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  • Et si Georges Meliès le grand cinéaste était de Lavelanet ?

    Et si Georges Meliès le grand cinéaste était de Lavelanet ?

    Nous avons rencontré JacquesVergnes directeur du Cinéma le Casino à Lavelanet il y a quelques semaines. Il nous raconte pourquoi Georges Meliès, le grand spécialiste des trucages au cinéma a ses attaches familiales à Lavelanet. Ce n’est pas un scoop car l’info avait été déjà diffusée il y a quelques années dans la presse locale. Mais cette information est d’importance quand on sait le travail qui est fait au Casino sur le film muet et l’envie qui existe d’approfondir le sujet pour en faire quelque chose de grand !

    Georges Méliès, né Marie Georges Jean Méliès le 8 décembre 1861 et mort le 21 janvier 1938, est un réalisateur de films français. Ayant choisi la prestidigitation comme profession, il profite d’une donation de son père, industriel de la chaussure, pour devenir propriétaire et directeur en 1888 du théâtre Robert Houdin, en sommeil depuis la mort du célèbre illusionniste.

    Le 28 décembre 1895, il découvre avec émerveillement les images photographiques animées lors de la première représentation publique à Paris du Cinématographe par les frères Lumière et propose même de racheter le brevet de la machine. Un refus poli mais narquois le pousse à se tourner vers un ami londonien, le premier réalisateur britannique, Robert W. Paul, qui lui fournit un mécanisme intermittent avec lequel il tourne son premier film en 1896, Une partie de cartes, réplique du même sujet réalisé par Louis Lumière. La même année, avec l’Escamotage d’une dame au théâtre Robert Houdin, il utilise pour la première fois en Europe le principe de l’arrêt de caméra, découverte américaine, qui lui assure un franc succès dans son théâtre où il mélange spectacles vivants et projections sur grand écran. Il fait alors de ses tableaux, ainsi qu’il appelle ses films, un nouveau monde illusoire et féerique, mettant à profit les dons de dessinateur et peintre que chacun a pu remarquer dans son adolescence.

    Georges Méliès est considéré comme l’un des principaux créateurs des premiers trucages du cinéma, entre autres les surimpressions, les fondus, les grossissements et rapetissements de personnages. Il a également été le premier cinéaste à utiliser des storyboards1. Il a fait construire le premier studio de cinéma créé en France dans la propriété de Montreuil dont son père l’avait également doté.

    Sources Biographiques : WikiPedia

  • Épiphanie, comme les Rois Mages en Galilée

    Épiphanie, comme les Rois Mages en Galilée

    Le Gâteau des Rois, par Jean-Baptiste Greuze, 1774 (musée Fabre).

    Melchior, Balthazar et Gaspard figurent dans un épisode de l’Évangile selon Matthieu, qui, ayant appris la naissance de Jésus, viennent « de l’Orient » guidés par une étoile pour rendre hommage « au roi des Juifs » et lui apporter à Bethléem des présents d’une grande richesse symbolique : or, myrrhe et encens.

    L’Épiphanie donc ou Jour des Rois est une fête chrétienne commémorant la visite des rois mages à l’enfant Jésus. Épiphanie provient du grec Epiphaneia, qui signifie “manifestation”, ainsi cette fête célèbre la manifestation de Dieu parmi les hommes le 6 janvier de chaque année.

    Ce jour n’étant pas férié, l’épiphanie est fêtée le premier dimanche après le 1er janvier. La date est donc variable, chaque année elle a lieu le 1er dimanche de janvier, sauf si ce dimanche tombe le jour de l’an, auquel l’Épiphanie a lieu le 2e dimanche de janvier.

    L’étoile du Berger

    Certains astronomes ont émis l’hypothèse, en recoupant d’anciens écrits ou des faits scientifiques, que celle-ci était la comète de Halley, une nova ou bien la conjoncture de Jupiter, Saturne et Mars. Ces différents événements eurent lieu entre 11 et 5 avant J-C, et les rois-mages étaient probablement astrologues. Peut-être ne faut-il chercher que la symbolique de l’étoile dans le récit biblique.

    une fête païenne

    Avant d’être associé à la religion chrétienne, le 6 janvier était une fête païenne qui correspondait au solstice d’hiver, qui avait lieu 12 jours après le culte de Mithra, également une fête païenne la renaissance du jeune dieu-soleil, et qui était fixée au 25 décembre suivant le calendrier julien imposé par César. S’en suivait 12 jours et 12 nuits durant lesquels le dieu-soleil venait à maturation, et pendant lesquels démons et enchantements venaient restaurer le chaos primordiale à la renaissance du soleil.

    Lors des Saturnales (fêtes romaines sur la fin du mois de décembre et au commencement de janvier), les Romains désignaient un esclave comme « roi d’un jour ». Les Saturnales étaient en effet une fête d’inversion des rôles afin de déjouer les jours néfastes de Saturne, divinité chtonienne. Au cours du banquet (au début ou à la fin des Saturnales, selon les différentes époques de la Rome antique) au sein de chaque grande familia, les Romains utilisaient la fève d’un gâteau comme « bulletin de vote » pour élire le « Saturnalicius princeps » (Maître des Saturnales ou Roi du désordre). Pour éviter toute forme de triche, le plus jeune enfant choisit la part de chacun après s’être glissé sous la table.

    Galette ou gâteau des Rois ?

    Dans la majeure partie de la France, il n’y a pas de débat sur la recette de la galette. Les habitants désignent par le terme « galette des rois » le gâteau à la frangipane. On y trouve rarement la recette de la couronne aux fruits confits appelé « couronne bordelaise ».

    En revanche au sud d’une ligne Bordeaux -Nice, Il existe un débat sur « la véritable galette des rois ». Si la recette à la frangipane est connue et consommé par une partie de la population, cette galette est désignée par le terme péjoratif de « galette parisienne ». Cela permet de l’opposer à la recette locale qui est une brioche avec des fruits confits. Cette recette est appelé « couronne des rois » ou Gâteau des Rois.

    Les déplacements des populations en France, souvent du nord au sud, fait cependant que la proportion de la consommation de galette des rois « parisienne » a tendance à croitre dans le sud.

    A Toulouse, Il se vend huit couronnes pour deux « parisiennes ». Mais selon les professionnels cette part augmente régulièrement avec les Néo-Toulousains.
    Dans les Pyrénées, la couronne reste privilégiée mais « la parisienne » représente, en 2014, 20 à 30 % et en augmentation.
    à Bordeaux, la brioche est privilégiée et est même explicitement appelé  » couronne bordelaise ». alors que le même produit est simplement appelé « gateau des rois » ailleurs dans le sud voir « galette provencale » en région Paca.

    Traditionnellement vendue et consommée quelques jours avant et après cette date, on peut consommer cette galette tout le mois de janvier, voire jusqu’à la fin de carnaval dans les départements français d’outre-mer.

    Sources : icalendrier.fr  Wikipédia

  • Les vœux d’Alain Duran, Sénateur de l’Ariège, beaucoup d’imagination assortie d’un brin de rêve

    Les vœux d’Alain Duran, Sénateur de l’Ariège, beaucoup d’imagination assortie d’un brin de rêve

    Alain Duran, sénateur de l’Ariège souhaite aux ariégeois après la santé, des idées nouvelles, beaucoup d’imagination assorties d’un brin de rêve…

    «A l’aube de cette nouvelle année j’adresse aux ariègeoises et aux ariègeois mes vœux les plus sincères pour 2017.

    Des vœux de bonheur, de santé et de prospérité, avec une pensée particulière pour toutes celles et tous ceux qui ont traversé cette année 2016 dans la douleur causée par un deuil, la maladie, la perte d’un emploi ou par la solitude.

    Des vœux de paix et de solidarité suite aux trop nombreux drames humains causés par les guerres et les actes terroristes sur notre sol et dans le monde entier. Plus que jamais nous devons porter haut et fort les valeurs de la République : Liberté, Egalité, Fraternité, laïcité et refus de toute discrimination sont l’unique bagage qui doit guider notre action au quotidien.

    Des vœux citoyens, pour que 2017 apporte toute l’énergie nécessaire à chacun d’entre vous afin qu’il puisse s’engager dans la féconde bataille des idées que vont susciter les prochains rendez-vous électoraux. Nous devons relever les défis qui sont devant nous pour répondre à la révolution écologique, économique et numérique et bâtir un vrai projet de société élaboré en commun. Que le succès soit au rendez-vous pour toutes celles et tous ceux qui portent ces valeurs républicaines.

    Je souhaite que cette année 2017 soit riche d’idées nouvelles, de beaucoup d’imagination assorties d’un brin de rêve. Je suis confiant et je vous souhaite, à toutes et à tous une excellente année 2017.»

  • les voeux d’Alain Fauré – Là ou se trouve une volonté, il existe un chemin !

    les voeux d’Alain Fauré – Là ou se trouve une volonté, il existe un chemin !

    Alain Fauré député de l’Ariège renouvelle ses voeux pour cette nouvelle année avec optimisme et confiance.

    «Ces cinq dernières années ont posé les bases d’une France plus juste malgré les différentes épreuves que nous avons dû traverser.

    En 2017, mobilisons nous au service de notre idéal républicain, pour de nouvelles et belles avancées dans l’intérêt de notre pays et celui de tous nos concitoyens. Sans relâche continuons à consolider la France et l’Europe avec exigence, espoir et engagement.

    L’optimiste que je suis, vous encourage à chercher à enrichir le présent, à améliorer l’avenir, à contester l’improbable et atteindre l’impossible. Car rien de grand pour notre République ne se fera sans espoir ni confiance.

    Je vous présente, avec toute mon équipe, pour vous même et vos proches, mes meilleurs voeux à l’occasion  de cette nouvelle année.

    Là où se trouve une volonté, il existe un chemin.

    Respectueusement»

     Alain Fauré.

  • Les voeux du Président du Conseil Départemental de l’Ariège : « L’Ariège d’abord, ensemble nous serons plus forts »

    Les voeux du Président du Conseil Départemental de l’Ariège : « L’Ariège d’abord, ensemble nous serons plus forts »

    Henri Nayrou dans ses traditionnels voeux encourage les ariégeois et les ariégeoises à se tourner vers l’avenir, car l’avenir est prometteur. Avec passion, il nous propose « ensemble car on est plus fort » de regarder cet avenir et ce, jusqu’en 2030 ! Fier d’une ruralité apaisante face aux stress de l’urbanisation galopante, le président du Conseil Départemental pense à l’Ariège d’abord !

    «A toutes les Ariégeoises et les Ariégeois d’aujourd’hui et aussi de demain, je présente mes voeux les plus chaleureux de santé, bonheur, quiétude, plénitude, emploi, retour à l’emploi, loisirs, mémoire, sens des responsabilisés, générosité, engagement, foi en l’avenir.

    L’année 2016, en effet, ne peut nous laisser qu’un souvenir amer d’attentats barbares, de cortèges de morts programmés au hasard mais hélas pas au hasard. Sans tomber dans l’aveuglement, le monde est entré dans un combat de civilisation. Que 2017 y mette fin, enfin !

    Pour en revenir à notre Ariège, il est une tendance qui n’est pas pour nous défavoriser, celle d’une société urbaine de plus en plus anxiogène qui engage les citadins à faire un pas de côté et à rechercher des havres de paix, de verdure et de qualité de vie. C’est une chance que notre département doit intégrer, comprendre, saisir et faire un pas en avant vers ces citoyens. Au demeurant, le mouvement vers une ruralité apaisante est déjà enclenché comme en témoignent les indicateurs démographiques de l’INSEE et du marché immobilier.

    Le projet « Ariège 2030 » s’inscrit dans cette perspective prometteuse. Le premier acte va d’ailleurs consister à doter notre collectivité d’une grille d’analyse prospective dans laquelle devront passer tous les grands projets des prochaines années afin de ne pas injurier l’avenir, celui des générations futures.

    Pour l’heure, celle de 2017, je vais dans quelques jours présenter un budget départemental axé sur deux secteurs essentiels, l’investissement et les solidarités humaines et territoriales, deux compétences sanctuarisées par la loi NOTRe. Priorité donc au déploiement du réseau Très Haut Débit qui, en 2020, va permettre d’assurer 8 mégabits minimum aux 84.000 lignes actives dont les deux tiers dotées de la fibre jusqu’à l’abonné. Elle est là, la vraie chance pour l’avenir de l’Ariège et nous ne manquerons pas le rendez-vous !

    L’Ariège est un territoire d’avenir. L’Ariège d’abord, ensemble nous serons plus forts !»

    Henri Nayrou

  • Les voeux de Norbert Meler, Maire de Foix

    Les voeux de Norbert Meler, Maire de Foix

    C’est autour du coeur et de la persévérance que les voeux de Norbert Meler Maire de Foix se mobilisent cette année. Face aux drames, l’édile de Foix vous souhaite de vaincre les obstacles, être maitre de son destin et s’obstiner pour un bonheur individuel et collectif…

    «2017… Coeur et persévérance

    Ces derniers mois ont cruellement montré combien la folie des Hommes pouvait nuire à notre idéal permanent de fraternité universelle. Les drames, qui ont profondément secoué notre société, laisseront de béantes blessures dans la mémoire collective. Elles seront longues, très longues, à cicatriser. Et pourtant, avons-nous le droit de baisser les bras si nous conservons à l’esprit ce que nous devons tout à la fois

    à ceux qui nous ont précédés comme les Résistants des maquis ariégeois dans les dures circonstances de la quête de Liberté

    à ceux qui nous suivront, ces enfants et ces jeunes auprès desquels nous œuvrons sur le vaste chantier de l’Éducation Populaire

    à ceux avec lesquels nous partageons le quotidien et qui, dans leur immense majorité, aspirent à la paix dans ce qu’elle aura de plus collectif et de plus libertaire.

    Je souhaite à chacun la meilleure année 2017. En même temps, si la vie est faite aussi d’obstacles, je demeure convaincu que ces obstacles ne doivent pas être les maîtres de notre destin. Ils l’influencent, certes, mais ils ne doivent jamais en décider définitivement. Chaque homme, chaque femme doit rester obstinément l’artisan de son bonheur, individuel et collectif.

                Pour cela aussi je nous souhaite beaucoup de cœur et de persévérance.»

     

    Norbert Meler

    Maire de Foix

  • Derniers voeux en tant que députée pour Frédérique Massat

    Derniers voeux en tant que députée pour Frédérique Massat

    Frédérique Massat a présenté ses voeux aux ariégeois en cette fin d’année. Elle évoque son retrait de son mandat de députée, sous la forme d’un bilan de ses actions en tant que « femme politique » et aussi en affirmant sa fierté et sa solidarité avec la politique menée par le gouvernement sous François Hollande. Elle revient un peu sur son avenir, qui devrait prendre une nouvelle « tournure » locale semble t’il…Mais chut…

    « C’est avec une émotion particulière que je vous adresse aujourd’hui ces vœux, qui sont mes derniers en qualité de députée.

    J’ai annoncé la décision de ne pas me représenter cet automne, après l’avoir mûrement réfléchie. Elle se base sur la conviction profonde que le renouvellement de notre classe politique est nécessaire afin de consolider les bases de notre démocratie, de la garder à l’abri des tentations populistes et du risque d’un certain essoufflement.
    Durant ces dix ans à l’Assemblée, j’ai contribué à l’élaboration de la loi en tant que députée, puis en tant que première femme élue à la présidence de la commission des affaires économiques. Ces dix dernières années m’ont aussi amenée à arpenter cette première circonscription de l’Ariège, accompagnant les projets locaux et me faisant l’écho des préoccupations de ses habitants. A l’avenir, mon engagement pour nos valeurs de gauche, de progrès, et pour notre département se poursuivra sous des formes différentes, mais toujours avec la même énergie et la même passion.

    J’assume avec fierté le bilan de notre Majorité. Ensemble depuis 2012, nous avons redressé le pays, fait face à des crises sécuritaires majeures et mené à bien des chantiers essentiels, afin d’adapter notre société et ses lois aux transitions numériques, énergétiques et socio-économiques que nous traversons. Nous avons modernisé notre protection sociale et notre politique familiale, refondé notre projet éducatif, amélioré la compétitivité économique de notre pays et pris toute la mesure des enjeux en matière d’environnement, de climat et d’énergie, avec la transformation de notre appareil industriel et de notre modèle agricole en un projet agro-écologique. Le Parlement n’a cessé de légiférer pour la reconquête de l’emploi, le retour de la justice sociale, la défense du pouvoir d’achat et la réduction des déficits. La baisse historique du chômage, qui s’est accélérée en France sur les trois derniers mois, montre que nos engagements portent leurs fruits. Que ceux qui dénoncent l’action de notre Majorité prennent de la hauteur et réfléchissent aux programmes du noyau dur de la droite et de son extrême ; piétiner notre modèle social et remettre en cause ses acquis à coups de mesures ultralibérales et conservatrices ébranlera durablement notre société.

    Nous avons le devoir de nous unir au nom des valeurs d’égalité, de fraternité, de solidarité et d’altruisme qui sont les nôtres, pour faire en sorte de pérenniser les orientations prises sur la voie de la solidarité de la compétitivité, de la transition énergétique, de la réorientation européenne. Nous devons mettre toutes les chances de notre côté et graver nos acquis dans un nouveau récit national et européen. Nous devons toujours avoir à l’esprit que l’unité de notre famille politique est notre force, que nos choix nous mobilisent pour l’avenir.

    Durant cette année 2016, les ailes noires et sanglantes de l’obscurantisme et de la terreur ont de nouveau jeté leur ombre sur notre pays et sur bien d’autres. Des bouleversements politiques majeurs, du Brexit à l’élection de Donald Trump aux États-Unis rendent l’avenir incertain. Dans cet environnement anxiogène, nous avons le devoir de préserver la cohésion nationale, garante de la grandeur de la France et de créer les conditions permettant à la confiance de prendre le pas sur la peur. Soyons fiers de la communauté de valeurs et de la robustesse des institutions de notre République. La France doit se montrer forte en allant de l’avant, en poursuivant ses réformes, en modernisant la vie politique, en améliorant l’existence des générations actuelles et en donnant aux générations à venir les moyens d’une vie meilleure.

    L’année 2017 se place sous le sceau des élections présidentielles et législatives. Une nouvelle fois dans notre démocratie, le débat va vivre. La démocratie nous amène chaque jour à nous confronter, nous améliorer, par la force des arguments et des propositions qui font nos lois. La cohésion nationale n’est pas l’alignement politique mais l’idée de se rassembler autour de ce que nous sommes. Réfléchir à quelle société nous voulons est essentiel, car le populisme, la mouvance d’extrême droite et son lot d’intolérance et de haine sont des dangers mortifères pour notre démocratie. Demain, la République sera au rendez-vous d’une nouvelle page, et elle doit savoir prouver à ses enfants sa solidité, son utilité et sa capacité à rassembler dans les moments fondateurs de son histoire.

    C’est avec cette confiance, cette espérance et cette foi en l’avenir que je vous présente tous mes vœux. Bonne et heureuse année 2017, pour vous-mêmes et ceux qui vous sont chers.»

    Source : FrederiqueMassat.com

  • Grippe, l’Ariège au centre de l’épidémie !

    Grippe, l’Ariège au centre de l’épidémie !

    La dernière semaine de l’année 2016 a été rude pour le département coté « Etat grippal ». En effet, l’épidémie de grippe a été assez forte en Occitanie et particulièrement aiguë en Ariège avec une moyenne départementale proche de 500 cas pour 100 000 habitants, alors que la moyenne de la région était de 257 cas pour 100 000 habitants. (taux d’incidence de 257 [185 ; 329])

    En France métropolitaine, la semaine dernière, le taux d’incidence des cas de syndromes grippaux vus en consultation de médecine générale a été estimé à 307 cas pour 100 000 habitants (IC 95% [279 ; 335]), soit 200 000 nouveaux cas, au-dessus du seuil épidémique (175 cas pour 100 000 habitants) .

    Il s’agit de seconde semaine consécutive de dépassement du seuil épidémique confirmant l’arrivée de l’épidémie en France. Durant ces deux dernières semaines d’épidémie de grippe, 327 000 personnes auraient consulté un médecin généraliste pour ce motif.

    Au niveau régional, les taux d’incidence les plus élevés ont été observés en : Auvergne-Rhône-Alpes (545 cas pour 100 000 habitants, IC 95% [463 ; 627]), Bourgogne-Franche-Comté (498, IC 95% [342 ; 654]) et Normandie (368, IC 95% [220 ; 516]).

    Source : réseau sentinelles

  • De l’art de la dose d’eau dans le bain, chronique de Olivier de Robert

    De l’art de la dose d’eau dans le bain, chronique de Olivier de Robert

    Nos amis russes, qui qu’en même n’en ratent pas une, en arrivent à s’empoisonner en buvant des huiles de bain… Pas de chance, ils auraient du nous en parler avant, à nous les ariègeois : s’il y a un truc qu’on maîtrise sur la route de l’Andorre, c’est bien le dosage entre l’alcool et l’eau !

  • Dernier Who’s Who ariégeois de l’Année, Floriane Caux n’arrête pas de grimper

    Dernier Who’s Who ariégeois de l’Année, Floriane Caux n’arrête pas de grimper

    Floriane Caux, Frédérique Massat et Michel Comte sur les trois premières marches du Podium des 99 personnalités à plus forte notoriété en Ariège pour cet fin d’année.

    Peu de changement donc si ce n’est l’arrivée à la troisième place de Michel Comte  artisan joaillier à Montjoie en Couserans près de Saint-Girons.

    On ne vous présente plus Floriane Caux et Frédérique Massat qui se balladent en tête du Who’s who depuis plusieurs mois. 

    Passé ce tiercé de tête, quels changements notables en trois mois dans le classement ?

    Une belle remontée des ariégeoises ce trimestre, avec Anne Brenon qui gagne 15 places et se classe 7ème, Martine Crespo qui arrive en 11ème position en gagnant pas moins de 39 places,  Perrine Laffont notre jeune « bosseuse » qui prend la 16ème place après avoir conquis la 2ème en finale dame lors de la Coupe du Monde à Reka en Finlande et enfin Denise Déjean, écrivain, qui fait également une belle remontée de 44 places pour se retrouver 45ème.

    Olivier Campardou fondateur de l’Asinerie de Feillet dans le Couserans remonte de 42 places pour se retrouver 27ème du classement.

    Voir le classement complet : Classement-whoswho-oct-dec2016

    Et comme chaque fin d’année, nous avons procédé à la moyenne des classements de l’année 2016 avec aux trois premières places : Floriane Caux, Frédérique Massat et Henri Nayrou.

    Voir la moyenne des classements 2016 : Classement-whoswho-moyenne2016

    Crédit photo : Floriane Caux www.florianecaux.com

    Le Baromètre de notoriété des personnalités qui font l’Ariège est tenu par Azinat.com depuis le 15 septembre 2007, il est remis à jour tous les 3 mois

    Classement des 99 personnalités à plus forte notoriété en Ariège. Score avec catégorie et nombre de pages référencées sur Google.fr (méthode : recherche par nom associé au mot ariège*, comme : «Prénom Nom» + Ariège ) Premier classement effectué le 15/09/07.
    (pour obtenir l’historique des classements et le détails sur plus de 99 personnalités suivies du pannel, merci de nous contacter par email redaction@azinat.com)

    Reproduction même partielle, interdite sans accord préalable

    Tous droits réservés Azinat 2007-2016 ©

    si vous n’êtes pas sur ce classement et que vous pensez avoir été oublié merci de nous le signaler

  • Deux ariégeois au Sénat pour mieux faire connaître nos institutions

    Deux ariégeois au Sénat pour mieux faire connaître nos institutions

    Depuis 2016, pour la deuxième fois, le Sénat a créé l’institut du Sénat afin de proposer à des personnalités de la société civile de treize départements de découvrir le fonctionnement du bicamérisme. C’est le fonctionnement de deux assemblées dans un régime politique.

    Pour cette deuxième promotion, des 13 départements de la région Occitanie, seule l’Ariège est représentée, par deux ariégeois qui ont été sélectionnés sur lettre de motivation et CV dans le courant du mois d’octobre. Ils sont donc, depuis novembre dernier, auditeurs du Sénat. Il s’agit de Fabien GUICHOU, Directeur chez Foix Adolescence Jeunesse Insertion Prévention (FAJIP) et de Stéphane BOURDONCLE, historien, professeur agrégé au lycée et conseiller municipal de Mirepoix. Cette année 13 départements sont concernés et 21 auditeurs et auditrices, fonctionnaires, élu(e)s, chefs d’entreprises, journalistes, représentants d’associations, etc.

    Du 6 décembre au 21 mars 2017, ils vont participer à six séances de deux journées de formation au Sénat. Ainsi, ils pourront découvrir de l’intérieur les institutions de la république, telles la cour des comptes, les conseils d’État et constitutionnel, Matignon et le premier ministre, les ministères, l’Assemblée nationale, et le parlement européen à Strasbourg lors d’une séance sur un territoire en présence d’un sénateur des auditeurs.

    L’objectif de la formation est de rédiger un compte-rendu collectif sur les différentes séances en indiquant ce qui aura marqué les auditeurs dans leur découverte du fonctionnement de nos institutions.  Lors de l’ultime séance, le 21 mars, les auditeurs auront à participer à un jeu de rôle visant à mettre en pratique les discussions autour d’une loi jusqu’à sa rédaction.

    Lors de la première séance, qui s’est déroulée les 6 et 7 décembre derniers, ils ont été accueillis par les responsables de l´institut, administrateurs, le questeur du Sénat, sorte de trésorier de la haute chambre (autre nom du Sénat) : Jean-Léonce DUPONT, sénateur du Calvados, le président du Sénat Gérard LARCHER, ainsi que les sénateurs de leur département d’origine. Alain DURAN les a félicités pour leur sélection et leur a souhaité une excellente formation.

    Ils ont assisté à une réunion de la commission parlementaire sur l’aménagement du territoire et du développement durable dont l’objet était la préparation de la loi montagne. Ils ont participé à deux séances publiques dans les tribunes de l’hémicycle et les sénateurs et sénatrice présent(e)s les ont accueillis et encouragés en les applaudissant. Vous pouvez consulter la vidéo de la séance de l’après-midi du 7 décembre sur le site du Sénat.

    Prochaines séances les 11 et 12 puis 24 et 25 janvier et du 2 au 5 février à Strasbourg.

    Photo : De droite à gauche : Fabien GUICHOU, Alain DURAN, et Stéphane BOURDONCLE dans la salle des Conférences au Sénat.

    Source : Mirepoix.fr

  • L’Ariège de nouveau en force au Salon international de l’Agriculture de Paris 2017

    L’Ariège de nouveau en force au Salon international de l’Agriculture de Paris 2017

     
     

    Dans la logique de la valorisation des savoir-faire ariégeois, le Département de l’Ariège a décidé de renouveler en 2017 le dispositif initié lors du Salon international de l’Agriculture 2016. Une véritable vitrine des produits et des saveurs sera à nouveau installée au cœur du Hall des Régions du Parc des expositions de la Porte de Versailles à Paris, du 25 février au 5 mars.

    Sur 120 m2, le Département et l’Agence de Développement Touristique Ariège-Pyrénées implanteront une «ambassade» ariégeoise organisée autour de stands de dix-huit producteurs et artisans.

    Dégustations, ventes, animations, démonstrations, opérations de relations publiques rythmeront la dizaine de jours de présence des participants.

    Les professionnels qui présenteront leurs produits sur cet espace, ont été sélectionnés au terme d’un appel à projets lancé au mois de novembre. Il s’agit de : La ferme de Montbruguet (viande bovine), La Petite Ferme de Larché (viande ovine), La Maison Lacube (viande bovine), Le Grenier à Jambons (charcuterie et salaisons), André Cazaux (charcuterie et salaisons), Alexandre Sintes (poulet fermier label rouge), Les Gourmandises de Blours (confitures), Confitures et Traditions (confitures), Le Rucher de Puech (miel et produits dérivés), Le GAEC des Petites Merveilles (miel et produits dérivés), Les Vergers de Bousigues (jus de pommes), Le Domaine de Lastronques (vin et jus de raisin), Les Coteaux d’Engraviès (vin), Le Moulin Gourmand (fromage, ravioles, millas), Olivier Campardou (céréales), Asinus (produits cosmétiques au lait d’ânesse), Model’Nature (couvert Georgette), Chapellerie Sire (bérets ariégeois).

    Ces dix-huit ambassadeurs ont participé il y a quelques jours à une première réunion de travail. D’autres suivront dès les premiers jours de janvier.

    A noter que ce dispositif est mis en œuvre parallèlement à la mobilisation des éleveurs des races bovines (gasconnes), ovines (tarasconnaises) et équines (mérens, castillonnais) qui participent à l’événement dans les espaces dédiés à l’élevage.

    A quelques jours de la fin de l’année, l’aventure du Salon de l’Agriculture 2017 est lancée !

     Sources : CD09