Étiquette : écrivain

  • Josette Elayi publie « Histoire de la Phénicie »

    Josette Elayi publie « Histoire de la Phénicie »

    Historienne, diplômée d’hébreu, d’araméen et d’akkadien, spécialiste incontestée de la Phénicie, Josette Elayi a enseigné aux universités de Beyrouth et de Bagdad avant de poursuivre ses recherches (CNRS) au collège de France.

    Elle a dirigé de nombreux colloques et produit de nombreux livres spécialisés sur le sujet. En 2007, elle a été faite chevalier de la légion d’honneur pour ses travaux sur la Phénicie.

    En octobre 2011 nous vous présentions Josette Elayi et son « Secret de Granit »  une aventure entre l’Ariège et Paris, entre le présent et le passé.

    Aujourd’hui cette ariégeoise de coeur et d’origine publie aujourd’hui une «fresque »historique.

    L’histoire des Phéniciens, à la fois explorateurs et commerçants, est peu connue : quel paradoxe pour ce peuple, ingénieux inventeur de l’alphabet, d’avoir transmis aussi peu de traces écrites ! Leur littérature notée sur des papyrus a disparu. Et pourtant cette civilisation a fait rêver ses contemporains – juifs notamment, les a effrayés parfois à l’instar des Romains et des Grecs qui en firent des êtres cruels pratiquant le sacrifice humain.

    Leurs clients sont pharaons, assyriens, et leurs navires sillonnent la Méditerranée chargés de produits de luxe et courants comme du vin, de l’huile, du blé, des minerais….

    Josette Elayi ressuscite la Phénicie antique, ensevelie sous les villes modernes du Liban et quelques-unes de Syrie et d’Israël. Elle fait revivre cette zone privilégiée de contacts entre l’Orient et l’Occident, ses célèbres comptoirs comme Carthage ou Bizerte et ses cités phares (Byblos, Tyr, Sidon, Arwad et les autres).

    Écrit par la plus grande spécialiste française de l’histoire de la Phénicie, au fait des derniers développements de la recherche, ce livre se lit comme un roman.

    Pour comprendre la genèse de ce pays, l’auteur commence son récit avant sa fondation, en 1200, pour montrer ce qui s’est joué dans cette région lorsqu’elle était peuplée par les proto-Phéniciens. Le temps de sa splendeur s’écoule sur plusieurs siècles jusqu’en 883 durant lesquels la Phénicie s’épanouit lors d’une exceptionnelle période d’indépendance. Puis la Phénicie passera tour à tour sous la domination de l’Empire assyrien de 883 à 610, puis sous la coupe de l’Empire babylonien de 610 à 539 et enfin sous la domination perse de 539 à 332. C’est la date à laquelle on arrête traditionnellement son histoire car elle est conquise par Alexandre de Grand et intégrée dans le monde grec hellénistique.Elayi_500_

  • « Triple meurtre à l’ombre des trois clochers », un polar appaméen

    « Triple meurtre à l’ombre des trois clochers », un polar appaméen

    "Triple meurtre à l'ombre des trois clochers", un polar appaméen Ariège PyrénéesUne situation de départ était donnée aux participants de l’atelier, à savoir la découverte de trois cadavres, au petit matin, dans la rue Serpente, à Pamiers, par trois lycéens. Les trois personnes assassinées étant :

    • un jeune ingénieur, Alexandre Bardou, la trentaine, cadre à l’usine Aubert et Duval, et conseiller municipal à la mairie de Pamiers, en charge de la sécurité et de l’insertion
    • une bourgeoise, Camille Dubuisson, la cinquantaine, issue d’une famille de commerçants appauvris par l’arrivée des grandes surfaces en périphérie de Pamiers
    • un SDF allemand, Hans Grüber, d’une soixantaine d’années, fixé à Pamiers depuis quelques années

    Pourquoi trois personnes aussi dissemblables se sont-elles retrouvées ensemble, dans la minuscule rue Serpente, et pourquoi les a-t-on assassinées d’une manière qui ressemble beaucoup à un contrat exécuté par un professionnel ? Voilà la question posée…Pendant les trois mois qu’a duré cet atelier, les participants ont réfléchi à l’intrigue, ont construit les personnages, pour enfin trouver une solution qui tienne compte de la psychologie et de l’histoire de chacun d’entre eux. Puis est venu le temps de l’écriture… et de la réécriture.

    Une ambiance noire…dans la ville d’aujourd’hui

    L’action se passe de nos jours, dans le Pamiers d’aujourd’hui, avec son centre-ville désaffecté, ses populations issues d’Europe centrale, d’Afrique, d’Asie, et la méfiance qui s’est installée entre les différentes couches de population.

    Les endroits visités par le roman sont emblématiques de la ville et de son histoire : rue Serpente, minuscule ruelle médiévale, où sont découverts les cadavres ; Place de la République, centre de la vie appaméenne ; rue du Bac, en face de l’église de Cailloup, dans le vieux quartier du Foulon ; rue de l’Imprimerie, minuscule rue témoignage de l’identité « ouvrière » de la ville ; rues commerçantes du centre-ville, désaffectées, etc…

    Les lieux de nuit, et leur ambiance un peu louche, sont également visités.

    Pour rassembler tous les participants à l’écriture de ce livre, un pseudonyme a été retenu, Claude Dumas. Le texte a été lissé, réécrit parfois, par Xavier Malbreil, enseignant en narratologie à l’Université de Toulouse II, écrivain, critique d’art, commissaire d’exposition, correspondant de presse.

    Triple meurtre à l’ombre des trois clochers – Claude Dumas
    Editions ARCANS
    ISBN : 978-2-9538996-4-1
    Couverture et maquette : Paz BOIRA disponible dans les librairies ariégeoises et est aussi vendu en ligne sur le site de l’éditeur www.arcans.eu

  • « Noir Polar » pour le salon du livre de Pamiers

    « Noir Polar » pour le salon du livre de Pamiers

    "Noir Polar" pour le salon du livre de Pamiers Ariège PyrénéesComme l’an dernier, une soixantaine d’auteurs seront invités. Une vingtaine d’entre eux ont écrit des romans policiers. Les visiteurs pourront dialoguer avec eux, acheter des livres et les faire dédicacer.

    Un artiste local présentera ses œuvres. Après Mady de la Giraudière en 2008, Ryton Cazenave en 2009, Michel Maury en 2010 et Blandine Lequesne en 2011. En 2012, c’est Gérard Bayssière, photographe qui avait exposé ses images de fantasias marocaines.

    Cette année,  Espé et Yannick Robert, deux dessinateurs de BD présenteront leurs planches originales.

    le 1er juin à la médiathèque se déroule : 
    – 14h30 : concours d’orthographe
    – 18h00 : table ronde sur le thème du policier animée par Claude Mesplède avec : Carlos Salem, Marin Ledun, Jean Hugues Oppel, Elena Piacentini et Frédéric Coudron.

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    le 2 juin au lycée du Castella : 
    – 9h30 ouverture du salon
    – 11h30 inauguration officielle
    – 14h00 : Présentation des travaux de l’atelier d’écriture polar
    – 15h00 : Pour les enfants dès 6 ans, spectacle de contes dessinés réalisé par Yannick Robert et Natacha Fabry.
    – 16h00 : conférence sur le Polar présentée par Claude Mesplède
    – 17h30 : résultats des concours de nouvelles et d’orthographe
    – 18h30 : clôture du salon

    Vous pourrez y retrouvez les auteurs suivants :
    Claude Cancès, Yves Carchon, Frédéric Coudron, Dominique Delpiroux, Marin Ledun, Franck Linol, Patrick Mosconi, Jean-Hugues Oppel, Elena Piacentini, Carlos Salem, Cédric Sire, Ian Thirion, Emmanuelle Urien, Philippe Ward.
    Jean Alambre, Jean-Luc Aubarbier, Roger Beteille, Pierre-Jean Brassac, Gerard Brutus, Manu Causse, Nicole Chappe, Louis Claeys, Christine Clairmont, Alain Clastre, Michel Cosem, Alain Delage, Olivier De Robert, Michaël Espinosa, Gérard Georges, Georges-Patrick Gleize, Andrée Laberty, Hélène Legrais, Patricia Lizarte, Djalla-Maria Longa, Xavier Malbreil, Antonin Malroux, Guy Mothe, Olivier Nadouce, Verino Pedigrossi, Christiane Prioult, Jean-Paul Romain Ringuier, Pascale Roubichou, Louis Ruiz, Jean-Louis Sanchez, Jean-Jacques Soulet, Bernadette Truno, PIerre Vabre.

    Entrée est gratuite, des plaquettes sont disponibles dans de nombreux commerces de Pamiers

    Affiche réalisée par Espé

    salondulivrepamiers.free.fr

  • Une « Histoire de la France Polissonne »

    Une « Histoire de la France Polissonne »

    Tout, vous saurez tout des nuits folles du Régent, des frasques du jésuite toulonnais Girard, du phimosis de Louis XVI, de la délicate procédure du « Congrès », de l’histoire de la ceinture de chasteté ou de cette noble dame fécondée… par un vent d’Est pour le moins coquin.

    Le titre est volontiers coquin et alléchant mais « rassurez-vous, (ou pas)  il ne s’agit pas d’un livre porno, ni même salace », prévient d’emblée son auteur !

    Par son Histoire de la France polissonne, Patrick Caujolle continue de faire ce qu’il fait à merveille depuis plusieurs années : raconter la grande histoire par les petites histoires.

    Dans une passionnante enquête, première du genre dans l’hexagone, l’écrivain soulève les jupes de l’histoire de France pour en tirer de succulents récits. Sait-on qu’une maison close idyllique et dessinée en forme de phallus a été conçue au XVIIIe siècle par l’un des plus grands architectes de notre pays ? Comment le Docteur Voronoff a-t-il redonné la vigueur sexuelle à de célèbres patients en leur greffant des testicules de singe ? De quelle manière Victor Hugo, qui était accroc au sexe, a-t-il consigné tous ses « exploits » dans des carnets secrets ?

    Des talents d’une « petite comtesse » de Béziers, en passant par le parc aux cerfs de Louis XV, jusqu’aux écarts de Napoléon III et du président de la République Félix Faure, c’est avec faconde et finesse que l’auteur dévoile les faces cachées de notre passé.

    L’histoire de la France polissonne, éd. Le Papillon rouge, 288 pages. 20,50  euros.

    Egalement

    Après « Les Mystères de Haute-Garonne », ouvrage mosaïque qui recense bon nombre de faits ou de destins insolites et pittoresques de ce département, ouvrage aussitôt suivi en 2009 par les « Mystères du Tarn et Garonne », Patrick  Caujolle sort aujourd’hui « Les Mystères du Gers »

    Il  a exhumé des antres des archives départementales du Gers et de la mémoire des anciens une myriade d’anecdotes et de personnages qui ne demandaient qu’à remonter à la surface du temps.

    Paru aux éditions de Borée. 26 €.

     

  • Philippe Laguerre-Ward, l’imaginaire ariégeois

    Philippe Laguerre-Ward, l’imaginaire ariégeois

    Bien que né à Bordeaux, Philippe Laguerre alias Philippe Ward est profondément ariégeois. Ecrivain et éditeur par passion, son crédo, « Pour que mon village ne meure pas, il faudra que sa mémoire demeure. »

    Philippe Ward568x300

    Son village, depuis au moins 1650…, c’est Gourbit, mais oui Gourbit près de Tarascon, juste à coté du Parc de la Préhistoire. Il y possède d’ailleurs encore une petite maison. « Je pense que mes ancêtres ont décoré les grottes de Bédeilhac et de Niaux…» dit il avec humour mais non sans fierté, car l’Ariège il l’a dans le coeur. «J’ai l’Ariège collée à moi depuis que j’ai sept jours ».

    Ecrivain et éditeur par passion, il dévore les livres, il en possède plus de 10 000 et il les a quasiment tous lu. De Oui-Oui au Clan des 7 en passant par le Club des 5, le virus l’a pris dès son plus jeune âge et ne l’a plus lâché. Mais Philippe Ward est fan d’un genre particulier qu’il appelle « les mauvais genres » et qui se situent dans le domaine de l’imaginaire (Science-fiction, fantastique, polar, fantasy ….).

    Il décide d’écrire il y a une trentaine d’années, le jour où, déçu par un roman, il se dit qu’il pourrait faire mieux et se lance dans l’écriture de son premier ouvrage, « Artahe » l’histoire d’un Dieu Ours dans les Pyrénées. Cela lui prendra 10 ans, « Je me suis rendu compte que ce n’était pas si facile d’écrire, et puis l’Ours en Ariège c’est un sujet sensible ».

    Avec une quinzaine de nouvelles, un recueil Noir Duo (Rivière Blanche) et un roman (le chant de Montségur) sur le trésor des cathares écrit en collaboration avec  Sylvie Miller, Philippe Ward est l’un des rares écrivains de l’imaginaire français.

    Philippe Ward c’est aussi l’éditeur de Rivière Blanche qu’il a créée il y a huit ans. Une maison d’édition hors normes qui publie des anthologies, des romans inédits (français, espagnols, américains, russes, basques, australiens…), des ouvrages qui se situent uniquement dans le monde de l’Imaginaire.

    Mais les ouvrages dont il est sans doute le plus fière sont ceux de ses parents, Jacky et Paulette Laguerre sur le village de Gourbit et où il est question des petites histoires du village entre 1700 et 1940.

    Le site officiel de Philippe Ward

  • Georges Patrick Gleize,  » l’Ariège c’est une terre humaine… Elle est nous même et nous sommes d’Elle même »

    Georges Patrick Gleize,  » l’Ariège c’est une terre humaine… Elle est nous même et nous sommes d’Elle même »

    Georges Patrick Gleize, bien que né « par hasard » dans le seizième arrondissement de Paris, est profondément ariégeois.

    Georges Patrick Gleize, " l'Ariège c'est une terre humaine Ariège-Pyrénées

    Le temps de pousser son premier cri et le voilà chez ses grands-parents à Foix où il passera toute son enfance, avant d’entamer des études supérieures à Toulouse qui le conduiront au professorat d’Histoire.

    Sa carrière de professeur l’entraînera dans toute la France, jusqu’à Dunkerque pour finalement revenir au Pays avec son épouse en 1991. Il enseigne aujourd’hui l’ Histoire au Lycée du Castella à Pamiers. Bon nombre d’entre vous ont d’ailleurs été son élève.

    A l’occasion de l’interview qu’il nous avait consacré pour la sortie de son dernier roman « La Fille de la Fabrique » il a évoqué sa carrière d’écrivain ainsi que son profond attachement à sa terre « presque » natale.

    Dans cette seconde interview il nous confie : « l’Ariège c’est une terre humaine… Elle est nous même et nous sommes d’Elle même » Georges Patrick Gleize,  pour Azinat.com.

    Dans notre prochaine interview, Georges Gleize nous parlera de sa passion pour l’écriture.

  • « La Fille de la Fabrique », maintenant en librairie

    « La Fille de la Fabrique », maintenant en librairie

    « En ce petit matin de septembre 1964, au pied des Pyrénées, au confins du Comminges et du Volvestre, le ciel était d’un bleu transparent, presque diaphane. »

    "La Fille de la Fabrique", c'est dès aujourd'hui en librairie Ariège-Pyrénées

    C’est par cette phrase que débute « La Fille de la Fabrique », le onzième roman de Georges-Patrick Gleize.

    Dans ce onzième récit c’est une femme de quarante ans, sur les traces de son enfance et à la recherche de sa propre identité que l’on va découvrir et aimer au fil des pages toujours imprégnées de son amour du Sud et de ses traditions.

    Une histoire en partie réelle qui rentre dans le cadre de cette thématique que l’écrivain explique comme  «ce passé qui ne passe pas, ces souvenirs qui vous accrochent et vous poursuivent, et qui vous conditionnent pour faire de vous ce que vous êtes »  une thématique déjà abordée dans d’autres romans « Rue des Hortensias rouges » et « Une nuit en juin .

    Mais Georges-Patrick Gleize nous a habitué à un roman par an, alors qu’en est-il du prochain ? et bien il est déjà commencé et il nous en livre les prémices dans son interview.

    Séances de dédicaces

    • 15 Mars 2013: Librairie Les temps modernes Pamiers – 09
    • 16 Mars 2013 : Médiathèque  Martres – Tolosane – 31
    • 23 Mars 2013:  Espace Culturel  Leclerc Pamiers – 09
    • 29 Mars 2013: Librairie Bruel Lavelanet – 09
    • 30 Mars 2013: Librairie la Mousson St Girons – 09
    • 1 er Avril 2013: Librairie Les couverts Mirepoix – 09
    • 5, 6 et 7 Avril 2013: Salon du livre de Limoges – 87
    • 12, 13 et 14 Avril 2013: Salon du livre de Balma – 31
    • 20 Avril 2013: Espace culturel Intermarché Foix – 09
    • 1er Mai  2013 : Fête des Fleurs Beynat – 19
    • 4 et 5 Mai 2013: Salon du livre de Châteauroux – 36
    • 15 Mai 2013: Médiathèque de Saverdun – 09
    • 18 Mai 2013: Librairie les beaux livres – Ax-les-thermes – 09
    • 2 juin 2013: Salon du livre de Pamiers – 09
    • 9 Juin 2013: Salon du livre de Sainte Foy Peyrolières – 31
    • 15 Juin 2013: Librairie Hersoc Carmaux – 81
    • 7 Juillet 2013: Salon du livre de Mirepoix – 09
    • 20 et 21 Juillet 2013: Salon du livre de Font Romeu – 66
    • 11 Août 2013: Salon du livre de Tarascon – 09
    • 16 Août 2013 : Salon du livre de Felletin – 23
    • 20 Août 2013 : Librairie de Beynat – 19
    • 20, 21 et 22 septembre 2013: Salon du livre de Tonneins – 47 

     

  • Le 8 mars, la journée des femmes ariégeoises !

    Le 8 mars, la journée des femmes ariégeoises !

    La journée de la femme trouve ses origines dans  les manifestations de femmes au début du xxe siècle en Europe et aux États-Unis, réclamant l’égalité des droits, de meilleures conditions de travail et le droit de vote.

     Les insurgées de l’époque, des femmes ordinaires : ouvrières, mères de famille, femmes de soldats, françaises,  russes, voyant leurs droits mais également leurs valeurs ignorés. Les premières journées de la femme marqueront le début d’une longue lutte pour l’égalité et la paix.

    Le 8 mars 1977, les Nations Unies adopte une résolution enjoignant ses pays membres à célébrer une « Journée des Nations Unies pour les droits de la femme et la paix internationale ». En France, il faudra attendre le 8 mars 1982 pour que le gouvernement socialiste de François Mitterrand donne un statut officiel cette journée.

    Le 8 mars 2013 Azinat.com adopte la résolution de parler des femmes ariégeoises.

    Bien sûr on ne peut pas parler de toutes les femmes alors nous avons décidé de parler de celles classées dans notre who’s who 2012, il faut faire un choix. Mais on le sait il y en a beaucoup d’autres.

    Elles sont journalistes, historienne, femme politique, chef d’entreprise, artiste peintre photographe ou écrivain et elles sont au classement des 99 premiers « Ambassadeurs de l’Ariège sur le Net ». Petite ombre au tableau elles ne sont que 14 sur 99 on est loin de la parité, mais, notre historienne Anne Brenon est deuxième au classement général ce qui est quant même une performance.

    Alors qui sont ces femmes qui, par leur notoriété sur le web, font la promotion de l’Ariège.

    Anne Brenon, ariégeoise de coeur, historienne et auteur de nombreux ouvrages sur le catharisme est la première de notre calssement. Annie Fachetti est chargée de communication, elle a été longtemps à la première place. Et enfin, dans le trio de tête Frédérique Massat notre Députée.

    Mady de la Giraudière, notre grande artiste peintre dont vous pouvez voir les portraits actuellement sur notre site est à la quatrième place suivie de Martine Crespo dont on ne présente plus les excellentes croustades et de Floriane Caux jeune photographe de talent.

    Claudine Palhiès, directrice des Archives départementales de l’Ariège et chargée de cours à l’Université de Toulouse-Le-Mirail. Laurence Cabrol, journaliste à Ariège news qui sillonne l’Ariège d’est en ouest et du nord au sud pour nous apporter toujours plus d’information sur notre beau département.

    En 10ème place nous retrouvons Florence Guillot Directrice de la Maison des Patrimoines d’Auzat et Docteur en Histoire et Archéologue.

    Josiane Gouze-Fauré Présidente de l’Union Patronale Midi-Pyrénées. Claudine Barthez. Françoise Pancaldi, Maire Adjointe à la Mairie de Pamiers et Déléguée à la Communauté de Communes du Pays de Pamiers. Josette Elay qui a mis l’Ariège au centre de son roman « Secrets de granit ». Et enfin Cécile Dupont, rédactrice en chef de la Gazette Ariégeoise et membre de la Confrérie de l’Azinat et de la Rouzolle.

    Ce vendredi 8 mars 2013, nous rendons hommages à ces femmes et toutes les autres qui font de l’Ariège un département où la réussite n’est pas un vain mot.

     

     

  • Who’s who, le classement annuel 2012 Jean Clottes en tête

    Who’s who, le classement annuel 2012 Jean Clottes en tête

    Comme il est d’usage depuis 2009, nous vous présentons le classement général des 99 personnalités ariégoises qui font parler d’elle sur le net. Il s’agit là de faire la moyenne des quatre classements de l’année et cela réserve des surprises.

    Who's who, le classement général 2012 Jean Clottes en tête Ariège-Pyrénées

    Sur toute l’année 2012, arrive en tête monsieur Jean Clottes, dont nous avons fait l’interview il y a quelques jours. Sans doute est-ce dû à la sortie du film « La grotte des rêves perdus » de Werner Herzog dans lequel il tient un rôle prépondérant puisqu’il a été un des premier à pénétrer dans la grotte Chauvet.

    A la deuxième place nous retrouvons madame Anne Brenon, grande spécialiste du catharisme. Cette année 2012 est donc marquée par l’histoire et la culture et nous nous en félicitons.

    A la troisième place  et pour la première fois depuis la création du Who’s Who, monsieur Eric Fourcaud, chargé de projet, spécialiste de la gestion des informations et de la veille stratégique à l’agence de développement économique Ariège Expansion et bien entendu fondateur d’Azinat.com.

    Viennent ensuite Jean-Louis Orengo et sa fameuse « Georgette », André Trigano Maire de Pamiers, Olivier de Robert, Annie Fachetti qui a longtemps été N° 1 de notre classement, Jean-Pierre Bel, Fabien Barthez et Pierre Bertrand.

    Un florilège de personnalité aux 10 premières places (sportifs, historiens, chefs d’entreprise, acteurs du développement économique, élus) qui dépeint parfaitement cette Ariège de contraste et de diversité.

    Classement 2012 :

    classement annuel2012

  • Contes de derrière la porte

    Contes de derrière la porte

    Contes de derrière la porte Arège-9PyrénéesJ’ai tourné la clé et j’ai ouvert la porte. Je ne le regrette pas du tout, parce que derrière cette porte, j’ai trouvé du beau monde. Comment vous faire partager cette quête si ce n’est en écrivant un livre, un bouquet de vingt contes, nouvelles, légendes, histoires et anecdotes.

    Après « RIBAMBELLE : un certain regard sur les femmes d’Ariège », Pierre Ricard récidive avec son nouveau recueil « Contes de derrière la porte ».

    Cama Crusa E L’uèlh Dubert , Esclarmonde, La messa de las pàurs, L’ours et le laboureur … Ces contes mettent en scène, le merveilleux, le fantastique, l’extraordinaire. Le plus souvent, des personnages, des animaux, des « peurs » qui entretiennent un certain climat, un livre à mettre entre toutes les mains

    « Certains personnages, je les connais depuis mon plus jeune âge. Ma grand-mère, en particulier, avait le don de mêler ces êtres peu recommandables à des moments de la vie courante, du quotidien. »

    Toujours édité à compte d’auteur, ce livre est disponible au tarif de 13 euros. Pour les frais d’envoi, il faut ajouter 2 euros. Si vous êtes intéressés, merci de contacter Pierre Ricard 63 Grand-Rue 31310 Latrape.
    Tel : 06 48 13 37 28,   05 61 90 75 83   courriel : cric-crac@laposte.net

  • Germaine Soula 2, le retour

    Germaine Soula 2, le retour

    Ils ont encore remis ça !!! Philippe Cazeneuve et Jean Pierre Stahl ont le plaisir d’annoncer la naissance du tome 2 des « Aventures de Germaine Soula »

    Sous les crayons de Philippe Cazeneuve et les textes de Jean Pierre Stahl, les personnages du village « fictif ? » de Vernajoul, s’animent, bien vivants, et pourtant, dans ce village, il n’arrive jamais rien, le train train quotidien d’un patelin bien de chez nous, sans histoires, une forme de sereine quiétude, sauf que…Germaine et Firmin, cette fois encore, nous invitent à partager avec eux leurs pérégrinations  ( Attention!! Cette fois-ci l’honneur du Pays est en jeux!!) et là, deux mondes parallèles se côtoient, se jaugent, s’entre mêlent. Bref !! On va tout de même pas tout vous raconter !!

    Venez nous rejoindre et vous saurez!! Ce n’est que de l’esprit « Truffet », que du bonheur, imprégné des vraies valeurs de notre terroir. La vraie Vie, quoi!!! Ou tout du moins celle dont nous gardons, tous, la nostalgie….! Honoré d’ une préface signée Daniel Herrero, agrémenté d’une réalisation magistrale de l’imprimerie Escourbiac de Graulhet ( plusieurs fois médailles d’or), le « Germaine nouveau » est de la très belle ouvrage. Ce n’est plus un coup d’essai!! 100% Bio et tout à la main, comme chez nous, quoi!!

    Sortie et dédicaces prévues le Vendredi 4 Mai à Lavelanet Maison de la presse Bruel de 10 à 12 h. et à Foix chez Majuscule Surre, rue Delcassé, le Samedi 5 mai de 15 h à 18 h

    Philippe Cazeneuve et Jean Pierre Stahl

  • Une nuit en juin

    Une nuit en juin

    Georges-Patrick Gleize, présente son dixième et dernier roman paru chez Albin Michel. Cet écrivain originaire de familles ariégeoises, privilégie pour cadre les Pyrénées et aime porter le témoignage de la mémoire des hommes d’Ariège.

    « Dans les Pyrénées Orientales, en octobre 1971 Pierre Barrès s’apprête à faire descendre comme chaque automne son troupeau de l’estive vers sa ferme de La Renardière. Lorsqu’il apprend que son frère Roger aurait été aperçu dans le pays, le passé resurgit. Ils s’étaient tous les deux engagés dans la Résistance pendant la guerre, au grand dam de leur père. Roger a mystérieusement disparu dans des circonstances troubles, une nuit de juin 1943, alors qu’ils faisaient passer la frontière espagnole à un groupe d’évadés et de sinistres rumeurs de trahison ont alors couru. De retour au pays à la Libération, Pierre, désormais à la tête de l’exploitation, s’est efforcé d’oublier, mais sans jamais y parvenir vraiment, marqué par le poids des souvenirs. Va-t-il enfin découvrir ce qui s’est réellement passé cette nuit-là ?« 

    Des balcons de la Cerdagne aux vallées de l’Ariège, il revisite cette époque trouble de l’occupation où l’héroïsme des uns n’avait d’égal que l’attentisme et la noirceur des autres.

    Geoges-Patrick Gleize est agrégé d’histoire, vice-président des Appaméennes du Livre, participant à de très nombreux salons littéraire en France comme véritable ambassadeur culturel d’un département dont il entend promouvoir l’image bien au-delà de la région.

    « pour tous ceux qui sont fiers d’être ariégeois, ce dixième roman du grand sud, pour aller sur les traces laissées par les brûlures de l’histoire au soleil des balcons des Pyrénées » Georges-Patrick Gleize Pour Azinat.com

    A paraître en librairie le 2 avril

    Georges-Patrick Gleize