Auteur/autrice : Laurence D’Azinat Tv

  • Médailles ariégeoises et valorisation des producteurs au Salon de l’Agriculture

    Médailles ariégeoises et valorisation des producteurs au Salon de l’Agriculture

    Pour la 3ème année consécutive, le Conseil Départemental de l’Ariège, en partenariat avec l’Agence de Développement Touristique Ariège-Pyrénées installent une véritable «Ambassade du bon goût ariégeois» du 24 février au 4 mars au Salon International de l’Agriculture de Paris.

    Au cœur du Hall 3, dédié aux Régions de France, l’Ariège pose ses valises les 9 jours du Salon avec non moins de 21 producteurs qui se partagent les 160 m2 de l’espace destiné à la promotion du Département, sans compter les éleveurs répartis dans les autres halls d’exposition. Répartis en 4 ilots, ce sont des produits phares et parfois originaux et surprenants qui sont proposés aux visiteurs du Salon : salaisons, vins, confitures, miels, viande de bœuf gascon, de poulet et d’agneau, fromages mais aussi pâte au sarrasin, sève de bouleau ou encore les « Sweet Pop’s » : sucettes-biscuits savoureuses et gourmandes ! 

    Dans cet espace de promotion du territoire, les visiteurs du Salon International de l’Agriculture (près de 620.000 en 2017) pourront découvrir les spécialités ariégeoises diverses et variées.

    Si le Département a décidé une fois encore de participer à cet événement d’envergure internationale, c’est avant tout pour valoriser les produits et les savoir-faire des filières agricoles et artisanales de son territoire, dans une logique de promotion et d’amélioration de sa notoriété.

    En étant présent pour la 3ème année consécutive et en proposant à ses producteurs un stand à leur image, le Département de l’Ariège choisi d’accentuer encore son soutien aux filières agricoles, et donc à l’économie du territoire.

    Des médailles ariégeoises attendues !

    2 médailles d’or et 1 médaille d’argent

    L’Ariège remporte ses premières médailles au Concours Général Agricole, organisé dans le cadre du Salon International de l’Agriculture, avec deux de ses 21 producteurs : la Charcuterie André Cazaux et le Domaine de Lastronque.

    Le Charcutier de Saint-Lizier vient de remporter deux médailles d’or avec sa « Saucisse sèche Pastou », dans les catégories « Jambons sec » et « Saucissons secs ».

    Quant au Domaine de Lastronque, producteur de vin ariégeois, il remporte une médaille d’argent dans la catégorie « Vins du Sud-Ouest ».

    Présents sur le Hall 1, les étudiants du Lycée Agricole de Pamiers défendront les épreuves de :

    • Manipulation le mercredi 28 février
    • Présentation le samedi 3 mars

    Ils présenteront sur ces deux épreuves « Chita », vache gasconne traditionnelle du territoire ariégeois, grande habituée des concours !

    Le groupe d’étudiants a également prévu de nombreuses animations sur son stand, en lien avec « l’Ambassade ariégeoise » installée dans le Hall 3 dédié aux Régions.

    Curiosités : des animations pour tous

    En complément de la partie dédiée aux producteurs, le stand ariégeois s’animera tout au long de Salon, au travers notamment d’animations originales telles que :

    La roue de la fortune

    Une roue de la fortune originale sera proposée sur le stand ariégeois : les visiteurs pourront tester leurs connaissances du territoire ariégeois et gagner des « Mammouths », qui leur permettront de déguster les spécialités des producteurs sur place !

    La borne à selfies

    Habituée du Salon et du stand ariégeois, la borne à selfies trônera au cœur de l’ilot animations, invitant les visiteurs à se faire photographier aux côtés d’une invitée ariégeoise surprise ! Chacun pourra repartir avec sa photo, souvenir d’un passage en terre ariégeoises !

    Le « Mammouth », revient

    Mise en place en 2017 et baptisée « Mammouth », en hommage à l’un des emblèmes du Département, la monnaie ariégeoise sera de nouveaux distribuée tout au long du Salon, et notamment aux lauréats des jeux et animations.

    Valable uniquement sur le stand de l’Ariège, cette monnaie leur permettra de découvrir les produits ariégeois présents sur le stand !

     

     

    Ils sont au SIA 2018

    Deux stands « Le marché ariégeois»

    La petite Ferme de Larché (Mirepoix)–Agneau et porcfermiers
    Les Gourmandises de Blours (Génat)–Confitures, gelées, jus de fruits
    Le Domaine de Lastronque (Lézat-sur-Lèze)– Vins
    Le Rucher de Pouech  (Moulis)– Miels de montagne
    Les Vergers de Bousigues (Le Carlaret) – Fruits, jus de fruits, gelées, confitures
    Les Coteaux d’Engravies (Vira)–Vins
    Domaine de Guilhot (Varilhes)– Foie gras, pâtés, conserves
     Terroirs du Plantaurel (Foix) – Foie gras, rillettes, canards confits, plats cuisinés, vins § PâteSobad’OlivierCampardou(Saint-Girons)–Pâtesausarrasin

     Les Délices de Pascale (Saint-Lizier) – Confitures
     Les Breuvages de Pyrène (MontégutPlantaurel)– Sambuc, Figazil et Framboisine Haras Picard du Sant(Lasserre)–Sève de Bouleau Bio
     SweetPops & Co (Verniolle)– Gâteaux – sucettes
     Coutellerie Savignac (Foix) – Couteaux artisanaux
     Laines Paysannes (Arignac) – Chaussettes, bonnets, pulls
     Chapellerie SIRE (Pamiers) – Chapeaux et accessoires de mode

    Un stand « Le comptoir ariégeois »

    Charcuterie Fontes (Mazères) – Jambons secs, jambons cuits, salaisons, boudins
    Le Moulin Gourmand (Engomer) – Fromages au lait cru
    La Maison Lacube (Les Cabannes) – Viande bovine
    Le Grenier à Jambons (Rimont) – Saucisses sèches, saucissons, pâtés, plats cuisinés
    Poulet d’Alexandre Sintes (Saverdun)– Poulet fermier

    Photos : © Helene Dagues / Raphael Kann

    Sources : CD09 / www.agencelacerise.com

  • Mirepoix : Cinéma dans le cadre du Festival des Images aux Mots – 23 février

    Mirepoix : Cinéma dans le cadre du Festival des Images aux Mots – 23 février

    La onzième édition du Festival du film LGBT « des Images aux Mots » de Toulouse s’est déroulée  du 5 au 11 Février 2018 à Toulouse, puis jusqu’au 25 février en Midi-Pyrénées.

    En Ariège, le cinéma de Mirepoix programme deux films dans le cadre de ce festival le vendredi 23 février à partir de 18h00

    A 18h00 projection de film Tom of Finlande 

    Ce biopic raconte comment Touko Laaksonen, un officier héroïque de la seconde guerre mondiale, de retour en Finlande, se réfugie dans l’art pour échapper aux persécutions contre les homosexuels. Il dessine dans le plus grand secret des hommes musclés, désinhibés et fiers d’être gays.

    Plus connu sous le pseudonyme de Tom of Finland, ses dessins homo-érotiques sont aujourd’hui diffusés dans le monde entier et il est devenu une icône de la culture gay, de la liberté et de l’émancipation individuelle.

    Voir la bande annonce www.youtube.com

    A 21h00 projection du film Seule la terre 

    Johnny travaille du matin au soir dans la ferme familiale, sur les terres peu hospitalières du Yorkshire. Alors que la saison de l’agnelage approche, son père malade fait appel à un
    saisonnier pour aider Johnny. Le seul candidat à postuler pour travailler à la ferme est roumain, il s’appelle Gheorghe. Les deux hommes vont devoir passer du temps ensemble et ce temps va les rapprocher ouvrant Johnny à de nouvelles émotions…

    Ce film raconte avant tout l’apprentissage de la tendresse et de l’amour dans une émotion brute et intense.

    Récompensé au festival du film de Sundance 2017 (Meilleur réalisateur) et au Festival du film britannique de Dinard 2017 (Hitchcock d’or). 

    Voir la bande annonce : www.youtube.com

    Tarif à 9 euros les deux films avec collation entre les deux 

    Espace Culturel Andre Malraux 14 Rue Vidal Lablache
    09500 Mirepoix
    05 61 68 29 98

  • Ax-les-Thermes : Explos Film Festival Winter 2018 – 21 février

    Ax-les-Thermes : Explos Film Festival Winter 2018 – 21 février

    Pour la quatrième édition de la session Winter de l’Explos Film Festival, Phil Bence son organisateur est venu nous parler du programme 

    Quatrième édition donc pour ce festival d’hiver, organisé pendant les vacances d’hiver, à l’heure ou la station est pleine et les touristes en demande d’activités complémentaires.

    A partir de 18 h : 

    Stand des nouveaux matériels : PETZL – TÉLÉMARK PYRÉNÉES – BLACK CROW –VALANDRÉ

    Rencontre avec Jeff MERCIER, expert en Cascade de Glace, membre du Team Petzl.

    Rencontre avec Bruno COMPAGNET, Skieur pro, créateur de Black Crow

    Restauration avec les bons produits locaux de la FERME du QUIÉ, boire un verre de bière locale VALAX et déguster les BISCUITS du MOULIN

    Rencontres  et échanges avec les invités.

    Exposition photo – Peio Gaillard – Skieur infatigable et photographe de talent, Peio arpente ses Pyrénées inlassablement et dans ses moindres recoins à la recherche d’instants de glisse précieux avec ses partenaires de jeu.

    A 18h00, une séance de projection gratuite juste après la journée de ski avec deux films au programme :

    Histoire d’un Ski avec Aurélien DUCROZ
    Glisse et fun
     avec le team pyrénéen de What’s Your Name

    A 20h30, une soirée pour découvrir plusieurs facettes de la montagne hivernale.

    Nocta, un clip d’intro onirique
    Portrait
     d’Enzo Valax, jeune champion et local de l’étape
    Glace et Chien de traineau avec le voyage de Jeff Mercier
    Aventure et Freeride avec Adrien Coirier et l’équipe de Maewan.

    En fin de soirée : Tirage de la TOMBOLA du festival WINTER avec nos partenaires de la soirée :

    Rendez-vous mercredi 21 février partir de 18h00 au Cinéma – Casino d’Ax les Thermes
    Promenade Paul Salette

    Toutes les infos et réservation : explos-festival.com

  • A Mazères, le Domaine de Garabaud s’est fait une nouvelle jeunesse …

    A Mazères, le Domaine de Garabaud s’est fait une nouvelle jeunesse …

    Le Domaine de Garabaud est un espace de services aux personnes et aux entreprises mais aussi un lieu où un projet social est à l’oeuvre. En effet, cette initiative est développée par l’Entreprise d’Insertion « Le Hérisson » qui participe activement au réseau local d’insertion par l’activité économique et ce, depuis 1992. 

    Situé à Mazères (Ariège), cet hôtel-Restaurant de 2 étoiles et de 20 chambres, vient d’achever son programme de modernisation pour un montant de 260 000 € HT (Financements de la Région Occitanie à hauteur de 36 000 € et du Conseil Départemental de l’Ariège pour 36 000 €).

    Crée en 2003, le Domaine de Garabaud bénéficie de l’agrément ESUS (Entreprise Solidaire d’Utilité Sociale), en 2014, il obtient son classement en 2 étoiles 

    Aujourd’hui, après 1 an de travaux portés sur la réfection complète des chambres et du restaurant, permettant une montée en gamme des prestations, une amélioration des performances énergétiques et la mise aux normes, le Domaine de Garabaud vient d’être récompensé par l’obtention de la marque Tourisme et Handicap (Moteur, Visuel, Mental). Il devient ainsi le premier hôtel et le 9ème hébergement à obtenir ce label dans le département.

    Les travaux s’achèveront par l’installation d’une climatisation et de l’insonorisation dans la salle de restaurant et de ses salles de réunion.

    Désormais, avec ces nouveaux éléments de confort, ses 4 hectares, ses salles de réunions, son chapiteau, sa piscine, son court de tennis, son terrain de football, le Domaine aspire au développement des séminaires, des groupes ou des séjours à vocation culturelle, sportive ou familiale… en lien avec les richesses du département ariègeois.

    Le Domaine de Garabaud possède déjà les agréments Education Nationale et jeunesse et sports.

    Sa restauration traditionnelle préparée maison, permettra d’agrémenter ces moments dans une ambiance chaleureuse et familiale.

    Domaine de GARABAUD Restaurant le HERISSON
    route de Calmont
    09270 MAZERES
    www.domainedegarabaud.fr
    secretariatgarabaud@wanadoo.fr

    Isabelle DESCHAMPS – 05.61.69.04.26 

  • De l’OR pour Perrine, la fierté de l’Ariège

    De l’OR pour Perrine, la fierté de l’Ariège

    Ce dimanche 11 février, toute l’Ariège et particulièrement les Monts d’Olmes, via un écran géant installé pour suivre le direct, avaient les yeux rivés sur la Corée du sud et les Jeux Olympiques de PyeongChang pour suivre son enfant chérie Perrine Laffont, pour la finale de ski de bosses.

    Retour sur un merveilleux moment de sport ! 

    Un temps de 29.33 dans le 1er Run et Perrine prend la sixième place et se qualifie pour le second run «Maintenant il faut qu’elle nous fasse péter un run de pépette !!!!! » explique le commentateur.

    Quelques minutes plus tard 2ème run… avec un temps de 29.78 et 77.86 points, Perrine se classe 3ème et se qualifie pour la super finale.

    14h16, heure française, 22h16 en Corée par -20 (-30 ressentis), Perrine va s’élancer en 4ème position juste derrière la canadienne Justine Dufour Lapointe. Avec un temps de 29.36  et 78.65 points, elle se classe 1ère mais il reste 2 candidates…

    Fin de suspense quelques minutes plus tard, elle est Médaille d’OR.

    A 19 ans elle remporte ainsi la première médaille d’or française de ces Jeux Olympiques d’hiver, la déception de Sotchi est loin derrière…  quelle consécration !

    «J’en ai tellement rêvé» explique Ludovic Didier son entraineur «ce qu’elle a fait ce soir, c’est fantastique !» 

    «J’en ai rêvé tellement de fois de ce podium, de cette victoire, et je suis tellement fatiguée, j’ai du mal à le croire et j’ai besoin d’une bonne nuit de sommeil mais je suis fière d’avoir ramené cette médaille à la France» dit Perrine en larme au micro de France 3 !

    Doit on dire, que l’on est super fier nous aussi ?

    Et les félicitations n’ont pas manquées :

    Une très belle championne qui respire la joie et la jeunesse. Toutes mes félicitations à toi,  Perrine, qui nous fait rêver depuis des années. Aujourd’hui, le rêve est devenu réalité. Cette médaille d’or illumine les Monts d’Olmes, Lavelanet, Niaux  et toute  l’Ariège. Je tiens à m’associer à l’immense joie de tes parents et grands-parents qui t’accompagnent depuis 19 ans  pour monter enfin sur la première marche du podium olympique, un podium bien mérité. Bravo Perrine, je t’embrasse depuis l’Ariège.
    Alain Duran Sénateur de l’Ariège

    « Ma Chère Perrine, MA-GNI-FI-QUE ! Tu es très grande, tu nous as fait chavirer d’espérance, d’émotion et de joie intense, intense ! Je suis aux Monts d’Olmes, ta station et tu ne peux imaginer l’exubérance provoquée par ta montée en régime, 6e, 3e et là où il fallait, quand il le fallait, première avec des nerfs de fer, avec beaucoup de courage et de sacrifices, les tiens et aussi toute ta famille, présente en Corée à ce rendez-vous avec la gloire olympique. Je t’embrasse très fort. »
    Henri Nayrou, Président du Conseil Départemental de l’Ariège

    Comme tous les ariégeois, nous sommes très fier de la médaille d’OR de Perrine Laffont qui fait rentrer l’Ariège dans l’Histoire du Sport. Sa performance exceptionnelle est le résultat de son implication toute particulière dans la préparation des ces Jeux Olympiques.
    La première médaille française de ces JO 2018 est ariégeoise.
    Nous avons transmis toutes nos félicitations et nos plus vives émotions à Perrine par l’intermédiaire de sa famille présente sur place pour cette épreuve magique.
    Les Monts d’Olmes et toute l’Ariège sont à l’honneur à travers la plus belle des médailles.
    Encore Bravo Perrine
    Vive Perrine, Vive les Monts d’Olmes, Vive l’Ariège et Vive la France
    Amitiés,
    Geraldine Pons et Jean-Michel Soler Conseillers Départementaux du Canton des Portes d’Ariège

  • Zones Défavorisées Simples : une victoire pour la FDSEA et JA 09

    Zones Défavorisées Simples : une victoire pour la FDSEA et JA 09

    Les Jeunes Agriculteurs Ariège communiquent : 

    Ces derniers jours, la FDSEA et les Jeunes Agriculteurs de l’Ariège ont mené différentes actions sur le dossier des Zones Défavorisées Simples pour s’assurer que la totalité du territoire ariégeois soit classé et pour soutenir les agriculteurs des communes sortantes dans le reste de la région Occitanie.

    Mardi et mercredi, 150 agriculteurs ariégeois et près de 40 tracteurs se sont déplacés en Haute- Garonne suite à un appel de nos deux syndicats pour faire entendre leur mécontentement sur la gestion de ce dossier et montrer leur volonté de faire classer les 500 communes menacées de sortir de ce zonage en Occitanie.

    En parallèle, la FDSEA et les JA de l’Ariège ont échangé plusieurs fois avec les pouvoirs publics pour que le classement soit favorable aux attentes des agriculteurs :

    • Auprès de Carole Delga, la présidente de la région Occitanie, lors d’une action menée pour lui demander son soutien.
    • Avec Julien Denormandie, secrétaire d’État auprès du ministre de la Cohésion des territoires qui a reçu une délégation de trois agriculteurs dont un ariégeois qui se sont présentés spontanément lors de son passage le lundi 6 Février en Ariège.
    • Lors d’une rencontre organisée par la FRSEA et JA Occitanie à l’assemblée nationale avec les députés.

    D’autres actions ont été menées au niveau régional dont une rencontre entre une délégation de la FRSEA et JA Occitanie et le Ministre de l’agriculture puis par sa directrice de cabinet.

    Ce sont l’ensemble de ces mobilisations et actions qui ont permis à la FDSEA et aux JA 09 de remporter une victoire importante. Les pouvoirs publics affirment à ce jour que la totalité de l’Ariège sera classée en Zone Défavorisée.

    Cependant, pour l’instant, seules 345 des 500 communes de la région Occitanie ont la certitude d’être classées Zones Défavorisées. Les syndicats comptent sur la force de persuasion des députés rencontrés à Paris pour reclasser les communes qui sont encore mises à l’écart. La FDSEA et les JA de l’Ariège sauront se mobiliser à l’avenir en soutien de celles-ci si les signes favorables donnés par le ministère de l’Agriculture et les députés ne sont pas entérinés.

    JEUNES AGRICULTEURS ARIÈGE
    05.61.02.14.24 / 06.70.00.71.98
    mail: jeunesagriculteurs09@gmail.com

  • Saint Valentin, c’est tellement simple, l’amour !

    Saint Valentin, c’est tellement simple, l’amour !

    14 février, le jour de la Saint-Valentin, est considéré dans de nombreux pays comme la fête des amoureux. Les couples en profitent pour échanger des mots doux et des cadeaux comme preuves d’amour. C’est également la fête des commerçants, à l’image de Noël, de la fête des mères, des pères, des grands-mères…. Mais, la fête des amoureux n’a pas toujours eu cet aspect mercantile.

    Dans l’Antiquité, Le 15 février, les Romains célébraient avec faste le dieu Faunus Lupercus, dans une grande fête païenne dédiée à l’amour et à la fécondité (Fête des Lupercales). Pour contrer cette célébration parfois débauchée, le Pape Gélase Ier, en 495, décida de marquer plus solennellement saint Valentin. C’est dans cette tentative d’enduire d’une patine chrétienne ces rites désormais ancrés dans la tradition populaire, qu’il décide de l’anticiper au 14 février. Ainsi fut supprimée progressivement la dernière fête païenne. 

    Saint-Valentin

    Au moins trois saints différents sont nommés Valentin, tous trois martyrs. Leur fête a été fixée le 14 février par décret du pape Gelase 1er, en 495. C’est à cette date qu’ils sont mentionnés dans les premiers martyrologes :

    • Valentin de Rome, un prêtre qui a souffert le martyre à Rome dans la seconde moitié du IIIème siècle et qui a été enterré sur la Via Flaminia.
    • Valentin de Terni, un évêque d’Interamma (le Terni moderne), qui a également souffert le martyre dans la deuxième moitié du IIIème siècle et qui a également été enterré sur la Via Flaminia.
    • un troisième Valentin, ayant vécu en Afrique avec d’autres compagnons.

    Selon le Martyrologe romain de 1705, les deux premiers Valentin (morts à la même période et enterrés au même endroit), seraient en fait une même personne, présentée sous ses deux fonctions successives.

    Cependant, l’origine réelle de cette fête de Saint-Valentin, telle qu’on la connait aujourd’hui avec une connotation amoureuse, remonte au XIVe siècle en Angleterre, où l’on croyait que le 14 février était le jour où les oiseaux se mettent en couple. Il était courant durant cette période que les amoureux échangent des billets et s’appellent chacun leur Valentin.

    En Amérique du Nord, les échanges de cartes ne se font pas selon la conception européenne où la carte de Saint-Valentin est envoyée à une personne « unique ». Il n’est pas rare qu’une personne y envoie une dizaine de cartes, et même que des élèves d’école primaire en envoient à leur maîtresse d’école.

    Quoi qu’il en soit, aujourd’hui la Saint-Valentin est l’occasion parfaite pour tous les couples de s’offrir des petits cadeaux, de tester quelques jeux coquins, bref, de briser la routine du quotidien.

  • Mardi gras, entre Carnaval et Carême.

    Mardi gras, entre Carnaval et Carême.

    Mardi gras a lieu tous les ans à une date différente qui est fixée par rapport à la date de Pâques : Il s’agit de la veille du Mercredi des cendres, fête catholique qui marque le début du carême. Ainsi, le Mardi Gras est toujours fixé entre le 3 février et le 9 mars soit 47 jours avant Pâques. Cette année il tombe le 13 février.

    Le carême fait en particulier référence aux quarante années passées au désert par le peuple d’Israël entre sa sortie d’Égypte et son entrée en terre promise ; elle renvoie aussi aux quarante jours passés par le Christ au désert entre son baptême et le début de sa vie publique. La durée du Carême est de quarante jours sans compter les dimanches.

    La tradition voulait donc qu’en cette veille du début de période de privation, on faisait « gras » et on en profitait donc pour préparer des beignets, bugnes ou autres fritures mais aussi des crêpes. 

    C’est aussi le jour de mardi gras que s’achèvent la période des carnavals qui a commencé le 6 janvier,  jour de l’Epiphanie. Voilà la raison pour laquelle il est de tradition de se déguiser le jour de mardi-gras.

    En France il ne s’agit pas d’un jour férié, au contraire de la Suisse, du Portugal et du Brésil en particulier.

    La mi-carême, fêtée le jeudi de la 3ème semaine de carême, est également un jour de fête où on fait aussi des crêpes.

    Pourquoi faire autant de crèpes ?

    La logique du bon sens économique ! Le Carême est un temps de jeûne et les générations passées prenaient très au sérieux cet aspect particulier. Même les œufs étaient interdits. Mais les œufs ne se conservent guère plus de vingt jours, c’est-à-dire la moitié de quarante. C’est pour ne pas perdre cette denrée précieuse pour beaucoup, qu’on l’utilisait sous toutes les formes possibles.

    De la même manière, c’est pour vider les réserves qu’on fait des crêpes pour le mardi gras.

    Après la mi-Carême, on attend à nouveau vingt jours pour sortir, décorés de joie pascale, les œufs gardés en réserve.

  • Guy Pujol dit l’ARIÉ….JOIE a deux passions : le foot et l’écriture

    Guy Pujol dit l’ARIÉ….JOIE a deux passions : le foot et l’écriture

    Joueur dès l’âge de 12 ans dans son club fétiche du Mas d’Azil, il y restera jusqu’à l’âge de 20 ans avant de s’exiler vers la Capitale en 1973, se marier avec une Bretonne, pour rentrer ensuite dans la Banque, celle du Crédit Agricole.

    Après avoir manipulé les chiffres pendant près de 40 ans il s’est investi, dès sa retraite venue, dans les lettres.

    Passionné de voyages, après avoir parcouru plus de 50 pays sur la planète où il continue à voyager, il a appris à présenter ses escapades dans le monde, mais aussi dans nos belles régions françaises, sous la forme de diaporamas imagés et illustrés de textes, de légendes et d’histoires.

    C’est en lisant les belles poésies de celui qui deviendra son Ami, Marco le poète du Vallon de Marcillac, qu’il mettra sa plume au service de ses poèmes naturalistes en quatrains rimés.

    Il a à son actif une pléiade de poèmes sur tous les mois de l’année et les saisons, mais aussi beaucoup d’autres décrivant les merveilles du patrimoine des coins de France.

    Il a mis plus de 2 ans, depuis 2016, à fouiller sa mémoire de « gaffet » ariégeois pour proposer à ses fidèles lecteurs un livre de 160 pages décrivant avec passion ses expériences de gosses, toutes reliées à des poèmes sur les 4 premiers mois de l’année.

    Son premier livre « L’Ariège à Cœur ou VersAu fil de l’Arize » relate 4 nouvelles de Janvier à Avril 1956 avec sa première expérience de chasse auprès de son papa, fine gâchette bécassier et de son chien Bill, pour février il nous conte les rigueurs de l’hiver sibérien de 1956, en mars, au printemps renaissant il nous emmène dans la ferme d’Alfred, son deuxième papa, et pour avril, lui l’élève turbulent, il se met en scène dans son école.

     

    L’Ariège à Cœur ou VersAu fil de l’Arize
    Éditions ACALA

    guypujol@orange.fr

    www.bienvenue-chez-ariejoie.fr

  • L’invité.e de la semaine : Claude Fressonnet « Université Populaire en Kercob »

    L’invité.e de la semaine : Claude Fressonnet « Université Populaire en Kercob »

    Claude Fressonnet est venue dans nos locaux nous parler de la jeune « Université Populaire en Kercob » qui organise le 18 février sa première conférence à Chalabre.

    Une Université populaire, c’est un organisme, très souvent une association, d’éducation populaire, dont l’objectif est la transmission de savoirs théoriques ou pratiques pour tous. 

    Il s’agit là d’organiser de conférences avec débat et ouvertes à tous.

    L‘Université Populaire en Kercob, dont le siège est à Chalabre dans l’Aude couvrira donc la petite région du Kercorb, ainsi il y aura des conférences à Montbel et Moulin Neuf. 

    Pour la première, qui aura lieu le dimanche 18 février à Chalabre, c’est un grand Monsieur qui leur fera l’honneur de l’ouverture, puisque Jean Clottes, paléontologue, ancien Directeur des Antiquités préhistoriques de la région Midi- Pyrénées et Président du Comité International d’Art Rupestre de l’ICOMOS viendra parler de «L’art rupestre des cavernes des Pyrénées».

    Cette première sera également l’occasion de la première assemblée Générale qui se déroulera à 14 h, juste avant la conférence. Vous êtes les bienvenus si vous voulez faire partie du Conseil d’administration.Un nombre de 6 à 15 personnes est requis, venant de préférence de différents villages. Vous pouvez proposer votre candidature, de préférence à l’avance (upek11@laposte.net), ou bien le jour-même de l’AG. Il vous sera demandé simplement de vous présenter, nom, prénom, village ainsi que très succinctement votre motivation.

    Les conférences sont ouvertes à tous, elles sont gratuites pour les adhérents et à participation libre pour les non-adhérents.Votre adhésion (10 € par an) est la bienvenue, mieux encore votre participation au sein de l’association sera vivement souhaitée, un des buts d’UPEK est de faire vivre les villages !

    1ère conférence :

    Dimanche 18 Février 2018 à 16 h à CHALABRE, salle de l’Abattoir : « L’art rupestre des cavernes des Pyrénées » par Jean CLOTTES

    Le reste du programme : 

    Samedi 24 Mars 2018 à 16 h à MOULIN NEUF, salle des Fêtes : «La communication entre les arbres » par Francis HALLÉ, botaniste spécialisé dans les arbres et les forêts des tropiques, ancien professeur à l’université des sciences de Montpellier. Auteur de nombreux livres, dont “Plaidoyer pour l’arbre”.

    Vendredi 20 avril à 20 h 30 à Villefort, salle des fêtes, : « Les plantes médicinales » par Moutsie CLAISSE, ethno-botaniste et auteure de nombreux ouvrages sur les plantes.

    Vendredi 25 mai à 20 h 30 à Montbel, Maison du Lac : « Nos chères poubelles : le prix bientôt rédhibitoire des ordures ménagères » par Simone VERDIER, maire de Manses, déléguée environnement et vice-présidente de la Communauté des Communes du Pays de Mirepoix, vice-présidente du SMECTOM du Plantaurel

    Contact : Université Populaire en Kercorb (UPEK), Mairie de Chalabre, 1 Cours Sully, 11230 CHALABRE. Courriel : upek11@laposte.net Blog : upek.over-blog.com

  • Clermont : week-end au Souleilla – du 8 au 11 février

    Clermont : week-end au Souleilla – du 8 au 11 février

    Jeudi 8 Février

    à partir de 19 H : soirée jeux divers , pense à les amener !

    Vendredi 9 Février

    à partir de 19H soirée “reste pas tout seul !”
    apéro quizz, jeux de comptoir   : tu sais pas chanter ou tu chante faux et bien cette soirée c’est pour toi ( distribution de boulle kiés pour le public bie

    Samedi 10 Février : 22h THE RURAL SINGERS

    Envie de faire un tour dans l’Amérique ariégeoise profonde ?

    Les Rural Singers c’est tout et n’importe quoi (… et surtout n’importe quoi !)… à la sauce Bluegrass, Celtique ou Cajun. Les quatre « rednecks » proposent bien sûr dans leur répertoire d’authentiques morceaux de folk. Mais leur spécialité, c’est le détournement : tubes de variété américaine, chanson française, Punk ou Rock’n’roll. Tout y passe, habillé à la sauce « O’ Brother », avec des instruments 100% acoustiques et des voix harmonisées.
    Leur page Facebook >  Rural Singer

    Dimanche 11 Février

    à partir de 19H soirée fondues ou raclette
    élaborer avec de la viandes et de la charcuteries local et du fromages bio de Camarade 09

    Le resto est ouvert midi et soir du jeudi au dimanche 

    Le Souleilla Village 
    Clermont 09240

    www.souleilla.com / 05 34 09 02 20

  • Verniolle : Journée polar et soirée Chansons et Rebonds – 10 février

    Verniolle : Journée polar et soirée Chansons et Rebonds – 10 février

    La journée va être chargé samedi au Relais de Poche 

    Le matin dès 11h00, des auteurs du coin, qui parfois parlent de l’Ariège. Venez les découvrir, venez les rencontrer, ils vous parleront crimes et autres joyeusetés

    Remy MARROT

    L’affaire Erwan Dominici

    Il était une fois en Ariège, une ombre maléfique s’adonnant à un jeu de piste sur des lieux de mémoire de la Première Guerre mondiale. Il était une fois dans un pays des Balkans en guerre, une petite fille qui aimait les caramels et dont le frère avait fait une promesse ; celle d’être toujours à ses côtés pour la protéger. Quel lien existe-t-il entre ces deux histoires ? Alors que le journaliste Erwan Dominici voit resurgir ses cauchemars d’enfance et se retrouve suspecté dans l’enquête, la commissaire Elisabeth Melvin va devoir démêler le vrai du faux. Mais saura-t-elle mettre de côté ses sentiments pour Erwan alors que tout accuse ce dernier ? Un roman policier et sentimental marqué par les traumatismes de l’enfance et l’empreinte de l’Histoire. Comme dans son premier roman, Le Tribunal du peuple paru chez TDO Éditions en 2014, l’auteur poursuit en parallèle deux histoires : l’une dans le passé, l’autre contemporaine.

    Le tribunal du peuple

    Un jeune randonneur sauvagement assassiné en montagne, un vieillard retrouvé étouffé dans sa maison de retraite ; deux personnes en apparence sans histoires ni aucun lien présumé. C’est beaucoup plus qu’il n’en faut pour semer la panique dans ce coin d’Ariège au quotidien d’ordinaire si paisible. Erwan, seul pigiste disponible à la Rédaction de La Feuille du Sud, le journal local, se retrouve propulsé sur sa première scène de crime. L’occasion pour lui de faire ses preuves ! Débute alors sa tumultueuse collaboration avec Elisabeth Melvin, la commissaire chargée de l’enquête. Peu à peu, grâce à un talent d’investigation certain et une intuition quasi policière, Erwan va patiemment s’attacher à dénouer les fils d’une intrigue complexe où les meurtres se succèdent au grand dam d’habitants qui s’entêtent à refuser de livrer un douloureux secret de village…

    Patrick CAUJOLE 

    Beau temps pour les couleuvres

    On n’en meurt pas, c’est vrai, mais leur morsure fait mal et c’est ce que va apprendre à ses dépens le capitaine de police Gérard Escaude. Une femme retrouvée poignardée dans sa maison, et voilà comment, de Toulouse à Paris en passant par Montauban ou les Pyrénées, ce condé à l’ancienne, spirituel et amateur de spiritueux, va voir plusieurs bêtes à sang froid valser autour de son enquête. Loin des parodies des séries policières, l’écriture de Patrick Caujolle plonge sans concession ses lecteurs dans le réalisme d’une enquête policière.

    Histoire de la France polissonne

    Dans une passionnante enquête – première du genre dans l’hexagone – l’écrivain Patrick Gaujolle soulève les jupes de l’histoire de France pour en tirer de succulents récits. Sait-on qu’une maison close idyllique et dessinée en forme de phallus a été conçue au XVIIIe siècle par l’un des plus grands architectes de notre pays ? Comment le Docteur Voronoff a-t-il redonné la vigueur sexuelle à de célèbres patients en leur greffant des testicules de singe ? De quelle manière Victor Hugo, qui était accroc au sexe, a-t-il consigné tous ses « exploits » dans des carnets secrets ? Des talents d’une « petite comtesse » de Béziers, en passant par le parc aux cerfs de Louis XV, jusqu’aux écarts de Napoléon III et du président de la République Félix Faure, c’est avec faconde et finesse que Patrick Caujolle dévoile les faces cachées de notre passé. Tout, vous saurez tout des nuits folles du Régent, des frasques du jésuite toulonnais Girard, du phimosis de Louis XVI, de la délicate procédure du « Congrès », de l’histoire de la ceinture de chasteté ou de cette noble dame fécondée… par un vent d’Est pour le moins coquin. Prêts à dévorer tous ces récits ?

    R.I.P.

    Patrick Caujolle a été flic, un écrivain spécialisé dans le polar n’a pas forcément besoin de l’avoir été mais il faut bien reconnaître que ce type d’expérience vous donne une bonne longueur d’avance sur vos poursuivants. A ce titre Caujolle possède le talent des écrivains qui savent dès les premières pages placer le lecteur dans une atmosphère particulière, en l’occurrence celle du commissariat de Carcassonne où travaille le capitaine de police Gérard Escaude qui a fui Toulouse et ses embouteillages pour retrouver une existence plus paisible.
    Mais la région de Carcassonne possède des particularités inattendues. D’abord la roche de Bugarach, son magnétisme, son supposé trésor caché et son tarmac à OVNI façon rencontre du troisième type. Deux cent habitants selon le recensement officiel , dix mille selon les organisateurs d’embarquement planétaire. Non loin de là Rennes-le-Château, son église et son cimetière ésotériques, quand à son trésor il fait courir pas mal de monde depuis des décennies.
    Alors quand on découvre dans le village en plein hiver, le corps sans vie d’une écrivaine locale la main droite amputée, le capitaine Escaude se retrouve embarquée dans une affaire où les cadavres de femmes se multiplient et où la vérité parait aussi figée que le mercure du thermomètre.
    Patrick Caujolle parvient après “ Beau temps pour les couleuvres” à nous proposer un second roman abouti où personne ne repose vraiment en paix comme le suggère le titre “Requiescat in Pace” . Où l’on en apprend beaucoup sur le refroidissement progressif d’un cadavre, la technique des interrogatoires informels façon encéphalogramme et sur la fin du vieux rêve que fait tout policier en début de carrière : ressembler à un flic de série télévisée.
    “R.I.P” est une œuvre solide qui sait jouer sur les codes du genre en nous entrainant dans une affaire remarquablement bien ficelée. On se laisse entrainer dans le courant trouble d’un récit qui charrie tout ce que l’humanité peut inventer d’idées bizarres et d’inventions farfelues ce qui n’empêche pas la police de faire son travail.
                                                                                               Archibald PLOOM (CULTURE-CHRONIQUE)

    Ennemis publics N°1

    Ils ont fait trembler la France et lancé les polices du monde entier à leurs trousses ! Pourtant, ces ennemis publics n°1 de notre pays sont souvent mal connus : qui se souvient d’Alexandre Jacob, de Joseph Vacher, de Ludinghausen-Wolff ou d’Ange Luccarotti ? Leurs évasions, leurs coups de génie, leurs cavales ponctuent des vies extraordinaires dont on tire le fil avec stupéfaction. Dans ce livre, d’autres voyous d’envergure aux noms plus familiers sont mis à nu : Bonnot, Mesrine, Spaggiari, Landru…L’auteur dévoile enfin: leurs véritables personnalités, leurs motivations. La folie, l’argent facile, la revanche ? Pas toujours…De Cartouche au gang des Lyonnais, de Mandrin à Thierry Paulin, du XVIIIe siècle aux portes du XXIe, Patrick Caujolle nous embarque dans des chasses à l’homme haletantes. Comment un homme devient-il un ennemi public n°1 ? Comment un ennemi public n°1 devient-il une légende ? La réponse est dans ces pages…Attention aux balles perdues ! 

    Casses du siècle, meurtre au sommet de l’Etat Français, …

    Thierry BENOIT

    Sans Homicide Fixe

    Le gendarme tenait son arme à bout de bras. En déplaçant ses jumelles, Mehdi suivit la direction du pistolet. Il eut à peine le temps d’apercevoir la vache. Le sang gicla entre les deux cornes, l’animal s’effondra et il entendit le coup de feu avec le léger décalage dû à la distance. Sans jeter un coup d’œil au bovin, les militaires s’étaient précipités vers une touffe de ronces à quelques pas de l’animal. Mehdi cherchait en vain l’objet de leur agitation quand la cavalerie entra en scène : six voitures de pompiers et de gendarmerie approchaient, sirènes hurlantes. Il n’y comprenait rien, mais sa vieille expérience de vagabond lui commandait la prudence : mettre les voiles. Adieu sédentarité ariégeoise, retour à la rue toulousaine.

    Samedi 10 février de 1h00 à 16h00

    Possibilité de manger avec les auteurs entre midi et 14h00 … sur réservation uniquement (au 06 71 598 298)

    Et le soir ça continue….

    Accordéon brut c’est à dire poumon, guitare saturée comme qui dirait tronçonneuse, et jonglerie percussive autant​ dire batterie spectaculaire, ZAP est un trio tout venin ! Chansons, instrumentaux, improvisations, textes, compos ou reprises ; éclectique, inclassable, surprenant, ZAP défriche, fouille, se mouille, tente, met les pieds dans le plat et les mains à la pâte.

    Un spectacle musical, circassien qui fait entendre le son des mots et le sens des sons en questionnant sans cesse le là -ici- et le là -maintenant-.

    Claude Delrieu tombe tôt dans l’univers des sons. Il débute l’accordéon vers l’âge de 5 ans (à ce qu’on lui a dit) puis étudie la guitare au conservatoire de Toulouse ou il obtient une médaille d’or. Il suit alors un cheminement très intuitif allant du rock patois (groupe tric trac) à la chanson (album solo « tes lapins »),en passant par la musique classique (duo Delrieu Pagès) ou improvisée (Duo « Dos à Dos » avec Philippe Gelda). Il croise, accompagne, partage des spectacles avec : Jean Pierre Beauredon, Michel Vivoux, Loïc Lantoine, Eric Lareine, La compagnie des musiques à Ouir, Denis Charolles, Les Etrangers Familiers, Brigitte Fontaine.

    Pablo Nicoleau est unGuitariste agité, élevé par un chat noir. Influencé par la scène garage/lo-fi (Thee Oh Sees, Ty Segall…),il a suivi les inégalables cours de l’école de musique de Saverdun. Il a participé au spectacle ‘Cabaret chez Georges’ (Cie du chat noir), avant de fonder avec 3 amis lycéens le groupe de rock indé Purr. La clique enregistre un EP chez Claude Delrieu, et clôt sa courte mais prolifique existence par un enregistrement ‘fait maison’ (disponible gratuitement sur Bandcamp). Devenu batteur d’I&I, quintet rock qui compose en français et humble lauréat du très très très prestigieux tremplin du CROUS Toulouse, Pablo poursuit en parallèle ses études de philosophie. Du fait de son jeune âge et de son éparpillement stylistique, vous constaterez ici qu’on a plus affaire à une ébauche qu’à une carrière.

    Tibo Tout Court est un jongleur percussif , diablotin assoiffé de jongle rebondissante et de musique. Formé à l’Ecole de Cirque du Lido de Toulouse où il entre en 1994 sous l’œil de Christian Coumin, il commence en 2004 un réel travail autour de la jonglerie sonore, prétexte à de multiples collaborations avec : Mr Le Directeur, Le Cirque Plume, Le Cirque Gosh, Bouglione, Dorembus, EnguerranKonglo et Tempo d’la Balle, L’Agit .  Un parcours atypique, jonglant entre les scènes de théâtre, les chapiteaux de Cirques, les plateaux de cinéma …L’amour de la scène du Public et de l’instant présent !! All the ball in the hole and the show will go on !

    Samedi 10 Février 2018 à 20h30 au Relais de Poche à Verniolle (09)​

    ​Ouverture des Portes à 20h00, possibilité d’une petite restauration sur place de 19h00 à 20H00 // Réservation:06 71 59 82 98​

    Le relais de Poche 
    2 rue de la République – 09340 Verniolle

    Réservation sur www.relaisdepoche.org
    06 71 598 298