Le restaurant « les sapins » a été créé en 1976, mais c’est à partir de 1996 que Marie-José Bru décide de faire une nouvelle cuisine. Une cuisine de terroir, préparée avec des produits locaux, mais une cuisine re-visitée et inventive.
Les Saint-Jacques – Inspiration du Moment, Gravelax de Truite Bio de Montferrier en Salade, Les Petits Gris de Dun à la Catalane, Tripes de Veau Façon Grand-Mère… ne sont que quelques exemples qui excitent déjà les papilles.
Il y a quelques mois, Marie-José Bru et Gilles Sabatier, nous recevaient dans leur restaurant ‘Les sapins » à Nalzen. En fait mieux que dans le restaurant puisque nous eu accès à ce lieu un peu secret, les coulisses en quelques sortes, la cuisine.
Là, Marie-José à concocté devant notre caméra un Rôti de pintade à la rouzolle et foie gras, nous pouvons vous assurer que ça met l’eau à la bouche.
De la rouzolle avec environ 500g de chair à saucisse (boucherie Marrot à Lavelanet), 4 oeufs du pain trempé dans du lait, du persil de l’ail. Voir la recette ICI
Marche à suivre :
Désosser la pintade, préparer la rouzolle, faire des rouleaux de foie gras assaisonné de sel poivre et armagnac.
Placer sur la pintade désossée, la rouzolle préalablement cuite au four, le rouleau de foie-gras, rouler la pintade de manière à en faire un rôti, cuire au four.
Servir tranché sur assiette avec des petits légumes ou autre garniture selon votre goût et votre imagination.
En partenariat avec l’ANACR (Association Nationale des Anciens Combattants et Amis de la Résistance), la journée du samedi est réservée au Devoir de Mémoire, et plus particulièrement aux Brigades Internationales.
Ce week-end est proposé pour honorer la mémoire des hommes et femmes qui ont su faire preuve de courage en ignorant peurs et larmes, jusqu’à offrir leur vie pour qu’un pays retrouve honneur et paix. Ces journées, par extension, sont dédiées à la Liberté et à la Fraternité entre tous les peuples du monde.
Pour cette commémoration, sont programmées :
10h00 : exposition prêtée par l’ONAC : « Les Forces de la Liberté » . Elle pourra être vue jusqu’au Dimanche 21 midi.
14h00 : projection de l’interview de Henri Gorgue, ancien brigadiste. Réalisé par Danick Florentin (vice-présidente de l’ANACR 09) et Gilbert Lazaroo (membre).
14h30 : Conférence sur les Brigades Internationales assurée par Mr Alex VALERO, Professeur d’Université.
16h30 : film documentaire : « La Traque de l’Affiche Rouge » réalisé par Jorge Amat et Denis Peschanski : la lutte, la traque et la chute du groupe de l’Affiche rouge. (Précision : dans le groupe Manouchian , se trouvait un ancien brigadiste, évadé du camp du Vernet : Léo Knéler.) Durée : 72 Mn
18h00 : La soirée se terminera par le pot de l’amitié et de la fraternité
Le dimanche sera dédié au sport avec deux courses et une marche au départ de Dun et direction les collines de la vallée du Douctouyre sur les traces des Résistants Français et Guérilleros Espagnols.
7h30, accueil des participants (retrait du « pack » dossard)
9h30, départ de la Marche du Maquis (13.5km/450m de dénivelé positif cumulé).
10h00, départ du Trail du Maquis (26km/1100m d+).
10h30, le dernier « top chrono » sera donné pour le Petit Maquis (10km/500m d+).
Attention : le nombre de places dans chaque épreuve est limité… clôture des inscriptions le 20 février
Pour plus de renseignements sur l’organisation de ce week-end, nous vous invitons à feuilleter le site traildumaquis.sitew.fr.
D’une superficie de 570 ha, à cheval entre l’Aude et l’Ariège, le lac de Monbel est alimenté par les eaux de l’Hers-Vif amenées par une dérivation située juste à l’aval du Peyrat à la limite départementale.
Une étude pour la construction d’un barrage est lancée en 1977. Les travaux commencent en 1982 et aboutissent en 1984, date de la mise en eau du lac.
Les eaux emmagasinées en hiver et au printemps par la fonte des neiges, servent à l’irrigation du Lauragais et de la plaine ariégeoise ainsi qu’au soutien des débits estivaux et automnaux de l’Hers-Vif et au-delà de l’Ariège et de la Garonne, soit l’irrigation de 28 000 hectares environ.
Mais laissons là les considérations techniques pour nous pencher sur le principal, la beauté magique de l’endroit.
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Le lac de Monbel est un lieu privilégié pour l’observation des oiseaux migrateurs, pour les amateurs de pêche, les vététistes et simples marcheurs. Il est aussi renommé pour la variété de ses espèces de poissons en particulier carpes et carnassiers. Les amateurs de nature peuvent y étudier la flore mais aussi les oiseaux migrateurs décrits sur des panneaux didactiques disposés tout autour du lac.
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Le lac est également un important centre d’activités de loisirs : plages aménagées sur les rives de Léran et de Montbel, baignades surveillées, base de loisirs nautique et de plein air, école multivoile sur les rives de Léran, camping…
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La magie du lac, c’est la diversité de ces paysages, selon l’endroit, la saison, le moment de la journée il a, comme le disait Charles Trénet à propos de la mer, des reflets changeants.
Si vous vous balader en ce moment vous verrez tantôt un paysage de lac canadien avec de grands sapins, tantôt vous vous croirez au bord de la mer en observant les petits voiliers voguer au fil de l’eau, tantôt, le niveau du lac étant très bas vous traversez un désert de pierres.
16 km à parcourir a pied, en marche nordique, en VTT ou à cheval ; un petit arrêt à la Guinguette, à la Régate, à l’Ecume des jours ou un pique-nique les pieds dans l’eau… il y a là de quoi passer un fabuleux moment et s’en mettre plein les yeux.
Des huitres de la ferme ostréicole de Cancale et du vin blanc du Domaine Gayla, voilà un excellent moyen de finir la semaine avant les fêtes !
Du vendredi soir au lundi, vous pourrez vous régaler d’huitres savoureuses et iodées, accompagnées d’un petit verre de vin blanc du Domaine de Gayda, nos voisins de l’Aude, dont les cépages spécialisés sont le Sauvignon et le Viognier.
Dans la charmante bastide médiévale qu’est Mirepoix, n’hésitez pas à pousser la porte des Raisin de Pyrène, et si vous n’aimez pas les huitres vous pourrez aussi gouter aux planchas de charcuteries et fromages ariégeois.
Pour réserver et s’y rendre :
Hôtel Maison des Consuls
Place Maréchal Leclerc 09500 Mirepoix – 05.61.68.81.81
Au lieu-dit «Rabot», à l’entrée des gorges de Péreille, sur la commune de Roquefixade, Marc Vallvé élève depuis plusieurs années des brebis laitières de race Basco-Béarnaise. Rencontre avec un éleveur passionné.
Tomme des Pyrénées, brousse, yaourts, le tout au lait cru, la totalité du lait est réservée à la transformation fromagère.
« Dans le secteur il n’y a pas de collecte de lait, donc lorsque je me suis installé je suis allé naturellement vers une transformation totale de la production »
Un avantage selon Marc car cela permet de mieux valoriser et de mieux maitriser le produit.
La brebis basco-béarnaise
Le choix de la race basco-béarnaise coulait de source, c’est d’abord une des trois races laitières des Pyrénées, donc bien adapté au territoire. Si elle est moins productive que la lacaune, cela est compensé par le fait qu’elle se nourrit quasiment toute l’année d’herbe. C’est également un choix personnel, une affinité avec cette race si particulière au nez busqué et aux poils longs.
En 2015 Marc compte atteindre une production de 3 tonnes de fromages. En comparaison, explique t’il un industriel produit 500 tonnes par an. Mais Marc ne veut pas dépasser 5 tonnes. Au delà dit-il on ne maitrise plus la production et l’on risque de faire un produit dénaturé.
Si sa principale production est la tomme des Pyrénées, il élabore aussi, en petite quantité, quelques yaourts et de la brousse qu’il réserve à ses fidèles clients de Lavelanet
Circuit courts
Sa production est essentiellement écoulée sur le marché de Lavelanet ainsi que dans les épiceries fines, les fromageries, les restaurants, dans un rayon de 80km autour de la ferme.
« Ma volonté c’est de travailler avec le territoire et de faire découvrir ce que l’on peut produire dans notre Pays des Pyrénées Cathares »
Samedi 28 novembre, suite à la « journée Promo » qui c’est déroulée au centre multisports de Lavelanet, l’équipe de la SAVA.SEM à expliqué à un public venu nombreux sa politique économique, commerciale et touristique pour la station du Pays d’Olmes.
A notre micro Fabrice Esquirol, Directeur et Cyril Bardin, responsable marketing nous explique.
L’idée de se rapprocher de la station des Monts d’Olmes pour la SAVA.SEM, c’était de compléter une offre et d’élargir son périmètre de compétence, afin de pouvoir faire face aux trois autres grands groupes des Pyrénées, Altiservice, N’PY et PGI Management qui ont une forte visibilité car ils gèrent un grand nombre de stations.
« Nous à Ax, tout seul avec notre petite soeur Ascou-Pailhères, si on est très fier de notre indépendance , on sait que le consommateur a tendance à être à l’écoute de ces grands groupes » explique Fabrice Esquirol
Les trois stations étant proches les unes des autres, cela correspond à une unité de consommation. Les skieurs pourront indifféremment skier dans l’une ou l’autre des stations en fonction du temps ou de l’enneigement.
Il y aura trois marques, trois produits différents, mais avec des services et des supports communs, RH, service financier, service technique, service qualité et environnement (la SAVA.SEM est en cours de certification environnementale).
Au niveau du personnel, une évolution par rapport aux années passées, puisque de 35 salariés en pleine saison, l’effectif se situerait entre 40 et 45 soit 16 temps plein au lieu de 12. Le tout premier emploi créé étant celui du Directeur, Monsieur Jean-Claude Montané*.
« Les Monts d’Olmes c’est une marque très connue et très forte », nous explique le directeur, « peut être un peu tombée en désuétude ces dernières années, mais nous avons la certitude que l’on va être fier de cette station et qu’elle redeviendra en quelques années ce qu’elle était il y a une ou deux décennies ».
En ce qui concerne le marketing cyril Bardin nous explique que que les grands objectifs de la SAVA.SEM en matière de communication, sont de reconquérir la clientèle locale et élargir leur territoire d’influence afin de pouvoir vendre sur toute la France, mais également l’Espagne et la Grande Bretagne.
Dans un tout premier temps, la DSP étant toute récente, les Monts d’Olmes ont prévu un plan de communication surtout centré autour de la station. Il y a une situation d’urgence à communiquer efficacement et simplement et sur les bassins proche, Ax-les-Thermes, Foix, Pamiers Toulouse, Carcassonne.
Un projet est cependant en préparation pour l’année prochaine d’une communication sur le réseau des 3 stations, tout en gardant une budget par station. Sont également à l’étude, des partenariats avec les stations de Beille et du Chioula.
«La station des Monts d’Olmes est ouverte sur l’ancienne Région Languedoc Roussillon, Carcassonne, Narbonne, Perpignan mais également Montpellier, il faut passer devant avant d’aller sur d’autres stations des Pyrénées Orientales, ce n’est pas logique de passer tout droit sans tourner la tête. On doit pouvoir faire tourner la tête à tous ces gens là. Les Monts d’Olmes c’est l’atout pour attirer l’attention et faire bifurquer ce public»
[notice]La station des Monts d’Olmes devrait ouvrir le 12 décembre, si les conditions le permettent, sinon rendez-vous sur les pistes le 19 pour le premier jour des vacances scolaires. www.montsdolmes.com[/notice]
C’est avec Christine Belcikowski, dite « la dormeuse » et en partenariat avec Mimu (Mirepoix Musique) que nous partons à la découverte du Mirepoix insolite.
Une belle maison à colombage ou corondage, une date mystérieuse sur une porte, une inscription en latin, un écusson au bout du Grand couvert…Christine partagera ses images et son Mirepoix insolite.
Au travers des photographies qu’elle a réalisées, elle évoquera personnages connus ou méconnus, anecdotes et morceaux d’histoire locale.
Cette promenade virtuelle aura lieu à 14h30 au cinéma municipal de Mirepoix, espace André Malraux, et sera au tarif de 3€.
Nous vous souhaitons une belle balade, et le pays d’art et d’histoire des Pyrénées Cathares vous dit à l’année prochaine en vous espérant toujours aussi fidèles à sa programmation !
Nous voici sur la commune de Montbel, à quelques kilomètres des rives de lac et au pied des Pyrénées. Un endroit magique où Claude produit et transforme des fruits issus de l’agriculture biologique.
La ferme est labellisée « agriculture biologique » depuis très longtemps mais le petit plus c’est qu’elle porte la mention « Nature et progrès » qui comporte en plus une dimension sociale et un plus fort engagement.
Au gré d’une promenade au lac de Montbel, vous pourrez voir au verger des cassissiers et groseilliers, des pommiers de variétés anciennes, pruniers, figuiers, cognassiers… et aussi des châtaigniers dans la forêt.
A la ferme, vous pourrez vous régaler :
– de confitures, de Châtaigne, cassis Prune, figue, potimarron, pastèque à confire (plusieurs versions : au citron, à l’orange et au citron, au citron et au gingembre, au citron et à la mélisse).
– de gelée de groseille et de fleurs de sureau ou encore un délicieux « Choco-Nut », une pâte à tartiner gourmande et locale, à base de butternut, un vrai régal !
– de compotes et jus de pommes
– et également de pâté végétal de châtaigne et de potiron
Venez donc rencontrer Claude à la ferme (sur rendez-vous), sur les marchés de Chalabre et de Mirepoix, sur les foires bio (Couiza et Lorp-Sentaraille)…
Voir tous les points de vente sur le site internet.
Marie-Géraldine a déjà partagé avec nous ses recherches à ce sujet à l’occasion d’une visite de l’église de La Bastide sur l’Hers, c’est donc l’occasion de venir la ré-écouter dans un édifice très riche en statues provenant de la manufacture, l’église Saint-Martin de Roumengoux.
Au XIXe siècle, art industriel et production artisanale entrent en concurrence. La manufacture Giscard, installée à Toulouse, fait partie des nombreuses entreprises qui voient alors le jour, et fabriquera d’innombrables sculptures et ornements de terre cuite pendant un siècle et demi. On trouve de nombreux ornements sur les façades, mais c’est dans le domaine religieux qu’a été écoulée une part importante de ces produits de série. Beaucoup d’églises de notre territoire possèdent des œuvres issues de la manufacture Giscard.
Rendez-vous donc samedi 28 novembre à 14h30 à l’église de Roumengoux. L’animation est à trois euros.
Le fondateur de la bastide de Roquefixade est Simon Brisetête, sénéchal de Carcassonne, un personnage important qui met en œuvre cette bastide au pied du château « pour l’exaltation de la sainte foi catholique et l’extirpation de l’hérésie ».
Elle est d’abord dénommée « La Bastide de Montfort » en référence à Simon de Montfort qui mena campagne contre les seigneurs occitans liés au catharisme.
Il semblerait que les noms de Roquefixade et la Bastide-de-Montfort aient perduré tous les deux un certain temps, le premier pour désigner l’emplacement du château, le deuxième celui du village.
Le Château
il a sans doute connu une présence humaine dès l’antiquité puisque quelques objets y ont été retrouvés (haches polies, fragments d’amphores, monnaies antiques, etc.) mais il n’est mentionné pour la première fois que vers 1034date à laquelle il appartient aux seigneurs de Pailhès, vassaux des comtes de Foix et de Toulouse et correspond sans doute plutôt à un castrum. Mentionné parmi les biens du comte de Foix en 1272, le château est racheté par le roi de France Philippe III six ans plus tard, confirmant ainsi sa mainmise sur le territoire. Roquefixade devient alors châtellenie royale
L’église Saint-Jean-Baptiste
l’église Saint-Jean-Baptiste remplace l’église Saint-Martin qui se situe au hameau du même nom au cours du XVIIe siècle. Sa date de création n’est pas connue mais elle ne semble pas avoir existé au moment de la fondation de la bastide (1288) ni même au cours du XIVe siècle
Avec un gîte d’étape, un restaurant, une boutique dédiée aux produits issus de l’artisanat local et un café-bar, Jennifer à plus d’une corde à son arc.
Avant de venir en France, il y a 19 ans, Jennifer a su faire de sa passion, une grande réussite dans son pays natal, le Royaume Uni, et elle récidive aujourd’hui avec l’Auberge des Troubadours.
Coté café-restau
C’est un des seuls petits restaurants de campagne ouvert toute l’année. Ambassadrice de ce qu’elle appelle la « Real Food » (vraie nourriture) Jennifer cuisine avec passion des plats à base de produits locaux, linguini dans sa marée de patates douces et lardons de truite de Montferrié, filet de poulet fermier à la bière ambrée (Le Grand Bison)…
Elle propose également des spécialités au four à bois et notamment des tourtes, (tartes salées spécifiques à l’Angleterre), à l’inspiration de l’histoire du pays cathares : «Cathare», «Amour courtois», «Templier» ou «Troubadour».
Un mariage des cultures, une inspiration saisonnière, Jennifer nous régale d’une cuisine à la fois simple et campagnarde mais recherchée.
On peut également venir passer un petit moment de tranquillité sur la terrasse ensoleillée, et déguster un café, un thé, la limonade de Fontestorbes ou la bière de Lavelanet.
Coté gîte
Le gîte peut accueillir une vingtaine de personnes, pèlerins, randonneurs, cavaliers, touristes. Jennifer dispose également de deux chambres de qualité « chambre d’hôtes. De quoi satisfaire une nombreuse clientèle, qui peut profiter du restaurant de la terrasse ensoleillée et bien sûr s’approvisionner dans la boutique.
Coté troubadours.
Coté musique, David est toujours présent, aux heures des repas, l’après midi, pour accueillir les pèlerins il joue ou fait jouer de la musique. Cet hiver, Jennifer et David organiseront des « banquets troubadours » tous les vendredis soirs avec des animations par de vrais troubadours.
Ils envisagent également de créer cet été un « festival des troubadours » en faisant venir des troubadours d’autres régions, et d’organiser une parade à travers le village de Roquefixade, en bref faire découvrir la culture des troubadours. Une affaire à suivre !
Horaires d’hiver 2015 – 2016 –Restaurant – les midis du jeudi au dimanche et les soirs du vendredi et samedi sur réservation Bar, café et boutique ouvertes de mercredi à dimanche à partir de 14.00
C’est depuis le 1er mars 2014, que Marie Guera, brasse de la bière artisanale à Lavelanet. Un pari qu’elle s’était lancé en 2013 et qui aujourd’hui est gagné.
Marie est ariégeoise, elle est arrivée à Unac en Haute Ariège lorsqu’elle était bébé.
Elle a suivi des études d’ingénieur à Nantes puis obtenu un DESS en communication à Bordeaux. Ces études l’ont menée en Afrique et plus précisément au Bénin où elle à travaillé deux ans dans un centre de formation à la culture atelée.
Il y a 13 ans Marie décide de revenir aux sources et travaille pendant 5 ans à la gestion de production chez Michel Thierry puis 4 ans dans la Compagnie Internationale André Trigano à Mazères.
En mai 2013 elle décide de quitter son emploi et de créer sa propre entreprise, une brasserie artisanale.
Les bières sont produites avec des matières artisanales et de qualité issues de l’agriculture biologique (malt, houblon et sucre), le malt vient du Tarn ou d’Allemagne, elles sont non pasteurisées et non filtrées, et re-fermentées en bouteille.
La recette ? une infusion de malt chauffée à 69° pendant laquelle les enzymes consomment l’amidon pour le transformer en sucre. Voilà on en dira pas plus…
Brassage, fermentation, mise en bouteilles, étiquetage.. tout est fait à la brasserie et il ne faut pas moins de quatre personnes par jour pour mettre en bouteille une cuve soit 3500 bouteilles.
La clientèle est locale, Ariège Aude et Haute-Garonne, ce sont des particuliers, des restaurateurs, des magasins de terroir, ainsi que des comités des fêtes car La brasserie propose également la location de tireuse.
Avec au départ deux sortes de bières, c’est aujourd’hui cinq qualités que l’on peut trouver au Grand Bisons. Blondes ou ambrées, aux arômes d’agrumes ou d’épices, légère ou plus intenses, chacun trouvera son bonheur.
La Tribale : dorée, aux arômes subtils d’agrumes, qui dévoile une amertume douce en fin de bouche.
La Fontilla : blonde, légère et rafraîchissante.
La Flambeuse : ambrée savoureuse, toute en rondeurs
La Perce-Neige : ambrée, une pointe d’épices, une touche de gingembre, et la rondeur du malt Caramel
La Cro-mignonne : la petite dernière. Redoutablement rafraichissante et infiniment désaltérante
Crédit photo : Trifine Cuvillier – Pays des Pyrénées Cathares
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