Étiquette : action publique

  • 2èmes Rencontres de l’Ariège : un exercice de citoyenneté directe et utile

    2èmes Rencontres de l’Ariège : un exercice de citoyenneté directe et utile

    Près de 500 Ariégeoises et Ariégeois ont participé aux 2èmes Rencontres de l’Ariège organisées, du 29 novembre au 8 décembre, à l’occasion du débat d’orientations budgétaires de l’assemblée départementale. Comme en 2015, Henri Nayrou, Président du Conseil Départemental de l’Ariège, avait proposé aux citoyens de venir s’informer et échanger avec les élus lors de six réunions publiques.

    Le Fossat, Saint-Girons, Foix, Lavelanet, Pamiers et Tarascon ont accueilli ces Rencontres décentralisées au cours desquelles tous les sujets de l’actualité départementale ont pu être évoqués. L’accompagnement du handicap et le RSA, les routes départementales, l’économie, le très haut débit, les collèges, la culture, la jeunesse ou encore la vie associative, aucun sujet n’a été écarté.

    Et si des débats avec la salle ont ponctué des réunions, comme sur le projet de déviation de La Bastide de Bousignac ou sur les délais de déploiement du réseau très haut débit en Couserans, ce sont des échanges constructifs qui ont rythmé cet exercice de citoyenneté directe et utile que le Président du Conseil Départemental et les élus qui l’accompagnaient renouvelleront l’an prochain.

    Rendez-vous est pris.

    Sources : CD09

  • 2èmes Rencontres de l’Ariège à Montgailhard

    2èmes Rencontres de l’Ariège à Montgailhard

    Politique de la ville et Très haut débit au menu des discussions pour les cantons de Foix et du Val d’Ariège

    Jeudi soir, l’auditorium des Forges de Pyrène à Montgailhard accueillait la troisième des six réunions des Rencontres de l’Ariège 2016*, consacrée aux cantons de Foix et du Val d’Ariège. Henri Nayrou, président du Conseil Départemental de l’Ariège était accompagné des vice-présidents délégués et des conseillers départementaux locaux, Martine Doumenc-Caubère et Eric Donzé. Martine Esteban, présidente de la commission Culture et Vie associative, participait également aux débats.

    Au cours de la séance, les échanges ont été nombreux sur les compétences mais surtout sur les orientations stratégiques de la collectivité pour l’année à venir. Le déploiement du réseau internet à très haut débit initié par le Département a donné lieu à plusieurs questions notamment en matière de calendrier. Le soutien de la collectivité départementale aux actions et chantiers qui seront engagés dans le cadre de la Politique de la Ville ont également été longuement évoqués.

    Avec un budget prévisionnel marqué par un niveau d’investissement de 65 millions d’euros (dont 13 millions pour le seul projet très haut débit), par les 10 millions d’euros mobilisés sur cinq ans pour la Politique de la Ville, ou encore les 100 millions d’euros consacrés aux solidarités, le Département entend répondre aux attentes des Ariégeoises et des Ariégeois. C’est ce qui ressort de cette troisième réunion des 2èmes Rencontres de l’Ariège.

    *Le programme complet sur www.ariege.fr
    Renseignements complémentaires : www.ariege.fr ou facebook.com/conseil.departemental.ariege

    Sources CD09

  • Rencontres de l’Ariège au Fossat : le Département répond aux questions et aux attentes des Ariégeois

    Rencontres de l’Ariège au Fossat : le Département répond aux questions et aux attentes des Ariégeois

    Mardi soir, la salle multimédia du Fossat accueillait la première des six réunions des Rencontres de l’Ariège 2016*, consacrée au canton d’Arize-Lèze. Henri Nayrou, président du Conseil Départemental de l’Ariège était accompagné des vice-présidents délégués et des conseillers départementaux locaux, Lydia Blandinières et Raymond Berdou.

    Au cours de la séance, les échanges ont été nombreux sur les compétences mais surtout sur les orientations stratégiques de la collectivité pour l’année à venir. Déploiement du réseau internet à très haut débit, entretien et modernisation des routes départementales, soutien financier au plan de prévention des crues de la Lèze, accompagnement du handicap et des personnes âgées, ou encore approvisionnement du collège de Lézat en produits locaux, autant d’actions concrètes qui ont ponctué le traditionnel jeu de questions/réponses.

    Avec un budget prévisionnel marqué par un taux d’investissement de 65 millions d’euros (dont 13 millions pour le seul projet très haut débit) ou encore la mobilisation de plus de 100 millions d’euros pour les solidarités, le Département entend répondre aux attentes des Ariégeoises et des Ariégeois. C’est ce qui ressort de cette première réunion des Rencontres de l’Ariège.

    *Le programme complet sur www.ariege.fr
    Renseignements complémentaires : www.ariege.fr ou facebook.com/conseil.departemental.ariege

    Sources : CD09

  • Le dispositif TEPcv va changer profondément Lavelanet

    Le dispositif TEPcv va changer profondément Lavelanet

    Aboutissement de plusieurs années de travail, de préparation et de rencontres, le projet TEPcv (Territoire à énergie positive croissance verte) est en cours sur la ville de Lavelanet. Des travaux vont bientôt débuter sur l’avenue Alsace Lorraine. « Ce résultat, c’est d’abord une volonté », celle de Marc Sanchez maire qui « se bat avec ses élus et les techniciens » de la mairie « pour que Lavelanet et le Pays d’Olmes retrouvent leurs lettres de noblesse ».

    « Ce résultat, c’est d’abord une volonté » explique le 1er édile. « Celle que j’ai de repositionner Lavelanet comme ville rayonnante au carrefour des 4 M et porte d’entrée des Monts-d’Olmes ». À l’été 2014, déçu que sa ville n’ait pas été acceptée dans la politique de la ville, Marc Sanchez se tourne vers la préparation du concours AMI centre-bourg pour lequel la commune sera labélisée en novembre 2014. Avec ses élus, « en collaboration étroite avec l’intercommunalité et le  précieux concours des techniciens de la mairie et des services de la préfecture», un « important travail est mené », différentes rencontres s’enchaînent et permettent de découvrir l’existence de l’appel à projet « transition énergétique croissance verte ».

    Rappel

    Le dossier de candidature de finalisation du TEPcv en devenir a été lauréatisé le 12 mai 2016 à Paris par Ségolène Royal Ministre de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie. C’est une enveloppe de 500.000€ qui étaient alors alloués à Marc Sanchez. Le 4 octobre dernier, le maire de Lavelanet est « remonté » à Paris signer la convention d’extension d’enveloppe TEPcv (un avenant) pour la mise en œuvre de l’appui financier. 1 M 500.000€ ont alors été octroyés à la ville de Lavelanet, en présence de Frédérique Massat. À noter que ce projet est adossé à la démarche AMI centre-bourg, et au dispositif AIDER en ce qui concerne Lavelanet ; Lavelanet étant la seule commune en France a bénéficié de deux dispositifs conjointement (AMI et TEPcv).

    Un projet en marche

    Le centre-bourg de Lavelanet se résume actuellement à un carrefour d’axes routiers entourés de parcs de stationnement, sans véritable cœur urbain. Le projet de revitalisation engagé dans le cadre de l’AMI centre-bourg vise à recréer un véritable cœur urbain, centré sur l’Esplanade de la Concorde, la Place de l’Europe et la Place des Sécoustous. L’ambition du TEPcv est de réaffirmer la place du piéton et du cycliste dans ce cœur urbain et de le connecter aux différents itinéraires de déplacements doux ou alternatifs transitant autour de la ville et qui s’inscrivent à l’échelle du Pays des Pyrénées Cathares. Il s’agit en particulier de prolonger la voie verte venue du nord vers le sentier des Tisserands qui relie Lavelanet à Montségur. Ces itinéraires « verts » butent actuellement sur les entrées de la ville et l’objectif est ainsi de créer une « voie bleue » traversant intégralement le centre-bourg, en s’appuyant sur les cours d’eau aujourd’hui dissimulés sous des dalles en béton qui seront partiellement démolies à cette fin. (250m de dalle béton recouvrant le Pipier, affluent du Touyre, seront abattus). Mais la reconstitution d’un véritable cœur de bourg, outre des actions fortes sur la réorganisation des circulations et des mobilités, passe aussi par une réhabilitation en profondeur des espaces publics, s’appuyant en premier lieu sur une revalorisation architecturale et paysagère, un travail sur l’accessibilité à tous, les équipements et le mobilier urbain. Après l’achat de deux véhicules électriques et l’accueil en mairie le 14 juin dernier de Marie Lajus préfète, des services de l’État, notamment la DDT, la DREAL et l’ADEME afin de les remercier pour leur implication lors de la lauréatisation de la commune. La municipalité se penche également sur le poste éclairage de la ville. Un « plan lumière » va être mis en œuvre au sein du centre-bourg. Il s’agira notamment d’établir des critères de performance thermique et énergétique des espaces recomposés, en agissant sur la rénovation complète de l’éclairage public à l’aide d’éclairages de dernière génération associés à des systèmes de gestion intelligente adaptés aux espaces concernés (extinctions partielles, allumages à détection, etc.). Ces dispositifs et les technologies intelligentes associées permettront de faire baisser la consommation d’électricité de la commune et contribueront à lui donner une image plus moderne et écologique. Cette action sera réalisée en coordination avec le Syndicat Départemental de l’Énergie (SDE 09). Autres points forts du projet TEPcv, la réalisation de travaux de mise en valeur des points d’accès aux Soulas depuis le centre bourg, comprenant des démolitions, de la végétalisation d’espace public, des travaux de voirie, de zones et d’espaces piétons ainsi que les cheminements et aménagements au sein même des deux collines. Ces aménagements intégreront par ailleurs les enjeux de préservation et de mise en valeur de la biodiversité.

    «Des dispositifs pour accompagner le développement économique du territoire»

    Mobilité douce, éclairage public, voiture électrique, bornes électriques, liaison des deux soulas, centre urbain, étude énergie hydraulique et géothermique avec la réouverture partielle du Touyre et du Pipier enterrés sous la ville afin de créer une microcentrale hydroélectrique pouvant servir à l’éclairage public … autant d’actions pour « redonner ses lettres de noblesse » au centre-bourg du Pays d’Olmes. Marc Sanchez et ses élus ont la « volonté de changer le cours de l’histoire. Lavelanet est garante de l’attractivité du territoire, la ville concentre 80% des équipements structurants, elle a une histoire, un passé. Il est important pour le Pays d’Olmes, les Pyrénées cathares et nos amis voisins de l’Aude, qu’elle garde cette attractivité. Avec mes élus, nous nous battons pour la maintenir. » Le 14 juin dernier, Marie Lajus soulignait à cet égard : « il faut sortir de l’image de ville en déclin et recréer une attractivité pour un centre très accessible aux promeneurs, aux vélos, aux touristes… » Lavelanet devenant ainsi carrefour de mobilités des 4 M (Mirepoix, Montségur, Montbel, Monts-d’Olmes). « Porté par Ségolène Royal, ce projet innovant, adossé aux autres dispositifs » conclut Marc Sanchez « doit permettre aux entreprises, commerçants et artisans de s’investir pour la création d’emplois, car ces dispositifs accompagnent le développement économique de notre territoire ».

    Sources : Mairie de Lavelanet

     

  • Inauguration de la nouvelle cuisine centrale des Vallées d’Ax

    Inauguration de la nouvelle cuisine centrale des Vallées d’Ax

    C’est ce mardi 18 octobre à 11h30 qu’a eu lieu l’inauguration de la cuisine centrale des Vallées d’Ax. Cette nouvelle unité de production, à compter du 31 octobre prochain, concevra, préparera et transportera les repas aux écoles, aux centres de loisirs, aux Ehpad, etc.

    En présence de Madame la préfète et de nombreux élus, le président de la Communauté de Communes des Vallées d’Ax, Monsieur Alain Naudy n’a pas caché sa satisfaction de voir aboutir le fruit de plusieurs années de travail et d’acharnement.

    inauguration-cuisine-centrale3«D’une surface de 658m2, cet équipement est né de la volonté d’offrir à tous ses bénéficiaires (écoles, centres de loisirs, transports à la demande, Ehpad, etc) des repas de qualité dans un cadre réglementé irréprochable, avec pour seul principe celui « de la fourche à la fourchette ». Localisée sur le site des anciens locaux administratifs de la société IMERYS Talcs à Luzenac, ce projet est dimensionné pour produire en période de pointe 870 repas/jour, avec une capacité maximale de 1000 repas par jour. Sa position centrale sur le territoire est un véritable atout.

    Cette cuisine centrale, c’est un moteur supplémentaire pour l’économie et l’attractivité du territoire. La quasi-totalité des produits frais (viandes, fruits et légumes, poisson, pain, volaille, etc) fait l’objet d’une démarche qualité. Cet équipement respecte la volonté de la Communauté de communes de s’inscrire dans une politique alimentaire durable valorisant les productions locales, notamment les filières de circuits courts et les produits issus de l’agriculture biologique issus du département de l’Ariège. Il contribue ainsi au renforcement et au développement des filières d’agriculture locale. Ce sont en grande majorité les entreprises locales et régionales qui ont contribué à la réalisation du chantier. C’est aussi localement que nous travaillons au quotidien pour le fonctionnement du service : la Blanchisserie des Vallées d’Ax entretiendra notamment les tenues de nos personnels.

    C’est aussi une structure génératrice d’emplois : 11 personnes qualifiées à temps plein et issues majoritairement du territoire

    Cet investissement d’avenir n’aurait pu exister sans le soutien des institutions partenaires qui nous font l’amitié d’être à nos côtés pour ce moment fort pour nos Vallées. Ainsi, l’État, la Région et le Département ont apporté leur soutien depuis le début au projet ; ont donc contribué à l’aménagement et au développement de la Haute-Ariège. Coût : 3 027 000 euros dont 1 330 000 euros de subventions.» Extrait du discours de Monsieur Alain Naudy

    Chiffres clés :

    • 137 825 : estimation du nombre de repas pour 2017.
    • 34 387 : nombre de repas produits au 1er août 2016 par la cuisine.
    • BP 2017 : 1 500 000 euros.
    • Coût de revient (production) : 4,96 euros dont 2,40 euros de de coût de denrées.
    • Coût de transport : 0,81 euros /repas.