Auteur/autrice : Laurence D’Azinat Tv

  • Verniolle, concert Jules Nectar – 28 octobre

    Verniolle, concert Jules Nectar – 28 octobre

    Jules Nectar est auteur compositeur interprète. Il se dégage de ses chansons une atmosphère intimiste, entre joie et mélancolie, où l’optimisme affleure toujours.

    Certaines racontent des histoires, d’autres décrivent avec détachement, ironie et poésie des instants,des émotions ou des sensations qui touchent.

    Mélodies accrocheuses, textes ciselés. De la chanson moderne, sincère et dynamique.

    Les entrées sont réservées aux adhérents : 10€ à l’année scolaire, 1€ à la soirée

    Samedi 28 octobre – 20h30

    Et la réservation est très conseillée sur : www.relaisdepoche.org

    La participation est libre, les artistes comptent vraiment sur votre générosité

    L’itinéraire pour ceux qui ne connaissent pas encore : se garer place de la mairie de Verniolle, puis aller vers la fontaine, laisser à gauche l’épicerie, puis le coiffeur homme sur votre gauche, la coiffeuse femme sur votre droite, puis le 2, rue de la République sur ce trottoir, continuez sur le même trottoir, tournez à droite impasse du Garel et de suite à votre droite dans le petit chemin avec une porte en bois au fond….ouf, c’est là !
    Vous avez fait 80 mètres.

  • Saint-Girons, Josette Elayi signe son dernier roman – 28 octobre

    Saint-Girons, Josette Elayi signe son dernier roman – 28 octobre

    Née à Bordes sur Lez, dans la vallée du Couserans, Josette Elayi est romancière et chercheur au CNRS ; ses publications en histoire ancienne du Proche-Orient lui ont valu la Légion d’honneur et deux prix à l’Académie.

    Son regard d’historienne objective et humaniste transparaît dans tous ses romans contemporains. Elle a quitté très tôt son Ariège natale pour des périples multiples, d’extrême Occident en extrême Orient, en gardant toujours un lien privilégié avec l’Espagne. Voir la biographie de Josette Elayi sur Azinat.

    Elle revient dans son Ariège natale pour signer son dernier roman « Pourquoi je suis devenu un terroriste » à Saint-Girons, à la librairie « A la lettre » le samedi 28 octobre, entre 10h et 12h30

    Pourquoi je suis devenu un terroriste
    238 pages • 22,5 €
    EAN : 9782343117102

    Éditions L’Harmattan 
    21 bis rue des écoles 
    75005 PARIS 
    01.43.29.49.42

     

     

  • Oust, théâtre : J’attends de tes nouvelles – 27 octobre

    Oust, théâtre : J’attends de tes nouvelles – 27 octobre

    Seul en scène autobiographique, de et avec Claudio Colangelo et une mise en scène de Maria Beloso Hall

    « Je suis le fils de Nicola et Linda Colangelo. J’ai deux grandes soeurs, Costanza et Annarosa. Je passe mon enfance à Lanciano, une petite ville d’Italie du sud figée dans ses traditions et son catholicisme exacerbé. Mon père, instituteur, m’assène quotidiennement ses conseils paternalistes d’un autre siècle. Ma mère, femme au foyer, c’est la « mamma » toujours prête à défendre sa progéniture. Les deux m’insupportent. A 18 ans je pars. Commence alors une correspondance à sens unique qui durera douze ans. Mes parents m’écriront toujours séparément. Je ne répondrai quasiment jamais. Les lettres, je les lis, je les range. »

    Italie du sud. Des parents écrivent à leur fils, qui ne répond quasiment jamais. Douze ans de relation épistolaire à sens unique. Sur scène, un comédien incarne les trois personnages, le fils, Donatangelo, et ses parents, Nicola et Linda. Ils existent tels qu’ils sont, attachants et agaçants. Ils s’affrontent, ils s’aiment, ils se pardonnent ; alors, malgré eux, ils se révèlent.

    L’auteur et interprète porte un regard délicat sur un quotidien drôle et émouvant, universel et personnel. Il n’a aucun compte à régler avec ses parents, il ne porte aucun jugement sur son silence épistolaire.

     Nos propres souvenirs trouvent leur écho dans les siens et font remonter à la surface le conflit entre le désir de partir ailleurs pour être autre et l’acceptation de ses propres racines.

    J’attends de tes nouvelles par la Cie Néfertiti la Foraine

    Vendredi 27 octobre – 21h
    Salle de la MJC à Oust

    Plus d’info : www.theatrales-couserans.fr

  • Lavelanet : « Justes parmi les Nations » : témoignage de reconnaissance éternelle et devoir de mémoire

    Lavelanet : « Justes parmi les Nations » : témoignage de reconnaissance éternelle et devoir de mémoire

    Le 11 octobre avait lieu, à Lavelanet, la cérémonie de remise de la médaille des « Justes parmi les Nations », en hébreu Hasid Ummot Ha-‘Olam, littéralement généreux des nations du monde. Une médaille qui reconnaît, honore et salue, au nom du peuple juif, les non-Juifs qui, malgré les grands risques encourus pour eux-mêmes et pour leurs proches, ont aidé des Juifs à un moment où ils en avaient le plus besoin ; Un devoir de mémoire et une cérémonie émouvante. 

    «Dans l’obscurité qui avait envahi l’Europe, certains, au péril de leur vie, ont fait le choix de la miséricorde, de l’humanité » a témoigné mercredi 11 octobre en mairie de Lavelanet, Anita Mazor Ministre près l’Ambassade d’Israël à Paris, avant de remettre la médaille et le Diplôme de « Justes parmi les Nations » décerné le 12 avril 2016, à José et Victoria Martinez représentés par leur fille Dominique Martinez-Chenet.

    José et Maria Marinez auront désormais leur nom gravé dans le jardin des murs YAD VASHEM à Jérusalem

    « Aujourd’hui, nous rendons hommage à José et Maria Martinez, qui ont recueilli et pris, sous leur protection Sarah et Lucie Waiter en ces temps si troublés qu’a connu notre pays, mais aussi le monde tout entier. Nous Lavelanétiens, nous leur disons la fierté et la reconnaissance de notre commune et de notre département. Nous conservons à leur égard une dette éternelle. Rendre hommage à José et Maria Martinez, c’est se souvenir que les justes incarnent l’esprit de la résistance, l’héroïsme. Mais pour nous Lavelanétiens, José et Maria étaient des voisins, des amis, des compagnons. Figure du quartier de Bensa, José, surnommé « Pépé » par ses amis, a été l’un des piliers du stade Lavelanétien» a indiqué Marc Sanchez maire de Lavelanet et Conseiller département accueillant le nombreux public (dont la classe de troisième A du collège Victor Hugo de Lavelanet et leur professeur d’histoire Loïc Ginières, les élèves du Lycée Alain Fournié à Mirande), venu assister à cette cérémonie exceptionnelle.

    Un témoignage de reconnaissance éternel

    Une cérémonie faisant la part belle à l’humain dans ce qu’il a de plus noble, mais aussi de plus abject. Francine Théodore-Leveque déléguée du Comité Français pour YAD VASHEM a rappelé que le 19 août 1953 fut créé à Jérusalem l’Institut Commémoratif des Martyrs et des Héros de la Shoah : YAD VASHEM. En 1963, une Commission présidée par un juge de la Cour Suprême de l’Etat d’Israël est alors chargée d’attribuer le titre de « Juste parmi les Nations », la plus haute distinction civile décernée par l’État hébreu, à des personnes non juives qui, au péril de leur vie, ont aidé des juifs persécutés par l‘occupant nazi. 26.513 personnes ont, de par le monde reçus cette médaille et le diplôme. 558 en Occitanie, et 21 dans l’Ariège, dont 12 à Aulus-les-Bains. Marie Lajus, préfète de l’Ariège a indiqué : « la République à un message à délivrer, les Justes ont délivré la France de la souillure. Ils ont sauvé les Français, ils ont sauvé notre honneur ».

    Honorer, enseigner, un devoir de mémoire pour que cela ne se reproduise plus jamais

    Anita Mazor et Lucie Waiter-Victoria sont revenues sur le sauvetage. Dès le début de l’occupation, la famille Waiter part en Zone Libre dans l’Ariège, où la situation va rester calme même après novembre 1942 et l’envahissement de la Zone Sud. « Mon grand-père qui possédait un petit atelier de confection achetait du tissu à Lavelanet », raconte Lucie Waiter-Victoria. « Il en parlait comme d’un trou perdu dans les Pyrénées où nous serions en sécurité », glisse-t-elle malicieusement. Début 1944, Sarah et sa fille sont averties par leurs logeurs que les grands-parents ont été arrêtés et qu’il est urgent de partir. Elles vont trouver refuge chez José Martinez et vont rester cachées chez lui dans le grenier sans sortir. Pendant ce temps et suite à des mauvais traitements infligés par les Allemands, la grand-mère a été relâchée et hospitalisée. Une chasse aux Juifs se produit alors et les Waiter trouvent à nouveau refuge chez José Martinez et ce jusqu’à la Libération. Le grand-père, après avoir été torturé, est libéré par les résistants en juillet 1944. Aujourd’hui âgée de 90 ans, Lucie Waiter-Victoria se souvient de l’école Lavelanétienne, de Monsieur et Madame Pomiès instituteurs, mais aussi « d’un professeur exceptionnel Jean Tricoire » qui lui a transmis l’amour de l’Histoire. Elle a tenu à rendre hommage à « Lavelanet, à « Pépé » qui sans réfléchir nous a cachés ».

    Pour Anita Mazor, le couple «a fait preuve d’un courage et d’un dévouement exceptionnels ; et ce, au péril de leur vie et en mettant en danger leurs proches ». La Ministre tenant à « apporter le témoignage de gratitude et de reconnaissance éternel de l’État d’Israël ». Mais Anita Mazor a également fait part de sa crainte devant le « retour de l’antisémitisme. Pour combattre cette haine » a-t-elle poursuivi, « nous devons en appeler à la mobilisation, au devoir de mémoire ». Se tournant vers Dominique Martinez-Chenet avant de lui remettre la médaille et le Diplôme de « Justes parmi les Nations », elle aura ces mots : « ils ont montré le chemin, soyons-en dignes ». Émue aux larmes, comme nombre de personnes dans l’assistance, la fille de José et Maria Martinez a sobrement indiqué : « mes parents ont incarné la justice ; comme beaucoup de personnes, ils ont fait preuve de solidarité ».

    À l’issue de la cérémonie, Marc Sanchez a remis la médaille de la Ville à Dominique Martinez-Chenet. Le 1er édile de Lavelanet répondant au souhait de Francine Théodore-Lévèque a glissé : « oui, notre Ville rejoindra le réseau « Villes et Villages des Justes de France et ainsi, nous perpétuerons le souvenir de José et Maria ».    

  • L’invitée de la semaine : Simone Verdier « Mirepoix met le couvert » – 21 & 22 octobre

    L’invitée de la semaine : Simone Verdier « Mirepoix met le couvert » – 21 & 22 octobre

    Samedi 21 et dimanche 22 octobre aura lieu la cinquième édition de « Mirepoix met le couvert ». L’occasion pour Simone Verdier, Vice-Présidente de la Communauté de Commune du Pays de Mirepoix de nous parler de cette fête de la gastronomie dont le but très avoué est la promotion des producteurs locaux et le savoir-faire des restaurateurs du Pays de Mirepoix.

    La part Belle aux enfants 

    La gastronomie et le gout des bonnes choses n’étant pas qu’une affaire d’adulte, une grande place est faite aux enfant le samedi après-midi avec, en partenariat avec la Cité du goût et des saveurs de la chambre de Métiers. Audrey Boniface proposera un atelier culinaire autour de l’éducation alimentaire et de la nutrition. Il s’agira de préparer un gouter bon et sain, à partir de produits locaux. Au menu : Blinis sourire à la farine de châtaigne et smoothie clémentine banane

    Audrey sera accompagnée de Ambre Durewski Baudeigne, diététicienne, qui présentera tout au long de l’après-midi des jeux et des animations pédagogique pour sensibiliser et expliquer l’importance de l’équilibre alimentaire.

    La Roulangerie de Jérémie

    Une première également cette année, le samedi après-midi le public sera invité à expérimenter les différentes étapes de la fabrication du pain au levain en compagnie de Jérémie et de sa boulangerie roulante 

    Plastique interdit ! 

    Une fête qui se veut de plus en plus éco responsable, puisque, pour cette 5ième édition, point de plastique ! La communauté de commune travaille beaucoup sur la réduction des déchets et le tri sélectif. Cette année donc, outre les poubelles jaunes et les composteurs, seront utilisées des assiettes et des verres biodégradables, compostables et même mangeable en ce qui concerne les assiettes.

    Sans oublier la présence de la toute nouvelle Georgette biodégradable dont ce sera la première sortie publique.

    «Agir sur ces leviers de l ‘économie que sont les circuits courts et l’environnement ce n’est pas qu’un effet de mode» explique Simone Verdier

    Le programme

    du 16 au 22 octobre

    Dans les restaurants, toute la semaine, déclinaisons de la mirepoix  dans les menus à base de produits locaux.

     du 19 au 22 octobre

    Salle des Métiers d’Art à l’Office de Tourisme : Exposition: Affiches, peintures, chromos sur la gastronomie d’antan, l’œuf, le coquetier et la poule…

    Samedi 21 octobre 

    14h00 à 18h00

     Animations pour les enfants

    • Fabriquer son goûters avec la Cité du Goût
    • Jeux et animations sur l’équilibre alimentaire
    • Fabriquer et faire cuire son pain avec Jérémy de la Roulangerie

     Animations pour tous

    • Leçons de dégustations : chocolats, piments, moutarde, thés, confitures…
    • Concours de belles tables  et expos d’œufs et de coquetiers Salle des Métiers d’Art à l’Office de Tourisme

     19h00

    Fête du vin en musique :   sous la Halle, une animation proposée par l’Asso des commerçants. Dégustation de vins régionaux

    20h00

    Tous au resto pour la mirepoix

    Repas dans le restaurant de votre choix participant à l’animation avec une grande tombola pour tous

    Tirage au sort avec un voyage  gourmand à gagner !

    Consultation des menus, sur le site internet et sous la Halle :www.paysdemirepoix.org

    Dimanche 22 octobre

    9h30: Café d’accueil

    de 10h00 à 18h00

    • Stands des producteurs locaux et des métiers de bouche (mini ferme…) et des arts de la table, stands associatifs.
    • Ateliers culinaires (démonstrations de cuisiniers professionnels, associatifs et particuliers).
    • Concours de belles tables et expo de coquetiers, œufs et …poules (salle des Métiers d’Art)
    • Nombreuses animations autour des jeux culinaires, musique et animation micro.

    10h00 à 12h00 :

    Concours de cuisine sur le thème de la « mirepoix » avec un ingrédient surprise, sous la Halle

    11h00 : Dégustation de bières et fromages

     12h00 à 14h00 : Grand repas du terroir « spécial mirepoix » à base de produits locaux, sous la Halle, places limitées (16€, réservation sur place le jour même avant 11h, ou à la CCPM avant le 20 octobre) et menus du terroir dans les restaurants.

     12h30 : Remise des prix du concours de cuisine

     15h00 à 17h00 : Démonstrations culinaires sous la Halle

    17h00 : Ouverture du Bar à soupes avec l’Asso Saveurs en bouche

    Dégustation de soupes cuisinées sur place, sous la Halle.

    17h00 : remise des prix du concours de belles tables et de la tombola « Tous au resto pour la mirepoix ».

  • Marc Sanchez réélu président de l’ANDES, une chance pour l’Ariège !

    Marc Sanchez réélu président de l’ANDES, une chance pour l’Ariège !

    L’Association nationale des élus en charge du sport (ANDES) créée voici 20 ans, travaille avec un réseau de 4 000 villes en France. Regroupant les élus en charge des sports de l’Hexagone et d’Outre-mer, l’ANDES permet d’échanger sur les politiques sportives des villes et de représenter les intérêts des collectivités locales auprès de l’État et du mouvement sportif. « Elle structure l’action des collectivités territoriales, permet aux élus d’échanger les expériences en matière de politique sportive » rajoute son président.

    « Le sport un enjeu important pour les collectivités territoriales »

    Une première sous cette forme : une élection lors du 21e congrès national organisé autour de la thématique de «l’Evénementiel sportif dans les collectivités locales» ; « une élection qui m’apporte une légitimité » glisse Marc Sanchez, d’autant qu’il y avait une autre candidature. Une « élection s’étant déroulée dans un bel état d’esprit sportif, respectueux, avec comme continuité le travail des élus pour le sport et la bonne administration de notre association ».

    Un bureau renouvelé à 30%, une entrée remarquée de femmes (trois au lieu d’une), « un souhait » du président. 51 candidats (une première là aussi), ont candidaté pour rejoindre les 36 places du Comité directeur. Le président indiquant : « ce qui prouve bien l’intérêt des élus à vouloir s’investir pour l’ANDES ». 

    Autre bonne nouvelle pour l’Ariège, Alexandre Berman, l’adjoint en charge des sports à Tarascon fait son entrée au Comité directeur de l’ANDES.

    Les trois prochaines années, Marc Sanchez portera la voix des collectivités territoriales auprès des plus hautes autorités de l’état et du monde sportif comme la ministre des Sports, Laura Flessel, qui a participé au congrès.

    De nombreuses thématiques sont à l’ordre du jour : baisse des dotations d’État, suppression des contrats aidés qui pénalise les associations – appui à ces dernières, poursuite du soutien à tous les territoires, les politiques sportives à l’heure des fusions intercommunales, l’innovation dans les nouvelles pratiques… Autant de dossiers, sans oublier la désignation de Paris pour accueillir les JO de 2024 et « une volonté, celle d’agir dans l’intérêt du sport, des valeurs humaines qu’il véhicule ». 

  • Aujourd’hui, nous sommes vendredi 13 !

    Aujourd’hui, nous sommes vendredi 13 !

    Il existe au minimum un vendredi 13 dans l’année, vu le fonctionnement du calendrier courant. Un et deux sont les cas les plus courants. Cependant, trois vendredi 13 peuvent être dénombrés par an si, et seulement si le premier jour de l’année est un jeudi, pour une année non bissextile ou si le premier jour de l’année est un dimanche, pour une année bissextile.

    De manière générale, dans le calendrier actuel le 13 du mois tombe légèrement plus souvent un vendredi. En fait, un cycle grégorien dure 400 ans, et 400 ans = 146 097 jours (146 000 jours et 97 jours en plus, qui correspondent aux 29 février). En 400 ans, on a un nombre de semaines entières  : 146 097 / 7 = 20 871 semaines, d’où la fin d’un cycle grégorien. Cependant, en 400 ans, on a 4 800 mois, et 4 800 n’étant pas divisible par 7, certains jours de la semaine tomberont plus souvent le 13 que les autres ; il s’avère que ce jour est le vendredi *.

    *B. H. Brown, « Solution to Problem E36 », American Mathematical Monthly, vol. 40, issue 10 (1933), p. 607; Jean Meeus, Mathematical Astronomy Morsels IV, 2007, p. 367

    Voilà ce que l’on trouve sur le site Wikipédia, vous avez compris quelque chose ? Nous non, alors voyons autre chose :

    La peur du nombre 13 est la triskaidekaphobie, celle du vendredi 13 la Paraskevidékatriaphobie. C’est un phénomène international et tenace, comportant de grands coûts socio-économiques.

    La peur du nombre 13 est la superstition la plus répandue dans la culture occidentale. Ingénieurs et architectes alimentent la superstition : avec des gratte-ciel, des hôtels et des ascenseurs sans 13ème étage, et avec des avions sans siège no 13…

    Une origine biblique !

    La croyance associant le vendredi 13 au malheur aurait des origines bibliques. D’après le Nouveau Testament, lors de la Cène, dernier repas du Christ, les participants auraient été au nombre de 13 (Jésus et ses 12 apôtres), Pour ce qui est de la crainte du vendredi, elle viendrait du fait que le Christ aurait été crucifié un vendredi.

    Depuis des siècles, la combinaison et les composantes du vendredi et du 13 sont symboles d’infortune. On a toujours considéré le 12 comme nombre « divin » et le 13 subséquent devenant symbole de « malédiction ». En effet il y a 12 dieux dans l’Olympe antique, 12 signes du zodiaque, 12 travaux d’Hercule, 12 tribus d’Israël et comme nous l’avons dit plus haut, 12 apôtres de Jésus. De surcroît, il y a 12 mois dans l’année, 12 heures le jour et 12 heures la nuit.

    Toutefois, le vendredi 13 n’est pas un jour d’infortune pour tout le monde. En Espagne en Grèce et en Amérique latine, c’est plutôt mardi 13 qui est jour de malchance. Chez les Italiens, c’est 17 qui est le nombre malchanceux et non 13. « Fare tredici! » ou « Faire le treize » est un slogan de la lotterie nationale. Alors, si vous trouvez le nombre 13 vous gagnez. Toutefois, on ne trouvera pas de chambre 17, ni de 17ème étage dans les hôtels, ni de siège no 17 sur les avions de la compagnie italienne Alitalia.

    Des millions d’Asiatiques ont peur du chiffre 4. En effet, ce chiffre dont la prononciation est identique à celle du mot « mort » tant en mandarin, en cantonais, qu’en japonais. Pour les Japonais, le nombre 4 est hanté car il se prononce « shi », et ce dernier mot signifie « la mort ».

    Aujourd’hui nous sommes vendredi 13 et il pleut, faut-il y voir un signe de malédiction divine ou tout simplement un effet météorologique ?

    Dans tous les cas il est à parier que nombre de gens tenteront leur chance aujourd’hui à l’euro Million !

    Sources : wikipédia – l’internaute – www.vendredi13.co.nr

  • Auzat, résultats des fouilles à Montréal de Sos -26 octobre

    Auzat, résultats des fouilles à Montréal de Sos -26 octobre

    13 ans de fouilles, trois ans de synthèse ! L’oppidum de Montréal, transformé en château par les Comtes de Foix a livré quantité d’informations sur son histoire.

    La Maison des patrimoines Le Barri, à Auzat, vous invite à venir assister à la conférence de Florence Guillot, archéologue, responsable des fouilles archéologiques du château de Montréal de Sos, « Montréal-de-Sos, résultat des fouilles ».

    Le Jeudi 26 octobre, à partir de 20h30

    05 61 02 75 98 / infos@lebarri.com
    Maison des Patrimoines – Le Barri
    Rue de la Mairie
    09220 Auzat

  • Saurat,  fête la pomme – 22 octobre

    Saurat, fête la pomme – 22 octobre

    De 9h à 17h, toute une journée d’animations autour de la pomme, sous toutes ses formes, de la fameuse croustade ariègeoise au jus de fruits naturel.

    Marché de terroir local: exposition de fruits locaux et vieux outils, exposition de champignons,  vente de pommes et d’arbres fruitiers, conseils techniques(plantation, greffage, taille,…).

    Présentation et vente de livres et brochures spécialisés en arboriculture- jardinage, cartes postales…
    Artisanat : vannier, pierres à aiguiser, etc…

    Animations :

    A 13h, repas sur le thème de la pomme ( réservation souhaitée avant le 15 octobre ).

    Seront présents : un atelier de pressage ainsi que l’alambic et la Confrérie de la pomme …

  • Pamiers, 30ème Festival  « Les Coulisses d’Automne » du 18 au 21 Octobre

    Pamiers, 30ème Festival  « Les Coulisses d’Automne » du 18 au 21 Octobre

    Voilà, la Programmation de ce trentième  Anniversaire : guerrier, violent, fou, absurde, tendre et drôle, avec cette distance que permet la scène. 

     Mercredi 18 octobre : 

    L’Iliade d’après Homère – Cie L’Illustre Corsaire

    « Mes premières lectures de l’Iliade et de l’Odyssée d’Homère m’ont surpris à plus d’unpoint. D’abord elles ne correspondaient pas à l’image simpliste (souvent cinématographique) entrevue dans ma jeunesse. Elles offraient particulièrement une projection d’une violence inouïe digne de reportages sur les guerres qu’on laisse entrevoir parfois avec un avertissement aux publics sensibles. Une écoute attentive de sa rythmique répétitive et parfois lassante faisait suggérer une interprétation orale et une mémo-technique de l’Aède. Enfin le sentiment de se retrouver face à l’archétype de la propagande s’intensifiait; l’éloge de l’ennemi troyen battu soulignait la bravoure géniale du guerrier achéen! Ou comment effacer une banale razzia meurtrière et lucrative par une mission de justice et d’honneur. Ces pistes m’ont donné envie d’explorer ce questionnement : Pourquoi avons-nous besoin du héros ? Pourquoi sommes-nous subjugués par l’acte héroïque ? Pourquoi acceptons-nous l’immoral si on le dit héroïque ? Sans vouloir reprendre toute l’œuvre d’Homère, il me semble intéressant de faire ressusciter ces héros envoûtants et les faire confronter à notre actualité, de les faire réapparaître intenses mais morcelés dans le texte et la matière.… » Marc Lallement         http://www.arfo-illustrecorsaire.fr

    Un verre de bienvenue vous sera offert à l’occasion de la soirée d’ouverture

    Jeudi 19 octobre:

    Trois Ruptures de R. De Vos – l’Agit Cie 

    Un repas en amoureux, une révélation à faire, un enfant difficile… Trois situations familières mais qui prennent soudain des proportions explosives, et c’est l’embardée. Le couple dérape sans garde-fou dans un duel acharné, tous les excès sont permis et le verbe fait mouche, gifle et bascule. Le rythme du dialogue se resserre, s’accélère puis se précipite à toute allure vers le point de non retour, le point de «rupture», et l’absurde jaillit dans un rire libérateur : De Vos a encore frappé. Frappé juste. Dosant avec son aisance habituelle le quiproquo, la provocation, le coup de théâtre, la tension et le rythme, il nous offre avec cette pièce trois savoureuses ruptures contemporaines. http://www.agit-theatre.org

    © Samuel Lahu

     

    Jolie bizarre enfant chérie – Cie A Pied d’Oeuvre

    Cabaret poétique d’après les lettres et les poèmes à Lou de Guillaume Apollinaire

    Lui est artilleur pour l’armée française, lors de la première guerre mondiale, en 1915. Elle est comtesse, divorcée, faisant de l’aviation, femme volage vivant comme bon lui semble. Il lui écrit chaque jour, passe du vers à la prose, du calligramme à la forme régulière, toujours plus inspiré par sa muse. Lou, l’ardente maîtresse du poète fou amoureux d’elle, devient peu à peu un être de mots, un prodige poétique.
    La Musique Le violoncelle et l’accordéon ponctuent le voyage amoureux, de la comtesse Alouette aux tranchées de Champagne…
    Ou les textes Parfois dits ou dansés, parfois chantés, parfois dessinés à la manière des calligrammes… Il y en a pour vos cinq sens. Ces cinq sens si précieux au poète.
    Un nique souffle La sonorité des mots, la poésie des sons, le dessin des mots, les maux des mots… Au-delà du sens, de la logique. Nous échappons au concret, à la réalité, et mettons tous nos sens en émois.
    http://cieapieddoeuvre.fr : Public de plus de 14 ans

    Vendredi 20 octobre :

    Zap  Accordéon – Voix: Claude Delrieu  Guitare – Voix: Pablo Nicoleau   Jonglage percussif – Voix : Tibo Tout Court

    Accordéon brut c’est à dire poumon et guitare saturée c’est à dire tronçonneuse, ZAP est un trio qui a tout le mal du monde à passer inaperçu. Justement le mal du monde ne passe pas inaperçu et ça c’est à dire, à écrire, à chanter, à crier. 
    Chansons, instrumentaux, improvisations, textes, compos ou reprises ; éclectique, inclassable, surprenant, ZAP défriche, fouille, se mouille, tente, met les pieds dans le plat et les mains à la pâte. Un spectacle musical, circassien qui fait entendre le son des mots et le sens des sons en questionnant sans cesse le là -ici- et le là -maintenant-.

    La fille qui sentait le tabac de Cécile Carles –  Cie Post Partum

    Ce soir, Louisa Montagne à quarante ans, elle attend, pour fêter ça, l’homme qu’elle aime. Elle prépare une tarte aux pommes, à partager. Pourquoi ce soir elle se souvient d’elle, petite, chaussant les chaussures de sa mère ? Pourquoi ce soir elle se souvient d’elle, petite, riant aux étoiles ? Pourquoi ce soir elle se souvient d’elle, petite, avec les mains trop grandes de son père posées sur son corps d’enfant ? Pourquoi ce soir ? Elle ne sait pas Louisa Montagne, mais elle dira, ce soir, le jour de ses quarante ans. https://lestroiscoups.fr/la-fille-qui-sent-le-tabac-de-cecile-carles-theatre-du-pave-a-toulouse/

    Samedi 21 :

    Venez fêter les 30 ans en partageant un buffet et le gâteau d’anniversaire  et pour quoi pas, si vous le souhaitez en Dress Code : rouge et noir

    Réservations fortement souhaitées

    Vent d’haleine

     Il y a plus de dix printemps maintenant, les trois lurons loufoques de Vent d’Haleine se rencontrent autour d’un conte musical pour enfant, Cornemuse. Oui Madame, oui Monsieur. La graine est donc plantée. Outre l’amitié qui germe et fleurit, ils se découvrent une grande affinité musicale, une culture commune de la chanson française et internationale, un amour polygame du texte et de l’harmonie musicale. De retrouvailles en bœufs improvisés, un répertoire commence à voir le jour, pour laisser éclore Vent d’Haleine en 2009. Un trio vocal dans le plus simple appareil, a cappella. D’Henry Purcell (compositeur du XVIIème siècle) à Pink Floyd en passant par Lady Smith, Queen, John  Wayne (Jean Yanne en français), Brel ou encore Barbara, Vent d’Haleine sera un spectacle à écouter et à regarder.

    Corinne Dupin – Romuald Berrier – Vincent Mayet

    Borderline- Cie Les Z’arts Bleus

    d’après les textes de Gerard Levoyer   Jeu Dédeine Volk-Léonovitch

    Wendy soliloque, enfermée depuis 10 jours dans une pièce. Elle se répand, se raconte, parfois drôle, parfois cruelle, souvent bouleversante, elle est déterminée à tuer   William, l’homme qui l’a faite et défaite. Mais c’est sans compter sur les rebondissements spectaculaires au théâtre !

    © Photo Hélène Dader

    http://www.lecloudanslaplanche.com/critique-2212-borderline-une.femme.sur.le.fil.html

     

    Toutes les soirées débutent à 20H30, ouvertures des portes à 20H
    Tarifs toujours attractifs de : 12€ / 8€  et Pass Festival : 25€
    Réservations : O.Tourisme 05 61 67 52 52
    Infos : 05 61 69 64 32

  • Mirepoix, Fête de la pomme – 14 et 15 octobre

    Mirepoix, Fête de la pomme – 14 et 15 octobre

    Pour cette vingtième édition, Mirepoix sera « A l’heure des sorciers », puisque le thème retenu cette année est la sorcellerie. Chapeaux, balais et autres araignées, en pommes, viendront décorer les couverts et les alentours, une bonne idée à l’approche d’halloween.

    Le programme des 14 et 15 octobre

     Samedi et dimanche : 

    • Marché traditionnnel
    • Structures en pommes
    • Exposition photos : la fête de la pomme de 1997 à 2017
    • Buvette avec jus de pommes pressées sur place
    • Les tracteurs des Trapedurs bellopodiens
    • Matches de quidditch de 10h à 12h et de 14h à 18h (inscription à la buvette)
    • Animations diverses

    Samedi 14 octobre : 

    • 15h00 : concours de balais décorés devant la halle. Venez avec votre création. Les deux premiers gagneront un bon d’achat, les suivants ne partiront pas les mains vides.

    Dimanche 15 octobre :

    • 15h00 : Concours de déguisements sur le thème de la sorcellerie (devant la halle), tout le monde peut participer, les costumes doivent être faits « maison »
    • 16h00  : Concours de pâtisseries à la pomme, n’hésitez pas à surprendre le jury

    Contact : mirepoixenavant@gmail.com

  • Les Bordes sur Arize, G.R.A.I.N. Histoire de fous – 14 octobre

    Les Bordes sur Arize, G.R.A.I.N. Histoire de fous – 14 octobre

     Après « La famille vient en mangeant », Marie-Magdeleine revient dans un « seule-en- scène » où son propre personnage de comédienne en herbe débarque au G.R.A.I.N., le Groupe de Réhabilitation Après un Internement ou N’importe.

    Là, elle devra animer un stage de théâtre le temps d’une journée qui, d’improvisation médicamenteuse en funérailles anticipées, sera loin de suivre son cours « normal ».

    Une farce sur la représentation de la folie et la folie de la représentation où il sera peu ou prou question de Don Quichotte, Molière, Schumann, Van Gogh, Marilyn Monroe, Batman et des troubles du comportement.

    G.R.A.I.N. Histoire de fous par la Compagnie MMM (33)
    Écrit par Marie-Magdeleine et Julien Marot Jeu : Marie-Magdeleine
    Mise en scène : Julien Marot
    One woman show, à partir de 12 ans, 1h40

    Samedi 14 octobre à 19h
    à LES BORDES SUR ARIZE, salle polyvalente

    TARIFS
    12 €, 10 € (réduit), 8 € (abonnés Arlésie et Estive),
    RESTAURATION CARTE BLANCHE GASTRONOMIQUE
    dès 21h avec les artistes 16 € (cocktail, vin et café compris) – 14 € (adolescent) Réservation conseillée