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  • Inauguration du Lycée Pyrène, la Région investit pour l’éducation.

    Inauguration du Lycée Pyrène, la Région investit pour l’éducation.

    Mardi 9 octobre avait lieu l’inauguration de l’extension du lycée Pyrène Site Irénée Cros de Pamiers. En présence, entre autre, de Monsieur André Trigano Maire de Pamiers et Monsieur Kamel Chibli Vice-Président de la Région Occitanie en charge de l’Education de la jeunesse et des Sports, le Proviseur Monsieur Frédéric Labarbe à guidé les institutionnels et les élèves pour la visite des nouvelles installations.

    13 nouvelles salles qui ont été construites à l’occasion de la fusion des deux établissements : Celui d’Irénée-Cros, lycée professionnel avec l’enseignement de l’électrotechnique, la productique mécanique et des métiers de l’automobile et Le Castella, dédié à l’enseignement général.

    Avec un investissement de 6M d’euros de la Région, les nouvelles installations permettent un accueil des élèves dans les meilleures conditions techniques – toutes les salles sont équipées d’un vidéo-projecteur interactif – acoustiques et esthétiques. 

    Fort de ses 1400 élèves (900 sur le Castella et 500 sur Irénée Cros) le Site Irénée Cros accueillera à la rentrée 2019 le BTS électrotechnique, qui déménage de Mirepoix et le Proviseur espère ouvrir un baccalauréat professionnel systèmes numériques actuellement existant sur le département.

  • E-éducation : l’Ariège exporte la marque Ludovia et son savoir-faire en Suisse

    E-éducation : l’Ariège exporte la marque Ludovia et son savoir-faire en Suisse

    En près de 15 ans, la manifestation LUDOVIA est passée de 100 participants en 2004 à Saint-Lizier, à plus de 1000 en 2017 à Ax les Thermes. Cet incontestable succès de participation, d’estime et surtout d’utilité pour le passage du crayon bille à l’ordinateur et à la tablette est dû à un concept intelligent (LUDOVIA, c’est le chemin vers le ludique à l’école) qui vient de franchir un nouveau cap hors de l’Ariège en s’exportant il y a quelques jours en Suisse, plus exactement à Yverdon-les-Bains, ville thermale de 30.000 habitants près de Lausanne dans le canton francophone de Vaud.

    Cette première édition de Ludovia#Ch a donc marqué les 27, 28 et 29 mars le passage à l’externalisation d’un événement né et développé en Ariège.

    Elle a été inaugurée mardi soir en présence d’une délégation du département de l’Ariège, conduite par Henri Nayrou, Président du Conseil Départemental et composée de Didier Kuss, directeur de l’Agence Ariège Attractivité, Eric Fourcaud, concepteur chargé du développement de Ludovia, et de Sylvie Couderc, Directrice de l’Office de Tourisme des Pyrénées Ariégeoises. 

    Du 27 au 29 mars, Ludovia passe à l’heure suisse. L’université d’été de l’e-éducation, née en Ariège et qui prépare déjà sa 15ème édition à Ax-les-Thermes au mois d’août prochain, exporte en effet sa marque et son savoir-faire à Yverdon-les-Bains, dans le canton de Vaud. « Ludovia.ch » a été inaugurée mardi soir en présence d’une délégation du département de l’Ariège, conduite par Henri Nayrou, Président du Conseil Départemental.

    Lors de l’inauguration en présence du maire de la ville, du recteur et de la directrice générale de l’université du lieu, le président du Conseil Départemental a pris la parole en ces termes :

    « C’est un honneur pour notre délégation venue d’un petit département du fond de la France d’être conviée ici au cœur de la Confédération Helvétique pour vulgariser le concept Ludovia né petit et devenu grand, non pas grand, plutôt utile, plutôt d’avant-garde et surtout de grand avenir ».

    Puis, il rappelait également la cohérence du développement de la manifestation parallèlement au déploiement des NTIC sur le territoire. « L’Ariège a compris, dès les années 2000, l’importance de la couverture numérique pour accroitre son attractivité : connecter les zones d’activité économique, développer le e-commerce, permettre le télétravail ». Et d’indiquer le lancement du Plan Ariège Très Haut Débit il y a quelques jours à peine, un projet à 140 M€.

    Les Ariégeois sont également intervenus le mercredi matin comme Grands témoins du séminaire organisé dans le magnifique amphithéâtre de la Haute École Pédagogique d’Yverdon avant de repartir en donnant rendez vous à leurs hôtes au 21 aout à Ax les Thermes, date du lancement de la 15e édition de LUDOVIA.

    Source : CD09

    Photo : Lyonel Kaufmann de la HEP VAUD chef de projet de l’Université de printemps de LUDOVIA et Henri Nayrou président du Conseil départemental de l’Ariège devant l’affiche de la première édition de LUDOVIA.CH

  • Menaces de suppressions de postes dans le premier degré : Les élus du Conseil Départemental de l’Ariège communiquent

    Menaces de suppressions de postes dans le premier degré : Les élus du Conseil Départemental de l’Ariège communiquent

    « L’école est autant un service public d’enseignement qu’un vecteur d’attractivité pour un territoire »

    A quelques jours de la réunion du CDEN qui envisage la suppression de sept postes dans l’enseignement du premier degré ariégeois, nous dénonçons une décision du Gouvernement incohérente et dangereuse.

    Cette suppression de poste est incohérente car elle va à l’encontre des messages de solidarité que le président Macron entend lancer à destination des Français qui vivent en zone rurale, à l’encontre des discours qu’il porte ou fait porter par ses ministres en matière d’infrastructures telles que les réseaux de téléphonie mobile ou de très haut débit.

    Comment le candidat Macron pouvait-il affirmer qu’il n’y aurait aucune fermeture d’école s’il était élu et, moins d’un après son arrivée à l’Elysée, entériner le fait de couper les vivres à ces établissements aux effectifs certes réduits mais tellement importants dans l’équilibre social de nos territoires ?

    Et c’est bien là que la décision soumise au CDEN s’avère extrêmement dangereuse car elle met en péril la vie même des communes concernées. Nul ne peut ignorer que l’école est tout autant un service public d’enseignement qu’un vecteur d’attractivité pour un territoire. Impossible en effet d’imaginer attirer de nouveaux habitants sur une commune si celle-ci se trouve dépecée. Après celle des gendarmerie, des bureaux de poste, des perceptions, la fermeture d’une école serait le coup de grâce. Nous n’en sommes pas là nous dit le gouvernement, mais nous y serons demain si nous acceptons aujourd’hui cette énième suppression de postes.

    Besoin d’une nouvelle preuve ? Emmanuel Macron vient d’annoncer son souhait de supprimer 120 000 fonctionnaires supplémentaires, un chiffre qui interroge sur l’ampleur de l’attaque que le Gouvernement envisage contre les services aux publics. Aujourd’hui, c’est l’école ; demain, les collèges, les lycées, l’entretien des routes, les transports…

  • Suppression de sept postes d’enseignants en Ariège : Bénédicte Taurine communique

    Suppression de sept postes d’enseignants en Ariège : Bénédicte Taurine communique

    Le projet de suppression de sept postes d’enseignants dans les écoles élémentaires de l’Ariège pour la rentrée 2018 est inadmissible.

    Depuis 2007 une école par jour a fermé principalement en zone rurale. D’année en année les politiques d’austérité réduisent le nombre de postes d’enseignants. Après la suppression de 80 00 postes par Nicolas Sarkozy et le non-respect de la promesse de 60 000 créations par François Hollande, Emmanuel Macron ne compense pas le manque d’enseignants en créant suffisamment de postes.

    Les conséquences de ces suppressions sont désastreuses pour nos élèves et enfants : classes ou écoles fermées, enseignants non remplacés et temps de transport scolaire à rallonge.

    En tant que députée de l’Ariège et membre de la France Insoumise, je défends une éducation gratuite et de qualité pour toutes et tous. Il est nécessaire de recruter suffisamment d’enseignants afin de rétablir un véritable corps d’enseignants remplaçants, de renforcer le dispositif « plus de maîtres que de classes » et d’assurer la mission de service public sur l’ensemble du territoire de la République. L’enseignement n’est pas un coût c’est un investissement.

    L’annonce des sept suppressions de poste ne donne pas plus d’information sur les communes et les secteurs concernés. Fermer une école c’est condamner un territoire à la désertification, avec la disparition d’autres services publics, des médecins, des services de proximité…

    J’ai interpellé Monsieur le ministre de l’Education Nationale aujourd’hui au sujet du dédoublement de classe CP-CE1 en zone prioritaire. Ce serait une mesure juste si les moyens nécessaires étaient mis en place. Cette mesure n’est pas totalement financée, en effet les dédoublement repose sur un « redéploiement » de moyens. Elle va entraîner la fin de dispositifs d’aide aux élèves en difficulté qui ne sont pas scolarisés en zones prioritaires, réduire les moyens de remplacement déjà insuffisants et surtout fermer des classes contribuant ainsi à la désertification de notre territoire.

    Je serai toujours du côté de celles et ceux qui défendent notre service public de l’éducation, les parents d’élèves, les organisations syndicales, les élus et les personnels.

    Bénédicte Taurine
    Députée de la 1ère circonscription de l’Ariège

     

  • Parcoursup : La nouvelle plateforme d’admission dans l’enseignement supérieur est opérationnelle

    Parcoursup : La nouvelle plateforme d’admission dans l’enseignement supérieur est opérationnelle

    Parcoursup est le nouveau nom de la plateforme qui remplace APB (Admission Post Bac). Elle a été lancée le 15 janvier par le Gouvernement, la formulation des voeux débute le 22 janvier 2018 et pourra se faire jusqu’au 13 mars 2018 18h00. 

    Ce qui change et pourquoi

    Parcoursup a été repensé après qu’APB a montré ses limites en 2017, notamment avec l’adoption de la sélection par tirage au sort pour départager les nombreux candidats à une admission dans une filière non sélective, où l’offre était inférieure à la demande. Un algorithme d’affectation automatique dans les licences répartissait ensuite les candidats. En 2017, le tirage au sort a été pratiqué pour 169 Licences. Un système injuste auquel Parcoursup met fin.

    10 vœux maximum non classés

    Les candidats pourront exprimer un maximum de 10 vœux sans devoir les classer. Un changement par rapport aux 24 vœux hiérarchisés d’APB qui permet d’éviter les vœux par défaut. Sur APB, en effet, une fois que l’on avait accepté un vœu, tous les autres disparaissaient. Avec Parcoursup, chaque candidat recevra une réponse à chacun de ses vœux.

    « Il n’est pas question que les universités disent non. L’objectif c’est de dire oui et d’accompagner » a déclaré la ministre Frédérique Vidal, ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation.

    Un accompagnement personnalisé au lycée

    En Terminale, deux professeurs principaux accompagnent individuellement chaque élève dans la construction de son parcours postbac et deux semaines seront dédiées à l’orientation. Les conseils de classe accompagneront les lycéens dans leur projet d’orientation puisqu’ils exprimeront des recommandations et examineront les vœux de chaque élève. Le chef d’établissement donnera son avis pour chaque candidature de l’élève.

    les chiffres 

    2,6 millions de bacheliers inscrits dans l’enseignement supérieur en 2017, ils n’étaient que 310 000 en 1960 soit huit fois plus en 50 ans !

    le calendrier 

    15 janvier 2018
    Ouverture de la plateforme d’admission Parcoursup 

    22 janvier au 13 mars 2018 18h00 
    Formulation des vœux (10 vœux maximum) sans les classer 

    Jusqu’au 31 mars 2018 inclus
    Constitution des dossiers
    Confirmation des vœux 

    22 mai au 21 septembre 2018 inclus
    Accès aux décisions des établissements de formation
    Réponse aux propositions d’admission
    Attention : suspension des propositions d’admission pendant la durée des épreuves écrites du baccalauréat 

    26 juin 2018
    Ouverture de la phase complémentaire 

    Eté 2018
    Inscription administrative dans la formation 

    21 septembre 2018 inclus
    Fin de la procédure

    www.parcoursup.fr

  • Nouveau à Mirepoix, le Café des Parents

    Nouveau à Mirepoix, le Café des Parents

    L’UDAF (Union Départementale des Associations Familiales) de l’Ariège, en partenariat avec l’Association Espace Initiatives de Mirepoix, organise un « Café des Parents », jeudi 7 décembre à 18h30 dans les locaux de l’EISE au 1, bis chemin de la Mestrise à Mirepoix.

    Le « Café des Parents » s’adresse à tous les parents, grands-parents ou proches, qui se questionnent sur l’éducation, la manière de faire ou sur leur relation avec leurs enfants.

    Le « Café des Parents » est avant tout un lieu d’échanges, de rencontre, de réflexions, qui permet d’aborder différents sujets sur la vie familiale au quotidien et sur l’éducation des enfants (la confiance, l’influence des médias, savoir dire « non », la fratrie, l’adolescence, etc.) et ce, dans le respect des opinions de chacun et en toute confidentialité.

    Ce premier « Café des Parents » a pour thème : « Les grands parents : leur rôle et place dans la vie des enfants ». Il sera animé par Audrey Saboye, animatrice à l’UDAF de l’Ariège.

    Par la suite, les thèmes seront choisis en concertation avec les parents. Le « Café des Parents » est gratuit.

    Pour tout renseignement, vous pouvez contacter l’UDAF 09 – Caroline Leroy au 05.61.05.46.01 ou l’EISE –

  • Rencontre avec les étudiants en BTS métiers de l’eau du LP Jacquard

    Rencontre avec les étudiants en BTS métiers de l’eau du LP Jacquard

    Mercredi 6 septembre, dix d’étudiants en BTS métiers de l’eau ont fait leur rentrée  au Lycée Professionnel  Joseph Marie Jacquard de Lavelanet. L’aboutissement d’un long travail, le fruit d’une volonté commune entre Éducation nationale, élus régionaux, élus locaux, Bruno Pasquet proviseur, enseignants et personnels.

    Campus des métiers de l’eau

    Dix étudiants suivent la formation BTS Métiers de l’eau à Jacquard, l’établissement Lavelanétien étant le seul à proposer cette formation en région Occitanie-Pyrénées-Méditerranée. Victor (de Toulouse), Quentin (de Laroque), Jacob (de Nouvelle-Calédonie), Chloé (de Rodez), Tristan (de Saint-Gaudens), Jean-François (de Toulouse), Manon (d’Ax-les-Thermes), Théo (de Lyon), Dolicia (du Gabon), ont été accueillis le 6 septembre par le proviseur et ses équipes. Un environnement privilégié, « des enseignants plus que compétents qui ont tous un niveau supérieur (agrégation, DEA, ingénieurs, NDLR…), attachés à vous faire réussir, une petite structure avec des équipements de qualité» selon Bruno Pasquet s’adressant à ses étudiants. Ces étudiants ont un parcours baccalauréat différent (BAC ES, STI, S…) ; un public hétérogène venant d’horizons distincts (dont deux anciens élèves en bac pro de Jacquard), mais avec un même objectif, se diriger vers un métier de technicien supérieur sur l’eau.  

    Deux mois après la rentrée, nous avons rencontré ces étudiants lors de travaux pratiques dirigés par leur professeure Geneviève Guibal enseignante en PCE (procédé chimie et eau). Manipulation, étalonnage… après la théorie, place aux expériences, aux découvertes dans le labo.

    La cohésion s’est opérée, car tous ont le même but, travailler dans l’environnement. Jean-François explique qu’ayant « besoin de bouger », il envisage après l’obtention de son BTS de travailler sur les réseaux d’eau potable. Manon, « aime le côté laboratoire, la chimie ». Jacob réfléchit à l’idée de poursuivre avec une licence pro, alors que l’analyse des eaux intéresserait Chloé qui sort d’un bac chimie.

    Les étudiants de Jacquard peuvent être rassurés, car derrière cette formation Bac plus 2, les débouchés sont nombreux dans notre département (industries – syndicats de l’eau – laboratoires…) et en France. Formation en résonnance avec l’offre dispensée à Jacquard, ce BTS Métiers de l’eau est également un plus quant au dynamisme de Lavelanet, du Pays d’Olmes.

    joseph-marie-jacquard.entmip.fr

  • « La Villa Lauquié du passé à l’avenir » : une exposition gracieusement mise à disposition des écoles ariégeoises

    « La Villa Lauquié du passé à l’avenir » : une exposition gracieusement mise à disposition des écoles ariégeoises

    Présentée sur site à l’occasion des Journées du Patrimoine, l’exposition « La Villa Lauquié du passé à l’avenir » est désormais mise gracieusement à la disposition des établissements scolaires ariégeois qui souhaitent présenter l’histoire de cette bâtisse emblématique de l’histoire contemporaine ariégeoise.

    Les sept panneaux retracent l’histoire de la demeure sise boulevard du Sud à Foix, depuis sa construction jusqu’à sa reconversion en Maison du Tourisme, sans occulter les sinistres épisodes survenus durant la Seconde Guerre Mondiale.

    Ce projet a été réalisé avec le concours de l’historien Olivier Nadouce, auteur de plusieurs ouvrages sur le thème de la Résistance, de la déportation et de l’occupation allemande en Ariège. Il a été mené par la Conservation départementale, service du Département de l’Ariège, avec l’appui de l’Agence de Développement Touristique Ariège-Pyrénées, les Archives départementales de l’Ariège et le Centre d’Histoire de la Résistance et de Déportation.

    L’exposition, visible actuellement au rez-de-chaussée de l’Hôtel du Département à Foix, est ouverte à tous, en accès libre (de 8 heures à 19 heures).

    Renseignements complémentaires : Mado Goncalves, Relations Presse, Agence de Développement Touristique Ariège-Pyrénées – 2, Boulevard du Sud, BP 30143 – 09000 FOIX CEDEX. Tel. (+) 05.61.02.30.76 (ligne directe) – mado.goncalves@ariegepyrenees.com

    Source : CD09

  • Dernière rentrée du quinquennat Hollande : Bilan très positif

    Dernière rentrée du quinquennat Hollande : Bilan très positif

    La Fédération Socialiste de l’Ariège communique 

    La Fédération Socialiste de l’Ariège se félicite des bonnes conditions dans lesquelles s’est effectuée la rentrée scolaire dans notre département grâce à la priorité budgétaire donnée à l’éducation par les députés socialistes lors de la précédente législature.

    Dans le 1er degré, le maintien des postes malgré une démographie déclinante n’aurait été possible sans la création de 60 000 postes au cours du quinquennat de François Hollande et la signature d’un protocole ruralité qui aura permis une hausse sans précédent des taux d’encadrement dans nos écoles, la plus forte de toute l’Académie de Toulouse.

    Dans le 2nd degré, la création de l’équivalent de 20 postes est elle aussi sans précédent et aura permis de financer tant l’accompagnement personnalisé et les dédoublements prévus par la réforme du collège que les ouvertures de formations dans les lycées.

    Les élèves ariégeois ont pour l’instant échappé à la contre-réforme du Ministre Blanquer qui consiste à détricoter sans évaluation ni concertation tout ce qui avait été patiemment construit avec la Refondation de l’école : retour à la semaine des 4 jours et remise en cause du dispositif « Plus de maîtres que de classes » dans le 1er degré, réintroduction de filières sélectives pour quelques-uns au collège au détriment des dédoublements pour tous… Mais qu’en sera-t-il l’année prochaine ?

    Faute de postes supplémentaires suffisants, le dédoublement des classes de CP en Réseau d’Education Prioritaire, principalement en ville, ne peut se réaliser qu’en ponctionnant les moyens en milieu rural avec le spectre d’un retour à une école à plusieurs vitesses et une aggravation des inégalités sociales, scolaires et territoriales dont l’Ariège sera la première victime.

    La diminution drastique du nombre d’emplois aidés qui accompagnement très souvent dans le quotidien de leur scolarité des enfants porteurs de handicaps va pénaliser les plus fragiles. Elle menace également les activités périscolaires qui participent pourtant à l’épanouissement des enfants.

    La Fédération Socialiste de l’Ariège dénonce les mesures gouvernementales qui ne sont pas à la hauteur des enjeux et qui ne mettent pas l’intérêt de l’enfant au centre de la décision politique. Elle s’oppose au retour du conservatisme scolaire qui a déjà a déjà échoué et qui laisse de côté 30% de nos élèves. « L’école de la confiance », à laquelle le Ministre prétend aspirer, ne se décrète pas, elle se construit, dans la concertation et le dialogue, autour d’une Refondation confortée plutôt que démantelée et d’une priorité budgétaire réaffirmée plutôt qu’abandonnée.

     

  • Le Président du Conseil Départemental rencontre la communauté éducative des collèges pour la rentrée scolaire

    Le Président du Conseil Départemental rencontre la communauté éducative des collèges pour la rentrée scolaire

    Lundi 4 septembre, quelque 6.000 collégiens ariégeois reprendront le chemin des établissements scolaires. Le Président du Conseil Départemental en fera de même dès le lendemain.

    Cette année encore, Henri Nayrou, en compagnie des élus et des techniciens en charge des questions d’éducation, des bâtiments et des transports scolaires au sein de la collectivité départementale, rencontrera les responsables des établissements, en présence des membres des conseils d’administration et de l’ensemble des représentants de la communauté éducative.

    Ces échanges permettent d’évoquer la vie du collège mais aussi de soulever les problématiques propres à chaque établissement. Equipements informatiques et matériels, gestion du personnel, entretien des locaux, restauration, transports, carte scolaire autant de sujets concrets qui ne manqueront pas d’être abordés au cours de ces différentes rencontres.

    Cette année six établissements recevront la visite du Conseil Départemental (les autres avaient été visités l’an passé), selon le calendrier suivant : mardi 5 septembre, les collèges Louis-Pasteur et Victor-Hugo à Lavelanet, puis François-Verdier à Lézat-sur-Lèze ; jeudi 7 septembre, les collèges Jules-Palmade à Seix, Joseph-Lakanal à Foix et la Cité scolaire du Couserans à Saint-Girons.

    Rappelons que le Conseil Départemental de l’Ariège assume la responsabilité de près de 120 agents territoriaux déployés dans les quinze collèges du département, des chefs de cuisine, mais assure également l’entretien et la modernisation des bâtiments. Dans la perspective de cette rentrée scolaire, plus de 2,2 millions d’euros de travaux ont été réalisés dans les collèges ariégeois.

    Source : CD09

  • Erasmus+ à la cité scolaire de Mirepoix : un échange culturel et linguistique d’une grande richesse

    Erasmus+ à la cité scolaire de Mirepoix : un échange culturel et linguistique d’une grande richesse

    Mardi 30 mai, à la cité scolaire de Mirepoix, avait lieu le rendu du projet Erasmus + «Au fil de nos cours d’eau», un projet européen mené depuis trois ans par les secondes, assistées des première et terminale STI2D et sept de leurs professeurs.

    «Le projet est né d’une amitié franco-espagnole» explique Carole Lafont professeur d’espagnol et coordonatrice du projet, «nous faisons des échanges depuis plusieurs années et en 2014 nous avons décidé de monter un projet européen.»

    C’est par le biais de « eTwinning », une plate-forme représentant la communauté des établissements scolaires d’Europe, que Carole et ses collègues contactent des enseignants et leur propose la thématique de l’eau. Six pays ont répondu présent et ont travaillé sur le projet : Lituanie, Pays bas, Roumanie, Hongrie, Grèce et Espagne.

    En septembre 2014, tous les enseignants ce sont rencontrés à Mirepoix et, durant ces trois ans, chaque année, quatre élèves de seconde partaient en mobilité dans un des pays. 

    Ce ne sont pas moins de 18 activités qui étaient proposées sur le thème de l’eau et réparties selon les pays, parmi lesquelles  : L’étude des berges et de l’écosystème du cours d’eau, la création d’un jeu de société, l’étude des récits liés au fleuve, la création et la gestion d’un blog collaboratif, d’un spot publicitaire, d’une chanson comportant des couplets dans chaque langue nationale, la création d’un album photographique et d’un recueil de textes littéraires existant dans la culture de chaque pays…

    Ces actions ont été menées en partenariat avec des associations et entreprises locales comme le magasin Pile ou Face de Mirepoix pour le jeu de société ou encore l’association MAMET (Mirepoix Animation Mémoires et Tradition) pour les costumes du Spot.

    Après avoir présenté le rendu au parlement européen le 13 mai dernier, c’est donc à Mirepoix, devant les parents et des représentants de l’éducation nationale, que les élèves ont raconté leurs aventures.

    «On travaille mais en même temps c’est plus ludique. On apprend de nouvelles choses que les autres n’ont pas eu la chance d’apprendre» explique  Amandine élèves en 2nd cette année, quand à Alix, c’est la diversité des activités qu’elle a aimé. Toutes deux s’accordent à dire que la rencontre avec l’autre, la découverte des autres cultures étaient passionnantes.

    «Ce que j’aime dans ce genre d »initiative, c’est travailler avec des collègues sur des matières différentes, créer une dynamique que l’on ne peut pas avoir en travaillant seule dans son coin.» explique Anne Senizergue la professeur de français.

    «Le projet se termine et on se sent un peu orphelin, mais on va peut être se lancer sur autre chose, probablement un projet avec les Pays bas et l’Espagne» conclut Carole.

    Ont participé au projet : Aurélie Godey professeur d’anglais, Sylvie Wesolowski  professeur de géographie, Sophie Mandrou professeur de SVT, Cathy Pujol professeur de math, Dominique Paxion professeur de SES, Anne Senizergue professeur de français, Claudy Falga documentaliste et Carole Lafont professeur d’espagnol.

     
     Erasmus+ est le nouveau programme européen pour l’éducation et la formation.
    Cette nouvelle formule renforcée s’adresse à tous, tout au long de la vie. C’est maintenant plus simple : tous les anciens programmes européens sont regroupés.
    Erasmus+ c’est 15 milliards de budget en Europe juqu’en 2020, pour la France c’est 1 milliards d’euros de crédit d’intervention (soit +84%).
    Erasmus+ s’adresse non seulement aux étudiants mais aussi aux apprentis, aux enseignants, aux formateurs et au personnel administratif. Bref, Erasmus+ c’est toujours aussi bien et ça va plus loin, vers l’Europe et au-delà..

     

  • Il reste des places en maternelle à l’école Calandreta pour la rentrée scolaire 2017!

    Il reste des places en maternelle à l’école Calandreta pour la rentrée scolaire 2017!

    La Calandreta est une école associative située à Pamiers dans la zone du PIC. L’école est sous contrat avec l’État et la langue occitane est apprise en immersion. Ainsi les enfants sont bilingues dès le primaire ce qui leur donne une ouverture vers l’apprentissage d’autres langues.

    Cette école, ouverte a tous a la chance de pouvoir accueillir les enfants dans des effectifs raisonnables et les institutrices travaillent avec des méthodes éducatives actives.  Ainsi, l’accueil des enfants est adapté à leurs rythmes et a pour objectif de rendre l’élève acteur de ses apprentissages, afin qu’il construise ses savoirs. Y est par exemple favorisé l’expression libre des élèves, les plans de travail individuels, les exposés d’élèves, les décisions coopératives lors de conseils concernant la vie de classe, la responsabilisation avec les métiers, le journal scolaire.

    Il est temps de penser aux inscriptions pour la rentrée de septembre c’est pourquoi nous vous invitons à venir visiter notre école

    mercredi 31 mai de 10h à 17h 
    11 rue Henri Fabre 09100 Pamiers 
    0561605808