C’est samedi dernier que la station des Monts d’Olmes organisait la première course à ski des élus ariégeois. Plus d’une vingtaine de participants pour cette première édition étaient venus, carres affutées, comparer leur style, leur efficacité dans les virages et leur performance sur les skis, tout ceci bien entendu dans la bonne humeur et sous le regard amusé d’une championne venue incognito …
L’appel avait été lancé par la station des Monts d’Olmes il y a quelques semaines, et certains élus venus de pratiquement toute l’Ariège ont pu aussi découvrir la station pour la première fois. Ils ont pu se mesurer sur une neige encore présente mais d’une qualité variable et changeante tout au long de la matinée : de la neige de printemps qui donna quelques soucis à certains….
Mais l’essentiel des objectifs de cette initiative n’était pas de déterminer quel élu allait pouvoir « mater » ses collègues, même si l’esprit de compétition et le souffle de la concentration ont pu se ressentir en départ de course, chacun a su mettre l’ambiance conviviale qui était au rendez-vous !
«Cette première édition s’est révélée une pleine réussite, puisque 20 participants ont pris le départ, mais c’est plus d’une centaine d’élus de tout le département qui sont venus encourager leur collègue !» précise Nathalie Quérol en charge de la communication de l’évènement et de la station.
Le leitmotiv de cette journée était donc de partager un moment convivial entre et avec les élus locaux : objectif plus qu’atteint !!!
«Tous, nous ont félicité pour cette initiative et ont dit avoir passé un excellent moment sur la station» précise Nathalie
Les trois premiers ont été récompensés dans la catégorie Homme et Femme, Mme La Préfète a reçu un prix pour sa participation puisqu’elle était hors compétition ainsi que le vétéran, Marcel Girma et le plus jeune participant, Kamel Chibli.
Par tirage au sort, un dossard offert par Perrine Laffont a été remporté par Michel Maugard de Nalzen.
Pour terminer, il faut ajouter que la somme récoltée par les inscriptions a été reversée à Perrine Laffont.
Depuis 2004, l’association ECORCE s’est donné pour objectif de sensibiliser et de former à l’éco-construction, par des actions de : formations pratiques et théoriques, de conseils, d’accompagnement sur chantiers ou encore de location d’outils.
Vendredi 10 mars avait lieu, à Lavelanet, une journée de formation au bricolage et à l’entretien locatif, dans un appartement prêté par la municipalité.
C’est depuis le 23 février, que l’association a commencé desactions gratuites et à destination de public à faible revenu sur la commune de Lavelanet, et ce, jusqu’au 5 avril 2017.
Ce vendredi, l’atelier «Bricolage et Logement» emmené par Pascale Domec membre d‘ECORCE et Conseiller indépendant en diagnostique thermique,portait sur le bruit, le dégraissage, l’éclairage, la ventilation ou la peinture. « le thème de la ventilation est hyper important. Dans la plupart des logements, les dégâts proviennent de là. » explique t’elle.
Pour des questions sur l’entretien courant et la réparation de votre habitat, une permanence-conseil est prévue le mercredi 5 avril de 15h à 18h à la Maison des Projets de Lavelanet. Pour repeindre votre maison ou votre appartement deux jours de formation à la Peinture naturelle sont prévus le vendredi 24 et samedi 25 mars, au 43 avenue Charles de Gaulle à Lavelanet.
Mais ECORCE, c’est aussi, des soirées d’information sur la permaculture, des formations à la toitures végétale, des visites de maisons éco-construite…
Les permanences à Lavelanet : Maison des projets, 11 rue de Verdun. Horaires : mercredi 9h-12h, 14h-17h, jeudi et vendredi de 9h à 12h. maisondesprojets.lavelanet@orange.fr
C’est vendredi dernier à Crampagna, que la première réunion publique pour la présidentielle a été organisée sur notre département, et c’est le mouvement « En Marche » qui était à la manoeuvre.
Alors que la campagne, après l’organisation des primaires (à gauche et à droite) semble au point mort sur l’Ariège, le mouvement « En Marche » organisait sa première réunion publique dans le cadre de la présidentielle.
Le mouvement qui commençait à prendre son envol à peine il y a quelques semaines, a franchi le pas en organisant cette première rencontre qui a réuni une centaine de partisans et curieux à la salle des fêtes de Crampagna.
La soirée avait pour objectif de présenter les membres « actifs » du mouvement sur l’Ariège et deux points particuliers du programme d’Emmanuel Macron : « Travail et Emploi » et « Territoires et ruralité ». Ce dernier point est jugé prioritaire pour un département « à gauche » comme l’Ariège et qui fait l’objet d’interrogations dans les départementaux ruraux comme le nôtre. «En marche est jugé comme un mouvement politique urbain par les ruraux et il est de notre devoir de présenter les solutions qu’Emmanuel Marcon propose pour ces territoires, c’est essentiel» précise Michel Bernos du comité politique national.
Michel Bernos un des ténors de la campagne du mouvement et maire de Jurançon a été chargé d’animer la soirée après que les membres locaux ont été chargés de chauffer la salle en présentant les principes de « bienveillance » propres au mouvement et les deux points du programme choisis pour la réunion.
De nombreuses questions ont été posées par la salle et certaines sont restées en suspend et fait l’objet d’un recadrage : une question sur la désaffection des commerces de centres villes comme Pamiers, jugée plus de la responsabilité de politiques locales et des élus locaux qui ont été pour l’occasion sommés de prendre leur responsabilité et assumer les choix politiques du passé.
Une autre interrogation a été soulevée par Arnaud Diaz, Maire de l’Hospitalet et créateur du mouvement « La montagne Rebelle » sur les propositions de suppression de la taxe d’habitation pour les classes moyennes et de son impact sur l’autonomie budgétaire des communes rurales.
La soirée s’est terminée, comme il se doit, par un verre de l’amitié où les organisateurs ont pu se féliciter du succès rencontré et du travail accompli, car on l’oublie : tous sont des novices en politique et connaissent avec « En Marche » leur première expérience de militantisme !
Inauguré le 20 janvier 1867 par Eugène Puget fils de Théodore Puget facteur d’orgues, l’Orgue de l’église Notre-Dame-de-l’Assomption à Lavelanet fête cette année ses 150 ans. Ce «vieux Monsieur» à été classé au titre des Monuments Historiques en 2000, présentation par Philippe Lecoq organiste de Lavelanet en vidéo.
Nous avons rencontré il y a quelques jours, Monsieur Philippe Lecoq, organiste de la paroisse de Lavelanet depuis 1998. Venu de Normandie où il avait déjà des activités autour de l’Orgue, il est devenu organiste de Lavelanet depuis. C’est le prêtre de l’époque, le père Lasalle qui lui demande d’accompagner les offices et de jouer des pièces musicales.
L’Orgue a été construit par la firme toulousaine « Théodore Puget » dont le grand-père, dit-on, était originaire de la région de Lavelanet – d’après le compte-rendu du concert d’inauguration.
Cet orgue présente un certain nombres d’innovations par rapport à ce qui ce faisait à l’époque comme l’explique Philippe :
«L’orgue de Lavelanet présente une évolution caractéristique dans la facture des Puget et même plus généralement dans la facture du sud-ouest et de notre pays. A cette époque Eugène prend de plus en plus d’importance dans la manufacture « Théodore Puget et fils » et il réalise ici un instrument entièrement expressif permettant de nuancer l’accompagnement du chant, mais aussi d’obtenir une grande variété d’effets sonores propres à faire « éprouver des sensations nouvelles, inconnues ».
Eugène, un des neuf enfants de Théodore, avait la réputation, en plus de son talent d’organiste, d’être un excellent harmoniste. Il a réalisé à Lavelanet un instrument qui allie « une grande puissance … une entière plénitude sonore » et « une agréable diversité de timbres ».
L’orgue de Lavelanet se situe encore à cette période charnière, déjà dépassée à d’autres endroits, entre l’apogée de l’orgue classique, qui disparaît pratiquement emporté avec la Révolution, et l’orgue romantique puis symphonique qui aura toutes les faveurs, jusqu’à la dernière guerre mondiale.
Après la guerre, il y a eu des projets pour faire évoluer l’Orgue, de le transformer pour le mettre au goût du jour, mais le prêtre de l’époque s’y est opposé et l’Orgue est « heureusement » toujours dans état originel.
L’association les Amis de l’Orgue de Lavelanet, créé en 2016, a pour but de promouvoir la préservation et le rayonnement musical de l’orgue et d’organiser les manifestations de cet anniversaire qui se dérouleront du 1er avril au 18 août.
Programme des manifestations organisées par l’association des Amis de l’orgue de Lavelanet
Samedi 1er avril, 16h00, à l’église paroissiale : Concert-lecture « La Passion du Christ ». Texte de Charles Péguy (1873-1914) dit par le comédien-metteur en scène Olivier Chombart, avec illustrations musicales par Philippe Lecoq, organiste titulaire. En collaboration avec la paroisse (Gratuit)
Mercredi 3 mai, après-midi, à l’église paroissiale : Atelier découverte de l’orgue pour les élèves de piano de l’Ecole municipale de musique« René Allabert ». Ils pourront avec leur professeur, Véronique Laborie, jouer sur l’orgue de courtes pièces qu’ils auront auparavant apprises avec elle.
Mercredi 10 mai, 18h30, à l’église paroissiale : Concert avec les élèves des classes de cuivres et de piano de l’Ecole municipale de musique « René Allabert » et leurs professeurs : Pierre Louge-Soulé et Véronique Laborie. En collaboration avec l’Ecole de musique (Gratuit)
Jeudi 11 mai, 21h00, au cinéma » La Casino « : Ciné-concert avec l’organiste Jean-Baptiste Dupont, 1er prix du Concours international d’improvisation de St Albans (Angleterre, 2009). Films de Georges Méliès. En collaboration avec le cinéma « Le Casino ». (Entrée : 6 €*)
Dans le cadre des Journées nationales des orgues :
Samedi 13 mai, 10h30, 11h00, 11h30, 14h00, 14h30, à l’église paroissiale : visites de l’orgue. (Gratuit)
Samedi 13 mai, 21h00, à l’église paroissiale : Concert par le duo « Vox Humana » : Bastien Milanèse et Julien Girard, orgue et chant. Mélodies françaises et « songs » anglaises et américaines, du XVIe au XXe siècle (Entrée : 8 €*)
Dimanche 14 mai, 14h30, 15h00, 15h30, à l’église paroissiale : Visites de l’orgue (Gratuit) et à 16h30 : Concert orgue et chant « Marie en Mai » : cantiques anciens par le chœur paroissial, lectures de poèmes par Olivier Chombard, orgue et chant par le Duo « Vox Humana » (Gratuit)
Dimanche 21 mai, 16h30, à l’église paroissiale : « Fauré en son temps » avec l’Ensemble vocal « Voix d’Apamée » dirigé par Alex Rivals et Stéphane Bois, orgue. « Requiem » de Fauré pour chœur, motets de Fauré et Saint-Saens et œuvres pour orgue. (Entrée : 10 €*)
Haltes musicales du marché, les vendredis à 11h00 (durée : 40 mn)
28 juillet : Saori Sato, orgue, et Patrick Vivien, Théorbe.
4 août : Michel Alvarez, Michel Lassalle, trompette et Brian Sammons, orgue
11 août : Jean-Claude Guidarini, orgue, et Nicole Fournier, soprano.
18 août : Christine Genet, orgue, et Jean-François Gouffault, violon.
Perrine Laffont est montée sur la première marche du podium aux championnats du monde de ski de Bosses aujourd’hui en Sierra Nevada.
Après le doublé en Argent en Single pour Perrine Laffont et Benjamin Cavet la veille, l’Equipe de France de Ski de Bosses s’est présentée plus forte que jamais ce jeudi 9 mars sur l’épreuve en Dual : Perrine a terminé à la première place !
Quelle évolution pour la jeune Perrine Laffont dont les performances s’accroissent chaque saison (de 3e au général l’année dernière, elle passe à seconde cette année et remporte deux premiers titres aux Mondiaux seniors).
«18 ans et Championne du Monde … j’ai du mal à le croire encore» avoue Perrine Laffont sur sa page Facebook, ce qui va être le cas pour pas mal d’ariégeois aussi !
Source : Fédération française de ski et page de Perrine – Crédits photos : Agence Zoom
Ecrivain public, conseiller littéraire et éditeur, Florence Cortès aime à se qualifier de «Scribe des temps modernes». Du latin scriba, de scribere, écrire, il désignait dans l’Égypte antique un fonctionnaire lettré, éduqué dans l’art de l’écriture et de l’arithmétique.
Chargée de communication de formation et auteur, Florence est persuadée que, «sans communication, l’homme n’est rien», c’est pourquoi elle a décidé d’aider les autres à communiquer par l’écrit en créant son cabinet Vox Scriba .
Sa palette de prestation est large : élaboration ou mise en forme de lettres personnelles ou administratives, de curriculum vitæ, de récits de vie, de biographies, de témoignages, de discours, de lettres d’amour….
Mais là ne s’arrête pas ses compétences, puisque Florence est également conseiller littéraire et éditeur. Que vous vouliez écrire votre manuscrit, que vous soyez en train de l’écrire ou que vous l’ayez terminé et que vous voulez l’éditer, elle peut vous accompagner dans cette belle aventure et ce, quel que soit votre niveau, en vous apportant une lecture critique et constructive, des corrections pertinentes, des suggestions pour retravailler votre texte, des conseils sur la structure de votre récit, son style, sa mise en page, sa cohérence dans la narration.
Vox Scriba c’est aussi une maison d’édition
Avec plus de 80 titres à son catalogue, Florence Cortès édite des auteurs locaux sans but commercial «l’édition ne me rapporte pas d’argent, quelque fois même j’en perds» avoue t’elle. «J’ai l’impression de servir une cause, la cause d’auteurs qui n’auraient pas été publiés ailleurs mais qui veulent partager leur passion»
La voix du scribe
Avec d’autres écrivains publics ariégeois, Elle a créé l’association «La voix du scribe». Avec des ateliers, des stages, des permanences, des cours ou encore des formations et l’organisation de manifestations, l’association propose bénévolement du soutien aux personnes qui ne maîtrisent pas suffisamment l’écrit, aux personnes illettrées et aux personnes analphabètes.
Alors, si on demande à Florence si c’est une bonne situation scribe ? elle répondra oui sans aucun doute.
La Journée internationale pour les droits des femmes fait partie des 87 journées internationales reconnues ou initiées par l’ONU.
Elle a été officialisée en 1977 et trouve son origine dans les luttes des ouvrières et suffragettes du début du XXe siècle, pour de meilleures conditions de travail et le droit de vote.
Cette journée est issue de l’histoire des luttes féministes menées sur les continents européen et américain. Le , une Journée nationale de la femme (National Woman’s Day) est célébrée aux États-Unisà l’appel du Parti socialiste d’Amérique. Cette journée est ensuite célébrée le dernier dimanche de février jusqu’en 1913
En 1910 à Copenhague, l’Internationale socialiste adopte l’idée d’une « Journée internationale des femmes » sur une proposition de Clara Zetkin (Parti social-démocrate d’Allemagne) et Alexandra Kollontaï (menchevik du Parti ouvrier social-démocrate de Russie, future Commissaire du Peuple), sans qu’une date ne soit avancée. Cette journée est approuvée à l’unanimité d’une conférence réunissant 100 femmes socialistes en provenance de 17 pays.
La première Journée internationale des femmes est célébrée l’année suivante, le et revendique le droit de vote pour les femmes, le droit au travail et la fin des discriminations au travail. Des rassemblements et manifestations ont dès lors lieu tous les ans.
Les insurgées de l’époque sont des femmes ordinaires de toute origine et de toutes condition : ouvrières, mères de famille, femmes de soldats, françaises, russes, voyant leurs droits mais également leurs valeurs ignorés.
Au cours de l’Année internationale de la femme en 1975, les Nations Unies ont commencé à célébrer la Journée internationale de la femme le 8 mars. En 1977, l’Assemblée générale des Nations Unies a adopté une résolution proclamant la Journée des Nations Unies pour le droit de la femme et la paix internationale, reconnaissant le rôle important de la femme dans les efforts de paix et dans le développement.
Mais la journée internationale pour les droits des femmes c’est aussi l’occasion de dresser le bilan des progrès réalisés, d’appeler à des changements et de célébrer les actes de courage et de détermination accomplis par les femmes ordinaires qui ont joué un rôle extraordinaire dans l’histoire de leur pays et de leur communauté.
Chaque année un thème différents est abordé, 2017 sera : « Les femmes dans un monde du travail en évolution : une planète 50 – 50 d’ici à 2030»
En Ariège
En Ariège, des marches exploratoires ont été organisées par les associations Regards de Femmes et Faire Face, avec des habitantes du quartier Foulon-Gloriette, qui ont permis d’établir un diagnostic, des constats et des préconisations de nature à améliorer la sécurité, la mobilité et la présence des femmes dans l’espace public de ces quartiers.
A l’occasion de la journée internationale des femmes, la préfète de l’Ariège accueille ce 7 mars 2017, ces femmes d’Ariège qui marchent vers l’égalité, ainsi que l’ensemble des partenaires associés au projet, pour un retour d’expérience des actions menées dans notre département autour de ce dispositif.
8 mars 2017 Azinat.com adopte la résolution de parler des femmes ariégeoises.
Bien sûr on ne peut pas parler de toutes les femmes alors nous avons décidé de parler de celles classées dans notre Who’s who, il faut faire un choix. Mais on le sait il y en a beaucoup d’autres.
Elles sont journaliste, historienne, femme politique, chef d’entreprise, artiste peintre photographe ou écrivain et elles sont au classement des 99 premiers « Ambassadeurs de l’Ariège sur le Net ». Alors qui sont ces femmes qui, par leur notoriété sur le web, font la promotion de l’Ariège.
Floriane Caux, photographe, qui caracole en tête du Who’s who depuis des mois.
Frédérique Massat, Députée et Présidente de la commission des affaires économiques de l’Assemblée Nationale.
Perrine Laffont notre jeune «bosseuse» qui après un début de saison fort réussie, sera justement ce 8 mars aux Championnats du Monde en Sierra Nevada pour l’épreuve de parallèle.
Annie Fachetti anciennement chargée de communication à Ariège Expansion, ce qui lui avait valu d’être , durant de nombreux mois à la première place de notre who’s who et qui est maintenant chargée de Mission chez MADEELI, l’agence régionale de développement export innovation.
Anne Brenon, ariégeoise de coeur, historienne et auteur de nombreux ouvrages sur le catharisme. Elle aussi fut première de notre classement.
Claudine Palhiès, Directrice des Archives départementales de l’Ariège et chargée de cours à l’Université de Toulouse-Le-Mirail, qui nous avait gentiment reçu pour une visite passionnante des archives.
Florence Guillot Directrice de la Maison des Patrimoines d’Auzat et Docteur en Histoire et Archéologue en charge des fouilles archéologique du château de Montréal de Sos.
Françoise Pancaldi, Maire Adjointe à la Mairie de Pamiers et Déléguée à la Communauté de Communes du Pays de Pamiers.
Cécile Dupont, rédactrice en chef de la Gazette Ariégeoise
Josette Elay qui a mis l’Ariège au centre de son roman « Secrets de granit ».
Mathilde Mignier, Couserannaise et championne de Savate Boxe française qui a décroché son deuxième titre de championne du monde de savate boxe française, en septembre 2016, en Croatie.
Ce mercredi 8 mars 2017, nous rendons donc hommages à ces femmes et toutes les autres qui font de l’Ariège un département où la réussite n’est pas un vain mot.
Enseignante d’histoire-géographie à la cité scolaire de Mirepoix, Sylvie Wesolowski anime depuis l’année scolaire 2011-2012 l’agenda 21 scolaire de l’établissement.
Le lundi 27 février Sylvie a organisé, avec une classe d’élèves de seconde, un nettoyage des abords du Countirou dans sa partie accessible de la Voie Verte à proximité de Super U. Une opération qu’elle a intitulé «nettoyage d’hiver».
Professeur et élèves avaient travaillé, tout un semestre auparavant, en géographie et en aide personnalisée, sur le zéro déchet, le gaspillage alimentaire, l’impact des plastiques au niveau des océans.
En ce lundi ensoleillé, place donc aux travaux pratiques, le nettoyage du ruisseau. Durant tout l’après midi, munis de gants et de sacs jaunes et noirs les élèves ont récolté pas moins de 10 sacs poubelles de 30 litres principalement remplis de canettes et de bouteilles et dix sacs jaunes contenants beaucoup de bouteilles de sodas et de paquets chips ou de gâteaux. Dans les déchets «spéciaux» : des couches culottes de bébé usagées, deux chaises, une roue de voiture, et un moyeu de camion.
L’objectif de cette collecte de déchets, outre de sensibiliser les adolescents à la réduction des déchets, est d’en faire un inventaire qualitatif et quantitatif. Ils seront comparés à ceux trouvés dans un cadran sur les plages d’îles isolées de Patagonie durant l’expédition Ultima Patagonia 7 afin de faire le lien entre ce qui est jeté à terre, et ce que l’on retrouve dans les laisses de mer.
Le bilan de toutes ces opérations ; visio-conférence en direct de la Patagonie avec l’équipe de l’expédition du Centre Terre, le nettoyage et son bilan statistique, sera diffusé à la communauté scolaire sous forme de pdf via l’ENT et par envoie aux élèves et aux familles.
Concepteurs et développeurs de site internet depuis plus de 10 ans, Lionel Bouzonville et Thomas Champion sontdeux artisans du monde numérique et ont fondé, en août 2015, la S.A.S Politizr.
L’ambition de la plateforme « Politizr » est de recréer du lien entre les élus et les citoyens et de permettre aux uns et aux autres de discuter de manière sereine et constructive sur les propositions des citoyens.
Elle repose sur quatre piliers fondamentaux :
– Reconnaitre la légitimité des élus qui peuvent discuter des sujets dans la profondeur sans être interrompus par les citoyens. Les citoyens ne peuvent intervenir que sur les sujets qu’ils ont initiés eux mêmes, les élus ont la possibilité d’intervenir sur l’ensemble des discutions sur leur territoire.
– La transparence : Les élus peuvent faire la preuve de leur compétence en argumentant et en ayant des débats de fond en dehors du temps médiatique ou en dehors du temps des réseaux sociaux.
– Politizr a une forme qui encourage le fond en permettant aux élus de rentrer dans une argumentation de fond.
– Le temps : Les sujets ne sont jamais clos, ce qui permet aux élus d’argumenter dans la longueur et de réintroduire du temps politique.
Encore fortement ancrée en Ariège avec 200 utilisateurs ariégeois, Politizr est en développement au niveau régional et national. La plateforme compte à ce jour 1500 utilisateurs – dont 150 élus – et 600 sujets de discussion.
Lionel et Thomas espèrent, dans un avenir proche, devenir une plateforme réflexe pour les citoyens qui veulent interpeller leurs élus. Gageons qu’en cette période électorale ça ne saurait tarder.
C’est dans le cadre prestigieux des salons de la préfecture que 40 nouveaux français ont reçu des mains de madame la préfète de l’Ariège, Marie Lajus, leur document officiel de naturalisation jeudi dernier à Foix. Accompagnés pour la plupart de leurs élus des différentes communes d’appartenance, leur émotion a été grande devant une salle comble…témoignage en vidéo.
Devenir français n’est pas une mince affaire et ça se gagne : un long processus administratif, une bataille personnelle qui ne peut être mû que par la forte volonté de devenir français.
Souvent le chemin est long comme Mariam qui vient de Géorgie et qui a dû, alors qu’elle était toute jeune passer par l’aide de nombreux amis « ariégeois » et même des manifestations devant la préfecture pour obtenir une régularisation pour rester sur le sol français et ensuite, et enfin, la naturalisation tant attendue pour permettre une intégration pleine et entière dans la société civile.
Pour Mariam, c’était beaucoup d’émotion jeudi soir, elle qui aujourd’hui poursuit des études de droit en troisième année à Toulouse et qui a dû passer par toutes ces étapes.
Beaucoup d’émotions, après un long parcours !
Devenir français, c’est un long parcours qui aboutit parfois à une naturalisation qui «donne des droits mais aussi des devoirs» comme le précise Marie Lajus, notre pays se nourrit d’apport de population de tout horizons et de tous les pays ; Jeudi soir c’était 14 « nationalités » qui demandaient à devenir français (Roumanie, Géorgie, Italie, Allemagne, Grande-Bretagne, Maroc, Algérie, Afghanistan, Guinée, Arménie, Ukraine) pour 40 personnes qui étaient accueillies par la république.
Et c’est ainsi qu’Alice, Eléna, Mariam, Outhman, Ruben, Anne, Anton, Gakier, Philippe, Jaouad, Denis, Nauman,Paulo, Yousri, Stéphanie, Joyce, Adam, Ihia, Redane, Juliette, Mathias, Cécile, Saïd, Naïma, Shamsul Haq, Diane, Kadiatou, Rabah, Luciano… ont rejoint la longue lignée des français naturalisés qui pour certains encore, enorgueillissent la république à l’instar d’Émile Zola, Marie Curie, Jean Ferrat, François Cavanna, etc.
A noter plus récemment que Manuel Valls, ancien premier ministre fût lui aussi naturalisé en 1981.
Vendredi dernier, une centaine de personnalités locales et régionales venait inaugurer les locaux de TARAMM qui avaient brulé le 18 décembre 2015 alors que l’établissement était installé à Labège et où 80% des locaux avaient été détruits. Cet incident avait poussé l’entreprise à venir installer l’ensemble de sa production sur l’Ariège à Mazères.
Carole Delga qui faisait partie de la délégation qui inaugurait TARAMM et que nous avons interviewé, rappelle à quel point la région est une région d’excellence en matière d’industrie notamment liée au pôle aéronautique toulousain : «L’Occitanie est la seule région de France qui continue à créer des emplois dans le domaine de l’industrie, donc nous avons une volonté d’investir auprès des industriels.
Ici sur Taramm c’est plus d’1 200 000 € qui a été apporté par la région pour aider au développement de cette entreprise, mais nous soutenons également sur d’autres sur le site de Mazères comme GARDNER. Nous avons aussi une volonté d’accompagner sur les autres territoires de la région l’industrie ; je pense à la mécanique Valley autour de RATIER FIGEAC, AERO FIGEAC, je pense également aux sites Tarbais où il y a une forte sous-traitance aéronautique ou au site d’Alès dans le Gard…
L’industrie est un secteur qui représente plus 100 000 emplois sur toute la région.»
Louis Marette le maire de Mazères rappelle le positionnement stratégique de la vallée de l’Ariège liée à la proximité de Toulouse. Mazères et ses différentes zones industrielles proposent en effet une proximité et une offre immobilière à des tarifs bien moins élevés que ceux de Toulouse : «L’initiative de l’industrie à Mazères ce n’est pas moi, mais André Trigano qui en 1971 a décidé de la création de la première zone industrielle à Mazères…
…Aujourd’hui Il y a quatre zones industrielles, qui sont diversifiées : on a une zone pyrotechnique avec Lacroix Ruggieri qui est le leader européen en matière de militaireset de contre-mesures et qui emploie 400 salariés sur 125 hectares.
Il y a deux zones autour de la sortie de l’autoroute nous on est pour des entreprises qui ont besoin de l’espace comme TARAMM, KEOLIS ou DEANJEAN LOGISTIQUE sur une zone logistique qui fait 80 ha où on peut accueillir encore beaucoup à des prix beaucoup plus raisonnables que la ceinture toulousaine.
Il y a une zone artisanale de l’autre côté de l’autoroute et il y a la zone historique de Mazères où est GARDNER AÉROSPACE un autre sous-traitant d’Airbus qui fabrique les parties des berceaux des moteurs de l’ A305.
On est en plein dans le titane et dans ces entreprises qui ont beaucoup misé sur l’avenir et on veut continuer !»
Perrine Laffont l’Ariégeoise de l’équipe de France de ski de bosses a enfin retrouvé le podium et à la première place pour la première fois de cette saison du championnat du Monde hier en Chine ! L’épreuve des duels aujourd’hui permettra d’y voir plus clair sur son classement mondial.
Perrine a signé la troisième victoire de sa carrière, après celles de Tazawako (Japon) et Moscou (Russie) en 2016. La voilà désormais sur la plus haute marche de son 4e podium de la saison, devant Britteny Cox. De plus Perrine Laffont conforte sa 2eme au général derrière l’Australienne.
«Je suis de retour sur la plus haute marche du podium ici en Chine ! Beaucoup d’adrénaline et de plaisir sur cette piste technique !»
Samedi Perrine déclarait à Ski Chrono (Dauphiné) «C’est cool ! (…) Il fallait que je me fasse confiance. Je suis passée au-dessus. Rien n’est acquis, peut être que demain ce sera plus compliqué avec les duels. Mais j’apprends.»
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