Ecrivain public, un métier rare et pas comme les autres
Ecrivain public, conseiller littéraire et éditeur, Florence Cortès aime à se qualifier de «Scribe des temps modernes». Du latin scriba, de scribere, écrire, il désignait dans l’Égypte antique un fonctionnaire lettré, éduqué dans l’art de l’écriture et de l’arithmétique.
Chargée de communication de formation et auteur, Florence est persuadée que, «sans communication, l’homme n’est rien», c’est pourquoi elle a décidé d’aider les autres à communiquer par l’écrit en créant son cabinet Vox Scriba .
Sa palette de prestation est large : élaboration ou mise en forme de lettres personnelles ou administratives, de curriculum vitæ, de récits de vie, de biographies, de témoignages, de discours, de lettres d’amour….
Mais là ne s’arrête pas ses compétences, puisque Florence est également conseiller littéraire et éditeur. Que vous vouliez écrire votre manuscrit, que vous soyez en train de l’écrire ou que vous l’ayez terminé et que vous voulez l’éditer, elle peut vous accompagner dans cette belle aventure et ce, quel que soit votre niveau, en vous apportant une lecture critique et constructive, des corrections pertinentes, des suggestions pour retravailler votre texte, des conseils sur la structure de votre récit, son style, sa mise en page, sa cohérence dans la narration.
Vox Scriba c’est aussi une maison d’édition
Avec plus de 80 titres à son catalogue, Florence Cortès édite des auteurs locaux sans but commercial «l’édition ne me rapporte pas d’argent, quelque fois même j’en perds» avoue t’elle. «J’ai l’impression de servir une cause, la cause d’auteurs qui n’auraient pas été publiés ailleurs mais qui veulent partager leur passion»
La voix du scribe
Avec d’autres écrivains publics ariégeois, Elle a créé l’association «La voix du scribe». Avec des ateliers, des stages, des permanences, des cours ou encore des formations et l’organisation de manifestations, l’association propose bénévolement du soutien aux personnes qui ne maîtrisent pas suffisamment l’écrit, aux personnes illettrées et aux personnes analphabètes.
Alors, si on demande à Florence si c’est une bonne situation scribe ? elle répondra oui sans aucun doute.