Catégorie : who’s who

  • Dernier Who’s Who ariégeois de l’Année, Floriane Caux n’arrête pas de grimper

    Dernier Who’s Who ariégeois de l’Année, Floriane Caux n’arrête pas de grimper

    Floriane Caux, Frédérique Massat et Michel Comte sur les trois premières marches du Podium des 99 personnalités à plus forte notoriété en Ariège pour cet fin d’année.

    Peu de changement donc si ce n’est l’arrivée à la troisième place de Michel Comte  artisan joaillier à Montjoie en Couserans près de Saint-Girons.

    On ne vous présente plus Floriane Caux et Frédérique Massat qui se balladent en tête du Who’s who depuis plusieurs mois. 

    Passé ce tiercé de tête, quels changements notables en trois mois dans le classement ?

    Une belle remontée des ariégeoises ce trimestre, avec Anne Brenon qui gagne 15 places et se classe 7ème, Martine Crespo qui arrive en 11ème position en gagnant pas moins de 39 places,  Perrine Laffont notre jeune « bosseuse » qui prend la 16ème place après avoir conquis la 2ème en finale dame lors de la Coupe du Monde à Reka en Finlande et enfin Denise Déjean, écrivain, qui fait également une belle remontée de 44 places pour se retrouver 45ème.

    Olivier Campardou fondateur de l’Asinerie de Feillet dans le Couserans remonte de 42 places pour se retrouver 27ème du classement.

    Voir le classement complet : Classement-whoswho-oct-dec2016

    Et comme chaque fin d’année, nous avons procédé à la moyenne des classements de l’année 2016 avec aux trois premières places : Floriane Caux, Frédérique Massat et Henri Nayrou.

    Voir la moyenne des classements 2016 : Classement-whoswho-moyenne2016

    Crédit photo : Floriane Caux www.florianecaux.com

    Le Baromètre de notoriété des personnalités qui font l’Ariège est tenu par Azinat.com depuis le 15 septembre 2007, il est remis à jour tous les 3 mois

    Classement des 99 personnalités à plus forte notoriété en Ariège. Score avec catégorie et nombre de pages référencées sur Google.fr (méthode : recherche par nom associé au mot ariège*, comme : «Prénom Nom» + Ariège ) Premier classement effectué le 15/09/07.
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  • Perrine Laffont : La saison commence bien à Ruka en Finlande

    Perrine Laffont : La saison commence bien à Ruka en Finlande

    Vous avez pu suivre sur la Chaine SFR Sport Extreme (SFR Sport 3) le 10 Décembre  vers 18h30 Perrine Laffont qui avait été sélectionnée dans l’équipe de France de ski de bosses. Pour cette première étape une seconde place donne toute satisfaction à Perrine qui ravie que les entrainements de l’été et de décembre aient porté leurs fruits : c’est un gros encouragement pour la suite !

    Article du 9 Déc 2016 modifié le 12 Déc. 2016

    Elle s’est entraînée tout l’été et depuis le mois de décembre, elle est sur les skis. Elle fait aujourd’hui partie de la sélection française pour attaquer la saison du championnat du monde de ski de bosses en compagnie d’une équipe de choc : Perrine est la seule « Pyrénéenne » qui s’aligne sur ces championnats, elle reste affiliée au ski de bosses de la station des Monts d’Olmes.

    Les résultats ont été à la hauteur des espérances portées par leur entraineur Ludovic Didier ; Perrine comme Benjamin (les deux « espoirs » de l’équipe) ont réalisés tout deux un podium : Perrine 2nde en finale Dame et Benjamin 3ème en finale Homme. Un beau petit cadeau en avant goût de Noel …d’ailleurs le Père Noel était là (normal on étaient en Finlande, du coup c’était plus facile !)

    «Tellement heureuse de commencer la saison Coupe du Monde par une 2ème place, Après huit mois d’entrainement intensif ça fait du bien de retrouver le stress de la compétition !! Déjà hâte d’être sur la prochaine course à Lake Placid le 13 Janvier», annonce tout de go Perrine Laffont sur son mur FB !

    Rappel : Les sélectionnés  » france » pour Ruka (FIN) – Coupe du Monde de ski de bosses – 10 décembre 2016

    Perrine LAFFONT – Boss Club des Monts d’Olmes (Pyrénées Est) (2nde Dame)
    Anthony BENNA – Megève (Mont-Blanc) (52ème)
    Benjamin CAVET – Châtel (Mont-Blanc) (3ème place Homme)
    Jules ESCOBAR – Evian les Bains (Mont-Blanc) (33ème)
    Jérémy LENVERS – Châtel (Mont-Blanc) (32ème)
    Sacha THEOCHARIS – Méribel (Savoie) (16ème)

    L’Equipe de France de Ski de bosses, emmenée par Ludovic Didier est partie cette semaine à Ruka pour s’entrainer quelques jours sur la piste avant les 2 journées d’entrainement officiel : L’équipe va chercher une médaille et/ou des podium mais ne se prend pas la tête pour autant, avait-il déclaré il y a quelques jours à Tigne sur les lieux de l’entraînement.

    Quelques photos de la finale où Perrine est arrivée deuxième et a pris un podium :

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  • Jean-Paul Raffit : « La racine et la question de nos origines »

    Jean-Paul Raffit : « La racine et la question de nos origines »

    C’est avec beaucoup de bonheur que nous avons rencontré dans nos locaux Jean-Paul Raffit, artiste musicien, qui s’est gentiment prêté au jeu de l’interview. 

    Guitariste et compositeur né à Pamiers, Jean-Paul Raffit se plait à dire que dans le ventre de sa maman, il était dans la même rue que Gabriel Fauré. Venu tardivement à la musique, avec sa première guitare à l’âge de quinze ans, il a eu la chance de pouvoir vivre rapidement de sa passion en se produisant dans les bals. 

    Après avoir accompagné les plus grands artistes ; Bernardo Sandoval, André Minvielle ou encore Eric Lareine, Jean-Paul est revenu à ses racines ariégeoises et s’est installé avec sa famille, il y a une douzaine d’années, dans le hameau natal de sa grand-mère, Montseron dans le Séronnais. 

    «C’est le lien avec ma famille, mais c‘est surtout un endroit qui me plaisait quand j’étais enfant. C’est un endroit de grottes, de légendes et de vieux châteaux et c’est quelque chose qui me nourri beaucoup. La racine et la question de nos origines.

    C’est en 2009 que Jean-Paul Raffit forme l’Orchestre de chambre d’hôte, une compagnie musicale qui réuni des femmes et des hommes qu’il a rencontré tout au long de son parcours et avec qui il aime jouer. Une formation qui lui tiens à coeur. «Dans cette formation, mon travail c’est plutôt d’être fédérateur, d’animer notre groupe, d’amener la composition et de diriger les projets pour qu’il aient un équilibre artistique et humain.»

    Depuis une dizaine d’années, Jean-Paul est également très impliqué sur le travail du Ciné-Concert et notamment avec le cinéma le Lavelanet, avec lequel il a un projet de création d’un lieu où l’on pratiquerait plus régulièrement des Ciné-Concerts et également la création de musiques pour le cinéma. 

    Avec l’Orchestre de chambre d’hôte, il a également composé la musique de « Alice Comédie », les aventures trépidantes de la petite Alice, dans 4 courts-métrages de Walt Disney des années 1920 qui sortira le 7 décembre. 

    Pour suivre l’Orchestre de chambre d’hôte : www.orchestredechambredhote.com

    Photo et images contextuelles du Film : Collectif les Zooms Verts 

  • Perrine Laffont : « La saison va reprendre en décembre ! »

    Perrine Laffont : « La saison va reprendre en décembre ! »

    Nous avons rencontré Perrine Laffont notre « double » championne du Monde de ski de bosses lors d’une journée d’étude sur les Monts d’Olmes où elle avait bien voulu soutenir et préter son image à cette station qui l’a vu prendre ses premières marques en ski. L’occasion pour nous de prendre le pouls du moral et de la forme de cette jeune athlète ariégeoise hors du commun.

    Après un entraînement qui ne s’arrête visiblement jamais, même en vacances, après un Bac en poche à l’entrée de l’été, Perrine reprend les entraînements sur les pistes dès aujourd’hui à Tignes (sur le glacier) et les compétitions début décembre.

    « Le Bac en poche, maintenant je vais me consacrer essentiellement au ski »

    Au vu des premières descentes de ces jours-ci (voir sa page Facebook), les reprise sur les bosses sont prometteuses et ce « qui a été mis en place cet été » devrait porter ses fruits, en tout cas nous l’espérons tous, et elle aussi avant tout !

    Le détail  de son entrainement en interview vidéo de 4 minutes.

  • Verino Piedigrossi, l’itinéraire d’un Rital de l’Italie à l’Ariège

    Verino Piedigrossi, l’itinéraire d’un Rital de l’Italie à l’Ariège

    A l’occasion de la sortie de son sixième ouvrage «Stupéfiante fenaison», le plus rital des ariégeois, l’écrivain Verino Piedigrossi, est venu nous rendre visite et nous a parlé en toute amitié, de sa vie et de ses livres.

    Originaire des Abruzzes, une région du sud de l’Italie, Verino débarque en Ariège le 13 décembre 1947 à l’âge de huit ans. Sa famille s’installe dans le petit village de Vicdessos, dans une maison  donnée par l’entreprise Péchiney où son père travaille depuis six mois. 

    Après avoir passé un C.A.P de chaudronnerie, Verino suit les traces de son père et commence sa carrière à Péchiney, alors la plus grosse industrie du département. Il y restera dix ans puis, voulant « repousser ses horizons », il s’engage dans une carrière commerciale. 

    C’est à l’âge de soixante six ans qu’il décide d’écrire : «J‘ai voulu laisser une trace à mes enfants, mes petits-enfants, mes neveux et nièces qui sont nés en France, et comme j’étais le mieux à même de la famille à pouvoir traduire notre histoire, je me suis mis à l’écrire. J’ai écris sept pages, je l’ai fait lire autour de moi, ma femme mes enfants… qui m’ont incité à aller plus loin. Alors de sept pages j’ai fini à trois cents pages». Cette histoire il l’a intitulée «L’odyssée d’un rital» dans laquelle il retrace l’exode chaotique de sa famille et la mise en place et le parcours de chacun.

    Bien qu’il en soit à son sixième livre, «L’odyssée d’un Rital» reste, nous explique t’il, sa locomotive. «Les autres sont les wagons. Même si j’y ai mis la même passion, «L’odyssée d’un Rital», étant une autobiographie, c’est plus émouvant et plus attachant, on se reconnait dans cette histoire que l’on soit français de souche, italien, espagnol, ou qui que ce soit.»

    Viendront ensuite deux romans, «Le berger du vallon rouge» et «Le violon sous le toit», un roman policier, «Le sarbacanier du clair de lune», et un essai sur l’environnement, «La triade infernale».

    Cette année c’est donc «Stupéfiante fenaison», son troisième roman et sixième ouvrage qui vient de sortir. Une troisième fiction qui débute dans une région agricole des Hautes-Pyrénées, entre Lannemezan et Auch. Un croisement, un abri-bus, une voiture qui s’arrête, un passager qui descend dépose deux mallettes et repars aussitôt, tout cela sous l’oeil curieux d’un agriculteur… Nous n’en dirons pas plus. 

    «Avec cette histoire, contrairement aux autres, je ne savais pas ou j’allais. Elle m’est venue d’une simple phrase que j’ai posé sur un papier en voyant ce paysage. J’ai créé les personnages et puis je me suis contenté de les suivre, et je les ai suivi pendant trois ans. C’est le seul que j’ai écris en trois ans mais je suis content du résultat parce que je me croyais incapable d’écrire un tel roman.»

    verino-piedigrossi.pagesperso-orange.fr

     

     

  • Jean-Philippe Brette, nom de plume Dourvac’h

    Jean-Philippe Brette, nom de plume Dourvac’h

    Ariégeois d’adoption, Jean-Philippe Brette alias «Dourvac’h» est médecin mais sa passion c’est l’écriture. Il est l’auteur de trois livres – deux romans et un récit – dont il a eu la gentillesse de nous parler.

    Heiraten

    Je ne sais pas parler du bonheur.
    N’est-il pas temps que j’apprenne ?
    Un pas, puis deux dans la lumière… 
    Comme un enfant apprend à marcher.

    heiratenHeiraten qui en allemand signifie «Noces», ou au sens strict  « S’unir avec« , est le récit d’une rencontre, d’une histoire d’amour entre l’écrivain praguois Franz Kafka et Julie Wohryzek et de leur liaison qui dura 2 ans.

    Dans cette histoire, l’écrivain sombre et tourmenté qui a contracté la tuberculose en 1917, rencontre lors d’un d’un séjour dans une pension de famille, une jeune fille plus jeune plus enjouée et moins malade. Pendant deux ans, ils vivront une histoire passionnelle malgré leurs antagonismes.

    D’après des faits réels puisés dans la correspondance que Kafka a entretenu avec son ami journaliste Max Brod, il aura fallut deux ans de recherches à Jean-Philippe pour restitué ce récit.

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    Grand Large 

    « Regarder la mer empêche de mourir.
    Je l’ai ressenti la première fois ce printemps dernier. J’ai regardé l’heure à ma montre :
    des puits de lumière dansaient à la crête des vagues.
    J’ai dû fermer les yeux un moment…
    À qui confier pareils secrets ?

    grand largeRoman écrit en 2013, Grand large, c’est l’histoire de la disparition d’un enfant, de la déchirure d’un couple, de la culpabilité d’un père, Bruno Josse, artiste-peintre et «artiste-père». Un roman psychologique, confie Jean-Philipe Brette, bâti comme une histoire romantique avec une très forte pulsion de mort mais une ouverture lumineuse à la fin..

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    L’été et les ombres

    Val, vieux solitaire de treize ou quatorze ans.
    Vient cette fille Chris s’invitant par la lisière du petit bois d’Amour. 
    Chris tombée des branches : Val rêve-t-il encore ? 
    S’il nous suffisait d’ouvrir grand, là-haut, les portes de nos prisons aériennes !

    ete-et-ombresCelui-ci est un roman qui ce passe en Ariège, une histoire d’amour d’adolescents : Valentin, fils d’ingénieur, rencontre Christine qui vit dans une caravane avec son beau-père, un type un peu louche que l’on pourrait qualifier de «zonard». Ils vont se rencontrer et s’aimer… Du jour au lendemain elle disparait. Quelques années après, Val rencontre une fille à vélo, ils se reconnaissent… elle lui raconte… ils se retrouvent.

    Jean-Philippe Brette signera ses trois livres samedi 29 octobre entre 14 heures et 18 heures, à la librairie des Couverts de Mirepoix

    En savoir plus :

    regardsfeeriques.canalblog.com
    www.babelio.com
    editionsstellamaris.blogspot.fr

     

  • Who’s Who troisième trimestre 2016, Floriane Caux toujours en tête

    Who’s Who troisième trimestre 2016, Floriane Caux toujours en tête

    Dans ce troisième classement de l’année 2016, Floriane Caux, photographe, caracole toujours en tête avec un score de 27.900 pages référencées sur google contre 14.100 en juin dernier.

    Frédérique Massat, Députée de la 1ère circonscription de l’Ariège et Présidente de la commission des affaires économiques de l’Assemblée Nationale garde sa deuxième place. Soulignons que Madame Massat reste dans le trio de tête depuis janvier 2015 .

    A la troisième place, Monsieur Jean Clottes remonte de trois rangs au classement, devançant ainsi Monsieur Henri Nayrou, Président du Conseil Départemental qui lui se classe quatrième.

    A la cinquième place, et c’est une première* Sébastien Portet alias Espé dessinateur, que nous avions rencontré il y a deux ans lors de la sortie du 5ème chapitre de la Bande Dessinée « Château Bordeaux« .

    Une belle remontée de 44 places pour Michel Comte, bijoutier dans le Couserans, qui se place en huitième position après Jean-Pierre Bel et Olivier de Robert.

    Des jolies remontées également pour Paul Fontvieille restaurateur (+43 places), Nicolas Hubert, ‎Directeur de la Communication au Conseil Départemental de l’Ariège (+65 places), Mady de la Giraudière, qu’on ne présente plus (+23 places), Jean-Pierre Stahl Président du Comité Economique Social et Environnemental de l’Ariège  (+45 places) et Fabrice Chambon guide conférencier (+45 places).

    Voir le classement complet : classement-whoswho-juil-sept2016

    Prochain classement en décembre 2016

    Le Baromètre de notoriété des personnalités qui font l’Ariège est tenu par Azinat.com depuis le 15 septembre 2007, il est remis à jour tous les 3 mois

    Classement des 99 personnalités à plus forte notoriété en Ariège. Score avec catégorie et nombre de pages référencées sur Google.fr (méthode : recherche par nom associé au mot ariège**, comme : «Prénom Nom» + Ariège ) Premier classement effectué le 15/09/07.
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    * En ce qui concerne le classement de Espé sur google, nous avons ajouté à notre recherche le terme BD («Espé» + BD + Ariège). En effet le mot Espé signifiant « Ecole supérieure du professorat et de l’éducation » cela faussait le classement. 

    ** si vous n’êtes pas sur ce classement et que vous pensez avoir été oublié merci de nous le signaler

  • Forges de Pyrene : Inauguration en grandes « Pompes » de la Brasserie Stahl

    Forges de Pyrene : Inauguration en grandes « Pompes » de la Brasserie Stahl

    La famille Stahl quitte l’Alsace pour l’Ariège en 1816 ; Jean-Michel STAHL, brasseur de son métier, s’installe au pied du château de Foix sur les rives de l’Arget…Puis, de génération en génération, la famille fait son trou et devient une famille Fuxéenne et ariégeoise de grande notoriété…C’est l’arrière arrière arrière…. petit fils, Jean-Pierre Stahl qui, samedi dernier, inaugurait l’Espace « Brasserie Stahl » aux Forges de Pyrène devant les ariégeois et Fuxéens d’aujourd’hui.

    Jean-Pierre Stalh a eu la générosité de proposer les dernières machines et vestiges de la Fameuse « Brasserie-limonaderie » STAHL de Foix aux Forges de Pyrène ; en mémoire d’un temps ou l’artisanat autour de la bière et de la limonade était encore fleurissant sur Foix. C’est devant le Maire de Foix Norbert Meler, le président du Conseil Départemental Henri Nayrou et la députée de l’Ariège Frédérique Massat, que la famille inaugurait l’espace et que Jean-Pierre Stahl a eu la lourde tâche de rappeler l’histoire d’une famille « immigrée » qui commença il y a plus de deux siècles.

    C’est en 1816 que Jean-Michel Stahl s’installe à Foix en haut de l’Esplanade de Villote, les lieux aujourd’hui devenus le bâtiment de la Caisse d’Epargne, puis au pied du château de Foix en lieu et place d’un moulin à farine et d’une scierie désaffectée dont il épouse l’héritière : Marie Maugard en 1829.

    Jean Frédéric Stalh, son fils, né en 1830, prendra le relais après un apprentissage en Bavière ; il fabriquera à son tour de la bière et des boissons gazeuses avec de l’eau de source, du sucre et des citrons qu’il faisait venir du Maroc.

    Son fils, Jean-Michel Stahl Junior, modernisera l’entrepôt, créera une distillerie et une fabrique de pains de glace, pour rafraîchir ses produits. L’industrie familiale occupant dorénavant les deux rives de l’argot : les bâtiments de la rive droite et de la rive gauche étaient reliés par une passerelle de fer qui traversait la rivière et où circulait des wagonnets.

    A l’aube du 20ème siècle, l’entreprise comptait plus de 17 salariés.

    En 1919, Jean-Louis Stahl dit « Jeanot » né de Jean et de son épouse Marinette Estoque, après une licence en droit, dut partir à la guerre, d’où il reviendra 5 ans plus tard, pour prendre le maquis où il fit partie des corps francs. Il créa un réseau d’évacuation sanitaire lors de la bataille de Rimont et servit d’agent de liaison au commandant Bigeart lors de la libération de Foix.

    Jean-Louis s’investit avec dévouement dans l’avenir touristique du Pays de Foix et l’animation de la ville et fut président de l’office de tourisme pendant plus de 30 ans. Il créa les journées médiévales et contribua à l’essor de l’US Fuxéenne tout en étant poète et félibre en signant sous le nom de « Jean de l’Arget »

    Il fit prospérer la fabrique de boissons gazeuses familiale en créant la limonade PHEBUS, les sodas « CHRISTAHL orange et citron, l’eau de SELTZ et y ajouta les dépôts de marques de spiritueux Pernod, Suze, Cinzano, Saint Raphael, …

    L’activité de cette entreprise familiale  s’arrêtera en 1982 et Jeanot Stahl décèdera en 2005…

    C’est donc aux Forges de Pyrene où vous pourrez y retrouver les traces et les souvenirs laissés par la famille et où vous pourrez découvrir dans un diaporama sonore les images et sons d’une belle époque.

     

    Dates et informations sur la famille fournies par  Jean-Pierre Stahl.

     

  • Michel, content de t’avoir connu !

    Michel, content de t’avoir connu !

    Hier après-midi, nous étions nombreux a être venus nous recueillir en l’église de Saint-Jean du Falga. Oui, l’église était trop petite pour accueillir tout le monde et nombreux sont restés dehors, sur la place pour écouter les dernières paroles et témoignages d’amitié en ton honneur…

    Comme beaucoup d’amoureux de l’Ariège et des Pyrénées, nous avons appris la nouvelle de la disparition de Michel Sébastien vendredi dernier ; 20 ans et plus de militantisme pour la création de Parcs, de sauvegarde de l’eau, de protection de la richesse des Pyrénées, ont fait de lui une des personnalités les plus attachantes du département.

    Certains osaient l’appeler « écologiste »; il leur répondait « écologue ».

    Parfois fantasque, plein d’humour, de bons mots et surtout …emplis d’un esprit scientifique, Michel a voulu rallier à sa cause, ou celle des Pyrénées, les décideurs de nos montagnes ariégeoises. Parleur, hâbleur conteur insatiable de son amour pour les Pyrénées, dans ses livres ou autour d’un verre au bistrot ou sur le marché de Pamiers, il a voulu refaire le monde et convaincre que l’eau était notre richesse, à nous les ariégeois…« Toute ma vie ou presque s’est déroulée sur l’axe de la rivière, du Pas de la Case à Toulouse. C’est mon monde et il me suffit. J’ai peu voyagé ailleurs. J’ai énormément marché ici. Je n’ai pas bourlingué dans le monde, les Pyrénées m’ont suffi !»

    Animateur de chronique sur « feu » ariegenews il y a quelques années, producteur d’une série TV sur Azinat.com que nous avions tournée, il y a tout juste un an à Soulcem en haut de la Vallée du Vicdessos, Michel Sebsatien a toujours su trouver les moyens de publier, communiquer sur ses ambitions « désintéressées » pour l’Ariège.

    Pas toujours écouté, parfois un peu moqué de cette passion…Michel ne s’est jamais démonté tant il était convaincu…Pourtant, le projet qui le tenait le plus à coeur ces derniers temps était la création du « Parc des trois nations », un Parc unique au monde en montagne qui donnerait une focale particulière à l’Ariège et à ce petit coin de territoire entre l’Espagne, Andorre et la France.

    michel-occitanie-drapeau« La création de ce parc aurait pour avantages, de donner à l’ensemble nord-sud un image unique au monde puisqu’il n’en existe pas en montagne, les crédits de l’Europe et un apport de touristes donc le développement de la vallée du Vicdessos, c’est une vallée du passé, les hommes sont là depuis toujours, ils ont façonné les estives […]  mais il y a un projet, un projet du troisième millénaire, avec le passé, le présent, et le devenir ».

    On lui aurait rétorqué que ce n’était pas une priorité pour l’Ariège aujourd’hui…Gageons qu’un jour, on saura en haut lieu se souvenir de lui et de ce projet et en guise de dernier remerciement lui rendre grâce de toutes ces idées et projets fous en réalisant un de ses derniers rêves !

    Adishatz Michel ! Content de t’avoir connu !

     

    Retrouver des traces de lui :

    Son dernier ouvrage : Géographie amoureuse de l’Ariège (édition le Pas d’oiseau)

    Sa série TV sur l’ELDORAd’EAU , le Parc des 3 Nations , …:
    michel-sebastien-eau

    Michel Sébastien  était 20ème au dernier classement des Ambassadeurs de l’Ariege sur le Net.

  • Alain Sutra : Je suis un homme de gauche !

    Alain Sutra : Je suis un homme de gauche !

    Classé en trente sixième position dans le Who’s who « Ambassadeurs de l’Ariège sur le Net », Alain Sutra est maire de Tarascon sur Ariège depuis déjà de nombreuses années, amoureux de sa ville, de culture et d’Amérique latine, il nous a reçu dans son bureau à la Mairie pour une interview vidéo d’une vingtaine de minutes qui vous permettra de mieux le connaitre.

    Alain Sutra est originaire de Tarascon, comme beaucoup d’enfants de l’Ariège, la vie l’a emmené loin du « Pays », à l’étranger et dans d’autres endroits de France et puis les incidents de la vie ont fait qu’il est revenu sur Tarascon pour s’y installer..

    Ses origines politiques,

    Alain Sutra est un homme de gauche comme il se plait à le rappeler, il a oeuvré dans deux partis ; le Parti socialiste au départ bien avant de venir s’installer sur Tarascon puis le Parti Radical de Gauche : Il rend sa carte du PS en 2000, une victoire aux élections de la ville en 2001 contre Robert Naudy  le fait remarquer par Jean-Michel Baylet le président du parti Radical de Gauche. Depuis ce temps, tout en étant de gauche il est devenu « un opposant » sur une terre historiquement « socialiste », Il est devenu président du Parti Radical de Gauche du département.

    Ses valeurs,

    Alain Sutra est un républicain, et les valeurs de la république sont essentielles dans ce qu’il croît et les actions qu’il mène : la laïcité n’est par pour lui qu’un mot important mais une attitude qu’il revendique ; enseignant de métiers cela parait « évident » et fondamental. «La laïcité  fédère toutes les autres valeurs de la république»

    Son expérience internationale,

    Alain Sutra a travaillé dans l’éducation nationale en Amérique Latine pendant une dizaine d’années, notamment au Pérou et au Panama, d’où sa passion pour la musique de ces territoires mais aussi sa manière de voir le monde, son ouverture aux différences… Il a dirigé un centre culturel au Pérou où il a pu forger son expérience et donner une image de notre pays. Son expérience internationale a changé sa vie en tant qu’homme.

    Son engagement pour Tarascon

    La ville de Tarascon est un espace qui a connu de nombreux brassages ; au carrefour des vallées, un passé industriel, une terre d’immigration et une terre de mélange de cultures (Espagne, Portugal, Russes, Italiens, Maghreb, …) Ayant joué au football dans son enfance sur Tarascon, lorsque le temps du retour sur la ville, la politique et son engagement associatif sur l’enfance et la jeunesse lui a pris son temps ; devenir Maire devenait évident et coulait de source. Il a pris ces fonctions avec le courage nécessaire mais aussi le recul que lui avait donné son expérience extérieure : Tarascon était meurtris par la décision de fermeture de Pechiney : Mais la ville étant une ville où il y a avait des hommes qui avaient envie d’y rester et de s’y investir et a su lui donné une nouvelle orientation et nouvel avenir : après le désenclavement apporté par l’autoroute voulue par Robert Naudy en tant que président du Conseil Départemental : la ville a su se donner un autre avenir.

    Sa vision de l’Ariège et de son avenir : «l’Ariège est entre de bonnes mains et en perpétuel mouvement»

    L’Ariège change avec sa population ; comme ce qu’il analyse sur Tarascon, certes les traditions, la culture, le patrimoine notamment « historique et préhistorique » resteront toujours là, mais la population évoluant, il lui semble que de nouvelles initiatives voient le jour et vont voir le jour : c’est une chance pour l’Ariège et qui lui donne confiance en son avenir : »Je crois en l’avenir de l’Ariège ! » nous dit-il en conclusion. Mais il ne s’appuiera plus sur les richesses traditionnelles…

     

  • L’humour en dédicace…!

    L’humour en dédicace…!

    Se défouler par l’humour et les trouvailles littéraires ? C’est ce que propose Guy Mothe qui applique les préceptes de Charlie Chaplin « Une journée sans rire est une journée perdue ».

    Couvsousl luneCet ancien ariégeois solide comme un roc parce qu’il a habité rue du rocher… à Foix au début de sa carrière, avant d’émigrer rue d’Enrouge à Pamiers, est maintenant retraité et peut se permettre d’être moins sérieux en animant des ateliers d’écriture humoristique.

    Il vient dédicacer ses 3 derniers livres dans les librairies du département et avec «Des mots pour le rire» toute la famille peut rire à chaque page puisque vous y trouverez des Nouvelles ludiques, des pastiches littéraires et des jeux dignes de Raymond Queneau avec des idées pour jouer à définir des mots réels ou inventés : «Tire-lire : accessoire servant aux libraires pour attirer les clients à la lecture»

    Par contre, ses 650 aphorismes et pensées de «Sous la lune de crocodile» sont réservés à ceux qui n’aiment pas lire… nous dit en riant l’auteur qui l’illustre d’un «Peut-on faire partie des forces de l’ordre, en étant soi-même très désordonné ?»

    Avec «Bestiaire loufoque» son Bête-seller, ce sont les enfants qui apprécient des fables écrites à partir d’expressions proverbiales expliquées en fin d’ouvrage, mais qui font sourire à chaque phrase.

    L’auteur improvisera un quatrain d’humour, rimé avec les mots choisis par chaque lecteur à l’occasion de cette dédicace.

    N’oubliez pas, ce sera mercredi 10 aout à la librairie des couverts à Mirepoix, dès 9h30 et vendredi 12 aout à la librairie Bruel, 11 rue J Jaurès Lavelanet.

    A défaut commander sur le site www.jaidesmots.com

  • Lavelanet, Portes ouvertes chez Mady de la Giraudière – 26 juillet au 26 aout

    Lavelanet, Portes ouvertes chez Mady de la Giraudière – 26 juillet au 26 aout

    Il y a un an,une très  importante et riche exposition des œuvres de Mady de La GIRAUDIERE avait lieu dans les salons de la Mairie de LAVELANET. Durant sept semaines ce sont presque 3000 visiteurs qui avaient pu découvrir tableaux, lithographies, reproductions, collages, livres ainsi que «les compagnons de l’imaginaire».

    Mady de la Giraudière, Mady et les animaux Ariège-PyrénéesAfin de marquer l’anniversaire de cet événement Lavelanetien, Mady de La GIRAUDIERE souhaite prolonger cette exposition inèdite en ouvrant cet été à titre exceptionnel  son salon-exposition en son domicile 6bis place Aristide Briand à Lavelanet du 26 juillet au 20  août 2016 du lundi au dimanche de 15h à 19h.

    Ce sera alors l’occasion de reprendre contact avec l’artiste et de découvrir ses toutes dernières œuvres accrochées aux cimaises de son salon.

    Mady de la Giraudière, Mady et la couleur Ariège-Pyrénées

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    Ceux qui ont eu le privilège d’une rencontre en 2015 seront sans doute heureux de prolonger l’échange et les autres pourront découvrir la peinture de Mady de La Giraudière, haute en couleurs, rieuse et pétillante  et qui lui ressemble tant.

    Et si vous ne connaissez pas cette grande dame qu’est Mady de la Giraudière, regardez notre série d’interviews : ICI

    Du mardi 26 juillet au samedi 20 août
    6 bis place Aristide Briand – 09300 LAVELANET
    du lundi au dimanche de 15h à19h – 06 81 04 93 02