Auteur/autrice : Laurence D’Azinat Tv

  • La Belgerie, des gaufres belges artisanales sur les pistes d’Ax 3 Domaines

    La Belgerie, des gaufres belges artisanales sur les pistes d’Ax 3 Domaines

    Après avoir travaillé en belgique où il a fait de la préparation physique, du coaching vidéo et d’autres petits boulots, Julien décide de s’installer en Ariège. « Pour la beauté des paysages, pour la nature, pour tout ce que ça dégage et aussi pour vivre en autonomie » explique t’il.

    Il s’installe dans un petite grange et la rénove tout en travaillant à la station d’Ax 3 Domaines. Gourmand, amateur de gaufres belges et voyant que cela n’existe pas dans la région, Julien se lance dans l’aventure.

    Il a d’abord construit un petit traineau et s’est installé la saison dernière. Il a ensuite profité de l’été pour transformer son food-traîneau en food-roulotte, et le succès est au rendez-vous, la roulotte ne désemplit pas.

    Une dizaine de litres de chocolat chaud et entre 100 et 150 gaufres par jour en moyenne sucrées et salées : chèvre/miel, 3 fromages, oignons/lardons et la gaufriflette (oignons lardons reblochon), le tout avec un maximum de produits bio et locaux, de quoi revigorer au milieu ou à la fin d’une journée de ski !

    Entendons nous bien, il s’agit là de gaufres liégeoises c’est à dire une recette qui vient de Liège en Belgique. C’est d’ailleurs un restaurateur liégeois qui lui a donné la recette.

    Cet été Julien devrait s’installer en haut du « lièvre blanc », à l’arrivée du télésiège pour le VTT et les randonneurs. Alor si vous avez raté les gaufres cet hiver ne manquez pas cette séance de rattrapage.

    06 04 45 21 32
    www.facebook.com/labelgerie

  • Le Château de Pailhès, une antique forteresse

    Le Château de Pailhès, une antique forteresse

    Par PierreG 09 — Travail personnel
    Par PierreG 09 — Travail personnel

    Le Château se dresse parmi les arbres au sommet d’un piton isolé qui surplombe en falaise abrupte le village situé sur les rives de la Lèze. Il domine le carrefour stratégique des routes de Foix à Toulouse et de Pamiers à Saint-Girons.

    Il est possible que ce sommet d’un intérêt stratégique ait été occupé dès l’occupation romaine. Il est difficile, sans travaux considérables, d’identifier l’âge des constructions que les sols des caves laissent apparaître. Cependant, la majeure partie du bâti, y compris la tour d’escalier, le portail d’entrée et la façade Ouest, date du XIVème siècle.

    Il fut la propriété de puissantes familles. D’abord les Amiel, dès le XIémé siècle, puis les Villemur qui le conservèrent jusqu’au XVIIIème siècle.

    L’Histoire rapporte que Henri III de Navarre, (roi de Navarre et comte de Foix en 1579, futur Henri IV) a été l’hôte du baron à Pailhès du 30 novembre au 1er décembre 1579, comme en témoigne la correspondance publiée aux Archives Historiques de la Gascogne en 1886. Jusqu’en 1987, les visiteurs pouvaient admirer le « lit d’Henry IV », classé en 1965 et acquis par le Conseil Général de l’Ariège en juillet 1989. Il devait ensuite être exposé au château de Foix.

    Le château fut ensuite vendu à la famille Lafarge. Cette famille, très impliquée dans la vie locale eut à affronter les tourmentes de la Révolution. Elle construisit la chapelle castrale qui fut achevée et bénie en 1780. Au début du XXème siècle la baisse des revenus agricoles ébranla le système traditionnel et les derniers propriétaires, les familles Rouzeau et Bernardin, ne purent plus faire face aux dépenses nécessaires à l’entretien de ce château.

     Inhabité et livré au vandalisme le château a été racheté par des particuliers qui ont constitué l’Association de Défense et de Sauvegarde du Château de Pailhès.

    Il a été inscrit en février 1997 à l’Inventaire des Monuments Historiques.

    Sources : 

    fr.wikipedia.org
    www.passionchateaux.com
    www.photosariege.com

  • Mirepoix, « le corps humain : pièces de rechange, pièces détachées ? – 17 mars

    Mirepoix, « le corps humain : pièces de rechange, pièces détachées ? – 17 mars

    conf_corps-humain_ariegeLa chirurgie s’est longtemps limitée à l’ablation d’organes malades, elle permet aussi la reconstruction ou le remplacement d’éléments du corps. Certains organes sont prélevés et servent de pièces de rechange, c’est à dire de substitution à un autre.

    Ces organes, présents physiologiquement seraient-ils inutiles, seraient-ils un système « robuste » comme on en imagine dans l’industrie aéronautique ?
    Les « pièces détachées » proviennent de l’organisme du malade ou d’un autre, c’est la transplantation ; transplantation à partir d’un donneur humain décédé ou vivant ou encore d’un animal, mais aussi avec des implants artificiels.

    La technique évolue, souvent plus vite que les implications et les retentissements psychologiques ou éthiques. Après un panorama des différentes techniques, le questionnement pourra se poursuivre vers le devenir du corps modifié.

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    Intervenant :
    Docteur Laurent CASBAS, chirurgien à la clinique Sarrus-Teinturiers (Toulouse), Centre de Chirurgie Vasculaire, Thoracique et Endocrinienne (depuis 2006). Ancien Chef de Clinique-assistant aux CHU Pellegrin de Bordeaux et Purpan de toulouse, et à l’Hôpital Européen Georges Pompidou à Paris (2002-2006).

    A 21h, salle du cinéma, Rue Vidal Lablache, 09500 MIREPOIX.
    Entrée : adultes 6€, gratuit pour les moins de 25 ans.

    www.vivelascience.fr
    05 61 68 83 76

  • Ha que voilà Johnny à Pamiers !

    Ha que voilà Johnny à Pamiers !

    Johnny Halliday à Pamiers Ariège Pyrénées

     

    L’organisation du stade a déjà été repensée avec au moins 3000 places en gradins et une scène qui ne fera pas moins de 900 m2 (il faut ce qu’il faut). 10 à 12 000 personnes sont attendues pour cet événement.

    Si vous ne savez pas quoi faire ce soir là préparez votre blouson en cuir, vos « santiags » et votre Harley pour un concert 100% « Wock’N Woll » !!!!!!!!!

    Réservations : Office de tourisme – 05.61.67.52.52 ot-pamiers.fr

    © Cire Illustrateur www.cirebox.com

    www.gazette-ariegeoise.fr

  • Gabre, sur les routes en Ariège

    Gabre, sur les routes en Ariège

    Gabre, sur les roures en Ariège Pyrénées

    La commune garde comme vestige de l’époque néolithique le dolmen de la Pierre de Saint Martin situé sur la route de Coudère.

    Au Moyen-Age, Gabre était le siège d’une Commanderie des Hospitaliers de Saint Jean, qui deviendront plus tard les Chevaliers de Malte. Ils dirigeaient alors un hôpital qui accueillait les pèlerins se rendant à Saint-Jacques de Compostelle.

    Par ailleurs ils étaient vassaux du roi de France et leur territoire était une enclave dans le Comté de Foix. Le porche classé de l’église actuelle porte un écu frappé d’un semis de fleurs de lys, témoin de cette époque.

    Par Pierre Goujet — Travail personnel
    Par Pierre Goujet — Travail personnel

    Ayant adhéré à la Réforme, vers le milieu du 16e siècle, l’église devient un lieu de culte réformé. Elle est rendue aux Chevaliers de Malte dès l’application de l’Edit de Nantes (1598). Le temple protestant édifié entre temps, fut démoli en 1668 sur ordre de Louis XIV. Eglise restaurée en 1725 (redéfinition des proportions). Sous les deux contreforts du clocher, l’accès se fait en franchissant un large porche étayé par un pilier central. Le portail, en plein cintre, est surmonté de l’écusson royal et daté de 1725.

    Plus tard des familles verrières se rallièrent à la Réforme d’où la présence du petit temple protestant.

    www.arize.fr
    fr.wikipedia.org

  • Franc succès de la première édition : « Mérens cheval des neiges » à Beille

    Franc succès de la première édition : « Mérens cheval des neiges » à Beille

    beille-merens_Ariège Pyrénées

    Ce sont près de 25 chevaux venus de tout le département qui se sont réunis dans la neige et sur une piste de la station nordique du plateau de beille : 100 m de long , 30 m de large, damée et sécurisée par les équipes techniques de la station.

    Différentes disciplines ont été proposées en exhibition : skijoering avec les chevaux d’Angaka, du Soularac et de Sié, avec la participation d’un professionnel de cette discipline : Bernard Lavidalie venu d’Argelès Gazost. Plusieurs personnes ont pu s’initier à ce sport « en biplace » y compris Jean Daniel Bergès, skieur émérite et Président du Syndicat National des chevaux de Mérens. Les 2 chevaux du centre équestre du Soularac menés par 2 cavalières ont pu aussi initier quelques jeunes skieurs, mais sans pouvoir répondre à toutes les sollicitations du public : nul doute que cette discipline devrait faire un tabac si elle était proposée sur la station tout au long de la saison.

    Des courses de relais entre skieurs en « skijoering » et cavaliers ont été organisées sur 2 slaloms en parallèle. Ensuite ce sont des épreuves de traction de force qui ont fait participer le public qui devait –comme dans les épreuves de force basque- arrêter un cheval tractant un longue corde où s’arc boutait le maximum de spectateurs. L’étalon Jaffar a ainsi remporté l’épreuve contre 10 personnes qui n’ont pas réussi à le stopper sur 100 m au pas.

    Puis ce fut une compétition de traîneau de course en parallèle menés par deux éleveurs ariègeois déguisés en bûcherons casqués et habillés aux couleurs de leur traineau : Sébastien Baleydier avec son cheval Vipper et Xavier Paquin menant Jaffar.

    Le centre équestre du Fantilhou proposait ensuite des jeux équestres avec course de relais par équipes, et courses de galop très spectaculaires ainsi qu’un joli carrousel sur neige composé de 16 chevaux. Inès Roussel, Sophie et Sylvie Alzieu ont coordonné l’ensemble des exhibitions montées.

    Une grande parade clôturait la matinée et permettait d’amener les élus présents, M Geraud maire des Cabannes, M Prat maire d’Albiès, M Rouzoul maire de Vèbre, au village Nordique d’Angaka en traineau pour visiter les installations et le circuit réservé aux activités équestres. Toute l’après midi les deux chevaux Tornade et Vichnou ont évolué sur ces pistes pour des balades magiques en traîneau au milieu de la forêt enneigée avec Isabelle Corbières et Pierre Gomis aux guides.

    L’après midi les mêmes animations furent proposées au public nombreux attiré par ce spectacle inhabituel au pied des pistes, avec les commentaires au micro de l’éleveur Yves Rauzy……

    Vu le succès de cette première manifestation, une deuxième édition devrait avoir lieu l’hiver prochain pour promouvoir le cheval de Mérens au plateau de Beille, avec Angaka et avec la participation du syndicat des chevaux de Mérens, de la communauté de communes des vallées d’Ax et de tout le personnel de la station.

  • Lavelanet, Opéra « Iolanta / Casse-Noisette » – 17 mars

    Lavelanet, Opéra « Iolanta / Casse-Noisette » – 17 mars

    Opéra "Iolanta / Casse-Noisette" Ariège Pyrénées

    Une production exceptionnelle de deux oeuvres de Piotr Ilyitch Tchaikovski, comme lors de la création originale de 1892, Iolanta et Casse-Noisette, réunira toutes les forces artistiques de l’Opéra national de Paris (Orchestre, Choeurs et Ballet).

    Autour du metteur en scène Dmitri Tcherniakov et du chef Alain Altinoglu, 5 chorégraphes travailleront chacun sur un passage précis du ballet : Sidi Larbi Cherkaoui, Edouard Lock, Benjamin Millepied, Arthur Pita et Liam Scarlett. Sonya Yoncheva interprètera le rôle de Iolanta, les Étoiles, les Premiers Danseurs et le Corps de Ballet interprèteront Casse-Noisette.

    Une étrange mélopée du cor anglais, ponctuée d’accents des bassons et de la clarinette, déroule son chromatisme descendant sur vingt mesures, telle une plongée dans un monde inconnu. Celui où Iolanta vit recluse depuis sa naissance. Aveugle sans le savoir, parce que nul n’a le droit de lui révéler sa cécité.

    C’est l’histoire simple d’un déni collectif à la cour de Provence, narrée par l’auteur danois Henrik Hertz dans sa pièce La Fille du roi Rene, que Tchaikovski découvre dès 1883. Mais il ne décide d’en tirer un opéra que cinq ans plus tard, bouleversé par la présence de la jeune actrice Elena Konstantinova Leshkovskaïa dans le rôle-titre. Faut-il le croire, lorsqu’il affirme que « les ducs, chevaliers et nobles dames du Moyen Âge captivaient son imagination, mais pas son coeur » ? Car le destin de l’héroïne, comme un rite de passage de l’obscurité à la lumière, du mensonge à la vérité, ne ravive-t-il pas ses propres blessures, qui finiront par l’emporter moins d’un an après la création conjointe de Iolanta et Casse-Noisette, le 18 décembre 1892 au Théâtre Mariinski de Saint-Pétersbourg ?

    Comme un miroir à deux faces où se reflètent les rêves d’un compositeur réfugié dans l’univers des contes, l’Opéra de Paris revient au diptyque originel. Alain Altinoglu dirige, et Dmitri Tcherniakov invente le cadre scénique d’une production symbolique du lien entre art lyrique et chorégraphique.

    Iolanta
    Opéra en un acte (1892)
    Musique de Piotr Ilyitch Tchaïkovski
    Livret de Modeste Tchaikovski
    D’après Henrik Hertz, La Fille du roi René 

    Casse-Noisette
    Ballet en deux actes (1892)
    Musique de Piotr Ilitch Tchaïkovski
    Livret de Marius Petipa

    Jeudi 17 Mars 2016 18:45 durée : 3h30
    Tarif opéra Salle Avelana

    www.lavelanet-culture.com

  • Foix, Le Printemps des poètes – 15 mars

    Foix, Le Printemps des poètes – 15 mars

    Foix, Le Printemps des poètes Ariège Pyrénées

    Teresa Colom Pich (langue catalane): Prix de poésie Martí i Pol en 2000, elle a publié “Com mesos de Juny”,“La temperatura d’uns llavis” , « Elegies del final conegut », On tot es vidre », « la meva mare es preguntava per la mort ». Dernier ouvrage paru : La senyoreta Keaton i altres bèsties (Empúries)

    Joan Enric Dallerès (langue catalane): Il a publié six recueils de poésie et participé à autant d’oeuvres collectives. Il écrit en catalan, sa langue nationale tout en se revendiquant de culture française qui lui a « appris à réfléchir ».

    Philippe Forcioli (langue française): « Faire connaître un poète qu’on aime est une nécessité intérieure » écrivait Arthur Adamov. C’est dans cet esprit que Philippe Forcioli nous parlera librement du petit prince de la poésie française, cette comète dans le ciel de « la langue bleue », René Guy Cadou. Il présentera quelques poèmes de son double album à paraître en 2017 “Poète René Guy Cadou? Montrez-moi la trace des clous!”, textes dits ou chantés, extraits de l’oeuvre complète parue chez Seghers, « Poésie la vie entière ».

    Mardi 15 Mars 2016 à 19h00

    L’Estive scène nationale de Foix et de l’Ariège
    accueil@lestive.com – 05.61.05.05.55 – 20 avenue du général de Gaulle 09000 FOIX
    www.lestive.com

  • AUBERT & DUVAL partenaire de la 6ème édition de la Semaine de l’Industrie

    AUBERT & DUVAL partenaire de la 6ème édition de la Semaine de l’Industrie

    A l’occasion de la Semaine de l’industrie en France, les industriels et leurs partenaires proposent au grand public, et notamment aux jeunes et aux demandeurs d’emploi, de découvrir l’Industrie et ses métiers. L’Usine Aubert &amp; Duval de Pamiers un des gros employeur de l’Ariège y participe..

    L’usine AUBERT & DUVAL de Pamiers (09), spécialiste de la métallurgie haut de gamme pour les marchés de l’aéronautique et de l’énergie, participe activement à la 6ème édition de la Semaine de l’Industrie. AUBERT & DUVAL accueillera des jeunes publics étudiants et en recherche d’emploi ainsi que les conseillers emploi et insertion du Département.

    Trois visites de l’usine sont organisées en partenariat avec l’UIMM Midi-Pyrénées pour promouvoir les métiers de la métallurgie auprès de ces publics :

    – Lundi 14 mars : Visite de la classe de seconde techniques d’Usinage du Lycée Pyrène de Pamiers, en visite découverte de notre usine et ses métiers.

    – Mardi 15 mars : Visite d’un groupe de jeunes de la Mission Locale de Pamiers, du Pôle Emploi et du Lycée Pyrène de Pamiers.

    – Mercredi 16 mars : Visite des conseillers Pôle emploi et professionnels de l’insertion du Territoire.

    Mardi 15 mars 2016, Madame Marie LAJUS, Préfète de l’Ariège et Monsieur Patrick BERNIER, sous-préfet de Pamiers, se joindront aux jeunes de la Mission Locale dans leur découverte de l’entreprise métallurgique Aubert & Duval.

    EXPOSITION GRAND PUBLIC du 17 au 19 mars 2016

    « Showroom de l’industrie : Les métiers de l’Usine du futur » sur les Allées Jules GUESDE à Toulouse !

    L’Usine AUBERT & DUVAL sera présente sur le Showroom de l’Industrie du 17 au 19 mars 2016.

    Venez nombreux découvrir le monde des alliages AUBERT & DUVAL !

    [info]AUBERT & DUVAL (filiale de la Branche Alliages du groupe ERAMET), spécialiste de la métallurgie haut de gamme est un des leaders mondiaux des aciers spéciaux, des alliages et des superalliages. En 2014, AUBERT & DUVAL a réalisé un chiffre d’affaires de 755 millions d’Euros. ERAMET est un groupe minier et métallurgique présent sur les cinq continents. Il emploie 14 000 personnes dans trois activités : le nickel, le manganèse et les alliages. Son chiffre d’affaires 2014 est de 3 milliards €.[/info]

  • Le Fossat, Voyage extra-ordinaire – 12 mars

    Le Fossat, Voyage extra-ordinaire – 12 mars

    Le Fossat, Voyage extra-ordinaire Ariège Pyrénées

    Les trois exploratrices de la Grosse Situation font équipage, poussées par le goût salé de l’aventure qu’engendre leur complicité. C’est cela qui les a amenées à simplement poser la question suivante : c’est quoi être un(e) aventurier(ère) dans le monde d’aujourd’hui ?

    En lointaines cousines des héroïnes des romans de Jules Verne et après huit expériences vécues, elles nous embarquent en voyage à bord d’un trait d’union entre l’extra et l’ordinaire. Attention prévoir des vêtements qui ne craignent pas les ronces.

    Aventure théâtrale À partir de 10 ans, durée : 1h45

    12 €, 10 € (réduit), 8 € (abonnés Arlésie, Média Culture et Estive), 4 € (moins de 13 ans)

    CARTE BLANCHE GASTRONOMIQUE

    dès 21h avec les artistes 16 € (cocktail, vin et café compris) Réservation conseillée avant le mardi 9 mars minuit

    Samedi 12 mars à 19h
    LE FOSSAT, salle polyvalente

    Tél : 05 61 60 48 84 – arlesie@wanadoo.fr – www.arlesie.asso.fr

    http://www.facebook.com/arlesie

  • Le Mérens fait son cirque au plateau de Beille – 12 mars

     

    Cette initiative Sherpa-Angaka émane de la synergie entre des éleveurs du Sherpa et des responsables de l’entreprise Angaka au plateau de Beille qui ont mis en place une activité de promenades en traineau à cheval. Cette activité est venue enrichir les activités de chiens de traineau, raquettes, igloo, au départ du village nordique….

    Voir notre article 

  • 8 mars, une Journée internationale pour les droits des femmes

    8 mars, une Journée internationale pour les droits des femmes

    DROITDELAFEMME

    La journée internationale des droits des femmes trouve ses origines dans les manifestations de femmes au début du xxe siècle en Europe et aux États-Unis, réclamant l’égalité des droits, de meilleures conditions de travail et le droit de vote.

    Les insurgées de l’époque sont des femmes ordinaires : ouvrières, mères de famille, femmes de soldats, françaises,  russes, voyant leurs droits mais également leurs valeurs ignorés.

    Le , une Journée nationale de la femme (National Woman’s Day) est célébrée aux États-Unis à l’appel du Parti socialiste d’Amérique.

    À la suite d’une proposition de Clara Zetkin en août 1910, l’Internationale socialiste des femmes célèbre le  la première Journée internationale des femmes et revendique le droit de vote des femmes, le droit au travail et la fin des discriminations au travail. Des rassemblements et manifestations ont dès lors lieu tous les ans.

    Les premières journées de la femme marqueront le début d’une longue lutte pour l’égalité et la paix.

    Le 8 mars 1977, les Nations Unies adopte une résolution enjoignant ses pays membres à célébrer une « Journée des Nations Unies pour les droits de la femme et la paix internationale ». En France, il faudra attendre le 8 mars 1982 pour que le gouvernement socialiste de François Mitterrand donne un statut officiel cette journée.

    La Journée internationale pour les droits des femmes fait partie des 87 journées internationales reconnues ou initiées par l’ONU

    Tout ça pour dire que le 8 mars n’est pas la fête des femmes mais bien la commémoration de décennies de luttes féministes.