Catégorie : L’invité.e de la semaine

  • Ax-les-Thermes : Explos Film Festival Winter 2018 – 21 février

    Ax-les-Thermes : Explos Film Festival Winter 2018 – 21 février

    Pour la quatrième édition de la session Winter de l’Explos Film Festival, Phil Bence son organisateur est venu nous parler du programme 

    Quatrième édition donc pour ce festival d’hiver, organisé pendant les vacances d’hiver, à l’heure ou la station est pleine et les touristes en demande d’activités complémentaires.

    A partir de 18 h : 

    Stand des nouveaux matériels : PETZL – TÉLÉMARK PYRÉNÉES – BLACK CROW –VALANDRÉ

    Rencontre avec Jeff MERCIER, expert en Cascade de Glace, membre du Team Petzl.

    Rencontre avec Bruno COMPAGNET, Skieur pro, créateur de Black Crow

    Restauration avec les bons produits locaux de la FERME du QUIÉ, boire un verre de bière locale VALAX et déguster les BISCUITS du MOULIN

    Rencontres  et échanges avec les invités.

    Exposition photo – Peio Gaillard – Skieur infatigable et photographe de talent, Peio arpente ses Pyrénées inlassablement et dans ses moindres recoins à la recherche d’instants de glisse précieux avec ses partenaires de jeu.

    A 18h00, une séance de projection gratuite juste après la journée de ski avec deux films au programme :

    Histoire d’un Ski avec Aurélien DUCROZ
    Glisse et fun
     avec le team pyrénéen de What’s Your Name

    A 20h30, une soirée pour découvrir plusieurs facettes de la montagne hivernale.

    Nocta, un clip d’intro onirique
    Portrait
     d’Enzo Valax, jeune champion et local de l’étape
    Glace et Chien de traineau avec le voyage de Jeff Mercier
    Aventure et Freeride avec Adrien Coirier et l’équipe de Maewan.

    En fin de soirée : Tirage de la TOMBOLA du festival WINTER avec nos partenaires de la soirée :

    Rendez-vous mercredi 21 février partir de 18h00 au Cinéma – Casino d’Ax les Thermes
    Promenade Paul Salette

    Toutes les infos et réservation : explos-festival.com

  • L’invité.e de la semaine : Claude Fressonnet « Université Populaire en Kercob »

    L’invité.e de la semaine : Claude Fressonnet « Université Populaire en Kercob »

    Claude Fressonnet est venue dans nos locaux nous parler de la jeune « Université Populaire en Kercob » qui organise le 18 février sa première conférence à Chalabre.

    Une Université populaire, c’est un organisme, très souvent une association, d’éducation populaire, dont l’objectif est la transmission de savoirs théoriques ou pratiques pour tous. 

    Il s’agit là d’organiser de conférences avec débat et ouvertes à tous.

    L‘Université Populaire en Kercob, dont le siège est à Chalabre dans l’Aude couvrira donc la petite région du Kercorb, ainsi il y aura des conférences à Montbel et Moulin Neuf. 

    Pour la première, qui aura lieu le dimanche 18 février à Chalabre, c’est un grand Monsieur qui leur fera l’honneur de l’ouverture, puisque Jean Clottes, paléontologue, ancien Directeur des Antiquités préhistoriques de la région Midi- Pyrénées et Président du Comité International d’Art Rupestre de l’ICOMOS viendra parler de «L’art rupestre des cavernes des Pyrénées».

    Cette première sera également l’occasion de la première assemblée Générale qui se déroulera à 14 h, juste avant la conférence. Vous êtes les bienvenus si vous voulez faire partie du Conseil d’administration.Un nombre de 6 à 15 personnes est requis, venant de préférence de différents villages. Vous pouvez proposer votre candidature, de préférence à l’avance (upek11@laposte.net), ou bien le jour-même de l’AG. Il vous sera demandé simplement de vous présenter, nom, prénom, village ainsi que très succinctement votre motivation.

    Les conférences sont ouvertes à tous, elles sont gratuites pour les adhérents et à participation libre pour les non-adhérents.Votre adhésion (10 € par an) est la bienvenue, mieux encore votre participation au sein de l’association sera vivement souhaitée, un des buts d’UPEK est de faire vivre les villages !

    1ère conférence :

    Dimanche 18 Février 2018 à 16 h à CHALABRE, salle de l’Abattoir : « L’art rupestre des cavernes des Pyrénées » par Jean CLOTTES

    Le reste du programme : 

    Samedi 24 Mars 2018 à 16 h à MOULIN NEUF, salle des Fêtes : «La communication entre les arbres » par Francis HALLÉ, botaniste spécialisé dans les arbres et les forêts des tropiques, ancien professeur à l’université des sciences de Montpellier. Auteur de nombreux livres, dont “Plaidoyer pour l’arbre”.

    Vendredi 20 avril à 20 h 30 à Villefort, salle des fêtes, : « Les plantes médicinales » par Moutsie CLAISSE, ethno-botaniste et auteure de nombreux ouvrages sur les plantes.

    Vendredi 25 mai à 20 h 30 à Montbel, Maison du Lac : « Nos chères poubelles : le prix bientôt rédhibitoire des ordures ménagères » par Simone VERDIER, maire de Manses, déléguée environnement et vice-présidente de la Communauté des Communes du Pays de Mirepoix, vice-présidente du SMECTOM du Plantaurel

    Contact : Université Populaire en Kercorb (UPEK), Mairie de Chalabre, 1 Cours Sully, 11230 CHALABRE. Courriel : upek11@laposte.net Blog : upek.over-blog.com

  • L’invité.e de la semaine : Florence Guillot – 16 ans de recherches à Montréal-de-Sos

    L’invité.e de la semaine : Florence Guillot – 16 ans de recherches à Montréal-de-Sos

    Florence Guillot nous parle des 16 ans de fouilles archéologiques au château de Montréal-de-Sos et de la sortie de l’ouvrage collectif « Le castrum de Montréal-de-Sos – 16 ans de recherches archéologiques sur une fortification des Pyrénées Ariégeoises »

    Une interview passionnante dans laquelle Florence nous raconte 16 ans de travail sur un site majeur de l’Ariège.  

    Montréal-de-Sos est un éperon calcaire de la montagne pyrénéenne, tout en rudesse, en pentes, rochers et falaises. Depuis l’Age du Bronze moyen, les dominations sociétales s’y succédèrent, voire s’y emboitèrent.

    Ce sommet surplombe un bassin de vie de la haute vallée de l’Ariège, niché au pied de sommets culimnants au-delà de 3000 m d’altitude, aujourd’hui crête frontière entre France, Andorre et Catalogne. Le site est connu dans quelques rares actes médiévaux pour avoir été un castrum des comtes de Foix aux XIIIe et XIVe siècles.

    Treize années de fouilles archéologiques puis, trois annés d’études supplémentaires, ont permis de restituer une image des occupations humaines, tant pour leurs aspects architecturaux que pour leurs artefacts.

    Cet ouvrage présente ces résultats, de l’occupation protohistorique à celle de la fin du XIVe siècle de notre ère, traitant des bâtis, des espaces, des fonctions du site et des objest exhumés. Parmi ces derniers, des découvertes étonnantes ont été réalisées, telles ces centaines de pierres gravées de dessins, plus rarement de textes. L’une d’elles est un fragment inédit d’un poème de troubadour en occitan. Une autre porte la figuration de chevaliers et d’une fortification médiévale…

    L’ensemble des éléments mis au jour témoigne d’aspects peu connus sur la vie quotidienne des habitants de ce type de castrum montagnard.

    Montréal-de-Sos en chiffres 

    • Occupation du château de -1400 (époque du bronze) à +1400 (Comptes de Foix)
    • 30.000 heures de fouilles
    • 500 fouilleurs bénévoles
    • 15.000 heures d’études (pour établir les rapports de fouilles)
    • 2.000 heures d’écriture

    Le Château n’a néanmoins pas encore révélé tous ses secrets, puisqu’il reste encore un habitat exceptionnel à fouiller. Exceptionnel, car occupé entre le VIIème et le début IXème siècle après JC (haut moyen-âge). 

    «On fouille très peu cette époque là, c’est l’époque sur laquelle on a le moins d’informations. En général on trouve du cimetière, cela apporte des choses bien sûr, mais moins que de fouiller des habitats. On a pu en fouiller une toute petite partie, juste pour vérifier qu’il existait et qu’il n’était pas perturbé par les moyenâgeux. Il y aurait encore deux ans de fouilles mais ce serait exceptionnel pour les Pyrénées» explique Florence Guillot

    En attendant une suite éventuelle des fouilles de Montréal-de-Sos, vous pouvez toujours aller vous y balader, vous y découvrirez un panorama magnifique sur la Haute Vallée de l’Ariège. Et si vous voulez en savoir plus sur le château, rendez-vous à la Maison des Patrimoines d’Auzat, ou procurez vous ce passionnant ouvrage : www.librairie-archeologique.com

    Ont collaboré à cet ouvrage : Florence Guillot – Nicolas Portet – Nicolas Chassan – Enrico Cangini – Julie Massendari – Francis Dieulafait  – Guillaume Verrier – Arnaud Coiffé – Stéphane Bourdonne – Michaël Gourvennec – Isabelle Commandré

  • L’invité.e de la semaine : Florent Adroit concert à Mirepoix – 3 février

    L’invité.e de la semaine : Florent Adroit concert à Mirepoix – 3 février

    Après une enfance passée à la découverte de la musique et des instruments, Florent Adroit décide de se produire seul sur scène et de sortir ses chansons de l’ombre après 9 ans en tant que chanteur avec les orchestres de la région Midi-Pyrénées.

    Il sort sont premier CD single : « Les Châteaux » en 2004 en référence aux châteaux cathares et plus particulièrement à celui de Montaillou, petit village occitan.

    Un premier album de Florent Adroit intitulé « Le Grand Voyage » apparaît et plusieurs chansons vont être très appréciées lors de représentations et autres scènes régionales, à noter : « Le Grand Voyage », « Toulouse », « J’aime », « le Train », ou encore « Les histoires des Autres » et bien sûr un nouvel hymne ariégeois : « Ariège Moun Païs »

    C’est à partir de septembre 2016 que les nouvelles chansons sont proposées sur les réseaux sociaux par des clips vidéos, comme « si la terre est ronde », ou encore, « l’Air méditerranéen » ainsi qu’une rubrique sur sa chaîne youtube intitulée « Fa-La reprise » où Florent Adroit s’éclate à reprendre des chansons de l’émission « The Voice » ou d’autres, qu’il a envie de partager avec ses fans.

    Programme : 2h de concert Florent Adroit (compositions et reprises), suivi d’une soirée disco avec Festayre Animation.

    Samedi 3 février 2018 à partir de 19h
    Salle Paul Dardier (ancienne gare de Mirepoix)

    tout public / gratuit

    Il est possible de se renseigner à l’office de tourisme du Pays de Mirepoix (05 61 68 83 76), et d’adhérer à l’association pour la modique somme de 8 euros (valable pour la saison).

     

  • Mine de Salau : Il est urgent de retirer les transformateurs au Pyralène selon Jérôme Azéma

    Mine de Salau : Il est urgent de retirer les transformateurs au Pyralène selon Jérôme Azéma

    Notre invité de la semaine Jérôme Azéma vient régulièrement nous informer de ses actions pour le département de l’Ariège. Ce mois-ci ce sont deux dossiers « brulants » que nous évoquons avec lui, notamment le dossier de la mine de Salau pour lequel il a usé de sa position de référent départemental pour informer les instances nationales. Un moment pour nous pour faire le point de nouveau sur ce dossier.

    La mine de Salau, située sur la commune de Couflens, est une mine de Tungstène, minerai en pénurie mondiale, et hautement stratégique. Ce gisement fût exploité entre 1976 et 1986. Plus de 11 000 tonnes de tungstène furent extraites à une teneur moyenne de 1,5 %, ce qui en faisait à l’époque le gisement de tungstène le plus riche du monde. Il fût fermé, comme beaucoup d’autres exploitations de tungstène, à la suite d’un fort dumping de la Chine.

    Les travaux scientifiques menés par la Société E-Mines durant ces deux dernières années ont démontré que ce gisement avait été très largement sous-estimé, et qu’il pouvait être considéré aujourd’hui comme l’un des plus importants au niveau mondial. L’objectif du projet mené par Apollo Minerals au travers de ses filiales françaises Mines du Salat et Ariège Tungstène est la démonstration de 50 000 tonnes de tungstène. Le potentiel géologique serait beaucoup plus important, probablement plus de 200 000 t, le gisement se poursuivant jusqu’en Espagne. Par ailleurs, ces mêmes travaux scientifiques ont démontré que le minerai, particulièrement riche en tungstène, est également riche en or (> 5 g/t), ce qui préserverait la future exploitation des fluctuations sur le cours du tungstène et garantirait l’économie du projet sur le long terme.

    Un permis exclusif de recherche minier (PERM « Couflens ») a été signé le 20 octobre 2016 par Mr Sirugue, ancien Secrétaire d’Etat à l’Industrie, permis confirmé par le Premier Ministre Cazeneuve avec des clauses environnementale, et publié au Journal Officiel le 11 février 2017. L’exécution de ce PERM est supervisée par l’Etat, via la préfecture de l’Ariège.

    Cependant, le maire de la ville de Couflens, qui était en charge de la fermeture de l’exploitation, s’acharne à stopper le projet, pour des raisons expliquées ci-après. En particulier, il a exhumé un arrêté municipal de 1992 interdisant l’accès à tout véhicule à la seule route d’accès au carreau de la mine, alors que de nombreux véhicules ont circulé sur cette route depuis 25 ans sans difficulté. Mme la Préfète de l’Ariège, Marie LAJUS, a saisi la Justice en référé pour « détournement de pouvoir » et « application discriminatoire d’un arrêté municipal », contre le maire de Couflens. Mais le Tribunal Administratif a rejeté cette requête de la préfecture. 

    De ce fait, la circulation de tout véhicule est interdite sur la route d’accès à la mine. Or la mine de Salau présente en ce moment même deux risques majeurs : les rejets miniers et le PCB des transformateurs.

    Les rejets miniers présentent un risque géotechnique majeur !

    Ceux-ci correspondent à deux tas déversés sur la pente du Carreau 1230 de la mine et sur le Plat des Pommiers en contre-bas. Au total, ces déchets représentent environ 1 million de tonnes de résidus de traitement constitués par les restes du minerai broyé, une fois la plus grande partie du tungstène (sous forme d’un minéral : la scheelite) retiré. Ces tas sont restés à l’abandon sur une forte pente pendant plus de 40 années ; aucune étude sérieuse de leur impact environnemental ne fut réalisée.

    Les résidus sont donc constitués d’une roche réduite en poudre, d’une granulométrie très fine : 60 µ. Aujourd’hui encore, ils restent très peu végétalisés, mais cette caractéristique n’est pas liée à une toxicité particulière et peut aisément s’expliquer :

    • Il s’agit d’une roche en poudre : milieu particulièrement peu fertile pour la végétation
    • Ils subissent un fort phénomène d’érosion sur la pente, ce qui handicape la végétalisation.

    Ils présentent des traces de métaux et métalloïdes, mais dans des proportions faibles pour ce genre de matériau, et l’étude halieutique effectuée dans le ruisseau du Cougnet qui érode le bas de ces tas n’a pas révélé une contamination de la faune aquatique par ces métaux et métalloïdes.

    Cependant, si ces tas n’ont que peu ou pas d’impact sur une contamination chimique, ils présentent un risque géotechnique majeur pour l’environnement.

    Ces tas sont constitués par une pulpe de roche pulvérulente de granulométrie moyenne de 60µ. Ils ont été déposés sur une pente forte, plus de 45 degrés, et sur une membrane géotechnique étanche qui empêche son drainage par infiltration.

    A l’extérieur du tas, l’exposition à l’oxygène de l’air a provoqué la formation d’une croute indurée (principalement des oxydes de fer, d’où la couleur rouge des tas) qui donne l’apparence d’une bonne stabilité.

    Toutefois, à l’intérieur du tas et sous la protection de cette croute d’oxydes, il reste possible (probable ?) que ces rejets forment un matériau très différent, riche en eau et pouvant s’apparenter à un gel (milieu thixotrope). Dans cette hypothèse, un évènement extérieur comme une inondation ou une avalanche, pourrait entrainer le fluage des tas et le déversement de plusieurs dizaines voire centaines de milliers de tonnes d’une boue très fluide dans le cours d’eau le Cougnet. Cela pourrait entrainer une pollution massive par asphyxie des cours d’eau jusqu’à en affecter la Garonne.

    Des catastrophes de ce genre arrivent fréquemment sur des sites miniers. Il est urgent de vérifier la stabilité de ces tas par des sondages géotechniques (technologie des sondages soniques) qui devraient être entrepris dès le printemps pour peu que les problèmes d’accès à la mine soient résolus.

    Mines du Salat, le porteur du projet PERM, a planifié une série d’études pour évaluer la possibilité de réintroduire ces rejets dans l’ancienne mine en les incorporant dans le circuit de traitement du minerai d’une future exploitation. Il serait ainsi fait la démonstration que loin de générer des pollutions supplémentaires, une mine responsable peut contribuer à restaurer un environnement dégradé.

    du PCB dans l’eau du Cougnet

    Les journalistes d’investigation de la revue mensuelle l’Ariégeois magazine ont révélé la présence dans la mine de 5 transformateurs ayant contenu du PCB (pyralène) et partiellement vidés mais non décontaminés, ainsi que celle d’autres transformateurs encore pleins.

    Les études réalisées récemment par Géodéris auraient montré des traces de PCB dans l’eau du Cougnet (le torrent qui draine l’entrée de la mine). Cette contamination est confirmée par l’étude halieutique commandée par Mines du Salat qui révèle la présence de PCB dans la chair des truites de ce même torrent. On rappellera la longue persistance des PCB dans l’environnement et leur capacité à se concentrer dans la chaine alimentaire.

    Il est donc urgent de procéder à l’évaluation de ce risque et de retirer au plus tôt ces transformateurs de la mine afin de stopper cette contamination particulièrement grave. Il apparait aujourd’hui évident qu’ils sont la source des contaminations constatées.

    Jérôme Azéma en tant que référent de LaREM09 a contacté immédiatement les services de l‘Etat (préfecture, services du premier ministre, des ministères de l’a transition écologique et solidaire, et de la santé), car il appartient à l’Etat d’imposer la réouverture de l’accès au carreau de la mine dans les plus brefs délais.

  • L’invité.e de la semaine : Challenge Montcalm : Gilles Denjean précise les ambitions 2018

    L’invité.e de la semaine : Challenge Montcalm : Gilles Denjean précise les ambitions 2018

    Gilles Denjean président de CAP MONTCALM est l’invité de la semaine sur les plateaux d’Azinat.com TV.

    L’édition 2017 à peine terminée et son succés avec la présence de plus de 1200 coureurs, il faut déjà préparer la 29° édition du Challenge du Montcalm. Plusieurs actions de promotion sont engagées, présence sur les templiers, stand sur le marathon de toulouse.

    En 2017, l’effort a été mis en priorité sur la communication internet. Le site marathon-montcalm.com a été traduit en catalan par l’intermédiaire de Robert Marty, une page facebook, « marathon du montcalm » a été créée. Pour 2018, un compte instagram sera mis en place ainsi qu’une chaine Youtube pour reprendre toutes les vidéos du Montcalm. Le site sera traduit en anglais.

    En 2017, nous avons mis également l’accent sur l’environnement avec la suppression des gobelets en plastique sur les ravitaillements et un partenariat avec le SMECTOM pour le tri des ordures ménagères. Pour 2018, ces actions sur l’environnement resteront une priorité avec un slogan « laissez la montagne plus propre ».

    La grande nouveauté pour 2018, sera la création d’une nouvelle course, plutôt nouvelle aventure, « La PIC a PICA ». Cet itinéraire de haute montagne de 100 km a été réalisé par le champion de trail ariègeois « Nahuel Passerat » dernier vainqueur d’ Euforia sur l’andorra Ultra Trail (233 km et 20 000 D+) en 68h49 mns. Un tracé réalisé par des montagnards pour des montagnards car il faudra gravir 4 sommets à plus de 3000 m, traverser trois pays et gravir 11 000 de D+.

    L’association travaille également sur le festival de la montagne afin que toute la famille puisse profiter des trois jours de fête. Il y aura des courses pour tous, un kilomètre vertical, un 13 km, un 27 km, le Marathon du Montcalm, une randonnée et des courses enfants.

    Les CRS de montagne devraient proposer une initiation à l’escalade sur un mur artificiel.

    Plusieurs concerts et spectacles seront proposés.

    29e édition du Challenge Montcalm
    16 – 17 et 18 août 2018 Auzat 

    Carte : le tracé de la nouvelle PIC a PICA

  • L’invité.e de la semaine : Philippe Babin « Le journal intime d’un cep de vigne »

    L’invité.e de la semaine : Philippe Babin « Le journal intime d’un cep de vigne »

    Philippe Babin a deux amours : la vigne et le théâtre. S’il a commencé sa vie professionnelle en tant qu’acteur, c’est en tant que paysan vigneron que les ariégeois le connaissent, après qu’il eut redonné ses lettres de noblesse au vin ariégeois quand, en 1998, il prend le pari de replanter de la vigne et de se lancer dans l’aventure de la viticulture ariégeoise avec «les Coteaux d’Engraviès». 

    C’est après avoir passé le flambeau à Thomas Piquemal en 2016, que Philippe revient à son premier amour, le théâtre. 

    Avec «Le journal intime d’un cep de vigne» écrit par Jean-Marie Doat, l’ancien vigneron a trouvé le moyen de transmettre ses émotions, tout ce qu’il a vécu dans la reconstitution de son vignoble et dans la découverte de ce métier. «Chaque verre de vin, chaque gorgée de vin comporte toute l’histoire du vigneron et vignoble» explique Philippe.

    «Le journal intime d’un cep de vigne»
    Une histoire de Philippe Babin écrite par Jean-Marie Doat

    Depuis que la vigne est revenue sur ces coteaux auparavant délaissés, je suis habité par un sentiment d’étonnement et d’émerveillement dont j’ignore l’origine, dit Philippe Babin, vigneron-fondateur du domaine viticole d’Engraviès, en Ariège.

    Ce vigneron, également comédien, a confié au metteur en scène, Jean-Marie Doat, le soin d’explorer avec lui la matière de sa relation avec ces vignes, avec cette terre. Le récit qui en découle est dit principalement du point de vue de la plante. Il est accompagné en direct par Raphaël Sibertin-Blanc au violon et au Kemençe, instrument de la musique traditionnelle d’Asie Mineure.

    Le spectacle est suivi d’une dégustation des vins d’un vigneron local

    Vendredi 19 et samedi 20 janvier – 20h45

    Salle Georges Méliès (le Casino)
    Lavelanet

    www.lavelanet-culture.com/spectacle/le-journal-intime-dun-cep-de-vigne

     

  • L’invité.e de la semaine : Le père Noël !

    L’invité.e de la semaine : Le père Noël !

    Cette semaine, c’est le Père Noël qui passait par là, faire son tour de reconnaissance, qu’Azinat.com TV a pu inviter sur son plateau TV. Personnage très prisé en cette fin de semaine et depuis le début du mois de décembre, il a pourtant pris le temps dans son agenda très chargé de répondre à quelques questions que les petits ariégeois.es se posent depuis pas mal de temps !

  • L’invité de la semaine : Sébastien Cros, écrivain – l’Acier et la Cendre

    L’invité de la semaine : Sébastien Cros, écrivain – l’Acier et la Cendre

    Sébastien Cros est né près des montagnes, mais pas celles d’ici, non celles de là-bas, les autres, les Alpes, mais ses parents sont ariégeois et c’est à l’âge de 15 ans il revient à Foix sur la terre de sa famille.

    Après des études de tourisme, Sébastien devient guide conférencier et fait ses premiers armes à au château de Montségur avec Fabrice Chambon. C’est de là que lui vient sa passion du catharisme. 

    Aujourd’hui guide-conférencier à la rivière souterraine de Labouiche, Il vient de publier, aux Éditions Édilivre, un recueil de nouvelles intitulé  » L’Acier et la Cendre ».

    Ce recueil traite, à travers six récits indépendants les uns des autres, des événements liés à la Croisade contre les Albigeois au treizième siècle en Occitanie. Il y est question, notamment, du massacre de Béziers, du grand siège de Toulouse en 1218, de la mort de Trencavel et de la vie à Montségur, entre autres choses.

    Ces récits sont inspirés d’événements historiques. La part belle est faite à l’Histoire, l’ésotérisme dans lequel baigne en général les ouvrages consacrés aux Cathares est ici mis de côté. 

    «À travers ces textes, j’ai voulu mettre en avant la formidable richesse de notre histoire ainsi que la grande tragédie qu’a été cet épisode de lutte contre l’hérésie qui a durablement marqué non seulement les mémoires, mais aussi le patrimoine et le terroir de l’Occitane.» explique Sébastien.

     

    Il y a près de huit cents ans, une tempête de foi et de flamme déferlait sur le grand sud-ouest de la France, avec pour but affiché d’éradiquer l’hérésie implantée dans toutes les couches de la société occitane. De cet affrontement sans merci nous sont parvenues des histoires tragiques où résonne la rumeur des batailles, où brûle le feu des bûchers allumés par l’Église, où brille l’espoir des gens simples à la recherche du salut. 
    De Simon de Montfort, terrible chef de la Croisade, à Raimond-Roger Trencavel, seigneur vaincu et humilié, du soudard qui ravagea Béziers au passeur anonyme sur les chemins de la liberté, ce recueil propose d’évoquer quelques-unes de ces tragédies, écho d’un temps où la folie et la foi allaient souvent de pair, tout comme l’acier et la cendre…

    www.edilivre.com

    Thème : Roman historique
    Format : Roman (134×204)
    Nombre de pages : 384
    Date de publication : 15/11/2017
    ISBN : 9782414125685

    Le livre est disponible en commande sur le site de l’éditeur, à la librairie Surre à Foix, ou sur commande chez votre libraire.

     

  • L’invité.e de la semaine : Dorian LHEZ Animateur Fédéral MJS en Ariège

    L’invité.e de la semaine : Dorian LHEZ Animateur Fédéral MJS en Ariège

    Il vient d’un famille de syndicalistes du Pays d’Olmes, il fait ses études à Toulouse en histoire de la pensée économique et géographie à l’Université Toulouse III. Il a décidé avec quelques autres de se lancer dans une nouvelle aventure de militantisme et de politique et créer une section MJS en Ariège qui n’existait plus depuis 10 ans. Il souhaite faire avancer le débat sur l’avenir des jeunes en Ariège et sensibiliser étudiants et lycéens ariégeois. C’est Dorian LHEZ et il est l’invité de la semaine sur le plateau d’Azinat.com TV. 

  • L’invitée de la semaine : Bénédicte Taurine, députée de l’Ariège

    L’invitée de la semaine : Bénédicte Taurine, députée de l’Ariège

    Cette semaine c’est Bénédicte Taurine que nous recevons sur notre plateau. Nous voulions l’interroger après ses 100 jours en tant que députée, mais son agenda de jeune députée est surchargé. C’est donc cette semaine que nous la questionnerons sur ses premiers pas à l’Assemblée Nationale. Quels sujets travaillent t’elle, pour l’Ariège quelles actions a t’elle entamé ? et pour l’avenir que souhaite t’elle engager.

  • L’invité de la semaine : Jérôme Azema référent LREM en Ariège

    L’invité de la semaine : Jérôme Azema référent LREM en Ariège

    Jérôme Azéma a été battu aux dernières élections législatives sous l’étiquette LREM. Du coup l’Ariège est un des rares département à ne pas avoir de député représentant le mouvement du président de la République à l’Assemblée Nationale. Aujourd’hui bénévole du mouvement « La République en Marche » et référent de ce mouvement. Absent dans les média, peu de réponses apportées aux actualités « chaudes » du département, pas d’explication dans la presse des retombées de la politique du gouvernement sur l’Ariège, bref il nous a semblé utile de le faire venir sur notre plateau TV en tant qu’invité de la semaine pour quelques explications.