Dès le 1er Mars, vous retrouverez le dessin de la semaine par CIRE (Eric Patureau) sur votre site azinat.com ; une actualité qui a fait mouche, une manifestation d’envergure, des intempéries ou des élections truquées ? Azinat.com et CIRE vous proposerons la plupart du temps sur le ton de l’humour leur vision des choses. Agrémentés de quelques commentaires. Un rendez-vous à ne pas oublier : tous les vendredi pour bien démarrer le week-end !
Né en 1971, Eric Patureau, dit CIRE a commencé à dessiner très tôt dans les marges de ses cahiers. A dix-huit ans, il débute des études d’Architecture. Diplômé en 1998, il travaille pendant deux ans en cabinet d’Architecture. Puis l’occasion se présente à lui de se mettre à son compte en tant qu’illustrateur. C’était en 2001. Il multiplie les collaborations avec la presse, l’édition, la publicité, le multimedia, les institutions, et la culture.
En 2005, il quitte Paris pour s’installer en Ariège, profitant des moyens modernes de communication pour envoyer son travail à ses clients. Son tout nouveau site www.cirebox.com vous permettra de voir les travaux qu’il réalise avec enthousiasme pour tous ses clients, des petites structures aux clients prestigieux de renommée internationale.
« Né ailleurs, j’ai trouvé en Ariège des villes, des hommes et un environnement qui me correspondent parfaitement. Puis-je te dire, Ariège, que tu es devenue “Moun Pais” ? Eric Patureau (Cire) septembre 2009 pour Azinat.com
Née à Toulouse « par accident » Mady de la Giraudière est farouchement attachée à l’Ariège, au Pays d’Olmes et à Lavelanet. C’est là qu’elle grandit. Une enfance merveilleuse dans une grande demeure, trois générations, un chien, un chat, les montagnes et la nature.
D’aussi loin qu’elle se rappelle, sa vocation est venue à l’âge de cinq ans lorsqu’elle dessine avec le rouge à lèvre de sa mère les portraits en pied de ses parents sur le mur de la chambre…
Cette vie idyllique « d’enfants sauvage » va souffrir de neuf ans d’internat à Toulouse. L’Ariège lui manque ses animaux sa couleur… tout ce qui fait son paradis. Mais rien n’arrête sa passion dévorante pour le dessin.
Grand bien nous fasse puisque aujourd’hui, à plus de 90 ans, Mady peint toujours et encore.
Grâce à son succès, son talent mondialement reconnu (Chevalier dans l’Ordre des Arts et Lettres en 1987, Officier dans l’Ordre des Arts et Lettres au titre de la promotion de juillet 2011), ses nombreux voyages, ses rencontres avec les plus Grands, elle fait rayonner l’Ariège au quatre coins du monde.
Aujourd’hui c’est un premier portrait de Mady que nous vous proposons dans lequel elle nous parle de sa vocation de son attachement à ses racines, il y en aura d’autres, elle a tant à nous dire…
Il est très difficile aujourd’hui de passer a coté de l’actualité et d’ignorer la démission de Benoît XVI. Mais Il y a de cela quelques siècles un autre Benoît à régné sur l’Eglise Catholique et celui là était ariégeois d’origine.
Jacques Fournier est né à Canté près de Saverdun vers 1280. Fils d’un boulanger ou plus vraisemblablement d’un meunier, sa mère est la sœur du pape Jean XXII. Il est mis sous la protection de l’abbaye de Boulbonne toute proche (aujourd’hui entre Mazères et Cintegabelle) où il devient moine.
Déjà connu pour son érudition et sa rigueur, il est nommé le 19 mars 1317 évêque de Pamiers. C’est à ce poste que Jacques Fournier est connu pour avoir fait comparaître 94 coupables devant le tribunal d’Inquisition contre l’hérésie cathare Mais il Cherche avant tout la conversion des pénitents et n’est pas tenté par la répression.
IL a transcrit minutieusement leurs dépositions, et c’est donc,grâce à Jacques Fournier que la vie, les opinions de cette époque et le fait font de l’Ariège actuelle un symbole incontournable de cet épisode majeur, à l’origine religieux, mais aussi politique entre les pays d’Oil et d’Oc.
Le 3 mars 1326 il est nommé évêque de Mirepoix.
Pour le récompenser de son « zèle », Jean XXII le nomme le 18 décembre 1327 cardinal de Saint-Prisque. Il conserve l’habit blanc de l’ordre des cisterciens auquel il appartient, d’où son nom de cardinal blanc. Il acquiert une entière confiance de la part du pape qui lui confie des affaires délicates.
A la mort de Jean XXII le 4 décembre 1334 Jacques fournier est élu au premier conclave d’Avignon et prend le nom de Benoît XII. Il entreprit la construction d’un palais plus grand et mieux protégé que l’ancien palais épiscopal, ce sera le début de la construction du palais des papes en 1340.
Après deux tentatives de ramener la papauté à Rome et deux échec, il décida à demeurer à Avignon où il mourut le 25 avril 1342.
Comme il est d’usage depuis 2009, nous vous présentons le classement général des 99 personnalités ariégoises qui font parler d’elle sur le net. Il s’agit là de faire la moyenne des quatre classements de l’année et cela réserve des surprises.
Sur toute l’année 2012, arrive en tête monsieur Jean Clottes, dont nous avons fait l’interview il y a quelques jours. Sans doute est-ce dû à la sortie du film « La grotte des rêves perdus » de Werner Herzog dans lequel il tient un rôle prépondérant puisqu’il a été un des premier à pénétrer dans la grotte Chauvet.
A la deuxième place nous retrouvons madame Anne Brenon, grande spécialiste du catharisme. Cette année 2012 est donc marquée par l’histoire et la culture et nous nous en félicitons.
A la troisième place et pour la première fois depuis la création du Who’s Who, monsieur Eric Fourcaud, chargé de projet, spécialiste de la gestion des informations et de la veille stratégique à l’agence de développement économique Ariège Expansion et bien entendu fondateur d’Azinat.com.
Un florilège de personnalité aux 10 premières places (sportifs, historiens, chefs d’entreprise, acteurs du développement économique, élus) qui dépeint parfaitement cette Ariège de contraste et de diversité.
Rugbyman, journaliste sportif, rédacteur en chef et directeur pour le journal Midi Olympique, Député de l’Ariège de 1997 à 2012, Conseiller Général du canton de Saint-Girons, le CV de Henri Nayrou en dit long.
Né à Suc-et-Sentenac dans la haute vallée de Vicdessos, c’est un montagnard dans l’âme, viscéralement attaché à l’Ariège. Aujourd’hui, il présente ses voeux aux ariégeois.
Extrait :
Azinat : « Qui est Henri Nayrou pour l’Ariège ? »
« Je suis né en montagne, ce qui ne laisse pas insensible. Je ne sais pas si on a plus de globules rouges que les autres, mais on a quelque fierté à être montagnard, on a appris très tôt à dire non à ce qui ne convient pas… ».
Azinat : « Quelle serait votre grande phrase pour l’Ariège ? »
« Il y en à deux, la première c’est que l’Ariège a les défauts de ses qualités (…) demain l’Ariège aura les qualités de ses défauts… la seconde, dans beaucoup d’endroits la nature a bon dos, en Ariège elle a bon goût »
Azinat : « Que souhaitez vous pour l’Ariège et les ariégeois pour cette année 2013 ? »
« Que l’Ariège puisse profiter des ses atouts naturels, au premier rang desquels cette réserve naturelle d’eau, mais également la forêt (…). Que l’on trouve le bon tempo pour convaincre les citadins de faire un pas de coté et de venir nous rejoindre (…) le développement économique bien sûr, le développement démographique en jouant le partenariat avec Toulouse... »
« qu’il y ait un glissement démographique vers la vrai vie et l’Ariège aura enfin les qualité de ses défauts »
« Il est inéluctable, si on veut mettre l’être humain au coeur du dispositif , qu’il y ait un meilleur équilibrage territorial entre les métropoles, les grandes villes, les petites villes de province, le rural et la montagne. » Henri Nayrou pour Azinat Janvier 2013
Audois d’origine et ariégeois d’adoption, Jean Clottes est ce qu’on peut appeler une figure de l’Ariège. Il a été longtemps en tête de notre Who’s Who et emporte toujours l’Ariège dans son coeur lors de ses nombreux voyages à l’étranger. Azinat avait fait un portrait en 2009. Aujourd’hui, c’est avec gentillesse qu’il nous a ouvert les portes de sa maison de Foix pour nous accorder une interview.
Avant tout Jean Clottes est préhistorien, il travaille sur l’art préhistorique depuis plusieurs dizaines années, et la recherche est une part très importante de sa vie. Mais il n ‘a pas toujours été préhistorien. Il a commencé sa carrière comme professeur d’anglais au Lycée de Foix après avoir passé 3 ans en Angleterre. Venant d’Espéraza dans l’Aude il connait bien l’Ariège pour y avoir pratiqué la spéléologie, « Quand j’ai été nommé à Foix j’ai été absolument ravi, ma femme à beaucoup aimé également l’Ariège et nous avons décidé de nous y installer ».
Pendant ses années d’enseignement Jean Clottes fait des recherches, des publications il publie des livres, c’est ainsi qu’on lui propose un poste à Toulouse en tant que directeur de la préhistoire pour la région Midi-Pyrénées, puis un poste au Ministère de la Culture. C’est alors qu’il abandonne l’enseignement.
Pour autant, il ne quitte pas l’Ariège, une chance puisque c’est à cette époque que vont être découvert le réseau Clastre dans la grotte de Niaux et la grotte de Fontanet à Ornolac. « J’ai donc été obligé de m’investir dans l’art préhistorique et petit à petit je suis devenu un spécialiste, ça a pris des années bien sûr… j’ai eu plusieurs vie » déclare t-il.
Mais qui est Jean Clottes aujourd’hui en Ariège ?
« beaucoup de gens me connaisse en Ariège, j’ai eu souvent l’honneur des médias, mais dieu merci pas trop, c’est suffisamment sympathique sans être pesant… » dit il avec beaucoup de modestie. « J’ai une place excellente (…) je me suis toujours senti très bien en Ariège… »
Et que souhaite Jean Clottes pour l’Ariège en 2013 ?
« Une prospérité économique et ensuite que les gens gardent leur fierté d’ariégeois, c’est un très beau pays (…) Avoir des racines c’est une des choses les plus importantes… ».
Un grand merci à Monsieur Clottes qui a accepté de nous recevoir.
J’ai tourné la clé et j’ai ouvert la porte. Je ne le regrette pas du tout, parce que derrière cette porte, j’ai trouvé du beau monde. Comment vous faire partager cette quête si ce n’est en écrivant un livre, un bouquet de vingt contes, nouvelles, légendes, histoires et anecdotes.
Cama Crusa E L’uèlh Dubert , Esclarmonde, La messa de las pàurs, L’ours et le laboureur … Ces contes mettent en scène, le merveilleux, le fantastique, l’extraordinaire. Le plus souvent, des personnages, des animaux, des « peurs » qui entretiennent un certain climat, un livre à mettre entre toutes les mains
« Certains personnages, je les connais depuis mon plus jeune âge. Ma grand-mère, en particulier, avait le don de mêler ces êtres peu recommandables à des moments de la vie courante, du quotidien. »
Toujours édité à compte d’auteur, ce livre est disponible au tarif de 13 euros. Pour les frais d’envoi, il faut ajouter 2 euros. Si vous êtes intéressés, merci de contacter Pierre Ricard 63 Grand-Rue 31310 Latrape. Tel : 06 48 13 37 28, 05 61 90 75 83 courriel : cric-crac@laposte.net
Maire D’Orlu (1966-1995) , maire d’Ax-Les-Thermes (1995-2001), conseiller Général du canton d’Ax-Les-Thermes (1976-2001), Député de l’Ariège (1981-2007), Président du Conseil Général de l’Ariège depuis le 23 mars 2001, Augustin Bonrepaux est ariégeois d’Origine né à Perles-et-Castelet.
En tant que Président du Conseil Général il nous présente les grandes lignes de la politique départementale pour 2013.
« L’année 2013, comme la précédente, va être une année difficile pour l’Ariège » déclare Monsieur Bonrepaux. « Le chômage dépasse 12%, on observe un accroissement de la précarité, le nombre de bénéficiaires du RSA est deux fois plus élevé en Ariège que la moyenne nationale avec 6000 allocataires… »
Pour 2013 les investissements sont en hausse de 10% et beaucoup d’interventions seront nécessaires pour le désenclavement du Couserans et du Pays d’Olmes, les réseaux (plus de 3 millions 1/2 pour les réseaux d’eau et d’assainissement), les collèges (restauration du collège de Foix, construction d’un collège à Mazères), le maintien à domicile des personnes âgées et des personnes en situation de handicap, les enfants en difficulté, les maisons de retraite (agrandissement des maisons de Mirepoix et de Luzenac), le très haut débit, la santé avec le projet de construction de deux hôpitaux, à Lavelanet et à Tarascon…
De grands chantiers en perspective pour cette année qui débute.
« C’est une année qui va nécessiter beaucoup d’implications, beaucoup d’interventions (…) les choses sont loin d’être réglées mais je vais demain à la présidence de la République et la semaine prochaine, avec les parlementaires, chez le premier Ministre et j’espère qu’à partir de là les choses se développeront un petit peu, » conclut le Président.
« Conter, ce n’est jamais que dire avec lenteur ce qui pourrait être résumé en quelques mots. » Voilà ce que se plait à répéter Olivier de Robert. En 2009, pour azinat, il avait dit cette superbe phrase : « Je porte l’Ariège au cœur et m’en inspire à chaque instant pour faire vivre mes mots. »
Aujourd’hui pour Azinat.com, il raconte avec cet humour qui le caractérise et son accent qu’on adore, comment lui est venu cette passion du conte, ce que représente pour lui l’Ariège et les ariégeois(e)s et son optimisme pour l’avenir de notre territoire.
Azinat : « Qui est vraiment Olivier de Robert ? »
Olivier de Robert : « Je viens d’exil, j’ai vécu loin de l’Ariège pendant près de 20 ans et j’ai développé une mentalité d’exilé, avec un seul but dans la vie revenir en Ariège. Quand j’y suis revenu, à 18 ans, j’ai eu un besoin d’enracinement très fort et je l’ai fait en devenant accompagnateur en montagne. Peut-être parce que c’est plus facile de réfléchir avec ses pieds qu’avec sa tête. En marchant comme ça, dans les refuges pour que les gens reprennent leur souffle, j’ai commencé à raconter des choses et peu à peu c’est devenu une partie importante de ce que je faisais… et puis est arrivé un moment où il n’était plus possible de faire autre chose que ça et je m’y suis consacré complètement… d’où triple identité. L’exil, la montagne et l’Ariège. »
Azinat : « Ces derniers temps, tu es un peu exilé à l’envers, le Lot, bientôt Metz, la vie de spectacle et de conteur te reprend et te retire de la montagne, comment fais-tu pour gérer ça ? »
Olivier de Robert : « La 1ère partie de ma vie de conteur c’est quand j’étais encore accompagnateur en montagne, là tu peux pas partir loin. Et puis comme je me suis mis à ne faire que ça j’ai commencé à partir un peu plus loin. Au début la proche région, puis dans tout le monde francophone. J’avais peur de ne pas y trouver ma juste place, parce que je racontais l’Ariège* et il me semblait que ça intéresserait au mieux les ariégeois… mais les histoires sont universelles et elles touchent, par leur essence, absolument tout le monde (…) ça touche de la même façon toutes les oreilles du monde. »
Azinat : « Pour toi aujourd’hui les ariégeois et ariégeoises, au delà des personnages que tu contes, qui sont-ils comment les perçois-tu ? »
Olivier de Robert : « Définir l’ariégeois, c’est pas que c’est difficile, c’est que c’est risqué, je suis père de famille, et mourir à mon âge me parait déraisonnable (…) on est un des départements les moins peuplé de France et probablement un des moins riche, et on est en recherche permanente de ce que nous sommes… peut être qu’on est écartelés entre l’ariégeois du XIXè siècle du temps où il y avait tant de monde dans la montagne, d’une sorte de passé et d’archaïsme rêvé, et d’un rêve d’une Ariège qui, tout d’un coup, se réveillerait moderne. on sait pat trop si on porte encore le béret ou une combinaison de cosmonaute ? »
Azinat : « Qu’est ce que tu leur souhaites pour l’année à venir en ces temps de crise ? »
Olivier de Robert : « L’Ariège n’est pas en crise, on est en crise quand on est au sommet de sa courbe et qu’on risque de perdre des choses, mais nous, nous avons pris du retard au démarrage (…) on est en train de monter, on est en progression vers quelque chose, quoi je sais pas (…) Continuons de marcher vers l’avant, c’est ce que je nous souhaite pour 2013. Et puis se dire que tout va bien… normalement l’année dernière c’était la fin du monde… ça va ! »
Doit-on encore présenter Jean-Pierre Bel ? Né à Lavaur dans le Tarn, Sénateur de l’Ariège depuis 1998, il fut président du groupe socialiste du Sénat de 2004 à 2011, année au cours de laquelle il est élu président du Sénat.
C’est en 1983 que Jean-Pierre Bel entame son chemin en politique, après avoir été maire de Mijanès. Neuf ans plus tard, en 1992, il est élu conseiller régional de Midi-Pyrénées. En 1997, il est nommé conseiller technique dans le cabinet du ministre des Relations avec le Parlement Daniel Vaillant, et ce jusqu’en 1998, année au cours de laquelle il est élu sénateur de l’Ariège sous l’étiquette socialiste.
Mais Jean-Pierre Bel n’oublie pas l’Ariège et il la porte dans son coeur. Monsieur le président du Sénat a gentiment accordé une interview à Azinat.com dans laquelle il nous parle de son engagement pour ce territoire qui l’a accueilli et où il à fait ses débuts en politique.
Azinat : « Jean-Pierre Bel, vous êtes une des personnalité les plus connues de l’Ariège, vous caracolez en tête du « Who’s who » depuis que vous êtes président du Sénat, mais qui est Jean-Pierre Bel »?
Jean-Pierre Bel : « Quelqu’un qui a fait ses premiers pas en tant que responsable élu en Ariège, et j’ai voulu être digne de la confiance qu’on m’a toujours témoignée du premier jour où j’ai été élu Maire de mon petit village de Mijanès jusqu’à aujourd’hui où je suis président du Sénat. On doit être soucieux à la fois de ce département qui m’a tellement apporté et de s’interroger sur ses convictions (…) je suis toujours soucieux de savoir si je suis dans la bonne ligne de ce qui m’a amené à m’engager en politique (…) S’il fallait que je traduise, je suis quelqu’un qui veut porter sous ses semelles la terre d’Ariège, et qui veut être fidèle à l’idée que je me fais de la république et de mon département ».
Azinat : « Vous avez été souvent premier, plus jeune sénateur de France, premier Président socialiste du Sénat, premier du « Who’s who » d’Azinat.com… L’Ariège est un des plus petit département de France, que souhaiteriez-vous pour ce département qui essaie de s’en sortir depuis des années ? »
Jean-Pierre Bel : « L’Ariège n’a pas de complexe à avoir par rapport à sa taille, c’est un département qu’on nous envie beaucoup (…) Ce qui me frappe toujours lorsque je vais à l’étranger, c’est que je rencontre toujours un ariégeois (…) Ce qu’on aime aujourd’hui, ce sont les pays qui sont restés authentiques et naturels (…) quelquefois les ariégeois ont une vision pas suffisamment valorisante de leur territoire et je leur dis vous pouvez être fier (…) Il y a ceux qui sont aujourd’hui dans des situations dramatiques, je connais bien cela puisque le Pays d’Olmes en traverse beaucoup et aussi le Couserans, mais il faut dire que nous avons de la chance d’être ariégeois et de vivre en Ariège. »
Azinat : « Avez-vous une petite phrase ou une grande phrase pour l’Ariège ? »
Jean-Pierre Bel : « Les petites phrases ne sont pas à la hauteur de l’Ariège puisque c’est un grand département, mais il y des phrases qui ont marqué historiquement l’Ariège, j’ai été un peu à l’origine d’un slogan qui n’a pas été tout à fait apprécié par les ariégeois mais qui a permis de le faire connaître c’était : » la terre courage « , car pour moi, l’Ariège c’est des femmes et des hommes de courage. »
Nous voici arrivés en automne et c’est le temps du classementdes« ambassadeurs de l’Ariège » qui font parler de l’Ariège sur le Net.
Un net changement dans les 3 premières places puisque nous retrouvons sur la première marche du podium, Annie Fachetti, chargée de communication à Ariège Expansion l’agence de développement économique du département. en deuxième position Anne Brenon, Historienne et troisième Jean-Louis Orengo qui fait une remonté spectaculaire avec 56 places de mieux depuis le dernier classement.
A noter la plus belle remonté de ce classement pour Martine Crespo et ses croustades qui gagne 59 places pour se retrouver en 9ème position.
Rendez-vous en décembre pour le classement annuel.
Merci à toutes ces personnalités qui, par leur notoriété sur le web, font la promotion de l’Ariège.
Avant de prendre ses quartiers d’été pour quelques semaines, Azinat.com vous présente le classement estival des99 « ambassadeurs de l’Ariège » qui font parler de notre département sur le Net.
Pour la deuxième fois consécutive, Monsieur Jean Clottes se retrouve en tête du classement, suivi de Olivier de Robert qui gagne 12 places et d’Eric Fourcaud qui en gagne deux.
A noter trois nouvelles entrées ce mois : A la 54 ème place Arnaud Paul, rédacteur en chef de la Dépêche du Midi, qui a remplacé Jean-Christophe Thomas il y a quelques mois, Jean-Louis Orengo, le désormais célèbre inventeur de la Georgette 59ième, Et enfin Philippe Babin, viticulteur à Vira, les Côteaux d’Engravies à la 73ieme place.
This website uses cookies to improve your experience. We'll assume you're ok with this, but you can opt-out if you wish. Cookie settingsACCEPT
Privacy & Cookies Policy
Aperçu de confidentialité
Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience lorsque vous naviguez sur le site Web. Parmi ces cookies, les cookies classés comme nécessaires sont stockés sur votre navigateur car ils sont essentiels pour le fonctionnement des fonctionnalités de base du site Web. Nous utilisons également des cookies tiers qui nous aident à analyser et à comprendre comment vous utilisez ce site Web. Ces cookies ne seront stockés dans votre navigateur qu'avec votre consentement. Vous avez également la possibilité de désactiver ces cookies. Mais la désactivation de certains de ces cookies peut avoir un effet sur votre expérience de navigation.
Les cookies nécessaires sont absolument essentiels au bon fonctionnement du site Web. Cette catégorie comprend uniquement les cookies qui garantissent les fonctionnalités de base et les fonctions de sécurité du site Web. Ces cookies ne stockent aucune information personnelle.
Tous les cookies qui peuvent ne pas être particulièrement nécessaires au fonctionnement du site Web et qui sont utilisés spécifiquement pour collecter des données personnelles des utilisateurs via des analyses, des publicités et d\'autres contenus intégrés sont appelés cookies non nécessaires. Il est obligatoire d\'obtenir le consentement de l\'utilisateur avant d\'exécuter ces cookies sur votre site Web.