Étiquette : opéra

  • Lavelanet, Opéra « Les contes d’Hoffmann » – 15 novembre

    Lavelanet, Opéra « Les contes d’Hoffmann » – 15 novembre

    Opéra fantastique en un prologue, trois actes et un épilogue (1881)  EN DIRECT DE L’OPÉRA BASTILLE

    Lorsqu’il s’attelle à la composition des Contes d’Hoffmann, Offenbach a déjà plus de cent opéras à son actif.

    Laissée inachevée en raison de la mort du compositeur survenue au cours des répétitions en octobre 1880, cette œuvre ultime est une synthèse inouïe, à la fois drôle, grave et fantastique de l’opéra-bouffe, de l’opéra romantique et du grand opéra.

    Adaptation de trois contes d’E.T.A. Hoffmann, abreuvée du Faust de Goethe, elle met en scène le poète allemand – à la fois narrateur et héros – qui raconte trois amours : Olympia, Antonia et Giulietta.

    Mardi 15 Novembre – 19h15

    Le Casino – Lavelanet
    www.lavelanet-culture.com

  • Lavelanet, Rigoletto – 26 avril

    Lavelanet, Rigoletto – 26 avril

    Verdi travaillait à une adaptation du Roi Lear. Et sans doute est-ce imprégné de la pièce de Shakespeare, son maître vénéré, qu’il lut le drame de Victor Hugo, sentant « comme un éclair, une inspiration » en trouvant sous la plume du Français, à laquelle il devait d’ailleurs le plus grand triomphe de ses « années de galère » avec Ernani, un équivalent au triangle formé par le Roi, sa fille et le fou.

    Melodramma en trois actes (1851)
    Livret de Maria Piave
    D’après Victor Hugo, Le Roi s’amuse

    Mardi 26 Avril 19h15 durée : Durée 2h35
    Salle Avelana – Lavelanet
    www.lavelanet-culture.com

  • Lavelanet, Opéra « Iolanta / Casse-Noisette » – 17 mars

    Lavelanet, Opéra « Iolanta / Casse-Noisette » – 17 mars

    Opéra "Iolanta / Casse-Noisette" Ariège Pyrénées

    Une production exceptionnelle de deux oeuvres de Piotr Ilyitch Tchaikovski, comme lors de la création originale de 1892, Iolanta et Casse-Noisette, réunira toutes les forces artistiques de l’Opéra national de Paris (Orchestre, Choeurs et Ballet).

    Autour du metteur en scène Dmitri Tcherniakov et du chef Alain Altinoglu, 5 chorégraphes travailleront chacun sur un passage précis du ballet : Sidi Larbi Cherkaoui, Edouard Lock, Benjamin Millepied, Arthur Pita et Liam Scarlett. Sonya Yoncheva interprètera le rôle de Iolanta, les Étoiles, les Premiers Danseurs et le Corps de Ballet interprèteront Casse-Noisette.

    Une étrange mélopée du cor anglais, ponctuée d’accents des bassons et de la clarinette, déroule son chromatisme descendant sur vingt mesures, telle une plongée dans un monde inconnu. Celui où Iolanta vit recluse depuis sa naissance. Aveugle sans le savoir, parce que nul n’a le droit de lui révéler sa cécité.

    C’est l’histoire simple d’un déni collectif à la cour de Provence, narrée par l’auteur danois Henrik Hertz dans sa pièce La Fille du roi Rene, que Tchaikovski découvre dès 1883. Mais il ne décide d’en tirer un opéra que cinq ans plus tard, bouleversé par la présence de la jeune actrice Elena Konstantinova Leshkovskaïa dans le rôle-titre. Faut-il le croire, lorsqu’il affirme que « les ducs, chevaliers et nobles dames du Moyen Âge captivaient son imagination, mais pas son coeur » ? Car le destin de l’héroïne, comme un rite de passage de l’obscurité à la lumière, du mensonge à la vérité, ne ravive-t-il pas ses propres blessures, qui finiront par l’emporter moins d’un an après la création conjointe de Iolanta et Casse-Noisette, le 18 décembre 1892 au Théâtre Mariinski de Saint-Pétersbourg ?

    Comme un miroir à deux faces où se reflètent les rêves d’un compositeur réfugié dans l’univers des contes, l’Opéra de Paris revient au diptyque originel. Alain Altinoglu dirige, et Dmitri Tcherniakov invente le cadre scénique d’une production symbolique du lien entre art lyrique et chorégraphique.

    Iolanta
    Opéra en un acte (1892)
    Musique de Piotr Ilyitch Tchaïkovski
    Livret de Modeste Tchaikovski
    D’après Henrik Hertz, La Fille du roi René 

    Casse-Noisette
    Ballet en deux actes (1892)
    Musique de Piotr Ilitch Tchaïkovski
    Livret de Marius Petipa

    Jeudi 17 Mars 2016 18:45 durée : 3h30
    Tarif opéra Salle Avelana

    www.lavelanet-culture.com

  • Lavelanet, Opéra « Il Trovatore » 11 février

    Lavelanet, Opéra « Il Trovatore » 11 février

    Opéra "Il Trovatore" Ariège Pyrénées

    Dans la foulée de Rigoletto, Verdi n’aspirait qu’à faire du nouveau. Mais il avait beau trépigner d’impatience, voire même de colère, le projet d’adapter El Trovador, pièce du dramaturge espagnol Antonio García Gutiérrez, ne suscitait de la part de Salvatore Cammarano, son librettiste, qu’un enthousiasme modéré.

    Conséquence d’une intrigue rocambolesque entre toutes, ou de la maladie qui allait finir par l’emporter, laissant le livret inachevé ? Face aux injonctions du bouillonnant musicien, le poète, auquel Donizetti n’est pas sans devoir une part du succès de Lucia di Lammermoor, ne céda pas. Et c’est bien là le paradoxe de Trovatore, qui passe aux yeux de ses détracteurs pour le comble du mélodrame, mais dont les contraintes formelles imposées par la plume de Cammarano attisèrent la flamme du compositeur.

    Plus que des personnages – seule Azucena la Gitane, qui détient le secret qui les anéantira tous, fait peut-être exception, les airs dessinent des figures consumées par des passions confinant à l’abstraction. Du second rôle que Verdi lui destinait initialement, Leonora accède ainsi au statut d’héroïne sacrificielle, dont la cavatine du quatrième acte, ≪ D’amor sull’ali rosee ≫, est moins un adieu qu’une assomption.

    Anna Netrebko porte cette cantilène extatique à incandescence, entourée d’Ekaterina Semenchuk, Marcelo Alvarez et Ludovic Tézier, dans une nouvelle mise en scène d’Alex Ollé.

    Jeudi 11 février – 19h15 – Le Casino Lavelanet
    www.lavelanet-culture.com

  • La Damnation de Faust – 17 décembre Lavelanet

    La Damnation de Faust – 17 décembre Lavelanet

    La Damnation de Faust Ariège Pyrénées

    « Le merveilleux livre me fascina de prime abord ; je ne le quittais plus ; je le lisais sans cesse, à table, au théâtre, dans les rues, partout. » C’est ainsi que Goethe, dont le compositeur découvrit le Premier Faust en 1828, rejoignit Virgile et Shakespeare pour former la Trinité berliozienne.

    Sans reprendre haleine, il mit en musique les fragments versifiés de la traduction en prose de Gérard de Nerval, qu’il publia sous le titre de Huit scènes de Faust. Et lorsqu’il décida, dix-huit ans plus tard, de reprendre et de développer ce matériau dans La Damnation de Faust au cours d’un voyage « en Autriche, en Hongrie, en Bohême et en Silésie », une même fièvre s’empara de lui.

    « Une fois lancé, je fis les vers qui me manquaient au fur et à mesure que me venaient les idées musicales. Je composais la partition quand je pouvais et où je pouvais ; en voiture, en chemin de fer, sur les bateaux à vapeur ». Comme porté par « le désir d’un coeur trop vaste et d’une âme altérée d’un bonheur qui la fuit », Berlioz se confond avec sa création : car cette voix invoquant la « nature immense, impénétrable et fière » est absolument la sienne, dont l’ampleur inouïe excède les formes traditionnelles, entre rêve d’opéra et de symphonie. Révéler la théâtralité de cette « légende dramatique » est un défi constant, que le metteur en scène Alvis Hermanis a accepté de relever.

    Dirigé par Philippe Jordan, ce premier volet d’un cycle Berlioz qui se poursuivra sur plusieurs saisons, marque le retour de Jonas Kaufmann et Bryn Terfel à l’Opéra national de Paris.

    EN DIRECT DE L’OPÉRA BASTILLE

    Jeudi 17 Décembre 2015 19:15
    Cinéma Le Casino – Lavelanet
    www.lavelanet-culture.com

  • Faust,  opéra de Gounod – 12 mars Lavelanet

    Faust, opéra de Gounod – 12 mars Lavelanet

    Faust,  opéra de Gounod Ariège Pyrénées

    Gounod se souvenait avoir eu le livre de Goethe sous le bras toute sa jeunesse, jusque dans les jardins de la Villa Médicis où il était pensionnaire.

    Vingt ans plus tard, Carvalho acceptait enfin de le lui commander et il eut raison : Faust fit les beaux jours du Théâtre-Lyrique puis de l’Opéra. De là, il conquit le monde entier et le Metropolitan de New York le choisit pour sa soirée inaugurale du 22 octobre 1883.

    Opéra en 5 actes
    Jeudi 12 Mars 2015 à 
    19:15
    Cinéma le Casino Lavelanet
    durée : 2h55

    www.lavelanet-culture.com

  • Don Giovanni / Festival de Salzbourg Opéra de Mozart – 5 fév Lavelanet

    Don Giovanni / Festival de Salzbourg Opéra de Mozart – 5 fév Lavelanet

    Don Giovanni / Festival de Salzbourg Opéra de Mozart  Ariège Pyrénées

    Derrière ses hardiesses et sa quête effrénée des femmes, ce sont Dieu, les hommes et l’ordre du monde que Don Giovanni raille et défie. C’est en cela que sa chute sera inéluctable et son châtiment foudroyant.

    L’opéra de Mozart – un dramma giocoso, c’est-à-dire un drame joyeux – dit tout cela avec une force irrépressible. Le livret habilement troussé de Lorenzo da Ponte reprend le mythe de Tirso de Molina, dont Molière a aussi fait son Don Juan ; mais la musique de Mozart, dès l’ouverture, pare l’ensemble d’une dimension métaphysique qui dépasse de très loin l’anecdote.

    Don Giovanni est la quintessence du génie mozartien, une sorte d’absolu du genre, où le haut et le bas de la nature humaine se côtoient, où flirtent le tragique et le grotesque, le sublime et le dérisoire, les élans spirituels et les plaisirs de la chair. Le tout coulé dans la plus divine musique jamais écrite. Celle qui fera dire à Richard Wagner que Don Giovanni est « l’opéra des opéras »

    Jeudi 5 février 19h15 Cinéma le Casino – Lavelanet
    www.lavelanet-culture.com

  • Les lessiveuses, musique et opéra – 29 et 30 janv Foix

    Les lessiveuses, musique et opéra – 29 et 30 janv Foix

    Les lessiveuses, musique et opéra  Ariège Pyrénées

    Elles trient, lavent, étendent, repassent, parfument, plient, rangent et quand c’est fini, elles recommencent. Toutes font la lessive pour leur fils en prison depuis des années. Trois femmes, trois mères… En miroir, trois hommes, trois instrumentistes…

    Ce premier opéra de Thierry Machuel a pour point de départ le film de la réalisatrice Yamina Zoutat sur les mères de détenus, ces « lessiveuses » dont la folie maternelle se confronte à l’aliénation de la prison.
    Tout destinait Thierry Machuel, compositeur français – dont “Les Lessiveuses” est le 66e opus -, à rencontrer le travail de la journaliste et documentariste suisse Yamina Zoutat sur les mères de détenus. Il travaille en effet depuis trois ans sur les témoignages de détenus de la centrale de Clairvaux, ayant à cœur d’ancrer son œuvre dans notre temps.

    jeudi 29 et vendredi 30 janvier – 20h45 – L’Estive – Foix

    Crédit photos : Anonyme Compagnie

    www.lestive.com

  • L’enlèvement au Sérail, Opéra de Mozart – 27 nov Lavelanet

    L’enlèvement au Sérail, Opéra de Mozart – 27 nov Lavelanet

    L’enlèvement au Sérail, Opéra de Mozart Ariège Pyrénées

    L’enlèvement au sérail fut le premier grand opéra en langue allemande construit tel un Singspiel, cette forme théâtrale typiquement germanique alternant parties chantées et parlées.

    En ces temps où l’influence de l’Empire ottoman sur son voisin autrichien participait à l’humeur alla turca de la vie viennoise, Mozart piocha dans l’orchestration des fanfares de janissaires pour ornementer sa partition, dont les intentions humanistes – vertu de la tolérance, de la fidélité amoureuse, célébration de la bonté humaine – préfiguraient celles développées dans La Flûte enchantée.

    En savoir + : www.lavelanet-culture.com

    Jeudi 27 novembre 19h15 – Cinéma le Casino Lavelanet

  • Carmen, opéra sauvage et sans orchestre

    Carmen, opéra sauvage et sans orchestre

    Carmen, opéra sauvage et sans orchestre Ariège Pyrénées

    « Ils dansent sur une musique qu’ils n’entendent pas. Et pourtant, leur chant signé fait écho à celui de la chanteuse lyrique qui les accompagne.

    Sur scène, six acteurs sourds et une cantatrice interprètent Carmen comme vous ne l’avez jamais entendu : des pas qui claquent, des corps qui parlent dans une danse rebelle et sensuelle, des cris et des silences. Langage musical, langage du corps et langue des signes se mêlent en une œuvre visuelle et rythmique. Les mains, les visages, les regards sont tour à tour soulignés par le silence, le mouvement ou le chant, et notre perception vacille. C’est avec tous ses sens que le spectateur ressent l’intensité de la passion. Une expérience jubilatoire. » C. Carissoni – La vie

    Opéra en langue des signes à partir de 10 ans par la Compagnie Danses des signes (31). D’après l’opéra de Bizet Mise en scène et chorégraphie : Lucie Lataste Comédiens danseurs : Ariane Cousin, Martin Cros, Vivien Fontvieille, Julia Pelhate, Émilie Rigaud et Brigitte Vivet Mezzo soprano : Lise Arbiol

    Samedi 26 avril 2014 à 19h précises à DAUMAZAN – salle des fêtes
    ouverture des portes : 18h00
    10 €, 8 € (réduit), 6 € (abonné Arlésie et Estive)
    16 € (cocktail, vin et café compris). Réservation conseillée avant le mercredi 23 avril.

    05 61 60 48 84 – arlesie@wanadoo.fr – www.arlesie.asso.fr

    www.facebook.com/arlesie