Auteur/autrice : Laurence D’Azinat Tv

  • La Grange ariégeoise, au service de l’automobile ancienne de collection !

    La Grange ariégeoise, au service de l’automobile ancienne de collection !

    Fils d’agriculteurs, ariégeois de souche et de coeur, Jean-Marc Poulain s’en est allé, après le baccalauréat, faire son service militaire et poursuivre des études de mécanique. Après des années au service de grosses entreprises, il décide de revenir dans son Ariège natale, près de Mirepoix, pour vivre de sa passion, l’automobile ancienne de collection.

    Il y a à peine deux mois, Jean-Marc à créé son entreprise, la Grange ariégeoise, une entreprise de conseils, entretien/réparation et achat/vente de voitures anciennes de collection. 

    L’occasion pour lui de revenir aux sources et de vivre pleinement de sa passion. 

    «Cette passion m’est venue parce qu’elle m’a été transmise par mon père. Je suis tombé dans la marmite quand j’étais petit, et j’ai toujours eu cette attraction très forte pour des voitures hors du temps, avec une vision décalée lorsque l’on est au volant» explique Jean-Marc.

    Une passion qui ne s’arrête pas à la voiture ; entre une Citroën CX 25 GTI Turbo 2 de 1985, la plus récente de la collection et une Peugeot 127 de 1911, la plus ancienne, en passant par une Delage de 1923,  elle s’articule en fait sur le moteur à explosion. C’est pourquoi Jean-Marc est en train de redonner vie à de vieux tracteurs ainsi qu’à une fabuleuse moto avec un moteur  des établissements Ballot de 225 cm3 de 1922 avec ses cuirs d’origine, une marque aujourd’hui disparue.

    «Une passion serait bien fade si elle n’était pas partagée

    Avec la Grange ariégeoise, Jean-Marc Poulain, ne veut pas seulement vivre de sa passion, mais également la communiquer.  

    «Redonner vie à de la mécanique comme ça, c’est une tâche qui me paraît noble» explique t’il et c’est ce qu’il propose de faire avec la Grange ariégeoise : d’accompagner les personnes dans ce genre de démarche pour faire revivre leur voiture.

    Si vous avez une vielle voiture ou moto qui dort au fond d’un garage, si vous avez en tête l’achat d’une voiture de collection, et si vous vous ne vous y connaissez pas, Jean-MArc Poulain est l’homme de la situation. 

    Pour contacter la Grange ariégeoise : 

    lagrangeariegeoise.com

    www.facebook.com

  • Saverdun, l’opération « Récup’Vélos en Liberté » récompensé par un Territoria d’Or !

    Saverdun, l’opération « Récup’Vélos en Liberté » récompensé par un Territoria d’Or !

    Qui a dit que Saverdun avait des petits vélos dans la tête ?

    En juin 2017, la mairie de Saverdun avait décidé de récupérer des vélos à la déchetterie, de les réparer, de les customiser   aux couleurs de la ville (rouge et jaune) puis de les remettre en liberté dans la ville ! Gratuitement et sans durée, pour un usage partagé ! Ce sont les employés communaux, à temps perdu, qui remettent ces machines en état de marche.

    Le maire, Philippe Calléja, mise sur la citoyenneté des habitants pour pérenniser le service, une démarche écologique, durable et citoyenne.

    Cette opération fait partie de la quinzaine d’actions de gestion durable et éco responsable engagées par la commune.

    Réuni le 19 octobre sous la présidence de Jacques Mézard, ministre de la Cohésion des territoires, le Jury du Prix TERRITORIA a sélectionné les initiatives lauréates 2017 au regard de trois critères : innovation, aptitude à être repris par d’autres collectivités,  bonne utilisation des deniers publics.38 dossiers (présentés par 31 collectivités) ont été récompensés par le jury qui leur a attribué  : 22 TERRITORIA d’OR, 6 TERRITORIA d’Argent et 10 TERRITORIA de Bronze

    Le Jury a décidé de récompenser « Récup’Vélos en Liberté » et de lui attribuer un Territoria d’Or !

    La remise du Prix aura lieu le mardi 14 novembre prochain dans les salons de la Présidence du Sénat.

    L’Observatoire National de l’Innovation Publique, organise depuis 1986 le Prix TERRITORIA pour valoriser les innovations de terrain des collectivités territoriales.
    Les quelques 600 initiatives récompensées par le Prix TERRITORIA peuvent être consultées sur le site www.territoria.asso.fr.

     

  • Castelnau-Durban, Terre Promise – 10 novembre

    Castelnau-Durban, Terre Promise – 10 novembre

    Dès 19h30 : Act’en Scène vous ouvre ses portes pour un apéro jazzy avec Patrice au piano et Daniel à la guitare

     Puis à 20h30 : 

    « Terre promise » / Récit de vie et chants du monde
    Spectacle adultes et adolescents
    par Olivier Sessa et Anne-Sophie Masson

    Une ombre glisse sur la lande…c’est le « Chinetoque » qui rentre au Pays, après 30 ans d’exil. Un breton, parti comme beaucoup, vers d’autres horizons, d’autres rêves, à la rencontre des autres et de soi-même.

    Le conteur nous emporte dans un récit touchant et drôle, oscillant entre fiction et réalité. Un voyage qui nous transporte de l’Afrique à l’Asie pour nous ramener en Bretagne, la terre natale.

    Voix chantée & voix parlée mêlées, magie de l’instant où le texte se dévoile, se projette dans la musique en une ode à l’humanité.

    Vendredi 10 novembre au local d’Act’en Scène
    PAF 4€ + adhési
    on nécessaire 1€/soirée ou 10€/an

  • Mais où est donc passé le lac de Montbel ?

    Mais où est donc passé le lac de Montbel ?

    Sur le bassin versant de l’Ariège, le barrage de Montbel connaît depuis l’hiver 2016 un remplissage très limité qui ne lui permet pas d’assurer ses obligations de gestion tant en compensation de l’irrigation agricole, qu’en soutien d’étiage pour le milieu naturel jusqu’à la fin du mois d’octobre. (voir communiqué de la préfecture du 28/07/117)

    Nous voilà fin octobre et le moins que l’on puisse dire, c’est que la situation est loin de s’être arrangée 

    En effet, au 1er juillet la retenue de Montbel n’était remplie qu’à 63,9%. Actuellement, son remplissage est de 14 millions de mm3, soit 23% de sa capacité maximale, son niveau le plus bas depuis sa mise en eau en 1984.

    Un petit tour dimanche autour du lac dimanche 29 octobre nous a fait découvrir l’ampleur de cette sécheresse.

    Mais où est donc passé le lac ?

    C’est la première question que l’on se pose en arrivant près de la rive du coté de Léran. A la place de l’eau, de la terre. Les souches des arbres, sans doute abattus avant la mise en eau, font penser à un paysage lunaire, voire post apocalyptique.,

    Des bateaux échoués donnent un aire de fin de saison. Des restes de coquillages, des canettes de bières, jonchent le fond du lac, et une deuxième question se pose, où sont passé les poissons ? Sans doute concentrés dans les petites étendues d’eau qui restent de ci de là.

    Ici, une empreinte de pas fait penser au premier pas de Niels Amstrong sur la lune

    On peut atteindre l’ile à pieds et, si on pousse plus loin, on peut sans doute traverser de Léran à Montbel sans se mouiller les pieds.

    Le lac de Montbel, l’écrin des Pyrénées cathares a, en cet automne 2017, un air bien tristounet ! 

    L’avenir du lac ?

    Un projet de sécurisation de l’approvisionnement du lac de Montbel par la rivière Touyre entre désormais dans sa phase opérationnelle. Le Département de l’Ariège sera le maître d’ouvrage de l’opération, en accord avec l’Etat et les Conseils Départementaux de la Haute-Garonne et de l’Aude. (Voir l’article de la DDM)

    [nggallery id=114]

  • Jérémie, un boulanger ambulant et emballant !

    Jérémie, un boulanger ambulant et emballant !

    La Roulangerie, comme son nom l’indique, c’est une boulangerie qui roule et c’est l’idée de Jérémie Nechtschein, boulanger à Mauvaisin en Haute Garonne.

    Nous l’avons rencontré à Mirepoix lors de la manifestation « Mirepoix met le couvert » au cours de laquelle il proposait une animation « fabriquer et faire son pain »

    «L’idée de la Roulangerie, c’est d’aller à la rencontre des gens et de leur proposer des ateliers et des animations pédagogiques autour de la  la fabrication du pain et des céréales panifiables.» nous explique Jérémie.

    Tout a commencé lorsque Jérémie et sa compagne ont été obligé de quitter leur fournil. Comme ils n’avaient aucun endroit où s’installer ils ont mis leur four sur une remorque et sont partis sur les routes proposer leur pain lors des festivals.

    «Le soir on vendait le pain et des choses à grignoter, mais pendant la journée il ne se passait rien, c’était donc une manière de proposer une activité» nous dit’il. «C’était aussi une façon de parcourir les régions et de trouver un lieu d’installation».

    Au delà de la découverte de la fabrication du pain, c’est une éducation à l’environnement que propose Jérémie, à travers le pain, s’interroger sur notre alimentation, sur l’agriculture biologique, la biodiversité…

    Si aujourd’hui Jérémie et sa compagne ont retrouvé un lieu d’installation et une boulangerie, ils continuent de parcourir les routes de la région de festival en manifestation afin de porter la bonne parole du bien manger.

    La Roulangerie intervient sur des manifestations, comme ici à Mirepoix, mais aussi dans des écoles, des centres de loisir, des bibliothèques… retrouvez là sur : mauvaisvoisins.blogspot.fr

  • Le Major Christian Rusig cité à L’Ordre de la Nation

    Le Major Christian Rusig cité à L’Ordre de la Nation

    On se souvient, il y a près d’un an, le 26 novembre 2016, Christian Rusig, gendarme à Tarascon-sur-Ariège, a été tué après avoir été percuté par un automobiliste qui voulait échapper à un contrôle. 

    Les hommages s’étaient alors multipliés et notre ami Olivier de Robert nous avait ému aux larmes dans sa chronique « Un homme est mort »

    Le major Christian Rusig a déjà été distingué à deux reprises, à titre posthume. Il a été fait chevalier de la Légion d’honneur et il a reçu la médaille de la gendarmerie, palmes de bronze. Il a été aussi élevé au grade de chef d’escadron.

    Ce mercredi 25 octobre 2017,  le Premier ministre, sur la proposition de la ministre des armées Florence Parly, a cité à l’ordre de la Nation* Le major Christian Rusig de la région de gendarmerie d’Occitanie.

    « Le 26 novembre 2016, sur la commune de Tarascon-sur-Ariège (Ariège), engagé à la poursuite d’un véhicule suspect, est violemment et délibérément percuté par le conducteur de la voiture qu’il tente d’intercepter. Décède des suites de ses blessures.
    A manifesté, à cette occasion, une totale abnégation et un sens du devoir dignes des vertus traditionnelles qui guident l’action de la gendarmerie nationale. »

    *La citation à l’ordre de la Nation est, en France, un titre de reconnaissance, créé en 1917, généralement liée à la remise d’une décoration, soit à titre civil, soit à titre militaire — pour faits d’armes —, et actes de Résistance (depuis 1942). Elle est aussi liée à la remise d’une décoration aux personnels de l’État morts en service.

     

  • A la Toussaint, le froid revient et met l’hiver en train

    A la Toussaint, le froid revient et met l’hiver en train

    La Toussaint est une fête catholique, en l’honneur de tous les saints du panthéon catholique, et non une fête chrétienne.

    Les protestants ne fêtent pas la Toussaint alors que l’église orthodoxe la fête le premier dimanche après la Pentecôte.

    Comme son nom l’indique, elle est dédiée à tous les saints connus (tous les saints canonisés) et inconnus (ceux qui sont dans la béa­titude divine).  Cette fête rappelle donc à tous les fidèles, la vocation universelle à la sainteté.

    La Toussaint, c’est la fête des saints et non la fête des morts ! Celle-ci a lieu le 2 novembre. Cependant, parce que la Toussaint est un jour férié, il est plus facile de se rendre au cimetière ce jour-là !

    Cette fête se fonde sur des textes bibliques comme, entre autres, l’Apocalypse de saint Jean, la première lettre de saint Jean et sur les Béatitudes de l’évangile selon saint Matthieu.

    Trois voix sont requises pour une béatification :

    – Celle du peuple chrétien par la réputation de sainteté ;

    – Celle de l’Eglise par le Pape, avec l’aide de la Congrégation pour les cause des Saints par la déclaration de l’héroïcité des vertus (héroïcité signifie un don de soi total et durable dans l’amour) ou du martyre du Serviteur ou de la Servante de Dieu, qui est alors appelé Vénérable ;

    – Celle de Dieu par un miracle survenu en lien avec la prière par l’intercession du Serviteur de Dieu.

    Un délai de cinq ans après la mort de la personne concernée est requis, pour ne pas confondre la réputation de sainteté avec un enthousiasme populaire passager. Mais le Pape peut en dispenser, comme ce fut le cas récemment pour Mère Teresa de Calcutta et pour Jean-Paul II.

    Quelques dictons :

    « De Saint Michel à la Toussaint, laboure grand train »

    « à la Toussaint, sème ton grain »

    « Vent de Toussaint, terreur du marin »

    « La Toussaint venue, laisse ta charrue »

  • Le Hip-Hop à l’honneur avec l’Estive – 7, 8 & 9 novembre

    Le Hip-Hop à l’honneur avec l’Estive – 7, 8 & 9 novembre

    Mardi 07 Novembre à 20h45 à l’Estive : Street Dance Club de Andrew Skeels  : Un regard hip hop sur les années folles à Harlem.

    Street Dance Club retrouve l’esprit des années folles et des clubs de jazz des années 20-30 à New-York, qui ont fait naître tant de danses joyeuses et de musiciens de génie. Au-delà des barrières imposées par la ségrégation féroce régnant aux Etats-Unis, ces clubs célébraient la naissance d’une nouvelle communauté d’hommes et femmes unis par la danse et la musique.

    L’écriture originale d’Andrew Skeels puise aux sources du hip hop, se nourrit d’autres esthétiques, classique et contemporaine. Il explore les multiples variations d’un groupe excluant puis intégrant des individus, à la fois différents et unis. Son regard stimulant sur cet entre-deux guerres créatif ne renie rien du passé tout en célébrant le plaisir de danser ensemble.

    De son côté, le compositeur Antoine Hervé, a su restituer l’ambiance des musiques de cette époque qui sont, à elles seules, tout un pan d’Histoire. Il rend hommage à leur virtuosité et leur inventivité avec une tonalité nostalgique, qui derrière la gaieté affichée, révèle une réalité beaucoup moins rose.

    Mercredi 8 novembre de 14h à 16h30 au Centre Intergénérationnel du Courbet : Ce soir je sors mes parents !

    C’est après la découverte du spectacle de danse « Street dance club » le 7 novembre à l’Estive qu’est proposé un atelier danse hip hop en direction des adolescents. L’atelier sera animé par les danseurs Noémie Ettlin et Victor Vinot.

    A partir de 10 ans – 20 participants maximum
    Inscriptions : PAAJIP : 05 .61.02.73.55
    Sabine Pons 05.61.05.05.54 / relations.publiques@lestive.com
    Avec le PAAJIP

    Avec le Conseil Départemental de l’Ariège, la Ville de Foix, la CAF, la DDCSPP, l’OPHA, le Centre Social de la CAF, le CCAS, le centre local ADS de Foix, le Secours Populaire, le FAJIP. Avec le Rotary Club de Foix, Sogirex et Casino Foix

    Jeudi 9 novembre à l’école de La Bastide et de Sérou et au collège de Légat : Entrez dans la danse 

    Aussitôt après la découverte par de nombreux élèves de classes primaires et de collèges du spectacle « Street dance club » qui sera donné le mardi 7 novembre à l’Estive, les danseurs Noémie Ettlin et Victor Vinot animeront chacun un atelier danse hip hop, auprès de deux classes : la classe de CE2/CM1 de La Bastide de Sérou et la classe de 4ème 3 du Collège François Verdier de Lézat.

    Entrez dans la danse est un dispositif d’initiation à la danse contemporaine initié par le Conseil Départemental de l’Ariège.

     

    L’Estive scène nationale de Foix et de l’Ariège
    accueil@lestive.com – 05.61.05.05.55 – 20 avenue du général de Gaulle 09000 FOIX
    www.lestive.com

  • Bois Paysan Distribution, la valorisation du bois ariégeois !

    Bois Paysan Distribution, la valorisation du bois ariégeois !

    Initiée par la Chambre d’Agriculture de l’Ariège et portée par des agriculteurs, l’association « Bois Paysan » regroupe à ce jour une trentaine d’agriculteurs, éleveurs et producteurs ariégeois.

    «Tout est parti du constat de quelques agriculteurs, à propos de la haie» explique Jacques Hato, Président de l’association et éleveur à Raissac. Pas assez de haies dans la plaine et trop dans la montagne. «En plaine nous replantons des haies qui permettent d’amener de la fraicheur et d’éviter l’érosion, nous faisons de l’agro-foresterie» continu t’il. 5000 muriers ver-à-soie ont également été plantés du coté de Mirepoix afin de faire du fourrage pour les vaches.

    A l’inverse, en zone de montagne, la forêt à été occultée et n’a pas été gérée. L’association, avec l’aide de la Chambre d’Agriculture, a donc cherché un moyen de valoriser ces bois de faible valeur et à créé un outil à destination des agriculteurs qui leur permet de faire un diagnostic forestier et un diagnostic de haie (quelles essences, combien de M3, et comment le gérer). 

    Mais comment valoriser ces produits de la haie qui ne sont pas forcément de bonne qualité ?

    C’est en voyant des filets de bûches et de bûchettes provenant d’Ukraine dans les super-marchés, que l’idée à émergée. «Il y avait une demande du consommateur de ce produit et nous avions ce bois là» explique Jacques Hato. Il a donc été décidé de proposer ce produit là aux grandes surfaces.

    Ils sont donc partis dans cette aventure à dix agriculteurs et il aura fallu un an de discussions et de travail de fond, toujours épaulés par les conseillers et techniciens de la Chambre d’agriculture, pour que le lancement de la gamme de produits bois-énergie locaux issue de cette forêt paysanne voit le jour, via un GIE « Bois Paysan Distribution », créé en février 2016

    Le GIE permet de mettre en commun leurs produits, leur savoir-faire et leur atelier bois, dans le but de développer les résultats au sein d’une personne morale tout en conservant leur individualité. Cette personne morale sera l’interlocuteur des clients qui ainsi n’aura qu’une facture à payer. Les recettes sont redistribuées aux adhérents selon les volumes commercialisés.

    Si vous voulez en savoir +
    www.ariege.chambagri.fr
    www.facebook.com/Bois-Paysan-Distribution

  • Mirepoix met le couvert : malgré un temps maussade, la fête a trouvé son public

    Mirepoix met le couvert : malgré un temps maussade, la fête a trouvé son public

    Le beau temps n’était pas au rendez-vous, le soleil a joué à cache-cache, mais la fête de la gastronomie et des produits locaux à néanmoins trouvé son public. Amateurs de produits locaux et de gastronomie étaient, eux, au rendez-vous pour « Mirepoix met le couvert » édition 2017

    Tout a commencé samedi après midi avec des dégustations de chocolats, de piments, de moutarde, de thés, de confitures et autres jus de légumes. Alors que les grands s’initiaient aux plaisirs du chocolat et du piment, les plus jeunes avaient rendez-vous avec Audrey et Ambre pour un atelier culinaire autour de l’éducation alimentaire et de la nutrition. Jérémie et sa « Roulangerie » a, quant à lui, invité petits et grands à expérimenter les différentes étapes de la fabrication du pain au levain. 

    A 19h00, l’association des Commerçants « Mirepoix en Avant » proposait « La fête de vin » : une dégustation de vin régionaux et de tapas, le tout en musique.

    La soirée c’est terminé, pour ceux qui le souhaitaient, « Tous au Restau » dans les restaurants partenaires qui avaient confectionner, pour l’occasion, un menu à base de mirepoix.

    Grosse journée le dimanche pour les organisateurs : 

    Petit déjeuner d’accueil, concours de cuisine, dégustation de bière et fromage, grand repas du terroir, démonstration culinaire… se sont succédés sous les la Halle et les couverts.

    Un beau succès encore une fois pour le concours de cuisine à base de Mirepoix, pendant lequel 7 équipes d’amateurs ont rivalisé d’ingéniosité pour surprendre le jury. Avec l’aliment surprise qu’était le potimarron, les 14 concurrents ont surpris les jurés en concoctant des plats à base de poissons, de foie gras ou encore une succulente recette sucrée. 

    Il faut souligner également l’énorme succès du « barasoupe » organisé par la très sympathique association Saveur en Bouche  au cours duquel, un nombreux public à découvert, avec étonnement, une soupe sucrée à base de carottes, panais et chocolat blanc… Délicieux !!! 

    Tout au long de ces deux journées les visiteurs ont pu apprécier, les stands des producteurs locaux, la ferme vivante, ainsi que l’exposition de belles tables et « oeufs et coquetiers » 

    Le tout animé de main de maître par Pyrénées FM et son animateur vedette Marc Mollier.

    Il n’aura donc manqué que le soleil à cette cinquième édition, mais, promis, il sera là l’année prochaine.

    Le Classement du concours de Mirepoix : 

    • Quentin Travers et Lucie Marco – Les Croustelous – Mirepoix d’or
    • Stéphane Bourdoncle et Elly France – Salt e pebre – Mirepoix d’argent 
    • Claudine Sarrailh et Christian Camou – Les Afrikaneers – Mirepoix de bronze
    • Josye Eychenne et Dominique Brette – Les Potes au Feu – Prix de l’originalité
    • Joëlle Bukzin et Marie-Agnès Letraublon – Mirepoix’Chiche
    • Michel Peyrefitte et Thierry Cazaubon – Les Brie Colleurs
    • Isabelle et Renaud Dumay – Les Camonais

    Le Jury 

    • Géraldine Portoles – Restaurant « Les Remparts » à Mirepoix – Présidente du Jury
    • Didier Lamotte – Restaurant le Phoebus à Foix
    • Philippe Huertas – Président de l’UMIH
    • Pascal Ackerman – Conseillé en gestion culinaire 
    • Raphaël Kann – photographe
    • Marc Mesplié – Photographe
    • Bernard Garcia – Hôtel Maison des Consuls à Mirepoix
    • Nicole Chape – Ecrivain
    • Georges-Patrick Gleize – Ecrivain

     

  • Nescus, sur les routes en Ariège

    Nescus, sur les routes en Ariège

    Située dans la vallée de l’Arize entre Foix et Saint-Girons, Nescus fait partie du parc naturel régional des Pyrénées ariégeoises. La commune est traversée de part en part par la route très pittoresque qui conduit de La Bastide de Sérou à Massat en passant par le col des Marrous ou le fameux col de Péguère.

    L’origine du village est très ancienne. La région était riche en mines exploitées depuis l’antiquité : cuivre, hématite rouge (usine à ocre à Ferranès), potasse, minium, fer, cuivre argentifère, cinabre. La découverte d’amphores romaines au lieu-dit  « Las Riberos » ou « La  Rivière », en 1813, atteste également d’une présence romaine 

    En 1670, la terre de Nessus était une enclave languedocienne dans le comté de Foix et appartenait au Sieur Paul de Mascaron, seigneur de Nescus. Le mariage de Marie de Mascaron, fille du seigneur de Nessus avec Jean de Narbonne-Lara fit passer le château et les terres dans la famille des Narbonne-Lara, une des familles les plus prestigieuses de France et d’Espagne, qui les conserva jusqu’au XXe siècle.

    Démoli au moment de la révolution, le château fût reconstruit sous la Restauration puis incendié en 1918. 

    Une église et un presbytère furent construits et une chapelle destinée à la sépulture des Narbonne-Lara fut adossée à l’église. Les armoiries de la famille figurent encore au-dessus de l’entrée.

    L’église Saint-Luc comporte une nef de quatre travées, un chevet octogonal et six chapelles latérales. Les deux cloches datent de 1938 et 1871. Au cours des rénovations successives, on y découvrit des fresques très endommagées.

    En 1913, de petits métiers étaient encore présents : un afficheur, deux aubergistes, un débitant de tabac et un cloutier. Mais, en à peine 60 ans, la population est tombée à moins de 30 habitants et aujourd’hui, elle ne compte guère plus de 60 personnes.

    La commune comporte également quelques grottes dont celles du Quer au-dessus de la ferme de Ferrobach qui contenaient quelques belles concrétions stalagmitiques.

    Sources : Histariège et www.pyrenees-seronais.com

  • Sur les routes de l’Ariège « On the road Again »

    Sur les routes de l’Ariège « On the road Again »

    3, 2, 1 … C’est parti !!!!

    Rappel : comment procéder pour participer au jeu : le premier qui trouve l’endroit exact gagne deux stickers Azinat pour coller en plage arrière de sa voiture (ou un autre cadeau selon la semaine à vérifier sur la page Facebook). 

    Pour participer laisser votre message avec votre adresse email et postale sur ce formulaire de contact ou sur notre page FaceBook

    Deux stickers Azinat à gagner pour le premier qui répondra correctement.

    Réponse la semaine prochaine avec un petit historique de l’endroit ou du thème de la photo.

    La semaine dernière, il s’agissait de la commune de Nescus