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  • Mars bleu : sur tous les fronts contre le cancer colorectal

    Mars bleu : sur tous les fronts contre le cancer colorectal

    Comme chaque année en mars, à l’occasion du mois de mobilisation contre le cancer colorectal, l’Institut national du cancer, en partenariat avec le Ministère en charge de la santé et les caisses d’assurance maladie (CNAMTS, MSA et RSI), déploie une nouvelle campagne d’information dans les medias.

    La communication diffusée ces 2 dernières années, autour de la mise en place d’un nouveau test de dépistage plus performant et plus simple d’utilisation, a permis de mobiliser une partie de la population cible. Toutefois, les résultats d’une étude qualitative réalisée en septembre 2016, montrent qu’une autre partie n’identifie pas encore ce dépistage comme une priorité de santé. Ce cancer et son dépistage souffrent d’un déficit de prise de conscience et de présence à l’esprit, ce qui entraine une minimisation de l’enjeu et un manque d’implication. Il apparaît donc nécessaire, dans cette nouvelle prise de parole nationale, de motiver la réalisation du test en rappelant les risques liés à ce cancer et le bénéfice du dépistage.

     

     

    En termes de cible :

    • la campagne s’adresse à l’ensemble des femmes et des hommes de 50 à 74 ans. Elle apporte néanmoins une attention particulière aux publics indécis et/ou négligents et aux 50 – 60 ans, tranche d’âge participant le moins au dépistage.
    • Par ailleurs, les médecins généralistes continueront à être sensibilisés aux niveaux de risque et à l’importance de parler de ce dépistage avec leur patient lors des consultations.

    Le dispositif d’information s’articule autour d’un plan media en télévision, presse et web, et d’un programme de relations presse. De nouveaux outils seront également proposés pour les publics plus éloignés du système de santé.

    Mars bleu en Ariège

    – Diffusion des outils de communication de l’INCA auprès des cabinets de médecine générale, de radiologie, de gastroentérologie, des hôpitaux, des maisons de santé pluriprofessionnelles.

    – Pendant tout le mois de mars, décoration thématique des 5 accueils de la CPAM de l’Ariège: ballons bleus, foulards bleus portés par les agents d’accueil, affiches, mise à disposition des dépliants de l’institut national du cancer…

    – Le lundi 13 mars de 14h à 16h : animation par le GIP d’un stand « café bleu » à l’accueil de la CPAM de St Girons

    – Le lundi 20 mars de 14h à 16h, animation par le GIP d’un stand « café bleu » à l’accueil de la CPAM de Pamiers

    – Le mercredi 29 mars de 14h à 16h, animation par le GIP d’un stand « café bleu » à l’accueil provisoire de la CPAM de Foix

    – Tout au long du mois, diffusion du spot de l’institut national du cancer sur les radios locales : Pyrénées FM, Transparence, Oxygène FM et Radio Couserans (21-31 mars).

    – Du 1er au 31 mars : campagne de publicité sur facebook. Ciblage démographique: les personnes de 40 à 70 ans de l’Ariège. Objectif : augmenter les « j’aime » sur la page facebook du GIP.

    – Un encart dans le mensuel « la bougeotte

    – Un publi reportage dans la gazette ariégeoise

    Modalités d’entrée dans le dépistage

    La personne reçoit une invitation du GIP, l’engageant à retirer un test de dépistage auprès de son médecin traitant Ce dernier mène alors un interrogatoire médical pour vérifier si le test est approprié à la situation de son patient. Si ce dernier est éligible, son médecin lui remet un test immunologique (test OC-sensor). Ce test consiste à un auto-prélèvement unique de selles qui se réalise à domicile. Une fois le prélèvement effectué, le tube est à insérer dans une enveloppe préaffranchie et adressée au centre de lecture, accompagnée de la fiche d’identification. Quelques jours plus tard, le laboratoire transmet les résultats du test à la personne, à son médecin traitant et au GIP.

    En cas de test négatif (96% des cas), la personne est invitée à renouveler ce dépistage deux ans plus tard. Elle est également sensibilisée aux signes d’alerte devant la conduire à consulter son médecin sans attendre le délai de deux ans.

    En cas de test positif, le médecin généraliste prescrit une coloscopie pour confirmer ou infirmer la présence d’anomalies dans le côlon ou le rectum et le GIP engage une procédure de suivi du patient.

    Effectuée par un gastroentérologue, pour les personnes ayant un résultat de test positif, la coloscopie constitue l’examen de référence pour mettre en évidence d’éventuelles anomalies du côlon ou du rectum. Dans près de la moitié des cas, la coloscopie ne détecte aucune anomalie. Dans environ 30 % des cas, elle détecte un polype ou adénome et dans 8 à 10 % des cas, un cancer. En 2011, les données de l’Assurance maladie indiquent qu’environ 70 000 coloscopies ont été réalisées dans le cadre du dépistage organisé, soit 5,5 % de l’ensemble des coloscopies réalisées en France.

    Outre les risques liés à l’anesthésie, le risque de complications graves suite à une coloscopie (dont perforations intestinales et hémorragies sévères) existe mais reste rare. Cet examen peut entraîner des complications modérées à sévères pour 1 à 4,5 ‰ des coloscopies, dont des hémorragies (pour 1 à 3 ‰ des actes) et des perforations intestinales (pour 0,5 à 1 ‰ des actes). Les décès consécutifs aux complications surviennent pour 1/18 000 à 1/10 000 coloscopies.

    Le 1er seuil de positivité du test (test quantitatif) a été fixé à 150 nano-grammes par ml par le comité stratégique des dépistages de cancers réuni le 3 décembre 2014, après avis d’un groupe d’experts réuni par l’INCa. Ce seuil correspond en théorie, et pour le test OC-sensor, à un taux de positivité de 4%. Un reporting par le prestataire des taux de positivité est prévu. Le seuil pourra peut être adapté en fonction des résultats des taux de positivité constatés.

    En cas de non-réponse au 1er courrier, la personne reçoit une seconde relance à 5 mois, puis une seconde à 10 mois. Cette dernière n’est plus accompagnée du test de dépistage

  • Ecrivain public, un métier rare et pas comme les autres

    Ecrivain public, un métier rare et pas comme les autres

    Ecrivain public, conseiller littéraire et éditeur, Florence Cortès aime à se qualifier de «Scribe des temps modernes». Du latin scriba, de scribere, écrire, il désignait dans l’Égypte antique un fonctionnaire lettré, éduqué dans l’art de l’écriture et de l’arithmétique.

    Chargée de communication de formation et auteur, Florence est persuadée que, «sans communication, l’homme n’est rien», c’est pourquoi elle a décidé d’aider les autres à communiquer par l’écrit en créant son cabinet Vox Scriba .

    Sa palette de prestation est large : élaboration ou mise en forme de lettres personnelles ou administratives, de curriculum vitæ, de récits de vie, de biographies, de témoignages, de discours, de lettres d’amour…. 

    Mais là ne s’arrête pas ses compétences, puisque Florence est également conseiller littéraire et éditeur. Que vous vouliez écrire votre manuscrit, que vous soyez en train de l’écrire ou que vous l’ayez terminé et que vous voulez l’éditer, elle peut vous accompagner dans cette belle aventure et ce, quel que soit votre niveau, en vous apportant une lecture critique et constructive, des corrections pertinentes, des suggestions pour retravailler votre texte, des conseils sur la structure de votre récit, son style, sa mise en page, sa cohérence dans la narration.

    Vox Scriba c’est aussi une maison d’édition

    Avec plus de 80 titres à son catalogue, Florence Cortès édite des auteurs locaux sans but commercial «l’édition ne me rapporte pas d’argent, quelque fois même j’en perds» avoue t’elle. «J’ai l’impression de servir une cause, la cause d’auteurs qui n’auraient pas été publiés ailleurs mais qui veulent partager leur passion»

    La voix du scribe

    Avec d’autres écrivains publics ariégeois, Elle a créé l’association «La voix du scribe».  Avec des ateliers, des stages, des permanences, des cours ou encore des formations et l’organisation de manifestations, l’association propose bénévolement du soutien aux personnes qui ne maîtrisent pas suffisamment l’écrit, aux personnes illettrées et aux personnes analphabètes. 

    Alors, si on demande à Florence si c’est une bonne situation scribe ? elle répondra oui sans aucun doute.

    www.voxscriba.com

     

  • 8 mars, une Journée internationale pour les droits des femmes

    8 mars, une Journée internationale pour les droits des femmes

    La Journée internationale pour les droits des femmes fait partie des 87 journées internationales reconnues ou initiées par l’ONU.

    Elle a été officialisée en 1977 et  trouve son origine dans les luttes des ouvrières et suffragettes du début du XXe siècle, pour de meilleures conditions de travail et le droit de vote.

    Cette journée est issue de l’histoire des luttes féministes menées sur les continents européen et américain. Le , une Journée nationale de la femme (National Woman’s Day) est célébrée aux États-Unisà l’appel du Parti socialiste d’Amérique.  Cette journée est ensuite célébrée le dernier dimanche de février jusqu’en 1913

    En 1910 à Copenhague, l’Internationale socialiste adopte l’idée d’une « Journée internationale des femmes » sur une proposition de Clara Zetkin (Parti social-démocrate d’Allemagne) et Alexandra Kollontaï (menchevik du Parti ouvrier social-démocrate de Russie, future Commissaire du Peuple), sans qu’une date ne soit avancée. Cette journée est approuvée à l’unanimité d’une conférence réunissant 100 femmes socialistes en provenance de 17 pays.

    La première Journée internationale des femmes est célébrée l’année suivante, le  et revendique le droit de vote pour les femmes, le droit au travail et la fin des discriminations au travail. Des rassemblements et manifestations ont dès lors lieu tous les ans.

    Les insurgées de l’époque sont des femmes ordinaires de toute origine et de toutes condition : ouvrières, mères de famille, femmes de soldats, françaises, russes, voyant leurs droits mais également leurs valeurs ignorés.

    Au cours de l’Année internationale de la femme en 1975, les Nations Unies ont commencé à célébrer la Journée internationale de la femme le 8 mars. En 1977, l’Assemblée générale des Nations Unies a adopté une résolution proclamant la Journée des Nations Unies pour le droit de la femme et la paix internationale, reconnaissant le rôle important de la femme dans les efforts de paix et dans le développement.

    Mais la journée internationale pour les droits des femmes c’est aussi l’occasion de dresser le bilan des progrès réalisés, d’appeler à des changements et de célébrer les actes de courage et de détermination accomplis par les femmes ordinaires qui ont joué un rôle extraordinaire dans l’histoire de leur pays et de leur communauté.

    Chaque année un thème différents est abordé, 2017 sera : « Les femmes dans un monde du travail en évolution : une planète 50 – 50 d’ici à 2030 »

    En Ariège 

    En Ariège, des marches exploratoires ont été organisées par les associations Regards de Femmes et Faire Face, avec des habitantes du quartier Foulon-Gloriette, qui ont permis d’établir un diagnostic, des constats et des préconisations de nature à améliorer la sécurité, la mobilité et la présence des femmes dans l’espace public de ces quartiers.

    A l’occasion de la journée internationale des femmes, la préfète de l’Ariège accueille ce 7 mars 2017, ces femmes d’Ariège qui marchent vers l’égalité, ainsi que l’ensemble des partenaires associés au projet, pour un retour d’expérience des actions menées dans notre département autour de ce dispositif.

    8 mars 2017 Azinat.com adopte la résolution de parler des femmes ariégeoises.

    Bien sûr on ne peut pas parler de toutes les femmes alors nous avons décidé de parler de celles classées dans notre Who’s who, il faut faire un choix. Mais on le sait il y en a beaucoup d’autres.

    Elles sont journaliste, historienne, femme politique, chef d’entreprise, artiste peintre photographe ou écrivain et elles sont au classement des 99 premiers « Ambassadeurs de l’Ariège sur le Net ». Alors qui sont ces femmes qui, par leur notoriété sur le web, font la promotion de l’Ariège. 

    Floriane Caux, photographe, qui caracole en tête du Who’s who depuis des mois. 

    Frédérique Massat, Députée et Présidente de la commission des affaires économiques de l’Assemblée Nationale.

    Perrine Laffont notre jeune «bosseuse» qui après un début de saison fort réussie, sera justement ce 8 mars aux Championnats du Monde en Sierra Nevada pour l’épreuve de parallèle.

    Annie Fachetti anciennement chargée de communication à Ariège Expansion, ce qui lui avait valu d’être , durant de nombreux mois à la première place de notre who’s who et qui est maintenant chargée de Mission chez MADEELI, l’agence régionale de développement export innovation.

    Anne Brenon, ariégeoise de coeur, historienne et auteur de nombreux ouvrages sur le catharisme. Elle aussi fut première de notre classement.

    Martine Crespo dont on ne présente plus les excellentes croustades.

    Claudine Palhiès, Directrice des Archives départementales de l’Ariège et chargée de cours à l’Université de Toulouse-Le-Mirail, qui nous avait gentiment reçu pour une visite passionnante des archives.

    Florence Guillot Directrice de la Maison des Patrimoines d’Auzat et Docteur en Histoire et Archéologue en charge des fouilles archéologique du château de Montréal de Sos.

    Mady de la Giraudière, notre grande artiste peintre dont vous pouvez voir les portraits  sur notre site.

    Denise Déjean, écrivain et conteuse ariégeoise.

     Françoise Pancaldi, Maire Adjointe à la Mairie de Pamiers et Déléguée à la Communauté de Communes du Pays de Pamiers. 

     Cécile Dupont, rédactrice en chef de la Gazette Ariégeoise

    Josette Elay qui a mis l’Ariège au centre de son roman « Secrets de granit ». 

    Mathilde Mignier, Couserannaise et championne de Savate Boxe française qui a décroché son deuxième titre de championne du monde de savate boxe française, en septembre 2016, en Croatie.

    Ce mercredi 8 mars 2017, nous rendons donc hommages à ces femmes et toutes les autres qui font de l’Ariège un département où la réussite n’est pas un vain mot.

     

  • Ariègez-vous : Retour sur 9 jours au Salon International de l’Agriculture de Paris

    Ariègez-vous : Retour sur 9 jours au Salon International de l’Agriculture de Paris

    Plus de 1 000 challenges à vélo remportés, 3 000 « Mammouths » dépensés, le département de l’Ariège a refermé samedi 5 mars son « ambassade du bon goût »,  après neuf jours au cœur du Parc des expositions de Versailles.

    Ces neuf jours de présence sur le Salon International de l’Agriculture 2017 ont permis au département de l’Ariège de montrer, pour la deuxième année consécutive, que ce territoire est un mélange équilibré d’attractivité, de gastronomie et de loisirs.

    Les chiffres clés des neuf jours de Salon pour le département

    –  17 producteurs présents sur le stand de 120m2

    –  3 animations fortes qui ont accueilli de nombreux visiteurs

    –  110 visiteurs par jour ont participé au challenge « l’Ariège aime le vélo », soit près de 1000 personnes au total !

    –  3 000 « Mammouths » dépensés sur l’espace ariégeois

    –  Plus de 2 000 visiteurs renseignés sur le point d’accueil touristique

    3 médailles – or, argent et bronze – pour Pascale et Bernard Jougla de la Maison Jougla à Saint-Lizier

    2 médailles – argent et bronze – pour la charcuterie André Cazaux à Lorp Sentaraille 

    Cette participation renouvelée au Salon International de l’Agriculture a été initiée par le Conseil Départemental de l’Ariège, en partenariat avec l’Agence de Développement Touristique Ariège-Pyrénées et la Chambre d’Agriculture de l’Ariège.

    Les objectifs de promotion du territoire, de développement en matière de soutien aux filières agricoles et donc à l’économie du territoire ont été remplis pour la seconde année consécutive…

    Rendez-vous en 2018 !

    Sources : agence « La cerise » Service de presse du Conseil Départemental de l’Ariège

    Crédit Photo : CD09

  • La Cité scolaire de Mirepoix sensibilise ses élèves à la protection de l’environnement

    La Cité scolaire de Mirepoix sensibilise ses élèves à la protection de l’environnement

    Enseignante d’histoire-géographie à la cité scolaire de Mirepoix, Sylvie Wesolowski anime depuis l’année scolaire 2011-2012 l’agenda 21 scolaire de l’établissement. 

    Le lundi 27 février Sylvie a organisé, avec une classe d’élèves de seconde, un nettoyage des abords du Countirou dans sa partie accessible de la Voie Verte à proximité de Super U. Une opération qu’elle a intitulé «nettoyage d’hiver».

    Professeur et élèves avaient travaillé, tout un semestre auparavant, en géographie et en aide personnalisée, sur le zéro déchet, le gaspillage alimentaire, l’impact des plastiques au niveau des océans. 

    En ce lundi ensoleillé, place donc aux travaux pratiques, le nettoyage du ruisseau. Durant tout l’après midi, munis de gants et de sacs jaunes et noirs les élèves ont récolté pas moins de 10 sacs poubelles de 30 litres principalement remplis de canettes et de bouteilles et dix sacs jaunes contenants beaucoup de bouteilles de sodas et de paquets chips ou de gâteaux. Dans les déchets «spéciaux» : des couches culottes de bébé usagées, deux chaises, une roue de voiture, et un moyeu de camion.

    L’objectif de cette collecte de déchets, outre de sensibiliser les adolescents à la réduction des déchets, est d’en faire un inventaire qualitatif et quantitatif. Ils seront comparés à ceux trouvés dans un cadran sur les plages d’îles isolées de Patagonie durant l’expédition Ultima Patagonia 7 afin de faire le lien entre ce qui est jeté à terre, et ce que l’on retrouve dans les laisses de mer. 

    Cet inventaire sera envoyé à la Surf Riders Fondation à Bayonne et à Mountain Riders.

    Le bilan de toutes ces opérations ; visio-conférence en direct de la Patagonie avec l’équipe de l’expédition du Centre Terre, le nettoyage et son bilan statistique, sera diffusé à la communauté scolaire sous forme de pdf via l’ENT et par envoie aux élèves et aux familles.  

     

  • Salon de l’agriculture : les élus suivent le slogan « Ariégez-vous » à la lettre !

    Salon de l’agriculture : les élus suivent le slogan « Ariégez-vous » à la lettre !

    Cette semaine, CIRE a bien noté que sur le stand de l’Ariège au salon de l’agriculture les élus pratiquaient avec application le slogan « Ariégez-vous ».

    Nous avons vu en effet, Henri Nayrou, Carole Delga dotée de leur béret traditionnel pyrénéen, une course de côte à vélo !

    CIRE en profite pour croquer notre élue régionale en selle sur le stand du département !

     

  • De la ferme à la table : nouvelle édition du Guide des Producteurs en Pyrénées Cathares

    De la ferme à la table : nouvelle édition du Guide des Producteurs en Pyrénées Cathares

    Vous êtes un agriculteur en vente directe, un commerçant, un artisan, un restaurateurs ou encore une AMAP qui valorise les produits du territoire en Pyrénées Cathares ?

    Une réflexion engagée avec les agriculteurs a permis de faire ressortir la problématique suivante : comment se faire connaître ? « Le savoir-faire c‘est bien mais le faire savoir c’est mieux »

    En 2014, la première édition du Guide des producteurs en Pyrénées Cathares a été un succès : 66 agriculteurs, 5 artisans, 7 commerçants, 17 restaurants, 2 associations de consommateurs ont fait le pari de s’impliquer dans cette démarche de valorisation des filières alimentaires de proximité.

    Avec des encarts spécifiques, une carte, des jeux, les évènements, etc. ce guide répertorie les informations concernant les produits agricoles vendus en direct.

    Le Guide des producteurs va faire peau neuve fin 2017, pour une publication début 2018.

    Nous envisageons une cotisation vous donnant le droit d’accéder au « packaging de communication » complet proposé par les 2 Communautés de Communes du Pays d’Olmes et Pays de Mirepoix:

    • Un encart dans le guide des producteurs distribué au grand public (10.000 exemplaires)
    • Des articles sur le site www.pyreneescathares-producteurs.fr avec une mise à jour régulière,
    • Une page dédiée à votre exploitation (description, photos, vidéos, plan, etc.),
    • Un contact et un suivi régulier de la démarche tout au long de l’année.

    Les Communautés de Communes vous invitent à vous manifester si vous êtes intéressés par cette démarche et par le référencement de votre activité dans la nouvelle édition du Guide des Producteurs (questionnaire à remplir).

    Contact : Trifine Cuvillier –   05 34 09 33 80 – contact@pyreneescathares-producteurs.fr

  • Avec la plateforme « Politizr », découvrez une nouvelle idée de la démocratie

    Avec la plateforme « Politizr », découvrez une nouvelle idée de la démocratie

    Concepteurs et développeurs de site internet depuis plus de 10 ans, Lionel Bouzonville et Thomas Champion sont deux artisans du monde numérique et ont fondé, en août 2015, la S.A.S Politizr.

    L’ambition de la plateforme « Politizr » est de recréer du lien entre les élus et les citoyens et de permettre aux uns et aux autres de discuter de manière sereine et constructive sur les propositions des citoyens.

    Elle repose sur quatre piliers fondamentaux :

    – Reconnaitre la légitimité des élus qui peuvent discuter des sujets dans la profondeur sans être interrompus par les citoyens. Les citoyens ne peuvent intervenir que sur les sujets qu’ils ont initiés eux mêmes, les élus ont la possibilité d’intervenir sur l’ensemble des discutions sur leur territoire.

    – La transparence : Les élus peuvent faire la preuve de leur compétence en argumentant et en ayant des débats de fond en dehors du temps médiatique ou en dehors du temps des réseaux sociaux.

    – Politizr a une forme qui encourage le fond en permettant aux élus de rentrer dans une argumentation de fond.

    – Le temps : Les sujets ne sont jamais clos, ce qui permet aux élus d’argumenter dans la longueur et de réintroduire du temps politique.  

    Encore fortement ancrée en Ariège avec 200 utilisateurs ariégeois, Politizr est en développement au niveau régional et national. La plateforme compte à ce jour 1500 utilisateurs – dont 150 élus – et 600 sujets de discussion.

    Lionel et Thomas espèrent, dans un avenir proche, devenir une plateforme réflexe pour les citoyens qui veulent interpeller leurs élus. Gageons qu’en cette période électorale ça ne saurait tarder.

    www.politizr.com

  • Incendies d’Auzat, l’Etat porte plainte et se constitue partie civile

    Incendies d’Auzat, l’Etat porte plainte et se constitue partie civile

    Suite aux incendies qui viennent de ravager plusieurs dizaines d’hectares de forêt sur la commune d’Auzat, la préfète de l’Ariège a déposé aujourd’hui, au nom de l’Etat, une plainte pour incendie volontaire et mise en danger d’autrui, avec constitution de partie civile, auprès du tribunal de grande instance de Foix.

    La réponse de l’Etat à ces feux se veut à la hauteur des préjudices et des risques humains, matériels, environnementaux et patrimoniaux que font subir à tout un territoire les auteurs de ces actes criminels.

    Les incendies, provoqués notamment dans la forêt domaniale de Gaffouil, qui ont nécessité le déploiement d’importants moyens de secours au sol, et l’intervention de trackers, mettent en péril la vocation d’ouvrage de protection de cette forêt, plantée au 19 ème siècle pour protéger les populations, contre les avalanches mortelles, qui se sont produites dans la vallée. Ce sont en effet 21 personnes qui ont perdu la vie lors des sinistres de 1853 et 1895. A la suite de ces évènements, l’Etat avait décidé de créer une forêt de protection nécessitant un immense travail d’aménagement et de plantation. C’est cette forêt aujourd’hui centenaire, protégeant l’ensemble des enjeux et habitants du bas de la vallée, qui a été attaquée par les flammes.

    La préfète de l’Ariège appelle les habitants du territoire à un engagement collectif contre les mises à feu sauvages, et rappelle qu’il existe un cadre d’accompagnement et de sécurisation qui permet aux brûlages à finalité agricole de se dérouler dans le strict respect de la loi.

    Source : Préfecture de l’Ariège

  • Cérémonie à Foix : 40 nouveaux « ariégeois » naturalisés à la préfecture

    Cérémonie à Foix : 40 nouveaux « ariégeois » naturalisés à la préfecture

    C’est dans le cadre prestigieux des salons de la préfecture que 40 nouveaux français ont reçu des mains de madame la préfète de l’Ariège, Marie Lajus, leur document officiel de naturalisation jeudi dernier à Foix. Accompagnés pour la plupart de leurs élus des différentes communes d’appartenance, leur émotion a été grande devant une salle comble…témoignage en vidéo.

    Devenir français n’est pas une mince affaire et ça se gagne : un long processus administratif, une bataille personnelle qui ne peut être mû que par la forte volonté de devenir français.

    Souvent le chemin est long comme Mariam qui vient de Géorgie et qui a dû, alors qu’elle était toute jeune passer par l’aide de nombreux amis « ariégeois » et même des manifestations devant la préfecture pour obtenir une régularisation pour rester sur le sol français et ensuite, et enfin, la naturalisation tant attendue pour permettre une intégration pleine et entière dans la société civile.

    Pour Mariam, c’était beaucoup d’émotion jeudi soir, elle qui aujourd’hui poursuit des études de droit en troisième année à Toulouse et qui a dû passer par toutes ces étapes.

    Beaucoup d’émotions, après un long parcours !

    Devenir français, c’est un long parcours qui aboutit parfois à une naturalisation qui «donne des droits mais aussi des devoirs» comme le précise Marie Lajus, notre pays se nourrit d’apport de population de tout horizons et de tous les pays ; Jeudi soir c’était 14 « nationalités » qui demandaient à devenir français (Roumanie, Géorgie, Italie, Allemagne, Grande-Bretagne, Maroc, Algérie, Afghanistan, Guinée, Arménie, Ukraine) pour 40 personnes qui étaient accueillies par la république.

    Et c’est ainsi qu’Alice, Eléna, Mariam, Outhman, Ruben, Anne, Anton, Gakier, Philippe, Jaouad, Denis, Nauman,Paulo, Yousri, Stéphanie, Joyce, Adam, Ihia, Redane, Juliette, Mathias, Cécile, Saïd, Naïma, Shamsul Haq, Diane, Kadiatou, Rabah, Luciano… ont rejoint la longue lignée des français naturalisés qui pour certains encore, enorgueillissent la république à l’instar d’Émile Zola, Marie Curie, Jean Ferrat, François Cavanna, etc.

    A noter plus récemment que Manuel Valls, ancien premier ministre fût lui aussi naturalisé en 1981. 

  • Entretien avec Marie-Hélène Lehérissey, arrière petite-fille de Georges Méliès

    Entretien avec Marie-Hélène Lehérissey, arrière petite-fille de Georges Méliès

    Lors de l’inauguration des salles du Cinéma le Casino de Lavelanet, nous avons rencontré Marie-Hélène Lehérissey la petite fille de Georges Méliès. Ravie d’avoir été invitée à cette inauguration où elle a put donner le nom de son aïeul à une des salles principales du Casino, elle nous donne ses premiers ressentis sur ce petit coin d’Ariège qu’elle découvre pour l’occasion. 

    «Je suis très touchée parce que c’est vrai qu’ici il y a quelque chose de plus, je ne sais pas quoi. Il y a visiblement une équipe formidable, des gens qui ont l’air de bien s’entendre et qui font des choses intéressantes et qui ont un accent magnifique qui fait plaisir à entendre et qui met de la gaité supplémentaire […]

     […] et puis je trouve que tout ceux qui participent, participent à quelque chose de plus important. Au-delà il y a de la culture sous toutes ses formes : du théâtre, du cinéma, de la peinture… je pense que ça permet,  quand on est proche de ça et quand on pratique ces choses là, ça permet de comprendre les autres, de s’élargir, ça permet de comprendre les différences et qu’est ce qu’on en manque en France en ce moment. Je trouve ça très important vraiment.

    […]Je suis à la retraite, j’ai travaillé pendant 40 ans comme monteuse de film, 30 ans à TF1 et à part ça je fais de la tapisserie d’Aubusson et je m’occupe, au sein de notre association «L’association des amis de Georges Méliès – cinémathèque Méliès», de l’entretien et du montage des films pour les mettre de manière facile à regarder, d’en faire la programmations et de les présenter et de les bonimenter. J’ai appris les boniments avec mon grand-père André Méliès qui avait vu son père faire les boniments […] c’est très amusant et je fais ça depuis 40 ans de manière systématique dans le monde entier et j’ai eu la chance, il y a 20 ans, de travailler avec mon fils qui a la culture familiale et c’est aussi un rêve absolu, pour toute les mamans de travailler avec leurs enfants. […]

     […] Il y a un jeune qui m’a dit un jour : Méliès c’est le troisième M, il y a Mozart, il y a Molière et il y a Méliès ; Mozart c’est la musique, Molière à fait entrer la comédie dans les théâtres et Méliès est le créateur des trucages mais aussi le premier à faire de la mise en scène, et je trouve que là, ça dit tout.» 

     

  • Avec Taramm, l’Ariège confirme le développement de sa « Titane Valley »

    Avec Taramm, l’Ariège confirme le développement de sa « Titane Valley »

    Vendredi dernier, une centaine de personnalités locales et régionales venait inaugurer les locaux de TARAMM qui avaient brulé le 18 décembre 2015 alors que l’établissement était installé à Labège et où 80% des locaux avaient été détruits. Cet incident avait poussé l’entreprise à venir installer l’ensemble de sa production sur l’Ariège à Mazères. 

    Carole Delga qui faisait partie de la délégation qui inaugurait TARAMM et que nous avons interviewé, rappelle à quel point la région est une région d’excellence en matière d’industrie notamment liée au pôle aéronautique toulousain : «L’Occitanie est la seule région de France qui continue à créer des emplois dans le domaine de l’industrie, donc nous avons une volonté d’investir auprès des industriels.  
     
    Ici sur Taramm c’est plus d’1 200 000 € qui a été apporté par la région pour aider au développement de cette entreprise, mais nous soutenons également sur d’autres sur le site de Mazères comme GARDNER. Nous avons aussi une volonté d’accompagner sur les autres territoires de la région l’industrie ; je pense à la mécanique Valley  autour de RATIER FIGEAC, AERO FIGEAC, je pense également aux sites Tarbais où il y a une forte sous-traitance aéronautique ou au site d’Alès dans le Gard…
     
    L’industrie est un secteur qui représente plus 100 000 emplois sur toute la région.»
     
    Louis Marette le maire de Mazères rappelle le positionnement stratégique de la vallée de l’Ariège liée à la proximité de Toulouse. Mazères et ses différentes zones industrielles proposent en effet une proximité et une offre immobilière à des tarifs bien moins élevés que ceux de Toulouse : «L’initiative de l’industrie à Mazères ce n’est pas moi, mais André Trigano qui en 1971 a décidé de la création de la première zone industrielle à Mazères…
     
    …Aujourd’hui Il y a quatre zones industrielles, qui sont diversifiées : on a une zone pyrotechnique avec Lacroix Ruggieri qui est le leader européen en matière de militaireset de contre-mesures et qui emploie 400 salariés sur 125 hectares.
     
    Il y a deux zones autour de la sortie de l’autoroute nous on est pour des entreprises qui ont besoin de l’espace comme TARAMM,  KEOLIS ou DEANJEAN LOGISTIQUE sur une zone logistique qui fait 80 ha où on peut accueillir encore beaucoup à des prix beaucoup plus raisonnables que la ceinture toulousaine.
     
    Il y a une zone artisanale de l’autre côté de l’autoroute et il y a la zone historique de Mazères où est GARDNER AÉROSPACE  un autre sous-traitant d’Airbus qui fabrique les parties des berceaux des moteurs de l’ A305.  
     
    On est en plein dans le titane et dans ces entreprises qui ont beaucoup misé sur l’avenir et on veut continuer !»