Étiquette : photographies

  • Massat : « Temps de Pose » documentaire photographique – jusqu’au 3 novembre

    Massat : « Temps de Pose » documentaire photographique – jusqu’au 3 novembre

    Temps de Pose, c’est Un documentaire photographique participatif au long court proposé par Sandrine Rousseau, photographe. Des choix de vies racontés par 25 habitants de la vallée de Massat en images et textes.

    Fascinée par la diversité et l’unicité de chacun des habitants qui forment la richesse et l’excentricité de la Vallée de Massat dans les Pyrénées ariégeoises, Sandrine Rousseau, a construit un projet destiné à démystifier les apparences en allant à la rencontre de 25 habitants/familles sur leur lieu de vie pour dresser avec eux un portrait de leurs vies.

    Dans ce documentaire, qui a duré plus de 5 ans, chaque participant, à travers ses prises de vues, dévoile ce qui lui est important dans son quotidien, et à travers l’écriture de son texte, nous livre ses motivations, son expérience, et son ressenti face aux défis rencontrés. Sandrine Rousseau, photographe, a pris un portrait de chacun pour accompagner leurs récits et collages photographiques.

    « La vallée de Massat regroupe une mixité extraordinaire d‘habitants venus d’horizons très différents. Certains sont arrivés par hasard et ont décidé de rester, d’autres ont activement arpenté le monde, la France, les Pyrénées pour décider que la vallée de Massat était le lieu pour se poser.

    Une première vague de ‘néo-ruraux’ sont arrivés dans les années 70, à la recherche d’une vie meilleure, proche de la nature. A l’époque, les granges étaient désertées par les locaux, eux-mêmes à la recherche d’une vie meilleure ailleurs. Puis au fil du temps, le canton s’est repeuplé, les maisons ont progressivement été rachetées, rénovées selon les moyens et savoir faire de chacun. Aujourd’hui, on peut estimer que 80% des habitants du canton viennent d’ailleurs et la vie bouillonne avec les énergies, rêves et difficultés de chacun ici.

    Depuis 2000, je fais partie de ceux là. Séduite par cette puissante nature et cette incroyable diversité et richesse humaine, je m’y suis installée. La force de l’environnement présente également complexités et défis à surmonter, vécus et résolus différemment par chacun. Un projet photographique pour en témoigner s’est naturellement imposé à moi.

    Malgré nos diversités, nous avons tous un point commun: Nous avons fait des choix de vies qui reflètent nos valeurs à la recherche d’une vie ‘meilleure’ dans un environnement plus naturel. Mais quelle vie exactement?

    Chacun à notre manière, nous avons recréé et réinventé nos vies dans un environnement où l’emploi est rare, les transports difficiles, les terrains escarpés. Nos choix allaient-ils répondre à nos attentes et nos besoins?

    La façon dont chacun gère le TEMPS et L’ESPACE pour EXISTER dans notre ‘système économique’ me questionne. Comment trouver l’équilibre?

    Par souci d’authenticité, j’ai construit ce projet en demandant à chaque participant de prendre ses propres photos sur ce qu’il considère important dans son quotidien, et qu’il écrive son propre texte en répondant à 3 questions : Quelles sont mes motivations pour venir habiter ici ? De quelle façon vis-je au quotidien ? Quels sont les défis rencontrés liés à mon choix de vie?

    A travers les témoignages visuels, nous découvrons l’univers de chacun. A travers les textes écrits par chaque participant, nous découvrons les bonheurs, les satisfactions et les frustrations, les valeurs et les motivations, les ressentis, les perceptions et les questionnements de chacun sur sa vie ici.

    Cette démarche a permis à chaque participant de regarder sa vie avec un certain recul où l’appareil photo et ‘le crayon’ sont alors devenus des outils d’observation, d’introspection, de réflexion et d’expression.

    Les quelques points de vues présentés ici ne sont bien sûr qu’un petit aperçu des diversités et contrastes de vies que l’on peut trouver dans la vallée, mais permettent de nous montrer la richesse humaine particulière à ce territoire.

    Un grand remerciement à tous les participants qui ont généreusement ouvert leurs portes pour donner vie au projet . A ce jour: Nadine, Rebecca, Hélios, Peter, Lee, Emily, Lauren, Elise et Johan, Chloé et Laurent, Barbara, Paul, Didier, Xavier, John et Sandrine, Camille, Martial, Aurélie, Magali et Olivier, Jean-Marc, Willo & Mina ».

    Sandrine Rousseau

    42 bâches exposées dans le jardin de Couleur Café à Massat jusqu’au 3 novembre 2018

  • Saint-Jean de Verges : L’expo d’octobre au CHIVA

    Saint-Jean de Verges : L’expo d’octobre au CHIVA

    Le Centre Hospitalier du Val d’Ariège accueille Andrew Hay McConnell pour sa série photographique « Born in the USA » pour son expo du mois 

    Andrew Hay McConnell habite Lavelanet depuis six ans ainsi que sa femme Carmen Kolodzey, artiste peintre.

    Ayant vécu vingt-six ans à New York, il en a exploré les rues et a pris de nombreuses photos, en utilisant principalement du noir et blanc, et des films en couleur qui ont été numérisés par la suite.

    Autant de témoignages sur cette mégapole ou se côtoient autant d’individualités que d’individus dans des décors très urbains.

  • Seix : Résidence de création avec Adrien Basse-Cathalinat – du 1er au 28 octobre

    Seix : Résidence de création avec Adrien Basse-Cathalinat – du 1er au 28 octobre

    Le Bus – espace culturel mobile en partenariat avec le Pôle culture et patrimoine de la Communauté de Communes Couserans-Pyrénées  accueille au Château de Seix du 1er au 28 octobre, le photographe Adrien Basse-Cathalinat pour une résidence de création.

    Né en 1989, Adrien BASSE-CATHALINAT vit entre Toulouse et son Béarn natal. Très tôt passionné par l’image, une pratique simple et naïve de la photographie l’a accompagné durant des années et amené à intégrer une formation photographique à Montpellier, jusqu’à l’obtention d’un brevet de technicien supérieur en 2013. Puis sa rencontre décisive avec le photographe membre de l’agence VU, Jean-Luc Chapin, l’orienta vers la construction progressive d’une démarche artistique photographique singulière

    « Apprivoiser la montagne » ambitionne de retracer l’histoire de l’exploration et de la connaissance du Couserans, et plus particulièrement de son espace montagnard, au cœur des Pyrénées. Le projet se compose d’une exposition qui retrace cette histoire du XVIIe au XIXe siècles, à découvrir au Château de Seix à partir du 24 octobre, d’une résidence de création artistique avec le photographe, pour continuer à tisser le fil de cette histoire en s’inspirant des archives, et d’un programme de lectures, de projections et de rencontres d’auteurs dans les médiathèques du Réseau de Lecture Couserans-Pyrénées.

    Venez le rencontrer au Château de Seix le samedi 6 octobre à 16h à l’issue de ses premiers jours dans la montagne couserannaise, et le vendredi 26 octobre à 18h à la fin de sa résidence. Ces rencontres sont des temps d’échanges conviviaux avec l’artiste, animées par Coline Miailhe, médiatrice en arts visuels, et suivies d’un goûter ou apéritif. 

     

  • Gelabra, le Lagopède alpin Pyrénéen d’Ariège et Haute-Garonne

    Gelabra, le Lagopède alpin Pyrénéen d’Ariège et Haute-Garonne

    « Gelabra, le Lagopède alpin Pyrénéen d’Ariège et Haute-Garonne« , c’est le nouvel ouvrage, qui sortira en mars 2019,  de Grégory Odemer qui avait déjà signé « Rescòntres Aladas, les oiseaux de la Plaine d’Ariège« 

    Cet ouvrage n’a rien à voir avec mon précédent ouvrage sur les oiseaux de la plaine d’Ariège. Ici on prend de la hauteur, si j’ose dire ! Les Pyrénées peuvent s’enorgueillir d’héberger trois des six espèces de galliformes de montagne de France dont l’envoûtant et énigmatique lagopède alpin. Sensible aux modifications de son habitat, le lagopède alpin représente un excellent indicateur de l’évolution des milieux ouverts d’altitude. Ceux-ci connaissent actuellement de fortes perturbations du fait des contraintes environnementales et anthropiques.
    Je n’aurais jamais envisagé un tel scénario au début de cette quête, loin d’être gagnée d’avance ! La preuve en est qu’il n’existe pas à ce jour à ma connaissance, en France, de livre photo traitant exclusivement de cet oiseau tant son suivi (et les prises de vues !) régulier au fil des mois demeure compliqué.

    Le précédent ouvrage de Grégory, Rescòntres Aladas, les oiseaux de la Plaine d’Ariège, a été primé cette année au salon du livre de Mirepoix, il avait à cette occasion été interviewé par Stéphane Bourdoncle. 

     

     

    Quelques détails sur le livre :  
    80 photos – 1 aquarelle – 96 pages – Format 28x24cm;  
    Préface de Jérôme Sentilles, Direction de la Recherche et de l’Expertise, ONCFS 31;
    Prix réduit pendant la phase de précommandes : 28€ au lieu de 30€; 

    En précommandes via le site internet (rubrique livres) : www.gregoryodemer.fr

     

  • CHIVA : L’expo du mois d’août : Marc Vandermesse «Petits formats»

    CHIVA : L’expo du mois d’août : Marc Vandermesse «Petits formats»

    Photojournaliste originaire du Nord de la France, Marc Vandermesse s’installe en Ariège en 2005, à l’âge de la retraite. Il pratique la photographie avec passion, cherchant à partager sa vision des choses, des personnes et de la nature.

    Cette exposition intitulée «Petits formats» propose une sélection de sujets et de thèmes qui invitent le spectateur à scruter de (très) près les images dont certaines rappelleront des lieux ou des situations déjà vues ou vécues.

    Il explore des techniques photographiques particulières, cherchant à créer des ambiances originales et à réveiller des émotions. C’est une invitation au voyage, dans l’espace et le temps, qui s’inscrit dans son histoire professionnelle puis dans son histoire personnelle.

    Marc Vandermesse est membre du Club photographique de la vallée de la Lèze.

    Vous pouvez découvrir les photos de Marc Vandermesse tout le mois d’août dans le hall principal du centre hospitalier des vallées de l’Ariège.

  • Orgibet : expo « Portraits de Rue » Jusqu’au 12 Août

    Orgibet : expo « Portraits de Rue » Jusqu’au 12 Août

    Le photographe Olivier Asselin présente trois séries de portraits pris sur le vif dans les rues du Ghana, du Népal et de Cuba.

    Un studio photo rudimentaire qui s’installe tantôt dans un village de montagne, tantôt sur un carrefour de la Havane, où les passants sont invités à prendre la pose, le temps d’un cliché.

    Olivier Asselin est un photographe et vidéaste indépendant qui travaille pour des organisations de médias et de développement à travers le monde. olivierasselin.com

    Noste Courtiu
    route des Pyrénées
    09 800 ORGIBET
    05.61.02.60.17
    noste-courtiu.fr

  • Couserans : Exposition itinérante et rencontres photographiques chez l’habitant – jusqu’au 30 mai

    Couserans : Exposition itinérante et rencontres photographiques chez l’habitant – jusqu’au 30 mai

    Dans le cadre de la résidence de territoire de la photographe Anne DESPLANTEZ qui se déroule jusqu’au 30 mai 2018 sur la communauté de communes Couserans-Pyrénées, le Bus – espace culturel mobile réalisera un itinéraire sur les différentes vallées :

    Tous les habitants sont conviés à participer à ce projet de création photographique partagée !

    Retrouvez le bus à proximité de chez vous : 

    • jusqu’au 7 avril 2018à Massat
    • du 10 au 14 avril à Fabas
    • du 17 au 21 avril à Castillon
    • du 2 au 5 mai à  Prat Bonrepaux
    • du 15 au 19 mai à Seix
    • du 25 au 27 mai à Ste Croix Volvestre

    Au programme : 

    Ouverture de l’exposition « Corpus du corps à la collection » présentant le travail d’Anne DESPLANTEZ, les mercredis et samedis de 10h à 18h et les jeudis et vendredis de 14h à 18h

    Programme de médiation et d’éducation à l’image pour le jeune public, toute la semaine dans le temps scolaire et préscolaire.

    Rencontres photographiques chez l’habitant, sur demande les mercredis et samedis à partir de 16h, les jeudis et vendredis à partir de 18h30

    Rencontre avec la photographe Anne DESPLANTEZ dans le bus, le samedi toute la journée

    Une proposition du Bus espace culturel mobile en partenariat avec l’ADECC  Plus d’infos : www.lebus-espaceculturel.com

  • Ax-les-Thermes : Cycle Ecrivains Voyageurs à la médiathèque – du 2 février au 31 mars

    Ax-les-Thermes : Cycle Ecrivains Voyageurs à la médiathèque – du 2 février au 31 mars

    La médiathèque d’Ax les Thermes, service de la Communauté de Communes de la Haute Ariège, propose un cycle « Ecrivains Voyageurs » du 2 février au 31 Mars : une exposition photo, une soirée lecture par la Compagnie fées et Gestes et un nombre très important et varié d’auteurs dont les ouvrages sont à la disposition du public.

    Le photographe Jean Belondrade accompagne et illustre cette importante collection avec des photographies extraites de ses récents reportages.  

    Du Nunavik à l’Afrique du Sud, de la Chine, l’Inde ou la Russie à l’Alaska, l’Australie ou la Bolivie, sans oublier la vielle Europe, son travail s’apparente à la démarche des auteurs sélectionnés.

    Chaque voyage est motivé par une démarche politique, sociale, humanitaire, une curiosité ou une quête spirituelle, voire une commande industrielle  ou sportive ; cela n’a rien à voir avec du tourisme.

    « C’est un engagement, un travail de fond dans un délai de temps très limité, dit-il : il faut découvrir et aller à l’essentiel en quelques jours. Sept jours pour illustrer 20 pages de magazine sur l’Afrique du sud, cela suppose un engagement total dans l’action ».

    « J ‘ai une histoire pratiquement avec chacune de mes images. Même lorsqu’il s’agit de montrer la vie quotidienne, quand il ne se passe rien, il faut aller chercher chaque image avec les dents.  Créer un lien, spontané, amical, comprendre une situation donnée, se mouiller, s’exposer »

    Les images engagent le photographe comme les mots engagent l’écrivain.

    D’où vous vient ce goût des voyages ?

    • de Tintin, comme beaucoup de mes collègues. Et d’ailleurs Tintin ne fait jamais de tourisme, chaque album est une aventure, une quête, chacun de ses voyages est motivé par une noble raison.

    Y a t-il une autre raison ?

    • J’ai passé mon enfance aux Cabannes au pied du plateau de Beille. Pour moi, au fond du jardin commençait le monde : l’Andorre derrière la montagne de Pech, 6heures de marche et de là, me semblait-il, il n’y avait qu’à descendre gentiment en Espagne puis en Afrique. C’était attirant. J’aime cette idée de vivre sur une frontière.

    Votre écrivain-voyageur préféré ?

    • J’ai adoré Jack London. A la 5° ligne on est pris, on ne le lâche plus.

    Depuis quelques années, Sylvain Tesson. Je partage son amour inconditionnel pour la Russie, j’admire sa force physique et morale, son amour de la poésie. C’est le dernier romantique.

    Une réalisation dont vous êtes fier ?

    Avoir convaincu un grand PDG inaccessible qu’il était du plus grand intérêt de montrer comment vivent au quotidien les 2200 employés de son groupe, en Chine, en Inde, en Uruguay, en Espagne au Maroc et en France. En janvier 2011 chacun, OS, ingénieur ou femme de ménage, a reçu son livre : d’un coup l’autre existait avec un visage, une maison, une vie propre, dans une communauté qui n’était plus économique, mais humaine. On n’était pas dans le management, la communication, la publicité, on était dans la bonne chaleur humaine.

    La photographie a ce pouvoir.

    Soirée Lecture Les écrivains voyageurs, Cie Fées et Gestes – Samedi 24 février à 20h30

    D’amélie Nothomb à Homère, en passant par Alexandra David-Neel, la Cie Fées Gestes vous embarque en voyage. Vous entendrez aussi Alessandro Baricco, Nicolas Bouvier, Arthur Rimbaud, Robert-Louis Stevenson, Jules Verne, Philippe Muray… et des chansons ! Soirée réjouissante en vue !

    Réservation nécessaire

    Renseignements : bibliotheques.cc-hauteariege.fr / 05 61 03 13 35

  • Saint-Pierre de Rivière : Exposition de photographies de Justin JONES – jusqu’au 4 mars

    Saint-Pierre de Rivière : Exposition de photographies de Justin JONES – jusqu’au 4 mars

    Né à Birmingham, en Angleterre, en 1961, j’habite en Ariège depuis 2002. Je suis avant tout peintre et j’ai exposé à Toulouse, Berlin, Londres, Madrid, Barcelone et les États Unis. Bien que j’adore le paysage local, j’étais un artiste plus concerné par la figure humaine, en particulier les portraits, plutôt que par les montagnes et les forêts.

    Cependant, j’ai été rapidement fasciné par le caractère unique du pays de Foix, les possibilités photographiques des vieilles terrasses et des murs de pierre, les ruines envahies et les coins oubliés des hameaux reculés. La beauté rendue plus poignante à cause de ce poids de tristesse perçu. Une histoire de travail désespérément laborieux, sur un petit morceau de terre, en bas des mines, sur les flancs de la montagne, pendant des hivers cruels, puis une dépopulation brutale laissant des villages vides, des terrasses abandonnées et les murs, des murs sans fin, entrecroisant les montagnes comme de vieilles blessures.

    Je me réveille souvent le matin pour trouver ma maison, en haut du Col de Port, au milieu d’un nuage. Tout à l’extérieur est blanc. Je ne peux même pas voir la montagne au fond de mon jardin. J’adore le sens du mystère que cela procure, ou les traces et les motifs après les chutes de neige. Je ne suis pas intéressé par la vue traditionnelle du grand paysage, je préfère le paysage intime, je préfère l’étrange, l’oublié, le mélancolique.

    La beauté qui n’est pas évidente, le genre de beauté qui nous entoure tout le temps, si on peut prendre le temps de regarder.

    Auberge La Barguillère, 18 lieu dit Le Pont 
    Saint-Pierre de Rivière
    05.61.65.14.02
     
  • Foix, L’expo de décembre au CHVA : Stéphan PECCINI

    Foix, L’expo de décembre au CHVA : Stéphan PECCINI

    Stéphan PECCINI passe 100 jours par an dans la montagne, au-delà des sentiers battus, dans des endroits sauvages où il y a peu de monde et généralement des personnes ayant la même passion pour la montagne  ou alors les professionnels de la montagne que sont les bergers et les vachers.

    « Toulousain d’origine, mais ayant beaucoup bougé pour le travail, principalement en France mais aussi pendant près d’un an et demi à Helsinki, je suis revenu à Toulouse depuis plus de dix ans avec mon épouse et mon fils. Helsinki fut le tremplin qui m’a vraiment redonné goût à la photo au travers de la photographie animalière grâce à tous ces espaces sauvages dans ou à proximité de la ville.

     Pourquoi Toulouse ? Pour les Pyrénées et surtout l’Ariège, pour pouvoir profiter de cet espace de liberté en alliant la randonnée et la photographie de paysage.

    J’aime la randonnée, j’aime la photographie et j’aime l’Ariège. Quoi de plus normal alors que de faire une série de tableaux sur les montagne de l’Ariège pour en magnifier les couleurs tout au long de l’année, de la journée et de la nuit et de les partager sur un superbe support. C’est la base de mon exposition ».

  • Trémoulet, Expo « souvenirs, souvenirs » – 11, 12 et 13 août

    Trémoulet, Expo « souvenirs, souvenirs » – 11, 12 et 13 août

    A l’occasion de la fête du village de Trémoulet, qui se déroulera du 11 au 13 août, les habitants vous invitent à découvrir une exposition de photos et de peintures retraçant la vie du village.

    Maya (Marianne Pradère, photographe, pigiste pour le Dépêche du midi et auteure de livre pour enfants) expose, après les avoir remises en forme, des anciennes photos du village que certains habitants lui ont confiées.

    Egalement des peintures de Michèle Fleurier, peintre amateur, ingénieur retraitée, originaire du village où elle a conservé une maison de famille. 

    Cette exposition est la troisième dans l’église de Trémoulet au moment de la fête locale.

    tremoulet-ariege.blog4ever.com

  • St Jean de Verges, Expo photos de Cédric Lafoux « Les détritus au fil de l’eau » – 1er au 30 juin

    St Jean de Verges, Expo photos de Cédric Lafoux « Les détritus au fil de l’eau » – 1er au 30 juin

    Cédric Lafoux est un photographe amateur originaire du Gard, installé en Ariège en 2000.

    Embauché à Auzat dans une association (Haute-Ariège) il va passer dix ans à nettoyer les rivières de tous les détritus et autres décharges sauvages sur tout le département et parfois jusqu’en Haute-Garonne.

    Par manque de financement l’équipe de travail se voit licenciée et l’association dissoute. Il décide alors d’aborder un travail de sensibilisation auprès de grand public avec une série de clichés pris ça et là au fil de l’eau. Avec une mise en image douce mais sûre des déchets, l’auteur veux rappeler au visiteur que la préservation sanitaire des cours d’eau est, au-delà, la préservation de la ressource vitale.

    Certaines photographies donnent l’envie d’y retirer cette chose disgracieuse et polluante du cadre, comme il voudrait qu’on le retire du ruisseau lui-même.

    Du 1er au 30 juin

    Hall principal du centre hospitalier du val d’Ariège    

    Contact : Cédric Lafoux 06 73 07 13 24