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  • Avec le Contrat de Territoire, c’est tout le Pays d’Olmes qui se redynamise

    Avec le Contrat de Territoire, c’est tout le Pays d’Olmes qui se redynamise

    Le contrat de territoire est né suite à la lauréatisation de Lavelanet du dispositif AMI (Appel à Manifestation d’Intérêt) Centre-bourg fin novembre 2014. Ce dispositif avait lauréates 54 projets émanent de communes et d’intercommunalités qui bénéficieront de 40 millions d’euros d’aides de l’État par an.

    Ce Contrat de territoire,lancé en juillet 2016, renforce toutes les initiatives portées par les différentes actions telles que : le TEPCV, la Maison des projets, le dispositif AIDER, le tourisme avec les « 4M » et workshop sur les friches industrielles. «L’idée étant de s’appuyer sur la même logique que les Contrats de ville, pour mobiliser, avoir un effet levier » soulignait Ronan Boillot alors secrétaire général de la préfecture, mettant en avant « l’occasion à saisir pour le Mirapicien et le Pays d’Olmes ».

    Après le diagnostic, le « portrait » du territoire effectué au cours de l’été, l’identification des points forts et des points faibles : emploi, scolarité, habitat, culture, lien social, sport, santé, sécurité…, les partenaires ont identifié trois volets qui permettront d’élaborer ce projet territorial : l’AMI centre-bourg permet de travailler sur l’habitat. Les dispositifs AIDER et TEP cv sur le tourisme. Il manquait la cohésion sociale. Maintenant tout le monde est mobilisé ; ce contrat de territoire assurera la cohérence de l’ensemble, au travers des 3 volets retenus : la cohésion sociale, le développement économique – emploi, et enfin, le cadre de vie.

    Ce mercredi 15 mars, Madame la Préfète, Marie Lajus, les organismes consulaires et les élus, étaient réunis en mairie de Lavelanet pour la signature du Contrat de territoire.

    « Il fallait relancer ce territoire » explique  la Préfète, «  pour que les fées accordent leurs baguettes magiques il fallait la méthode des contrats de ville : tout d’abord un diagnostic, ensuite une démarche commune, et enfin, la participation des habitants ».

    « Lavelanet et le Pays d’Olmes sont en mouvement, on est en train de construire » précise Marc Sanchez, maire de Lavelanet, et d’ajouter : «Il est à souhaiter, au travers de ces conventions et contrats, que des moyens financiers supplémentaires et exceptionnels, viendront appuyer tous les projets en cours, pour apporter une réponse à nos collectivités qui ont souffert, qui souffrent encore aujourd’hui, mais qui commencent à redresser la tête et redonne confiance à chacun d’entre nous, aux commerçants et à nos entreprises.»

     

  • Les Spoulgas ariégeoises, entre grottes et châteaux

    Les Spoulgas ariégeoises, entre grottes et châteaux

    On parle souvent en Ariège de châteaux et de grottes mais rarement des spoulgas qui sont pourtant nombreuses dans la HauteAriège. Les spoulgas sont des grottes barrés d’un mur, elles sont toujours « perchées » profitant de leurs défenses naturelles.

    On en trouve quelques unes dans les montagnes d’Europe centrale et Méditerranéenne, ainsi qu’au Proche-Orient, mais elles sont particulièrement nombreuses dans les Pyrénées. 

    C’est dans un acte en date du 27 Janvier 1213 (Concile de Lavaur) – dans lequel le comte de Foix Raymond Roger de Foix remet toutes ses terres à Pierre le Catholique (Pierre II) roi d’Aragon avant la bataille de Muret – que l’on a connaissance de 12 « castra » (châteaux) et 6  » cauna  » (grottes) : Soulombrie, Ornolac, Verdun, Arnave, Alliat et Subitan. Mais, une prospection menée par Florence Guillot (Vestiges et traces troglodytiques médiévaux autour de Tarascon-sur-Ariège – 2011) a permis d’en découvrir une vingtaine d’autres non mentionnées dans les actes de la documentation écrite.

    C’est l’historien Adolphe Garrigou qui le premier au XIXème, s’intéresse aux grottes fortifiées de l’Ariège, et leur donne le nom de «spoulga», une contraction du latin spelunca, qui signifie antre, grotte. « ce sont en quelque sorte des châteaux peu coûteux construits au XIIème siècle alors que l’expansion rapide du nombre des fortifications comtales devaient poser de sérieux problèmes de financement aux Comtes de Foix » explique Florence Guillot. Elles complétaient en fait le systême défensif du Comté de Foix.

    Quelques spoulgas en Ariège

    La spoulga de Baychon (commune de Miglos) – La spoulga de Soulombrie – La spoulga d’Ornolac (Ornolac-Ussat-les-Bains) – La spoulga de Verdun – La spoulga d’Alliat – La spoulga de Campanal sous le château de Montréal-de-Sos à Auzat – La spoulga de Bouan – La grotte des Eglises (Ussat) – La grotte de l’Ermite (ussat) – La grotte sous Calamas (Niaux) – La spoulga de Niaux – Le SR 23 –  La grotte de Sibada n°1 – La grotte du TGV de Sinsat – La spoulga de Verdun… 

    Les spoulgas de Bouan sont les mieux conservées. Elles sont citées dans les textes pour la première fois en 1272 et appartenaient aux comtes de Foix. Situées à 500 m au nord de Bouan, entre Ussat-les-Bains et Sinsat , elles sont visibles depuis la RN 20. On y aperçoit bien l’entrée de l’une d’elle et son mur crénelé.

    D’après l’histoire, le « trésor introuvable » de Montségur n’est pas un mythe et il pourrait être caché dans une spoulga, peut être une de celles de Bouan..

    La légende du  trésor cathare :

    Le trésor cathare aurait transité par une spoulga de la vallée de l’Ariège avant d’aller au château d’Usson en Donezan puis probablement en Lombardie où se trouvait encore une communauté cathare. (En avoir +)

    fr.wikipedia.org/wiki/Spoulga

    www.amiglos.fr

    www.persee.fr/

    http://www.larcat.fr/public/?code=spoulgas-de-bouan

    Credit photo : photoariege.com / jp.pomies

     

  • ECORCE, pour favoriser l’accès à l’habitat individuel et collectif en écoconstruction

    ECORCE, pour favoriser l’accès à l’habitat individuel et collectif en écoconstruction

    Depuis 2004, l’association ECORCE s’est donné pour objectif de sensibiliser et de former à l’éco-construction, par des actions de : formations pratiques et théoriques, de conseils, d’accompagnement sur chantiers ou encore de location d’outils.

    Vendredi 10 mars avait lieu, à Lavelanet, une journée de formation au bricolage et à l’entretien locatif, dans un appartement prêté par la municipalité.

    C’est depuis le 23 février, que l’association a commencé des actions gratuites et à destination de public à faible revenu sur la commune de Lavelanet, et ce, jusqu’au 5 avril 2017.

    Ce vendredi, l’atelier «Bricolage et Logement» emmené par Pascale Domec membre d‘ECORCE et Conseiller indépendant en diagnostique thermique, portait sur le bruit, le dégraissage, l’éclairage, la ventilation ou la peinture. « le thème de la ventilation est hyper important. Dans la plupart des logements, les dégâts proviennent de là. » explique t’elle.

    Pour des questions sur l’entretien courant et la réparation de votre habitat, une permanence-conseil est prévue le mercredi 5 avril de 15h à 18h à la Maison des Projets de Lavelanet. Pour repeindre votre maison ou votre appartement deux jours de formation à la Peinture naturelle sont prévus le vendredi 24 et samedi 25 mars, au 43 avenue Charles de Gaulle à Lavelanet.

    Mais ECORCE, c’est aussi, des soirées d’information sur la permaculture, des formations à la toitures végétale, des visites de maisons éco-construite… 

    Pour en savoir plus  : www.ecorce.org

    Les permanences à Lavelanet : Maison des projets, 11 rue de Verdun. Horaires : mercredi 9h-12h, 14h-17h, jeudi et vendredi de 9h à 12h. maisondesprojets.lavelanet@orange.fr

    Association ECORCE
    Jardin Botanique – 09000 LOUBIERES
    05 61 05 70 51 / asso@ecorce.org

     

  • Thierry Fischer : « Le Messager de la Bastide » l’éternelle et inépuisable force des passions religieuses

    Thierry Fischer : « Le Messager de la Bastide » l’éternelle et inépuisable force des passions religieuses

    Né en 1947 au Maroc, Thierry Fischer a passé sa petite enfance dans l’Ariège, département d’origine de sa famille maternelle. Il a été scolarisé à l’école communale de la tour du Crieu . Il habitait avec sa famille (son père était à l’époque professeur au Lycée de Pamiers) au château des Allemens.

    C’est au gré des différentes affectations de son père, promu proviseur, qu’il connaîtra l’Extrême Orient, l’Afrique et la Polynésie notamment. Revenu en France, il effectuera des études supérieures à la faculté de droit de Toulouse puis de Clermont Ferrand jusqu’à un doctorat à la Faculté de Nanterre.

    C’est en 1968 qu’il rencontrera son épouse, originaire du Mas d’Azil, et c’est en accompagnant, à l’occasion, dans ses visites son beau-père médecin du village, qu’il s’intéressera à l’histoire du pays ariégeois  pendant les guerres de religion.

    Retraité du Ministère des Finances Publiques, passionné – entre autres – d’équitation, de cinema et de littérature, il vit en Normandie dans la région de Saint-Lô connu pour être le haut lieu de l’élevage du cheval de selle français. Il a possédé une extraordinaire jument « noire » que l’on retrouve dans son roman. Il revient régulièrement dans le pays Ariégeois ou il conserve de nombreux amis.

    Le Messager de la Bastide

    Dans son roman, Le messager de la Bastide, avec en toile de fond des faits historiques survenus dans la région, Thierry Fischer évoque l’éternelle et inépuisable force des passions religieuses, causes ou prétextes majeurs de conflits, l’omniprésence du hasard dans la destinée humaine, la prédestination familiale, la défiance à l’égard de l’étranger et de celui qui porte un regard différent sur les événements auxquels il est confronté.

    Le cavalier, personnage central de cette histoire, apparu et disparu tout aussi mystérieusement à la Bastide, délivre son message qui pourrait tout aussi bien concerné notre époque. Sera-t-il entendu ? Mais d’abord qui l’a envoyé, est-il ange ou démon ? Chacun trouvera, s’il le souhaite, sa propre réponse sachant pour finir que ce récit recèle de nombreux secrets.   

    « Le Messager de la Bastide » participera cette année au concours du salon du Livre Pyrénéen de Bagnères de Bigorre (30 septembre et 1er octobre 2017) et sera présenté par son auteur sur le Salon du Livre de Tarascon sur Ariège le 13 août prochain. En vente chez Vox Scriba à Tarascon sur Ariège, à la librairie Surre de Foix et sur le site www.voxscriba.com.

    « Le Messager de la Bastide » de Thierry Fischer
    Publications Vox Scriba®

  • Grippe aviaire : la Confédération paysanne de l’Ariège rencontre le sous-préfet de Pamiers

    Grippe aviaire : la Confédération paysanne de l’Ariège rencontre le sous-préfet de Pamiers

    Le 1er mars 2017, 4 membres de la Confédération paysanne de l’Ariège dont 2 éleveuses de volailles, ont rencontrés Mr Bernié , sous-préfet de Pamiers ; Mr Novellas, DDT de l’Ariège ; Mr Bontour et Mme Lacoste, DDCSPP de l’Ariège.

    Le virus est un virus présent dans la faune sauvage, certes, déclencheur peut-être, mais non la cause même de l’épidémie qui est directement en lien avec les filières longues et l’élevage industriel (grande concentration des reproducteurs, des couvoirs, immensité des élevages, entassement des animaux, régions saturés en élevage spécifique). Cette crise touche l’ensemble de la filière et l’emploi. Des couvoirs ferment, des vendeurs d’aliments mettent des salariés au chômage technique, des éleveurs se demandent s’il ne faut pas mieux tout arrêter et d’autres ont déjà arrêté… Les éleveurs qui pour la plupart ne sont pas naisseurs craignent dans quelques temps de ne plus réussir à s’approvisionner en poussins, et donc de ne plus avoir de production à vendre ! L’abattage préventif est un échec total et devient un abattage massif qui sera la cause d’une grosse perte de diversité génétique ! Les volontés de confinement ne sont pas acceptables : qualité des produits, atteinte à l’image des produits, au bien-être des animaux notamment au niveau sanitaire. Ce confinement ne supprimera pas la dissémination par la filière industrielle. Récemment, les éleveurs ont pris connaissance d’une augmentation (de 350% dans certains cas !) de la cotisation FMSE de la MSA, faisant porter aux agriculteurs le poids d’une crise qui vient de l’organisation industrielle de la production.

    La Confédération paysanne de l’Ariège demande à l’administration :

    de reconnaitre les impossibilités pour les petites unités de production d’appliquer à la lettre et au quotidien certaines mesures de biosécurité (lavage du tracteur à chaque fois qu’il quitte l’unité de production, particularités des fermes pédagogiques…) et d’en faire part à l’ensemble des éleveuses et éleveurs concernés afin qu’ils s’allègent de cette pression psychologique ;

    une adaptation aux petites structures et une simplification des fiches de suivi que les éleveurs doivent quotidiennement remplir et qui garantissent la mise en place des consignes de biosécurité ;

    la mise en place de nouvelles aides pour la mise en place des mesures avec un plancher de 1000 € d’investissement et non 3000€, ainsi que l’accès à ces aides aux cotisants solidaires.

    de lancer un travail à l’échelle départementale ou régionale sur la structuration de la filière. Dans un premier temps il faut favoriser plus de couvoirs, plus locaux, pour moins de transports. Des éleveurs sont aussi prêts à mettre en place leur propre couvoir pour avoir toute la chaine sur leur unité de production (de la reproduction à l’abattage et la vente), ce qui semble la seule issue à cette crise en favorisant aussi un travail sur la diversité des races, pour que la diversité des terrains immunitaires limite la fragilité à une épidémie. Pour cela, il faut mettre en place un soutien à la fois technique et financier.

    Sur toutes les questions évoquées, la délégation a été écoutée, des solutions ont été proposées, et nous souhaitons que des avancées sur la gestion de la crise avicole à court terme et sur le changement d’organisation de la filière à moyen terme se mettent en place après ces intéressants échanges.

    Foix, le 15 mars 2017
    David Eychenne,
    Co-porte-parole de la Confédération Paysanne 09

    32 avenue du Général de Gaulle – 09000 Foix           
    05 61 02 14 31 ( permanence les mardi, mercredi et jeudi)
    confariege@gmail.com

     
  • « Ce que les français veulent… » Chroniques d’Olivier de Robert

    « Ce que les français veulent… » Chroniques d’Olivier de Robert

    En ce moment, c’est l’incontournable, l’obligatoire, le best off du verbiage : « les français veulent… »

    Tous nos candidats le disent et le répètent à l’envie, ils savent (mais puisqu’ils vous le disent !) ce que nous voulons. Et s’ils se gouraient ?

  • Créez en Ariège votre initiative Océane, du 16 au 19 mars

    Créez en Ariège votre initiative Océane, du 16 au 19 mars

    Du 16 au 19 mars la SurfRider Foundation vous invite à créer votre campagne de collecte de déchets en bord de rivière, ou de plan d’eau. En effet, en Ariège nous sommes loin des océans, mais les déchets qui parsèment souvent nos abords de rivières vont très prochainement, à l’occasion de la fonte des neiges et des pluies de printemps, effectuer leur migration vers les océans. Nous pouvons éviter ça.

    Depuis sa création, Surfrider a toujours placé la problématique des déchets aquatiques au cœur de ses missions. En 1995, Surfrider a lancé le programme « Initiatives Océanes » pour lutter contre les déchets aquatiques. Mais de quoi s’agit-il exactement ?

    Il s’agit d’un programme de sensibilisation et d’éducation à la problématique des déchets aquatiques via l’organisation de nettoyages de plages, lacs, rivières, fonds marins ainsi que dans les villes et cela partout en Europe.

    Ces opérations, menées par des citoyens soucieux de la préservation du milieu naturel ou par des organisations partenaires de l’association, sont coordonnées par Surfrider Foundation Europe qui fournit aux organisateurs tout le nécessaire pour s’approprier le dispositif et sensibiliser les participants.

    L’objectif premier des Initiatives Océanes est de sensibiliser le grand public à la problématique des déchets aquatiques.

    Aujourd’hui, tout en gardant cet objectif, Surfrider Foundation Europe souhaite aller plus loin afin de permettre
    un changement de comportements.

    En abordant des sujets plus spécifiques comme le sac plastique, les cotons-tiges ou encore dernièrement les bouteilles plastiques, l’intérêt est de pointer du doigt des problèmes et montrer qu’il existe des solutions pour stopper l’arrivée des déchets dans les océans.

    Les Initiatives Océanes permettent aussi à l’association de collecter des données scientifiques et cela grâce à l’aide des participants.

    pour créer votre collecte du 16 au 19 mars et agir vous pouvez vous inscrire : http://www.initiativesoceanes.org/fr/organiser.php

    PS : AZINAT.com est adhérent et sponsor de la Surf Rider Foundation Europe depuis 2016.

  • Première réunion publique pour « En Marche » en Ariège

    Première réunion publique pour « En Marche » en Ariège

    C’est vendredi dernier à Crampagna, que la première réunion publique pour la présidentielle a été organisée sur notre département, et c’est le mouvement « En Marche » qui était à la manoeuvre.

    Alors que la campagne, après l’organisation  des primaires (à gauche et à droite) semble au point mort sur l’Ariège, le mouvement « En Marche » organisait sa première réunion publique dans le cadre de la présidentielle.

    Le mouvement qui commençait à prendre son envol à peine il y a quelques semaines, a franchi le pas en organisant cette première rencontre qui a réuni une centaine de partisans et curieux à la salle des fêtes de Crampagna.

    La soirée avait pour objectif de présenter les membres « actifs » du mouvement sur l’Ariège et deux points particuliers du programme d’Emmanuel Macron : « Travail et Emploi » et « Territoires et ruralité ». Ce dernier point est jugé prioritaire pour un département « à gauche » comme l’Ariège et qui fait l’objet d’interrogations dans les départementaux ruraux comme le nôtre. «En marche est jugé comme un mouvement politique urbain par les ruraux et il est de notre devoir de présenter les solutions qu’Emmanuel Marcon propose pour ces territoires, c’est essentiel» précise Michel Bernos du comité politique national.

    Michel Bernos un des ténors de la campagne du mouvement et maire de Jurançon a été chargé d’animer la soirée après que les membres locaux ont été chargés de chauffer la salle en présentant les principes de « bienveillance » propres au mouvement et les deux points du programme choisis pour la réunion.

    De nombreuses questions ont été posées par la salle et certaines sont restées en suspend et fait l’objet d’un recadrage : une question sur la désaffection des commerces de centres villes comme Pamiers, jugée plus de la responsabilité de politiques locales et des élus locaux qui ont été pour l’occasion sommés de prendre leur responsabilité et assumer les choix politiques du passé.

    Une autre interrogation a été soulevée par Arnaud Diaz, Maire de l’Hospitalet et créateur du mouvement « La montagne Rebelle » sur les propositions de suppression de la taxe d’habitation pour les classes moyennes et de son impact sur l’autonomie budgétaire des communes rurales.

    La soirée s’est terminée, comme il se doit, par un verre de l’amitié où les organisateurs ont pu se féliciter du succès rencontré et du travail accompli, car on l’oublie : tous sont des novices en politique et connaissent avec « En Marche » leur première expérience de militantisme !

     

  • Les élus font du ski aux Monts d’Olmes

    Les élus font du ski aux Monts d’Olmes

    La Communauté de Communes du Pays d’Olmes et la station des Monts d’Olmes organise la 1ère édition de la « Course des élus de L’Ariège ».Cette course se veut être un moment convivial avec les élus locaux.

    L’occasion aussi, pour eux comme pour le public, de se rencontrer dans un autre cadre que leur milieu habituel.
    Mais bien sûr, nous ne bouderons pas notre plaisir de voir et de savoir qui de nos élus remportera le titre de Champion ?

    Au cours de la conférence de presse, Mr Gérald Sgobbo, Président de la Communauté de Communes du Pays d’Olmes, M. Didier Laffont, élu à la Communauté de Communes du Pays d’Olmes et 1er adjoint à la Mairie de Montferrier et M. Joan Montané, directeur de la station des Monts d’Olmes ont évoqué comment a germé l’idée de cet évènement :

    « Dès que cette idée a été présentée, elle a rencontré un franc succès et même si tous les élus ne dévaleront pas les pistes, l’occasion leur est donnée de venir encourager leurs collègues. »

    «C’est aussi l’occasion de montrer l’implication des élus de l’Ariège et la dynamique qui se crée autour de la station des Monts d’Olmes. »

    « Cela montre aussi l’esprit fédérateur qui s’instaure entre et autour des élus locaux. »

    « Le mois de mars est la dernière ligne droite pour profiter de la neige, on est encore bien sur nos pistes, ou en terrasse. nous espérons une participation et un public nombreux à cet évènement»

    Un enjeu supplémentaire viendra enrichir cette journée, puisque Perrine Laffont, Championne du Monde parallèle de ski de Bosses, offre un de ses dossards en récompense par tirage au sort pour les participants.

    Elle est l’emblème de tout un Département, du Pays d’Olmes et de sa station de coeur.

    Source : Monts d’Olmes

  • Perrine Laffont félicitée…par CIRE

    Perrine Laffont félicitée…par CIRE

    Et oui, l’information a largement été mentionnée et relayée par la presse locale mais aussi nationale : Perrine Laffont est devenue un peu avant ce dernier week-end, championne du Monde de ski de bosses en parallèle.

    CIRE une fois de plus inspiré donne à un autre français perché très haut dans les airs (Thomas Pesquet)  un rôle inattendu…

     

     ©CIREBOX pour AZINAT.com 

  • L’Atelier C-Art, la passion de Camille

    L’Atelier C-Art, la passion de Camille

    Camille Sanchez, trente ans et maman de trois enfants est artiste peintre autodidacte. Fuxéenne d’origine et coiffeuse de formation elle est avant tout passionnée par le dessin, la peinture, et l’art plastique en général. Camille a commencé a exposer ses oeuvres, et à partager sa passion depuis 2015.

    Elle a longtemps fait partie d’une association d’artistes de Lavelanet avec laquelle elle a exposé et vendu ses oeuvres mais aussi réalisé des interventions en vue de projets artistiques dans des structures scolaires auprès d’enfants âgés de 3 à 11 ans.

    Aujourd’hui, voulant faire découvrir sa passion pour la peinture et l’art en général et rêvant de la partager, Camille se lance dans l’ouverture d’un atelier d’Art.

    C’est donc ce mois-ci que C-Art à ouvert ses portes à Foix, un lieu de travail mais aussi d’exposition pour les œuvres de l’artiste.

    Son ambition pour le futur, mettre en place des ateliers (peinture, dessin fusain, sculpture cartons , boîtes à oeufs,…) pour enfants et adultes.

    Nous souhaitons donc beaucoup de succès à Camille et si vous êtes curieux allez donc pousser la porte de C-Art.

    Atelier C-Art
     2 rue Pyrène – Foix
    c-art5.webnode.fr
    www.facebook.com/c.artariege

     

  • Perrine Laffont championne du monde de ski de bosses en parallèle !

    Perrine Laffont championne du monde de ski de bosses en parallèle !

    Perrine Laffont est montée sur la première marche du podium aux championnats du monde de ski de Bosses aujourd’hui en Sierra Nevada.

    Après le doublé en Argent en Single pour Perrine Laffont et Benjamin Cavet la veille, l’Equipe de France de Ski de Bosses s’est présentée plus forte que jamais ce jeudi 9 mars sur l’épreuve en Dual : Perrine a terminé à la première place !

    Quelle évolution pour la jeune Perrine Laffont dont les performances s’accroissent chaque saison (de 3e au général l’année dernière, elle passe à seconde cette année et remporte deux premiers titres aux Mondiaux seniors).

    «18 ans et Championne du Monde … j’ai du mal à le croire encore» avoue Perrine Laffont sur sa page Facebook, ce qui va être le cas pour pas mal d’ariégeois aussi !

    Source : Fédération française de ski et page de Perrine – Crédits photos : Agence Zoom