Auteur/autrice : Rédaction Azinat.com

  • 7ème édition de la « Rando-Raid l’ORSALHER VTT » Oust – 2 Juillet

    7ème édition de la « Rando-Raid l’ORSALHER VTT » Oust – 2 Juillet

    Cette rando-raid VTT, labellisée Manifestation Verte, a pris sa place au fil des années dans le paysage des Rendez-vous incontournables du VTT cross-country / enduro dans les Pyrénées. Plus de 200 partants devraient à nouveau arpenter avec détermination et adrénaline les sentiers du Haut-Couserans. 

    La recette fonctionne grâce aux vues impressionnantes sur les montagnes ariégeoises certes, au « piment » de ses circuits, c’est certain… mais aussi grâce au sens de l’accueil de ces montreurs d’ours (les Orsalhers) ! 

    L’association oustoise propose cette année encore, 5 circuits de pleine montagne : de « la petite Ourse » 15km avec 360m de dénivelé – , jusqu ‘à « l’Orsalher XXL » – 60km avec 2300m de dénivelé. Les circuits utilisent un maximum de single tracks, dont des circuits VTT balisés à l’année sur ce secteur et entretenus par la Communauté de Communes. Quand il y a de belles nouveautés – comme le passage cette année sous le château de Mirabat ! – les bénévoles de l’association consacrent aussi des week-ends à rouvrir à la force des bras des portions de sentiers oubliés. Ceux-ci servent l’événement, en évitant les routes goudronnées, et les riverains apprécient de voir à nouveau utilisés et utilisables certains passages de leur enfance. 

    Pendant l’événement, vous pouvez également participer à une randonnée pédestre gratuite ou à une initiation VTT pour les enfants de 8 à 12 ans (sur inscription), vous pouvez tester un VTT à assistance électrique, vous faire masser, ou simplement profiter du repas, en tentant votre chance à la tombola… 

    Pour plus d’informations et inscriptions : 06 84 08 04 32 ou http://orsalher-vtt.com/ 

  • Marguerite Villedey devient Artisan d’Art : histoire d’une reconversion réussie

    Marguerite Villedey devient Artisan d’Art : histoire d’une reconversion réussie

    De bibliothécaire à artisan cornier

    Après 15 ans d’exercice du métier de bibliothécaire, Marguerite Villedey, fondatrice avec son mari de l’entreprise Thomas Liorac, est devenue artisan cornier. Depuis le mois de mai 2017, elle a la reconnaissance officielle d’artisan d’art.

    « Dans ma jeunesse, on me disait toujours que les métiers intellectuels sont plus stimulants et épanouissants. J’avais donc trouvé ce métier de bibliothécaire, qui me permettait d’allier l’aspect intellectuel en étant au contact des autres, sans négliger un volet de travail manuel important. Mais à 40 ans, on a envie de vivre ses passions, et j’avais besoin de liberté. Je suis aujourd’hui bien plus épanouie ! » raconte Marguerite Villedey.

    Son parcours n’est pourtant pas de tout repos. Artisan cornier est un métier qui ne s’improvise pas. Il a fallu à Marguerite Villedey des mois d’entraînement, d’essais ratés, de cornes gâchées, avant de parvenir à obtenir les peignes d’aujourd’hui. C’est un métier qui ne s’enseigne pas dans les écoles. Et il y a très peu d’artisans corniers en France. Elle n’a donc pas trouvé de maître d’apprentissage et a dû effectuer seule son apprentissage. Ré-inventer un métier, c’est un pari osé !

    La reconnaissance officielle d’artisan d’art

    C’est ainsi qu’à deux, Grégoire et Marguerite Villedey ont décidé de se lancer et de créer leur propre marque de peignes en corne, Thomas Liorac. Ils reprennent un produit traditionnel oublié et pourtant tellement précieux, réactualisant un métier du passé pour améliorer les procédés, les fiabiliser en y introduisant des technologies modernes. Ils se sont appuyés sur le savoir-faire traditionnel qui avait fait ses preuves. 

    Grâce à un travail acharné, Marguerite Villedey a obtenu la qualité d’artisan d’art. Cette reconnaissance vient confirmer l’obtention du Label Entreprise du Patrimoine Vivant (EPV) décerné en mars 2017.

    Une femme artisan cornier : il n’y a pas de féminin pour le mot Artisan ? « cela me convient très bien, explique Marguerite Villedey. Pour moi, c’est un mot hermaphrodite, à la fois pour les hommes et les femmes. Je ne pense pas qu’on effectue ce métier différemment selon qu’on est un homme ou une femme. On l’exerce avec ses mains, son cœur. C’est une question de personne, d’amour, pas de genre ! »

     

  • En Ariège comme ailleurs, Dublin ou pas, non aux expulsions !

    En Ariège comme ailleurs, Dublin ou pas, non aux expulsions !

    Le collectif Solidarité Migrant.e.s 09 – qui lutte pour un accueil digne et sans condition aux côtés des déplacés de Calais et d’ailleurs, invisibilisés, oubliés dans les «centres d’accueil et d’orientation» (CAO) – a reçu un courrier de Mme Marie Lajus, préfète de l’Ariège, à propos de ses engagements formulés lors des rencontres avec le collectif.

    La représentante de l’État nous fait savoir que, malgré son pouvoir discrétionnaire, elle n’a «pas souhaité requalifier la demande d’asile» en France de deux personnes hébergées au CAO de Saverdun. Celles-ci devraient donc être reconduites en Italie, où leurs empreintes ont été enregistrées de force après leur périlleuse traversée, en vertu des accords de Dublin III.

    Ici, comme partout, il a fallu se battre pour faire appliquer, souvent encore sans succès, les promesses publiques de Cazeneuve sur l’instruction en France des demandes d’asile des déportés de Calais. Oussama et Ibrahim ne pourraient y prétendre du fait que leur calvaire hivernal s’est déroulé en partie sous les ponts de Paris et non dans la boue de Calais…

    En Ariège comme ailleurs, Dublin ou pas, refusons le tri des migrants !

    Que signifie, pour Ibrahim, Oussama et autres « dublinés », une reconduite dans le pays d’arrivée ?

    L’Italie est redevenue la principale porte d’entrée en Europe depuis les scandaleux accords passés entre l’UE et la Turquie. Son système d’asile est totalement surchargé et Amnesty International y relève de très fréquentes violences à l’égard des migrants, que les autorités cherchent à renvoyer, au Soudan et en Libye notamment, où l’on sait qu’ils seront livrés aux exactions, à l’esclavage, à la guerre. Quant aux autres pays où les demandeurs d’asile auraient laissé leurs empreintes, le sort qu’ils réservent aux indésirables n’est pas plus enviable.

    Lorsque Sarkozy et ses amis sont allés régler leurs comptes en Libye, Ibrahim, de nationalité libyenne, avait 15 ans. De nombreux Noirs, nationaux ou immigrés, ont été tués, massacrés ; lui ne doit sa vie sauve qu’à un concours de circonstances. Là-bas, l’horreur continue…

    Oussama, lui, risque l’expulsion vers le Soudan. Le fait que ce pays soit gouverné par un génocidaire, formellement poursuivi par le Tribunal pénal international, ne fait pas ciller les expulseurs, français ou italiens, malgré les multiples informations sur l’accueil réservé là-bas aux expulsés (interrogatoires « poussés », disparitions, discriminations…).

    En Ariège comme ailleurs, Dublin ou pas, n’oublions pas !

    L’État aime nous rappeler à «notre devoir de mémoire». La préfecture de l’Ariège a fini par « patrimoniser » le camp de concentration du Vernet, où réfugiés, antifascistes espagnols, puis juifs, militants et autres étrangers indésirables furent parqués et traités d’une façon infâme.

    Les droits humains consisteraient donc uniquement à lutter contre l’amnésie. Ce qui se passe aujourd’hui, dans les pays dévastés par nos marchands d’armes et de pétrole, en Méditerranée, à nos frontières, à Calais, dans les rues de nos villes, dans nos campagnes ariégeoises, donnera peut-être l’occasion d’organiser dans cinquante ans de belles commémorations officielles, voire de touchantes repentances ! Ferons-nous cesser un jour ce sinistre spectacle ?

    En Ariège comme ailleurs, Dublin ou pas, Résistons !

    Ibrahim et Oussama doivent pouvoir déposer leur demande d’asile en France !

    Premiers signataires : Collectif Solidarité Migrant.e.s 09 – Collectif de soutien aux réfugiés en Ariège – Collectif de Montbrun solidaire avec les migrants – Amicale des anciens internés politiques et résistants du camp de concentration du Vernet-d’Ariège – Amicale des anciens guérilleros espagnols en France (FFI) – AutonoMIE31/Collectif de défense des mineur-es isolé-es et des jeunes majeur-es – Union départementale CGT 09 – FSU 09 – Union syndicale Solidaires 09 – Confédération paysanne 09 – CNT 31 – Planning familial 09 – Ligue de l’enseignement 09 – Centre de recherche pour l’alternative sociale (CRAS) – Collectif d’autodéfense face au contrôle de l’administration (CAFCA) – Collectif Chiapas 09 – Tardigrada – Mes Sara KHOURY, Anita BOUIX, Mathilde JAY, avocates – Michel LARIVE, député de la 2e circ. d’Ariège

    Collectif Solidarité Migrant.e.s 09 – contact : solidaritemigrantes09@riseup.net

  • Catherine ALAPONT : « Bacchus m’a dit… »

    Catherine ALAPONT : « Bacchus m’a dit… »

    Sortie d’une brillante école d’œnologie, Catherine Alapont développe un concept novateur en Ariège, celui de sommelier-conseil à domicile. Une passion qu’elle associe à d’autres activités. Le plaisir du bon vin créé de nouvelles vocations ! En vogue dans les grandes métropoles françaises, le concept de sommelier-conseil à domicile arrive en Ariège. Et ce grâce au concours de Catherine Alapont !

    Catherine ALAPONT, sommelière et guide conférencière trilingue, conceptrice de « Bacchus m’a dit… », entreprise spécialisée dans la prestation de services autour du vin (soirées initiation à la dégustation et aux accords mets-vins , évènementiel, vente de vins, conception de produits oenotouristiques ), vous convie jeudi 29 juin à Cap delta à 18h à une soirée découverte d’initiation à la dégustation et aux accords mets et vins .4 vins et les accords adéquats .

    Durée :2h   20€/pers inscription au 0649116110 , jeudi midi au plus tard .

    Cap Delta . 215 rue Louis Pasteur

    Parc technologique delta sud. Verniolle

    Catherine ALAPONT est bénéficiaire d’un CAPE (contrat d’appui au projet entreprise)

    Plus d’infos sur https://www.facebook.com/ ou http://bacchusmadit.com/

  • Pétanqu’Ovalie a rempli toutes ses promesses

    Pétanqu’Ovalie a rempli toutes ses promesses

    Quand il est question de l’animation sportive locale, on ne peut faire l’impasse sur Pétanqu’Ovalie. Ce week-end, et pour cette 11e édition, le Stade Lavelanétien organisateur de la manifestation a rempli toutes ses promesses…

    Des boules, des rugbymen, de la bonne humeur, de la convivialité, une esplanade ensablée pour l’occasion et environ quatre-vingts équipes de quatre à six joueurs chacune sur des terrains délimités. Pétanqu’Ovalie c’est un concours de pétanque géant organisé par des rugbymen pour des rugbymen.

    Une journée où l’on se retrouve entre anciens et actuels joueur(e)s, toutes générations confondues, amateurs, familles, amis, et supporters. Bandas avec les Gais Rimontais, animation sono de Jacques Ghilardi, grillades le midi, repas pris en commun le soir avec le concours de l’orchestre Jean Ribull…

    Denis Pinaud et Camille Sire vice-présidents du Club du Stade Lavelanétien Rugby et les bénévoles peuvent se féliciter de la réussite de cette belle journée. À noter que le bouclier 2017 a été remis à l’équipe du Stade Lavelanétien, des vainqueurs acclamés par les leurs.

    Source : Mairie de Lavelanet

  • Auzat, Conférence « Histoire de la forêt et métallurgie antique à Lercoul » – 29 juin

    Auzat, Conférence « Histoire de la forêt et métallurgie antique à Lercoul » – 29 juin

    Les bas fourneaux du IIIe siècle de notre ère, fouillés à Lercoul à la fin des années 1990, sont les plus anciens et les mieux connus des Pyrénées.

    L’un des antiques creusets, taillé dans le schiste de la montagne, a été utilisé pour une reconstitution, avec les matériaux locaux.

    Avec Claude Dubois, archéologue, docteur en histoire des exploitations minières. Il a longtemps mené des recherches sur les mines d’argent et de cuivre antiques du Séronais. Il a révélé l’intérêt du site médiéval de Castel-Minier à Aulus et participe au chantier archéologique qui s’y tient chaque année. Il est intervenu comme expert pour le ministère de la Culture avant le mise en sécurité de nombreux sites miniers des Pyrénées et d’ailleurs.  Il est l’auteur de nombreux articles scientifiques et d’un livre sur l’épopée des mines de Bentaillou et de Bulard en Ariège. Il mène actuellement des recherches historiques sur une famille d’exploitants miniers en Ariège. Il dirige une fouille archéologique sur une fonderie d’argent du XIXe siècle en Lozère et est responsable d’un programme de recherche sur la Forêt Royale de Lercoul, en Vicdessos.

    Jeudi 29 juin 2017 à 20h30 au Barri, 2.5€ plein tarif.

    Informations et réservations

    Tél : 05 61 02 75 98
    infos@lebarri.com
    Maison des Patrimoines – Le Barri –
    Rue de la Mairie – 09220 Auzat

    www.lebarri.cc-hauteariege.fr

     

  • Lavelanet, « Télé Brouette » soirée de projection conviviale – 29 juin

    Lavelanet, « Télé Brouette » soirée de projection conviviale – 29 juin

    Vous êtes  invités à  assister à la projection du court-métrage réalisé par les élèves du club culture avec l’association Caméra au poing

    le jeudi 29 juin dès 20h30.

    Salle Georges Méliès (cinéma le Casino)
    Lavelanet

    www.lavelanet-culture.com/

     

     
  • Foix, spectacle flamenco – 28 juin

    Foix, spectacle flamenco – 28 juin

    La Peña Flamenca vous propose une soirée inoubliable le mercredi 28 juin à 20h à l’Estive

    « Aquí se baila así » est un spectacle enchaînant les danses où se mêlent l’intensité festive et la beauté dramatique du flamenco.

    Venez nombreux pour assister à ce moment de joie et d’émotion de l’univers riche et varié de cet art andalou.

    LA PEÑA FLAMENCA
    Association de danses sévillanes et flamenco
    Place de la mairie – 09400 ARIGNAC
    06.24.04.74.30
    penaflamenca09@gmail.com

  • Les Bordes sur Arize, conférence «Blanqui, l’Insurgé, l’Enfermé»- 27 juin

    Les Bordes sur Arize, conférence «Blanqui, l’Insurgé, l’Enfermé»- 27 juin

    Cette conférence-diaporama dresse le portrait d’Auguste Blanqui (1805-1881), inclassable et irréductible révolutionnaire qui passa plus de 33 ans en prison pour ses idées. 

    Avec le support d’un diaporama illustré d’une riche iconographie et de tableaux didactiques, Philippe Fréchet retracera d’abord la vie du révolutionnaire ; il donnera lecture de quelques portraits de Blanqui (tracés par ses amis ou ses ennemis) ; enfin, un rapide panorama des idées sociopolitiques de l’époque tentera de situer l’insaisissable Blanqui (et ses émules, les « Blanquistes ») dans ce fouillis idéologique.

    « Lorsque je travaillais sur des sujets touchant à l’histoire politique du XIXe siècle (que ce soit pour ma conférence sur Louise Michel, pour celle sur Élisée Reclus ou celle sur Jean Jaurès), chaque fois, j’ai rencontré des mots qui revenaient tel un refrain : « Blanqui », « le blanquisme », « les Blanquistes »… avec, toujours, une sorte d’aura de mystère autour de ces termes, sans que jamais les choses soient très claires… Blanqui et les Blanquistes étaient-ils socialistes, communistes, anarchistes, autre chose ? Pourquoi ce personnage récurrent fut-il, sur la scène politique, à la fois aussi présent et, en même temps, aussi absent (du fait, bien sûr, de ses nombreux et longs séjours en prison) ? Qui était Auguste Blanqui ? Que voulait-il exactement ? Comment comptait-il l’obtenir ? Cette conférence tente de répondre à toutes ces questions. », dit le conférencier.

     L’intervenant : Né en région parisienne en 1952, Philippe Fréchet est retraité de l’enseignement spécialisé. Depuis de nombreuses années, il mène de front plusieurs activités dans différents domaines dont l’édition, le jazz, l’histoire et l’éducation populaire. Il propose des conférences dans les champs de l’histoire de la pensée, l’histoire sociale et politique, l’histoire de la musique et pratique également la lecture publique. Son blog : phfrechet.blogspot.com. Il est le fondateur de la PUPAL en 2010.

    À l’issue de cette séance, comme chaque fois, nous partagerons ce que chacun(e) aura amené à manger et/ou à boire. 
    Celles et ceux qui le souhaitent pourront renouveler leur cotisation annuelle (ou adhérer pour la première fois) : 10 €, adhésion non obligatoire.

    Mardi 27 juin – 20h00 – Espace culturel
    Les Bordes sur Arize

    Visitez le blog : pupal09.blogspot.fr avec tout le programme du 2ème semestre 2016 de la PUPAL et la page Facebook : Pupal Arize-Lèze.

  • Mazères, Feu de la Saint Jean – 25 juin

    Mazères, Feu de la Saint Jean – 25 juin

    Le Comité des Fêtes de Mazères organise, le dimanche 25 juin au Faubourg Saint Jean, une soirée festive autour du Feu de la Saint Jean 

    Un moment de partage pour de fêter « Saint-Jean » avec ses traditionnels temps forts de la journée.

    • 06h30 : Concours de pêche. 
    • 14h30 : Concours de pétanque en triplette.
    • 18h30 : Restauration sur place avec une NOUVELLE FORMULE : Assiettes de tapas de 2€ à 3€ (frites, rabas, moules…) animé par Wilfried
    • 22h00 : Bal populaire de la Saint-Jean animé par Wilfried

    Quelles que soient ses origines, la nuit de la Saint Jean est l’occasion de festoyer autour d’un feu et le comité vous invite à venir partager cette fête !

    En cas d’intempéries, la manifestation se déroulera sous la halle.
    Renseignements : 06 24 27 45 54 / www.fetemazeres.fr 

  • Jacques Rougé réélu Président de l’UDAF de l’Ariège

    Jacques Rougé réélu Président de l’UDAF de l’Ariège

    À l’occasion du conseil d’administration qui s’est tenu le 20 juin 2017, Jacques Rougé a été réélu président de l’Union Départementale des Associations Familiales de l’Ariège.

    Il poursuivra l’engagement de l’UDAF dans ses missions de représentation et de défense de l’ensemble des familles du département ainsi que les actions qu’elle met en œuvre notamment dans le champ de l’insertion et du socio-culturel. 

    Le bureau a été reconduit dans son intégralité : Françoise Barbion, secrétaire ; Jean-Claude Boy, trésorier ; Henriette Agert ; Philippe Antibe ; Michel Charrié ; François de Kerimel et Roger Vidal.

  • Le Fossat, Projection du film « Malatèrra » de Philippe Carrèse – 25 juin

    Le Fossat, Projection du film « Malatèrra » de Philippe Carrèse – 25 juin

    Le film Malatèrra a été réalisé comme un film d’espionnage, épique, mystérieux, policier et fantastique par le secret qu’il suggère.

    Une des particularités du projet original est qu’une grande partie des dialogue est parlé en occitan, (sous-titré en français). Ce choix colle au réalisme historique et géographique essentiel à la démarche narrative et artistique du film. L’histoire se déroule en 1916 dans un mas isolé des Alpes-de-Haute-Provence.

    La chanson du générique Malatèrra est composée par le groupe Massilia Sound System.

    Dimanche 25 Juin – 16h00
    Salle multimédia Versailles
    Le Fossat

    GRATUIT