Catégorie : Races

  • Bouan 2010 : la journée du cheval de merens

    Azinat.com était présent sur les journées de Bouan ; la fête du cheval de Merens, petit tour d’horizons de cette manifestation qui met en vedette le prince noir de l’Ariège chaque été sur Bouan.

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  • Cheval de Merens « Prince Noir de l’Ariège »

    Le cheval de Mérens « Prince Noir » remonte à la nuit des temps : des grottes préhistoriques de Niaux en passant par Napoléon, où il s’est exprimé en tirant les canons pendant la campagne de Russie notamment, il a su passer à travers les âges. Ce petit cheval rustique originaire de l’Ariège a su conserver son allure et ses atouts jusqu’à nos jours. Le cheval de Mérens est un cheval rustique mais surtout polyvalent, il peut passer du trec, (Second au championnat d’Europe en 98) au bât en passant par la randonnée, l’attelage (champion de France en 93) la voltige, le travail de la ferme. Son potentiel d’utilisation est illimité avec une assurance et un calme apprécié de tous. Son pied sûr en montagne, sa patience en font un cheval qui sait conquérir tout un chacun, de l’enfant à l’adulte passionné de randonnées sauvages, au cavalier ayant eu un accident et souhaitant refaire de l’équitation.

    On retrouve les Mérens aujourd’hui aussi bien, en Angleterre dans les mains de Mr Tony BLAIR, qu’en Italie, Allemagne, Tunisie, Inde, Réunion…etc. Caractéristiques du cheval de Mérens : Taille moyenne : 1,45, Robe : noire, Les poulains naissent noirs, gris agentés ou café au lait, Crins : abondants, durs et souvent crépelés, Tête : expressive, Encolure : de longueur moyenne, bien orientée, Poitrail : bien ouvert, Epaule : moyennement longue assez inclinée, Garrot : assez sorti et prolongé vers l’arrière, Dos : large et bien soutenu, Rein : bien attaché, large et musclé, Croupe : ronde, Classé comme Cheval à part entière depuis le 1er Janvier 1998 .

    Il est souvent utilisé en thérapie avec le cheval

  • Cheval de Castillon

    Cheval de Castillon
    Cheval de Castillon

    Également appelé « cheval du Biros » ou « Saint Gironnais » (du nom de la ville de Saint Girons où a lieu, le lendemain de la Toussaint, une importante foire aux chevaux), le cheval Castillonnais a suscité dès le début du siècle (1908) l’intérêt d’un éminent hippologue ariégeois Gabriel Lamarque, à qui nous devons les premiers actes de mise en valeur de la population chevaline autochtone. Comme toutes les populations chevalines pyrénéennes (Pottok, Anglo-Arabe, Landais…) le cheval Castillonnais, issu de hardes sauvages très anciennes, dont les grottes ariégeoises recèlent force représentations peintes ou sculptées, a été, au cours des âges, imprégné de sang oriental et surtout ibérique, ce qui se lit encore de nos jours dans son expression si particulière. La légende attribue sa source à la Grèce, ainsi d’ailleurs que celle du costume folklorique particulièrement original des hautes vallées de Bethmale et du Biros. En 1996, la race est reconnue officiellement, comme cheval de sang, par le Ministère de l’Agriculture.

    (voir le site officiel de la race)

  • Braque de l’Ariège ou Ariégeois


    ariegeois-braqueL’ariégeois est une race de chien qui tire son nom de l’Ariège, un département français. Crée pour la chasse à tir et à courre, il serait issu d’un croisement entre des briquets du pays et des grands chiens courants du midi (sans doute le Grand Bleu de Gascogne et le Grand Gascon Saintongeoi.

    Ce chien d’arrêt originaire de l’Ariège fut très répandu dans le département au début du XXeme siècle. La guerre a stoppé son développement, voire a failli le faire disparaître. Quelques passionnés ont entrepris en 1990 de sauver la race. Aujourd’hui, 200 chiens sont recensés. Très bon chien d’arrêt, de noble race, de grand cachet, d’une taille d’environ 60 cm, sa robe blanche mouchetée d’orange, parfois de marron, en fait un chien élégant, distingué, bien établi dans ses membres. Il allie à une exeptionnelle intelligence un grand amour de la chasse. (Plus d’infos)