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  • Eau potable : 4,340 millions d’euros d’investissements pour sécuriser le réseau départemental

    Eau potable : 4,340 millions d’euros d’investissements pour sécuriser le réseau départemental

    Réunis en Commission Permanente, lundi 29 mai, les Conseillers Départementaux ont délibéré sur différents dossiers de subvention à des projets d’amélioration des réseaux d’assainissement et d’eau potable, portés par les collectivités et le SMDEA. Plus de 4,340 millions d’euros ont ainsi été accordés pour permettre la mise en oeuvre de ces chantiers qui portent notamment l’effort sur la réduction des fuites. 

    Depuis le décret d’application de la Loi Grenelle, publié en janvier 2012, la réduction des fuites sur les réseaux d’adduction d’eau potable a été érigée en priorité. Il s’agit à la fois de gérer la ressource en limitant les prélèvements aux besoins nécessaires, de réduire l’impact sur la facture des consommateurs, et d’optimiser les investissements de la collectivité. En Ariège, le réseau compte plus de 500 points de captage et 10 usines de production d’eau potable, pour un réseau de quelque 4.000 km de tuyaux ! 

    Au-delà des infrastructures, il importe au Département de se mobiliser aux côtés du Syndicat mixte départemental de l’Eau et de l’Assainissement sur la problématique de la qualité bactériologique de l’eau potable. Sur la période 2017-2019, 7,6 millions d’euros de travaux vont être engagés par le SMDEA, soutenu à hauteur de 1,1 M€ par le Conseil Départemental. 

    Par ces décisions, les Conseillers Départementaux confirment leur soutien aux actions du SMDEA et des collectivités locales en faveur de l’amélioration du cadre de vie, dans une démarche respectueuse de l’environnement. 

    Source : CD09

  • L’Ariège retenue dans un programme européen de transfert de connaissance pour les TPE-PME

    L’Ariège retenue dans un programme européen de transfert de connaissance pour les TPE-PME

    Ariège Expansion l’agence économique du département a été retenue dans le cadre d’un projet européen * dédié aux TPE et PME en partenariat avec plusieurs régions d’Europe. Le projet qui va durer plus de trois ans s’intitule TransferINN et cherche à recruter des entrepreneurs et créateurs d’entreprises.  Nous avons rencontré Didier Kuss le directeur de l’Agence en charge du projet qui nous explique en quelques mots l’intérêt de ce projet transfrontalier pour les entreprises ariégeoises.

    TransferINN  a pour objectif et objet la génération d’un écosystème d’innovation pour les TPE-PME et les entrepreneurs basé sur le transfert de connaissances

    L’objectif principal de TransferINN est de générer un écosystème d’innovation au bénéfice des TPE-PME et des entrepreneurs de la zone qui souhaitent innover mais qui ne le font pas par manque de temps ou de compétences. Concrètement, il s’agit:

    1. De faciliter le transfert de connaissances disponibles dans les universités et les centres de R&D vers (et entre) ces entreprises qui  souhaitent innover ou s’internationaliser.
    2. De mettre à  leur  disposition des personnes formées pour les aider à structurer leurs démarches  d’innovation et d’internationalisation.

    L’objectif de ce projet est de renforcer l’écosystème d’innovation dans le zone transfrontalière pour permettre le transfert de connaissances et de technologies disponibles dans les centres technologiques, les universités et les centres de formation professionnelle vers les PME-TPE et les entrepreneurs du territoire.

    Mettre en œuvre une dynamique d’ innovation constante au sein des TPE-PME et des entreprises en création du territoire.

    A qui s’adresse TransferINN ?

    Aux TPE-PME et aux entrepreneurs en phase de création qui souhaitent bénéficier d’une aide externe pour implanter des dynamiques d’innovation constantes, générer des projets d’innovation et établir des relations avec des centres de la connaissance ou de R&D du territoire pour améliorer leur compétitivité.

    Aux entrepreneurs en phase de création d’une nouvelle entreprise afin qu’ils puissent inclure dès le départ une démarche innovante et une dimension de développement à l’international dans leur projet.

    Aux centres technologiques, de recherche et de formation souhaitant partager leurs connaissances avec les TPE-PME et les entrepreneurs du territoire.

    Aux personnes qui souhaitent se former et accompagner les entreprises dans ces démarches d’innovation en tant que véritables Gestionnaires de l’Innovation et de l’Internationalisation (GIIS).

    Pourquoi adhérer à TransferINN ?

    Si je suis un dirigeant de PME :

    · Pour impulser une stratégie d’innovation dynamique et constante dans mon activité.
    · Pour développer des projets d’innovation que je n’ai pas le temps ou la compétence de développer au quotidien.
    · Pour m’appuyer sur un responsable d’innovation et internationalisation afin de m’aider à structurer mes projets potentiels ou dormants.
    · Pour nouer des relations avec des centres de la connaissance et de R&d du périmètre transfrontalier et d’autres entreprises du territoire afin de développer des projets d’innovation individuels ou collaboratifs ou transfrontaliers.

    Si je suis un créateur d’entreprise :

    · Pour recevoir une aide specialisée afin de pouvoir innover.
    · Pour incorporer une vision innovatrice dès la formation de ma société.
    · Pour participer à des « nœuds transfrontaliers» de partage ou de transfert de connaissances afin d’innovation .

    Si je souhaite devenir un GIIS (Gestionnaire de l’Innovation et Internationalisation):

    · Pour me former ou monter en compétence dans l’accompagnement à l’innovation.
    · Pour Travailler comme responsable d’innovation et internationalisation auprès de TPE/PME et d’entrepreneurs de la région.
    · Obtenir une expérience qui facilite l’entrée sur le marché de travail.

    Contact : Didier Kuss Ariège Expansion 05 61 69 00 09

    * Ce projet est cofinancé par le Fonds Européen de Développement Régional (FEDER)

  • Législatives 2017 : Florence Cortes déçue et amère

    Législatives 2017 : Florence Cortes déçue et amère

    Je suis bien évidemment déçue et amère quelque part ce matin. Déçue par mon résultat qui n’est nullement le reflet de mes engagements quotidiens pour l’environnement et la culture sur nos territoires et amère de voir le peu d’adhésion pour le projet politique du Bien Vivre qu’Europe Ecologie les Verts porte.

    Je remercie toutes celles et ceux, avec une pensée particulière pour mon remplaçant Philippe Miquel, qui n’ont pas ménagé leurs efforts pour ces élections et ont soutenu sous ma bannière EELV dans la mouvance Hamon-Jadot, un véritable projet écologiste, solidaire, démocratique et européen.

    Je fais confiance aux électeurs, que je remercie d’avoir voté EELV au premier tour, pour déterminer le meilleur choix pour le second tour et les invite à le faire en privilégiant les candidatures qui prendront des engagements clairs et précis en faveur de l’écologie, la transition écologique et solidaire, l’égalité des droits et permettront le pluralisme politique, qui est une nécessité démocratique en contribuant à la présence de député-es écologistes et de gauche à l’Assemblée nationale.

    LA DETTE ECOLOGIQUE QUE NOUS LAISSERONS A NOS ENFANTS NE SERA BIENTÔT PLUS REMBOURSABLE !

    Le travail de mobilisation, de réinvention et de dépassement des anciennes frontières partisanes pour construire une force nouvelle vraiment écolo, vraiment sociale, vraiment à gauche afin de faire face aux enjeux de la période cruciale pour les générations futures commence aujourd’hui.

    Il ne faut pas céder au découragement et à la déception. Dans les mois qui viennent, je continuerai à m’engager aux côtés de celles et ceux qui veulent agir pour changer la société et qui ont conscience que la dette écologique que nous laisserons à nos enfants ne sera bientôt plus remboursable.

    Florence Cortès

    Candidate Législatives 2017 Europe Ecologie Les Verts

    Circo 09-01

  • Georges Jolliot Batteur d’Armures, un artisan d’un autre temps

    Georges Jolliot Batteur d’Armures, un artisan d’un autre temps

    Armuriers au Moyen âge, batteurs d’armures aujourd’hui, Georges Jolliot fait perdurer un savoir-faire millénaire, à l’époque où les forgerons maitrisaient le fer à la seule force de leur main. 

    Dans le petit village de Montels, nous avons rencontré Georges Jolliot, Tailleur de pierre de formation, mais batteur d’armures par passion. Ils ne sont que 3 ou 4 en France et nous avons la chance d’en avoir un en Ariège.

    Georges est, à la base, artisan tailleur de pierres : «Tous les tailleurs de pierres ont un pied dans la forge, on forge nos propres outils, et j’avais ce vieux fantasme de l’armure» explique t’il. A la naissance de sa fille, il décide de rester à la maison quelques mois et commence à confectionner sa propre armure. Si le résultat est « plutôt risible » il y a quand un petit quelque chose et il confectionne une deuxième armure. De fil en aiguille et de bouche à oreille les commandes s’accumulent et Georges délaisse la taille de pierre pour se lancer dans le battage d’armures.

    Plus qu’un intérêt pour la période médiévale, c’est le coté technique qui le passionne «J’ai un goût pour la deuxième moitié du XVème siècle bourguignon en tant que reconstitueur, mais au point de vue armure, ce qui me plait, c’est la forme, le coté technique ; comment c’est fait, comment ça fonctionne…»

    Chaque projet proposé est fait à partir de documents historiquement « fiables », la plupart du temps à partir de pièces de musée, mais aussi d’iconographie – en complétant avec des pièces de musée – l’idée étant d’avoir quelque chose de crédible. 

    Toutes les pieces sont donc réalisées sans soudure et battues au marteau, certaines, comme les casques, sont realisées à chaud sur une forge à charbon. Tous les types de nervurations sont réalisés au marteau. La ligne de réalisation est une approche du travail medieval dans les limites du materiau,et des techniques de polissage.

    Les reconstitutions

    Quel est l’intérêt d’avoir ou de confectionner des armures si on ne peut pas s’en servir ? 

    Qu’elle soient publiques ou « off », 3 ou 4 fois par an, Georges participe avec des passionnés comme lui, a des reconstitutions médiévales. Le but est de reconstituer au plus proche la vie de cette époque. Il s’agit là de répliquer la vie d’un château avec la garnison, les femmes qui lavent le linge, la distribution des sols, de la messe…. et bien sûr quelque fois revivre une bataille célèbre.  

     

    www.facebook.com/georges.jolliot

     

     

  • Législatives 2017, l’Ariège insoumise en marche

    Législatives 2017, l’Ariège insoumise en marche

    C’est avec ce titre un peu évocateur que se termine le premier tour des élections législatives en Ariège. En effet, l’onde de choc est passée et alors que bon nombre d’ariégeois ont préféré sous ces fortes chaleurs du 11 juin se rafraîchir les idées en montagne ou au bord de l’eau et ne sont pas allé voter, les autres ont décidé d’éliminer le PS du deuxième tour et de mettre soit la « France Insoumise » ou « la République en Marche » au deuxième tour.

    Il faisait chaud sur les rives du Lac de Montbel hier dimanche toute la journée, et les plages étaient bondées. Pourtant dans les bureaux de vote des centres villes du département, les ariégeois auraient pu aussi venir chercher de la fraîcheur, mais il n’en a rien été : à 12 heures, le taux de participation au 1er tour des élections législatives du 11 juin 2017 était de 23,31%, à 17h00 de 45,59% et pour finir un taux proche de 50% en fin de journée à la fermeture des bureaux.

    Cette fois, les ariégeois sont allé à la pêche ! Mais pas tous, et ceux qui ont voulu donner leurs voix et croire encore qu’avec un bulletin il est possible de changer les choses, ont créé un cataclysme que l’Ariège n’avait pas connu depuis près de 90 ans : le PS est éliminé sur les deux circonscriptions dès le premier tour et seul les candidats de la France Insoumise et de la République en Marche se retrouvent aux deuxième tour !

    Un coup de vieux !

    Du coup, comme partout en France, nombre de politiques ont pris un coup de vieux en Ariège, avec un rajeunissement et un renouvellement des présents du second tour qui pose question.

    Alors l’Ariège a voté « Insoumis » car l’Ariège a toujours été un peu « contre » le pouvoir, à défendre ses intérêts et ne pas suivre « Paris » aveuglément. Cette terre a toujours un côté rebelle et si elle met la France Insoumise au second tour cela ne nous étonne pas. 

    Mais l’Ariège et les ariégeois ont aussi le bon sens pratique des montagnards et chacun sait (voir le dossier du contournement d’Ax-les-Thermes) que lorsqu’on est proche du pouvoir et de son côté, les « dossiers » avancent plus vite. L’Ariégeois sait donc que son intérêt n’est pas forcement de s’afficher comme un terre à contre courant de la « macromania » ambiante, en tout cas c’est le calcul ou les convictions de chacun.

    C’est donc au second tour que nous verrons si l’Ariège est finalement rebelle ou « alignée » !

    Félicitations donc aux candidats « en marche » ou « insoumis » qui vont prochainement porter les couleurs de l’Ariège à Paris..quelque soit le score, les ariégeois seront leur rappeler que l’Ariège a besoin de solidarité de la part de Paris et que des dossiers sont encore en instance et qu’il faudra les traiter.

    Sources : données de la préfecture de l’Ariège 

     

     

  • Col d’Agnes : La route départementale est dégagée mais pas encore rouverte à la circulation

    Col d’Agnes : La route départementale est dégagée mais pas encore rouverte à la circulation

    La route du col d’Agnes est dégagée mais ne peut cependant être rouverte à la circulation du fait des nombreux dégâts constatés sur la chaussée comme sur les ouvrages d’art contigus. Seule la portion comprise entre Aulus-les-Bains et le lieu-dit Coumebière est accessible aux usagers.

    Les opérations de déblaiement, engagées dès mardi par le Conseil Départemental suite aux importants éboulements du week-end dernier, ont mobilisé les agents de la Direction des Routes Départementales ainsi que les équipes des entreprises Malet et Jules Dhers. La RD 8f avait en effet été coupée en plusieurs endroits, quelques kilomètres à peine après le village d’Aulus, en direction du sommet du col.

    Le cabinet Géotec est également à pied d’œuvre dans la phase d’étude, en complément des inspections menées par le service RTM (Restauration Terrain de Montagne). Géotec réalisera ainsi de nouveaux sondages lundi 12 juin pour affiner ses analyses et anticiper les chantiers de réparation à venir

    Après balayage, un relevé de l’ensemble des secteurs a par exemple été réalisé ce vendredi matin. Au total, la chaussée nécessitera une réfection complète sur 780 mètres.

    Voie touristique très fréquentée mais également lien entre les vallées pour les habitants du Haut Couserans, la route du col d’Agnes doit également accueillir le passage du Tour de France le 14 juillet prochain.

    Le Conseil Départemental de l’Ariège remercie les usagers pour leur compréhension et les incite à la prudence lors de leur passage à proximité des chantiers. Il leur rappelle en outre qu’ils peuvent préparer leurs trajets en se connectant sur le site www.inforoute09.fr. Cette application est accessible depuis les smartphones à l’adresse suivante : m.inforoute09.fr. Un serveur vocal d’information est disponible au 05.61.02.75.75.

  • Georgette d’or 2017 sous les couverts de Mirepoix

    Georgette d’or 2017 sous les couverts de Mirepoix

    Afin de redonner un second souffle à l’opération la Georgette d’Or, Philippe Huertas,le nouveau président  du syndicat hôtelier de l’Ariège UMIH et son bureau, ont lancé cette année une nouvelle formule.

    Il a ainsi été décidé que  les 170 adhérents du syndicat qui le souhaitaient pouvaient participer à cette sixième édition, ouverte gratuitement à toutes les catégories professionnelles; cafetiers, restaurateurs, hôteliers et discothécaires.

    Et du 9 mai au 9 juin, un jury désigné dans chacun des quatre pays d’Ariège a évalué chaque établissement selon une grille de critères prédéfinie : qualité de l’accueil et du service, mise en avant des produits locaux, présentation des atouts touristiques du département…

    La soirée de gala pour la remise des prix, animée par le Yukon Orchestra, et dont le parrain sera Yves Thuriè pâtissier-confiseur-chocolatier « Meilleur ouvrier de France », se déroulera le lundi 19 juin à partir de 18h sous les couverts de Mirepoix, ouverte à tous.

    Réservations au 05 61 02 03 27

  • Erasmus+ à la cité scolaire de Mirepoix : un échange culturel et linguistique d’une grande richesse

    Erasmus+ à la cité scolaire de Mirepoix : un échange culturel et linguistique d’une grande richesse

    Mardi 30 mai, à la cité scolaire de Mirepoix, avait lieu le rendu du projet Erasmus + «Au fil de nos cours d’eau», un projet européen mené depuis trois ans par les secondes, assistées des première et terminale STI2D et sept de leurs professeurs.

    «Le projet est né d’une amitié franco-espagnole» explique Carole Lafont professeur d’espagnol et coordonatrice du projet, «nous faisons des échanges depuis plusieurs années et en 2014 nous avons décidé de monter un projet européen.»

    C’est par le biais de « eTwinning », une plate-forme représentant la communauté des établissements scolaires d’Europe, que Carole et ses collègues contactent des enseignants et leur propose la thématique de l’eau. Six pays ont répondu présent et ont travaillé sur le projet : Lituanie, Pays bas, Roumanie, Hongrie, Grèce et Espagne.

    En septembre 2014, tous les enseignants ce sont rencontrés à Mirepoix et, durant ces trois ans, chaque année, quatre élèves de seconde partaient en mobilité dans un des pays. 

    Ce ne sont pas moins de 18 activités qui étaient proposées sur le thème de l’eau et réparties selon les pays, parmi lesquelles  : L’étude des berges et de l’écosystème du cours d’eau, la création d’un jeu de société, l’étude des récits liés au fleuve, la création et la gestion d’un blog collaboratif, d’un spot publicitaire, d’une chanson comportant des couplets dans chaque langue nationale, la création d’un album photographique et d’un recueil de textes littéraires existant dans la culture de chaque pays…

    Ces actions ont été menées en partenariat avec des associations et entreprises locales comme le magasin Pile ou Face de Mirepoix pour le jeu de société ou encore l’association MAMET (Mirepoix Animation Mémoires et Tradition) pour les costumes du Spot.

    Après avoir présenté le rendu au parlement européen le 13 mai dernier, c’est donc à Mirepoix, devant les parents et des représentants de l’éducation nationale, que les élèves ont raconté leurs aventures.

    «On travaille mais en même temps c’est plus ludique. On apprend de nouvelles choses que les autres n’ont pas eu la chance d’apprendre» explique  Amandine élèves en 2nd cette année, quand à Alix, c’est la diversité des activités qu’elle a aimé. Toutes deux s’accordent à dire que la rencontre avec l’autre, la découverte des autres cultures étaient passionnantes.

    «Ce que j’aime dans ce genre d »initiative, c’est travailler avec des collègues sur des matières différentes, créer une dynamique que l’on ne peut pas avoir en travaillant seule dans son coin.» explique Anne Senizergue la professeur de français.

    «Le projet se termine et on se sent un peu orphelin, mais on va peut être se lancer sur autre chose, probablement un projet avec les Pays bas et l’Espagne» conclut Carole.

    Ont participé au projet : Aurélie Godey professeur d’anglais, Sylvie Wesolowski  professeur de géographie, Sophie Mandrou professeur de SVT, Cathy Pujol professeur de math, Dominique Paxion professeur de SES, Anne Senizergue professeur de français, Claudy Falga documentaliste et Carole Lafont professeur d’espagnol.

     
     Erasmus+ est le nouveau programme européen pour l’éducation et la formation.
    Cette nouvelle formule renforcée s’adresse à tous, tout au long de la vie. C’est maintenant plus simple : tous les anciens programmes européens sont regroupés.
    Erasmus+ c’est 15 milliards de budget en Europe juqu’en 2020, pour la France c’est 1 milliards d’euros de crédit d’intervention (soit +84%).
    Erasmus+ s’adresse non seulement aux étudiants mais aussi aux apprentis, aux enseignants, aux formateurs et au personnel administratif. Bref, Erasmus+ c’est toujours aussi bien et ça va plus loin, vers l’Europe et au-delà..

     

  • Michel Larive se présente aux législatives sous la bannière des « insoumis »

    Michel Larive se présente aux législatives sous la bannière des « insoumis »

    Michel LARIVE candidat aux législatives 2017 sur la deuxième circonscription nous présente les ambitions du mouvement « La France Insoumise » dans le cadre des prochaines élections : l’écologie, l’Europe, les services publics, …autant de sujet qui seront traités dans cet interview de 15 minutes.

  • Quand Lavelanet accueille une étape du Handitour

    Quand Lavelanet accueille une étape du Handitour

    L’aventure de l’Handitour 2017  a le commencé 30 mai et s’achève ce vendredi 2 juin.  Avec un départ de Saverdun,le peloton a d’abord traversé Pamiers, Vernajoul, Foix, Montgailhard, Roquefixade, Villeneuve d’Olmes, avant l’arrivée mercredi soir à Lavelanet où ils ont passé la nuit.

    «Une aventure physique et humaine»

    Faire tomber les barrières, favoriser le contact entre les plus jeunes et les personnes handicapées, autant d’objectifs fixés par l’Association des Paralysés de France, Pourquoi Pas Moi Déficients visuels ?, Envol et Le Comité Départemental Handisport Ariège organisateurs de la manifestation.

    Ce projet, né en Ariège en 2012 a déjà permis de sensibiliser des milliers d’élèves à la problématique du handicap. En handbike, en vélo ou en tandem,  une cinquantaine de personnes – un groupe mixte – présentant un handicap ou valides ont dévalé les petites routes de notre territoire. Soutenu par « de fidèles accompagnateurs » (comme ce groupe de jeunes de l’EREA – Pamiers qui les accompagne depuis 3 ans),  le peloton aura à l’arrivée effectué 170kms pour 1700m de dénivelé.

    Yannick d’Envol, Franck et Michel pour l’APF, Lauriane d’Handisport et Chantal pour l’association Pourquoi pas Moi ? glissent : « il est question ici d’une aventure humaine, non d’une course. » Entraide, solidarité sont les maîtres mots de l’Handitour. 

    Sans tabou ni censure.

    Outre le volet sportif, l’idée est d’aller à la rencontre d’enfants et d’adolescents des écoles, des collèges. « Nous voulons  faire tomber les tabous, les barrières et les préjugés. Favoriser les contacts entre les plus jeunes et les personnes handicapées et faire comprendre que la vie ne s’arrête pas quand elle rencontre le handicap» indique Franck Defarge, coordinateur de l’opération pour l’association des paralysés de France.

    «C’est aussi une grosse organisation, ajoute t’il ce n’est pas toujours évident de trouver des établissements mis aux normes d’accessibilité, mais ça avance et ça nous permet, au ravers cette aventure humaine de parler un peu de ces problématiques»   

    À Lavelanet, les sportifs ont été accueillis par Raymond Lorca adjoint en charge du handicap et André Cassan en charge du sport. Pour Raymond, le peloton « est une famille. Des personnes » que l’élu aime de tout son cœur. «Même si je ne suis plus en fauteuil » poursuit-il, « nous faisons partie de la même famille.  ». Une famille ouverte sur les autres, sur la compréhension et qui place l’amitié au cœur de cette belle aventure. Raymond Lorca concluant : « je pense que toutes ces actions apporteront dans le futur une autre vision des personnes handicapées et que bien des barrières tomberont, ainsi que bien des préjugés. Favoriser le contact entre les plus jeunes et les personnes handicapées est de notre responsabilité ; merci aux bénévoles qui nous accompagnent et aux associations organisatrices ». 

    Ce mercredi soir, après un repas offert par la Communauté de communes du Pays d’Olmes, tous se sont reposés  au centre multisports transformé en dortoir. Jeudi matin, pendant qu’un groupe se rendait à l’école Lamartine, le peloton, accompagné d’une quinzaine d’élèves, de la troisième à la sixième du collège Pasteur est parti pour la troisième étape, vers Léran après une halte à l’école de La Bastide-sur-l’Hers. À midi, après un repas pris à l’IME de Léran, le peloton repartait vers Mirepoix, terme de la troisième étape, avant le grand final ; Lieurac, Roquefort les Cascades pour l’arrivée prévue au Capitany à Foix vendredi soir.

  • 185 cycles ont ouvert la route aux coureurs du Tour de France

    185 cycles ont ouvert la route aux coureurs du Tour de France

    Samedi 3 juin, 185 cyclos ont ouvert la route aux coureurs professionnels du Tour de France à l’occasion de l’opération « L’Ariège fête le Vélo », au départ de Saint-Girons.

    Sous une pluie quasiment discontinue et un épais brouillard au sommet du Mur de Péguère, les amateurs ont fait honneur à leur passion en enchaînant avec envie les cols de Latrape et de Péguère avant la longue descente vers Foix.

    Rappelons qu’ils n’ont pu affronter l’ascension du col d’Agnes suite aux éboulements survenus dans la soirée de vendredi dernier, quelques kilomètres à peine après le village d’Aulus les Bains.

    Organisée par le Conseil Départemental de l’Ariège et l’Agence de Développement Touristique de l’Ariège, l’événement « L’Ariège fête le Vélo » participe à la montée en puissance du département dans la perspective du rendez-vous du 14 juillet et de l’étape « 100 % Ariège » tracée entre Saint-Girons et Foix. Le compte à rebours continue…

    Source : CD09

  • Rugby, Bélesta Il y a 60 ans… le titre !

    Rugby, Bélesta Il y a 60 ans… le titre !

     1957-2017….60 ans ont passés mais le souvenir persiste au sein de la population Cabos fortement attaché au rugby et au souvenir de l’Amicale Sportive de Bélesta.

    Aujourd’hui l’entité est couplée à l’Etoile Sportive de Laroque d’Olmes organisée en « entente » et convaincue que le ballon ovale restera présent dans nos vallées pyrénéennes qu’a travers une mutualisation consentie , conviviale et active.

    C’est le cas et après le titre suprême régional il y a deux ans  l’ESLB entame sa deuxième saison en fédérale 3, nationale devenant de fait le club N°3 du département.

    Des « anciens » de retour au « paîs » après une carrière professionnelle à Paris se sont investis et forts d’expériences diverses et variées tentent de dynamiser et moderniser un club qui cette saison encore va proposer des affiches et un programme d’exception.

    D’autres à Toulouse, Amiens, Bordeaux ou Narbonne activent des leviers et stimulent leur carnet d’adresse pour apporter à l’ESLB matériel, jeux de maillot et autres matériels.

    C’est l’union sacrée arque boutée pour faire perdurer 115 ans de présence du rugby, devoir d’histoire locale, acte patrimonial , souvenir et respect des forwards qui ont mouillé à Bélesta le maillot « vert et blanc » et à Laroque celui « rouge et jaune », nostalgie et souvenirs d’enfance.

    Aujourd’hui « chapeau-bas » aux champions 1956-1957 (série 4). … c’était il y a 60 ans, face à Négrepelisse sur le terrain d’Auterive. Souvenirs émus ! (similitude historique de fait et signe d’histoire Laroque d’Olmes la même saison était titrée dans la série 3)

    « En avant les verts et blancs » ! et merci encore…

    Sur la photo  de gauche à droite debout (photo tirées dans la cour de récréation des anciennes écoles)

    Noël Naudi maire , cheville ouvrière du club, Moréno dit Simounet, Caux, Roches, Sibra, Gallard, Lagarde, Boulbes, Naudi, Boulbes, Moulis, instituteur et secrétaire.

    Bas : Naudi, Carbou, Gallard, Colera, Gonzalez, Arnaud, Torres, Robert Naudi, qui fut joueur, dirigeant, entraineur et Président du Conseil Général de l’Ariège