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  • Margaux, la jeune ariégeoise qui conquiert le monde

    Margaux, la jeune ariégeoise qui conquiert le monde

    Margaux, la jeune ariégeoise qui conquiert le monde  Ariège Pyrénées

    [callout]Vue de la Canada National Tower à Toronto. Il ne faut que 58 vertigineuses secondes aux ascenseurs de la tour pour parcourir les 500 mètres qui nous sépare du sol. Les grattes-ciel sont sous mes pieds et, à travers d’épaisses vitres, je contemple le panorama, des berges du Lac Ontario à l’immensité de Toronto.[/callout]

    Première étape le Canada ou plutôt le Québec parce que ici on parle français Tabernacle !

    « Voilà 20 jours que j’ai quitté l’Ariège. Les six heures qui me séparent du Canada défilent .. 15h35, l’avion transperce la couche nuageuse qui recouvre Montréal, une dernière annonce est faite et nous voilà sur le tarmac de l’aéroport Elliot Trudeau.

    Aux portes des bureaux des douanes, l’attente est à la fois terrifiante et excitante : Le Canada est juste là ! Le temps de me poser 1 000 questions et ça y est, c’est mon tour. Un premier passage à la douane, puis à l’immigration et finalement le permis de travail m’est délivré … en 5 minutes chrono. Ce sésame en main, je récupère ma valise, prends la direction de la sortie et respire ENFIN l’air frais montréalais.

    Tout ici est grand. Imposant. C’est l’Amérique .. En Français, mais c’est quand même un sacré choc culturel.
    C’est un bus à étage que j’ai pris pour rallier Toronto quelques jours plus tard. Un bus à étage sur une route à 16 voies ! La N20 multipliée par 4 .. Vous voyez ? A Toronto, je n’ai pas résisté à monter en altitude .. Rien de tel qu’un tour sur la CN Tower. 15 fois fois la hauteur du chateau de notre belle Préfécture .. 500 mètres au-dessus du sol, vue sur les berges du Lac Ontario. Les roues des 4X4 qui m’arrivent jusqu’aux cuisses, le beurre de cacahuète vendu dans des pots de 2 kilos … Je suis bien sur le continent américain !

    Tout cela (les belles couleurs de l’automne à Montréal, une courte étape dans les immenses buildings de Toronto) aura duré une petite semaine et me voici sous la neige. Au bord du lac Huron, l’un des cinq Grands Lacs nord-américains, je découvre Collingwood une ville à peine plus grande que Pamiers. Le centre a gardé une âme « authentique » avec des bâtiments en briquettes rouges (à la toulousaine). En revanche, la route principale au nord est submergée de grandes chaines multinationales (à l’américaine) .. Le contraste est aussi inattendu qu’effrayant et c’est là que je vais passer une petite partie de l’hiver ! » Margaux

    [callout]DEPUIS LE 30 OCTOBRE 2014 – 6 146 Kilomètres parcourus :

    5 505 kms en Avion :  (Paris-Montréal)

    541 kms en Bus :  (Montréal-Toronto)

    100 kms  en Train :(Toronto-Barrie)

    Villes étapes : Montréal, QC Toronto, ON Collingwood, ON[/callout]

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  • Le projet 52, une jeune ariégeoise autour du monde

    Le projet 52, une jeune ariégeoise autour du monde

    projet 52 Ariège Pyrénées

    Le projet

    Son objectif est pluriel : éditer son premier livre photo et apporter un retour d’expérience à des jeunes qui, comme elle issus de milieux modestes, pourraient être intéressés par d’autres possibles.

    Sous la forme d’un photo-reportage, le «Projet 52» répondra aux questions suivantes : Est-il possible de vivre dans une « simplicité confortable », notamment grâce aux réseaux de solidarité internationale ? Que peut-on apprendre du marché de l’emploi à l’étranger ? Comment vit-on ailleurs ?

    Dans un second temps, apporter un retour d’expérience sur le site (www.margauxvallet.com , rubrique « GoingWest ») afin d’encourager des jeunes de condition modeste à franchir le pas et expérimenter de nouveaux possibles à l’étranger.

    Chaque pays traversé, signataire du Programme Vacances Travail en partenariat avec la France, sera pour Margaux l’occasion de travailler sur un projet photographique d’un an. Concrètement, de manière hebdomadaire le cliché le plus significatif sera choisi parmi les dizaines de photos prises quotidiennement, pour répondre aux questionnements de son projet.

    Les pays

    Ca commencera par le Canada, pour les aurores boréales du grand Nord et les baleines de Tadoussac, mais surtout pour parfaire son Anglais, côté anglophone, dans le milieu professionnel nord- Américain. Douze mois pour préparer une année d’immersion totale en Nouvelle Zélande pour laquelle elle s’envolera en novembre 2015. Margaux y séjournera de 12 à 15 mois avec pour objectif de valoriser le TOEFL *, en travaillant en anglais et de photographier les paysages uniques ainsi que les espèces endémiques des deux îles.

    *Le Test of English as a Foreign Language (TOEFL) ou Test d’anglais langue étrangère est un test standardisé payant qui vise à évaluer l’aptitude à utiliser et comprendre la langue anglaise dans un contexte universitaire pour ceux dont ce n’est pas la langue maternelle.

    Un livre

    Etape enthousiasmante dans la vie d’un photographe, la publication d’un livre est l’occasion de présenter son travail et de le confronter à de nouveaux regards. S’imposer un sujet est, pour la jeune photographe une contrainte de taille.

    Le financement

    Si, au jour d’aujourd’hui et grâce à ses économies, il est possible pour Margaux de lancer la majeure partie du « Projet 52 » (70%) quelques frais, toutefois, ne sont pas encore totalement financés :

    • Inscriptions à l’examen du TOEFL
    • Achat d’un objectif  Nikon 50mm 1.8G
    • inscriptions à l’université
    • Equipement hivernal canadien

    C’est pourquoi Margaux lance aujourd’hui un appel à financement

    Pour en savoir plus et soutenir le projet de Margaux
    www.leetchi.com/c/margaux-projet52