Pour fêter la journée internationale du droit des femmes, les Gonzesses se décarcassent depuis maintenant pas mal d’éditions pour vous proposer un marché coloré, diversifié, plein de soleil pour mettre en avant les savoir-faire féminins.
Cette année, les évènements des Gonzesses intègrent le programme du festival « Les récréatives », festival en Occitanie qui durant 10 jours met un coup de projecteur sur les femmes, les artistes, les créatrices, les entrepreneuses, l’audace et le leadership féminin.
Les Gonzesses font le marché, ce sera le dimanche 11 mars à Barjac. Il y aura des créatrices, des artisanes, des paysannes, des artistes pour colorer un marché 100% made by women. Au programme aussi, des drôleries diverses et variées, de la danse d’impro par la compagnie Sauf le dimanche, de la musique, des ateliers œnologie, gravure … bref de quoi passer une bonne journée dans le Volvestre Ariégeois ! Participation libre.
Et pour la journée du jeudi 8 mars (journée internationale des droits des femmes) les Gonzesses et le planning familial de l’Ariège vous propose dès 20h la clito’conférence et à 21h le spectacle vivant de Chloé MARTIN : La part égale à la salle des fêtes de Montjoie. Prix 7€.
Tout ce programme est MIXTE, welcome les hommes ! Plus de renseignements sur le Facebook Les Gonzesses09
Dans le cadre la Journée Internationale des Droit des Femmes, l’AFTHA vous propose le samedi 10 mars, salle du Jeu de Mail à Pamiers :
Samedi 10 mars 2018 à 18h
L’OGRESSE POILUE de Bertille Chaumont et Antonin Durécu
Conte musical avec masque et marionnettes, où il est question… De la faim, celle qui fait sortir des sentiers battus, celle qui peut nous amener sur e surprenant chemin de l’amour… De poils, ceux qui protègent du froid, qui réveillent notre côté sauvage, qui se dressent en cas de danger, ceux de l’ogresse…
De la liberté, de choisir son chemin, de se tromper, de dire des méchancetés, de jouer avec la mort, avec la vie…
Librement inspiré de l’album jeunesse de Fabienne Morel et Déborah Di Gilio aux éditions Syros.
Salle du Jeu de Mail – TOUT PUBLIC à partir de 7 ans. Entrée spectacle : 12 € – 8€
A 20h – POT POUR RIRE : Atelier Théâtre de Regards de Femmes.
Les meilleurs sketches revisités et aussi des nouveautés de l’atelier théâtre de Regards de Femmes.
Et toute la journée des rencontres, des ateliers, des chants, des lectures….
Salle du Jeu de Mail – TOUT PUBLIC – ENTRÉE GRATUITE – Petite restauration sur place
La Journée internationale pour les droits des femmes, comme tous les ans c’est le 8 mars, elle fait partie des 87 journées internationales reconnues ou initiées par l’ONU.
Mais avec l’affaire Harvey Weinstein en octobre 2017 le mouvement contre les violences sexuelles faites aux femmes et le #metoo #BalanceTonPorc, une digue s’est rompue et a libéré un flot de paroles trop longtemps contenues.
Ce 8 mars 2018 a donc un accent particulier, et mérite que l’on s’y arrête un instant.
La Journée internationale pour les droits des femmes a été officialisée en 1977 et trouve son origine dans les luttes des ouvrières et suffragettes du début du XXe siècle, pour de meilleures conditions de travail et le droit de vote.
Cette journée est issue de l’histoire des luttes féministes menées sur les continents européen et américain. Le , une Journée nationale de la femme (National Woman’s Day) est célébrée aux États-Unis à l’appel du Parti socialiste d’Amérique. Cette journée est ensuite célébrée le dernier dimanche de février jusqu’en 1913
En 1910 à Copenhague, l’Internationale socialiste adopte l’idée d’une « Journée internationale des femmes » sur une proposition de Clara Zetkin (Parti social-démocrate d’Allemagne) et Alexandra Kollontaï (menchevik du Parti ouvrier social-démocrate de Russie, future Commissaire du Peuple), sans qu’une date ne soit avancée. Cette journée est approuvée à l’unanimité d’une conférence réunissant 100 femmes socialistes en provenance de 17 pays.
La première Journée internationale des femmes est célébrée l’année suivante, le et revendique le droit de vote pour les femmes, le droit au travail et la fin des discriminations au travail. Des rassemblements et manifestations ont dès lors lieu tous les ans.
Les insurgées de l’époque sont des femmes ordinaires de toute origine et de toutes conditions : ouvrières, mères de famille, femmes de soldats, françaises, russes, voyant leurs droits mais également leurs valeurs ignorés.
Au cours de l’Année internationale de la femme en 1975, les Nations Unies ont commencé à célébrer la Journée internationale de la femme le 8 mars. En 1977, l’Assemblée générale des Nations Unies a adopté une résolution proclamant la Journée des Nations Unies pour le droit de la femme et la paix internationale, reconnaissant le rôle important de la femme dans les efforts de paix et dans le développement.
Mais la journée internationale pour les droits des femmes c’est aussi l’occasion de dresser le bilan des progrès réalisés, d’appeler à des changements et de célébrer les actes de courage et de détermination accomplis par les femmes ordinaires qui ont joué un rôle extraordinaire dans l’histoire de leur pays et de leur communauté.
Cette année également nous tenions à signaler l’opération « ruban blanc », une initiative lancée par la Fondation des Femmes qui met en place une campagne de collecte pour soutenir les victimes dans leur besoin d’assistance : #MaintenantOnAgit.
Chaque année un thème différents est abordé, en 2018, cette journée internationale des droits des femmes est placée sous le thème des « activistes rurales et urbaines » qui transforment la vie des femmes.
Depuis plusieurs années nous avons adopté la résolution de parler des femmes ariégeoises.
Bien sûr on ne peut pas parler de toutes les femmes alors nous avons décidé de parler de celles classées dans notre Who’s who, il faut faire un choix. Mais on le sait il y en a beaucoup d’autres.
Elles sont journaliste, historienne, femme politique, chef d’entreprise, artiste peintre, photographe ou écrivain et elles sont au classement des 99 premiers « Ambassadeurs de l’Ariège sur le Net ». Alors qui sont ces femmes qui, par leur notoriété sur le web, font la promotion de l’Ariège.
Commençons bien entendu par un hommage à une grande artiste peintre, Mady de la Giraudière, disparue il y a quelques jours mais qui restera à jamais gravée dans la mémoires des ariégeois. Une grande dame que nous avions eu le bonheur de rencontrer pour une série de portraits que vous pouvez voir sur notre site.
Perrine Laffont bien sûr notre jeune «bosseuse» qui a fait vibrer les ariégeois lors de 3 runs de légendes lors des JO en Corée du Sud.
Floriane Caux, photographe qui, par son talent sait transporter les regards dans un univers onirique.
Marie Cantagrill ,violoniste concertiste soliste, elle est la directrice artistique de l’Orchestre de Chambre d’Ariège.
Bénédicte Taurine, Lavelanetienne, enseignante et syndicaliste et nouvellement députée .
Anne Brenon, ariégeoise de coeur, historienne et auteur de nombreux ouvrages sur le catharisme. Elle aussi fut première de notre classement.
Claudine Palhiès, Directrice des Archives départementales de l’Ariège aujourd’hui à la retraite et chargée de cours à l’Université de Toulouse-Le-Mirail, qui nous avait gentiment reçu pour une visite passionnante des archives.
Annie Fachetti anciennement chargée de communication à Ariège Expansion, ce qui lui avait valu d’être , durant de nombreux mois à la première place de notre who’s who et qui est maintenant chargée de Mission chez MADEELI, l’agence régionale de développement export innovation.
Florence Guillot Directrice de la Maison des Patrimoines d’Auzat et Docteur en Histoire et Archéologue en charge des fouilles archéologique du château de Montréal de Sos.
Françoise Pancaldi, Maire Adjointe à la Mairie de Pamiers et Déléguée à la Communauté de Communes du Pays de Pamiers.
Cécile Dupont, rédactrice en chef de la Gazette Ariégeoise
Josette Elay qui a mis l’Ariège au centre de son roman « Secrets de granit ».
Ce jeudi 8 mars 2018, nous rendons donc hommages à ces femmes et toutes les autres qui font de l’Ariège un département où la réussite n’est pas un vain mot.
La Journée internationale pour les droits des femmes fait partie des 87 journées internationales reconnues ou initiées par l’ONU.
Elle a été officialisée en 1977 et trouve son origine dans les luttes des ouvrières et suffragettes du début du XXe siècle, pour de meilleures conditions de travail et le droit de vote.
Cette journée est issue de l’histoire des luttes féministes menées sur les continents européen et américain. Le , une Journée nationale de la femme (National Woman’s Day) est célébrée aux États-Unisà l’appel du Parti socialiste d’Amérique. Cette journée est ensuite célébrée le dernier dimanche de février jusqu’en 1913
En 1910 à Copenhague, l’Internationale socialiste adopte l’idée d’une « Journée internationale des femmes » sur une proposition de Clara Zetkin (Parti social-démocrate d’Allemagne) et Alexandra Kollontaï (menchevik du Parti ouvrier social-démocrate de Russie, future Commissaire du Peuple), sans qu’une date ne soit avancée. Cette journée est approuvée à l’unanimité d’une conférence réunissant 100 femmes socialistes en provenance de 17 pays.
La première Journée internationale des femmes est célébrée l’année suivante, le et revendique le droit de vote pour les femmes, le droit au travail et la fin des discriminations au travail. Des rassemblements et manifestations ont dès lors lieu tous les ans.
Les insurgées de l’époque sont des femmes ordinaires de toute origine et de toutes condition : ouvrières, mères de famille, femmes de soldats, françaises, russes, voyant leurs droits mais également leurs valeurs ignorés.
Au cours de l’Année internationale de la femme en 1975, les Nations Unies ont commencé à célébrer la Journée internationale de la femme le 8 mars. En 1977, l’Assemblée générale des Nations Unies a adopté une résolution proclamant la Journée des Nations Unies pour le droit de la femme et la paix internationale, reconnaissant le rôle important de la femme dans les efforts de paix et dans le développement.
Mais la journée internationale pour les droits des femmes c’est aussi l’occasion de dresser le bilan des progrès réalisés, d’appeler à des changements et de célébrer les actes de courage et de détermination accomplis par les femmes ordinaires qui ont joué un rôle extraordinaire dans l’histoire de leur pays et de leur communauté.
Chaque année un thème différents est abordé, 2017 sera : « Les femmes dans un monde du travail en évolution : une planète 50 – 50 d’ici à 2030»
En Ariège
En Ariège, des marches exploratoires ont été organisées par les associations Regards de Femmes et Faire Face, avec des habitantes du quartier Foulon-Gloriette, qui ont permis d’établir un diagnostic, des constats et des préconisations de nature à améliorer la sécurité, la mobilité et la présence des femmes dans l’espace public de ces quartiers.
A l’occasion de la journée internationale des femmes, la préfète de l’Ariège accueille ce 7 mars 2017, ces femmes d’Ariège qui marchent vers l’égalité, ainsi que l’ensemble des partenaires associés au projet, pour un retour d’expérience des actions menées dans notre département autour de ce dispositif.
8 mars 2017 Azinat.com adopte la résolution de parler des femmes ariégeoises.
Bien sûr on ne peut pas parler de toutes les femmes alors nous avons décidé de parler de celles classées dans notre Who’s who, il faut faire un choix. Mais on le sait il y en a beaucoup d’autres.
Elles sont journaliste, historienne, femme politique, chef d’entreprise, artiste peintre photographe ou écrivain et elles sont au classement des 99 premiers « Ambassadeurs de l’Ariège sur le Net ». Alors qui sont ces femmes qui, par leur notoriété sur le web, font la promotion de l’Ariège.
Floriane Caux, photographe, qui caracole en tête du Who’s who depuis des mois.
Frédérique Massat, Députée et Présidente de la commission des affaires économiques de l’Assemblée Nationale.
Perrine Laffont notre jeune «bosseuse» qui après un début de saison fort réussie, sera justement ce 8 mars aux Championnats du Monde en Sierra Nevada pour l’épreuve de parallèle.
Annie Fachetti anciennement chargée de communication à Ariège Expansion, ce qui lui avait valu d’être , durant de nombreux mois à la première place de notre who’s who et qui est maintenant chargée de Mission chez MADEELI, l’agence régionale de développement export innovation.
Anne Brenon, ariégeoise de coeur, historienne et auteur de nombreux ouvrages sur le catharisme. Elle aussi fut première de notre classement.
Claudine Palhiès, Directrice des Archives départementales de l’Ariège et chargée de cours à l’Université de Toulouse-Le-Mirail, qui nous avait gentiment reçu pour une visite passionnante des archives.
Florence Guillot Directrice de la Maison des Patrimoines d’Auzat et Docteur en Histoire et Archéologue en charge des fouilles archéologique du château de Montréal de Sos.
Françoise Pancaldi, Maire Adjointe à la Mairie de Pamiers et Déléguée à la Communauté de Communes du Pays de Pamiers.
Cécile Dupont, rédactrice en chef de la Gazette Ariégeoise
Josette Elay qui a mis l’Ariège au centre de son roman « Secrets de granit ».
Mathilde Mignier, Couserannaise et championne de Savate Boxe française qui a décroché son deuxième titre de championne du monde de savate boxe française, en septembre 2016, en Croatie.
Ce mercredi 8 mars 2017, nous rendons donc hommages à ces femmes et toutes les autres qui font de l’Ariège un département où la réussite n’est pas un vain mot.
This website uses cookies to improve your experience. We'll assume you're ok with this, but you can opt-out if you wish. Cookie settingsACCEPT
Privacy & Cookies Policy
Aperçu de confidentialité
Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience lorsque vous naviguez sur le site Web. Parmi ces cookies, les cookies classés comme nécessaires sont stockés sur votre navigateur car ils sont essentiels pour le fonctionnement des fonctionnalités de base du site Web. Nous utilisons également des cookies tiers qui nous aident à analyser et à comprendre comment vous utilisez ce site Web. Ces cookies ne seront stockés dans votre navigateur qu'avec votre consentement. Vous avez également la possibilité de désactiver ces cookies. Mais la désactivation de certains de ces cookies peut avoir un effet sur votre expérience de navigation.
Les cookies nécessaires sont absolument essentiels au bon fonctionnement du site Web. Cette catégorie comprend uniquement les cookies qui garantissent les fonctionnalités de base et les fonctions de sécurité du site Web. Ces cookies ne stockent aucune information personnelle.
Tous les cookies qui peuvent ne pas être particulièrement nécessaires au fonctionnement du site Web et qui sont utilisés spécifiquement pour collecter des données personnelles des utilisateurs via des analyses, des publicités et d\'autres contenus intégrés sont appelés cookies non nécessaires. Il est obligatoire d\'obtenir le consentement de l\'utilisateur avant d\'exécuter ces cookies sur votre site Web.