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  • Rencontre avec Espé, dessinateur ariégeois

    Rencontre avec Espé, dessinateur ariégeois

    Le Territoire, Châteaux Bordeaux,  Chansons de Jacques Higelin et Poèmes de Baudelaire en BD… Espé est un dessinateur connu et reconnu dans le monde de la BD. Rencontre avec un dessinateur passionné.

    Espé est la transcription phonétique de ses initiales S. P. Sébastien Portet.

    Sébastien Portet est né à Mazamet mais ses origines sont appaméennes par ses arrières grands parents. Après des études scientifiques classiques il intègre pendant 5 ans l’école des Beaux-arts de Toulouse puis, durant 5 autres années il est designer chez Décatlhon près de Lille.

    Sa rencontre avec sa futur épouse lui permet revenir sur la terre de ses ancètres, l’Ariège, où il vit maintenant depuis plusieurs années.

    Le virus du dessin le prend dès l’âge de 5 ans quand, avec son cousin ils font des batailles de personnages sur la table en formica de leur grand-mère, il lit beaucoup de comics, de BD et adore pif gadget… il rêve d’être dessinateur

     

    « Mon rêve absolu c’était de faire un album de Bande-dessinée »

     

    Au cours de ses études il rencontre des dessinateurs de BD, il crée le fanzine de bande dessinée Broute, il travaille comme pigiste pour le magazine musical Groove… puis un jour c’est la rencontre avec Éric Corbeyran, célèbre scénariste, qui lui propose de participer à un collectif… 15 ans après, Espé en est son 17 ieme album, 17 rêves consécutifs.

     

    «Pour moi c’était le Graal, je connaissais un scénariste hyper connu, je participais à un collectif chez Delcourt, c ‘était le rêve absolu »

     

    Espé vient de terminer L’ile des justes, un « one shot »  scénarisé par Stéphane Piatzszek et racontant l’histoire de résistants en Corses durant le seconde guerre mondiale.

    Il a reçu le prix de la meilleure œuvre fantastique au salon de la BD de Toulouse en 2010 pour la série Le Territoire et le prix de la meilleure série au salon bd de L’Alpes d’Huez en 2014 pour Châteaux Bordeaux dont le sixième album est en cours d’écriture.

    Châteaux Bordeaux s’est déjà vendu a plus de 200 000 exemplaires, et le cinquième album, sorti le 10 septembre 2014 est 4ième des meilleurs ventes de BD en France.

     

  • Michel Comte révèle le secret de fabrication du bijou Azinat de A à Z

    Michel Comte révèle le secret de fabrication du bijou Azinat de A à Z

    « C’est un petit coin de verdure où chante une rivière… », voilà les mots qui viennent à l’esprit lorsque l’on arrive à Montjoie en Couserans avec sa vue magnifique sur les Pyrénées.

    C’est là que travaille Michel Comte, artisan joaillier, chez lui et en famille. Cela fait déjà 30 ans que Michel exerce ce métier de passion, il a commencé par une école d’horlogerie, pour suivre les traces de son grand-père, mais très vite il s’aperçoit que dans ce métier peu de place est laissé à la création et c’est pourquoi il se lance dans la bijouterie.

    Après 15 ans de boutique et d’atelier à Saint Girons, Michel se consacre entièrement à la création et à la vente par internet. C’est donc dans son petit atelier de Montjoie en Couserans qu’il peut donner libre cours à sa passion Son dernier site, creer-mon-bijou.fr est le reflet de cette passion, il créé, pour vous le Bijou unique, celui que vous ne trouverez chez personne d’autre, ensuite il « casse le moule »

    Michel Comte est un homme inspiré et passionné par son métier, c’est pourquoi Azinat lui a confié la création et la fabrication de son bijou, et voilà en vidéo le « secret » de fabrication.

    1. Ebauche du dessin
    2. Réalisation en 3D
    3. Le bijou est sculpté dans une cire qui va servir a préparer une fonte à cire perdue.
    4. Le bijou en cire est alors disposé dans un cylindre métallique et enrobé d’un revêtement. L’ensemble est  placé dans un four à haute température pour permettre l’élimination de la cire, on obtient une empreinte négative en plâtre de l’ensemble du bijou.
    5. L’alliage est ensuite chauffé à près de 1000°C. C’est à cette température qu’il est injecté dans le moule en plâtre soit par le procédé de centrifugeuse ou par aspiration. Après refroidissement le plâtre est dissous afin de récupérer les pièces « brutes de coulée ».
    6. Le bijou est ensuite retravaillé manuellement (sciage, émerisage, polissage) pour lui donner son aspect définitif.
    7. Et enfin, l’avivage qui consiste à donner l’ éclat final du bijou. Celui-ci sera ensuite nettoyé et lustré.

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