant d’une boutique de jouets en bois et de jeux de société à Foix, ce jeune créateur d’entreprise de 52 ans, était à la recherche d’un projet « porteur de sens » lorsque la nécessité de valoriser à la fois l’achat local et le travail remarquable des artisans lui inspire la création du site L’Escale des Créateurs. « Les artistes, les créateurs expriment aux gens ce qu’ils n’arrivent pas eux-mêmes à exprimer leur apportant ce qu’il leur manque. Rendre la beauté visible, accessible au monde. La création agit comme une musique qui vous fait décoller. De beaux objets, un travail vibrant. Répondre à ce besoin de transcendance, voilà ce qu’offrent les créateurs aux autres.»

    L’Escale des Créateurs : place au « made in local » et à la rencontre

    Le site a été conçu à destination d’un côté, des amateurs de créations originales souhaitant favoriser l’achat local et de l’autre, des artisans d’art en recherche de visibilité. Il propose donc de découvrir tous les créateurs référencés près de chez soi. Certains privilégieront la rencontre en se rendant directement en boutique. Pour son créateur, Nader Safieddine, c’est une façon ludique et originale de se balader dans sa région à la recherche de cadeaux d’anniversaire moins standardisés ! Et pour les touristes d’en finir avec les souvenirs de vacances « made in china », chaque séjour touristique étant l’occasion de dénicher les meilleurs ateliers de création et boutiques de créateurs du coin. L’Escale des Créateurs permet également de géolocaliser les événements ponctuels du secteur : marchés de créateurs, salons d’art, boutiques éphémères, ventes privées…. 

    L’achat en ligne est toujours possible sur le site web du créateur, mentionné sur la fiche de son profil.

    Un site fonctionnel

    L’Escale des Créateurs répond au manque de temps et au désir de consommer autrement grâce à une recherche ultra-rapide (par lieu, univers de la maison, matière, objet,…), et la possibilité de repérer l’itinéraire pour aller sur le lieu du créateur. Ainsi, l’utilisateur peut se concocter son propre petit sentier des Arts. Le site devrait d’ici quelques mois proposer des chèques-cadeaux avec une possibilité d’achat groupé pour un cadeau commun, et l’envoi de l’annonce d’un événement proche de chez l’utilisateur afin d’être tenu au courant. Le site permet de concilier l’efficacité de la recherche en ligne avec le plaisir du shopping en boutiques/Ateliers.

    Mis en ligne en septembre 2017, le site recense 370 créateurs dont 50 en Ariège et 153 en Occitanie 

    www.lescaledescreateurs.com

     

  • Le Zéro Nine BMX en forme à Venerque !

    Le Zéro Nine BMX en forme à Venerque !

    Dimanche 29 avril s’est déroulé à Venerque la 2eme manche de la Coupe d’Occitanie. Les pilotes du Zéro Nine BMX ont du s’acclimater à la météo, la pluie, et échapper aux différentes chutes.

    Malgré tout, les riders Apaméens ont su s’en tirer et son revenus avec 1 victoire et 3 finalistes.

    C’est Axel Porée qui remporte, en benjamin la compétition, accompagné par Noha Vidal Moreno jusqu’en demi finale( 9eme). On retrouve en finale également en pupille Edgar Sagorin (7eme) et à la porte de cette  finale Maxim Leclerc (13eme) dans la même categorie.
    Les autres finalistes se trouvent en Cruiser, en Minime Lenny Vidal Moreno (4eme) et en cadet Titouan Sagorin (4eme). 

    D’autres pilotes ont fait de belles prestations et sont arrivés en demi finale : en Poussin , Timeo Dallier (12eme) et Axel Faure (15eme); en minime 20 pouces Lenny Vidal Moreno (10eme), Killian Flaus(11eme), Laurine Schiavo(13eme) et meilleurs fille cadette, Mael Sarrebressolles (14eme), et Romain Pons (15eme) après avoir chuté.
    En cadet , en l’absence de Matteo Lotti blessé et leader du classement général avant la course, c’est Corentin Dréano (9eme) et Titouan Sagorin (11eme) qui ont montré le maillot.

    Pratiquement l’ensemble des pilotes sont sortis des manches et ont fait leur maximum pour honorer leur couleur.
    A noter, que Laurine Schiavo, la semaine précédente, continuait son apprentissage du haut niveau en Coupe de France à Joué les Tours.

    La Prochaine compétition amènera le Zero Nine BMX aux Championnat d’Occitanie à Mauguio le week-end prochain.

    crédit photo : Eric Paulin

  • Incendie à la mine de Salau, les cheminots ne sont pas inquiétés !

    Incendie à la mine de Salau, les cheminots ne sont pas inquiétés !

    Il y avait longtemps que notre ami CIRE n’avait fait des siennes sur notre site. Le revoilà plus en forme que jamais.

    Cette semaine c’est la mine de Salau qui est à l’honneur, avec l’incendie criminel qui s’est déclaré dans la nuit de mercredi à jeudi et a détruit un bâtiment technique. Voir l’article de la DDM ICI.

    Notre dessinateur à immédiatement fait le lien avec nos trois cheminots ariégeois qui ont entamé une marche citoyenne, longue de 720 kms, le 9 avril dernier pour rencontrer le président Macron et lui signifier leur opposition à la réforme de la SNCF. Voir l’article de France 3 ICI

    L’enquête progresse mais on sait déjà QUI n’a PAS fait le coup ! explique CIRE puisque nos trois ariégeois étaient à Limoge…

    Une affaire a suivre !

    © Cire Illustrateur www.cirebox.com

  • Et si on dînait au Lycée ?

    Et si on dînait au Lycée ?

    Mercredi 16 mai, Les élèves du Lycée professionnel François Camel de Saint-Girons et leur professeur cuisineront pour vous des produits fermiers 100% locaux et respectueux de l’environnement !

    Un repas concocté à partir de produits « Valeurs Parc » du Parc Naturel Régional des Pyrénées Ariégeoises

    Pour 14 € seulement, apéritif inclus, vin non compris, vous pourrez découvrir comment seront concoctés fromages, miels, confitures et viandes des Pyrénées Ariégeoises dans un menu gourmand :

    • Hydromel et mise en bouche,
    • Samossas de chèvre au miel de montagne et sa salade croquante
    • Tournedos de magret sauce miel et safran ou carré de porc cuit à l’os (selon disponibilité) et garniture végétale
    • Assiette brebis et vache avec confit de figue
    • Tulipe de sorbets d’Ariège

     

    L’objectif est bien entendu de se régaler !

    L’offre Valeurs Parc, c’est avant tout la promesse d’acheter un produit clairement ancré dans les Pyrénées Ariégeoises : matière première issue des Pyrénées Ariégeoises et étapes de transformation réalisées localement.

    Ce sont également des produits respectueux de l’environnement, qui garantissent l’absence d’OGM et la non-utilisation de pesticides.

    Ce sont enfin des produits réalisés de façon artisanale ou fermière, par des hommes et des femmes passionnés et généreux.

    Nombre de places limitées. Inscrivez-vous directement auprès du Lycée professionnel François Camel au 05.61.04.05.06