Interbio Midi-Pyrénées a remis le vendredi 23 mars le label « Territoire Bio Engagé » à la commune de Dun, en présence de Mr Alain PALMADE, Maire de la commune de Dun et de Mr Vincent ESCOURROU, représentant d’Interbio Midi-Pyrénées.
L’Occitanie est une région leader en Agriculture Biologique. Dynamiques de la production à la transformation, ces filières offrent une grande diversité de produits, reflets de la typicité de nos territoires. Ainsi INTERBIO Occitanie a choisi de mettre en place la démarche « Territoire BIO Engagé » première démarche de labellisation Bio des collectivités territoriales proposée en France.
La remise de ce label permet aux collectivités territoriales de valoriser leur engagement dans la Bio auprès des habitants de leur territoire et de leurs différents partenaires.
Dun fait partie des 21 communes labellisées. La commune répond à l’objectif du Grenelle de l’environnement et réaffirmé dans le cadre du plan Ambition Bio 2017, soit 6 % (qui est passé à 15% depuis le 1er janvier 2018)de Surface Agricole Utile (SAU) en Bio. C’est d’ailleurs avec brio qu’elle dépasse cet objectif avec plus de 64,55 % de SAU Bio.
Le label : Territoire Bio Engagé/Etablissement Bio Engagé garantit le niveau de réussite d’une collectivité territoriale et de ses acteurs dans son engagement pour développer ce mode de production.
Critères de labellisation :
15 % de surface agricole cultivée en production biologique
Et/ou 20 % de l’approvisionnement des restaurants collectifs en produits bio
A noter qu’en Ariège, 2 communes sont labellisées TBE : Dun et Vira sur le critère SAU etla communauté de communes Couserans-Pyrénées pour le critère 20% de produits bio en RHD (Restauration Hors Domicile).
La mine de Salau, sujet polémique s’il est en Ariège, et son cortège de communiqués, de vérités et de contre-vérités, de défenseurs et d’opposants…
Pour y voir un peu plus clair et suite à certains communiqués que nous avons passé dans nos colonnes, nous avons voulu donner la parole à l’association « Stop Mine Salau ». Nous avons donc reçu dans nos locaux deux des Co-Présidents et fondateurs : Monsieur Marcel Ricordeau et Monsieur Jacques Renoud.
Dans un premier entretien Marcel Ricordeau et Jacques Renoud sont revenus sur l’historique de l’exploitation de la mine et de la polémique sur la présence d’amiante.
Aujourd’hui, il est question de la protection de l’environnement – Il est a rappeler que la mine est incluse dans le site Natura 2000 « Massif du Mont Valier » – : préservation de l’habitat et de la reproduction du Gypaète barbu, préservation de la rivière Salat et ses sources….
et des irrégularités constatées par l’association : Réouverture de la route de la mine sans autorisation, héliportage sur la zone sensible de la reproduction du Gypaète, construction d’un mur sur une parcelle communale sans autorisation…
La semaine prochaine nous reviendrons sur les taux (supposés ou non) de tungstène et d’or contenus dans la mine
L’association STOP MINE SALAU organise, avec ses partenaires, APRA le Chabot, le Comité écologique Ariégeois et l’association Gratte Papier, une journée d‘information sur la « Mine de Salau » à Toulouse le Samedi 31 mars 2018, à « La Chapelle » 36 rue Danielle Casanova.
Au programme de cette journée : conférences, débats, projections….
– Rachat de Variscan, qui vient de recevoir 700 000€ de Crédit d’impôt recherche, par Apollo Minerals, et malversations financières. – Attribution d’un permis de recherche en Espagne. – Non respect des règlementations et des législations. – Non respect de l’environnement…
Après avoir posé ses valises à Saverdun pour une résidence d’Artiste au Collège du Girbet (voir notre reportage), Amine Adjina reviens à L’Estive pour présenter sa nouvelle pièce « Arthur et Ibrahim » : Une amitié enfantine, une histoire entre la France et l’Algérie.
Au delà de la quête d’identité «Qu’est ce qu’être arabe ?», Amine Adjina pose la question de l’amitié Qu’est on prêt à faire pour l’autre au nom de l’Amitié ?
« Arthur et Ibrahim » sera l’histoire d’une amitié, renforcée par l’idée qu’on ne peut pas faire l’économie de l’expérience. C’est l’expérience qui construit les liens que nous avons avec l’autre »
« Les Français ne nous aiment pas / Tu as vu comme ils parlent de nous à la télévision » : lorsque son père lui dit ça, Ibrahim est bien embêté car son meilleur ami c’est Arthur, un Français, et « Arthur c’est pas pareil, c’est son copain ». Pourtant il ne veut pas décevoir son père. Heureusement, face à ce dilemme, Ibrahim trouve une solution : il propose à Arthur de devenir arabe. Mais « l’opération » n’est pas sans risque ni douleur…
Ma première vision est la suivante : un jeune garçon ne veut plus jouer avec un autre parce qu’il n’est pas arabe. De cette idée première se déplie une série de questions : Pourquoi est-ce que le jeune garçon en vient à agir de la sorte ? Pourquoi se définit-il arabe plutôt que français ? Qu’est-ce qu’être arabe ? Quels rôles ou influences ont les adultes sur ces comportements ? Comment réagissent-ils ?
Amine Adjina a puisé dans sa propre histoire de jeune Français d’origine algérienne pour écrire cette fable d’enfance et d’amitié. Avec ses deux petits héros confrontés aux certitudes adultes : celles de la maîtresse tout à son rôle éducatif difficile, celles de son père empêtré dans son déchirement de n’être pas d’ici et plus tout à fait de là-bas. À moins que ce ne soit l’inverse.
Un texte destiné aux jeunes spectateurs, dans lequel le rire et le tendre sont efficaces et donnent des accents de comédie à cette invitation au questionnement.
Lundi 26 mars – 20h45
L’Estive scène nationale de Foix et de l’Ariège accueil@lestive.com – 05.61.05.05.55 – 20 avenue du général de Gaulle 09000 FOIX www.lestive.com
La mine de Salau, sujet polémique s’il est en Ariège, et son cortège de communiqués, de vérités et de contre-vérités, de défenseurs et d’opposants…
Pour y voir un peu plus clair et suite à certains communiqués que nous avons passé dans nos colonnes, nous avons voulu donner la parole à l’association « Stop Mine Salau ». Nous avons donc reçu dans nos locaux deux des Co-Présidents et fondateurs : Monsieur Marcel Ricordeau et Monsieur Jacques Renoud.
Une conversation de 45 minutes que nous allons diffuser en plusieurs parties pour plus de clarté.
Dans ce premier entretien revenons à l’historique de l’exploitation de la mine et de la polémique sur la présence d’amiante.
La mine a été ouverte au début année 70 et a fermée en décembre 1986 à l’époque où il y avait un dumping chinois sur le tungsten. Mais le e dumping chinois a servit de prétexte à la fermeture. La plupart des mines de tungstène dans le monde, sauf les chinoises ont fermé à la fin des années 80, mais toutes ont rouvert. Certaines après quelques mois, d’autres après plusieurs années, après avoir modernisé leurs installations.
La mine de Salau est restée définitivement fermée – pourquoi ?
Depuis les années 1983-84 des maladies liées à l’amiante se déclaraient chez les mineurs de Salau. Plusieurs maladies professionnelles ont été reconnues et la direction s’est sans doute servit du prétexte du « dumping chinois » pour étouffer dans l’œuf les problèmes d’amiantes : la mine de Salau a fermé le 24 décembre 1986 et la direction donnait l’ordre de démanteler les installations le 17 janvier 1987.
Les syndicats CGT et FO communiquaient beaucoup à partir des années 1983-84 pour alerter la direction et l’État sur les conséquences de l’amiante sur la santé des mineurs. Pour preuve, plusieurs thèses universitaires, des rapports de l’INSERM et du CNRS, du BRGM, des témoignages de médecins, d’infirmières, des affirmations des personnels de la DREAL, des personnels de Géodéris, témoignent du fait qu’il y avait de l’amiante à Salau du temps de l’ancienne exploitation…
La semaine prochaine : La protection et la sauvegarde d’un cadre et d’un style de vie
Hé oui l’Ariège est pleine de jeunes talents, c’est le cas de Camille 17 ans et déjà auteure de deux romans publiés chez Michel Lafon. Elle s’est fait connaître sur la plate-forme d’autopublication Wattpad où elle rencontre un incroyable succès et totalise des millions de vues. Elle fait partie du top 10 des auteurs français les plus lus sur le site. Nous l’avons rencontrée il y a quelques semaine au Relais de Poche à Verniolle.
A l’âge de 14 ans, Camille commence tour d’abord à écrire des histoires sur un petit carnet, un jour une de ses amies en lit une et lui écrit une petite note : » va publier la suite sur Wattpad » et c’est ce qu’elle fit. Toutes les semaines elle poste un chapitre et l’engouement des lecteurs fait le reste. Camille n’arrête plus d’écrire. Jusqu’au jour où elle reçoit un mail des Editions Michel Lafon qui lui propose de publier son roman. Tout va très vite est, une semaine plus tard, après un voyage à Paris, le contrat est signé.
Il faudra à Camille tout l’été pour peaufiner son histoire, et surtout la re-situer en France alors qu’elle se déroulait, à l’origine aux Etats-Unis.
C’est en janvier 2017 que sort son premier roman : « Blue – La couleur de mes secrets » un beau succès puisque elle en a vendu près de 15.000 exemplaires dans plusieurs pays de la francophonie.
Ce samedi 3 mars, c’est au Relais de Poche à Verniolle que Camille est venue dédicacer son deuxième roman « Le Journal d’une âme rêveuse« .
C’est dans les séries télévisées américaines que Camille trouve son inspiration, et bien qu’elle soit passionnée d’écriture elle ne veut pas en faire son métier. En terminale S au Lycée de Pamiers elle se dirige vers des études de chimie.
Qui qu’il en soit et après un si beau succès, il ne serait pas étonnant de voir un troisième roman.
À dix-sept ans seulement, Blue dissimule un lourd secret qui l’a obligée à changer brutalement de vie, à déménager avec sa famille, et à rester le plus discrète possible.
Mais ses mystérieux cheveux bleus captivent tous les regards et attisent la curiosité des élèves de son nouveau lycée. Comment se fondre dans la masse alors qu’elle commence à recevoir des lettres anonymes et que Nathan, un jeune homme à la terrible réputation, a décidé de la percer à jour ?
Parution : 12/01/17
14.95 €
ISBN : 9782749930985
Le Journal d’une âme rêveuse
Alors que l’été touche à sa fin, Adélaïde annonce à Noah qu’elle part et ne souhaite pas le revoir. Tout ce qui reste d’elle désormais, c’est la clé d’une boîte postale qui accompagne sa lettre.
Dans cette boîte, Noah trouve une enveloppe contenant le journal d’Adélaïde. Celle-ci y décrit ses rêves, ses espoirs, mais aussi le drame secret que cache ce départ précipité. Mais Noah n’a pas dit son dernier mot, et si Adélaïde pense que tout est perdu, le garçon est déterminé à lui montrer qu’ensemble ils peuvent réaliser un nouveau rêve. Même s’il s’agit peut-être du dernier.
Pour la neuvième année consécutive, l’association Eth Ostau Comengés organise une soirée intergénérationnelle autour de la culture gasconne, le samedi 17 mars, à 20h30, à la salle des fêtes de Betchat.
Tout d’abord, les enfants de l’école communale présenteront un spectacle de chants, danses et saynètes en occitan.
Suivra la présentation du livre-DVD Les violoneux traditionnels entre Comminges et Couserans. Ce travail dont Pierre Rouch, musicien et facteur d’instruments, est à l’origine, a pour cadre deux villages de la vallée de l’Arbas (Fougaron et Herran) et deux de la Bellongue (Galey et Saint-Lary).
Dans ce micro-territoire situé de part et d’autre du massif de Cornudèra, l’instrument de prédilection des musiciens était le violon. Le film (en gascon sous-titré en français) qui sera projeté rassemble une série de témoignages sur les derniers violoneux de ces villages et sur les relations économiques, culturelles, familiales qui unissaient – et unissent encore – les habitants.
La soirée se terminera par un concert du groupe Bouilleur de sons, composé de musiciens et de chanteurs ariégeois réunis autour de Pierre Rouch. Accordéon diatonique, hautbois, cornemuses et violon seront de la partie. Participation libre.
Située à l’entrée de la Ville, l’avenue Alsace Lorraine constitue la 1re étape du projet de réaménagement porté par la municipalité dans le cadre de son projet « Lavelanet 2050 ».
Ici, les travaux vont bon train et permettront de créer, entre autres, un espace partagé entre les différents usagers de la voirie tout en valorisant les mobilités douces. Cet aménagement permettra de faciliter l’accès en centre-ville pour les piétons et les cyclistes à travers un parcours végétalisé et sécurisé.
Les travaux qui se situent actuellement à hauteur de l’Hôtel de Ville permettront en outre la création de deux parkings ; la municipalité ayant acquis deux parcelles situées rue Sébilé avec accès sur l’avenue Alsace-Lorraine. D’une superficie de 715 m2, ces terrains sont idéalement positionnés à proximité l’école Jeanne-d’Arc.
« Par ailleurs, ce réaménagement de l’avenue Alsace Lorraine nous permetde repenser l’éclairage public et de mettre en place le très haut débit en partenariat avec le Conseil départemental. » indique Marc Sanchez maire et Conseiller départemental.
Diurétique, détoxifiante, hydrate, drainante, detoxifiante… la sève de bouleau fraîche s’apparente à un liquide claire quasi-incolore semblable à de l’eau, au goût neutre légèrement sucrée. Récoltée au printemps juste avant l’apparition des jeunes feuilles, la sève de bouleau ne cesse de séduire par ses bienfaits.
Le printemps n’est pas encore là mais, au Haras Picard du Sant à Lasserrre dans le Couserans, Jean-Louis et Christine Savignol sont à la tache depuis déjà plusieurs semaines : la récolte de la sève de bouleau. Et par ce magnifique mardi matin et par -8 degrés, l’équipe d’Azinat est à la tache elle aussi.
Jean-Louis Savignol est ce qu’on peut appeler un « baroudeur ». A l’âge de 14 ans il quitte son Ariège et son Couserans natal pour rouler sa bosse.
Bûcheron au Canada, exploitant forestier en Afrique Noire, courtier en céréales avec la Russie et les Etats Unis, cascadeur, routier, il termine sa vie d’expatrié en devenant ingénieur commerciale et en montant trois agences de publicités à Paris. En 1998, il décide de rentrer au Pays pour reprendre l’exploitation familiale qui comptait alors 15 chevaux de Mérens.
Jean-Louis et sa femme Christine décident de s’installer en bio afin de conserver au maximum les caractères du cheval de Hérens et complètent leur activité en proposant des gîtes, des chambres d’hôtes ainsi que des week-end à thèmes.
Mais difficile de s’en sortir financièrement, Jean-Louis et Christine se sont donc attelés, depuis l’an dernier, à la production de sève de bouleau en activité complémentaire. Et ça marche !
Nous sommes aujourd’hui à 600 mètres d’altitude sur une parcelle de un hectare avec 250 arbres « connectés ». En pleine saison, chaque arbre peut donner, par jour, 5 litres de sève. soit 1250 litres de sève sur cette seule parcelle, le domaine en contient trois.
En association avec un laboratoire de Lyon, ils mènent une étude sur les sportifs pour vérifier les bienfaits réels de la sève. Une série de premiers tests sur 10 sportifs va commencer. Et l’entreprise cherche des sportifs de hauts niveaux pour d’autres essais cliniques.
Forts de cette réussite et n’étant jamais à cours d’idées, le couple, après avoir vu leur chien et leur chat boire les fonds de sève qu’ils récoltaient, décident de commercialiser de la sève de bouleau pour animaux.
La sève est d’ores et déjà commercialisée pour les chats et les chevaux mais, en ce qui concerne ces derniers, ils se sont rapprochés d’un laboratoire de contrôle hippique pour effectuer des tests dans le but de savoir si la sève de bouleau pour être considérée comme un produit dopant ou non, et ainsi attaquer le marché des chevaux de courses.
Pour les chiens par contre, une étude est en cours aux Etats Unis, concernant un sucre présent dans le bouleau qui serait nocif. L’étude s’applique à démonter si ce sucre provient de la sève, de la décoction de feuilles ou de l’écorce de l’arbre.
«Il faut savoir qu’il y a un million de chevaux de sport et 13 millions de chats en France, ce sont des marchés extrêmement intéressants parce que cela peut nous permettre de développer sur d’autres secteurs que ce qu’il y aujourd’hui» conclu Jean-Louis.
Ariège Sève de Bouleau Bio
GAEC Haras Picard du Sant
Christine et Jean Louis SAVIGNOL
Les Peyroutets
09230 LASSERRE
La Journée internationale pour les droits des femmes, comme tous les ans c’est le 8 mars, elle fait partie des 87 journées internationales reconnues ou initiées par l’ONU.
Mais avec l’affaire Harvey Weinstein en octobre 2017 le mouvement contre les violences sexuelles faites aux femmes et le #metoo #BalanceTonPorc, une digue s’est rompue et a libéré un flot de paroles trop longtemps contenues.
Ce 8 mars 2018 a donc un accent particulier, et mérite que l’on s’y arrête un instant.
La Journée internationale pour les droits des femmes a été officialisée en 1977 et trouve son origine dans les luttes des ouvrières et suffragettes du début du XXe siècle, pour de meilleures conditions de travail et le droit de vote.
Cette journée est issue de l’histoire des luttes féministes menées sur les continents européen et américain. Le , une Journée nationale de la femme (National Woman’s Day) est célébrée aux États-Unis à l’appel du Parti socialiste d’Amérique. Cette journée est ensuite célébrée le dernier dimanche de février jusqu’en 1913
En 1910 à Copenhague, l’Internationale socialiste adopte l’idée d’une « Journée internationale des femmes » sur une proposition de Clara Zetkin (Parti social-démocrate d’Allemagne) et Alexandra Kollontaï (menchevik du Parti ouvrier social-démocrate de Russie, future Commissaire du Peuple), sans qu’une date ne soit avancée. Cette journée est approuvée à l’unanimité d’une conférence réunissant 100 femmes socialistes en provenance de 17 pays.
La première Journée internationale des femmes est célébrée l’année suivante, le et revendique le droit de vote pour les femmes, le droit au travail et la fin des discriminations au travail. Des rassemblements et manifestations ont dès lors lieu tous les ans.
Les insurgées de l’époque sont des femmes ordinaires de toute origine et de toutes conditions : ouvrières, mères de famille, femmes de soldats, françaises, russes, voyant leurs droits mais également leurs valeurs ignorés.
Au cours de l’Année internationale de la femme en 1975, les Nations Unies ont commencé à célébrer la Journée internationale de la femme le 8 mars. En 1977, l’Assemblée générale des Nations Unies a adopté une résolution proclamant la Journée des Nations Unies pour le droit de la femme et la paix internationale, reconnaissant le rôle important de la femme dans les efforts de paix et dans le développement.
Mais la journée internationale pour les droits des femmes c’est aussi l’occasion de dresser le bilan des progrès réalisés, d’appeler à des changements et de célébrer les actes de courage et de détermination accomplis par les femmes ordinaires qui ont joué un rôle extraordinaire dans l’histoire de leur pays et de leur communauté.
Cette année également nous tenions à signaler l’opération « ruban blanc », une initiative lancée par la Fondation des Femmes qui met en place une campagne de collecte pour soutenir les victimes dans leur besoin d’assistance : #MaintenantOnAgit.
Chaque année un thème différents est abordé, en 2018, cette journée internationale des droits des femmes est placée sous le thème des « activistes rurales et urbaines » qui transforment la vie des femmes.
Depuis plusieurs années nous avons adopté la résolution de parler des femmes ariégeoises.
Bien sûr on ne peut pas parler de toutes les femmes alors nous avons décidé de parler de celles classées dans notre Who’s who, il faut faire un choix. Mais on le sait il y en a beaucoup d’autres.
Elles sont journaliste, historienne, femme politique, chef d’entreprise, artiste peintre, photographe ou écrivain et elles sont au classement des 99 premiers « Ambassadeurs de l’Ariège sur le Net ». Alors qui sont ces femmes qui, par leur notoriété sur le web, font la promotion de l’Ariège.
Commençons bien entendu par un hommage à une grande artiste peintre, Mady de la Giraudière, disparue il y a quelques jours mais qui restera à jamais gravée dans la mémoires des ariégeois. Une grande dame que nous avions eu le bonheur de rencontrer pour une série de portraits que vous pouvez voir sur notre site.
Perrine Laffont bien sûr notre jeune «bosseuse» qui a fait vibrer les ariégeois lors de 3 runs de légendes lors des JO en Corée du Sud.
Floriane Caux, photographe qui, par son talent sait transporter les regards dans un univers onirique.
Marie Cantagrill ,violoniste concertiste soliste, elle est la directrice artistique de l’Orchestre de Chambre d’Ariège.
Bénédicte Taurine, Lavelanetienne, enseignante et syndicaliste et nouvellement députée .
Anne Brenon, ariégeoise de coeur, historienne et auteur de nombreux ouvrages sur le catharisme. Elle aussi fut première de notre classement.
Claudine Palhiès, Directrice des Archives départementales de l’Ariège aujourd’hui à la retraite et chargée de cours à l’Université de Toulouse-Le-Mirail, qui nous avait gentiment reçu pour une visite passionnante des archives.
Annie Fachetti anciennement chargée de communication à Ariège Expansion, ce qui lui avait valu d’être , durant de nombreux mois à la première place de notre who’s who et qui est maintenant chargée de Mission chez MADEELI, l’agence régionale de développement export innovation.
Florence Guillot Directrice de la Maison des Patrimoines d’Auzat et Docteur en Histoire et Archéologue en charge des fouilles archéologique du château de Montréal de Sos.
Françoise Pancaldi, Maire Adjointe à la Mairie de Pamiers et Déléguée à la Communauté de Communes du Pays de Pamiers.
Cécile Dupont, rédactrice en chef de la Gazette Ariégeoise
Josette Elay qui a mis l’Ariège au centre de son roman « Secrets de granit ».
Ce jeudi 8 mars 2018, nous rendons donc hommages à ces femmes et toutes les autres qui font de l’Ariège un département où la réussite n’est pas un vain mot.
Alors que certains se ruent sur les stations de ski (il est vrai que la saison s’y prête), au risque de rester coincé en station ou dans un télécabine, nous avons préféré prendre une direction toute autre : Les cascades de la Turasse.
Au coeur du Pays des Pyrénées Cathares, dans le petit village de Roquefort-les-Cascades, les cascades de la Turasse s’élèvent à une trentaine de mètres de haut. L’eau s’y déverse sur une pente abrupte, à travers les arbres et les rochers.
Depuis le parking, pas besoin de faire des kilomètres. Les premières cascades vous offre un déjà un magnifique paysage, des tables de pique-nique vous invitent à la contemplation et à l’écoute des clapotis.
Si vous prenez le sentier qui remonte le long de la cascade vous ne serez pas déçu, vous découvrirez des lits plus ou moins secs et pléthore de petits ruisseaux qui sinuent et abreuvent la cascade….
La curiosité de ces cascades c’est qu’elles produisent un phénoméne rare et très fragile ; une tufière. Véritable curiosité géologique naturelle, cette roche, très poreuse et légère, résulte d’un dépôt par l’eau saturée en calcaire. L’eau des sources de la Turasse étant particuliérement calcaire, le tuf se dépose sur les mousses et les morceaux de bois sous la forme d’une croûte. la disparition de ces débris végétaux, par fermentation donne en partie à la roche sa texture poreuse rappelant celle d’une éponge.
Ce matériau, facile à travailler, est fréquemment utilisé comme pierre de construction et se retrouve ainsi dans plusieurs bâtiments du village, notamment dans l’abside de l’église.
La meilleure période pour venir l’admirer est naturellement le printemps, période à laquelle l’eau est abondante dû à la fonte des neiges. Mais en hiver la cascade de glace vaut également le détour.
A voir également, à proximité, les vestiges du château de Roquefort, dont subsistent un mur et quelques constructions que l’on ne soupçonne pas du village.
Le metteur en scène-comédien Amine Adjina, a établit sa résidence du 12 au 16 février au collège du Girbet à Saverdun, pour la création de la pièce intitulée « Arthur et Ibrahim ».
La résidence d’artiste est un des dispositif mis en place par le Conseil Départemental de l’Ariège en partenariat avec l’Estive – Scène Nationale de Foix, en direction des collèges de l’Ariège, au même titre que « Entrez dans la danse » qui permet à des classes de s’initier à la danse avec des chorégraphes et des danseurs invités sur une saison, ainsi que des spectacles conçus et réalisés pour être joués dans les salles de classes.
Cette année, c’est la classe à horaires aménagés théâtre (CHAT) du collège du Girbet à Saverdun et dirigée par la professeur de français Valérie Dagas, qui a eu la chance d’accueillir pour quatre séances de trois heures le metteur en scène-comédien Amine Adjina.
Durant cette semaine vingt élèves de 6ème et 5ème, ont travaillé avec Amine autour de sa nouvelle pièce « Arthur et Ibrahim ». Ils ont commencé par un atelier d’écriture sur le thème de l’amitié et du Pays rêvé. «Ce qui m’a frappé, explique Amine, c’est qu’il parle tous du rapport à la nature, de l’environnement, c’est drôle qu’à cet âge là ils soient déjà sur ces questions là».
Egalement pendant ces quatre séances, les enfants ont pu découvrir les différentes étapes du processus de création d’une pièce, pour finir par une représentation devant leurs camarades, quelques professeurs et Jean-Claude Germé, le principal du collège.
Malgré le trac, que tous les artistes connaissent avant d’entrer en scène, les élèves ont fort bien rendu leur travail de la semaine, à la grande satisfaction d’Amine Adjina et sous les applaudissements du public.
Ces jeunes artistes découvriront la pièce «Arthur et Ibrahim», à l’Estive le mardi 27 mars, à 10 heures. Le public lui, pourra la découvrir le 26 mars à 20h45.
Et d’ici là, vous pourrez écouter notre interview « 3 questions à Amine Adjina »
Le cinéma municipal de Mirepoix organise une projection du film « Irrintzina » suivi d’un débat.
Face au sentiment d’impuissance que provoque l’extrême gravité du dérèglement climatique, quelques militants de l’organisation basque Bizi ! font un pari fou : construire en quelques années une mobilisation sans précédent en vue de la COP21 et lancer un grand mouvement non-violent pour le climat : Alternatiba.
De Bayonne à Paris, sur des vélos multiplaces, coup de pédale après coup de pédale, en multipliant les villages des alternatives, de petites victoires en grandes mobilisations contre les multinationales des énergies fossiles et les banques qui les soutiennent, le lm raconte les étapes de ce e mobilisation.
Irrintzina, c’est un cri d’alarme sur l’effondrement de notre monde mais c’est aussi un cri de joie poussé par des centaines de militants déterminés qui ont réalisé que si, ensemble, ils ne faisaient rien, personne ne le ferait à leur place.
En janvier 2015, nous rencontrons pour la première fois l’équipe de Bizi! qui a lancé le mouvement Alternatiba dont nous racontons l’histoire dans notre lm Irrintzina, le cri de la génération climat. C’était le week-end post-a entat de Charlie Hebdo. Ce week-end là, Bizi! avait invité à Bayonne une centaine de militants venus de toute la France souhaitant organiser à leur tour un village des alternatives en vue de la COP21. Nous prenons alors la mesure de l’urgence climatique. C’est un véritable choc.
Irrintzina, le cri de la génération climat
De Sandra Blondel, Pascal Hennequin 8 novembre 2017/ 1h 40min / Documentaire / Français
Jeudi 1er mars à partir de 20h00
Espace Culturel Andre Malraux 14 Rue Vidal Lablache 09500 Mirepoix 05 61 68 29 98
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