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  • Nouveau à Mirepoix, le Café des Parents

    Nouveau à Mirepoix, le Café des Parents

    L’UDAF (Union Départementale des Associations Familiales) de l’Ariège, en partenariat avec l’Association Espace Initiatives de Mirepoix, organise un « Café des Parents », jeudi 7 décembre à 18h30 dans les locaux de l’EISE au 1, bis chemin de la Mestrise à Mirepoix.

    Le « Café des Parents » s’adresse à tous les parents, grands-parents ou proches, qui se questionnent sur l’éducation, la manière de faire ou sur leur relation avec leurs enfants.

    Le « Café des Parents » est avant tout un lieu d’échanges, de rencontre, de réflexions, qui permet d’aborder différents sujets sur la vie familiale au quotidien et sur l’éducation des enfants (la confiance, l’influence des médias, savoir dire « non », la fratrie, l’adolescence, etc.) et ce, dans le respect des opinions de chacun et en toute confidentialité.

    Ce premier « Café des Parents » a pour thème : « Les grands parents : leur rôle et place dans la vie des enfants ». Il sera animé par Audrey Saboye, animatrice à l’UDAF de l’Ariège.

    Par la suite, les thèmes seront choisis en concertation avec les parents. Le « Café des Parents » est gratuit.

    Pour tout renseignement, vous pouvez contacter l’UDAF 09 – Caroline Leroy au 05.61.05.46.01 ou l’EISE –

  • Challenge « Ariège Terre de Trails » : l’incontestable succès dès la première édition

    Challenge « Ariège Terre de Trails » : l’incontestable succès dès la première édition

    La première édition du Challenge « Ariège Terre de Trails » a livré son verdict. Ce vendredi 1er décembre, les lauréats ont été honorés à l’occasion d’une cérémonie organisée à l’Hôtel du Département à Foix.

    Le Conseil Départemental de l’Ariège et l’Agence de Développement Touristique Ariège-Pyrénées, en partenariat avec le Comité départemental des Courses hors Stade, ont initié cette démarche pour soutenir la cinquantaine d’épreuves organisées chaque année sur l’ensemble du département. Il faut dire que le trail et, au-delà, la course à pied, font partie de l’ADN de l’Ariège.

    Afin d’améliorer la notoriété et donc la fréquentation de ces course, le Département a donc créé la marque « Ariège Terre de Trails », s’appuyant sur l’organisation de deux challenges, celui des Sommets et celui du Patrimoine.

    Les challenges ont été animés par le CDCHS et les organisateurs des différentes épreuves. Le Département s’est chargé de l’accompagnement, de la promotion et de la communication. La démarche a également permis d’organiser une mutualiser du matériel spécifique (arche, signalétique, stand, défibrillateur…) et ainsi permettre aux organisateurs de gagner en efficacité.

    Et ça marche : plus de 9 800 coureurs ont franchi cette année la ligne d’arrivée des courses du challenge, contre 7 000 en 2016 sur les mêmes épreuves qui ne s’étaient pas encore rassemblées. Mais, déjà, les regards se tournent vers 2018…

    Photo : Henri Nayrou, Président du Département remet le trophée à Silvia Trigueros-Garotte, vainqueur Dame du challenge des Sommets, venue tout exprès du Pays Basque espagnol pour la cérémonie.

    Source : CD09

  • L’invité.e de la semaine : Dorian LHEZ Animateur Fédéral MJS en Ariège

    L’invité.e de la semaine : Dorian LHEZ Animateur Fédéral MJS en Ariège

    Il vient d’un famille de syndicalistes du Pays d’Olmes, il fait ses études à Toulouse en histoire de la pensée économique et géographie à l’Université Toulouse III. Il a décidé avec quelques autres de se lancer dans une nouvelle aventure de militantisme et de politique et créer une section MJS en Ariège qui n’existait plus depuis 10 ans. Il souhaite faire avancer le débat sur l’avenir des jeunes en Ariège et sensibiliser étudiants et lycéens ariégeois. C’est Dorian LHEZ et il est l’invité de la semaine sur le plateau d’Azinat.com TV. 

  • L’invitée de la semaine : Bénédicte Taurine, députée de l’Ariège

    L’invitée de la semaine : Bénédicte Taurine, députée de l’Ariège

    Cette semaine c’est Bénédicte Taurine que nous recevons sur notre plateau. Nous voulions l’interroger après ses 100 jours en tant que députée, mais son agenda de jeune députée est surchargé. C’est donc cette semaine que nous la questionnerons sur ses premiers pas à l’Assemblée Nationale. Quels sujets travaillent t’elle, pour l’Ariège quelles actions a t’elle entamé ? et pour l’avenir que souhaite t’elle engager.

  • Centre Point Soleil, pour replacer l’économie au service de l’Humain

    Centre Point Soleil, pour replacer l’économie au service de l’Humain

    Point Soleil se définit comme un espace de vie, de rencontre et de partage sur les interactions entre l’Homme, le collectif et la nature, un centre d’accueil dédié à l’éveil et à la transmission des pratiques qui oeuvrent à un changement de société. 

    Situé à Ornolac-Ussat-les-bains sur un ancien centre diocésain, il émane de l’association KPsens, créée en 2013, et de la volonté des ses co-fondateurs, Julien et Charlotte, de développer un centre éco-construit à vocation touristique et socio-culturelle. 

    Contribuer, accompagner et promouvoir

    Voilà le credo de départ de l’association KPsen : Contribuer à toute action permettant le renforcement de la conscience citoyenne pour un « vivre ensemble » harmonieux,  accompagner les porteurs de projet, les organisations dans une démarche solidaire et promouvoir les solutions viables et durables pour la société au travers d’actions de formations et de sensibilisations.

    Tout cela s’est traduit par la participation active de Julien et Charlotte dans différents réseaux et des lancements d’initiatives comme le lancement de la monnaie locale complémentaire « la Pyrène » qui leur a permis d’avoir une légitimité sur le territoire.

    De KPsens à Point Soleil

    C’est en 2014 que Julien et charlotte découvrent un petit paradis sur les hauteurs d’Ornolac-Ussat-les-bains. Les bâtiments appartenant au Diocèse de Pamiers, donc à l’Eglise, il leur a fallut deux ans pour obtenir la confiance de l’évêché et devenir locataire via une SCIC (société coopérative d’intérêt collectif).

    Sur 3 000 m² de bâti et 3 hectares de terrain, Point Soleil dispose d’une infrastructure particulièrement adaptée à l’organisation de séjours, de séminaires et d’événements. Ces  infrastructures permettent d’accueillir un large public que ce soit dans un cadre professionnel ou personnel, pour des séjours courts ou longs.

    Avec Timothée, Gwendal, Romain et Laurelin, Julien et Charlotte font vivre depuis un an ce lieu de rencontre et de découverte en proposant, outre des séminaires des formations ou des stages, de nombreux événements à destination du grand public, pour les grands et les petits : expositions, apéros-concerts, spectacles, etc

    Eveiller et transmettre 

    Que ce soit dans les domaines de l’éducation, la culture, la spiritualité, le soin à la nature, le bien-être, la gouvernance, l’entrepreneuriat social, etc., le centre s’inscrit dans une approche globale dont chaque facette, en tant qu’unité propre, est en adéquation avec la raison d’être de l’initiative, comme l’explique Julien : 

    «Dans son niveau le plus visible, Point Soleil est un centre d’hébergement et de restauration. A un autre niveau, c’est une grande aventure humaine, à travers ce qui se vit, et des interactions qu’il y a au sein de l’organisation. C’est un véritable laboratoire d’expériences pour faire en sorte de chacun puisse être pleinement qui il est.
    On a une société en crise et en mutation, le mal-être au travail et les Burn-out sont une réalité. Et nous, que fait on pour envisager l’organisation autrement ? Ce lieu est un espace qui permet d’être à la fois sujet et objet de notre propre expérience. On est tout le temps dans des allers et retours entre ce que l’on vit et, est ce que ça répond à l’envie d’être du lieu et est ce que ça correspond à qui nous sommes ? Est ce que l’on se sent libre et est ce que l’on a le sentiment de donner dus ans à ce que l’on fait ?
    »

    Point Soleil
    2 chemin du col d’Ussat
    09 400 Ornolac-Ussat-Les-Bains

    www.point-soleil.com

    http://kpsens.com

     

  • Lavelanet, 2ème Colloque « Mieux communiquer pour mieux vivre ensemble » 30 novembre 

    Lavelanet, 2ème Colloque « Mieux communiquer pour mieux vivre ensemble » 30 novembre 

    Contrat de territoire et politique de la ville

    Dans le cadre du Contrat de territoire, signé en 2017, un appel à projets a été lancé par la Préfecture de l’Ariège et la Communauté de Communes du Pays d’Olmes. La ville de Lavelanet a été retenue pour le projet : « Mieux communiquer pour mieux vivre ensemble dans nos quartiers et nos territoires» et a reçu une subvention du Commissariat Général à l’Égalité des Territoires (CGET) de 3.500€ pour la mise en place de cet événement piloté par le CLSPD en partenariat avec le CISPD. Le terrain d’étude de ce projet regroupe le département de l’Ariège à travers les quartiers politiques de la ville : Foix, Pamiers, Saint-Girons, Lavelanet. Ateliers, conférences, film, débats, tables rondes vont se succéder durant ces deux jours au cinéma le Casino de Lavelanet (entrée libre – tous publics).

    Qu’est-ce que la communication ? Que produit-elle, chez l’enfant, chez le citoyen ou dans le monde du travail ? Qu’entend-on par communication bienveillante, assertive ou non violente ? À partir de quand peut-on parler de violence dans la communication ? Ces questions se posent-elles différemment en milieu rural ? Les constats sont-ils identiques sur toute l’Ariège, à Pamiers, Foix, Lavelanet ou St Girons ? Quelles méthodes existent aujourd’hui ? Que produisent-elles ? Sont-elles accessibles à tous ? La formation individuelle à la communication peut-elle modifier le vivre ensemble à l’échelle d’un territoire ? Citoyens, professionnels ou élus, pouvons-nous être acteurs de changement ? Autant de thèmes qui seront abordés durant ces deux journées.

     ZOOM sur l’Ariège.

    Le 16 novembre, Philippe Sahuc sociologue expert des questions de communication sur les territoires a donné le coup d’envoi de ce colloque sur la question du lien entre la communication et le bien-vivre ensemble dans les territoires ruraux. Chercheuse et enseignante, Véronique Bordes explorait les thèmes comme l’animation enfance et jeunesse, l’éducation populaire, mais aussi le Hip Hop, par une approche socio ethnographique. De nombreux autres intervenants tels que Patrice Catalano, Karine Minidré, Pauline Matha & Brigitte Audouard ainsi que les associations Le Temps d’Agir, KPsens, Radio transparence et Solidarité Villes étaient partie prenante de ces deux journées. Le soir, projection du film : « La force de la parole »,  de Stéphane de Freitas, suivi d’un débat en présence de Loubaki Loussalat, acteur du film. Organisé par La Sauce du Casino.

    Ce jeudi 30 novembre : Et si nous étions tous acteurs du bien-vivre ensemble ?

    Solutions, outils, et ateliers… le 30 novembre avec pour débuter à 9h15, une conférence de Sophie Rabhi. Fondatrice d’une école qui pratique la « Pédagogie de la bienveillance » en Ardèche, Sophie Rabhi donnera une conférence sur le thème de la communication non violente et la bienveillance.

     Renseignements et inscriptions : www.colloque-lavelanet.fr

    Contact

    Jean Luc Torrecillas. 06 77 88 52 78. Courriel : jlmonge09@gmail.com

    Stéphane Dallaporta (Transition&Territoires). 07 82 07 91 71.

    Courriel : stephane.dallaporta@gmail.com

  • La Bergère et l’Ours ou comment la cohabitation entre l’homme et l’ours est possible !

    La Bergère et l’Ours ou comment la cohabitation entre l’homme et l’ours est possible !

    Ancienne éleveuse et bergère en Ariège, Catherine BRUNET a toujours défendu un pastoralisme respectueux des hommes et de la nature. Elle explique dans ce livre comment la cohabitation entre l’homme et l’ours est possible et exprime son incompréhension face à cette polémique qui dure et perdure.

    Elle a fait partie de ces éleveurs et bergers qui ont osé prendre position publiquement. Le moment venu de « raccrocher », elle raconte 15 années de militantisme, y compris les pressions exercées par le lobby anti-ours pour qu’elle se taise. Ce livre est incontournable pour comprendre, dépasser les préjugés et découvrir l’envers du décor d’un débat beaucoup plus politique que pastoral.

    « Pensez-vous qu’un jeune qui s’installe en montagne sans intégrer le respect de son environnement peut prétendre à un label de qualité au 21e siècle ? Je ne crois pas que « vivre en montagne » peut-être à lui seul un label. Je pense que les consommateurs ne sont plus dupes et que l’agriculture a assez souffert. » écrit Catherine. 

    Alain Reynes, directeur du Pays de l’Ours-Adet exprime dans sa préface : «Merci Catherine d’avoir si bien incarné dans ton engagement pour l’ours cette belle pensée de Ian Mc Millan : « Il faut sauver les condors non pas tant parce que nous avons besoin d’eux mais parce que nous avons besoin des qualités humaines pour les sauver ; car ce sont celles-là même qu’il nous faut développer pour nous sauver nous-mêmes. »»

    Son éditrice, Florence Cortès, auteur de la postface du livre, nous explique combien il était important pour elle, en cette période où l’ours est revenu au coeur des débats, d’éditer cette seconde version revue et enrichie du livre de Catherine Brunet : « La bergère, l’ours, la politique politicienne et moi » paru chez Edilivre en 2014. 

    En effet, femme de convictions, écologiste, cette militante défend, avec les Publications Vox Scriba®, de nombreuses causes dont le combat des femmes dans notre société. Elle publie, d’ailleurs, en cette fin d’année cinq ouvrages comme témoignages : « Le long chemin de Safietou Dieye » de Sophie Perret, femme qui s’est ancrée dans un combat pour prouver qu’au Sénégal une femme a toutes les qualités requises dans de hautes fonctions ; « Zen de Vie » de Christine Godillot ou le combat d’une mère face à l’intolérance et au handicap ; « La femme pivoine » de Sylvie Dortet Bernadet, femme qui assume sans aucune prétention ni complexe son statut de ronde et sexy à travers un témoignage sur fond d’adoption ; « Le ventre de la Méditerranée » de Pascale Angles, recueil sur le combat que cette poète mène pour aider les migrants et, bien entendu « La Bergère et l’Ours » de Catherine Brunet.

    A noter que le dessin de la couverture a été réalisé par Jean-Yves FERRI

    La Bergère et l’Ours de Catherine BUNET : 15 euros

    (en vente dans toutes les bonnes librairies, au cabinet Vox Scriba® et sur www.voxscriba.com.)

  • Magazine Ariège-Pyrénées n°37 : l’information du Département dans votre boîte aux lettres

    Magazine Ariège-Pyrénées n°37 : l’information du Département dans votre boîte aux lettres

    Le nouveau numéro du Magazine Ariège-Pyrénées arrive dans votre boîte aux lettres ! La publication du Conseil Départemental de l’Ariège est entièrement consacrée à l’information départementale.

    Actualités économiques, environnementales, culturelles ou sportives, agenda des sorties, tout savoir sur le chantier hors norme du Col d’Agnes, le travail des accueillants familiaux ou les travaux dans les collèges, sans oublier une double page consacrée la prévention du moustique-tigre. Comme les précédents, ce n°37 du magazine se veut le reflet de la vie ariégeoise.

    Il est distribué dans toutes les boîtes aux lettres du département à compter du 27 novembre, mais est également disponible, en libre téléchargement, sur le portail Internet de la collectivité : ariege.fr

  • 16 Millions d’euros pour l’Ariège grâce à AirBnB !

    16 Millions d’euros pour l’Ariège grâce à AirBnB !

    La plateforme AirBnB a décidé, il y a peu de convaincre de son intérêt économique pour les territoires touristiques et notamment français. Elle lance depuis quelques jours une plateforme statistique qui permet à chacun de connaitre l’impact économique de son système sur un ville ou un département. Les chiffres pour l’année 2017 viennent d’être révélés et c’est comme cela que l’on apprend que l’Ariège a bénéficié de 16 millions de retombées économiques grâce à AirBnB.

    Loin des traditionnelles activités liées au tourisme professionnel, Airbnb laisse, depuis quelques années, à des particuliers (Monsieur et madame tout le monde), la possibilité d’héberger et d’accueillir des touristes de passage. Cette plate-forme sur Internet fait polémique dans les grandes villes touristiques, accusée par les « pro » de casser le marché, et par les communes de mettre en concurrence les locations annuelles avec les locations saisonnières en créant une pénurie de logement et également la tension sur le prix des loyers…

    Tout ceci avec la volonté de l’Etat et du Fisc de limiter le nombre de jours de location possible (120 jours par an), les Offices de Tourisme d’imposer aux loueurs de récupérer la taxe de séjour,…

    Pourtant, AirBnB continue de faire son chemin et propose à des particuliers, de manière facile et efficace, de s’arrondir les fin de mois en hébergeant des touristes ou carrément leur laisser place dans leur habitation.

    C’est ce qui est fait en Ariège depuis quelques années visiblement et c’est ainsi que l’on compte 1 200 « loueurs » et logements sur le département qui ravissent  plus de 25 000 touristes ou voyageurs par an de 59 nationalités différentes.

    Parmi les villes les plus attractives (Top 3 du département) du département (source Dataville proposé par AirBnB), on compte ; Mirepoix qui permet aux 60 logements de se procurer en moyenne 1 400 euros par an de revenus en hébergeant 700 voyageurs, Foix avec 80 logements et 2000 voyageurs hébergés et surtout Ax-les-Thermes avec 100 hébergements et 3 000 voyageurs hébergés.

    D’autres villes ou lieux sont bien classées également, découvrez-les en cliquant le lien Dataville proposé plus haut…

  • Henri Nayrou est prêt à tester un revenu « de base » en Ariège

    Henri Nayrou est prêt à tester un revenu « de base » en Ariège

    Henri Nayrou est prêt à tester un revenu « de base » sur le département de l’Ariège. Inspiré du revenu universel  proposé lors de la dernière campagne présidentielle par le candidat du Parti Socialiste Benoit Hamon, Henri Nayrou serait prêt à tester un revenu de base à l’instar de 7 autres présidents de départements français.

    Dans une tribune publiée dimanche 26 novembre dans Le Journal Du Dimanche s‘appuyant sur leur implantation locale, les 8 présidents (Haute-Garonne, Aude, Gers,  Ariège, Gironde, Meurthe-et-Moselle, Ile-et-vilaine, Seine saint-Denis) sont prêt à expérimenter ce concept qui divise et resurgit régulièrement dans le débat politique français. « Nous voulons passer de l’étude en laboratoire au test in vivo en portant un projet d’expérimentation au Parlement », ajoutent les élus, rappelant « l’intention »d’Emmanuel Macron de « réformer la Constitution pour assouplir le droit à l’expérimentation », exprimée lors du Congrès des maires de France.

    Les présidents de département visent ainsi l’élaboration d’« un modèle robuste, crédible scientifiquement, audacieux socialement et soutenable financièrement grâce à des micro-simulations » partant des « réalités sociales ». L’expérimentation de terrain permettra d’évaluer le revenu de base « pour l’ajuster, avant peut-être de le généraliser », font-ils valoir sans en préciser les contours exacts.

    Lors d’une conférence de presse qui a  eu lieu au Conseil départemental lundi après-midi, Henri Nayrou a précisé sa volonté d’étudier ce dossier et a insisté sur le fat qu’il s’agissait d’un revenu de base et non d’un revenu universel qui le gène dans sa conception puisqu’il met en cause la valeur travail.

    « Puisque l’on sait que le RSA ne remplit pas ses objectifs de réinsertion, nous souhaitons avec d’autres départements, comme Emmanuel Macron nous le propose, mettre à l’étude puis expérimenter une version qui reste à définir, d’un revenu de base, qui permettrait in fine à 9 millions de français de ne pas rester dans la pauvreté », un sorte de revenu d’utilité sociale qui permettrait  de faire évoluer le RSA actuel et qui pourrait donner à la fois un revenu et une utilité sociale aux personnes exclues actuellement du système.

     

     

  • Un ambitieux projet de méthanisation en Ariège !

    Un ambitieux projet de méthanisation en Ariège !

    ARSEME et ENERFIP invitent les citoyens à prendre part à un ambitieux projet de méthanisation en Ariège !

    En 2013, 57 agriculteurs des départements de l’Ariège, de l’Aude et de la Haute-Garonne se sont réunis avec la volonté d’œuvrer concrètement en faveur de la transition énergétique et pour le développement de leur territoire. Ils portent ensemble le projet de création de l’unité de méthanisation ARSEME. La construction de cette centrale de méthanisation, située sur la commune de Montaut (09700) à proximité de la commune de Saverdun (09), va débuter au premier trimestre 2018 pour une mise en service prévue durant le dernier trimestre 2018.

    Afin de poursuivre cette démarche d’implication des acteurs locaux et de recréer du lien entre l’agriculture et les riverains, ARSEME, société qui porte le projet, a fait appel à la plateforme de financement participatif dédiée aux projets d’énergies renouvelables ENERFIP. Objectif : lever 800.000€ pour financer le raccordement de la centrale au réseau TIGF (Transport Infrastructures Gaz de France).

    Cette collecte est ouverte depuis  le jeudi 16 novembre sur enerfip.fr

    Un projet ambitieux et adapté au territoire qui répond aux objectifs de la loi de transition énergétique pour la croissance verte

    L’objectif de la création de cette usine de méthanisation est de valoriser les déchets de production de maïs et de colza semences des agriculteurs mais également de valoriser le biogaz produit par injection dans le réseau TIGF (la canalisation de transport de gaz la plus proche du lieu d’implantation étant sous gestion TIGF). Ce projet ambitieux fait écho à la nécessité de répondre aux nouveaux enjeux du secteur agricole français qui imposent aux agriculteurs de reconsidérer et de diversifier leurs méthodes de production. En Ariège, l’agriculture est un secteur d’activité particulièrement important qui structure le tissu économique et social des bourgs ariégeois et est capitale pour la gestion des espaces ruraux et montagnards.

    Cette installation permettra notamment de traiter les déchets de la plupart des 57 exploitations agricoles actionnaires du projet pour les valoriser en gaz et en engrais naturel.

    Ainsi, la matière première sera composée de 12 500 tonnes d’Ensilage de maïs, 1 800 tonnes de résidus d’égrenage de maïs, 1 800 tonnes d’Ensilage de colza et 5 750 tonnes de lisiers de bovins soit un total de 21 850 tonnes annuelles d’intrants bruts. Le traitement de ces effluents permettra de produire 2.960.000 Nm3 de biogaz soit l’équivalent de 16.470 000 kwh/an.

    Faire bénéficier les riverains des retombées environnementales et financières du projet

    Les objectifs de cette démarche engagée par les acteurs du projet sont pluriels : d’une part il s’agit de mieux valoriser les déchets végétaux et de produire de l’énergie sous forme de biogaz se substituant au gaz d’origine fossile, mais aussi de construire une activité à taille humaine, génératrice d’emploi et pérennisant l’agriculture locale. Cette initiative permet également aux citoyens et notamment aux habitants des communes du projet de devenir des acteurs de la transition énergétique en leur offrant l’opportunité de placer leur épargne directement dans une installation vertueuse.

    A propos de ARSEME

    Créée à l’origine par les associés de la PROSEM, la société ARSEME regroupe aujourd’hui dans son actionnariat des acteurs régionaux.

    La société PROSEM en quelques chiffres :
    • 57 agriculteurs
    • 3 départements représentés : Ariège, Aude et Haute Garonne

    Dès le lancement du projet la CAPA (Coopérative Agricole de la Plaine de l’Ariège) et la RME (Régie Municipale d’Electricité de Saverdun) ont souhaité accompagner les agriculteurs. Le partenariat entre ces 3 acteurs s’est matérialisé en octobre 2014 avec la création de la SAS ARSEME, qui porte le projet de l’unité de méthanisation. L’objectif affiché de la création de cette usine de méthanisation, en plus de produire du biogaz, est de valoriser les déchets de production de maïs et colza issus des exploitations agricoles.

    A propos d’ENERFIP

    Enerfip est une plateforme de financement participatif dédiée à la Transition Énergétique basée à Montpellier. Elle propose aux citoyens d’investir leur épargne directement dans des projets d’énergies renouvelables ou favorisant la transition énergétique.
    Fondée en 2014 par quatre amis spécialistes du financement et du développement de projets d’énergie renouvelable, Enerfip obtient en avril 2015 l’agrément CIP, Conseiller en Investissements Participatifs et est également agréée IFP, Intermédiaire en Financement Participatif.

    Sa volonté : permettre à tout citoyen de devenir acteur de la transition énergétique tout en bénéficiant d’une solution d’épargne alternative attractive mais au risque maîtrisé, et offrir aux porteurs de projets une source de financement complémentaire des solutions classiques.
    Enerfip, en plus de mettre en place des événements d’information dans les communes concernées par le projet, propose également une assistance d’investissement sur place pour les citoyens qui ne sont pas familiers avec l’outil Internet ; ainsi, l’ensemble des citoyens qui le souhaitent peuvent investir dans les projets qui structurent l’avenir énergétique de leur bassin de vie.

     

  • Lavelanet : Atelier relooking VERTEX

    Lavelanet : Atelier relooking VERTEX

    A l’occasion de la SERD (Semaine Européenne de la Réduction des Déchets), l’entreprise VERTEX de Lavelanet a prouvé, lors d’un relooking exceptionnel, que le vêtement de seconde main n’a pas dit son dernier mot.

    « On peut être chic avec des vêtements d’occasion, il suffit d’un peu d’imagination » voici le crédo de Vertex

    Lundi 20 novembre 2017, la boutique Fringo’ Folies de VERTEX est en pleine agitation.

    Clémence Lau, consultante en image personnelle de L’Authentic Style, s’affaire à mettre en beauté Karine. Assis sagement autour de la table de maquillage, Christine et Thomas attendent leur tour pour revêtir la tenue sélectionnée pour eux par Clémence. « J’ai mené en amont des études de colorimétrie et de morphologie des candidats. J’ai ensuite transmis un dossier à Jennyfer, la responsable de magasin, pour qu’elle réserve des tenues en fonctions de mon cahier des charges. Nous avons fait des essayages et choisi celle qui les mettait le plus en valeur » détaille la consultante en image.

    Catherine Girard, directrice de l’entreprise d’insertion VERTEX explique que « l’objectif de cet atelier est mettre à l’honneur le vêtement de seconde main. Nous voulons démontrer par l’image que l’on peut faire du beau avec de l’occasion.
    Nous avons tiré au sort 3 candidats, parmi nous clients réguliers, pour qu’ils participent à ce relooking. Ils se prêtent gentiment au jeu et en échange ils repartent avec leur tenue complète : vêtements, veste et chaussures.

    Une coiffeuse est également intervenue, elle a coiffé nos participants et elle a même fait des mèches à Karine. Nos clients privilégiés se sentent chouchoutés et cela les met à l’aise. »

    Karine sort de la cabine d’essayage et un « wow » enthousiaste résonne dans la boutique. Elle est d’une grande élégance dans sa tenue noire et très féminine. « Je suis ravie ! » confie-t-elle. « Je suis une inconditionnelle du jean et finalement je me sens plutôt bien en jupe. Une vraie métamorphose ! »

    C’est au tour de Thomas de se découvrir avec un long manteau gris en laine et une chemise à carreaux colorée. « Je viens à la boutique depuis son ouverture. J’aime fouiller et trouver des pièces qui me vont. Le prix aussi est un très bon moteur pour moi ! Je peux me vêtir pour presque rien. » Quand on lui demande s’il est gêné par le fait que ces habits ont déjà été portés il répond : « Absolument pas. Ils sont propres et triés en amont. Au contraire, on peut se composer une tenue originale ou même passe-partout pour 15 euros. D’ailleurs, j’aime beaucoup les chaussures ! »

    Christine, quant à elle, est habillée d’une petite robe grise, col claudine : « Elle me rajeunit ! Je ne vais pas mettre la veste, la robe est très belle comme ça. »
    En regardant nos trois candidats, impossible de penser que leurs tenues sont d’occasion. Ils sont élégants et heureux d’avoir participé à cette opération.

    Pari réussi pour VERTEX qui rappelle que la surconsommation actuelle de vêtements bas de gamme peut être aisément remplacée par un achat de seconde main. C’est un geste écoresponsable que notre portefeuille appréciera !

    Boutique Fringo’ Folies de Lavelanet,
    19 rue Jacquard,
    05 34 09 35 41.
    Ouverture les mercredis et samedis de 10h à 18h.