Catégorie : z-newsletter

  • L’association « Le Chabot » se bat pour sauver nos cours d’eau

    L’association « Le Chabot » se bat pour sauver nos cours d’eau

    Il y a quelques semaines, sur notre page FaceBook, nous avons été interpelés par un de nos « fans » qui nous donnait connaissance d’un article du journal écologique Reporterre intitulé :  «La FNSEA veut faire disparaître les petits cours d’eau de nos cartes» (voir l’article) et  nous indique que de nombreux cours d’eau ariégeois sont menacés. Lisant l’article, nous prenons connaissance de l’association «Le Chabot» avec qui nous prenons contact. Quelques jours plus tard nous rencontrons son porte-parole, Monsieur Henri Delrieu et son Président Monsieur Bernard Danjoie, au bord du ruisseau des Trois Bornes sur la commune de Montaut et ils nous expliquent le combat de l’association.

    L’association le chabot  est agréée association de protection de l’environnement, elle est est membre de France-Nature-Environnement (FNE). Elle est très attachée au principe de l’action en partenariat avec les autres associations intéressées au milieu naturel rivière : Comité Ecologique Ariégeois, Pêcheurs, associations de protection d’autres cours d’eau.

    Tout commence avec la Lema

    La loi sur l’eau et les milieux aquatiques (Lema) du 30 décembre 2006, transpose dans le droit français une directive européenne sur l’eau adoptée en octobre 2000. Cette loi a pour objectif — entre autres — de parvenir à un « bon état » écologique des masses d’eau douce d’Europe d’ici 2015 ( on devait atteindre 70% de bon état écologique des masses d’eau douce en 2015, en 2017 nous en sommes à 30%).

     La FNSEA, qui sait à quoi s’en tenir, y voit une menace directe : l’agriculture industrielle dissémine massivement des pesticides et pollue les rivières et les rivages avec ses nitrates. En 2014, l’Europe a d’ailleurs condamné une nouvelle fois la France pour sa politique trop laxiste contre l’épandage des nitrates. (Art. Repoterre)

    Le combat de l’association Le Chabot

    «Le 1er ministre, Manuel Valls, devant le congrès de la FNSEA, a été très clair» Explique Henri Delrieu  «moins de contrôles, des contrôles plus ciblés, donc à terme moins de fonctionnaires sur ces dossiers, moins de loi sur l’eau… et donc moins de protection de nos cours d’eau. »

    «Le ministère a donc confié une mission à notre députée Frédérique Massat qui a travaillé 25 points pour alléger la pression de la loi sur l’eau sur la profession agricole notamment. Dans cette proposition d’allègement figure la révision de la géographie hydrographique de la France, sans géographes, sans hydrologues, sans scientifiques, sans tenir compte des multiples jurisprudences, mais sous la pression du lobby agricole et pour satisfaire des intérêts particuliers et économique. Tout le travail qui a été effectué par des cartographes pendant plus de deux siècles est aujourd’hui remis en cause.»

    «L’enjeu aujourd’hui, est de redéfinir et cartographier ce qui sera désormais considéré comme un cours d’eau et donc « soumis à la loi sur l’eau » et aux contrôles y afférents – ou pas.

    Le réseau chevelu, constitutif de nos cours d’eau, mais souvent non cartographié et ne portant pas forcément de nom propre, est dans le collimateur et risque fort d’en prendre un vilain coup

    «Notre travail récent en partenariat avec le CIAPP (Conseil International pour la Protection des Pyrénées) nous a permis de voir rapidement les risques à partir de l’exemple d’un chevelu que nous venions d’étudier : le Crieu.  Des sources vont « disparaître », des tronçons ne seront plus pris en compte, des zones humides ne seront plus protégées, des affluents seront effacés.

    Tout au long de la concertation nous avons réaffirmé nos positions à savoir qu’un un cours d’eau est qualifié par :

    • la présence et la permanence d’un lit naturel à l’origine, y compris un cours d’eau naturel à l’origine rendu artificiel par la suite,
    • la permanence d’un débit suffisant une majeure partie de l’année, apprécié au cas par cas en fonction des données climatiques et hydrologiques locales.

    Cette appréciation du débit rend caduque toute définition qui exigerait plus de six mois de débit par an. Elle permet de reconnaître les cours d’eau à régime atypiques, temporaires et non permanents.

    Au regard des objectifs fixés par la DCE (Directive Cadre sur l’Eau) d’atteinte du bon état écologique de l’eau, consciente du risque évident d’oublis sur une carte établie dans la précipitation et sous la pression de syndicats professionnels ayant clairement annoncés leur désir d’une cartographie réduite, notre association retient pour seuls critères, ceux reconnus et validés par les juridictions.

    Ainsi nous demandons à ce que soit retenu comme cours d’eau :

    • l’intégralité du linéaire du chevelu, constitutif à part entière de notre réseau hydrographique, tel que présent sur les cartes IGN au 1/25000 ième 
    • à partir des documents issus de BD Topo (Base de données topographiques) et BD Carthage (Base de Données sur la CARtographie THématique des AGences de l’eau et du ministère chargé de l’environnement), tous les cours d’eau recensés en bleu foncé ou clair, continu ou intermittents, nommés ou non, ainsi que tous ceux en rose (à quelques rares exceptions confirmées contradictoirement sur le terrain)
    • les affluents ou portions de cours d’eau, oubliés de la cartographie issus de BDC ou BD Topo, que nous ajoutons en rouge sur les extraits de carte ci-joints. Ces ajouts, très partiels et incomplets, ne limitant pas la base définitive des observations que nous pourrions relever ultérieurement.

    Ainsi, c’est cours d’eau par cours d’eau que se fait actuellement l’analyse. Vous comprendrez que les professionnels, agricoles, forestiers, industriels… qui ont des intérêts économiques forts à voir des cours d’eau disparaître et avec, leur protection, sont à l’œuvre et déjà bien organisés.

    Si nous restons l’arme au pied, ce sont des centaines de milliers de cours d’eau en France qui vont perdre leur statut de masse d’eau.

    Si nous n’intervenons pas, le rapport Massat aura donc abouti à une opération de « grand nettoyage par le vide » de la loi sur l’eau.

    Notre association s’est engagée très tôt sur ce difficile dossier. Nous avons à ce jour établis près de 100 fiches de reconnaissance cours d’eau. C’est considérable et notre action s’est fait connaitre au niveau national»

    Henri Delrieu – Porte parole de l’association « Le Chabot »

    Quelques exemples :  Cartographie des cours exemple

    Les articles de Reporterre: 

    reporterre.net/Quand-le-gouvernement-et-la-FNSEA-redessinent-la-carte-des-cours-d-eau

    reporterre.net/La-FNSEA-veut-faire-disparaitre-les-petits-cours-d-eau-de-nos-cartes

     

  • Les comités « en marche » s’activent sur le département

    Les comités « en marche » s’activent sur le département

     « Après trois réunions publiques à Crampagna, La Tour du Crieu et Saurat et avant celles de Saint Quentin la Tour (le 14 avril à 20h) et Ferrières (le 21 avril à 20h), mais aussi les Cafés Débats à Pamiers (Bar du Castella, les 12 et 19 avril de 18h à 20h), les Comités En Marche ! de l’Ariège veulent répondre à la question qui préoccupe de plus en plus les ariègeois : « Y’aura-t-il des candidats En Marche ! aux législatives en Ariège ? » 

    La réponse est clairement positive. Le mouvement d’Emmanuel Macron présentera une ou un candidat dans chaque circonscription. 

    Rappelons le mode de désignation. Tous les candidats à la candidature peuvent s’inscrire sur le site internet. Une Commission Nationale d’Investiture, autorité indépendante et souveraine de neuf membres, est la seule habilité à désigner les candidats. 

    Aucun arrangement électoral local n’est donc possible. 

    La Commission doit respecter deux équilibres majeurs : la parité femme – homme et la parité élus – membres de la société civile. Cela permettra de faire émerger une nouvelle génération de femmes et d’hommes politiques. 

    Un des engagements forts du candidat Macron sera ainsi respecté. 

    Les parlementaires provenant d’une autre formation politique qui souhaitent intégrer la majorité présidentielle, qu’ils soient du PS, de l’UDI ou des Républicains, devront le faire politiquement et administrativement sous l’étiquette d’En Marche ! 

    Enfin, les investitures seront annoncées par vagues successives dans les prochaines semaines et d’ici au lendemain du second tour de la présidentielle. »

    Cette semaine qui vient :

     « Les comités En Marche ! de l’Ariège tiendront une série de réunions et de permanences, dans toute le département cette semaine. 

    Cela commencera par un Café Débat à Pamiers au Bar du Castella, mardi 12 avril de 18h à 20h. Les appaméens sont invités à venir à la rencontre des animateurs locaux pour débattre du programme du candidat Emmanuel Macron, sur les sujets de leur choix. 

    Le jeudi 13 avril de 18h à 20h, c’est dans le Couserans qu’une rencontre citoyenne se tiendra au Bar-Restaurant La Veillée, 14 rue Pierre Mazaud à Saint Girons. 

    Enfin, la quatrième réunion publique départementale aura lieu, en Pays d’Olmes, à Saint Quentin la Tour, le vendredi 14 avril à partir de 20h. Les trois thématiques suivantes seront abordées : moralisation et renouveau de la vie politique, sécurité et justice, ainsi que la société du travail. 

    Deux permanences permettent aux ariègeois de venir se renseigner individuellement sur le projet d’Emmanuel Macron. 

    A Ax-les-Thermes, au Clos Saint Louis, 2 rue Marcailhou, elle est ouverte tous les vendredis de 18h à 19h30. A Artigat, à la maison d’hôtes « Maitre Loze », 12 rue des Colombages, tous les mercredis de 19h à 21h. »

  • Mirepoix, ouverture d’une troisième station-service par l’enseigne Super U, les Organisations Professionnelles Artisanales de l’Ariège disent NON !

    Mirepoix, ouverture d’une troisième station-service par l’enseigne Super U, les Organisations Professionnelles Artisanales de l’Ariège disent NON !

    L’enseigne Super U de la ville de Mirepoix, compte créer une station-service vraisemblablement de type 24h/24h avec automate (donc sans aucun emploi à la clé, si ce n’est peut-être l’entretien) sur un terrain qui aurait été acheté au Conseil Départemental de l’Ariège, et pour lequel un permis de construire aurait été accordé. 

    Aujourd’hui,  déjà deux entreprises de Mirepoix ont cette activité, qui participe incontestablement à leur équilibre financier et au maintien de leur entreprise et des emplois. (plus d’une dizaine d’emplois)

    A ce titre, l’U2P et la FNAA de l’Ariège, se sont mobilisées et ont mobilisé leur réseau pour soutenir les deux chefs d’entreprise, par une lettre ouverte

    Madame, Monsieur, Chers Collègues,

    A travers l’ensemble des Organisations Professionnelles Artisanales de l’Ariège, l’U2P nouvelle appellation de l’Union Professionnelle Artisanale et la FNAA (Fédération Nationale des Artisans de l’Automobile), soutiennent indéfectiblement les deux stations-services de Mirepoix dans leur projet de pétition contre la création d’une troisième station-service par l’enseigne SUPER U.

    Nous rappellerons que ces entreprises représentent un nombre d’emplois bien plus important que les emplois qui seront crées dans l’enseigne dans le cadre de ce projet.

    Comme nous le savons, l’activité de station-service par les enseignes n’est qu’ un moyen de captation et de fidélisation pour la clientèle, en vendant le plus souvent le carburant à prix coutant et avec une très faible marge.

    Ce projet est donc incontestablement un risque de plus dans la fragilisation économique et sociale de ce territoire, qui n’a comme bien d’autres, pas besoin de ce nouveau coup de poignard.

    Avec l’accord des deux responsables (Mr Braam DE MOYER et Jocelyn PARSY), l’U2P et la FNAA adressent également un courrier de mobilisation à Madame le Maire de Mirepoix et Conseillère Départementale, à Monsieur Alain FAURE Député de la Circonscription, à Monsieur Alain DURAN Sénateur de l’Ariège, à Monsieur le Sous-préfet de PAMIERS et à Madame La Préfète.

    Nous en appelons également à la solidarité de l’ensemble des artisans et des commerçants de proximité de la ville de MIREPOIX à l’égard de leurs deux collègues mirapiciens, en voulant bien signer leur pétition, disponible dans les deux établissements.

    Vous en remerciant par avance, et certain de votre soutien,
    Nous vous prions de croire, Madame, Monsieur, Chers Collègues, à nos plus cordiales salutations.

    Le Président de la FNAA de l’Ariège          Le Président de l’ U2P de l’Ariège
    Gérald SGOBBO                                                    Vincent PEREZ

    Vous pouvez envoyer un mail de soutien aux 2 stations services :

    Le Relais St Christophe (Mrs DE MOYER et ROULIN) : jmr-combustibles@orange.fr
    Station-service Total (Mr Jocelyn PARSY) :  totalmirepoix.sjcp@sfr.fr

     

  • 14 juillet 2017, la révolution en Ariège !

    14 juillet 2017, la révolution en Ariège !

    Cette semaine, CIRE est d’humeur Vélo, et on le sait tous : l’Ariège aime le vélo !

    Ca se passera le 14 juillet, ce sera en Ariège : l’étape du Tour de France sera 100% ariégeoise, 100 kilomètres de Saint-Girons à Foix et c’est un EVENEMENT. 

    Le mardi 4 avril, à 11 heures, 100 jours avant l’étape de 100 kilomètres, 100 pour 100 ariégeoise, le Département de l’Ariège et l’Agence de Développement Touristique Ariège- Pyrénées ont donné le coup d’envoi de cette Fête nationale du Tour de France en Ariège, en présence de Christian Prudhomme, Directeur du Tour de France, et de nombreuses personnalités. Pour l’occasion, un peloton de « 100 » cyclistes a rallié symboliquement Saint-Girons à Foix par la Voie verte !

    Mais ces 100 là n’étaient surement pas dopés. Vivement le 14 juillet ! 

    © Cire Illustrateur www.cirebox.com

  • Les peignes en corne Thomas Liorac labellisés «Entreprises du patrimoine vivant»

    Les peignes en corne Thomas Liorac labellisés «Entreprises du patrimoine vivant»

    L’entreprise de fabrication de peignes en corne «Thomas Liorac»  de Grégoire et Marguerite Villedey situé à Laroque d’Olmes, vient d’obtenir le label des «Entreprises du patrimoine vivant» (EPV). Ce label français d’Etat est décerné par le ministre de l’économie et des finances.

    Grégoire et Marguerite Villedey ont découvert les peignes en corne lorsqu’ils se sont installés il y a quelques années en Ariège. Ils ont fondé en 2011 l’entreprise « Thomas Liorac » qui commercialisait des peignes en corne. Mais en 2013, le fournisseur ne parvenaant plus à fournir suffisamment pour faire face au succès, Grégoire et Marguerite se sont lancés dans la fabrication en s’auto-formant pendant dix-huit mois. Aujourd’hui Marguerite est à la fabrication et Grégoire à la commercialisation et l’affaire se porte bien. 

    L’obtention de ce label marque la reconnaissance de la qualité des peignes en corne et la garantie de leur fabrication française, ainsi que les efforts de l’entreprise pour sauvegarder, réinventer et transmettre ce savoir-faire ariégeois en voie de disparition.

    Ce label confirme surtout la crédibilité du projet et la possibilité de résister aux délocalisations de productions y compris dans un secteur à forte intensité de main d’œuvre.

    Avec la création récente d’un cinquième emploi, l’entreprise consolide son développement et prévoit dans la foulée l’ouverture prochaine d’une boutique d’atelier, participant ainsi au dynamisme territorial et à l’offre touristique de l’Ariège.

    en savoir plus sur l’entreprise : www.thomasliorac.com

     

  • « Pourquoi je suis devenu un terroriste » un roman au coeur de l’actualité signé Josette Elayi

    « Pourquoi je suis devenu un terroriste » un roman au coeur de l’actualité signé Josette Elayi

    Demain, samedi 8 avril, l’organisation indépendantiste basque ETA va déposer les armes à Bayonne , événement qui a été annoncé par plusieurs articles de presse et qui va être couvert par les journalistes. Ce roman historique de Josette Elayi , concerne précisément l’histoire de l’ETA.

    Après nous avoir emmenés, avec subtilité et précision dans le dédale chaotique d’un pays attachant et accablant qu’est l’Irak dans son roman «L’ombre de Saddam», Josette Elayi nous entraîne cette fois dans la tête d’un terroriste de l’ETA.

    «De l’attentat de l’Hipercor de Barcelone à celui du Bataclan de Paris, la folie meurtrière des hommes se poursuit. Est-il possible de faire une plongée vertigineuse dans la tête d’un terroriste pour comprendre, de l’intérieur, son fonctionnement ? Qu’est-ce qui amène Francisco, un paisible étudiant espagnol d’Alicante, à devenir un artificier spécialisé dans les attentats à la bombe ?

    En 1985, il croise la route de Dolorès, une séduisante et redoutable combattante d’ETA, l’organisation indépendantiste basque. Comment est-il pris dans l’engrenage de la violence ? De sombres aventures le conduisent, de l’entraînement commando dans les Landes françaises, à un stage « Explosifs » dans un camp palestinien au Liban, aux pourparlers d’Alger entre ETA et Madrid, et à la sinistre prison basque de Martutène, dont il réussit à s’évader… Le 13 novembre 2015, à 20 h 40, trois terroristes entrent au Bataclan : à quoi pensent-ils à l’instant ultime, juste avant d’appuyer sur la gâchette de leur kalachnikov, se demande Gil, le fils de deux terroristes.»

    Née à Bordes sur Lez, dans la vallée du Couserans, Josette Elayi est romancière et chercheur au CNRS ; ses publications en histoire ancienne du Proche-Orient lui ont valu la Légion d’honneur et deux prix à l’Académie. Son regard d’historienne objective et humaniste transparaît dans tous ses romans contemporains. Elle a quitté très tôt son Ariège natale pour des périples multiples, d’extrême Occident en extrême Orient, en gardant toujours un lien privilégié avec l’Espagne. Voir la biographie de Josette Elayi sur Azinat.

    Pourquoi je suis devenu un terroriste
    238 pages • 22,5 €
    EAN : 9782343117102

    Éditions L’Harmattan 
    21 bis rue des écoles 
    75005 PARIS 
    01.43.29.49.42

  • Foix, Réunion publique de soutien à Benoit Hamon le 12 avril Foix

    Foix, Réunion publique de soutien à Benoit Hamon le 12 avril Foix

    La Fédération Départementale Socialiste de l’Ariège organise une réunion publique de soutien à la candidature de Benoit Hamon aux présidentielles. A cette occasion David Cormand (EELV) et Benjamin Lucas (MJS) viendront animer la réunion publique à Foix le 12 avril prochain.

    Quelques informations sur les intervenants :

    David Cormand est adhérent des Verts à partir de 1999 puis d’Europe Écologie Les Verts (EELV), il en est le secrétaire national depuis 2016. Il a brièvement été l’assistant parlementaire de Cécile Duflot, dont il est présenté comme le « bras droit ».

    Défavorable à l’organisation d’une primaire écologiste en vue de l’élection présidentielle de 2017, il estime que seules les candidatures de Nicolas Hulot, Cécile Duflot et Noël Mamère seraient « solides ».

    Il est membre du bureau exécutif d’Europe Écologie Les Verts depuis la création du parti et secrétaire national adjoint à partir de 2013. Suite à la démission d’Emmanuelle Cosse, nommée au gouvernement, il est élu le 11 février 2016, secrétaire national d’Europe Écologie Les Verts8,9 par intérim. Le 11 juin 2016, il est élu secrétaire national pour trois ans lors du congrès fédéral du parti à Pantin10.

    Benjamin Lucas est président du mouvement des jeunes socialistes.Benjamin Lucas commence à s’engager en politique en manifestant contre la présence de Jean-Marie Le Pen au 2e tour de l’élection présidentielle de 2002, et contre le Contrat première embauche (CPE) en 2006. La même année, il adhère au Parti socialiste.

    En décembre 2015, seul candidat en lice, Benjamin Lucas est élu président du mouvement des jeunes socialistes où il succède à Laura Slimani.Proche de Benoît Hamon, il est décrit comme « anti-Valls », et s’oppose au projet de loi de réforme du Code du travail de Myriam El Khomri

    Mercredi 12 avril – 20h30 – Espace Olivier Carol à Foix

    A noter également Meeting Benoît HAMON – Mardi 18 avril – 19h au Zénith de TOULOUSE – Cars au départ de l’ARIEGE

    • 15h45 AX LES THERMES (Place de l’Eglise) –
    • 16h TARASCON  ( Espace François Mitterand) –
    • 16H20 FOIX (Parvis piscine)16h LAVELANET (Cinéma Casino) – 1
    • 6h20 MIREPOIX (Sur les allées face au restaurant Le Minotier) –
    • 16H40 PAMIERS (Place de Milliane) –
    • 17H SAVERDUN (Gare)
    • 16h30 SAINT-GIRONS (Gare) 

    Inscription : fede09@parti-socialiste.fr ou 05 61 65 24 78 avant le 14 avril 

  • « Ils n’y étaient pas… » Chroniques d’Olivier de Robert

    « Ils n’y étaient pas… » Chroniques d’Olivier de Robert

    J’ai traîné à la Poste, dans les trains, les bus, aux impôts, dans les hôpitaux et même dans des commissariats, et bien je ne les ais pas vu ! Aucun !

    Aucun de ceux qui veulent diminuer le nombre de fonctionnaires…

  • Foix, pour favoriser la réussite de tous les élèves, l’école Lucien Goron met en place le dispositif «orchestre à l’école»

    Foix, pour favoriser la réussite de tous les élèves, l’école Lucien Goron met en place le dispositif «orchestre à l’école»

    Depuis quelques années, le dispositif « orchestre à l’école » (OAE), – qui vise à créer un orchestre au sein même d’un établissement scolaire pendant le temps dévolu à l’enseignement – s’est très largement développé sur le territoire français. A la croisée entre l’enseignement obligatoire, l’éducation musicale et le champ des pratiques artistiques, il favorise nombre de rencontres tout en mettant l’enfant dans une situation d’acteurs, en contact direct avec la musique.

    Le dispositif a séduit et inspiré la municipalité, l’école de musique de Foix et l’équipe pédagogique de l’école Lucien Goron. Suite à une expérimentation 2015-2016, la labellisation nationale «Orchestre à l’école» a été obtenue sur la rentrée 2016 .

    Cette mise en place a été favorisée par la proximité des deux établissements (Ecole Lucien Goron et Ecole de Musique) mais aussi par une forte volonté de l’Inspecteur d’Académie et de la municipalité de proposer des parcours d’éducation artistique et culturelle aux jeunes fuxéens. La conseillère pédagogique départementale assure la coordination entre l’école de musique et l’école Lucien Goron.

    Avec ses 170 élèves répartis sur 8 classes dont une ULIS, un des axes du projet d’école est de «Favoriser la réussite de tous les élèves par la mise en place de parcours culturels.». Le projet «Orchestre et chœur à l’école» répond parfaitement à cet objectif.

    Dans un orchestre ou un chœur, on apprend à : Respecter les autres, et se respecter soi-même,  écouter, lire, compter, improviser, et exprimer ses émotions, trouver sa place et prouver sa valeur aux yeux de tous. Ces objectifs reprennent les compétences du socle commun de l’Education Nationale (principalement dans les champs de compétences suivants : culture humaniste ;  compétences sociales et civiques ; autonomie et initiative).

    Comment ça marche

    L’orchestre est proposé sur deux niveaux et accueille les 30 élèves d’une classe de CM1 et les 30 élèves de CM2, auxquels s’ajoutent 4 élèves de l’ULIS du groupe scolaire Lucien Goron, quels que soient leurs aptitudes, niveaux d’intégration ou comportements. Ces élèves sont rarement inscrits à l’école de musique (6 élèves en début d’année) et débutent leur première expérience instrumentale dans l’orchestre. Toutefois, certains décident de poursuivre et d’approfondir leur apprentissage au sein de l’école de musique. Nous avons pu aussi enregistrer 3 inscriptions au cour de cette année scolaire.

    Un cadre pédagogique 

    Les pédagogies utilisées sont du ressort d’intervenants spécialisés, qui utilisent la transmission orale, l’improvisation, l’exploration sonore et corporelle, la transmission plus traditionnelle.

    A foixpour l’orchestre, la formation instrumentale choisie est l’orchestre d’harmonie 

    • 4 flûtes traversières,
    • 6 clarinettes
    • 4 saxophones altos
    • 4 cors
    • 4 trompettes
    • 3 trombones
    • 3 euphoniums
    • 4 percussions (caisse claire, grosse caisse, cymbales, xylophone)

    Tous les élèves ont 2 séances hebdomadaires de 45 min réparties entre ateliers divisés et tutti. Une méthode support a été retenue pour accompagner la progression de l’Orchestre à l’Ecole : « Essentiel Eléments » créée par Yamaha spécialement pour les classes d’orchestre à vent.

     

  • Deux millions d’euros pour les agriculteurs et éleveurs du PNR

    Deux millions d’euros pour les agriculteurs et éleveurs du PNR

    Le Comité régional de sélection des Projets Agro Environnementaux et Climatiques vient de rendre sa décision : le projet présenté par le Parc naturel régional (PNR) des Pyrénées Ariégeoises va bénéficier d’une enveloppe totale de presque 1,5 millions d’euros, pour la période 2017-2018.

    Ceux-ci viennent s’ajouter aux 500 000 euros attribués précédemment, sur la campagne 2015, soit un total de presque 2 millions d’euros. A l’échelle régionale, c’est l’une des plus importantes enveloppes financières mobilisées.

    Ces crédits sont destinés aux agriculteurs et éleveurs du PNR, pour le maintien de leurs « bonnes pratiques » agricoles et pastorales en lien avec l’environnement, le climat et la biodiversité.

    Cette année, 5 territoires du Parc naturel régional des Pyrénées Ariégeoises sont ouverts à la contractualisation dont 2 nouveaux : les zones à thématique « corridors » de la Trame Verte et Bleue du PNR et les pelouses où la présence du Lézard ocellé, espèce protégée, a été attestée.

    Grâce au programme Natura 2000, une des originalités de cette année est également d’ouvrir à la contractualisation les estives du Valier et du Biros, dans le Couserans ainsi que les Quiés du Tarasconnais. La Fédération Pastorale de l’Ariège animera ce dispositif auprès des éleveurs et groupements pastoraux concernés, pour une enveloppe totale de 1 million d’euros qui leur est destinée.

    Ainsi, depuis 2015, le Parc naturel régional des Pyrénées Ariégeoises a construit des projets agroenvironnementaux au bénéfice des agriculteurs sur les zones humides, les corridors biologiques, les sites Natura 2000… et certaines espèces à fort enjeu patrimonial : le papillon Azuré des mouillères et le Lézard ocellé.

    Les mesures agro-environnementales sont financées par l’Union Européenne (FEADER) et par l’Etat (Ministère de l’Agriculture et de la Pêche). La Région Occitanie est l’autorité de gestion des fonds européens.

    Les agriculteurs et éleveurs des territoires concernés sont approchés dès à présent, afin de souscrire ces mesures dans le cadre de la campagne PAC-MAEc 2017, qui doit se terminer le lundi 15 mai 2017

  • Georgette médaille d’or au salon international des inventions de Genève !

    Georgette médaille d’or au salon international des inventions de Genève !

    C’est hier dans la soirée, que le Couvert Georgette et son inventeur Jean-Louis Orengo ont reçu du jury du salon international des inventions de Genève la médaille d’or avec félicitations du jury pour l’année 2017.

    Jean-Louis et Catherine Orengo sillonnent la France et maintenant l’Europe pour faire la promotion du couvert ariégeois « Georgette ». Utilisé aujourd’hui par de nombreux chefs français et sur des grandes tables gastronomiques, le couvert Georgette a conquis le monde par son esthétique et son ergonomie. 

    Le couvert et l’idée qui a séduit encore une fois (Georgette a été primé au concours Lépine de Paris l’an dernier) le jury du 45ème salon international des inventions de Genève repose sur le fait que «Georgette est à la fois cuillère, fourchette et couteau. son design contemporain signe une ergonomie novatrice qui bouscule les codes et offre de nouvelles fonctions».

    Avec 725 exposants venus de 40 pays, le salon international des inventions de Genève qui a lieu du 29 mars au 2 avril, ce sont un millier de nouveaux produits qui seront exposés. 80% des inventeurs émanent d’entreprises, universités ou instituts de recherche, alors que les 20% restants sont des indépendants.

    Tous viennent à Genève dans l’espoir de trouver des investisseurs, fabricants ou distributeurs, ou encore pour négocier des licences. L’Asie se taille la part du lion, avec 52% des exposants, l’Europe représentant pour sa part 32% et le Moyen-Orient 12%. Le reste du monde complète le panel.

    Sur 8’500 mètres carrés, le visiteur découvrira des inventions qui touchent tous les domaines de l’activité humaine. Les plus représentés sont la médecine et la santé, la protection de l’environnement et l’énergie, la mécanique, l’informatique, les moyens de transport et la sécurité.

    Le Jury International constitué de 82 spécialistes est chargé d’examiner chaque invention présentée afin de décerner des prix et distinctions. Les prix attribués sont pour leurs propriétaires une attestation de qualité de grande importance. En dehors des prix prestigieux (Une 15aine) et du Grand prix, les exposants peuvent se voir remettre des médaille d’or, d’argent ou de bronze, ce qui a été le cas pour nos Lizerois Catherine et jean-Louis Orengo !

     

  • Meilleure baguette de France : Les ariégeois champions de…l’Azinat

    Meilleure baguette de France : Les ariégeois champions de…l’Azinat

    C’est pour rebondir sur notre annonce du concours de la meilleure baguette de France que Cire nous envoie cette semaine son dessin d’humour.

    En effet nous annoncions que Julien Tete, Boulanger du Mas d’Azil et Vice-Président du Syndicat Patronal des Artisans Boulangers de l’Ariège, avait remporté brillamment, la sélection régionale et sera le représentant de notre région, et surtout de notre département à la finale Nationale qui se déroulera sur le Parvis de Notre-Dame du 14 au 17 mai 2017 à Paris dans le cadre de la Semaine de la Fête du Pain.

    «Croisons les doigts pour que la meilleure baguette française soit ariégeoise !» Cire est certain que nous sommes les champions…mais de l’Azinat et de la Rouzole …Affaire à suivre