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  • Le CHIVA et le CHPO se mobilisent pour la semaine de la sécurité du patient et vont à la rencontre des usagers.

    Le CHIVA et le CHPO se mobilisent pour la semaine de la sécurité du patient et vont à la rencontre des usagers.

    Comme les années précédentes, le CHIVA et le CHPO participent activement et de manière originale à la semaine de la sécurité des patients qui se déroulera du 20 au 24 novembre 2017, sous l’égide du ministère de la santé publique.

    Cette manifestation a pour objectif de créer une dynamique associant patients et professionnels de santé, pour une meilleure communication autour des soins et de leur sécurité. Elle permet de favoriser le dialogue entre soignés et soignants.

    Le thème général de l’édition 2017 est « Usagers, soignants : partenaires pour la sécurité des patients ».

    Les évènements organisés sont :

     La présence du CHIVA et du CHPO sur les principaux marchés de la zone d’attractivité :

    En Ariège, les soignants ont choisi de venir à la rencontre des patients par la tenue d’un stand d’information sur les marchés. En effet, cette formule qui a été inaugurée en 2014 rencontre toujours un vif succès auprès du public et est très plébiscitée.

    Les personnels soignants du centre hospitalier du val d’Ariège, du centre hospitalier du pays d’Olmes et des représentants des usagers (France Alzheimer, La ligue contre le cancer, l’Association française des diabétiques, l’AVIAM… ) échangeront avec le public autour de différents thèmes : les médicaments, la gestion des déchets de soins au domicile, les droits des usagers (directives anticipées, personne de confiance, identitovigilance, la douleur, avec la présence d’association d’usagers), l’hygiène à l’hôpital et information sur la vaccination. Si vous avez des questions concernant ces thématiques, les usagers et professionnels de santé seront à votre disposition pour échanger avec vous .

    FOIX : Vendredi 17 novembre

    MIREPOIX : Lundi 20 novembre

    LAVELANET : Vendredi 24 novembre

    PAMIERS : Samedi 25 novembre

    Dans les centres hospitaliers :

    Un quizz sur le bon usage des antibiotiques : Destiné au personnel il permettra de vérifier ses connaissances de manière ludique.

     Des cafés grippe : Au cours de trois rencontres programmées au CHIVA et au CHPO, les agents hospitaliers pourront trouver des réponses aux questions qu’ils se posent sur la  vaccination auprès des référents infectiologues, du service santé au travail, et auprès des pharmaciens et des hygiénistes. 

     La chambre des erreurs :  Pour la troisième année consécutive et devant le succès de cette opération, une « chambre des erreurs » au CHIVA, au CHPO et à l’IFSI a été organisée mardi 21 et mercredi 22 novembre à l’attention du personnel soignant. Cet atelier de simulation en santé, préparé et animé par les équipes soignantes, médicotechniques, médicales et qualité du CHIVA, du CHPO et de l’IFSI, permet aux soignants de se mettre en situation d’observation à l’intérieur d’une chambre de patient reconstituée. Ils doivent y découvrir un certain nombre d’erreurs volontairement disséminées dans l’environnement direct du patient. La séance dure 30 minutes en trois phases successives : l’explication des règles du jeu, le passage dans la chambre pour relever et noter les erreurs, enfin un débriefing permettant d’échanger et d’expliquer les erreurs.

    La santé est l’affaire de tous, patients et soignants !

  • Agriculture : Des « Pac’s papers » A la Une !

    Agriculture : Des « Pac’s papers » A la Une !

    Procès des Porte-paroles de la Confédération Paysanne de l’Ariège :  La Conf’ communique 

    Un an après la première audience, a eu lieu ce mardi 14 novembre 2017 au tribunal de Foix, la suite du procès de Sébastien Wyon et David Eychenne, cités à comparaître pour diffamation par le Président de la chambre d’agriculture, François Toulis.

    On se rappelle de la mobilisation du 15 novembre 2016, qui avait rassemblé plus de 200 personnes sous la halle des allées de Vilottes à Foix, à l’occasion de la première audience au tribunal de Foix pour le procès de David Eychenne et Sébastien Wyon, en comparution pour avoir mis le doigt sur les dérives de la PAC1, dont le président de notre chambre d’agriculture profite aisément. Ce jour là, devant ces paysan-ne-s et citoyen-ne-s, s’est aussi tenu le procès de la PAC(1).

    Rappelons-le, la Confédération paysanne dénonce, via le cas d’école que représentent les agissements de M. Toulis, tout le système d’aides publiques actuel qui ne sert qu’à encourager l’industrialisation de l’agriculture et l’élimination des petites fermes, vider les territoires et saccager l’environnement, servir le marché mondial plutôt que de répondre aux attentes des citoyens et d’accompagner la libéralisation de l’économie.

    La Confédération paysanne ne remet pas en cause le réel besoin de cette PAC, mais réclame qu’elle soit juste et ne peut supporter que « quand certains rament en soute, d’autres sont plutôt en mode croisière de luxe » !

    Aujourd’hui, nous étions une centaine devant le tribunal de Foix pour soutenir les lanceurs d’alertes, eux-mêmes paysans et poursuivis en justice par le représentant départemental de leur profession.
    Preuves à l’appui de ce que nous avons écrit dans ce Regain n°37, c’est nous qui demandons, aujourd’hui, le report du procès : l’avocat de la partie adverse n’ayant avisé notre avocat seulement hier qu’il ne comptait pas se pourvoir en cassa- tion, la citation par le tribunal de nos témoins n’a pu être faite. C’était bien tenté, mais les témoignages sont trop précieux. Il nous faut assurer cette simple démarche administrative pour ne pas commettre d’erreur substantielle !

    Nous tenons quand même à dire que nous avons déjà doublement « gagné ». D’une part, par la tribune que nous a offert le président Toulis depuis un an. Et d’autre part, le 11 octobre dernier, par le délibéré de la cour d’appel de Toulouse. L’avocat de la partie adverse a vu sa demande de reconnaissance « d’erreur matérielle » déboutée par la cour d’appel. Celle-ci a définitivement tranché, c’est bien une erreur substantielle. Une seule requête aurait pu être examinée aujourd’hui, celle concernant l’édito du numéro 37 du journal « Le Regain », et le sera donc le 13 février 2018.

    David Eychenne, co-porte-parole de la Confédération Paysanne 09

    1 PAC : Politique Agricole Commune
    2 PAAC : Politique Agricole et Alimentaire Commune

    32, avenue du Général de Gaulle  – 09000 Foix
    05 61 02 14 31
    confariege@gmail.com

     

  • L’invité de la semaine : Jérôme Azema référent LREM en Ariège

    L’invité de la semaine : Jérôme Azema référent LREM en Ariège

    Jérôme Azéma a été battu aux dernières élections législatives sous l’étiquette LREM. Du coup l’Ariège est un des rares département à ne pas avoir de député représentant le mouvement du président de la République à l’Assemblée Nationale. Aujourd’hui bénévole du mouvement « La République en Marche » et référent de ce mouvement. Absent dans les média, peu de réponses apportées aux actualités « chaudes » du département, pas d’explication dans la presse des retombées de la politique du gouvernement sur l’Ariège, bref il nous a semblé utile de le faire venir sur notre plateau TV en tant qu’invité de la semaine pour quelques explications.

     

  • Septuors : L’Ariège consacre ses meilleures entreprises !

    Septuors : L’Ariège consacre ses meilleures entreprises !

    A l’initiative du groupe La Dépêche du Midi et de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Ariège, les premiers Septuors « version ariégeoise » ont eu lieu jeudi dernier à l’IFCAP. Plus de 200 chefs d’entreprises et représentants d’institutions étaient venus découvrir et féliciter les 9 lauréats de ces « SEPTUORS » au cours d’une soirée qui remplacera « La Nuit du Commerce » initiée il y a une vingtaine d’années par le président de la CCI Paul-Louis Maurat.

    Tourisme, Industrie, Agroalimentaire, Santé, Agriculture, Commerce & Services, Numérique, faisaient partie des catégories en compétition, mais ce fût au total 9 entreprises qui ont été récompensées, car la CCI de l’Ariège et la Région Occitanie ont souhaité proposer deux prix spéciaux supplémentaires. En vidéo : Interviews de quelques primés et de personnalités et partenaires.

    Les Lauréats

    Septuor Tourisme  : XPLORIA (Mas d’Azil)

    Septuor Agroalimentaire : Confitures Jougla (Saint-Lizier)

    Septuor Numérique : INEONET (Verniolle)

    Septuor Agriculture : GAEC DE BIROL (Pamiers)

    Septuor Santé : La Société Thermale d’Ax-les-Thermes (STAX) 

    Septuor Commerce & Services : EURL Dévers Solution (Orlu)

    Prix spécial « Région Occitanie » : SAVASEM (Ax-les-Thermes)

    Prix spécial CCI09 : PYRÉNÉENNE DU BOIS (Mijanes)

     

     

     

  • Le 59ième Régiment d’Infanterie, ou le régiment des ariégeois

    Le 59ième Régiment d’Infanterie, ou le régiment des ariégeois

    Le 59e régiment d’infanterie, régiment de l’armée de terre française, a été créé en 1667 et dissous en 1940. En 1881, son 3e bataillon prend part à l’expédition de Tunisie. Le reste du régiment quitte Toulouse et vient tenir garnison à Pamiers et à Foix.

    C’est alors qu’il devient le régiment des Ariégeois qui devaient s’illustrer d’une gloire immortelle au cours de cette guerre mondiale qui fut une bataille unique dans l’Histoire.

    Voici quelques épisodes vécus par ces hommes d’honneur et de courage durant 4 années de sauvagerie 

    Le 1er août 1914, à 16h30, parvenait au lieutenant-colonel Dardier, commandant le 59e R.I. l’ordre de mobilisation générale. L’Allemagne menaçait nos frontières et la France réclamait l’aide de ses enfants.

    L’occasion était fourni aux montagnards pyrénéens de donner la juste mesure de leur valeur militaire, de leur courage personnel, de leur esprit de sacrifice et d’affirmer les qualités de la race, solide comme les rocs sur lesquels s’accrochent leurs domaines.

    La vieille devise des Comtes de Foix trouvait l’occasion d’une signification plus glorieuse et plus concrète. Combien d’Ariégeois devaient de leur sang, acheter l’honneur de la rendre immortel !…

    « Tocos y se gaousos. » ou « Toque y si Gauses » Touche moi si tu oses.

    Le 6 août les préparatifs de départ terminé, le régiment passait sur les allées de Villotte, une revue qui devait rester gravée dans le souvenir de tous. Parents, femmes, enfants, familles, amis sentirent vibrer l’enthousiasme immense qui réunissait en un même idée de sacrifice les Fils de France, et les poussait vers un seul et unique but : LA VICTOIRE !

    […]

    Le 23 août à Mairy (Ardennes), les 2/3 des officiers et 1200 hommes sont déjà tombés pour la France. Le chef de bataillon Bruyère qui a pris le commandement du régiment le présente au général Alby, commandant la 34e Division, qui passant en revue les débris de cette glorieuse phalange, s’exalte par ces mots :

    « Je salue avec émotion et fierté, les officiers, sous-officiers, caporaux et soldats du 59e ; la confiance que j’avais en votre régiment n’a pas été déçue : je connaissais votre valeur et ce que l’on pouvait attendre d’un régiment tel que le votre. Je salue tous ceux qui sont tombés et j’adresse aux survivants le témoignage de mon admiration. »

    […]

    Le 7 septembre des combats s’engagent autour des fermes de la Certine et Galbaudine. Plus d’eau, plus de vivres depuis 48 heures, mais les montagnards de l’Ariège luttent toujours et l’ennemi ne parvient pas à les chasser de la position sur laquelle ils se sont accrochés.

    […]

    Arras – Les attaques de mai, juin, septembre 1915

    Parti le 22 avril 1915  pour la Somme, le régiment qui n’a pas été employé est réembarqué le 30 pour l’Artois où il prend le service de garde dans les tranchées de Roclincourt. Le 5 mai 1915 l’ennemi enserre Arras dans une étreinte qui devient de jour en jour plus menaçante et le Commandement a décidé de prévenir l’action allemande par une opération violente qui puisse dégager la ville ? Ce sont alors les coûteuses et sanglantes journées des 9, 10, 11, 12 et 13 mai 1915.

    Pendant cette terrible période, du 9 au 17 mai 1915, que d’exemples de bravoure à mettre en lumière. Combien de héros tombés sur cette plaine d’Artois seraient dignes de voir leur nom inscrit au martyrologe de la France.

    […]

    Verdun – Avocourt 1916

    le 23 mars, c’est avec un orgueil qui ne demande qu’à démontrer sa légitimité, que le régiment apprend du colonel Velly, commandant la 68e brigade, sa participation prochaine à la défense de Verdun autour duquel se livre la plus formidable bataille de l’Histoire.

    « Quelque soit la vigueur des bombardements et des attaques, ceux qui ont tenu et combattu à Roclincour tiendront aussi bien à Verdun et puisque le boche attaque, nous prendrons notre revanche du 9 mai, du 16 juin et du 25 septembre » Et pourtant chacun sait bien ce que sont les champs de bataille de Verdun…Sinistres en sont les noms, impressionnante en est la renommée….

    C’est seulement le 10 avril que le régiment, relevé, est renvoyé au camp de Verrières, puis à Brocourt pour y recevoir, avec les félicitations du Général de Division qui distribue quelques Croix de guerre bien gagnées, les éloges du Commandant de l’armée de Verdun, le général Pétain.

    […]

    Butte de Mesnil-les-Marquises août – octobre 1916

    Un court repos de 6 jours dans la région de Châlons-sur-Marne ramène l’insouciance et le mépris du danger dans tous les cœurs. Le 30 août, le régiment prend position dans le secteur de Marsons, voisin de Maison-de- Champagne et de la butte du Mesnil. Pour la première fois depuis le début des hostilités, il assure la garde d’un secteur calme. Aussi les hommes en apprécient-ils tout le confort relatif, heureux de goûter dans les abris spacieux et profonds un repos que ne trouble rarement le désagréable tapage de « Herr- Choucroumann, artilleur »

    […]

    Guise – L’Armistice

    Relevé pour quelques jours, c’est encore une fois le 59e qui franchit l’Oise, et s’empare de la ferme de Robbe le 28 octobre 1918 ; c’est encore lui qui, malgré ses pertes, avec un effectif réduit qui semble n’être plus qu’un simple bataillon, trouve cependant la force d’accrocher les arrière-gardes allemandes résistant encore et de planter le premier, après une manœuvre qui lui donne la maîtrise du terrain, dans Guise reconquis le 5 novembre, à 7 heures, son fanion de commandement, étalant orgueilleusement l’or jaune de sa fière devise jamais démentie, jamais ternie, toujours glorieuse : « Tocos-y se gaousos ! »

    Retour et dissolution du 59e R.I.

    Après un retour de 8 mois aux environs de Paris, le régiment est rentré au dépôt le 20 juillet : Etat-major et 2/59 à Foix ; 1 et 3/59 au camp Clauzel à Mirepoix. Le 1er septembre 1919, ces derniers viennent de Mirepoix à Pamiers, cantonner au Petit Séminaire.

    L’Etat-major du régiment et la C.H.R. quittent Foix le 15 octobre 1919 pour s’installer à Pamiers. Le régiment est alors divisé en deux portions :

    Portion principale à Pamiers : Etat-major du régiment, C.H. 1er 2e bataillons. Portion centrale à Foix: Major et service des effectifs; Trésorier; Bureau spécial de comptabilité ; Capitaine chargé du matériel ; 2e Bataillon.

    2 février 1920.

    Les bureaux du Major, du Trésorier, de la Mobilisation et le Service des Effectifs s’installent à Pamiers. (Exécution de la note 3.32 du 5 janvier 1920 du 17e C.A.)

    16 février 1920.

    Le 59e est supprimé (exécution des prescription de la note ministérielle 1.025 1/11 du 28 janvier 1920), et doit servir à constituer le 3e bataillon du 14e régiment d’infanterie à Pamiers.

    Sources :

  • La Grange ariégeoise, au service de l’automobile ancienne de collection !

    La Grange ariégeoise, au service de l’automobile ancienne de collection !

    Fils d’agriculteurs, ariégeois de souche et de coeur, Jean-Marc Poulain s’en est allé, après le baccalauréat, faire son service militaire et poursuivre des études de mécanique. Après des années au service de grosses entreprises, il décide de revenir dans son Ariège natale, près de Mirepoix, pour vivre de sa passion, l’automobile ancienne de collection.

    Il y a à peine deux mois, Jean-Marc à créé son entreprise, la Grange ariégeoise, une entreprise de conseils, entretien/réparation et achat/vente de voitures anciennes de collection. 

    L’occasion pour lui de revenir aux sources et de vivre pleinement de sa passion. 

    «Cette passion m’est venue parce qu’elle m’a été transmise par mon père. Je suis tombé dans la marmite quand j’étais petit, et j’ai toujours eu cette attraction très forte pour des voitures hors du temps, avec une vision décalée lorsque l’on est au volant» explique Jean-Marc.

    Une passion qui ne s’arrête pas à la voiture ; entre une Citroën CX 25 GTI Turbo 2 de 1985, la plus récente de la collection et une Peugeot 127 de 1911, la plus ancienne, en passant par une Delage de 1923,  elle s’articule en fait sur le moteur à explosion. C’est pourquoi Jean-Marc est en train de redonner vie à de vieux tracteurs ainsi qu’à une fabuleuse moto avec un moteur  des établissements Ballot de 225 cm3 de 1922 avec ses cuirs d’origine, une marque aujourd’hui disparue.

    «Une passion serait bien fade si elle n’était pas partagée

    Avec la Grange ariégeoise, Jean-Marc Poulain, ne veut pas seulement vivre de sa passion, mais également la communiquer.  

    «Redonner vie à de la mécanique comme ça, c’est une tâche qui me paraît noble» explique t’il et c’est ce qu’il propose de faire avec la Grange ariégeoise : d’accompagner les personnes dans ce genre de démarche pour faire revivre leur voiture.

    Si vous avez une vielle voiture ou moto qui dort au fond d’un garage, si vous avez en tête l’achat d’une voiture de collection, et si vous vous ne vous y connaissez pas, Jean-MArc Poulain est l’homme de la situation. 

    Pour contacter la Grange ariégeoise : 

    lagrangeariegeoise.com

    www.facebook.com

  • Saverdun, l’opération « Récup’Vélos en Liberté » récompensé par un Territoria d’Or !

    Saverdun, l’opération « Récup’Vélos en Liberté » récompensé par un Territoria d’Or !

    Qui a dit que Saverdun avait des petits vélos dans la tête ?

    En juin 2017, la mairie de Saverdun avait décidé de récupérer des vélos à la déchetterie, de les réparer, de les customiser   aux couleurs de la ville (rouge et jaune) puis de les remettre en liberté dans la ville ! Gratuitement et sans durée, pour un usage partagé ! Ce sont les employés communaux, à temps perdu, qui remettent ces machines en état de marche.

    Le maire, Philippe Calléja, mise sur la citoyenneté des habitants pour pérenniser le service, une démarche écologique, durable et citoyenne.

    Cette opération fait partie de la quinzaine d’actions de gestion durable et éco responsable engagées par la commune.

    Réuni le 19 octobre sous la présidence de Jacques Mézard, ministre de la Cohésion des territoires, le Jury du Prix TERRITORIA a sélectionné les initiatives lauréates 2017 au regard de trois critères : innovation, aptitude à être repris par d’autres collectivités,  bonne utilisation des deniers publics.38 dossiers (présentés par 31 collectivités) ont été récompensés par le jury qui leur a attribué  : 22 TERRITORIA d’OR, 6 TERRITORIA d’Argent et 10 TERRITORIA de Bronze

    Le Jury a décidé de récompenser « Récup’Vélos en Liberté » et de lui attribuer un Territoria d’Or !

    La remise du Prix aura lieu le mardi 14 novembre prochain dans les salons de la Présidence du Sénat.

    L’Observatoire National de l’Innovation Publique, organise depuis 1986 le Prix TERRITORIA pour valoriser les innovations de terrain des collectivités territoriales.
    Les quelques 600 initiatives récompensées par le Prix TERRITORIA peuvent être consultées sur le site www.territoria.asso.fr.

     

  • Verniolle, et si vous vous essayiez à l’impro !

    Verniolle, et si vous vous essayiez à l’impro !

    Improviser… Cela tout le monde sait le faire !!!… Mais improviser pour l’Impro’, sortir de sa poche des mots, des gestes, qui par effet scénique, racontent une histoire ?…

    Imaginez-vous !?!… Nous sommes ‘entre-nous’, dans une vraie salle de spectacle, avec de vraies chaises, les acteurs et les spectateurs sont les mêmes, toujours nous, mais pas au même moment.

    Se donner la réplique, la reprendre, s’amuser de verbes «surprise» qui nous viennent à l’esprit, assemblés de concert mais sans concertation, avec pour unique musique un thème donné, que l’on interprète à notre façon, parce que c’est nous, parce qu’ici on ne souffle pas notre souffle, sauf à se souffler de tant de talents insoupçonnés.

    Des rires faciles, des larmes difficiles, ici tout s’oublie, ou plutôt tout se recycle comme dans la vie. Nous étions ce que nous avons déjà vécu, nous sommes ce que nous percevons, venez et vous serez ce dont vous rêvez. Et ça, c’est l’Impro de poche à Verniolle !

    Atelier les mercredis hors vacances scolaires, de 15h00 à 17h00 en la salle de spectacle du Relais de Poche, 2 rue de la république, 09340 Verniolle

    Venez apprendre et jouer, progresser et évoluer. 

    Premier essai libre et gratuit, adhésion de 10€ à l’association ‘les Amis de Poche’, puis 5€ la séance de 2 heures.

    A partir de 8 ans, à compter du mercredi 8 novembre 2017

    Contact : Jean-Michel LARROQUE : 06 71 87 61 09     –     jeanmichel.larroque@live.fr

  • Environnement : Des bacs individuels pour le Pays d’Olmes

    Environnement : Des bacs individuels pour le Pays d’Olmes

    Le Smectom du Plantaurel va prochainement équiper 12 communes du Pays d’Olmes en bacs individuels à déchets ménagers résiduels. Les communes concernées sont : Bélesta, Bénaix, Fougax et Barrineuf, Dreuilhe, L’Aiguillon, Lavelanet, Lesparrou, Montferrier, Péreille, Saint-Jean-d’Aigues-Vives, Tabre et Villeneuve-d’Olmes.

    L’objectif de cette démarche est multiple. Selon Laurent Carrère, vice-président du Smectom « il s’agit d’un changement important, dans les habitudes des habitant·es, mais il est nécessaire. Les bacs collectifs sont une des causes de l’insalubrité publique, ils favorisent les dépôts sauvages et les incivilités. L’installation de bacs individuels, sur la commune de Laroque-d’Olmes par exemple, a permis de démontrer que les usager·es équipé·es trient mieux leurs déchets et sont plus responsables. »

    Pour cette opération, le Smectom du Plantaurel organise un « point d’accueil et de retrait » des bacs. Une équipe composée d’agents de collecte, de l’ambassadeur du tri et du maître composteur accueillera les habitant·es des communes concernées à l’hôtel d’entreprise La Coume à Lavelanet. L’accueil se déroulera pendant une semaine, du lundi 13 au samedi 18 novembre, de 9h à 18h et les samedis 25 novembre et 2 décembre.
    « Pour la remise de ces bacs, nous avons privilégié le contact humain. L’organisation de cette permanence Smectom au Pays d’Olmes est l’occasion pour notre collectivité de partager des éco-gestes avec les usager·es et de répondre à toutes leurs questions concernant la gestion quotidienne des déchets » complète Laurent Carrère. Notez qu’un bac individuel contient dans le coffre d’une voiture.

    Le Smectom du Plantaurel souhaite à terme équiper l’ensemble de son territoire avec ce dispositif. Ce lissage est complexe car chaque commune est unique et les modalités de collecte doivent s’adapter à tous les cas.
    « Des études sont systématiquement menées en amont de chaque opération et permettent d’obtenir un relevé précis du terrain. On peut dire que le Smectom fait du cas par cas» précise Florence Rouch, présidente du Smectom.

    Il faut savoir que le syndicat mixte a des objectifs de réduction des déchets ultimes très ambitieux. La loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte de 2015 impose une réduction de 30 % des tonnages envoyés sur le site d’enfouissement de Berbiac. Le tri des déchets, la rationalisation des collectes et la participation des usager·es sont donc essentiels pour y parvenir.

    « Je tiens à rappeler que le tri des déchets ne se limite pas au tri des emballages (sac jaune). La déchèterie de Villeneuve-d’Olmes est à votre disposition pour accueillir tous vos déchets recyclables ou qui nécessitent un traitement spécifique. Les agents du Smectom du Plantaurel sauront vous renseigner et vous guider, n’hésitez pas à faire appel à elles ou eux » conclu Florence Rouch.

  • Montréal-de-Sos : les fouilles de Florence Guillot arrêtées ?

    Montréal-de-Sos : les fouilles de Florence Guillot arrêtées ?

    Pour une fois ce n’est pas paru dans la presse, mais l’histoire se passerait en coulisse et l’info aurait été diffusée lors d’une conférence de synthèse sur les fouilles sur Auzat le 26 octobre dernier . On apprenait que les fouilles allait s’arrêter et qu’en conséquence Florence Guillot allait être remerciée …

    Des courriers ont été adressés au président de la communauté de commune pour lui demander d’envisager une continuité dans ce travail…important pour l’histoire de l’Ariège et des Hautes vallées..

    L’encre de CIRE n’a fait qu’un tour et il nous propose ce dessin en guise de soutien.

    si vous aussi vous souhaitez agir vous pouvez écrire au président Alain NAudy :

    Monsieur Alain NAUDY – Président de la Communauté de Communes de la Haute-Ariège – 13 RN 20 – 09250 Luzenac

    Extraits de courrier adressés à Monsieur Alain Naudy

    « A l’occasion d’une conférence à la Maison des Patrimoines d’Auzat le 26 octobre dernier, il a été annoncé qu’il n’était pas prévu que soient menées à bien de nouvelles recherches concernant un village mérovingien/carolingien sur le site de Montréal de Sos. Je suis particulièrement surpris de cette décision d’autant plus que l’investissement financier est faible par rapport au bénéfice que pourrait apporter cette campagne de fouilles à la connaissance scientifique et historique sur un sujet où les connaissances sont faibles voire inexistantes sur l’ensemble du massif pyrénéen. »

    « Au-delà de l’intérêt personnel que chacun peut avoir vis à vis de l’histoire et de l’archéologie et des apports purement scientifiques qui peuvent sembler à certains nuls car réservés à une élite et sans retour visible pour le département. Il est, je crois, évident de voir l’intérêt direct, de la richesse et la plus-value que cela apporte à un territoire.
    Cela réhabilite et valorise des sites qui deviennent en conséquence d’un intérêt touristique majeur (il suffit de voir l’étude de fréquentation de Montréal de sos).

    Cela apporte du sens à un territoire et de la « matière » pour ses habitants, ses structures (collectivités locales, offices et agence touristique, Parc Régional), ses enseignants, ses conteurs et l’ensemble de ses visiteurs.

    Cela apporte de la reconnaissance en termes de patrimoine à notre département en interne et aussi comparativement avec d’autres en France.

    La richesse d’un territoire dépend de ses atouts naturels, de leur diversité et nous n’en manquons pas par chance, mais elle dépend aussi de ce que nous en faisons, de leur valorisation…

    Par sa formation scientifique de très haut niveau, sa polyvalence, son dynamisme, Florence est un atout majeur pour l’Ariège, ses apports sont de tout premier ordre et participent à notre richesse. S’en priver serait à mon sens une grosse erreur et bien dommage car, même si personne n’est irremplaçable, ce qu’elle apporte est rare et précieux.

    Je ne doute pas de votre volonté d’apporter le meilleur en Haute Ariège et de votre souhait de développer ce territoire dans toute la diversité de ses richesses.
    C’est pourquoi je sais que vous aurez à cœur de porter ce message et de défendre celles et ceux qui portent l’Ariège vers le haut. »

     

     

  • Le Département éteint les lumières du château de Foix pour mieux les rallumer en décembre

    Le Département éteint les lumières du château de Foix pour mieux les rallumer en décembre

    A compter de ce lundi 6 novembre, le Château de Foix ne s’illuminera plus le soir venu. Jusqu’au vendredi 8 décembre, le Conseil Départemental de l’Ariège engage un important chantier de renouvellement de l’ensemble du dispositif d’éclairage de l’ancienne résidence des Comtes de Foix.

    Les opérations prévoient le remplacement du système actuel par des projecteurs LED qui présentent le double avantage de réduire la consommation d’énergie (jusqu’à 62 %) mais également de disposer de matériels adaptés aux besoins de valorisation du site. Ainsi, les remparts, les tours et les falaises pourront être illuminées de nouvelles couleurs ou bénéficier d’animations plus dynamiques.

    Le chantier sera également mené dans le but de réutiliser au maximum les câbles et chemins de câble existants afin de limiter les travaux et surtout l’impact sur le site.

    Le coût de cette opération s’élève à 218 000 €.

    A noter qu’une seconde tranche de travaux est envisagée portant sur l’installation d’un éclairage complémentaire au niveau des trois tours. Une étude est actuellement menée en ce sens.

    Par cette opération, le Département entend poursuivre son action de valorisation du patrimoine ariégeois, et tout particulièrement de la forteresse fuxéenne alors que s’achèveront prochainement les études préalables au chantier de réhabilitation du Palais des Gouverneurs, future porte d’entrée du château.

    Crédit Photo : Dominique Viet CRT Midi-Pyrénées

    Source : CD09

  • Un nouveau livre pour Francis Aguila !

    Un nouveau livre pour Francis Aguila !

    Fils du passeur Juan AGUILA, Francis AGUILA est reconnu pour son engagement à mettre en lumière la mémoire des passeurs ariègeois. Renommé dans le Tarasconnais,  il est déjà  l’auteur sur le sujet  de deux ouvrages aux éditions le Pas d’oiseau « Les Cols de l’Espoir » paru en 2008 et « Passeurs d’hommes et Femmes de l’ombre » paru en 2011.

    Dans ce troisième volet, Francis AGUILA évoque la fuite des juifs à travers les Pyrénées pendant la seconde guerre mondiale 1939-1945. Fruit de nombreuses années de recherche, de ses propres travaux, de ses rencontres, des témoignages qu’il a pu recueillir, de ses lectures, de la consultation de travaux d’historiens, ce nouvel ouvrage est un hommage que l’auteur a souhaité rendre à Eléonore Hertzberger et Jeanne Rogalle. « En effet, sans elles et sans le soutien de M. André-Louis Sanguin de l’Université de Paris IV Sorbonne, cet ouvrage n’aurait pu être. » nous explique-t-il.

    « Monsieur AGUILA a voulu rendre hommage à toutes celles et ceux qui ont fait preuve d’héroïsme, de solidarité et de courage face à la barbarie nazie pour permettre à des femmes et des hommes de passer « A travers les mailles du filet » précise l’éditrice Florence Cortès des Publications Vox Scriba®.

    L’auteur et son éditrice présenteront le livre à l’occasion d’un cocktail dédicace le jeudi 9 novembre prochain de 18h à 20h à la salle de la Lyre derrière la mairie de Tarascon sur Ariège.

    « A travers les mailles du filet – La fuite des juifs à travers les Pyrénées pendant la Seconde Guerre mondiale » de Francis Aguila – 15 euros – en vente chez Vox Scriba® à Tarascon sur Ariège, dans toutes les bonnes librairies et sur le site internet www.voxscriba.com.