Archives d'actualités en Ariège sur Azinat.com

Vidéos

  • 180 tablettes numériques pour les collégiens de Lakanal à Foix

    180 tablettes numériques pour les collégiens de Lakanal à Foix

    Attentif aux appels à projet pour le numérique éducatif du gouvernement, le Département de l’Ariège soutient depuis 2015 les projets numériques des collèges de Foix et du Mas d’Azil, deux projets convaincants et complémentaires dans leur approche, notamment dans le choix des matériels.

    Au terme de la première année d’expérimentation, le Département a décidé d’homogénéiser les équipements déployés dans les deux établissements, en retenant la solution testée au sein du collège André Saint-Paul au Mas d’Azil. Les collégiens disposeront donc désormais des mêmes tablettes.

    Depuis de nombreuses années, le Département de l’Ariège se mobilise pour permettre aux collégiens ariégeois de bénéficier des outils numériques. Il a ainsi été précurseur au niveau régional dans le déploiement des espaces numériques de travail (ENT), puis dans la mise en œuvre des manuels numériques. Dans le même temps, les collèges ont été raccordés au réseau Internet départemental à haut débit.

    Cet engagement pour la jeunesse ariégeoise a été conforté par la volonté du gouvernement de déployer son Plan numérique national pour l’Education. Les collèges André Saint-Paul du Mas d’Azil et Joseph-Lakanal à Foix ont alors intégré le processus en devenant « collèges préfigurateurs » sous l’égide du Département, une disposition actée par une délibération de l’assemblée départementale en juin 2015.

    Le Plan numérique a donc été expérimenté dans les deux établissements sous des formes différentes : des tablettes de marque Hewlett Packard, avec système Windows, à Foix tandis que le du Mas d’Azil expérimentait des tablettes Apple.

    La mise en œuvre technique des tablettes au collège Joseph-Lakanal s’est avérée complexe dans ses détails, malgré l’investissement total d’un agent du Département. Il a finalement été décidé au terme de la première année d’expérimentation d’homogénéiser le type d’équipement, en retenant la solution iPad testée au Mas d’Azil.

    En parallèle de cette expérimentation, le gouvernement a publié le 24 novembre 2015 un nouvel appel à projet « collèges numériques et innovation pédagogique ». Le projet du collège Lakanal a alors été reconsidéré. Il a été décidé d’élargir l’expérimentation à l’ensemble des enseignants, et de permettre à un champ d’élèves élargi de tester le nouvel outil pédagogique que peut constituer la tablette. Considérant que l’équipement individuel des élèves constitue une solution trop coûteuse pour être généralisé, il a été décidé de déployer un mélange d’équipements individuels et de « classes mobiles », avec uniquement des iPad. 

    Pour ce nouveau départ destiné à faciliter les apprentissages, le collège est doté de 180 kit tablettes, dont :

    • 40 tablettes pour les enseignants,
    • 60 tablettes intégrées pour quatre classes mobiles (4 malles de rangement et de chargement faites sur mesure pour répondre au mieux aux besoins d’une classe mobile iPad avec protection)
    • 74 tablettes pour une expérimentation d’usages pédagogiques innovants plus poussés, avec deux classes dont des enseignants sont particulièrement moteurs.

    Sans oublier des tablettes de secours, pour gérer les éventuelles pannes.

    En complément de ces équipements, le Département fournit également tout un volant d’accessoires comme des écouteurs, des coques de protections, des Apple TV (diffusion de l’écran de la tablette sur un vidéoprojecteur sans fil).

    Budget d’investissement pour les équipements du collège Joseph-Lakanal : 104.000 €. Sur cette opération, la subvention de l’Etat s’élève à 47.540 € (380 € par tablette enseignant, 190 € par tablette élève, 4.000 € par classe mobile)

    Sources : CD09

  • Admission PostBac 2017, la Cité Scolaire de Mirepoix fait une mise au point.

    Admission PostBac 2017, la Cité Scolaire de Mirepoix fait une mise au point.

    Vendredi 20 janvier, ouverture du portail APB (Admission PostBAc). A cette occasion, la cité scolaire de Mirepoix avait mis en place une réunion d’information en direction des parents d’élèves. 

    «Cette année, ce sont près de 500 000 élèves qui vont faire leurs voeux sur APB. Une grosse machine, mais une machine qui fonctionne bien» rassure le Proviseur Monsieur Joseph Buisan.

    Si vous êtes parents d’élève, mais surtout parents d’élève de Terminale, l’orientation Post Bac, c’est le casse tête de l’année : Où, quand, comment, pourquoi ? DUT, BTS, Prépa, IEP, STAPS, CPGE, DCG, CUPGE, MANAA… les filières sont nombreuses et se croisent. Plus qu’un casse tête, c’est aussi une vrai angoisse et du stress pour les enfants mais surtout pour les parents. 

    Si les élèves travaillent sur leur orientation depuis le début de l’année, (salon INFO-SUP, forums des métiers) et que les équipes pédagogiques sont passées dans les classes pour expliquer le fonctionnement d’ABP, le Lycée polyvalent de Mirepoix et son chef d’établissement a jugé utile d’inviter les parents à une réunion d’information, c’est ainsi que les parents étaient invités ce vendredi soir pour une mise au clair de cette « usine à gaz« . 

    Cette plateforme a été mise en place pour simplifier les démarches de pré-inscription dans l’enseignement supérieur en regroupant sur un seul site l’ensemble des formations post-baccalauréat, avec un calendrier très précis à suivre et un protocole d’inscription et de classement et de validation des voeux.

    Comment ça marche ?

    Le portail Admission Post Bac donne la possibilité aux élèves de terminale et étudiants en réorientation de formuler différents vœux d’orientation en fonction de leur projet d’études et de leur projet professionnel. Il regroupe sur une même plateforme la grande majorité des formations existantes dans l’enseignement supérieur. Il permet donc aux jeunes de s’informer sur les cursus envisageables et d’émettre leurs souhaits de poursuite d’études et de simplifier leurs démarches de préinscription dans l’enseignement supérieur.

    Durant plusieurs mois, les candidats peuvent suivre l’évolution de leurs différentes candidatures sur le portail. Lors des phases d’admission, ils verront les réponses des établissements en question, et pourront, à leur tour, accepter ou décliner les propositions qui leur sont faites.

    Toutes les formations ne figurent pas sur APB. Les jeunes qui souhaitent s’orienter vers celles qui ne sont pas sur la plateforme doivent donc contacter directement les établissements concernés pour s’informer des modalités d’inscription. Ils peuvent également regarder la liste des formations existantes dans leur ville sur la plateforme Diplomeo. Cependant, la grande majorité des cursus est aujourd’hui présente sur APB. Depuis 2015, de nombreuses formations en apprentissage ont intégré la plateforme. De même, les cursus proposés par les Instituts d’études politiques (IEP) de province ont tous fait leur entrée sur le portail, même si l’inscription aux concours se fait encore sur leur site internet.

    Admission Post Bac en 5 étapes

    1. Du 20 Janvier au 20 Mars 18H Inscription, saisie des vœux
    2. Le 02 Avril Date limite de confirmation des vœux
    3. Du 20 Janvier au 31 Mai Modification de l’ordre des vœux
    4. Du 08 Juin 14H au 13 Juin 14H Première phase d’admission et réponse des candidats
    5. Du 27 Juin 14H au 30 Septembre 23H59 Procédure complémentaire Saisie des vœux au plus tard le 25 Septembre 23H59

    www.admission-postbac.fr
    diplomeo.com

  • Journée Cheval des Neiges, sans les castillonais mais une belle journée quand même !

    Journée Cheval des Neiges, sans les castillonais mais une belle journée quand même !

    Ce devait être la fête des chevaux de Mérens et des Castillonais, mais l’afflux de neige a empêché les éleveurs des chevaux de monter jusqu’à l’espace nordique de Beille (l’événement avait d’ailleurs été annoncé comme reporté). Qu’à cela ne tienne, l’équipe d’ANGAKA, organisatrice de l’événement a pris les rênes pour offrir au public un très beau spectacle.

    Une première édition avait eu lieu en mars 2016 avec l’aide technique de la station de Beille et le soutien des élus de la Vallée.

    L’objectif de cette journée : une présentation de différentes activités de loisirs et de sport avec des chevaux de Mérens sur la neige.  Montrer en particulier les qualités du cheval de Mérens sur la neige en s’appuyant sur l’expérience du Village Nordique Angaka qui utilise depuis 5 ans trois Mérens attelés à des traîneaux pour des promenades destinées à sa clientèle pendant l’hiver.

    Tornade, Vishnu et Tempo, les trois Mérens d’ANGAKA ont donc fait leur show à Beille en attendant la prochaine journée cette fois avec tous leurs cousins. 

    Plus d’infos :

    www.angaka.com

     

  • Brice, le vacher trailer ariégeois, court sur grand écran et sur Arte

    Brice, le vacher trailer ariégeois, court sur grand écran et sur Arte

    Vendredi 20 janvier, plus de 250 personnes ont assisté à l’avant-première du film documentaire « Brice, le vacher à l’assaut des Pyrénées », organisée par le Département dans la salle du Casino, à Ax-les-Thermes.

    Un apéritif à base de produits locaux figurait également au menu de la soirée.

    Lors de cette projection, nous avons rencontré Pierre Périssé, Réalisateur et Accompagnateur en Montagne qui nous parle du film de Sandrine Mörch et de sa propre réalisation prévue en avant première «Muletier, de l’Ariège à l’Atlas»

    Réalisé par Sandrine Mörch, le documentaire est consacré à Brice Delsouiller, vacher et trailer, membre de l’équipe de France de course de montagne. Tout en se rapprochant pas à pas des meilleurs mondiaux sur les courses de montagne, il court derrière les bêtes de son troupeau plus de cinq mois par an à travers les estives d’Ariège. Entre sport de haut niveau et pastoralisme, Brice défend à la fois un métier et la montagne ariègeoise.

    Le documentaire sera diffusé à la télévision sur la chaîne Arte, le samedi 28 janvier à 20 heures, puis rediffusé le samedi 4 février à 9 h 55 dans sa version longue de 52 mn.

    Sources : CD09

  • Attention à la vague de températures moyennes, Chroniques d’Olivier de Robert

    Attention à la vague de températures moyennes, Chroniques d’Olivier de Robert

    Attention, vague de chaud ! Attention, vague de froid ! Attention aussi à ce drôle de monde où il faut des messages gouvernementaux pour nous dire de mettre un manteau en hiver ou de boire en été…

  • Primaires citoyennes du 22 janvier en Ariège, c’est dans la boite !

    Primaires citoyennes du 22 janvier en Ariège, c’est dans la boite !

    Les primaires citoyennes se préparent aussi en Ariège ! La fédération socialiste de l’Ariège avec jean-Christophe Bonrepaux aux commandes vient de recevoir les kits de communications et les outils qui permettront à une partie de la Gauche de se retrouver dimanche 22 janvier prochain pour choisir leur candidat. Quels sont les enjeux au niveau du département, où les socialistes gouvernent la plupart du temps avec une majorité confortable depuis quelques décennies à chaque élection ? Quelle organisation est prévue ? Quels bureaux de vote seront ouverts ? 

    Une partie de la gauche ? Oui car contrairement à la primaire à droite, il est resté quelques candidats et non pas des moindres qui n’ont pas souhaité s’aligner sur cette primaire et cela risque fort de proposer au deuxième tour de la présidentielle une alternative droite / extreme droite qui ne ravira pas tout le monde. Face aux sondages qui donnent des scores à Mélenchon et Macron assez impressionnant, Jean-Christophe Bonrepaux fait bonne figure : «les primaires compteront plus que les sondages et si les gens viennent voter en masse cela donnera plus de poids au candidat qui en sortira», il pense que les négociations ne pourrons certainement pas avoir lieu avec Mélenchon qui s’est dès le départ défini dans l’opposition, il espère que Emmanuel Macron qui était gouvernement se ralliera au dernier moment ou du moins qu’il sera possible de trouver une solution… 

    Les équipes ont reçu il y a quelques jours les kits pour les différents bureaux de votes, les boites pour récupérer les 1 euros dût par chaque votant, qui devra signer ensuite la charte d’adhésion aux valeurs de la gauche, comme cela avait été portés aux primaires à droite. (le tarifs était un peu plus élevé et fixé à deux euros).

    D’un point de  vue technique tout semble prêt, la communication a été faite auprès des médias ariégeois qui ont relayé l’info : petite précision tout de même et de taille : les jeunes qui vont avoir 18 ans en mars peuvent dores et déjà voter aux primaires : les organisateurs des primaires citoyennes n’ayant que les listes des électeurs de 2015, ils leur faudra en conséquence aller à la mairie pour justifier de leur état et de leur résidence pour pouvoir aussi voter aux primaires.

     

    Primaires citoyennes où voter en Ariège :

    Ax les Thermes ( Mairie)  – Luzenac (Salle des fêtes)  – Les Cabannes (Pôle touristique) – Carcanières (salle polyvalente)  – La Bastide de Sérou (Mairie)  – Massat (Mairie)  – Seix (Mairie)  – Foix  Ville (Salle Jean Jaurès 1) – Foix Jean Jaurès 2 (Cos, Ferrières, Prayols et Montoulieu) – St Pierre de Rivière pour la vallée de la Barguillère (Salle polyvalente) – St Jean de Verges (Mairie) – Varilhes (Mairie)  – Verniolle (salle du foyer rural) – Lézat/Lèze (Salle des Aînés) –  Le Fossat ( Mairie) – Le Mas d’Azil (Salle des fêtes) – Daumazan ( Mairie) – St Girons  Ville (Mairie 1) et  les communes de Moulis,Eycheil,Lacourt,Riverenert,Erp,Alos,Encourtiech,Montegut en Couserans à St Girons 2 à la Mairie – Rimont (Mairie) – Castillon en Couserans ( Mairie) – Lacave (Mairie) – Lorp (Mairie) – Ste Croix Volvestre (Salle des Associations) – Saverdun (Salle Gabriel Fauré) – Canton Pamiers Est et Ouest+ Bonnac et Villeneuve du Paréage (Salle des Capelles 1 et 2) – Tarascon (Mairie) – Auzat ( Mairie) – Saint-Paul de Jarrat ( Mairie) – Mirepoix ( Salle de Restauration) – Laroque d’Olmes (Salle du conseil) –  Lavelanet ( Ecole Lamartine) – Bélesta ( Salle annexe) – Montferrier ( Salle d’animation)

  • Ski-club de Beille, les mercredis à la neige

    Ski-club de Beille, les mercredis à la neige

    Ski à roulettes, skating, biathlon, ski de fond et, nouveauté 2017, section handi-ski, la saison du ski-club de Beille a débuté début janvier en Espagne, faute de neige. Mais les chutes récentes d’or blanc ont permis un retour à la normale.

    Depuis le 4 janvier, tous les mercredis, un encadrement est assuré par les membres du club et les moniteurs ESF dont Laure, Olivier et Arnaud Bosc font partie.

    Le club compte une soixantaine d’adhérents licenciés dans le cadre de la FFS (Fédération Française de Ski) mais il compte en tout une centaine de personnes,  adhérents ou amis, qui viennent aider à l’organisation des courses.

    Des adhérents qui viennent de plus en plus loin, de Toulouse et de la région toulousaine, puisque le ski-club est le seul en Ariège à proposer du ski nordique.

    La grande nouveauté de la saison 2016-2017 est sans doute la création de la section Handi-ski, encadrée par Patrick Carbonnel et, au cours de la saison, une journée de sensibilisation et de promotion de l’activité. 

    Coté compétitions, le biathlon et le nordique-skieur-cross prévus le 30 janvier est reporté à une date ultérieure ; on trouvera, mi-mars l’Envolée de Beille, une des plus grosses courses pyrénéenne pour les enfants suivie, l’avant-dernier week-end de mars de la Beilloise, une course populaire tout public, tout âge, tout niveau.

    Rendez-vous donc tous les mercredis à 13h45 sur la place de Les Cabannes ou à 14h30 à Beille pour goûter aux joies du ski nordique. Inscriptions encore possibles !

    Contact Bernard Gaya 06.08.34.43.01
    sites.google.com/site/skibeille/

  • Lavelanet, la société CMA a le vent en poupe

    Lavelanet, la société CMA a le vent en poupe

    Depuis les années 30 et la création de la société « Laffont » à Villeneuve d’Olmes par Achille Laffont, qui travaillait alors pour les usines textiles, la Chaudronnerie-Mécanique-Ariègeoise (CMA) sise 65, rue Jean Jaurès à Lavelanet n’a eu de cesse de s’agrandir et se développer.

    Aujourd’hui, l’entreprise Lavelanétienne s’est spécialisée dans l’usinage d’ensembles mécano-soudés de grandes dimensions. La société CMA est épaulée depuis 2009 par une autre entreprise Lavelanétienne : Constructions Montages Assembliers, cette entreprise partenaire forte d’une trentaine de salariés est quant à elle spécialisée dans la mécano-soudure de grande dimension.

    « Depuis plus de 80 ans, CMA et ses collaborateurs se positionnent auprès de partenaires de grands groupes industriels sur différents secteurs d’activités : fabricants de machines spéciales, fabricants de machines-outils, production pétrolière, automobile, nucléaire, papeterie, sidérurgique, etc » rappelle Christian Georges PDG et petit fils du fondateur. En sus, dans ces locaux de plus de 6000 M2, CMA fabrique des prototypes fonctionnels, systèmes d’outillages, machines et équipements industriels. Issu du regroupement et de la mise en synergie de quatre pôles de compétences techniques et industrielles complémentaires dans les domaines de l’usinage de grandes dimensions, de la mécano-soudure, de l’ingénierie et du tournage, CMA, forte de plus de 60 techniciens salariés et collaborateurs hautement qualifiés, dispose d’un réseau de clients directs et indirects en France, en Europe et dans le monde. Outre ces activités, le groupe et son département méthodes et technologies, travaille sur trois missions complémentaires : études de faisabilité et de fabricabilité, veille technologique concernant les matériaux et équipements de production, sourcing fournisseurs.

    Quand on visite les locaux de CMA, et ses halls de production spécialisés (usinage grandes dimensions, fraiseuse à portique, usinage conventionnel, fraisage et tournage grandes dimensions, mécano-soudure intégrant les débits en oxycoupage,  stabilisation par vibration, grenaillage, peinture, conditionnement), on ne peut qu’être impressionné par le dynamisme de l’entreprise. Ce matin du 12 décembre, les techniciens s’affairaient autour du chariot servant à transporter des têtes d’éoliennes off-shore (de 120 tonnes chacune) devant partir en convoi exceptionnel dans l’après-midi. Une livraison finale pour Général Electric, mais une commande pour le bureau d’études EXCENT de Toulouse, donneur d’ordre. « Car CMA », ainsi que nous l’explique Julien Constantino Responsable qualité (ingénieur mécanique de formation), «notre «groupe»  dispose de l’ensemble des moyens de fabrication et d’usinage lui permettant de fabriquer et de monter des sous-ensembles, ensembles complets ou outillages spécialisés que nous commandent nos donneurs d’ordre ». Dans le même ordre d’idée, les locaux de CMA abritent encore une fabrication exceptionnelle pour aider sa voisine Sabart Aéro Tech à l’écroûtage de lopins pendant l’aménagement de sa nouvelle ligne de production. Un peu plus loin, on peut observer un immense chariot qui servira en ce début d’année à transporter des moteurs d’avion. Il sera livré sur le site de SNECMA Villaroche.

    À n’en point douter, CMA a le vent en poupe. Ici, flexibilité et réactivité ne sont pas de vains mots, car les partenaires continuent à innover pour le bénéfice de ses clients. Julien Constantino, responsable qualité (ingénieur Lavelanétien de formation) glissant : « pour nous tous, chaque nouvelle pièce est un nouveau challenge ».

  • De l’art du slow dans le net, Chroniques d’Olivier de Robert

    De l’art du slow dans le net, Chroniques d’Olivier de Robert

    Allez va, on le connait le truc : les vidéos sur internet doivent être rapides, coupées court, hachées menues…

    Faut dire que si elle te laisse le temps de penser, tu comprends que le discours est creux et tu coupes l’ordi. Bon, alors je lance le concept du slow net, ou l’idée d’un espace destiné à rien foutre et poser vos rêvaseries…

  • Club d’entreprises du Pays des Pyrénées Cathares : Jean-Marc Gomez reconduit à la présidence

    Club d’entreprises du Pays des Pyrénées Cathares : Jean-Marc Gomez reconduit à la présidence

    C’est une quarantaine de chefs d’entreprises du Pays des Pyrénées Cathares qui se sont réunis mercredi dernier à la salle multisports de Lavelanet pour leur Assemblée Générale annuelle. Jean-Marc Gomez de Mecaprec président en exercice a animé la soirée avec Sylvie Ducattillon d’Ariège Expansion en charge de l’animation du Club au quotidien. A cette occasion, Jean-Marc Gomez a été réélu président.

    Après la présentation du rapport moral par le président du Club, Jean-Marc Gomez, et la réélection de celui-ci et des membres du conseil d’administration, les discussions ont porté sur les actions du club pour l’année 2017.

    Parmi les premières choses à faire, il a été décidé de réorganiser le logo qui datait de l’époque du Club d’Entreprises du Pays d’Olmes (CEPO)  et de porter ses actions de communication internes et externes via la plateforme Facebook. Une page et un groupe sera créé assez rapidement sur ce réseau social qui est utilisé par 95% des membres actuels. L’objectif étant que chacun connaisse mieux les compétences et activités des autres membres et aussi faire connaitre les activités du club pour attirer de nouveaux membres.

    Il a été convenu d’une future « formation » lors d’une prochaine rencontre « Lounge » à la pépinière d’entreprises Cap Mirabeau.

     

  • La fabuleuse histoire du peigne en corne en Pays d’Olmes

    La fabuleuse histoire du peigne en corne en Pays d’Olmes

    Janine Fauré est responsable de la section peigne en corne au Musée du Textile et du Peigne en Corne de Lavelanet, mais elle est surtout fille, petite fille et arrière petite fille de « peigners ». Elle nous raconte l’histoire du peigne en corne.

    S’il est estimé que les premiers peignes dates d’environ 9 500 à 12 500 ans avant J C, l’on est pas très sûr de l’origine de la fabrication du peigne en corne dans notre Région. Certains disent que se sont les protestants qui ont amené la fabrication du peigne en corne au XVI ème et XVII siècle. Mais déjà, dans les archives on trouve des fabricants de peigne en bois à Toulouse, ces derniers venant se ravitailler en matière première sur le Palntaurel. 

    Ce n’est qu’au XIXème siècle que l’on a commencé à travailler la corne et que l’industrie du peigne à pris son essor. 

    Cette industrie était florissante au XIXème et pendant la première moitié du XXème siècle, on comptait une cinquantaine d’usines réparties dans la vallée de l’Hers, à Fougax et Barrineuf et à Sainte Colombe sur l’Hers et 1500 ouvriers travaillaient dans l’industrie du peigne à la fin du XIXème siècle. Il fallait, à l’époque, 18 opérations différentes pour obtenir un peigne : «Un vrai travail artistique» explique Janine. 

    Jusqu’à la première guerre mondiale c’était une industrie familiale, ensuite, beaucoup d’ouvriers qui avaient travaillé dans le peigne en corne ont décidé de s’associer et ont fondé des coopératives. 

    Aujourd’hui il ne reste qu’une usine qui fonctionne à l’Aiguillon.

    La corne venait d’Argentine, d’Afrique du Sud, du Liban, de Turquie… Durant la guerre, les bateaux n’arrivant plus, la fabrication s’est un peu ralenti et on s’est remis à fabriquer des peignes bois et également avec la monture en bois et les dents en corne. 

    Le peigne râteau avec les grosses dents, le démêloir, le décrassoir (peigne à poux), le peigne à moustache, le figaro ou peigne à queue (peigne de coiffeur)… il existe une quantité de peignes différents. Mais celui dont Janine est le plus fière, est celui inventé par son cousin au lendemain de la coupe du Monde de foot de 1998 et la victoire de l’équipe de France, le peigne pour chauve dédié à Fabien Barthez, celui là on vous jure qu’il existe. 

    Pour acheter des peignes en corne rendez-vous sur la boutique : www.peignecorne.com