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  • Tarascon / Saint-Lizier : Un week-end sous le signe de l’Archéologie et de la Préhistoire – 16 & 17 juin

    Tarascon / Saint-Lizier : Un week-end sous le signe de l’Archéologie et de la Préhistoire – 16 & 17 juin

    Cette année, la Nuit de la Préhistoire et les Journées Nationales de l’Archéologie se déroulent le même week-end. L’occasion est ainsi offerte de découvrir le très riche patrimoine de l’Ariège.

    Le 16 juin, Nuit de la Préhistoire au Parc de la Préhistoire de Tarascon-sur-Ariège

    La Nuit de la Préhistoire va permettre de visiter gratuitement le Parc de la Préhistoire de Tarascon-sur-Ariège de façon insolite, mystérieuse et gratuite de midi à minuit.

    Si tout au long de la journée, les visiteurs découvriront ou re- découvriront les animations du Parc de la Préhistoire comme l’atelier d’archéologie, le campement préhistorique, la taille du silex, l’allumage du feu ou encore le nouvel atelier d’art préhistorique «la grotte des bisons», la soirée sera l’occasion de proposer un spectacle où l’air sera le fil conducteur.

    À partir de 21h, des centaines de bougies vont illuminer les cascades, lacs, arbres et campement préhistorique. Cet éclairage naturellement intimiste et féérique incitera à déambuler, voyager et flâner dans le parc.

    À 22h30, la troupe «Porté par le vent» complètera cette mise en lumière en proposant une création artistique inédite alliant spectacle musical, animaux fantastiques lumineux et pyrotechnie. Un véritable ballet aérien et onirique attendra les visiteurs.

    Pour l’occasion, le restaurant du Parc proposera un menu spécial. La réservation est vivement conseillée mais que les retardataires se rassurent, une formule de restauration rapide sera également possible sur place.

    Les 16 et 17 juin, Journées Nationales de l’Archéologie au Parc de la Préhistoire de Tarascon-Sur-Ariège et au Palais des évêques de Saint-Lizier

    Rendez-vous culturel et scientifique national, les Journées Nationales de l’Archéologie ont pour objectif de sensibiliser le public à la richesse et à la diversité du patrimoine archéologique, aux résultats de la recherche et aux différentes disciplines et méthodes. Ces journées sont l’occasion de faire découvrir les nombreuses facettes de l’archéologie à travers la visite de chantiers de fouilles, de sites archéologiques, d’exposition temporaire ou autour de rencontres et de conférences avec les archéologues.

    Les 16 et 17 juin, le Centre de Conservation et d’Études (CCE) situé au coeur du Parc de la Préhistoire sera ouvert au public et permettra aux plus curieux de découvrir la richesse de ses collections.

    Ce lieu, au service de la recherche archéologique en Ariège, a pour vocation de conserver le mobilier archéologique du département et de le mettre à disposition des archéologues et des chercheurs. Si l’archéologie révèle parfois des «trésors», les traces et objets plus modestes fournissent souvent des informations primordiales à la compréhension d’une époque ou d’un site de fouille. Après une présentation des grands principes de l’archéologie et une visite guidée des différents espaces et de leurs fonctions, les visiteurs pourront admirer des objets archéologiques authentiques et jouer au jeu «Opération archéo». L’entrée est gratuite et sur réservation.

    À Saint-Lizier, c’est le rempart gallo-romain attenant au Palais des évêques que l’on pourra découvrir ou re- découvrir, des travaux de dévégétalisation ayant été fait au printemps.

    Il fait partie des biens culturels inscrits sur la liste du Patrimoine Mondial de l’UNESCO au titre des «Chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France». Datant de l’Antiquité tardive, ce rempart est presque entièrement conservé. Par ses dimensions, il est un précieux témoignage des systèmes de fortification de cette période dans les Pyrénées.

    Le 16 juin, à 16h, Robert Sablayrolles, professeur émérite d’histoire et archéologie romaines à l’université de Toulouse-Jean Jaurès, donnera une conférence sur le sujet suivie d’une visite du lieu.

    Le 17 juin à 16h, Robert Sablayrolles proposera une visite guidée du rempart.

    L’entrée est gratuite pour ces deux évènements et la réservation est conseillée.

    Infos pratiques
    05 61 05 10 10
    www.sites-touristiques-ariege.fr 

  • Chalabre : Conférence « L’art rupestre des cavernes des Pyrénées » – 18 février

    Chalabre : Conférence « L’art rupestre des cavernes des Pyrénées » – 18 février

     La toute jeune Université Populaire en Kercorb – UPEK – (voir notre interview) présente sa première conférence chez nos voisin audois « L’art rupestre des cavernes des Pyrénées » par Jean Clottes

    14h00 : Assemblée Générale de l’UPEK

    15h30 : Pot de l’amitié

    16h00 : Conférence 

    Les Pyrénées comptent un peu plus d’une trentaine de grottes et abris ornés. Les sites les plus anciens datent du Gravettien (vers –25 000). La plupart sont attribuables au Magdalénien (entre –14 000 et – 12 000). Certains sont célèbres, comme la grotte de Gargas avec plus de 200 mains négatives, ou les cavernes de Niaux, des Trois-Frères et du Tuc d’Audoubert. D’autres, qui comptent pourtant de véritables chefs- d’œuvre (Le Portel) sont beaucoup moins connues.

    Cet art des cavernes pyrénéennes présente des caractéristiques particulières. Dans quatre grottes on a trouvé des modelages en argile, les seuls connus en Europe. Parfois des gravures ont été effectuées sur le sol (Fontanet, Niaux, Bédeilhac). La préservation de l’environnement dans de très vastes galeries a permis la conservation des traces d’activités humaines (feux, torches) ou des empreintes de ceux qui fréquentèrent ces profondeurs à des époques aussi reculées (Niaux, Réseau Clastres, Fontanet).
    Niaux est une grotte ornée qui compte parmi les plus importantes en Europe. C’est l’une des rares qui soit ouverte au public.

    Jusqu’à sa retraite administrative en 1999, Jean Clottes, Conservateur Général du Patrimoine, fut Conseiller scientifique pour l’art préhistorique au ministère de la Culture, après avoir été Directeur des Antiquités préhistoriques de la région Midi-Pyrénées de 1971 à 1991. Il fut également Président du Comité International d’Art Rupestre de l’ICOMOS. Ses recherches portent principalement sur l’art préhistorique, en France et dans le monde (actuellement en Inde), et particulièrement sur les problèmes relatifs à la conservation, à la datation, à l’étude du contexte archéologique et aux significations. Il a eu la charge de l’étude de la grotte Chauvet jusqu’à fin 2001. Il dirige et publie la revue INORA (International Newsletter on Rock Art) depuis 25 ans. Il a été directeur de collection aux éditions du Seuil. Il est présentement Expert international auprès de l’ICOMOS et de l’UNESCO et a été Président de l’International Federation of Rock Art Organizations, qui regroupe 43 associations dans le monde.

     À l’issue de la conférence, possibilité d’acheter et de faire dédicacer des ouvrages de Jean CLOTTES

    Dimanche 18 février à partir de 14h00

    salle de l’abattoir à Chalabre
    parking « Place Charles Amouroux »

    Contact : Université Populaire en Kercorb (UPEK), Mairie de Chalabre, 1 Cours Sully, 11230 CHALABRE. Courriel : upek11@laposte.net Blog : upek.over-blog.com

  • Grotte du Mas d’Azil : la première tranche des fouilles archéologiques est achevée

    Grotte du Mas d’Azil : la première tranche des fouilles archéologiques est achevée

    Dans le cadre des travaux de sécurisation de la route départementale qui traverse la grotte du Mas d’Azil (des chutes de bloc étaient survenues en 2016), la Direction Régionale des Affaires Culturelles avait demandé la réalisation d’un diagnostic archéologique.

    A l’issue de ce diagnostic, des fouilles ont été prescrites par la DRAC qui a délégué la maîtrise d’ouvrage et le financement de ces opérations au Conseil Départemental.

    L’Institut National de Recherches Archéologiques Préventives (INRAP) est intervenu dans ce cadre, du fait de son agrément pour réaliser des opérations relevant de la période paléolithique. Cette campagne de fouilles, d’un montant de 140.000 €, a été menée du 13 novembre au 7 décembre, hors de la période d’exploitation touristique de la grotte.

    L’intérêt scientifique du site qui a donné son nom à une période de la préhistoire, sise entre Magdalénien et Néolithique, nécessite une seconde tranche de recherche d’ores et déjà programmée pour l’automne 2018.

  • Mas d’Azil, Mas sous les étoiles – 18, 25 juillet / 1er et 17 août

    Mas d’Azil, Mas sous les étoiles – 18, 25 juillet / 1er et 17 août

    Découvrir la Grotte du Mas-d’Azil en suivant Magda, une jeune femme préhistorique, telle est la proposition faite durant 4 soirées d’été.

    Les 18, 25 juillet, 1er et 17 août sont l’occasion de faire découvrir aux jeunes enfants le mode de vie des aziliens qui vécurent, il y a 10 000 ans, au Mas-d’Azil. Une manière ludique et conviviale de mieux connaitre la Préhistoire.

    Au cours d’une soirée, petits et grands suivront les traces de Magda.

    Ne trouvant pas le sommeil, elle fabrique des outils, sculpte des œuvres d’art, joue de la musique, déambule dans les galeries, confectionne des bijoux… Un médiateur commentera les activités nocturnes de cette jeune fille.

    Au sortir de la visite, médiateur et visiteurs partageront un moment convivial sur le parvis de la grotte. Autour d’un feu, en consommant croustades et jus de fruits locaux, ils apprendront l’art de la parure et tenteront de percer le mystère des galets aziliens.

    www.sites-touristiques-ariege.fr

    Sur réservation au 05 61 05 50 40 Adulte : 18€
    Enfant (5-12 ans) : 11€
    Jeune (13-18 ans) : 13,80€

  • « Ariégez-Vous ! » les Cro-Magnons ariégeois investissent le centre commercial Labège 2

    « Ariégez-Vous ! » les Cro-Magnons ariégeois investissent le centre commercial Labège 2

    Les Cro-Magnons ariégeois ont pris leurs quartiers d’hiver au cœur du centre commercial Toulouse Labège.

    Depuis lundi et jusqu’au samedi 18 février, l’équipe du service des Sites Touristiques Ariège- Pyrénées, accompagnés des Offices de Tourisme de Haute Ariège et du Mas d’Azil, ainsi que de l’Agence de Développement Touristique, ont planté campement, tipis et autres scènes de la vie quotidienne préhistorique dans l’une des plus grandes galeries marchandes de la Ville rose.

    L’objectif de cette opération, initiée sous la bannière « Ariègez-vous ! », est d’offrir une véritable immersion aux visiteurs. Cinq espaces ont été imaginés pour permettre aux enfants d’en savoir plus sur la Préhistoire de façon ludique. Animaux préhistoriques géants, ateliers d’art pariétal, campement reconstitué… La Préhistoire n’aura plus de secret pour eux !

    Pour le Département, cette opération est l’opportunité de valoriser la richesse du patrimoine ariégeois, du Parc de la Préhistoire de Tarascon à la Grotte de Niaux en passant par la Grotte du Mas-d’Azil.

    Sources : CD09

  • Préhisto’ night, pour vivre une expérience exceptionnelle

    Préhisto’ night, pour vivre une expérience exceptionnelle

    Venez vous glisser dans les peaux et fourrures de nos ancêtres préhistoriques et passer une nuit insolite et exceptionnelle !

    Le temps d’une nuit d’exception, mettez vous dans la peau d’une tribu de Cro-Magnons et remontez le temps, en famille, entre amis ou même seul.Après une progressive immersion dans le monde de nos ancêtres, vous quitterez le XXIème siècle et ses attributs…

    Adieu jeans, baskets, montres et autres smartphone !! On endosse, à la place, les vêtements, en cuir et fourrures, des hommes et femmes préhistoriques…

    Là commence L’EXPERIENCE la plus réaliste qu’il soit de la vie nomade de chasseur-cueilleur !

    Chaque tribu devra monter sa tente pour la nuit, allumer le feu avec les techniques d’époque, tailler le silex qui servira à la découpe du repas, fabriquer les lampes pour s’éclairer, … Une façon insolite de découvrir la vie courante des Cro-Magnons.

    A l’heure du repas, les Cro-Magnons d’une nuit dégusteront, avec leurs doigts et des couteaux de silex, un menu typiquement préhistorique avant de goûter à un repos bien mérité, dans le campement qu’ils auront construit, blottis avec leur famille, dans des peaux de rennes toutes douillettes !

    Ces quelques nuits d’exceptions, absolument inédites pour le grand public, offriront autant d’occasion d’entrer dans le quotidien des Cro-Magnons, de découvrir leurs gestes, leurs habitudes, leurs savoirs et de se replonger dans un passé qui nous paraît, aujourd’hui encore, très mystérieux.

    EXCLUSIVITÉ : Jeu concours Préhisto’night !
    Tentez vous aussi de gagner une nuit insolite au temps de la Préhistoire !
    Consultez la fiche produit du Jeu concours en cliquant ici

    Informations pratiques
    Dates : 13, 22 et 29 juillet – 5,11 et 19 août.
    Sur réservation. Places limitées : 05 61 05 50 40

    95€ jeune et adulte (+ de 12 ans)
    60€ enfant (6-12 ans)

    PRÉHISTO’NIGHT AU PARC DE LA PRÉHISTOIRE
    TARASCON SUR ARIEGE

  • Le 8 mars, la journée des femmes ariégeoises !

    Le 8 mars, la journée des femmes ariégeoises !

    La journée de la femme trouve ses origines dans  les manifestations de femmes au début du xxe siècle en Europe et aux États-Unis, réclamant l’égalité des droits, de meilleures conditions de travail et le droit de vote.

     Les insurgées de l’époque, des femmes ordinaires : ouvrières, mères de famille, femmes de soldats, françaises,  russes, voyant leurs droits mais également leurs valeurs ignorés. Les premières journées de la femme marqueront le début d’une longue lutte pour l’égalité et la paix.

    Le 8 mars 1977, les Nations Unies adopte une résolution enjoignant ses pays membres à célébrer une « Journée des Nations Unies pour les droits de la femme et la paix internationale ». En France, il faudra attendre le 8 mars 1982 pour que le gouvernement socialiste de François Mitterrand donne un statut officiel cette journée.

    Le 8 mars 2013 Azinat.com adopte la résolution de parler des femmes ariégeoises.

    Bien sûr on ne peut pas parler de toutes les femmes alors nous avons décidé de parler de celles classées dans notre who’s who 2012, il faut faire un choix. Mais on le sait il y en a beaucoup d’autres.

    Elles sont journalistes, historienne, femme politique, chef d’entreprise, artiste peintre photographe ou écrivain et elles sont au classement des 99 premiers « Ambassadeurs de l’Ariège sur le Net ». Petite ombre au tableau elles ne sont que 14 sur 99 on est loin de la parité, mais, notre historienne Anne Brenon est deuxième au classement général ce qui est quant même une performance.

    Alors qui sont ces femmes qui, par leur notoriété sur le web, font la promotion de l’Ariège.

    Anne Brenon, ariégeoise de coeur, historienne et auteur de nombreux ouvrages sur le catharisme est la première de notre calssement. Annie Fachetti est chargée de communication, elle a été longtemps à la première place. Et enfin, dans le trio de tête Frédérique Massat notre Députée.

    Mady de la Giraudière, notre grande artiste peintre dont vous pouvez voir les portraits actuellement sur notre site est à la quatrième place suivie de Martine Crespo dont on ne présente plus les excellentes croustades et de Floriane Caux jeune photographe de talent.

    Claudine Palhiès, directrice des Archives départementales de l’Ariège et chargée de cours à l’Université de Toulouse-Le-Mirail. Laurence Cabrol, journaliste à Ariège news qui sillonne l’Ariège d’est en ouest et du nord au sud pour nous apporter toujours plus d’information sur notre beau département.

    En 10ème place nous retrouvons Florence Guillot Directrice de la Maison des Patrimoines d’Auzat et Docteur en Histoire et Archéologue.

    Josiane Gouze-Fauré Présidente de l’Union Patronale Midi-Pyrénées. Claudine Barthez. Françoise Pancaldi, Maire Adjointe à la Mairie de Pamiers et Déléguée à la Communauté de Communes du Pays de Pamiers. Josette Elay qui a mis l’Ariège au centre de son roman « Secrets de granit ». Et enfin Cécile Dupont, rédactrice en chef de la Gazette Ariégeoise et membre de la Confrérie de l’Azinat et de la Rouzolle.

    Ce vendredi 8 mars 2013, nous rendons hommages à ces femmes et toutes les autres qui font de l’Ariège un département où la réussite n’est pas un vain mot.

     

     

  • Jean Clottes : « Avoir des racines c’est une des choses les plus importantes »

    Jean Clottes : « Avoir des racines c’est une des choses les plus importantes »

    Audois d’origine et ariégeois d’adoption, Jean Clottes est ce qu’on peut appeler une figure de l’Ariège. Il a été longtemps en tête de notre Who’s Who  et emporte toujours l’Ariège dans son coeur lors de ses nombreux voyages à l’étranger. Azinat avait fait un portrait en 2009. Aujourd’hui, c’est avec gentillesse qu’il nous a ouvert les portes de sa maison de Foix pour nous accorder une interview.

    Avant tout Jean Clottes est préhistorien, il travaille sur l’art préhistorique depuis plusieurs dizaines années, et la recherche est une part très importante de sa vie. Mais il n ‘a pas toujours été préhistorien. Il a commencé sa carrière comme professeur d’anglais au Lycée de Foix après avoir passé 3 ans en Angleterre. Venant d’Espéraza dans l’Aude il connait bien l’Ariège pour y avoir pratiqué la spéléologie, « Quand j’ai été nommé à Foix j’ai été absolument ravi, ma femme à beaucoup aimé également l’Ariège et nous avons décidé de nous y installer ».

    Pendant ses années d’enseignement Jean Clottes fait des recherches, des publications il publie des livres, c’est ainsi qu’on lui propose un poste à Toulouse en tant que directeur de la préhistoire pour la région Midi-Pyrénées, puis un poste au Ministère de la Culture. C’est alors qu’il abandonne l’enseignement.

    Pour autant, il ne quitte pas l’Ariège, une chance puisque c’est à cette époque que vont être découvert le réseau Clastre dans la grotte de Niaux et la grotte de Fontanet à Ornolac. « J’ai donc été obligé de m’investir dans l’art préhistorique et petit à petit je suis devenu un spécialiste, ça a pris des années bien sûr… j’ai eu plusieurs vie » déclare t-il.

    Mais qui est Jean Clottes aujourd’hui en Ariège ? 
    « beaucoup de gens me connaisse en Ariège, j’ai eu souvent l’honneur des médias, mais dieu merci pas trop, c’est suffisamment  sympathique sans être pesant… » dit il avec beaucoup de modestie. « J’ai une place excellente (…) je me suis toujours senti très bien en Ariège… »

    Et que souhaite Jean Clottes pour l’Ariège en 2013 ?
    « Une prospérité économique et ensuite que les gens gardent leur fierté d’ariégeois, c’est un très beau pays (…) Avoir des racines c’est une des choses les plus importantes… ».

    Un grand merci à Monsieur Clottes qui a accepté de nous recevoir.