Non loin de Saint Girons dans le petit village de Montardit en bordure de la route qui mène à Sainte Croix Volvestre, se trouve un un endroit humide où l’eau s’écoule goutte à goutte : le lieu-dit La Goutte. Dans ce petit coin du Couserans on y découvre cette curieuse petite chapelle construite entre 1968 et 2001 par l’Abbé Jean-Marie Piquemal : Notre Dame de Lagoutte.
C’est au hasard d’un de nos reportages que nous sommes passés devant. Impossible de ne pas s’arrêter devant ces petites constructions dignent des plus grands surréalistes ! Un peu à l’image du « Palais Idéal du Facteur Cheval » en Miniature. Nous y avons déambulé au milieu de la pierre et du fer.
Jean-Marie Piquemal, Ariégeois, fils d’agriculteurs de Massat, ordonné prêtre en 1949, rejoint Arnave près de Tarascon où il fera la démonstration de ses talents de bâtisseurs en restaurant une petite chapelle romane.
Nommé à Montardit en 1951, son sacerdoce s’étendit en 1964, sur six villages : Sainte Croix, Lasserre, Mérigon, Mauvezin, Montardit et Contrazy. Bâtisseur dans l’âme, après avoir terminé des travaux de restauration dans l’église du village de Sainte Croix, il entreprend à partir de 1968 la construction de la chapelle et choisi le lieu-dit La Goutte, un lieu facile d’accès pour tous ses paroissiens.
Consacrée à Notre-Dame la chapelle a été inaugurée en 1976 par Mgr Soulier, évêque de Pamiers, mais l’abbé poursuivit la décoration de la chapelle et de ses alentours jusqu’à sa mort en 2001
Pour expliquer sa frénésie de construction, l’abbé Piquemal explique : « Je me suis mis à ramasser des cailloux, puis des pierres un peu partout, puis j’ai cherché un maçon. Lui maçonnait, moi je faisais le manœuvre… Je ramassais des galets, je taillais de belles pierres… avec l’acharnement des chercheurs d’or« . Il fut aidé dans sa tâche par un petit groupe de bénévoles et par le maçon François Folch-Corbi.
En 1985, Notre Dame de Lagoutte est devenue un lieu de pèlerinage du diocèse de Pamiers de façon aussi imprévisible et imprévue que sa construction. Le pèlerinage tombe le 15 septembre, fête liturgique de Notre-Dame des Sept Douleurs
Que l’on soit croyant ou non, on ne peut qu’être surpris et attiré par la beauté et l’étrangeté de ce lieu insolite.
En près de 15 ans, la manifestation LUDOVIA est passée de 100 participants en 2004 à Saint-Lizier, à plus de 1000 en 2017 à Ax les Thermes. Cet incontestable succès de participation, d’estime et surtout d’utilité pour le passage du crayon bille à l’ordinateur et à la tablette est dû à un concept intelligent (LUDOVIA, c’est le chemin vers le ludique à l’école) qui vient de franchir un nouveau cap hors de l’Ariège en s’exportant il y a quelques jours en Suisse, plus exactement à Yverdon-les-Bains, ville thermale de 30.000 habitants près de Lausanne dans le canton francophone de Vaud.
Cette première édition de Ludovia#Ch a donc marqué les 27, 28 et 29 mars le passage à l’externalisation d’un événement né et développé en Ariège.
Elle a été inaugurée mardi soir en présence d’une délégation du département de l’Ariège, conduite par Henri Nayrou, Président du Conseil Départemental et composée de Didier Kuss, directeur de l’Agence Ariège Attractivité, Eric Fourcaud, concepteur chargé du développement de Ludovia, et de Sylvie Couderc, Directrice de l’Office de Tourisme des Pyrénées Ariégeoises.
Du 27 au 29 mars, Ludovia passe à l’heure suisse. L’université d’été de l’e-éducation, née en Ariège et qui prépare déjà sa 15ème édition à Ax-les-Thermes au mois d’août prochain, exporte en effet sa marque et son savoir-faire à Yverdon-les-Bains, dans le canton de Vaud. « Ludovia.ch » a été inaugurée mardi soir en présence d’une délégation du département de l’Ariège, conduite par Henri Nayrou, Président du Conseil Départemental.
Lors de l’inauguration en présence du maire de la ville, du recteur et de la directrice générale de l’université du lieu, le président du Conseil Départemental a pris la parole en ces termes :
« C’est un honneur pour notre délégation venue d’un petit département du fond de la France d’être conviée ici au cœur de la Confédération Helvétique pour vulgariser le concept Ludovia né petit et devenu grand, non pas grand, plutôt utile, plutôt d’avant-garde et surtout de grand avenir ».
Puis, il rappelait également la cohérence du développement de la manifestation parallèlement au déploiement des NTIC sur le territoire. « L’Ariège a compris, dès les années 2000, l’importance de la couverture numérique pour accroitre son attractivité : connecter les zones d’activité économique, développer le e-commerce, permettre le télétravail ». Et d’indiquer le lancement du Plan Ariège Très Haut Débit il y a quelques jours à peine, un projet à 140 M€.
Les Ariégeois sont également intervenus le mercredi matin comme Grands témoins du séminaire organisé dans le magnifique amphithéâtre de la Haute École Pédagogique d’Yverdon avant de repartir en donnant rendez vous à leurs hôtes au 21 aout à Ax les Thermes, date du lancement de la 15e édition de LUDOVIA.
Source : CD09
Photo : Lyonel Kaufmann de la HEP VAUD chef de projet de l’Université de printemps de LUDOVIA et Henri Nayrou président du Conseil départemental de l’Ariège devant l’affiche de la première édition de LUDOVIA.CH
Le printemps est « presque » arrivé et avec lui le premier classement des 99 personnalités à plus forte notoriété en Ariège.
Avec peu de surprise, c’est Perrine Laffont, qui se classe première avec un score encore jamais vu depuis le début du Who’s who, puisque ce sont pas moins de 1 120 000 pages référencées sur Google.
En seconde position et remontant de 19 places, un autre grand nom ariégeois du sport, Fabien Pelous, avec un nombre 48400 pages référencées.
En troisième Place Floriane Caux, qui perd une place mais reste quand même sur le podium.
Les voies de Google étant impénétrables en quatrième position, avec un total de pages de 22 800, Gérard Bancal artiste peintre graveur, qui, jusqu’à présent, se classait en fin de Who’who remonte de 96 places.
Sportifs et artistes tiennent donc le haut du pavé en ce début d’Année
Dans les belles remontées de ce trimestre on note : Kader Nadjar qui gagne 44 places et se classe 61ème, Anne Brenon 30 places, Florent Adroit 29 places et Claudine Pailhes 22 places.
Rendez-vous fin juin pour le classement du second trimestre
Classement des 99 personnalités à plus forte notoriété en Ariège. Score avec catégorie et nombre de pages référencées sur Google.fr (méthode : recherche par nom associé au mot ariège *, comme : »Prénom Nom » Ariège ) Premier classement effectué le 15/09/07.(pour obtenir l’historique des classements et le détails sur plus de 99 personnalités suivies du pannel, merci de nous contacter par email)
Reproduction même partielle, interdite sans accord préalable
Trois dimanches par mois à 10h45, l’émission de France3 « Viure al Pais« , observe… Des portraits insolites, le Fòto d’Òc où se racontent sans cliché les occitans, les savoirs populaires.
Viure al País poursuit son aventure thématique en Ariège à la découverte du Pays du Couserans. Pour vous parler de ce territoire, Sirine Tijani a invité Sabine Dedieu, enseignante de la section bilingue occitane de l’école Fanny Reich de Saint- Lizier et Jean-François Chertier qui en plus d’être moniteur de ski à la station de Guzet et accompagnateur de montagne, exerce des animations en faveur la langue et de la culture occitanes.
LO MOT : AVER PARRATS EN CAP Coproduction Piget /France Télévisions
LO MOT est une série de vingt épisodes de 2 minutes dans lesquels des mots ou expressions occitanes sont expliqués par des enfants. Dans cet épisode, l’équipe de Piget s’est rendue à l’école Fanny Reich de Saint-Lizier en cours de mathématiques où le résultat de l’opération 7 x 3 = 73 ou encore = 37… Eh oui, tout est possible quand on a des « parrats » dans la tête !
BIAIS : ETH MILHAS Coproduction Piget /France Télévisions
Le millas, ou milhàs en occitan, est une spécialité culinaire à base de millet (milh en oc), d’où son nom. Traditionnellement le millas se faisait dans les campagnes en hiver, au moment où on tuait le cochon, sa fabrication se réalisant
FÒTO D’ÒC : JEAN-MARC RAUZY De Myriam François et Laurence Boffet
Dans le cadre de la thématique sur le Couserans, voici un Fòto d’Òc tourné à Saint-Girons pour tirer le portrait de Jean-Marc Rauzy, un ariégeois véritable qui a pris conscience, il y a peu, qu’il parlait occitan sans le savoir !
Représentant de l’association Les Biroussans, qui porte la culture et les danses occitanes à l’étranger, et organise La Nuit du Trad’ de Saint-Girons, Jean-Marc joue de l’accordéon, connaît les danses traditionnelles et nous enchante avec ses facéties. Il aime sa langue et prend beaucoup de plaisir à l’enseigner dans deux collèges à Moissac (82) et à Saint-Girons (09).
DESCOBÈRTA : UN PARGUE REGIONAL EN ARIÈJA D’Aymeric Jonard et Vincent Albinet
A l’issue de douze ans de concertation, le Parc naturel régional des Pyrénées Ariégeoises voit le jour en 2009. Eleveur au Mas d’Azil, Patrice Commenge est rapidement devenu délégué de la commune et s’occupe du réseau Natura 2000 qui a pour objectif de préserver la biodiversité. A Augirein, dans le Couserans, le parc met en œuvre son ingénierie pour débroussailler les alentours du village. Jean-Paul Ferré, président de l’association culturelle Eth Oustau Comengés voit, lui, l’opportunité d’une collaboration en faveur de la langue d’oc. Le parc peut se réjouir de la réussite d’un de ces projets phare : la réintroduction du bouquetin des Pyrénées dans la vallée d’Ustou. Après neuf ans d’existence, il est toujours difficile d’établir un bilan, mais les projets de préservation de l’environnement et de développement économique labellisés par le parc fleurissent un peu partout.
VIURE AL PAíS – DIMANCHE 25 mars 2018 Une émission présentée par Sirine Tijani
Diffusion sur France 3 Occitanie à 10h45
Rediffusion Antenne Nationale : vendredi 30 mars à 9h 15
Marie Hélène en cécité est venue tout droit de Bretagne et cherchait pour son projet un accompagnateur en montagne capable de la guider et de s’adapter à son handicap pour gravir un sommet. Ses recherches internet l’ont amené en Ariège et c’est Denis Wohmanndu Dahu Ariégeois qu’elle a trouvé, grâce à un article sur Azinat.com…
Après plusieurs échanges Denis a fixé trois sorties d’entraînement afin de mieux se connaître et qui a permis de mettre un nom sur le sommet : ce sera le Fourcat !
Il était indispensable d’estimer l’aptitude physique de Marie Hélène et les limites liées à son handicap afin de mesurer la faisabilité de son projet. Rapidement la confiance s’installe. Le projet prend forme le 6 mars 2018 au départ de la station des Monts d’Olmes. Après 500 mètres de dénivelé et une corniche passée, Marié Hélène a accompli son rêve de gravir un nouveau sommet dans le noir complet.
Mes yeux et ma voix étaient là pour lui décrire le paysage !
« Tout le long de la sortie je me suis appuyé sur ses autres sens. Comme le toucher : « frôler l’empreinte d’un renard dans la neige dure ou apprécier la douceur de l’écorce du bouleau ». L’odorat : « Sentir et différencier les différents conifères » l’ouïe « le croassement d’un corbeau » et le goût…
J’ai été impressionné du développement des capacités de Marie Hélène et de son adaptation à l’environnement. Elle est par exemple capable de s’orienter et de capter les ondes de masse notamment des montagnes …» nous explique Denis Wohmann
Marie Hélène reviendra cet été pour faire, cette fois-ci, l’ascension du Pic de Saint-Barthélemy. Plus technique.
Après cette expérience Denis Wohmann a un projet personnel, il aimerait coacher et guider un non-voyant sur un trail version ascension. Il cherche un.e volontaire pour ce nouveau défi !
Perrine Laffont est devenue, malgré une deuxième place à Megève hier après-midi, la championne du monde de ski de bosse de la saison 2018. Elle devient du coup dans la même année détentrice du globe de Crystal de la discipline et championne Olympique ! Ouahoo ! Bravo Perrine.
Notre championne des Monts d’Olmes peut être fière, dans tous les cas, l’Ariège, les Monts d’Olmes, Ax-les-Thermes, Font Romeu et toutes les stations qui l’ont accueillie, sont aujourd’hui fières d’elle. elle a grandit dans les Pyrénées et elle est suivie par tous avec enthousiasme.
Ce week-end une délégation de fans étaient là pour être témoins de son sacre ! Et ce fut le cas, malgré une deuxième place sur la session de Megève… et aux premières loges sa maman Dominique !
Pour les fans de résultats je vous invite à visiter la page de l‘équipe magazine qui suit Perrine sportivement parlant depuis son ascension vertigineuse !
Après 23 ans de journalisme, 18 ans à France 3 et 8 ans en Ariège, Laurent Winsback journaliste rédacteur au bureau excentré de France 3 Midi-Pyrénées en Ariège a décidé de se réorienter et d’abandonner le métier de journaliste…un appel de la forêt et du bien-être..
On le retrouvait régulièrement sur le terrain, à Montségur à six heures du matin par couvrir le solstice d’été ou sur d’autres terrains d’actualité plus communs, il couvrait avec Pascal Dussol l’actualité ariégeoise avec un certaine assiduité depuis plus de 8 ans depuis l’antenne de Foix. La vie, sa propre sensibilité et la nature ariégeoise l’ont conduit peu à peu à découvrir une autre passion que celle du journalisme…
L’appel de la forêt
C’est donc depuis quelques jours que Laurent a quitté la rédaction pour se consacrer à la Sophrologie qui l’a progressivement attiré.
«Le processus s’est fait en plusieurs étapes» nous indique Laurent, « il y a 10 ans en 2008 j’ai été intéressé par les plantes médicinales et j’ai eu besoin de voir ce qu’elles étaient et qui elles pouvaient être : alimentaires , medicinales …Et ça a été ma révolution et je n’ai plus vu la vie comme avant et j’ai trouvé plus intéressant que ce que devenait mon métier, que j’avais aussi choisit par passion»
«J’ai ainsi commencé une formation autour de la santé de l’être humain et trouvé cette orientation – « santé » et lien entre les plantes et la santé de l’être humain – très intéressante. C’est surtout l’aspect émotionnel de la plante qui m’a intéressé, en lien avec l’endroit où elle poussaient. Après avoir enchainé des stages de bien être personnels, peu à peu je me suis éloigné de mon métier de journaliste et cela est devenu plus terne, plus alimentaire, plus assez authentique»
Une nouvelle activité professionnelle en lien avec les plantes et la sophrologie
Laurent s’est ensuite formé à l’approche sensible du végétal pendant deux ans et au développement personnel dans la nature, et a expérimenté qu’il se passait des choses très révélatrices de ses propres blessures. Il a ensuite commencé à organiser des stages sur son temps libre où il était lui même l’animateur.
Ces derniers mois, Laurent à constaté, notamment avec l’épisode de la vidéo des « pseudo chasseurs cagoulés » qui souhaitaient reprendre la chasse à l’Ours et sa diffusion sur la chaine France 3 sans vérification, qu’il ne comprenait plus son métier.
Une installation en Ariège d’ici six mois
Formé à la sophrologie depuis mars 2016, il s’installera en juin 2018, pour proposer des stages pour les citadins et bientôt pour les ariégeois.
«Je veux mettre en place des stages de développement pour un public citadin baignés dans le stress et l’anxiété. Ces prochaines semaines, je vais faire des salons du « Bien-être » à Perpignan et à Toulouse.»
L’approche sensible du végétal et la sophrologie correspondent bien à la société hyper stressée dans laquelle on vit, son activité devrait donc intéresser un public assez nombreux.
Lundi 5 mars, Henri Nayrou, Président du Conseil Départemental, a donné le coup d’envoi du Réseau d’Initiative Publique de 2ème génération pour une « Ariège Très Haut-Débit » avec Madame Marie Lajus, Préfète de l’Ariège, Madame Carole Delga, Présidente de la Région Occitanie, Monsieur Antoine Darodes, directeur de l’Agence Numérique et Monsieur Cyril Luneau, Directeur des Relations avec les collectivités d’Orange.
L’Ariège, un Département pionnier
Dès 2002, le Conseil Général de l’Ariège évaluait le risque que représentaient une insuffisance de services et la fracture numérique avec les zones plus denses du territoire en matière de Haut Débit…
En 2007, Augustin Bonrepaux alors Président du Conseil Généra , en présence de Monsieur le Préfet Billand et de M. Cyril Juneau, Président Directeur Général de la Société LD Collectivité lançait le 1er Réseau d’Initiative Publique à Haut Débit : Ariège Télécom.
En décembre 2014, le Conseil départemental a réalisé la révision du schéma directeur territorial d’aménagement numérique (SDTAN) qui propose un plan de couverture global du territoire en FTTH.
Le programme se déroulait en trois phases jusqu’en 2030.
Le 7 mars 2018, déployer la fibre optique jusqu’au domicile pour tous les ariégeois est une réalité avec un calendrier avancé de 5 ans par rapport aux prévisions du SDTAN.
140M€ d’investissements seront nécessaires pour réaliser les travaux et le Conseil départemental bénéficiera du soutien de l’Etat et de la Région. Henri Nayrou et Carole Delgaont ce lundi 5 mars signé la Convention THD à hauteur de 17M€ venant compléter l’apport de 27.7 M€ de l’Etat dans le cadre du Plan France Très Haut Débit…
En onze ans, grâce à l’action départementale, les débits Internet ont augmenté entre 8 et 100 Mb/s pour 75% des foyers. Le Département a réalisé les travaux de déploiement de la fibre optique dite de « collecte » en interconnectant 102 nœuds de raccordement abonnés en Ariège, ce qui place l’Ariège au dessus de la moyenne régionale en termes de débits et d’arrivée des Fournisseurs d’Accès sur le réseau.
Le Département a par ailleurs amené la fibre jusqu’aux principales Zones d’activités de l’Ariège, sans oublier les collèges, les lycées et autre établissements publics.
Henri Nayrou, donne rendez-vous aux Ariégeoises et Ariégeois pour le Lancement du Plan Ariège Très Haut Débit. Ces échanges citoyens se dérouleront suite au coup d’envoi du Réseau d’Initiative Publique de 2ème génération pour une Ariège Très Haut-Débit
Sept réunions, ouvertes à toutes et à tous, sont donc organisées selon l’agenda suivant :
Pays d’Olmes – Mardi 13 mars à 18 heures à Lavelanet (Salle du Casino)
Foix / Val d’Ariège / Couserans Est – Mercredi 14 mars à 18 heures à La Bastide de Sérou (Salle Jean Nayrou)
Saverdun / Mazères – Lundi 19 mars à 20h30 à Saverdun (Salle Multimédia)
Arize-Lèze – Mercredi 21 mars à 18 heures à Lézat-sur-Lèze (Hôtel d’entreprises)
Pays de Mirepoix – Jeudi 22 mars à 18 heures à Mirepoix (salle Paul Dardier)
Tarascon / Haute Ariège – Jeudi 29 mars à 18h30 à Tarascon-sur-Ariège (Espace François Mitterrand)
Portes du Couserans / Couserans Ouest – Vendredi 30 mars à 18 heures à Saint-Girons(Max Linder)
Au cours de ces rencontres, les élus et les techniciens en charge de ce dossier répondront à toutes les questions des ariégeois concernant le très haut débit numérique, équipement indispensable à la compétitivité de notre territoire.
Afin de permettre au plus grand nombre d’y participer chacun a la possibilité de poser sa (ou ses) question(s) en amont, via l’adresse électronique : comdir@ariege.fr.
Diurétique, détoxifiante, hydrate, drainante, detoxifiante… la sève de bouleau fraîche s’apparente à un liquide claire quasi-incolore semblable à de l’eau, au goût neutre légèrement sucrée. Récoltée au printemps juste avant l’apparition des jeunes feuilles, la sève de bouleau ne cesse de séduire par ses bienfaits.
Le printemps n’est pas encore là mais, au Haras Picard du Sant à Lasserrre dans le Couserans, Jean-Louis et Christine Savignol sont à la tache depuis déjà plusieurs semaines : la récolte de la sève de bouleau. Et par ce magnifique mardi matin et par -8 degrés, l’équipe d’Azinat est à la tache elle aussi.
Jean-Louis Savignol est ce qu’on peut appeler un « baroudeur ». A l’âge de 14 ans il quitte son Ariège et son Couserans natal pour rouler sa bosse.
Bûcheron au Canada, exploitant forestier en Afrique Noire, courtier en céréales avec la Russie et les Etats Unis, cascadeur, routier, il termine sa vie d’expatrié en devenant ingénieur commerciale et en montant trois agences de publicités à Paris. En 1998, il décide de rentrer au Pays pour reprendre l’exploitation familiale qui comptait alors 15 chevaux de Mérens.
Jean-Louis et sa femme Christine décident de s’installer en bio afin de conserver au maximum les caractères du cheval de Hérens et complètent leur activité en proposant des gîtes, des chambres d’hôtes ainsi que des week-end à thèmes.
Mais difficile de s’en sortir financièrement, Jean-Louis et Christine se sont donc attelés, depuis l’an dernier, à la production de sève de bouleau en activité complémentaire. Et ça marche !
Nous sommes aujourd’hui à 600 mètres d’altitude sur une parcelle de un hectare avec 250 arbres « connectés ». En pleine saison, chaque arbre peut donner, par jour, 5 litres de sève. soit 1250 litres de sève sur cette seule parcelle, le domaine en contient trois.
En association avec un laboratoire de Lyon, ils mènent une étude sur les sportifs pour vérifier les bienfaits réels de la sève. Une série de premiers tests sur 10 sportifs va commencer. Et l’entreprise cherche des sportifs de hauts niveaux pour d’autres essais cliniques.
Forts de cette réussite et n’étant jamais à cours d’idées, le couple, après avoir vu leur chien et leur chat boire les fonds de sève qu’ils récoltaient, décident de commercialiser de la sève de bouleau pour animaux.
La sève est d’ores et déjà commercialisée pour les chats et les chevaux mais, en ce qui concerne ces derniers, ils se sont rapprochés d’un laboratoire de contrôle hippique pour effectuer des tests dans le but de savoir si la sève de bouleau pour être considérée comme un produit dopant ou non, et ainsi attaquer le marché des chevaux de courses.
Pour les chiens par contre, une étude est en cours aux Etats Unis, concernant un sucre présent dans le bouleau qui serait nocif. L’étude s’applique à démonter si ce sucre provient de la sève, de la décoction de feuilles ou de l’écorce de l’arbre.
«Il faut savoir qu’il y a un million de chevaux de sport et 13 millions de chats en France, ce sont des marchés extrêmement intéressants parce que cela peut nous permettre de développer sur d’autres secteurs que ce qu’il y aujourd’hui» conclu Jean-Louis.
Ariège Sève de Bouleau Bio
GAEC Haras Picard du Sant
Christine et Jean Louis SAVIGNOL
Les Peyroutets
09230 LASSERRE
Ce samedi 10 mars, c’est l’ouverture de la pêche de la truite en première catégorie ! c’est l’un des plus importants moments de l’année pour les 1,5 million de pêcheurs. Pour les pratiquants de ce loisir, elle représente le lancement de la saison.
Il faut dire que l’ouverture, c’est bien davantage qu’une date. C’est un moment qui sent bon les retrouvailles : celle de l’homme avec une nature en éveil, celle d’amis d’enfance perdus dans les aléas de la vie, celle d’un fils et de son père unis dans une passion commune.
L’ouverture de la pêche ce sont des villages qui s’animent, des silhouettes qui réapparaissent aux bords des rivières, le redoux qui s’annonce.
L’ouverture annonce les bons moments de la vie !
« Comme chaque année, l’ouverture de la pêche en première catégorie lance concrètement la saison. Il s’agit de l’ouverture la plus suivie et la plus attendue après ces longs mois hivernaux. C’est un événement qui revêt une importance symbolique : c’est à ce moment-là que l’on commence à ressortir les cannes, à préparer son matériel et que chacun d’entre nous retrouve le chemin de la nature… Elle signifie également le retour du printemps, des beaux jours et annonce les parties de pêche entre amis ou en famille, les bons moments de la vie ! » Claude Roustan, président de la FNPF
La Journée internationale pour les droits des femmes, comme tous les ans c’est le 8 mars, elle fait partie des 87 journées internationales reconnues ou initiées par l’ONU.
Mais avec l’affaire Harvey Weinstein en octobre 2017 le mouvement contre les violences sexuelles faites aux femmes et le #metoo #BalanceTonPorc, une digue s’est rompue et a libéré un flot de paroles trop longtemps contenues.
Ce 8 mars 2018 a donc un accent particulier, et mérite que l’on s’y arrête un instant.
La Journée internationale pour les droits des femmes a été officialisée en 1977 et trouve son origine dans les luttes des ouvrières et suffragettes du début du XXe siècle, pour de meilleures conditions de travail et le droit de vote.
Cette journée est issue de l’histoire des luttes féministes menées sur les continents européen et américain. Le , une Journée nationale de la femme (National Woman’s Day) est célébrée aux États-Unis à l’appel du Parti socialiste d’Amérique. Cette journée est ensuite célébrée le dernier dimanche de février jusqu’en 1913
En 1910 à Copenhague, l’Internationale socialiste adopte l’idée d’une « Journée internationale des femmes » sur une proposition de Clara Zetkin (Parti social-démocrate d’Allemagne) et Alexandra Kollontaï (menchevik du Parti ouvrier social-démocrate de Russie, future Commissaire du Peuple), sans qu’une date ne soit avancée. Cette journée est approuvée à l’unanimité d’une conférence réunissant 100 femmes socialistes en provenance de 17 pays.
La première Journée internationale des femmes est célébrée l’année suivante, le et revendique le droit de vote pour les femmes, le droit au travail et la fin des discriminations au travail. Des rassemblements et manifestations ont dès lors lieu tous les ans.
Les insurgées de l’époque sont des femmes ordinaires de toute origine et de toutes conditions : ouvrières, mères de famille, femmes de soldats, françaises, russes, voyant leurs droits mais également leurs valeurs ignorés.
Au cours de l’Année internationale de la femme en 1975, les Nations Unies ont commencé à célébrer la Journée internationale de la femme le 8 mars. En 1977, l’Assemblée générale des Nations Unies a adopté une résolution proclamant la Journée des Nations Unies pour le droit de la femme et la paix internationale, reconnaissant le rôle important de la femme dans les efforts de paix et dans le développement.
Mais la journée internationale pour les droits des femmes c’est aussi l’occasion de dresser le bilan des progrès réalisés, d’appeler à des changements et de célébrer les actes de courage et de détermination accomplis par les femmes ordinaires qui ont joué un rôle extraordinaire dans l’histoire de leur pays et de leur communauté.
Cette année également nous tenions à signaler l’opération « ruban blanc », une initiative lancée par la Fondation des Femmes qui met en place une campagne de collecte pour soutenir les victimes dans leur besoin d’assistance : #MaintenantOnAgit.
Chaque année un thème différents est abordé, en 2018, cette journée internationale des droits des femmes est placée sous le thème des « activistes rurales et urbaines » qui transforment la vie des femmes.
Depuis plusieurs années nous avons adopté la résolution de parler des femmes ariégeoises.
Bien sûr on ne peut pas parler de toutes les femmes alors nous avons décidé de parler de celles classées dans notre Who’s who, il faut faire un choix. Mais on le sait il y en a beaucoup d’autres.
Elles sont journaliste, historienne, femme politique, chef d’entreprise, artiste peintre, photographe ou écrivain et elles sont au classement des 99 premiers « Ambassadeurs de l’Ariège sur le Net ». Alors qui sont ces femmes qui, par leur notoriété sur le web, font la promotion de l’Ariège.
Commençons bien entendu par un hommage à une grande artiste peintre, Mady de la Giraudière, disparue il y a quelques jours mais qui restera à jamais gravée dans la mémoires des ariégeois. Une grande dame que nous avions eu le bonheur de rencontrer pour une série de portraits que vous pouvez voir sur notre site.
Perrine Laffont bien sûr notre jeune «bosseuse» qui a fait vibrer les ariégeois lors de 3 runs de légendes lors des JO en Corée du Sud.
Floriane Caux, photographe qui, par son talent sait transporter les regards dans un univers onirique.
Marie Cantagrill ,violoniste concertiste soliste, elle est la directrice artistique de l’Orchestre de Chambre d’Ariège.
Bénédicte Taurine, Lavelanetienne, enseignante et syndicaliste et nouvellement députée .
Anne Brenon, ariégeoise de coeur, historienne et auteur de nombreux ouvrages sur le catharisme. Elle aussi fut première de notre classement.
Claudine Palhiès, Directrice des Archives départementales de l’Ariège aujourd’hui à la retraite et chargée de cours à l’Université de Toulouse-Le-Mirail, qui nous avait gentiment reçu pour une visite passionnante des archives.
Annie Fachetti anciennement chargée de communication à Ariège Expansion, ce qui lui avait valu d’être , durant de nombreux mois à la première place de notre who’s who et qui est maintenant chargée de Mission chez MADEELI, l’agence régionale de développement export innovation.
Florence Guillot Directrice de la Maison des Patrimoines d’Auzat et Docteur en Histoire et Archéologue en charge des fouilles archéologique du château de Montréal de Sos.
Françoise Pancaldi, Maire Adjointe à la Mairie de Pamiers et Déléguée à la Communauté de Communes du Pays de Pamiers.
Cécile Dupont, rédactrice en chef de la Gazette Ariégeoise
Josette Elay qui a mis l’Ariège au centre de son roman « Secrets de granit ».
Ce jeudi 8 mars 2018, nous rendons donc hommages à ces femmes et toutes les autres qui font de l’Ariège un département où la réussite n’est pas un vain mot.
Ils sont trois et ils sont partis le 18 janvier pour un périple dans les Alpes de plus de 2 mois en ski de randonnées. David, Virginie et Piero sont tous trois des montagnards aguerris et passionnés de montagne et de ski randonnées. Ils ne sont pas tous ariégeois, car Piero vit en Corse et Virginie navigue entre Jura, Pyrénées et Bretagne. David l’ariégeois du groupe est à l’origine du projet « La grande traversée des Alpes à Ski ».
Ils traversent les alpes de l’Autriche jusqu’en Italie depuis le 18 janvier et ont subit des conditions climatiques exceptionnelles, on peut suivre leur aventure depuis, sur la page Facebook de l’expédition. Neige, froid, paysages magnifiques et rencontres improbables sont leur quotidien depuis un mois et demi…
David Marfaing est du Pays de Tarascon et gère le camping et l’activité « Ariège Evasion ». David est l’élément fédérateur de l’équipe : Il est a l’origine du projet. David est accompagnateur en montagne, moniteur de Canyonning et Breveté d’Etat Cyclisme. David a fait 2 traversées des Pyrénées en ski. Il pratique la montagne sous toutes ses formes : escalade, alpinisme, freeride, skating, cascade de glace…Quelques sommets : Mt Cook (Nouvelle Zelande), Cayambe (Equateur), Mera Peak (Nepal)…Il emmène régulièrement des clients dans les canyons de la Sierra de Guarra comme au Maroc, en Amerique du Sud, vers les pays Nordiques (Norvège, Islande…) ou en Himalaya…Il encadre Canyon Rando et VTT. Sa passion est de faire de belles traces a ski (tant a la montée qu’a la descente !). Son savoir faire c’est l’orientation.
Virginie : Peut être la plus polyvalente sportive de l’équipe vient plutôt du ski de fond vu la taille de ses bâtons ! Elle grimpe de la Bretagne aux Alpes, éclectique et touche a tout ! Virginie a travaillé comme forestière dans le Jura puis principalement comme charpentière, dans les Pyrénées, mais par moment bergère dans le Mercantour. Actuellement charpentière de marine elle a construit son propre canoe à voile en bois ! Durant l’hiver 2015 Virginie a traversé l’Atlantique a la voile…puis les Pyrénées de Banyuls a Hendaye a ski. C’est l’atout communication de l’équipe pout cette grand traversée, parlant couramment anglais (et espagnol) et un peu allemand.
Piero est guide de Haute Montagne, il est aussi le gardien du refuge de Carruzzo (Corse). Quand il n’est pas au refuge, Piero encadre des sorties sur l’ile ou au quatre coins du monde. Il rentre du Kilimandjaro (Kenya). Il a fait de nombreuses expéditions sur tous les continents et même sur les plus hauts sommets de la planete (Everest, Manaslu, Aconcagua,…). Piero a détenu pendant de nombreuses années le record du GR20 (un peu moins de 50h pour traverser la Corse… « son Ile ». Il marche, il grimpe (il a ouvert un nombre incalculable de voies), il trottine (il vole serait plus exact !). Il n’est pas rare de le voir, en phase de préparation, 6 jours par semaine sur son vélo ! Très impliqué dans la formation et le partage de sa passion, il est membre du Syndicat des Guides de Haute Montagne. Son sourire et son flegme sont a toutes épreuves !
Le programme de la Grande traversée des Alpes à Ski tel qu’il a été écrit au départ en 16 parties (RAIDS) :
RAID 1 : DEPART ALPES VIENNOISES : LOSENHEIM >> SEEWIESEN : 5 jours du 17 au 21 janvier, 57km, 4300 dénivelé +, 5200 dénivelé – Pas d’inscription possible, cohésion d’équipe oblige 😉 Corporate !
RAID 2 : ALPES VIENNOISES, SEEWIESEN >> TRIEBEN ; 4 jours 22 au 27 janvier, 44km, 3100 denivelé +, 3400 denivelé –
RAID 3 : NIEDERE TAUERN, 5 jours du 27 janvier au 1 fevrier , de TRIEBEN à St ANDREA im LUNGAU, 82km, 4500 dénivelé +, 4400 dénivelé –
RAID 4 : HOHE TAUERN, LINTSCHING >> MALLNITZ ; 5 jours du 2 au 7 fevrier, 55km, 3900 dénivelé +, 4000 dénivelé –
RAID 5 : massif GROSSGLOCKNER, GROSSVENEDIGER ; MALLNITZ >> KASERN in ARHNTAL, 10 jours du 8 février au 18 février, 113km, 9900 dénivelé +, 8300 dénivelé –
RAID 6 : TYROL, STUBBAI, OETZTAL ; KASERN >> BREMMER HUTTE ; 8 jours du 19 au 26 février, 76km, 7900 dénivelé +, 5900 dénivelé –
RAID 7 ; SILVERETTA, ISCHGL >> GUARDA 3 jours du 27 février au 1er mars, 30km, 3300 dénivelé +, 3000 dénivelé –
RAID 8 : GRISONS, ALPES JULIENNES, ZERNEZ >> BIVIO , 6 jours du 2 au 7 mars, 93km, 5700 dénivelé +, 5700 dénivelé –
RAID 9 : GRISONS, TESSIN, sources du RHIN ; BIVIO >> AIROLO, 7 jours du 8 mars au 14 mars, 145km, 8000 dénivelé +, 7200 dénivelé –
RAID 10 : TESSIN, VALAIS, rive gauche du RHONE , AIROLO >> SAAS ALMAGELL ; 7 jours du 15 au 22 mars, 80km, 6400 dénivelé +, 5800 dénivelé –
RAID 11 : 4000 du VALAIS, AOSTE, SAAS ALMAGELL >> AOSTE, 5 jours du 23 au 27 mars, 97km, 7700 dénivelé +, 9400 dénivelé –
RAID 12 : AOSTE, TARENTAISE, VANOISE, MAURIENNE, AOSTE >> VAL FREJUS, 9 jours du 28 mars au 4 avril, 118km, dénivelé + 9300m, dénivelé – 9000m,
RAID 13 : MAURIENNE, THABOR, NEVACHE, QUEYRAS, UBAYE : VALFREJUS >> LARCHE, 6 jours du 5 avril au 11 avril, 120km, 8700 dénivelé +, 8200 dénivelé –
RAID 14 : TINEE, VESUBIE, pays niçois : LARCHE >> MENTON, 6 jours du 12 au 17 avril,
115km, dénivelé + 6900; dénivelé – 9300,
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