Catégorie : Education

  • E-éducation : l’Ariège exporte la marque Ludovia et son savoir-faire en Suisse

    E-éducation : l’Ariège exporte la marque Ludovia et son savoir-faire en Suisse

    En près de 15 ans, la manifestation LUDOVIA est passée de 100 participants en 2004 à Saint-Lizier, à plus de 1000 en 2017 à Ax les Thermes. Cet incontestable succès de participation, d’estime et surtout d’utilité pour le passage du crayon bille à l’ordinateur et à la tablette est dû à un concept intelligent (LUDOVIA, c’est le chemin vers le ludique à l’école) qui vient de franchir un nouveau cap hors de l’Ariège en s’exportant il y a quelques jours en Suisse, plus exactement à Yverdon-les-Bains, ville thermale de 30.000 habitants près de Lausanne dans le canton francophone de Vaud.

    Cette première édition de Ludovia#Ch a donc marqué les 27, 28 et 29 mars le passage à l’externalisation d’un événement né et développé en Ariège.

    Elle a été inaugurée mardi soir en présence d’une délégation du département de l’Ariège, conduite par Henri Nayrou, Président du Conseil Départemental et composée de Didier Kuss, directeur de l’Agence Ariège Attractivité, Eric Fourcaud, concepteur chargé du développement de Ludovia, et de Sylvie Couderc, Directrice de l’Office de Tourisme des Pyrénées Ariégeoises. 

    Du 27 au 29 mars, Ludovia passe à l’heure suisse. L’université d’été de l’e-éducation, née en Ariège et qui prépare déjà sa 15ème édition à Ax-les-Thermes au mois d’août prochain, exporte en effet sa marque et son savoir-faire à Yverdon-les-Bains, dans le canton de Vaud. « Ludovia.ch » a été inaugurée mardi soir en présence d’une délégation du département de l’Ariège, conduite par Henri Nayrou, Président du Conseil Départemental.

    Lors de l’inauguration en présence du maire de la ville, du recteur et de la directrice générale de l’université du lieu, le président du Conseil Départemental a pris la parole en ces termes :

    « C’est un honneur pour notre délégation venue d’un petit département du fond de la France d’être conviée ici au cœur de la Confédération Helvétique pour vulgariser le concept Ludovia né petit et devenu grand, non pas grand, plutôt utile, plutôt d’avant-garde et surtout de grand avenir ».

    Puis, il rappelait également la cohérence du développement de la manifestation parallèlement au déploiement des NTIC sur le territoire. « L’Ariège a compris, dès les années 2000, l’importance de la couverture numérique pour accroitre son attractivité : connecter les zones d’activité économique, développer le e-commerce, permettre le télétravail ». Et d’indiquer le lancement du Plan Ariège Très Haut Débit il y a quelques jours à peine, un projet à 140 M€.

    Les Ariégeois sont également intervenus le mercredi matin comme Grands témoins du séminaire organisé dans le magnifique amphithéâtre de la Haute École Pédagogique d’Yverdon avant de repartir en donnant rendez vous à leurs hôtes au 21 aout à Ax les Thermes, date du lancement de la 15e édition de LUDOVIA.

    Source : CD09

    Photo : Lyonel Kaufmann de la HEP VAUD chef de projet de l’Université de printemps de LUDOVIA et Henri Nayrou président du Conseil départemental de l’Ariège devant l’affiche de la première édition de LUDOVIA.CH

  • Mirepoix : Rien ne va plus entre le conseil d’école et la mairie

    Mirepoix : Rien ne va plus entre le conseil d’école et la mairie

    Jeudi soir, le conseil d’école de Jean Jaurès à Mirepoix apprend la nouvelle ; le conseil municipal vote contre à 10 voix contre 7 et ne suit pas le conseil d’école* qui à l’unanimité avait proposé de revenir à la semaine des quatre jours.

    Vendredi matin, ils étaient une bonne partie devant l’école Jean-Jaurès à Mirepoix pour exprimer leur mécontentement «Le conseil municipal a voté hier soir contre la demande de dérogation qui avait été proposée à l’unanimité en conseil d’école !

    Après avoir sondé les parents en janvier, bien analysé les résultats (80% pour un retour à 4 jours), débattu en ressassant les arguments entendus cent fois, qui sont des arguments d’usagers de l’école et pas de gestionnaire de ressources comme l’est un conseil municipal, le conseil municipal a décidé de voter à bulletin secret à 10 voix contre la demande de dérogation et 7 voix pour ! On peut se demander où est la représentation des citoyens de Mirepoix parmi nos élus !

    La conséquence de ce vote est que la demande de dérogation ne sera pas recevable par l’inspecteur d’académie car la loi exige que le conseil d’école et le conseil municipal fassent une demande conjointe» nous déclarent les représentants de parents d’élèves.

    On rappelle que le gouvernement actuel et le ministre de l’éducation nationale a proposé sans revenir sur ce qui avait été fait par le précédent gouvernement, la possibilité pour les écoles de choisir, sous la forme de dérogation au temps scolaire de 4,5 jours par semaine. 

    À partir de la rentrée 2017 en effet,  l’organisation de la semaine scolaire sur 4 jours dans les écoles maternelles et élémentaires publiques est rendue possible par dérogation au cadre général de 4,5 jours.

    L’introduction de cette nouvelle dérogation donne davantage de souplesse aux acteurs locaux afin de répondre le mieux possible aux singularités de chaque contexte local, dans le souci constant de l’intérêt des élèves. Le décret visant à permettre cette nouvelle organisation a été publié le 29 juin au Bulletin officiel.

    Comme le précise le site du ministère de l’éducation nationale, la demande de dérogation repose sur plusieurs étapes : la concertation de l’ensemble des acteurs locaux (communes ou établissement public de coopération intercommunale (EPCI), conseils d’école et IEN de circonscription) et ensuite la saisine des services départementaux de l’éducation nationale.

    La commune ou l’établissement public de coopération intercommunale et les conseils d’école saisissent conjointement les services départementaux de l’éducation nationale pour leur proposer une nouvelle organisation du temps scolaire.

    Visiblement l’entente entre commune et Conseil d’école n’est pas au beau fixe à Jean-Jaurès  et les deux parties n’iront pas « conjointement » dans le même sens…

    Affaire à suivre donc !

    Nota* : Le conseil d’école est l’organe qui prend les grandes décisions dans la vie de l’école, notamment le vote du règlement intérieur de l’école et l’organisation de la semaine scolaire.Le conseil d’école est composé du directeur de l’école, président ; du maire ou de son représentant et d’un conseiller municipal désigné par le conseil municipal, des maîtres de l’école, des maîtres remplaçants exerçant dans l’école au moment des réunions du conseil et d’un des membres du réseau d’aides spécialisées intervenant dans l’école choisi par le conseil des maîtres de l’école, des représentants élus des parents d’élèves en nombre égal à celui du nombre de classes de l’école, du délégué départemental de l’éducation chargé de visiter l’école. L’inspecteur de l’éducation nationale de la circonscription assiste de droit aux réunions.

  • Carte scolaire : Alain Duran obtient deux postes sur le contingent ruralité

    Carte scolaire : Alain Duran obtient deux postes sur le contingent ruralité

    Alain Duran, Sénateur de l’Ariège communique : 

    A quelques heures du CDEN (Conseil départemental de l’Education nationale ), j’ai appris la bonne nouvelle : 2 postes, pris sur le « contingent ruralité », sont donc alloués à notre département.

    Dès l’annonce de la carte scolaire le 24 Janvier dernier, j’avais saisi Jean-Michel Blanquer, Ministre de l’Education nationale, pour lui signifier mon désaccord. Quelques jours plus tard, j’étais reçu par son Directeur du cabinet, Christophe Kerrero, à qui j’ai rappelé la volonté des élus ariégeois engagés depuis 2015 dans une démarche de « conventions ruralités », démarche conventionnelle renouvelée en Mars 2017. J’ai également précisé au Ministre les avancées dans notre département pour co-construire une école de qualité et de proximité à l’échelle d’un bassin de vie.

    Il est essentiel, sans interférer avec l’exercice annuel de la carte scolaire, de choisir notre avenir plutôt que de le subir à travers un exercice comptable qui se résumerait à des ratios de nombres d’enseignants par élèves inadaptés à nos territoires ruraux.

    Ces deux postes sont une bouffée d’oxygène pour l’Ariège et nous encouragent surtout à poursuivre notre travail en commun. Avec une baisse d’effectif annoncée de 477 élèves d’ici la rentrée 2020, la réorganisation du réseau d’écoles de notre département devient une évidence pour la qualité de vie des citoyens, l’éducation de nos enfants et l’attractivité de nos territoires ruraux.

    Alain Duran 

     

  • Douctouyre : Les écoles du RPI en sursis

    Douctouyre : Les écoles du RPI en sursis

    Le Regroupement Pédagogique de la Vallée du Douctouyre et certaines de ses écoles font partie des écoles probablement touchées par les projets de suppression de postes annoncées par l’Education Nationale il y a quelques jours sur le département. Les parents d’élèves et enseignants des écoles étaient hier à Foix devant l’Inspection académique comme 150 parents et élus de toute l’Ariège pour manifester contre la disparition à terme de leur école…

    Le RPI du Douctouyre est un regroupement d’école et de communes qui réussissent depuis quelques années à maintenir un système éducatif de proximité dans cette vallée en déprise démographique depuis longtemps. Aujourd’hui les effectifs des classes sont très en deçà des effectifs « tolérés » par l’éducation Nationale (qui limite à 22 en moyenne sur le territoire l’effectif d’une classe pour qu’elle puisse fonctionner) Avec un effectif pour Vira de 18, Carla de 15, Dun de 12, Arvigna de 22 et Lieurac de 17, le RPI avoisine une moyenne de 16,8 enfants par classe. La moyenne Nationale se situe entre 23 et 25 élèves par classe.

    Ce regroupement pédagogique (R.P.I.) avec les autres villages de la vallée : Arvigna, Dun, Calzan, Lieurac et Carla de Roquefort.

    • Ce R.P.I., ainsi que les activités périscolaires ALAE (ex CLAE) et ACCEM (ex CLSH), sont gérés par un SIVOM (participation de l’agglo) au niveau de la vallée.
    • Il existe un ALAE sur Arvigna, Dun et Lieurac (80 inscrits environ)
    • L’ACCEM fonctionne désormais en coopération avec la communauté de communes de Mirepoix les mercredi après-midi et pendant tout ou partie des vacances scolaires.

    Alors oui, il est évident que les parents d’élèves s’inquiètent, que les élus cherchent des solutions. Même si certains protestent aujourd’hui avec une arrière pensée politique, on sait que les suppressions de postes emmènent la fermeture des écoles et inexorablement la mort des villages. Les enseignants des écoles du RPI ont des pratiques pédagogiques innovantes, les horaires d’accueil sont adaptés de 7h30 à 18h45 pour permettre aux parents  de s’organiser car leur lieu de travail est assez éloigné.

    Pourtant l’Ariège est un département de montagne qui est quelque peu protégé et depuis un an la mise en œuvre de la carte scolaire permet l’identification des écoles publiques ou des réseaux d’écoles publiques qui justifient l’application de modalités spécifiques d’organisation scolaire, notamment en termes de seuils d’ouverture et de fermeture de classe, au regard de leurs caractéristiques montagnardes, de la démographie scolaire, de l’isolement, des conditions d’accès et des temps de transports scolaires. Mais cela suffira t’il ?

    Il a même été demandé aux écoles voisines notamment au RPI de Rieucros-Tourtrol-Theilhet d’envoyer des élèves pour un moment pour faire face à cette situation à court terme pour envisager une action à plus long terme. Mais rien n’est simple car tout retombe sur le bon vouloir de certains parents d’élèves de faire le sacrifice à leur tour de la proximité…Mais le SIVOM propose de prendre en charge éventuellement les enfants des communes environnante qui viendraient sur les écoles du RPI.

    les élus feront-ils appel sur Internet comme leur voisins du lot à des familles et leur proposer de les héberger pour sauver leurs écoles ?

    L’équipe pédagogique, les parents d’élèves et les élus sont en tout cas motivés pour lutter contre cette disparition et envisagent toutes les solutions en attendant la décision qui sera annoncée en préfecture le 15 février prochain : inutile de vous dire même s’ils ne souhaitent pas être uniquement dans la contestation, qu’ils feront du bruit vers 15 heures devant les grilles du 2 rue de la préfecture.

    Le site de l’école de Vira : http://pedagogie.ac-toulouse.fr/eco-mat-vira/

    Crédits photo : Mélanie Z.

  • Une résidence d’artiste s’invite au collège du Girbet à Saverdun

    Une résidence d’artiste s’invite au collège du Girbet à Saverdun

    Le dispositif « Résidence et tournée de théâtre dans les collèges » a été initié par le Département à la rentrée scolaire 2011. Il s’agit d’un partenariat original conçu avec l’Estive Scène Nationale de Foix et de l’Ariège, dans le but de développer des actions d’éducation artistique en direction du public scolaire.

    Ce dispositif propose l’installation d’une compagnie théâtrale au sein d’un collège durant une semaine, permettant aux collégiens d’être en contact direct avec les artistes, de participer aux répétitions et ainsi de découvrir et de s’investir dans un domaine qui ne leur est pas familier. De leur côté, les artistes trouvent un lieu d’accueil et de répétition propice aux échanges et à la création artistique.

    Son ambition principale est de susciter le goût du théâtre chez les collégiens des classes concernées et de leur offrir un espace de rencontre privilégié avec des artistes, au plus près de leur lieu de vie.

    Cette année, une résidence d’artiste avec le metteur en scène-comédien Amine Adjina, pour la création de la pièce intitulée « Arthur et Ibrahim » est programmée du lundi 12 au vendredi 16 février au collège du Girbet à Saverdun. Vingt élèves de 6ème et 5ème assisteront à quatre ateliers de trois heures animés par le metteur en scène. Les élèves y découvriront les différentes étapes du processus de création d’une œuvre.

    Suite à cette intervention artistique, les vingt élèves découvriront le spectacle à l’Estive le mardi 27 mars à 10 heures. La pièce sera également présentée au public le lundi 26 mars, toujours à l’Estive.

    Azinat.com en partenariat avec l’Estive, sera au collège pour un reportage sur cette résidence d’artiste et une interview de Amine Adjina. 

    Source : CD09

  • Menaces de suppressions de postes dans le premier degré : Les élus du Conseil Départemental de l’Ariège communiquent

    Menaces de suppressions de postes dans le premier degré : Les élus du Conseil Départemental de l’Ariège communiquent

    « L’école est autant un service public d’enseignement qu’un vecteur d’attractivité pour un territoire »

    A quelques jours de la réunion du CDEN qui envisage la suppression de sept postes dans l’enseignement du premier degré ariégeois, nous dénonçons une décision du Gouvernement incohérente et dangereuse.

    Cette suppression de poste est incohérente car elle va à l’encontre des messages de solidarité que le président Macron entend lancer à destination des Français qui vivent en zone rurale, à l’encontre des discours qu’il porte ou fait porter par ses ministres en matière d’infrastructures telles que les réseaux de téléphonie mobile ou de très haut débit.

    Comment le candidat Macron pouvait-il affirmer qu’il n’y aurait aucune fermeture d’école s’il était élu et, moins d’un après son arrivée à l’Elysée, entériner le fait de couper les vivres à ces établissements aux effectifs certes réduits mais tellement importants dans l’équilibre social de nos territoires ?

    Et c’est bien là que la décision soumise au CDEN s’avère extrêmement dangereuse car elle met en péril la vie même des communes concernées. Nul ne peut ignorer que l’école est tout autant un service public d’enseignement qu’un vecteur d’attractivité pour un territoire. Impossible en effet d’imaginer attirer de nouveaux habitants sur une commune si celle-ci se trouve dépecée. Après celle des gendarmerie, des bureaux de poste, des perceptions, la fermeture d’une école serait le coup de grâce. Nous n’en sommes pas là nous dit le gouvernement, mais nous y serons demain si nous acceptons aujourd’hui cette énième suppression de postes.

    Besoin d’une nouvelle preuve ? Emmanuel Macron vient d’annoncer son souhait de supprimer 120 000 fonctionnaires supplémentaires, un chiffre qui interroge sur l’ampleur de l’attaque que le Gouvernement envisage contre les services aux publics. Aujourd’hui, c’est l’école ; demain, les collèges, les lycées, l’entretien des routes, les transports…

  • Suppression de sept postes d’enseignants en Ariège : Bénédicte Taurine communique

    Suppression de sept postes d’enseignants en Ariège : Bénédicte Taurine communique

    Le projet de suppression de sept postes d’enseignants dans les écoles élémentaires de l’Ariège pour la rentrée 2018 est inadmissible.

    Depuis 2007 une école par jour a fermé principalement en zone rurale. D’année en année les politiques d’austérité réduisent le nombre de postes d’enseignants. Après la suppression de 80 00 postes par Nicolas Sarkozy et le non-respect de la promesse de 60 000 créations par François Hollande, Emmanuel Macron ne compense pas le manque d’enseignants en créant suffisamment de postes.

    Les conséquences de ces suppressions sont désastreuses pour nos élèves et enfants : classes ou écoles fermées, enseignants non remplacés et temps de transport scolaire à rallonge.

    En tant que députée de l’Ariège et membre de la France Insoumise, je défends une éducation gratuite et de qualité pour toutes et tous. Il est nécessaire de recruter suffisamment d’enseignants afin de rétablir un véritable corps d’enseignants remplaçants, de renforcer le dispositif « plus de maîtres que de classes » et d’assurer la mission de service public sur l’ensemble du territoire de la République. L’enseignement n’est pas un coût c’est un investissement.

    L’annonce des sept suppressions de poste ne donne pas plus d’information sur les communes et les secteurs concernés. Fermer une école c’est condamner un territoire à la désertification, avec la disparition d’autres services publics, des médecins, des services de proximité…

    J’ai interpellé Monsieur le ministre de l’Education Nationale aujourd’hui au sujet du dédoublement de classe CP-CE1 en zone prioritaire. Ce serait une mesure juste si les moyens nécessaires étaient mis en place. Cette mesure n’est pas totalement financée, en effet les dédoublement repose sur un « redéploiement » de moyens. Elle va entraîner la fin de dispositifs d’aide aux élèves en difficulté qui ne sont pas scolarisés en zones prioritaires, réduire les moyens de remplacement déjà insuffisants et surtout fermer des classes contribuant ainsi à la désertification de notre territoire.

    Je serai toujours du côté de celles et ceux qui défendent notre service public de l’éducation, les parents d’élèves, les organisations syndicales, les élus et les personnels.

    Bénédicte Taurine
    Députée de la 1ère circonscription de l’Ariège

     

  • Mirepoix : Journée porte ouverte à la Cité scolaire

    Mirepoix : Journée porte ouverte à la Cité scolaire

    2018 marque les 50 ans d’enseignement technologique au lycée de Mirepoix. A cette occasion,lLa cité scolaire de Mirepoix organise samedi 10 février 2018 de 9h00 à 12h00 sa traditionnelle journée porte ouverte.

    La cité scolaire de Mirepoix c’est un collège avec une ULIS et une SEGPA ainsi qu’un lycée polyvalent, doté d’un internat.

    La singularité du lycée de Mirepoix c’est :

    • En classe de seconde, des enseignements d’exploration originaux : Patrimoine, Littérature et Société et Italien
    • En classe de 1ère et de terminale : une option Histoire des Arts
    • Un bac technologique STI2D avec ses 4 options

    Le lycée de Mirepoix propose également

    • 2 Bacs Professionnels : Microtechnique (unique implantation dans l’académie de Toulouse) et Technicien d’Usinage.
    • 3 Brevets de Technicien Supérieur : Microtechnique, Production industrielle par usinage et Electrotechnique.

    Pour découvrir les nouveaux enseignements de l’année 2018/2019 rendez-vous à la Cité Scolaire – Route de Limoux – 09500 Mirepoix

  • Monter un projet européen avec Erasmus+ et l’association « Le temps d’agir »

    Monter un projet européen avec Erasmus+ et l’association « Le temps d’agir »

    Le temps d’agir est une association Loi 1901 qui a été créée en 2005. Son objet est de proposer des activités d’éducation populaire afin de sensibiliser la population d’un même territoire aux enjeux locaux notamment en termes de qualité de vie, de protection de l’environnement et plus généralement du « vivre ensemble ».

    Vous avez envie de monter un projet européen avec Erasmus+, mais vous ne savez pas comment faire ? En 2018, l’association vous propose de vous accompagner gratuitement dans le montage de votre projet lors d’ateliers collectifs qui regroupent des porteurs de projets.

    Ces ateliers s’adresse à tous les professionnel de la jeunesse et de l’éducation (animateurs, jeunes, formateurs, enseignants) et sont ouvert à toutes les structures éducatives (association, établissement scolaire, collectivité territoriale…) qui souhaitent participer ou organiser des échanges, des formations, questionner un thème précis en terme d’éducation (l’emploi, la politique, l’éducation à l’environnement…).

    Dans un premier temps, vous exposerez vos idées et nous déterminerons le type de dossier que vous pouvez déposer, à quelles échéances et avec quels financements.

    Ces ateliers auront lieu les vendredis, de 14h à 16h30 à la DDCSPP, 9 rue du Lieutenant Paul Delpech 09000 Foix

    • 16 février 2018 : présentation des projets et relevés des attentes des participants [si besoin : obtenir un numéro d’identification Erasmus+ (PIC) pour pouvoir accueillir ou déposer des projets]
    • 9 mars 2018 :  trouver un partenaire européen (Otlas) et remplir le dossier E+
    • 16 mars 2018 : organiser les activités et remplir le dossier E+
    • 30 mars 2018 : remplir le dossier E+
    • 6 avril 2018 : remplir le dossier E+, préparation des rapports finaux
    • 13 avril 2018 : relectures collectives des dossiers

    apportez votre ordinateur portable ou signalez-nous si vous avez besoin d’un ordinateur

    Le programme des ateliers sera défini avec et en fonction des participants.

    contact et information : 

    Lisa Bergeron
    06 79 88 32 10

    interventions@letempsdagir.com

    www.letempsdagir.com

  • Arythmie sur les rythmes : Communiqué de presse du SNUipp-FSU 09

    Arythmie sur les rythmes : Communiqué de presse du SNUipp-FSU 09

    Communiqué de presse du SNUipp-FSU 09 , syndicat majoritaire des enseignants du 1er degré en Ariège

    Dans le cadre des discussions en cours sur les rythmes en Ariège pour la rentrée scolaire 2018, et suite à différents articles parus récemment dans la presse, le SNUipp-FSU 09, syndicat majoritaire des enseignants du 1er degré en Ariège, communique.

    Tout d’abord il faut souligner que les adultes (animateurs, personnels Mairie, enseignants..) qui œuvrent au quotidien auprès des enfants font de leur mieux pour les accueillir et les scolariser avec professionnalisme et responsabilité. De bonnes conditions de travail de ces personnels vont de pair avec la recherche d’un meilleur fonctionnement de l’école, de l’ALAE dans l’intérêt des élèves.

    Ensuite, il existe bien des disparités, non seulement dans les missions des accompagnants, mais aussi au niveau des territoires. Le SNUipp-FSU dénonce ces inégalités car elles vont à l’encontre de l’égalité entre les enfants. Fabriquons des « égaux » plutôt que des egos. Nous regrettons ainsi que l’Etat ne soit pas le garant de l’égalité Républicaine. La succession de 4 réformes depuis 2008 a désorganisé le système scolaire en même temps qu’elle a ouvert la voie à une territorialisation des compétences relatives aux prises en charge des différents temps de l’enfant dans la loi de Refondation de 2012 dont le principal objectif, rappelons-le, était de lutter contre l’échec et les difficultés scolaires.

    Nous alertons enfin sur ce « transfert » du pouvoir décisionnel en matière d’Education vers les élus. Il n’est pas acceptable que, pour une demande de dérogation, l’avis d’une municipalité ou d’un établissement public à compétence intercommunale prime sur celui d’un conseil d’école qui réunit tous les partenaires de l’école. Il nous semble qu’il s’agit d’un déni de démocratie, d’un manque de considération des personnels, et d’une dangereuse orientation qui dérégulerait, libéraliserait l’enseignement et les services, mettant en concurrence des établissements et des territoires inégaux en moyens humains et/ou financiers.

    Quelle que soit l’organisation proposée (pas de changement, retour à 4 jours, dérogation samedi matin ou après- midi libérée), le SNUipp-FSU sera extrêmement vigilant à ce que la voix des personnels soit entendue. C’est de confiance, de temps, et de sérénité dont la communauté éducative a besoin dans l’intérêt des enfants. Une remise à plat sur les rythmes nous permettrait sans doute d’éviter l’arythmie…

  • Ferrières : conférence sur les rythmes scolaires – 23 janvier

    Ferrières : conférence sur les rythmes scolaires – 23 janvier

    La Fédération Socialiste de l’Ariège et l’Union des Elus Socialistes et Républicains invitent tous les citoyennes et citoyens à une conférence sur les rythmes scolaires avec Claire Leconte.

    Quels rythmes pour nos enfants ?  Quelle réussite pour nos élèves ?

    Mardi 23 janvier à 20h30 à la Mairie de FERRIERES

    Claire Leconte est Professeur Emérite de Psychologie de l’Éducation – Université de Lille 3. Chercheuse en chronobiologie spécialiste des rythmes de l’enfant et de l’ adolescent, elle travaille depuis plus de trente ans sur l’aménagement des temps de l’enfant.

    Elle est l’auteur de l’ouvrage « Des rythmes de vie aux rythmes scolaires : une histoire sans fin », paru, en 2014, aux Presses Universitaires du Septentrion

  • Parcoursup : La nouvelle plateforme d’admission dans l’enseignement supérieur est opérationnelle

    Parcoursup : La nouvelle plateforme d’admission dans l’enseignement supérieur est opérationnelle

    Parcoursup est le nouveau nom de la plateforme qui remplace APB (Admission Post Bac). Elle a été lancée le 15 janvier par le Gouvernement, la formulation des voeux débute le 22 janvier 2018 et pourra se faire jusqu’au 13 mars 2018 18h00. 

    Ce qui change et pourquoi

    Parcoursup a été repensé après qu’APB a montré ses limites en 2017, notamment avec l’adoption de la sélection par tirage au sort pour départager les nombreux candidats à une admission dans une filière non sélective, où l’offre était inférieure à la demande. Un algorithme d’affectation automatique dans les licences répartissait ensuite les candidats. En 2017, le tirage au sort a été pratiqué pour 169 Licences. Un système injuste auquel Parcoursup met fin.

    10 vœux maximum non classés

    Les candidats pourront exprimer un maximum de 10 vœux sans devoir les classer. Un changement par rapport aux 24 vœux hiérarchisés d’APB qui permet d’éviter les vœux par défaut. Sur APB, en effet, une fois que l’on avait accepté un vœu, tous les autres disparaissaient. Avec Parcoursup, chaque candidat recevra une réponse à chacun de ses vœux.

    « Il n’est pas question que les universités disent non. L’objectif c’est de dire oui et d’accompagner » a déclaré la ministre Frédérique Vidal, ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation.

    Un accompagnement personnalisé au lycée

    En Terminale, deux professeurs principaux accompagnent individuellement chaque élève dans la construction de son parcours postbac et deux semaines seront dédiées à l’orientation. Les conseils de classe accompagneront les lycéens dans leur projet d’orientation puisqu’ils exprimeront des recommandations et examineront les vœux de chaque élève. Le chef d’établissement donnera son avis pour chaque candidature de l’élève.

    les chiffres 

    2,6 millions de bacheliers inscrits dans l’enseignement supérieur en 2017, ils n’étaient que 310 000 en 1960 soit huit fois plus en 50 ans !

    le calendrier 

    15 janvier 2018
    Ouverture de la plateforme d’admission Parcoursup 

    22 janvier au 13 mars 2018 18h00 
    Formulation des vœux (10 vœux maximum) sans les classer 

    Jusqu’au 31 mars 2018 inclus
    Constitution des dossiers
    Confirmation des vœux 

    22 mai au 21 septembre 2018 inclus
    Accès aux décisions des établissements de formation
    Réponse aux propositions d’admission
    Attention : suspension des propositions d’admission pendant la durée des épreuves écrites du baccalauréat 

    26 juin 2018
    Ouverture de la phase complémentaire 

    Eté 2018
    Inscription administrative dans la formation 

    21 septembre 2018 inclus
    Fin de la procédure

    www.parcoursup.fr