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  • Visite de Julien Denormandie : Il y a zone blanche et zone blanche !

    Visite de Julien Denormandie : Il y a zone blanche et zone blanche !

    La neige est de retour cette semaine, et avec elle notre illustrateur CIRE. Cette semaine il a jeté son dévolu sur Julien Denormandie, secrétaire d’État auprès du ministre de la cohésion des territoires.

    C’était en début de semaine, la visite Julien Denormandie, secrétaire d’État auprès du ministre de la cohésion des territoires Jacques Mézard qui venait notamment inauguré un pylône de téléphonie mobile à Villeneuve-du-Latou, « site multi-opérateurs d’accès à l’Internet mobile».

    Un pylône qui met fin à une des zones blanches de l’Ariège ! Mais attention il ne faut pas toucher à toutes nos zones Blanches ! 

    Voir l’article de la visite de Julien Denormandie sur : www.ladepeche.fr

    © Cire Illustrateur www.cirebox.com

  • Une résidence d’artiste s’invite au collège du Girbet à Saverdun

    Une résidence d’artiste s’invite au collège du Girbet à Saverdun

    Le dispositif « Résidence et tournée de théâtre dans les collèges » a été initié par le Département à la rentrée scolaire 2011. Il s’agit d’un partenariat original conçu avec l’Estive Scène Nationale de Foix et de l’Ariège, dans le but de développer des actions d’éducation artistique en direction du public scolaire.

    Ce dispositif propose l’installation d’une compagnie théâtrale au sein d’un collège durant une semaine, permettant aux collégiens d’être en contact direct avec les artistes, de participer aux répétitions et ainsi de découvrir et de s’investir dans un domaine qui ne leur est pas familier. De leur côté, les artistes trouvent un lieu d’accueil et de répétition propice aux échanges et à la création artistique.

    Son ambition principale est de susciter le goût du théâtre chez les collégiens des classes concernées et de leur offrir un espace de rencontre privilégié avec des artistes, au plus près de leur lieu de vie.

    Cette année, une résidence d’artiste avec le metteur en scène-comédien Amine Adjina, pour la création de la pièce intitulée « Arthur et Ibrahim » est programmée du lundi 12 au vendredi 16 février au collège du Girbet à Saverdun. Vingt élèves de 6ème et 5ème assisteront à quatre ateliers de trois heures animés par le metteur en scène. Les élèves y découvriront les différentes étapes du processus de création d’une œuvre.

    Suite à cette intervention artistique, les vingt élèves découvriront le spectacle à l’Estive le mardi 27 mars à 10 heures. La pièce sera également présentée au public le lundi 26 mars, toujours à l’Estive.

    Azinat.com en partenariat avec l’Estive, sera au collège pour un reportage sur cette résidence d’artiste et une interview de Amine Adjina. 

    Source : CD09

  • Un atelier de cuisine pour les étudiants de l’université de Foix à la Cité du Goût et des Saveurs

    Un atelier de cuisine pour les étudiants de l’université de Foix à la Cité du Goût et des Saveurs

    C’était la première fois que La cité du Goût et des Saveurs de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de l’Ariège recevait des étudiants de l’Université de Foix. En effet, vendredi 2 février 2018, un atelier de cuisine sur le thème « Recettes simples, faciles et pas chères » s’est déroulé dans les cuisines pédagogique du Centre de Formations aux Métiers de l’Ariège.

    Grâce à la participation de Jonathan Laloum, chef cuisinier à « La Maison du Valier » à Les Bordes sur Lez, ont été créées deux entrées, un plat et un dessert qui ont coutés en tout et pour tout, en matières premières, 4€ par personnes.

    Au menu était prévu :

    – Une salade fraîcheur

    – Un wrap d’omelette croustillante

    – Un cordon bleu revisité

    – une croustade revisitée

    Ce fut un très bel échange entre les jeunes et le chef, mais cela a aussi permis aux étudiants de découvrir l’action d’une Chambre de Métiers et de l’Artisanat dans un territoire rural, d’un Centre de Formations aux Métiers mais aussi de se familiariser avec les outils du territoire comme la Cité du Goût et des Saveurs mais surtout le Fablab « FLAME » de la chambre de métiers et de l’artisanat de l’Ariège, le tiers lieu spécialisé sur le numérique ouvert à tous.

    Les étudiants ont pu découvrir les machines (comme l’imprimante 3D ou encore la découpe laser) et le fonctionnement du tiers lieu.

    Cet atelier s’est organisé en partenariat avec L’OEUF – Organisation des Etudiants de l’Université de Foix et grâce à cette collaboration des étudiants en géographie, en Nouvelles Technologie de l’Information et de Communication et en Animation des Espaces Montagnards et Pastoraux ont pu participer à un atelier de cuisine qui leur a été dédié.

  • Le Ski Club de Beille sur les podiums du Capcir

    Le Ski Club de Beille sur les podiums du Capcir

    Ce week-end, le ski club de Beille était de sortie pour aller affronter les pentes de Font-Romeu et du Capcir en Biathlon et ski de fonds. U8, U10,U12, U14 et U18 et sénior ont porté bravement les couleurs du Club en Biathlon et sur les planches du CapCir.

    Résultats : plusieurs podium pour les filles comme pour les garçons, pour la plus grand fierté de leur entraineur Olivier Bosc et des parents qui ont passé quelques heures sous la neige ou dans le froid afin d’encourager les « futurs champion.nes ».

    La course de Dimanche se déroulait non pas sur le domaine de la Quillane par peur du manque de neige, mais sur le terrain du domaine de La Llose un peu plus haut.

    La Station Nordique du Capcir au cœur des Pyrénées catalanes et de ses paysages grandioses, attend les amoureux de nature qui désirent vivre un véritable moment de détente et de convivialité en pratiquant une activité sportive et ludique.

    Ski de fond, promenade à pieds ou à cheval, raquettes, cani-ski, luges, chiens de traîneaux, biathlon, poney-luge… sont autant d’occasion de se faire plaisir en famille entre amis ou solo !

    Les classements de l’équipe du ski club de Beille (Dimanche) comptant pour le challenge du jeune fondeur (2ème manche): 

    U10 féminines :

    • Reig Arwen PACTEAU 1ere

    U12 féminines :

    • Isolde JOURDES 3ème
    • Lucie BRINGAY 7ème

    U14 féminines :

    • Manon LOUBET 1ere
    • Eline MINA CONESA 3ème
    • Julie PLE 4ème

    U16 féminines :

    • Jeanne Gillot 1ere

    SENIORS :

    • Benoit PACTEAU 3ème

    U12 Masculin :

    • Joachim MONTAVONI 3ème

    U14 Masculin :

    • Fabien Lopez 6ème

    U16 Masculin

    • Ewen Mignol 3ème

     

  • Sur les routes ariégeoises des goûts et des saveurs avec le Festi’Val Végétarien

    Sur les routes ariégeoises des goûts et des saveurs avec le Festi’Val Végétarien

    Le Festi’Val Végétarien c’est le projet de Valérie Bieber, un Food-Truck qui sillonnera les routes de l’Ariège  (Festivals et marchés) en proposant des préparations végétariennes de qualité

    Passionnée de cuisine depuis son plus jeune âge elle a exercé le métier d’Aide Médico Psychologique pendant des années et les ateliers qu’elle organisait avaient trés souvent un lien avec les repas, l’alimentation équilibré ou les différents régimes.

    EN devenant végétarienne il y’a une dizaine d’année, elle s’est encore plus passionné pour la cuisine : «Il est surprenant de voir les goûts que nous pouvons avoir en mélangeant légumes, céréales et légumineuses . Sans oublier évidemment la touche de saveurs et de couleurs qui sont les épices et les condiments.» 

    C’est alors qu’elle a décidé d’arrêter son mêtier pour ouvrir le Festi’Val Végétarien.

    Engagée dans une démarche éco-responsable afin de minimiser son bilan carbone et préserver au maximum la planète et notre santé, elle utilise des emballages écologiques. Le fromage et les légumes viennent de petits producteurs ariégeois bio et les céréales d’une biocoop.

    Valérie souhaite maintenant vadrouiller à bord  de son Festi’Val Végétarien, en vous proposant de délicieux plats végétariens avec, au menu, des recettes innovantes et gourmandes, des  produits 100% Ariégeois et de la convivialité.

     Pout contribuer à la réalisation du projet de Valérie : Cliquez sur le lien, elle a besoin de vous ! 

    fr.ulule.com/festival-vegetarien

  • Grippe en Ariège : la décrue se confirme

    Grippe en Ariège : la décrue se confirme

    Alors que les températures chutent cette semaine, le réseau sentinelle annonce une décrue des taux d’incidences de la grippe  sur le département de l’Ariège comme partout en France.

    Au niveau national, la semaine dernière (2018s04), le taux d’incidence des cas de syndromes grippaux vus en consultation de médecine générale a été estimé à 263 cas pour 100 000 habitants (IC 95% [242 ; 284]), soit 173 000 nouveaux cas. Durant ces 7 semaines d’épidémie de grippe, 1 444 000 personnes auraient consulté un médecin généraliste pour ce motif.

    Ce taux d’incidence est en diminution depuis maintenant quatre semaines, même si l’on peut noter un ralentissement de la décrue épidémique en médecine générale sur les deux dernières semaines.

    Au niveau régional, les taux d’incidence les plus élevés ont été observés en : Provence-Alpes-Côte d’Azur (432 cas pour 100 000 habitants, IC 95% [324 ; 540]), Normandie (401, IC 95% [286 ; 516]) et Hauts-de- France (358, IC 95% [284 ; 432]) (les données régionales complètes sont présentées à la fin du bulletin).

    Source : Bulletin du réseau Sentinelles du 31/01/18, n° 2018s04 (données du 22 au 28/01/18)

  • L’invité.e de la semaine : Florence Guillot – 16 ans de recherches à Montréal-de-Sos

    L’invité.e de la semaine : Florence Guillot – 16 ans de recherches à Montréal-de-Sos

    Florence Guillot nous parle des 16 ans de fouilles archéologiques au château de Montréal-de-Sos et de la sortie de l’ouvrage collectif « Le castrum de Montréal-de-Sos – 16 ans de recherches archéologiques sur une fortification des Pyrénées Ariégeoises »

    Une interview passionnante dans laquelle Florence nous raconte 16 ans de travail sur un site majeur de l’Ariège.  

    Montréal-de-Sos est un éperon calcaire de la montagne pyrénéenne, tout en rudesse, en pentes, rochers et falaises. Depuis l’Age du Bronze moyen, les dominations sociétales s’y succédèrent, voire s’y emboitèrent.

    Ce sommet surplombe un bassin de vie de la haute vallée de l’Ariège, niché au pied de sommets culimnants au-delà de 3000 m d’altitude, aujourd’hui crête frontière entre France, Andorre et Catalogne. Le site est connu dans quelques rares actes médiévaux pour avoir été un castrum des comtes de Foix aux XIIIe et XIVe siècles.

    Treize années de fouilles archéologiques puis, trois annés d’études supplémentaires, ont permis de restituer une image des occupations humaines, tant pour leurs aspects architecturaux que pour leurs artefacts.

    Cet ouvrage présente ces résultats, de l’occupation protohistorique à celle de la fin du XIVe siècle de notre ère, traitant des bâtis, des espaces, des fonctions du site et des objest exhumés. Parmi ces derniers, des découvertes étonnantes ont été réalisées, telles ces centaines de pierres gravées de dessins, plus rarement de textes. L’une d’elles est un fragment inédit d’un poème de troubadour en occitan. Une autre porte la figuration de chevaliers et d’une fortification médiévale…

    L’ensemble des éléments mis au jour témoigne d’aspects peu connus sur la vie quotidienne des habitants de ce type de castrum montagnard.

    Montréal-de-Sos en chiffres 

    • Occupation du château de -1400 (époque du bronze) à +1400 (Comptes de Foix)
    • 30.000 heures de fouilles
    • 500 fouilleurs bénévoles
    • 15.000 heures d’études (pour établir les rapports de fouilles)
    • 2.000 heures d’écriture

    Le Château n’a néanmoins pas encore révélé tous ses secrets, puisqu’il reste encore un habitat exceptionnel à fouiller. Exceptionnel, car occupé entre le VIIème et le début IXème siècle après JC (haut moyen-âge). 

    «On fouille très peu cette époque là, c’est l’époque sur laquelle on a le moins d’informations. En général on trouve du cimetière, cela apporte des choses bien sûr, mais moins que de fouiller des habitats. On a pu en fouiller une toute petite partie, juste pour vérifier qu’il existait et qu’il n’était pas perturbé par les moyenâgeux. Il y aurait encore deux ans de fouilles mais ce serait exceptionnel pour les Pyrénées» explique Florence Guillot

    En attendant une suite éventuelle des fouilles de Montréal-de-Sos, vous pouvez toujours aller vous y balader, vous y découvrirez un panorama magnifique sur la Haute Vallée de l’Ariège. Et si vous voulez en savoir plus sur le château, rendez-vous à la Maison des Patrimoines d’Auzat, ou procurez vous ce passionnant ouvrage : www.librairie-archeologique.com

    Ont collaboré à cet ouvrage : Florence Guillot – Nicolas Portet – Nicolas Chassan – Enrico Cangini – Julie Massendari – Francis Dieulafait  – Guillaume Verrier – Arnaud Coiffé – Stéphane Bourdonne – Michaël Gourvennec – Isabelle Commandré

  • A vos plumes avec « Les Appaméennes du Livre »

    A vos plumes avec « Les Appaméennes du Livre »

    Comme chaque année, l’association « Les Appaméennes du Livre » organise un concours de nouvelles et un salon du livre à Pamiers (Ariège-Pyrénées), qui se tiendra le dimanche 3 juin 2018.

    Cette année, il s’agit pour tous les candidats d’imaginer et d’écrire la suite de la phrase suivante : Pourquoi s’en faire une montagne ?…

    La nouvelle est un récit bref, vraisemblable ou fantastique, contrairement au roman, elle est centrée sur un seul événement, les personnages sont peu nombreux et sont moins développés que dans le roman et la fin est souvent inattendue, et prend la forme d’une « chute » parfois longue de quelques lignes seulement.

    Toutes les formes littéraires sont acceptées afin de laisser libre cours à l’imagination, mais la forme narrative reste la plus appropriée.

    Ce concours fait l’objet, pour les adultes, de trois prix (parfois quatre selon le nombre de nouvelles reçues) attribués par un jury spécialisé composé d’enseignants, de libraires et de membres des Appaméennes du livre.

    • 1er prix, Prix de la Ville de Pamiers : 300 €
    • 2e prix, Prix des libraires : 200 €
    • 3e prix,Prix«Coupdecœur»dujury:150€
    • 4e prix, Prix spécial : 100 €

    Les lauréats de moins de 18 ans, répartis en deux ou trois tranches d’âge, seront récompensés par des bons d’achat culturels.

    Tous les lauréats recevront leur prix lors du XXIVe salon du livre de Pamiers, le dimanche 3 juin 2018.

    Date limite d’envoi : le 31 mars 2018

    Pour en savoir plus et vous inscrire : salondulivrepamiers.free.fr

     

  • Les violoneux traditionnels entre Comminges et Couserans

    Les violoneux traditionnels entre Comminges et Couserans

    Dans le langage familier, un «violoneux» désigne un violoniste médiocre, mais pas ici. Ces violoneux en question exécutent de la musique populaire, de la musique traditionnelle ou folklorique, ils ne possèdent pas forcément de formation classique en musique, mais ont appris d’autres violoneux.

    Aujourd’hui parait la nouvelle publication d’Eth Ostau Comengés. Il s’agit d’un livre-DVD sur les violoneux de 4 villages de montagne : deux situés en Comminges (Fougaron et Herran) et deux en Couserans (Galey et Saint-Lary). 

    Malgré les obstacles qui les séparent, qu’ils soient liés à la Géographie – la montagne de Cornudèra – ou à l’Histoire – depuis 1790 et un découpage contestable, une partie de ces villages est rattachée à la Haute-Garonne, l’autre à l’Ariège – le contact entre les habitants de ces quatre communes n’a jamais été coupé. 

    C’est dans ce contexte qu’est née la volonté de mener à bien ce travail de recherche sur les violoneux de ces quatre villages et sur le rôle social qu’ils ont joué. Plusieurs personnes ont été mobilisés (historiens, linguistes, ethnologues, musiciens, élus et habitants) sous la direction de Pierre Rouch pour tenter de répondre à ces questions.

    Quels étaient les fonctions, les statuts, la personnalité de ces violoneux ? Quels étaient les liens entre leur pratique musicale, le territoire, la société ? A partir de la connaissance de ce passé pas si lointain, se pose aussi la question de la relance de la pratique du violon traditionnel en Comminges-Couserans. 

    Prix du livre-DVD : 15 € ; à commander sur www.oralitatdegasconha.net

  • 2018 sera une année fertile pour la Compagnie Fées et Gestes et le Club ENTR’ACTES !

    2018 sera une année fertile pour la Compagnie Fées et Gestes et le Club ENTR’ACTES !

    Compagnie théâtrale professionnelle implantée en Ariège depuis 2006, « Fées et gestes » crée des spectacles populaires et Jeune Public, des  installations-spectacles lors d’événements, du  théâtre d’entreprise à la carte…

    La compagnie mène également une politique de développement culturel autour de la lecture (lectures Goûtées ou Baladeuses, lectures thématiques autour d’auteurs classiques ou contemporains), ainsi que des actions dans les écoles primaires et collèges du département, participant ainsi au maintien de liens sociaux et culturels sur le territoire.

    Depuis janvier 2010, la compagnie est en résidence permanente de création à Tarascon sur Ariège. Ses spectacles sont programmés dans de nombreuses villes et festivals ariégeois ainsi que dans la Région et sur le territoire national.

    2018 s’annonce comme une des années les plus fertiles de la vie de la Compagnie Fées et Gestes, née il y a maintenant 12 ans, à Niaux.

    38 spectacles, événements, lectures vont s’enchainer, sur un rythme soutenu, au fil des mois, avec en apothéose, le spectacle « dans le noir », en novembre prochain.

    Le 7ième anniversaire de notre implantation à Tarascon sur Ariège, aux termes d’une résidence de création permanente, signée avec la Mairie, en janvier 2011. Cette résidence marque notre enracinement local et nous permet de travailler dans des conditions optimum pour une Compagnie de création artistique, soutenue par la Collectivité locale.

    Nous avions écrit, il y a quelques années, un texte de présentation qui nous semble toujours et encore d’actualité : l’attractivité d’un territoire se définit par sa capacité à offrir à ses habitants, un certain nombre de services au rang desquels la Culture tient une place prépondérante. A l’heure où les différentes réformes et politiques territoriales impactent durement la vie de territoires ruraux comme le nôtre, où les Services tendent à disparaitre les uns après les autres, notre Compagnie réaffirme avec force le droit à la Culture au titre de Service Public : le droit au plaisir, à l’émotion partagée ensemble dans un lieu de spectacles, à la surprise et à la découverte, à l’enrichissement personnel ou collectif, à la maintenance de liens sociaux par l’activité artistique et dans cette activité, la pratique de la mixité et de la citoyenneté.

    Au cours de cette année 2018, nous continuerons, au cœur de la Cité, à proposer une offre culturelle conviviale de qualité et à participer, avec force, à l’attractivité et à la dynamique du département qui nous a vus naître. C’est quelque part, notre devoir et notre savoir-faire d’artistes de ne pas céder à la morosité et d’ouvrir, chez chacun de nos spectateurs ou compagnons de route, cette petite fenêtre qui laisse entrevoir la part de rêve dont nous éprouvons tous le besoin.

    5 années pour le Club ENTR’ACTES

    Il a été créé en janvier 2013 avec l’appui de la DRAC Midi-Pyrénées et de la CCI de l’Ariège, pour soutenir les créations de la Compagnie, dans le cadre de la loi Aillagon 2003, sur le mécénat culturel. Il s’agit d’une action collective du monde économique, loin du simple sponsoring, puisqu’elle vise, sur un territoire donné, à favoriser le maintien d’activités artistiques, à s’associer à des actions culturelles de qualité porteuses de valeurs citoyennes fortes, à développer la création artistique et à participer de ce fait à l’attractivité d’un territoire.

    Le Club ENTR’ACTES a été le premier Club d’entreprises mécènes ariégeois et, à notre connaissance, est resté le seul à ce jour. Nous saluons, une nouvelle fois, l’importance de cette passerelle qui relie, à travers le Club, le monde de l’Economie et de la Culture et nous remercions encore une fois, ces entreprises de leur engagement collectif à nos côtés.

    Les 7 membres fondateurs sont toujours présents et ENTR’ACTES ne cesse de se développer et comptera en 2018, avec les nouveaux entrants, 15 membres.

    Les 15 membres 2018 :

    -Mairie de Tarascon (membre d’honneur)
    -Michelle Alberto coiffure
    -Altaïr Immobilier
    -Atelier O9
    -Camping du Pré Lombard
    -Chambre de Métiers et de l’Artisanat de l’Ariège
    -Charpente et Menuiserie du Sabarthès
    -CMA Industry
    -EDF –Geh Aude Ariège
    -Sarl Guitart Frères
    -Le Manoir d’Agnès
    -Les Pâtisseries Mazas
    -Hotel Terra Nostra
    -Sarl Mascaro Frères
    -Les Trésors de Pyrène

    Pour tout savoir sur les spectacles et les lectures : www.compagniefeesetgestes.com

  • 200 jeunes tarnais découvrent Beille à l’occasion d’une journée Olympique

    200 jeunes tarnais découvrent Beille à l’occasion d’une journée Olympique

    Mercredi dernier 200 jeunes tarnais venaient découvrir avec leurs enseignants de l’UNSS, les charmes du sport et des Pyrénées sur le plateau de Beille. Micro reportage en compagnie de Jean-philippe Mialhe, directeur de l’UNSS du Tarn qui amenait sur cette journée ses élèves dans le cadre de la semaine Olympique et paralympique organisée par l’Education Nationale.

    Du 27 janvier au 3 février 2018, tous les élèves de la maternelle au lycée peuvent participer à la semaine olympique et paralympique. Cette opération permet d’associer des pratiques physiques et sportives à l’éducation morale et civique. C’est l’occasion de travailler des thématiques telles que le fair-play, les valeurs du sport et de l’Olympisme ou encore de l’égalité, de la santé et l’inclusion des élèves en situation de handicap.

    Bien sûr chacun pense aux jeux d’hiver qui vont démarrer dans les prochains jours, et à la candidature de Paris 2024, mais l’essentiel pour ces éducateurs et enseignants n’est pas là.

    L’UNSS du Tarn avait choisi ce mercredi  la station de Beille pour encourager ces valeurs, autour du ski de fond, du Biathlon et des paysages merveilleux des montagnes ariégeoises !

  • Suppression de sept postes d’enseignants en Ariège : Bénédicte Taurine communique

    Suppression de sept postes d’enseignants en Ariège : Bénédicte Taurine communique

    Le projet de suppression de sept postes d’enseignants dans les écoles élémentaires de l’Ariège pour la rentrée 2018 est inadmissible.

    Depuis 2007 une école par jour a fermé principalement en zone rurale. D’année en année les politiques d’austérité réduisent le nombre de postes d’enseignants. Après la suppression de 80 00 postes par Nicolas Sarkozy et le non-respect de la promesse de 60 000 créations par François Hollande, Emmanuel Macron ne compense pas le manque d’enseignants en créant suffisamment de postes.

    Les conséquences de ces suppressions sont désastreuses pour nos élèves et enfants : classes ou écoles fermées, enseignants non remplacés et temps de transport scolaire à rallonge.

    En tant que députée de l’Ariège et membre de la France Insoumise, je défends une éducation gratuite et de qualité pour toutes et tous. Il est nécessaire de recruter suffisamment d’enseignants afin de rétablir un véritable corps d’enseignants remplaçants, de renforcer le dispositif « plus de maîtres que de classes » et d’assurer la mission de service public sur l’ensemble du territoire de la République. L’enseignement n’est pas un coût c’est un investissement.

    L’annonce des sept suppressions de poste ne donne pas plus d’information sur les communes et les secteurs concernés. Fermer une école c’est condamner un territoire à la désertification, avec la disparition d’autres services publics, des médecins, des services de proximité…

    J’ai interpellé Monsieur le ministre de l’Education Nationale aujourd’hui au sujet du dédoublement de classe CP-CE1 en zone prioritaire. Ce serait une mesure juste si les moyens nécessaires étaient mis en place. Cette mesure n’est pas totalement financée, en effet les dédoublement repose sur un « redéploiement » de moyens. Elle va entraîner la fin de dispositifs d’aide aux élèves en difficulté qui ne sont pas scolarisés en zones prioritaires, réduire les moyens de remplacement déjà insuffisants et surtout fermer des classes contribuant ainsi à la désertification de notre territoire.

    Je serai toujours du côté de celles et ceux qui défendent notre service public de l’éducation, les parents d’élèves, les organisations syndicales, les élus et les personnels.

    Bénédicte Taurine
    Députée de la 1ère circonscription de l’Ariège