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  • Les voeux de Marie Lajus, Préfète de l’Ariège : La République toujours plus haut

    Les voeux de Marie Lajus, Préfète de l’Ariège : La République toujours plus haut

    Madame Marie Lajus, Préfète de l’Ariège présente aux ariégeoises et aux ariégeois ses voeux pour l’année nouvelle. 

    Marie Lajus, Préfète déléguée à l’égalité des chances – Marseille 2013

    «En ce début d’année 2017 je vous présente mes voeux les plus chaleureux de bonheurs et de réussites personnelles.

    Dans un monde marqué par les tumultes et les inquiétudes, du lointain fracas de la guerre aux dures atteintes qui ont frappé notre pays, quand chacun peut être tenté par le repli et le rejet de l’autre, je crois que les services de l’Etat ont, plus que jamais, un rôle majeur à jouer.

    En cette année électorale, il sera à nouveau important d’affirmer la sérénité et la capacité de l’Etat à sécuriser, soutenir et accompagner toutes les évolutions de notre pays, dans la stabilité, le professionnalisme et la constance.

    Les valeurs d’engagement et de solidarité qu’incarne l’Etat, le caractère protecteur des institutions de la République, sont autant de repères dont chaque citoyen a besoin.

    Soyez sûrs que l’ensemble des agents des services de l’Etat seront là pour affirmer et faire vivre de la plus belle manière ces principes dans notre département de l’Ariège.

    A chacune et chacun d’entre vous, ainsi qu’à tous ceux qui vous sont chers, je souhaite une belle et fraternelle année 2017

    Marie Lajus Préfète de l’Ariège

  • Un budget offensif de 268,9 millions d’euros adopté par les Conseillers Départementaux de l’Ariège pour 2017

    Un budget offensif de 268,9 millions d’euros adopté par les Conseillers Départementaux de l’Ariège pour 2017

    Mardi 10 janvier, au terme d’une séance plénière organisée sur deux journées, les Conseillers Départementaux ont adopté le budget primitif 2017, un budget qualifié « d’ambitieux » par le Président Henri Nayrou.

    Présenté à l’équilibre à hauteur de 268,9 millions d’euros, les rapports budgétaires font ainsi apparaître un taux d’investissement très élevé pour la deuxième année consécutive avec plus de 74,6 millions d’euros dédiés notamment au déploiement du réseau Très Haut Débit, à l’entretien et à la modernisation du réseau routier, aux travaux dans les bâtiments départementaux (les collèges mais aussi le château de Foix) ou encore les subventions d’équipement aux communes.

    A noter également les 102 millions d’euros qui seront consacrés à la Solidarité, à destination notamment de l’enfance, des personnes âgées, des personnes en situation de handicap ou encore aux Ariégeoises et Ariégeois en difficultés sociales.

    Henri Nayrou a souligné que ces « choix budgétaires offensifs » n’entraîneront pas de hausse de la fiscalité gérée par le Département, les Ariégeois bénéficiant de la bonne gestion des années précédentes qui permet à la collectivité d’être aujourd’hui le deuxième Département le moins endetté de France.

    Le budget principal a été voté par 20 voix pour 6 abstentions, celles des quatre élus du Groupe RIM- DVD-DVG et des deux élus du Groupe ESA, Martine Doumenc-Caubère et Eric Donzé.

     Sources : CD09
     
  • La neige tombe enfin, les stations respirent !

    La neige tombe enfin, les stations respirent !

    La neige tombe enfin sur le massif pyrénéen, il était temps ! L’or blanc se faisait attendre, et depuis cette nuit, «alléluia» les stations se recouvrent d’un beau manteau blanc.

    Elles se sont données du mal les équipes des stations pour satisfaire les visiteurs pour palier au manque durant les vacances de Noël. Et début janvier la station des Monts d’Olmes a posté sur sa page FaceBook des vidéos d’appel à la neige. Vidéos qui ont eu leur petit succès sur les réseaux sociaux.

    L’appel a donc été entendu, et aujourd’hui il neige sur toutes les stations ariégeoises, le temps est donc venu de chausser skis, snowboards, et autres raquettes pour goûter aux joies de la poudreuse. 

    À Ax trois domaines, 10 pistes sont ouvertes avec 30 cm de neige au bas et 50 cm en haut de la station. ax-ski.com/fr/

    Aux Monts d’Olmes,  il y a 20 cm de neige sur la station et ça continue de tomber. Toute l’équipe est sur le pont pour ouvrir d’autres pistes : www.montsdolmes.com

    La petite station de Goulier a 3 pistes d’ouvertes sur 6 et il y a actuellement 25cm de neige. Ascou a également 3 pistes d’ouvertes et 25 cm de neige.

    Un petit tour dans le Couserans et la station de Guzet avec seulement deux pistes d’ouvertes. Mais la webcam nous montre un beau manteau neigeux et laisse présager d’autres ouvertures. www.haut-couserans.com/Guzet/

    Finalement le plateau de Beille avec 1500 m de pistes ouverte au ski de fond ainsi que l’espace luge, avec 5 cm de neige fraîche. www.beille.fr

    Même si ce n’est pas encore la pleine saison, toutes les stations restent optimistes pour ce week-end et surtout pour les prochaine vacances d’hiver.  

    Et si les chutes de neige ne sont pas suffisantes ; il suffira de refaire un appel à la neige ! 

     

  • Les voeux de Marc Sanchez, Maire de Lavelanet : « Proximité, ouverture vers les autres et qualité de vie »

    Les voeux de Marc Sanchez, Maire de Lavelanet : « Proximité, ouverture vers les autres et qualité de vie »

    Marc Sanchez, Maire de Lavelanet, Conseiller départemental de l’Ariège et Président de l’ANDES présente ses voeux au ariégeois et aux lavelanétiens en particulier. «Proximité, ouverture vers les autres et qualité de vie» font partie des priorités de l’équipe municipale pour 2017.

    «À l’aube de cette nouvelle année, à toutes les Lavelanétiennes et Lavelanétiens, aux habitants du Pays d’Olmes, j’adresse mes vœux les plus sincères pour 2017. Des vœux de bonheur, de santé, d’engagement, de fraternité et de paix, avec une pensée particulière pour toutes celles et ceux qui ont souffert en 2016. Je veux redire ici notre pleine compassion à l’endroit des familles qui ont perdu un des leurs durant les attentats ayant endeuillé notre pays. Nos vœux vont aussi vers l’ensemble des forces de sécurité qui agissent au quotidien pour notre protection et notre sécurité au péril souvent de leur vie. 

    Proximité, ouverture vers les autres et qualité de vie font partie des priorités de mon équipe. Vous le savez, les projets AMI centres-bourgs et TEPcv sont en marche sur Lavelanet. Au travers de ces dispositifs se profile ce que je nomme « Lavelanet 2050 ». Mise en valeur de notre patrimoine naturel, culturel et architectural, transition écologique et énergétique, culture, circuits courts, lutte contre le mal-logement, économie (industrie, commerce, artisanat, professions libérales) et création d’emplois…sont au cœur de toutes nos actions. Mais tous ces projets ne peuvent être mis en œuvre sans votre implication, sans concertation et transversalité. Centre-bourg dynamique et animé, Lavelanet sera un gage de qualité de vie, de cohésion sociale et de développement économique local pour vous Lavelanétiens et pour les habitants du Pays d’Olmes. C’est avec cette foi en l’avenir de notre territoire que je vous souhaite une excellente année 2017.»

    Marc Sanchez, Maire de Lavelanet
    Conseiller départemental de l’Ariège
    Président de l’ANDES (Association Nationale des Élus du sport)

     

  • La fabuleuse histoire du peigne en corne en Pays d’Olmes

    La fabuleuse histoire du peigne en corne en Pays d’Olmes

    Janine Fauré est responsable de la section peigne en corne au Musée du Textile et du Peigne en Corne de Lavelanet, mais elle est surtout fille, petite fille et arrière petite fille de « peigners ». Elle nous raconte l’histoire du peigne en corne.

    S’il est estimé que les premiers peignes dates d’environ 9 500 à 12 500 ans avant J C, l’on est pas très sûr de l’origine de la fabrication du peigne en corne dans notre Région. Certains disent que se sont les protestants qui ont amené la fabrication du peigne en corne au XVI ème et XVII siècle. Mais déjà, dans les archives on trouve des fabricants de peigne en bois à Toulouse, ces derniers venant se ravitailler en matière première sur le Palntaurel. 

    Ce n’est qu’au XIXème siècle que l’on a commencé à travailler la corne et que l’industrie du peigne à pris son essor. 

    Cette industrie était florissante au XIXème et pendant la première moitié du XXème siècle, on comptait une cinquantaine d’usines réparties dans la vallée de l’Hers, à Fougax et Barrineuf et à Sainte Colombe sur l’Hers et 1500 ouvriers travaillaient dans l’industrie du peigne à la fin du XIXème siècle. Il fallait, à l’époque, 18 opérations différentes pour obtenir un peigne : «Un vrai travail artistique» explique Janine. 

    Jusqu’à la première guerre mondiale c’était une industrie familiale, ensuite, beaucoup d’ouvriers qui avaient travaillé dans le peigne en corne ont décidé de s’associer et ont fondé des coopératives. 

    Aujourd’hui il ne reste qu’une usine qui fonctionne à l’Aiguillon.

    La corne venait d’Argentine, d’Afrique du Sud, du Liban, de Turquie… Durant la guerre, les bateaux n’arrivant plus, la fabrication s’est un peu ralenti et on s’est remis à fabriquer des peignes bois et également avec la monture en bois et les dents en corne. 

    Le peigne râteau avec les grosses dents, le démêloir, le décrassoir (peigne à poux), le peigne à moustache, le figaro ou peigne à queue (peigne de coiffeur)… il existe une quantité de peignes différents. Mais celui dont Janine est le plus fière, est celui inventé par son cousin au lendemain de la coupe du Monde de foot de 1998 et la victoire de l’équipe de France, le peigne pour chauve dédié à Fabien Barthez, celui là on vous jure qu’il existe. 

    Pour acheter des peignes en corne rendez-vous sur la boutique : www.peignecorne.com

     

  • Sur les routes en Ariège, La Bastide sur l’Hers

    Sur les routes en Ariège, La Bastide sur l’Hers

    Au pied des collines du Plantaurel, au coeur des Pyrénées et au seuil de l’Aude, La Bastide-sur-l’Hers s’allonge dans la vallée de l’Hers.

    Anciennement nommée « La Bastide de Congoust » du nom de la famille de Congoust, elle est mentionnée dès le XIIe siècle dans l’entourage des Trencavel, alors vicomtes de Carcassonne.

    Après la défaite des seigneurs occitans au XIIIe siècle, le village entre dans la seigneurie de Mirepoix, également appelée « Terre du maréchal », qui correspond à l’ensemble des terres données à Gui de Lévis, bras droit de Simon de Montfort.

    Que la commune se soit appelée « de Congoust », « du Peyrat » ou « sur l’Hers », le terme de  » bastide » est récurrent. Les fortifications (mur de la ville, porte d’Amont) apparaissent dans les textes depuis au moins 1512. Les maisons et l’église devaient participer directement au rempart et étaient entourées d’un fossé, au moins côté nord (actuelle avenue du 11 novembre).

    Deux portes permettaient l’accès à l’intérieur de la ville. La porte d’Amont, dont il reste encore des vestiges, se situait au niveau de l’actuelle place du temple. La porte d’Aval devait prendre place sur l’actuelle place de la Liberté, au niveau de la rue Emile Zola.

    Le noyau primitif, fondé avant 1244, se situe autour de l’actuelle place de la ville.

    La Bastide à connu de nombreux bouleversements lors notamment de la disparition des industries du  jais et du peigne en corne.

    Église Notre Dame de l’Assomption

    Bien que mentionné dans les textes à partir du XIVe siècle, l’édifice initial date vraisemblablement de la construction du village (XIIIe siècle). Plusieurs campagnes de travaux ont ensuite eu lieu. La date de 1527 (sur la clé de voûte du sas d’entrée) en indique probablement une. Un orgue y a été installé en 2008, à la suite d’un legs anonyme au curé de la paroisse, qui en a lui-même fait don

    Pour en savoir plus :

    www.pyreneescathares-patrimoine.fr
    www.labastidesurlhers.fr

  • « Larretaubeaumilieu », Chroniques d’Olivier de Robert

    « Larretaubeaumilieu », Chroniques d’Olivier de Robert

    Il y a un truc qui est un marqueur culturel de la montagne. Attention hein, quand je dis montagne, pas celle de Courchevel ! Disons la ruralité pentue… Ce truc, c’est Larretaubeaumilieu, en un mot, bien entendu !

  • Lezat : Nouveau succès pour le e-commerce ariégeois avec Lolydol

    Lezat : Nouveau succès pour le e-commerce ariégeois avec Lolydol

    Fort d’une cinquantaine d’entreprises dans le e-business, le territoire ariégeois accueille depuis quelques mois une nouvelle entreprise de vente en ligne qui semble prometteuse. Issu d’un rachat sur la région toulousaine et porté par une « quinqua » expérimentée, le projet qui s’est installé sur Lezat à toutes les chances de faire partie du top 10 des entreprises de VAD ariégeoises dans les prochaines années. Une fois encore,  cette implantation est aussi due aux compétences et outils développés par  Ariège Expansion qui oeuvre sur ce secteur depuis une dizaine d’année.

    C’est sur l’Ariège, dans la Vallée de la Lèze, que Nathalie a jeté son dévolu. D’une part pour la proximité géographique par rapport à son domicile, car, « à vivre en Ariège autant ne pas avoir beaucoup de kilomètres à faire pour se rendre au travail », d’autre part pour le coût attractif de l’immobilier d’entreprise. 

    « Un même bâtiment sur l’agglomération toulousaine nous aurait couté 3 fois plus cher. Pour autant la recherche d’un bâtiment n’a pas été facile, malgré toutes nos initiatives auprès des différentes institutions ».

    Rien ne prédestinait Nathalie à cette nouvelle activité. Après de nombreuses expériences dans le secteur du commerce, aussi bien pour des produits alimentaires bio, que des cosmétiques ou de la puériculture, cette toulousaine gérait depuis de nombreuses années des magasins sur Toulouse. Le goût du défi, l’envie de reprendre une certaine indépendance en travaillant à son compte, ses hobbies pour le bricolage, les bijoux fantaisie, la photographie … ont fait le reste. Elle annonce son prochain départ à son Directeur et se met en quête de trouver sa future activité qu’elle dénichera sur internet. 

    « J’étais attirée par la vente en ligne, même si je n’avais que très peu d’expérience en la matière. J’ai proposé au propriétaire une immersion pendant quelques jours pour évaluer mes aptitudes à racheter son entreprise ». Mais nombreux ont été ensuite les obstacles à surmonter. 

    «J’ai enfin rencontré des gens qui comprenaient mon projet, en connaissaient l’environnement technique et commercial»

    Le rachat d’une entreprise de vente en ligne est encore très méconnu et il est difficile d’accéder aux conseils indispensables pour effectuer la transaction dans de bonnes conditions. Si l’évaluation des stocks est assez « classique » l’estimation de la clientèle, du fonds de commerce est plus « virtuelle ». « Même si les produits étaient référencés sur plusieurs plateformes en ligne tel Price Minister, la Fnac, E-Bay, Amazon, Facebook … les banquiers n’étaient pas très rassurés et ont été très difficiles à convaincre ». 

    C’est encore une fois grâce à internet que Nathalie repère le service « Plug & Play Ariège e-commerce » proposé par Ariège Expansion. « J’ai enfin rencontré des gens qui comprenaient mon projet, en connaissaient l’environnement technique et commercial, se souvient Nathalie. Ariège Expansion m’a aidé à valider mon Business Plan et m’a mis en relation avec la plateforme Initiative Ariège pour un prêt d’honneur personnel qui m’a permis de boucler le plan de financement ».

    Après avoir essuyé de nombreux refus des banques de l’agglomération toulousaine, c’est finalement l’agence locale de la Banque Populaire de Lézat-sur-Lèze qui a accepté de soutenir le projet.

    « Sans le partage des risques avec Initiative Ariège, jamais je n’aurai pu boucler cette reprise, sachant qu’il y avait d’autres repreneurs qui avaient une capacité d’autofinancement plus importante et que les jours nous étaient comptés ».

    Fort heureusement, les prises de décisions ont été rapides de la part des principaux financeurs et Nathalie a pu démarrer son activité dès septembre dernier. Après une baisse d’activité sur les premières semaines, Lolydol a enfin retrouvé son rythme de croissance. Il faut dire que les conditions d’accès à internet ont été un peu chaotiques. Le fournisseur d’accès a presque été aussi difficile à convaincre que les banquiers toulousains et Nathalie et son équipe ont dû démarrer avec une clé 3G avant d’être enfin connectés au réseau haut débit.

    Dans tous ces obstacles, Nathalie et son fils Guillaume qui a rejoint l’entreprise, ont puisé et conforté leurs motivations et leur détermination. Leur prévisionnel d’activité va largement contribuer au poids du e-commerce en Ariège, observé annuellement via l’enquête E-Business réalisée par Ariège Expansion.

    L’Ariège est bel et bien une Terre d’accueil pour qui veut vivre et travailler autrement !

    le site de VAD de l’entreprise Lolydol de Nathalie : http://www.presentoirs-pour-bijoux.com

    Source : Service Communication ARIEGE EXPANSION – ariege-eco.com

  • 152 574 habitants en Ariège, c’est officiel !

    152 574 habitants en Ariège, c’est officiel !

    L’INSEE vient de publier (le 1er janvier 2017) au niveau national les chiffres officiels de la population française et dans les communes de France. L’occasion pour ses services de faire le point sur les principales orientations démographiques sur notre territoire et pour nous, de voir ce qui concerne les communes ariégeoises.

    Selon les chiffres officiels de l’INSEE, au 1er janvier 2014, l’Ariège compte 152 574 habitants.

    Entre 2009 et 2014, la population y augmente de 0,2 % par an, un rythme nettement inférieur à celui de la métropole et près de cinq fois plus faible que celui de la région Occitanie.

    En cinq ans, le département gagne en moyenne 290 habitants chaque année. Deuxième département le moins peuplé de la région (septième au niveau France métropolitaine), sa population est néanmoins deux fois plus nombreuse qu’en Lozère.

    La croissance se concentre sur un axe nord-sud, le long de la N20 et de l’autoroute Pamiers-Toulouse, ainsi que dans le nord du département, en partie sous l’influence de l’agglomération toulousaine.

    la basse vallée en hausse, les zones reculées en baisse, on s’en doutait un peu !

    Ces chiffres ne surprennent pas, on sait depuis longtemps que la basse vallée de l’Ariège est dynamique et que les zones d’habitat autour de Varilhes et Verniolle sont en pleine croissance démographique. A contrario, le Couserans perd en population ainsi que Lavelanet et le Pays d’Olmes qui perd des habitants depuis de nombreuse année depuis que le textile a perdu ses premiers emplois.

    Quelques communes connaissent des croissances (plus de 144%) ou baisses démographiques (-40%) importantes que nous avons sélectionné pour vous ci-dessous :

    toutes les statistiques communes par communes sont proposées par l’INSEE ici

  • A Lavelanet, le nouveau bar à vins le « Gargantua » propose tapas et menus insolites…

    A Lavelanet, le nouveau bar à vins le « Gargantua » propose tapas et menus insolites…

    Le quartier historique de Lavelanet change de visage, petit à petit. Avec, entre autres, l’ouverture du « Gargantua», un bar à vin – tapas – restaurant dans la rue de Verdun (ancienne rue des marchands).

    Après l’ouverture de la Maison des Arts et de la Maison des projets, place à la gastronomie avec Christine Venturini.

    « Je cherchais un établissement correspondant à mon concept », indique Christine, tombée amoureuse de cette bâtisse du centre-bourg, grâce à une annonce Internet.

    Mais elle avait également le désir irrépressible de se rapprocher des Pyrénées, colonne vertébrale de sa famille. Il faut savoir que Christine Venturini a connu Lavelanet toute petite, grâce à un grand-oncle qui, après avoir fui Franco, a longé les Pyrénées depuis Perpignan pour s’installer à Lavelanet comme manœuvre dans les usines textiles.

    Après quelques mois de travaux, l’établissement a ouvert ses portes le 15 juillet dernier et se découvre avec plaisir. Là, Christine propose une cuisine aux saveurs du Midi et de la Catalogne (gambas au muscat de Rivesaltes, Boles de Picolat, calamars farcis, coq au vin…) pour accompagner un verre de vin choisi parmi une large sélection de bouteilles, principalement des vins de la vallée de l’Agly. Vous pouvez aussi opter pour des tapas et savourer un « pan con tomate » ou diverses charcuteries dans cet endroit cosy et chaleureux.

    Une fois par mois, le Gargantua organise une soirée à thème ; le 8 janvier se sera « soirée pantoufles et galettes des Rois »…« L’objectif est que ce soit un endroit où l’on souhaite se retrouver entre amis, en famille », résume la patronne tombée sous le charme de Lavelanet. « Il faut que ce quartier, l’un des plus anciens de Lavelanet retrouve la vie qu’il a connu. Plein de projets, initiés par la mairie, sont en cours ; j’y crois, tout comme les nouveaux propriétaires du quartier. »

    Le Gargantua est ouvert tous les jours de 8h30 à 23h l’hiver (de 7h30 à 23h en été). 31 rue de Verdun. Tous les midis du lundi au vendredi. Formule : plat-dessert-café 12€. Le soir tapas ou menu à la carte. Samedi et dimanche le menu week-end ou à la carte. Réservations au 06 75 48 74 05.

  • Perrine Laffont roule et court aussi pour l’Ariège

    Perrine Laffont roule et court aussi pour l’Ariège

    On connaît Perrine Laffont sur ses planches à l’assaut des pentes du championnat du monde de ski de bosses, on la connaît moins à vélo ou juste chaussée de ses baskets. Et pourtant, entre deux épreuves du circuit international, la jeune championne ariégeoise aime se ressourcer sur ses terres en pratiquant diverses activités sportives.

    Mardi et mercredi, dans le cadre du partenariat d’image conclu avec le Département, Perrine s’est prêtée au jeu du tournage de clips vidéo dynamiques qui démontrent combien l’Ariège sait être un formidable terrain de sport et de loisir pour les sportifs de haut niveau.

    Course à pied aux abords et sur les pentes du pog de Montségur, à vélo à l’assaut du Mur de Péguère entre Massatois et Séronais, à VTT sur la voie verte du Pays Cathares entre Camon et Mirepoix ou sur les appareils d’une salle de musculation mirapicienne… Ces deux premières journées de tournage ont démontré l’enthousiasme de la skieuse des Monts d’Olmes à promouvoir l’Ariège.

    En février, à son retour des épreuves nord-américaines de Lake Placid, Val Saint-Côme ou Deer Valley, d’autres prises de vue seront encore réalisées.

    Une fois finalisés, les clips seront diffusés sur les réseaux sociaux du Département, sur ses sites Internet ainsi que sur des plateformes de partage de vidéos.

    Une façon pour Perrine Laffont de mettre son image au service de la promotion et donc de la notoriété de l’Ariège.

    Source : CD09