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  • Parc Pyrénéen des Trois Nations, un patrimoine naturel exceptionnel

    Parc Pyrénéen des Trois Nations, un patrimoine naturel exceptionnel

    Le Ministre catalan des Territoires et du Développement Durable, les Maires de la Massana et d’Ordino et le président du Parc naturel régional des Pyrénées Ariégeoises ont signé, 24 août 2018, le protocole qui permet la création d’une marque d’identité commune pour un des espaces protégés inter-frontaliers les plus vastes d’Europe, formé par le Parc Natural de l’Alt Pirineu, le Parc naturel régional des Pyrénées Ariégeoises et les Parcs Naturels Communaux de la Vallée de Sorteny et de la Vallée de la Comapedrosa.

    Ce fut le pyrénéiste ariégeois Michel SEBASTIEN, aujourd’hui décédé, grand amoureux des Pyrénées et passionné de la montagne, de paysage et de préservation de la nature, qui avait émis l’idée de la création de cet espace inter-frontalier protégé pour améliorer la gestion de son patrimoine au-delà des frontières administratives. Nous avions rencontré Michel, il y a trois ans et il nous avait alors fat part – lors d’une série d’entretiens au barrage de Soulcem- de son rêve aujourd’hui devenu réalité VOIR L’INTERVIEW

    Un patrimoine naturel exceptionnel

    Crédit photo : Felipe Valladares. Mollera d’Escalarre, Parc Natural de l’Alt Pirineu (Catalogne)

    C’est un des espaces Pyrénéens les mieux conservés avec la présence du lézard du Pallars (Iberolacerta aurelioi), espèce endémique du PPTN, unique au monde, ainsi que la présence des plus grandes populations d’espèces en danger d’extinction des Pyrénées : le desman, la perdrix blanche, le grand Tétras, l’ours brun… ainsi que le bouquetin ibérique, réintroduit en 2014 et diverses races domestiques locales comme les brebis Xisqueta, Aranaise et Tarasconnaise, les chevaux Castillonnais et Catalan pyrénéen, et les vaches Brune, la Pallaresa et la Casta.

    Une haute valeur paysagère

    Parc Natural de la Vall de Sorteny (Andorre)

    On trouve également dans le Parc Pyrénéen des Trois Nations une très bonne représentation des habitats des forêts subalpines, forêts de conifères et arbres caduques des Pyrénées, des prairies alpines, étangs et zones humides de haute montagne en très bon état de conservation.

    On peut aussi noter le maintien d’une activité pastorale extensive et active qui aide et contribue à conserver un paysage mosaïque très divers fait de prairies fleuries, pâturages, arbustes et forêts, et d’un patrimoine culturel associé sous la forme de cabanes de pierre, chemins de pâtures, « orris » et « bordes ».

    D’ouest en est se détachent particulièrement les sites de grande beauté  comme le Mont Valier, Bonabé, le Port de Salau, le Mont Rouch, Noarre, le Port du Marterat, le Certascan, le pla de Boavi, le cirque de Cagateille, la cascade d’Ars, le Port de Bouet, la vallée du Soulcem, le cirque de Baiau, la Comapedrosa et la vallée de Sorteny. Il conviendra également de retenir le massif de la Pique d’Estats, qui abrite les sommets de plus de 3.000 m du PP3N, comme la Pica d’Estats (3.143 m), le Montcalm (3.077 m) et le Pic de Sullo (3.073 m).

    Premières actions à mettre en place

    Les différents signataires : Le Conseiller (Ministre) des Territoires et du Développement Durable de la Généralité de Catalogne, Damià CALVET; le Président du Parc naturel régional des Pyrénées Ariégeoises (France), André ROUCH; le Maire d’Ordino, Président du Parc Natural de la Vallée de Sorteny (Andorre), Josep Àngel MORTES PONS et le Maire de La Massana, Président du Parc Natural de la vallée de la Comapedrosa (Andorre), David BARO – s’engagent à lancer et à soutenir des actions de promotion touristique et de dynamisation, ainsi qu’à poursuivre des échanges en matière de patrimoine naturel et de Développement Durable.

    Parc Natural Comunal de les Valls del Comapedrosa (Andorre).

    L’acte, qui a été formalisé au Centre d’Interprétation du Parc naturel de Comapedrosa à la Massana (Andorre), concrétise l’accord pour l’engagement des différentes parties dans le projet commun qui avait démarré il y a 9 ans, avec la création du dernier de ces 4 parcs : le Parc naturel régional des Pyrénées Ariégeoises.

    Le grand intérêt scientifique des quatre Espaces Naturels Protégés, couplé aux efforts qui y sont conduits pour la préservation et la protection de la biodiversité, tout comme pour le développement de l’économie et des ressources humaines, va dans le sens d’une recherche commune pour accéder à une reconnaissance internationale. Une des applications communes du protocole est l’étude de l’opportunité de monter une candidature commune à l’UNESCO pour obtenir le classement de Réserve de biosphère transfrontalière, un cas jusque-là inexistant dans les Pyrénées. Par la suite, sera également envisagée la possibilité d’obtenir la certification proposée par Transboundary Park, et la Fédération Europarc, déjà présente dans 10 espaces transfrontaliers européennes, mais aucun dans le Sud-Est de l’Europe.

    Au total, le Parc Pyrénéen des Trois Nations compte plus de 428 700 hectares et 158 communes : 15 en Catalogne, 2 en Andorre et en 141 en France. Cet acte servira à la promotion touristique conjointe, la dynamisation socio- économique, et aux échanges en matière de Développement Durable et de patrimoine naturel.

    De gauche à droite, André ROUCH, David BARÓ RIBA, Damià CALVET, Josep Àngel MORTÈS PONS, signant le protocole.

    Photo à la Une ©Alain Baschenis. Parc naturel régional de Pyrénées Ariégeoises

  • Espace Jean Duvernoy, pose de la première pierre à Montaillou le 14 août dernier

    Espace Jean Duvernoy, pose de la première pierre à Montaillou le 14 août dernier

    C’est le 14 aout dernier que Jean Clergue maire de Montaillou, une partie du conseil municipal, Alain Naudy, président de la communauté de communes de la Haute Ariège et les descendants de jean Duvernoy sont venus pour la pose de la première pierre de ce que sera le « Centre Historique Jean Duvernoy » à Montaillou.

    Jean Clergue, Claire Dumont, Fredéric Duvernoy (un des fils de Jean Duvernoy) et Sylvain Athiel sont venus animer une « mini-conférence » sur les origines du projet de centre historique voulu et imaginé par l’association « le Castellas« . Quelques années de labeurs et de travail sur les dossiers de financements, des fouilles, un travail sur les textes permettent aujourd’hui d’envisager la pose de la première pierre ce de que sera très bientôt « Le centre Historique jean Duvernoy« . Les études de réflexion et de faisabilité ayant été démarrées en 2011 par la préfecture de l’Ariège.

    Un centre sur l’histoire du village, le catharisme dans le secteur, et les travaux historiques effectués sur ce fameux « Montaillou village Occitan » cher à Emmanuel Le Roy Ladurie qui s’est inspiré des travaux du juriste et traducteur « médiéval » que fut Jean Duvernoy, seront présentés dans cet espace « muséographique »

    L’espace Jean Duvernoy devrait ouvrir ses portes et être inauguré et ouvert en 2020 selon les informations annoncées lors de cette conférence. Le projet total est de 215 000 euros HT avec un financement de la Mairie à hauteur de 20% soit 43 000 euros dont une partie qui sera pris en  charge par la fondation du patrimoine. (les autres finances : 15% état, 15% département, 40% LEADER, 10% communauté de communes) 

    Jean Duvernoy était Docteur en droit et licencié ès lettres, et fut élu mainteneur de l’Académie des Jeux floraux de Toulouse en 1989Après s’être intéressé aux Vaudois, Jean Duvernoy est à partir de 1958, l’auteur de textes, de transcription et de traductions sur le catharisme et l’inquisition. Sa traduction en français du Registre d’Inquisition de Jacques Fournier est à l’origine du livre d’Emmanuel Le Roy Ladurie Montaillou, village occitan de 1294 à 13242. Son souci de trouver les sources (en particulier celles conservées au Vatican) a permis de donner une vision complète, et dégagée de tout ésotérisme, du mouvement religieux cathare. (Sources : Wikipédia)

     

     

     

  • Une rentrée anniversaire pour Foix Danse Académie ! 

    Une rentrée anniversaire pour Foix Danse Académie ! 

    Cette année, les élèves de l’école de danse fuxéenne fêteront la vingtième année de l’école. Autour de leur professeur Nadège Berton, ils évoluent en classique, jazz et Pilates de septembre à juin avec des participations à de nombreux stages durant l’été. 

    Nadège Berton a ouvert son école en 1998 dans la rue de la préfecture. Après divers changement de salle d’activité de part le développement de l’école, elle est installée depuis 3 ans maintenant place du champs de mars. 

    La professeure ariégeoise, qui a également dansé à l’étranger, se forme en continue pour perfectionner ses connaissances et son approche pédagogique en lien avec l’évolution des techniques de danse et de positionnement corporel.  Elle a ainsi pu former des danseurs et danseuses qui ont continué à évoluer dans des conservatoires ou des ballets juniors. 

    De nombreux projets se sont crées au fils des années avec la création des échanges de danseurs Calvino-fuxéens chaque année ainsi qu’avec le développement du projet de La danse au pluriel, association rassemblant les écoles de danse ariégeoise autour de la pratique de l’activité et de la promotion de celle-ci. 

    Pour cette rentrée, les élèves prépareront le spectacle anniversaire qui aura lieu en juin à Foix.

    Pour l’heure, l’école organise une journée d’inscription et de renseignement le samedi 1er septembre, les cours reprendront dès le lundi 3 septembre. 

    Informations et renseignements : 
    Foix Danse Académie
    13, place du Champs de Mars – Foix
    06 70 39 35 87

    foixdanseacademie@orange.fr
    www.foixdanseacademie.fr

  • La Bastide-sur-l’Hers réhabilite une ancienne friche

    La Bastide-sur-l’Hers réhabilite une ancienne friche

    Au printemps 2016, le Pays d’art et d’histoire organisait un  workshop sur six friches industrielles emblématiques du territoire (voir la vidéo ci-dessous). Celui-ci avait permis de mettre en valeur les potentialités du patrimoine bâti hérité des activités du textile et du peigne, tout en invitant des étudiants à plancher sur de possibles futures réutilisations.

    Depuis lors, et parfois en s’inspirant de ces premières ébauches, les communes concernées ont cherché à concrétiser les potentiels identifiés, et à faire émerger de ces édifices parfois négativement perçus des perspectives de développement économique et culturel.

    A titre d’exemple, la municipalité de La Bastide-sur-l’Hers, soutenue par plusieurs partenaires, conduit actuellement un ambitieux projet de réhabilitation et de réaménagement de l’ancienne friche dite Bez / Jouret. A l’abandon depuis plusieurs années, ce site a successivement accueilli l’une des plus importantes entreprises de peigne en corne de France (Bez) puis une filature (Jouret).

    Entamé depuis l’été 2018, le chantier, en plusieurs tranches, verra à terme le lieu accueillir un restaurant gastronomique avec terrasse panoramique, une salle polyvalente, des locaux destinés à abriter plusieurs professionnels du secteur santé et bien-être, et des ateliers d’artistes. D’ici début 2019, le restaurant et les ateliers doivent être finalisés, avant l’achèvement complet du projet pour 2020.

    La conservation des éléments propres à l’activité passée (murs de la filature, base de la cheminée, ateliers des peigners…) étant chère aux yeux des porteurs du projet, le chantier constitue autant un moyen de dynamiser le tissu économique local que de sécuriser et valoriser un patrimoine industriel dont la dimension identitaire est évidente à l‘échelle du Pays d’art et d’histoire.


     

  • Fin du régime de sécurité sociale des étudiants : de nouveaux réflexes à adopter dès la rentrée 2018

    Fin du régime de sécurité sociale des étudiants : de nouveaux réflexes à adopter dès la rentrée 2018

    L’article 11 de la loi n°2018-166 du 8 mars 2018 supprime le régime de sécurité sociale des étudiants d’ici à la rentrée universitaire 2019.

    Dès le 1er septembre 2018, les étudiants n’auront plus à se soucier de leur inscription auprès de l’assurance maladie obligatoire : en plus d’être automatique, elle devient gratuite, avec la suppression de la cotisation annuelle de 217 €.

    D’ici la fin du régime de sécurité sociale des étudiants programmée pour le 1er septembre 2019 par la loi sur l’orientation et la réussite des étudiants, l’année universitaire 2018-2019 sera une période transitoire avec deux situations possibles pour l’étudiant, selon qu’il débute ou qu’il poursuive ses études.

    Nouveaux étudiants en septembre 2018 : une inscription automatique… et quelques bons gestes à connaître pour être mieux remboursé

    Tout étudiant débutant ses études supérieures à la rentrée 2018 continuera d’être affilié à son régime de protection sociale actuel, le plus souvent celui de ses parents (régime général, régime agricole ou autres régimes spéciaux). Il n’aura donc aucune démarche particulière à effectuer puisque ses droits sont déjà ouverts.

    En pratique, pour bénéficier d’une prise en charge optimale de ses frais de santé, il devra simplement adopter les bons réflexes de tout assuré, et notamment :

    • Créer un compte ameli sur le site ameli.fr ou sur l’appli ameli afin d’accéder à l’ensemble des services (notamment le suivi des remboursements mais aussi pour faire une demande de carte européenne d’assurance maladie, télécharger une attestation des droits à l’Assurance Maladie…).
    • Renseigner ou mettre à jour ses informations personnelles (adresse postale, numéro de téléphone, mail…) sur son compte ameli, ce qui permet à l’Assurance Maladie de lui fournir un service de qualité.
      Envoyer son relevé d’identité bancaire (RIB) à sa caisse primaire d’Assurance Maladie (si ce n’est pas déjà fait) pour recevoir ses remboursements de soins.
    • Mettre à jour une fois par an et après chaque changement de situation sa carte Vitale dans les bornes installées dans toutes les CPAM, en pharmacie et dans certains établissements de santé. Elle atteste des droits à l’Assurance Maladie et contient des informations personnelles que l’assuré n’a pas à redonner par la suite aux professionnels de santé. Elle permet de bénéficier des délais de remboursement plus courts (une semaine au plus) liés à la télétransmission des feuilles de soins.
    • Déclarer un médecin traitant (si ce n’est pas déjà fait) afin de bénéficier d’un suivi médical coordonné et être mieux remboursé. En effet, le médecin traitant est le mieux placé pour organiser un suivi de prévention personnalisé parce qu’il suit ses patients sur la durée et coordonne leurs soins.

    Une année de transition pour les étudiants poursuivant leurs études

    Les étudiants poursuivant leurs études resteront provisoirement dans leur mutuelle étudiante pour l’année 2018-2019. Cette prolongation se fera de manière automatique sans que les étudiants concernés aient à faire une démarche spécifique pour cela. Au 1er septembre 2019, ils basculeront automatiquement au régime général, excepté pour les étudiants de la LMDE dont la gestion du régime obligatoire a été confié au régime général le 1er octobre 2015, et seront rattachés à la CPAM de leur lieu de résidence. A cette date, pour bénéficier d’une prise en charge optimale de leurs frais de santé, ils devront eux aussi adopter les bons réflexes de tout assuré (cf. supra).

  • Quoi de neuf en Ariège ces derniers temps ?

    Quoi de neuf en Ariège ces derniers temps ?

    La rencontre d’un ours et d’un promeneur dans les environs de Seintein, la visite surprise du ministre de l’éducation nationale à LUDOVIA sur Ax-les-Thermes, décidément il y a des rencontres inattendues en Ariège en cette fin de mois d’aout !! Cire nous met ces deux informations en abime sur son dernier dessin !

    Il est utile de rappeler les conseils de comportement à adopter en cas de rencontre avec tout grand mammifère, qu’il soit sauvage (ours, sanglier, cerf …) ou domestique (vache, cheval …), surtout s’il s’agit d’une femelle avec son(ses) petit(s) et/ou d’une rencontre à courte distance :
    • Rester calme, ne pas crier ni s’agiter, ni s’approcher, ce qui pourrait être interprété comme une agression et déclencher un comportement de défense
    • Se signaler à l’animal s’il ne vous a pas bien identifié (parler, siffler …) ;
    • Ne pas s’enfuir en courant, ce qui pourrait déclencher un réflexe de poursuite
    • Quitter la zone calmement dans la direction opposée, en veillant à ne pas se positionner entre la femelle et les petits.

    Ce qu’il n’y a pas lieu de faire lorsque l’on rencontre un ministre (encore que) !!!!!!

     
  • Le Ministre de l’Education Nationale Jean-Michel Blanquer s’invite en Ariège !

    Le Ministre de l’Education Nationale Jean-Michel Blanquer s’invite en Ariège !

    Jean-Michel Blanquer, ministre de l’éducation nationale, s’invite en Ariège, juste à son retour de vacances. Il sera en visite sur le département mardi 21 août toute la journée ; un programme resté secret depuis quelques jours, entre Foix et Ax-les-Thermes…

    Le ministre de l’éducation nationale, Jean-Michel Blanquer devrait arriver tôt dans la matinée et rencontrer sur Foix des représentants de l’éducation populaire et notamment les Francas de Foix, autour d’une activité aquatique. Le reste de la journée devrait être consacrée à la visite de l’Université d’été LUDOVIA et la rencontre des representants de l’éducation en Ariège.

    L’Université d’été du numérique dans l’éducation qui en est à sa quinzième édition a, semble t’il, intéressé le ministre qui semble avoir trouvé une occasion pour annoncer sa politique en matière de numérique éducatif. LUDOVIA, qui attendait depuis sa création, la venue d’un ministre, trouve ici une sorte de consécration pour le travail accompli depuis des années en matière de réflexion et de sensibilisation des enseignants au numérique.

    LUDOVIA avait envisagé en son temps la venue de Vincent Peillon, puis Najat Vallaud-Belkacem, qui n’ont pu confirmer leur venue sur cette Université d’été « ariégeoise » de renommée internationale ; ce sera finalement Jean-Michel Blanquer, d’un gouvernement « En marche » qui lui fera cet honneur. Un ministre appartenant à un gouvernement qui ne se fait pas que des amis parmi les collectivités locales et les territoires ruraux de par sa politique de baisse des dotations et une injonction à réduire les budgets ; une politique qui met à mal les équilibres financiers de certains départements. Les régions et départements de France avaient d’ailleurs boycotté la conférence des territoires du 12 juillet dernier, ce qui montre que l’ambiance n’est pas au beau fixe !

    Ce sera donc Henri Nayrou, président du Conseil Départemental et Kamel Chibli vice président du Conseil Régional d’Occitanie qui devraient accueillir le ministre avec un message de bienvenue, et peut-être quelques doléances, avant un discours officiel tant attendu par la communauté enseignante présente à Ludovia.
    Le moment sera donc partagé entre l’honneur d’accueillir, pour la première fois, un ministre sur cet évènement phare en Ariège, et les relations « complexes » entre collectivités et gouvernement.

    LUDOVIA accueille cette année, comme l’an passé, plus de 1000 participants enseignants et professionnels du secteur de l’éducation, sur le thème de l’innovation et des institutions dans le numérique. Plus d’une trentaine de stands et espaces de travail de collectifs d’enseignants seront visités par Jean-Michel Blanquer et les personnalités présentes. Ax-les-Thermes devrait donc accueillir du beau monde mardi prochain…

  • Faire payer aux entreprises les arrêts maladie : un projet « tiré par les cheveux »

    Faire payer aux entreprises les arrêts maladie : un projet « tiré par les cheveux »

    Suite à l’annonce du gouvernement  faire payer aux employeurs les indemnités journalières d’arrêt maladie en cas d’arrêt de moins de huit jours, l’Union Nationale des Entreprises de la Coiffure (UNEC) Communique

    FAIRE PAYER AUX ENTREPRISES LES ARRÊTS MALADIE : UN PROJET « TIRÉ PAR LES CHEVEUX » QUI POURRAIT TORPILLER NOS ENTREPRISES

    Cécile Souque, Présidente de l’Union des Entreprises de la Coiffure de l’Ariège se fait l’écho de Bernard Stalter, président de l’Union nationale des entreprises de coiffure qui s’alarme du projet du gouvernement visant à faire payer aux employeurs les indemnités journalières d’arrêt maladie en cas d’arrêt de moins de huit jours.

    La mesure envisagée par le gouvernement et qui devrait être présentée à la rentrée inquiète au plus haut point. « Si l’objectif initial de maîtriser les dépenses d’arrêt maladie est louable, la solution actuellement imaginée est inadmissible ! » affirme Bernard Stalter, président de la première organisation professionnelle du secteur de la coiffure. « Si l’on en croit les chiffres c’est une facture de plus de 900 millions d’euros par an que le gouvernement souhaite présenter aux entreprises. Une charge supplémentaire que ne sauraient supporter nos chefs d’entreprises qui rappelons-le sont pour une vaste majorité des TPE ! Des TPE qui souffrent déjà beaucoup et pour lesquelles une telle mesure serait synonyme de fermeture. Aujourd’hui la coiffure représente plus de 114 000 salariés pour plus de 85 400 établissements. Cherche-t-on à torpiller ces entreprises ? A tuer leur compétitivité et leur dynamique ? Pour le bien de notre pays et de la dynamique encourageante insufflée par les dernières lois en date j’espère que le gouvernement entendra les propos de l’UNEC ».

    L’UNEC est membre de l‘U2P de l’Ariège qui s’insurge également par la voix de son Président Vincent PEREZ : « Au nom de l’ensemble des Organisations Professionnelles, l’U2P et la CAPEB qualifient cette mesure d’inacceptable, qui vient aggraver les sujets de mécontentement des entreprises de proximité. Avec le prélèvement à la source, les risques de remise en question de la TVA à taux réduit et maintenant les arrêts maladie, ce sont trois mesures qui viennent impacter directement notre rentabilité et le poids des charges et des cotisations. SCANDALEUSE, INJUSTE et DESTRUCTRICE sont les qualificatifs appropriés à cette politique gouvernementale qui donne (un tout petit peu) d’une main, pour reprendre (beaucoup plus) de l’autre. »

  • Tourisme en Ariège : Un mois de juillet en demi-teinte

    Tourisme en Ariège : Un mois de juillet en demi-teinte

    L’année dernière, le passage du Tour de France le 14 juillet, avait lancé positivement la saison estivale. Cette année les professionnels notent un démarrage poussif de la haute saison touristique. Les résultats du baccalauréat le 06 juillet couplés au déroulement de la coupe du monde de football ont pu conduire à un report des départs en vacances, et expliquer cette tendance en demi-teinte.

    La météo a quant à elle influencé les comportements des visiteurs : en effet le début du mois de juillet a été marqué par des phénomènes climatiques imprévisibles. Les orages et la grêle, surtout localisés en basse Ariège, ont impacté fortement les activités touristiques. La seconde quinzaine du mois a été marquée par des épisodes de forte chaleur, influençant les activités des visiteurs vers des activités nautiques.

    Les événements organisés sur les différentes destinations touristiques ont dopé la fréquentation. Ainsi les professionnels sont mitigés sur le niveau de leur activité, puisque un professionnel sur deux est satisfait du mois de juillet. Ils constatent notamment des séjours plus courts, et une baisse de la clientèle française.

    Hébergements

    Un démarrage tardif

    36% des hébergeurs font apparaître une baisse de leur activité par rapport à juillet 2017. Ils soulignent des séjours plus courts et des réservations de dernière minute moins fréquentes.

    Restauration

    Un début de mois difficile

    42% des gérants estiment leur activité inférieure à l’année précédente. Ils l’expliquent par le temps orageux du début du mois de juillet qui a freiné l’activité de leur structure. La météo ensoleillée de la seconde quinzaine a toutefois attiré une clientèle familiale.

    Les activités

    Une météo impactant fortement les activités en plein air

    Les gestionnaires des sites de visite sont mitigés puisque 42% estiment leur activité supérieure à l’année précédente et 42% inférieure. L’activité orageuse du début du mois et la canicule de la fin du mois n’a pas été porteuse pour les sites de visite. 

    Les professionnels notent une meilleure fréquentation de l’activité randonnée que l’année précédente, due en partie à une météo plus clémente. Cependant, les phénomènes climatiques imprévisibles ont marqué les activités de loisirs altérant la bonne fréquentation. Les activités d’eaux vives connaissent une bonne fréquentation sur la seconde quinzaine du mois.

    Commerces et artisanat

    Les commerçants et artisans estiment leur activité inférieure à l’année précédente. Le ticket moyen est quant à lui estimé à la baisse par rapport à juillet 2017.

    Les perspectives pour le mois d’août sont encourageantes puisque, selon l’état de leur réservation, deux professionnels sur trois s’attendent à un niveau d’activité de moyen à bon.

    L’objectif de la note de conjoncture est de déterminer les ressentis sur la période écoulée et les tendances du mois à venir à partir de l’opinion des professionnels interrogés. Ces résultats ne peuvent en aucun cas se substituer aux analyses quantitatives et qualitatives.
    Les résultats présentés sont issus d’une enquête en ligne via la plateforme AriègeStats, menée du 30 juillet au 12 août 2018 sur 963 professionnelsPartenaires : Offices de Tourisme, Gîtes de France, AAA-Ariège Attractivité, CCI, Comité Régional du Tourisme d’Occitanie

    Observatoire Touristique
    de l’Agence de Développement Touristique Ariège-Pyrénées Edwige Danjou-Martinez
    Tel. 05 61 02 06 96 – observatoire@ariegepyrenees.com

  • Manouch’Muzik Festival : une pépite qui grossit chaque année !

    Manouch’Muzik Festival : une pépite qui grossit chaque année !

    La quatrième édition du Manouch’Muzik Festival s’est achevée hier soir après une soirée arrosée par les orages. Cela n’a pas empêché les festivaliers assidus de venir voir, presqu’à guichet fermé, les derniers concerts au programme.

    C’est donc un carton plein encore une fois pour ce festival qui devient une référence en la matière et une pépite d’organisation et de gentillesse de la part des bénévoles qui font que ce festival est possible : restauration, accueil, programmation,…Tout est impeccable sur le Festival. Car oui, au delà du choix du programme, on est tout de suite impressionné par le professionnalisme de ce petit festival : des grands écrans un peu partout au centre du « village » qui relaient les spectacles du « Off », un coin « VIP », un immense chapiteau qui protège du soleil ou de la pluie, le Bar, la salle de restauration des festivaliers et le coin des artistes à proximité des cuisines ; et surtout la grand halle couverte de Mazères : on dirait presque un évènement « labellisé » du département alors qu’il n’en est rien.

    Tout ceci est n’est pas dû, qu’à un seul individu bien entendu, car les bénévoles de Mazères et en particulier du festival contribuent largement à ce succès, nous confiait Louis Marette le Maire, mais il faut admettre que Jean-Louis Sorel est partout sauf sur scène : lors de l’installation à positionner des vasques de fleurs, diriger les opérations et des préparatifs deux jours avant, aux petits oignons avec les artistes, toujours soucieux du timing et de la qualité de tout ce qui se passe sur le Manouch’Muzik Festival pendant le reste du temps. Un homme de l’ombre qui ne monte jamais sur scène et que nous avons pu interroger quelques instants entre deux consignes et vérification.

    Nous avons eu la chance de passer trois soirées à le suivre et découvrir le programme qu’il a concocté pour cette quatrième édition. Nous sommes ressortis ce matin avec le sentiment que ce festival ira loin et que sa notoriété déjà grandissante, même au delà du département, atteindra des sommets d’ici quelques années.

    Pourtant, Jean-Louis Sorel nous affirme que le Festival, pour ne pas perdre son âme, se tiendra toujours autour de la Halle de Mazères ; c’est ce qui fait son charme et qui plait aux milliers de festivaliers qui s’y retrouvent chaque année depuis quatre ans.

     

  • 25 médailles pour la Tomme des Pyrénées au lait cru !

    25 médailles pour la Tomme des Pyrénées au lait cru !

    Le Concours de la Tomme des Pyrénées au lait cru s’est déroulé ce samedi 11 août à Castillon en Couserans. Cette édition est une consécration pour le Concours : ce sont en effet 78 fromages qui ont été proposés par 60 producteurs (artisans et fermiers). L’ensemble des départementsPyrénéens étaient représentés.

    Monsieur Hugues Foucher, formateur fromager à la Fédération des fromagers de France aprésidé un jury diversifié d’une cinquantaine de membres. 25 participants ont été primés (voir palmarès ci-dessous).

    C’est sous une météo éclatante que la fête du fromage et du miel des Pyrénées a fait carton plein, brassant plus de 3000 personnes sur l’ensemble de la journée, venues profiter desdiverses animations proposées.

    Le riche marché de producteurs a ravi les papilles des visiteurs avec ses 12 fromagers fermiers et artisanaux, ses 5 apiculteurs de montagne, ainsi que ses producteurs de glacesfermières, de pains bio, de biscuits artisanaux, de produits en laine, de vins d’Ariège …
    Nos voisins Catalans du Parc Alt Pirineu étaient présents avec leurs fromagers. Le Comté, en tant que fromage invité, a également charmé ce public curieux et en recherche de produits de qualité.

    Evènement organisé par l’association Fromages et miels des Pyrénées regroupant le Parc naturel régional des Pyrénées Ariégeoises, l’Association des fromagers fermiers et artisanaux des Pyrénées, la Mairie de Castillon, lecomité des fêtes de Castillon, le foyer des animations du Castillonnais et l’Office de tourisme CouseransPyrénées. Et avec le soutien financier de la Communauté de commune Couserans Pyrénées, le département del’Ariège, la Région Occitanie,leFonds Européen de Développement Régional dans le cadre du Programme Interreg V-A Espagne-France-Andorre,et le Crédit Agricole.

     

    Les Médailles d’Or

    Ferme du CARREGAUT, 09420 CASTELNAU DURBAN

    Catégorie VACHE FERMIER Catégorie VACHE ARTISANAL

    FROMAGERIE LE MOULIS AFFINEUR, 09200 MOULIS

    Catégorie CHEVRE FERMIER

    EARL CAZAJOUS, 64530 LABATMALELes Médailles d’Argent

    Catégorie VACHE FERMIER

    Sophie BERENGUEL, 66 260 SAINT LAURENT DE CERDAN

    Catégorie CHEVRE FERMIER

    GAEC LA FERME DU BIGNAU, 64490 AYDIUS

    GAEC CASEBONNE, 64570 ANCE

    LYCEE DES METIERS DE LA MONTAGNE, 64400 OLORON SAINTE-MARIE

    GAEC Bergers de Mantet, 66360 MANTET

    Catégorie MIXTE CHEVRE BREBIS FERMIER

    LES FERMIERS BASCO BEARNAIS AFFINEURS, 64490 ACCOUS

    Catégorie BREBIS ARTISANAL

    LES FERMIERS BASCO BEARNAIS AFFINEURS, 64490 ACCOUS

    Les Médailles de Bronze

    Catégorie VACHE FERMIER

    LA FERME DU PLATEAU, 09460 CARCANIERES
    LA FERME DU RIALET, 66210 LA LLAGONNE
    EARL MOUNDARREN, 64440 BEOST
    LES FERMIERS BASCO BEARNAIS AFFINEURS, 64490 ACCOUS

    Catégorie CHEVRE FERMIER

    GAEC MONDELY, 09240 LA BASTIDE DE SEROU

    LA FERME DU PERE LAURENT, 09420 CASTELNAU DURBAN

    GAEC LOU CAPELE, 31310 MONBRUN BOCAGE

    GAEC VAL D’AZUN, 65400 ARRENS

    MARSOUS FERME SENDOU, 64800 ASSON

    Catégorie BREBIS FERMIER

    GAEC ELIZAGARAIA (LOYATHO) , 64220 GAMARTHE

    Jean-Paul LAPINE, 64800 ARTHEZ D’ASSON

    EARL OROS MIRASSOU, 64570 ARETTE LARRICK

    MAISON LERIDE, 64570 LANNE EN BARETOUS

    FERME LA MASOU, 66230 PRATS DE MOLLO

    Catégorie MIXTE VACHE BREBIS FERMIER

    Yves GIRY, 65240 MONT

     

    Crédit photo Olivier ASSELIN – PNRPA

  • Région Occitanie : les principales aides votées en faveur de l’Ariège cet été

    Région Occitanie : les principales aides votées en faveur de l’Ariège cet été

    Carole Delga, présidente de la Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée, a réuni le vendredi 20 juillet dernier à Montpellier les élus de la Commission permanente, afin de voter un ensemble d’aides pour les 13 départements du territoire. Zoom sur les principaux projets (liste non exhaustive) du territoire de l’Ariège, bénéficiant du soutien de la Région.

    130 000€ pour la création d’une maison de santé pluri-professionnelle à Prat-Bonrepaux.

    Car l’offre de santé et l’accès à des soins de proximité constituent un enjeu majeur d’aménagement du territoire et d’égalité pour la santé, la Région soutient sur son territoire la construction ou la réhabilitation de bâtiments destinés à accueillir nouvellement des professionnels de santé et paramédicaux. Dans l’Ariège, elle mobilise ainsi 130 000€ pour la création d’une maison de santé pluri-professionnelle à Prat-Bonrepaux.

    Développement économique

    Chef de file en matière de développement économique, la Région a déployé un nouveau panel d’interventions adaptées aux différentes étapes de développement des entreprises. Dans le cadre du dispositif « Contrat Expertise », qui a pour objectif de sécuriser, et valider la faisabilité d’un projet d’entreprise à tout stade de développement, la Région attribue 50 000€ à la SA Chaudronnerie Mécanique Aéronautique et Industrielle à Tarascon-sur-Ariège.

    Agriculture

    En élevage, l’Occitanie / Pyrénées – Méditerranée est le berceau de nombreuses races rustiques. Représentatives de la diversité de ses territoires et des savoir-faire des éleveurs, ces races constituent une ressource fondamentale pour le développement des filières d’élevage, que la Région soutient depuis de nombreuses années. Afin d’assurer le maintien de ces races et de leur rusticité, les élus régionaux ont mobilisé lors de cette commission permanente plus de 300 000€, dont 98 000€ en faveur de la race gasconne via des aides attribuées à la Société Pépinière de la race Gasconne – Pépirag (21 000€) ainsi qu’au groupe Gascon (77 000€) à Villeneuve du Paréage.

    Le groupe s’est également vu attribuer une aide de 15 000€ pour son projet  « Maghreb 2018-2019 », un projet à l’export de mise en valeur de nouvelles voies d’exportation pour les animaux d’élevage de la race gasconne. En effet, Afin de renforcer la compétitivité des entreprises du secteur agro-alimentaire et viticole, par un soutien direct aux investissements matériels et immatériels, la Région a également déployé le « Contrat Agroviti Stratégique » permettant d’accompagner les projets stratégiques des PME et grandes entreprises.

    1ère région française en agriculture biologique, l’Occitanie bénéficie d’une forte dynamique de conversion, soutenue et entretenue par la Région au travers notamment de son nouveau Plan Bi’O « Produire, consommer et vivre bio en Occitanie ». Lors de la dernière Commission permanente, la Région mobilise ainsi une enveloppe de près de 30 000€ pour accompagner la Chambre départementale d’agriculture de l’Ariège et la CIVAM d’Agriculture Biologique d’Ariège dans la mise en place d’actions de développement et de structuration des filières en agriculture biologique.

    Territoires

    La Région accompagne par ailleurs les collectivités dans leurs projets visant à soutenir la vitalité et l’attractivité des territoires, autour notamment de l’accessibilité à des services publics de proximité.

    En Ariège, elle mobilise lors de la dernière Commission permanente une enveloppe de près de 70 000 € pour accompagner la réalisation de travaux de mise en accessibilité de bâtiments publics, parmi lesquels l’école de Canté, des bâtiments communaux sur la commune de Cos, l’église de Castex ou encore le foyer Mille Clubs à Saint-Pierre-de-Rivière.

    5000€ sont également attribués pour soutenir des travaux de rénovation énergétique de la salle de réunion de la mairie de Contrazy.

    Tourisme

    Dans le but de consolider et développer le secteur du tourisme qui représente 10% du PIB régional, la Région soutient les équipements et les aménagements qui ont un fort potentiel d’attractivité et une capacité à générer des retombées économiques et des emplois sur les territoires concernés. En Ariège, 16 000€ sont ainsi attribués à la Communauté de Communes du Pays de Tarascon pour le forage des thermes d’Ornolac-Ussat-les-Bains, ayant pour objectif l’amélioration du système de stockage de l’eau minérale.

    La Région se mobilise afin de soutenir l’investissement et l’emploi touristique et déploie, dans les territoires, plusieurs contrats de développement et d’innovation touristiques. En Ariège, elle accompagne l’Hôtel Lons à Foix à hauteur de 35 000€, et l’hôtel Terra Nostra à Tarascon-sur-Ariège à hauteur de 33 000€.

    Solidarités

    La Région conduit un dispositif de soutien spécifique aux projets associatifs innovants pour la prise en compte des handicaps. Un appel à projets dédié, « Handicap Occitanie », intervient ainsi en lien avec le 1er Plan d’actions régional pour la prise en compte des handicaps, engagé par la Région en mars 2018. En Ariège, la Région mobilise 12 000 € dans le cadre de l’appel à projets pour accompagner :

    – l’Association Regard Nomade pour le projet « Accès à la création audiovisuelle pour les personnes en situation de handicap »

    – L’Union Régionale des Pupilles de l’Enseignement Public « Pyrénées-Méditerranée » pour le projet « accompagnement des jeunes en situation de handicap pour l’accès au service civique »

    Culture

    Dans le cadre de sa stratégie culture et patrimoine 2018-2021, la Région souhaite assurer un maillage culturel équilibré pour l’ensemble de ses habitants. Ainsi, afin de favoriser les moyens de création des équipes artistiques du territoire, la Région Occitanie souhaite impulser le développement de résidences artistiques en région par l’accompagnement de résidences-association. En Ariège, elle accompagne ainsi 3 associations : Art’cade Arts et Spectacles à Sainte-Croix-Volvestre (7 000€) ; l’Association Fil en Trope à Mirepoix (10 000€) et l’Association pour le développement et l’action culturelle (ADACFA) à Foix (7 500€).

    Sport

    Mobilisée pour le développement du sport et l’incitation aux pratiques sportives, en lien avec sa dynamique d’aménagement et de maillage territorial notamment dans les zones rurales, la Région accompagne les petits clubs dans l’acquisition de matériels au travers du dispositif « Occitanie – Sport pour tous ». La Commission permanente a ainsi validé une intervention régionale de plus de 15 500€ à destination de 10clubs et associations sportives du département.