Étiquette : Who’s Who

  • Thierry Fischer : « Le Messager de la Bastide » l’éternelle et inépuisable force des passions religieuses

    Thierry Fischer : « Le Messager de la Bastide » l’éternelle et inépuisable force des passions religieuses

    Né en 1947 au Maroc, Thierry Fischer a passé sa petite enfance dans l’Ariège, département d’origine de sa famille maternelle. Il a été scolarisé à l’école communale de la tour du Crieu . Il habitait avec sa famille (son père était à l’époque professeur au Lycée de Pamiers) au château des Allemens.

    C’est au gré des différentes affectations de son père, promu proviseur, qu’il connaîtra l’Extrême Orient, l’Afrique et la Polynésie notamment. Revenu en France, il effectuera des études supérieures à la faculté de droit de Toulouse puis de Clermont Ferrand jusqu’à un doctorat à la Faculté de Nanterre.

    C’est en 1968 qu’il rencontrera son épouse, originaire du Mas d’Azil, et c’est en accompagnant, à l’occasion, dans ses visites son beau-père médecin du village, qu’il s’intéressera à l’histoire du pays ariégeois  pendant les guerres de religion.

    Retraité du Ministère des Finances Publiques, passionné – entre autres – d’équitation, de cinema et de littérature, il vit en Normandie dans la région de Saint-Lô connu pour être le haut lieu de l’élevage du cheval de selle français. Il a possédé une extraordinaire jument « noire » que l’on retrouve dans son roman. Il revient régulièrement dans le pays Ariégeois ou il conserve de nombreux amis.

    Le Messager de la Bastide

    Dans son roman, Le messager de la Bastide, avec en toile de fond des faits historiques survenus dans la région, Thierry Fischer évoque l’éternelle et inépuisable force des passions religieuses, causes ou prétextes majeurs de conflits, l’omniprésence du hasard dans la destinée humaine, la prédestination familiale, la défiance à l’égard de l’étranger et de celui qui porte un regard différent sur les événements auxquels il est confronté.

    Le cavalier, personnage central de cette histoire, apparu et disparu tout aussi mystérieusement à la Bastide, délivre son message qui pourrait tout aussi bien concerné notre époque. Sera-t-il entendu ? Mais d’abord qui l’a envoyé, est-il ange ou démon ? Chacun trouvera, s’il le souhaite, sa propre réponse sachant pour finir que ce récit recèle de nombreux secrets.   

    « Le Messager de la Bastide » participera cette année au concours du salon du Livre Pyrénéen de Bagnères de Bigorre (30 septembre et 1er octobre 2017) et sera présenté par son auteur sur le Salon du Livre de Tarascon sur Ariège le 13 août prochain. En vente chez Vox Scriba à Tarascon sur Ariège, à la librairie Surre de Foix et sur le site www.voxscriba.com.

    « Le Messager de la Bastide » de Thierry Fischer
    Publications Vox Scriba®

  • Dernier Who’s Who ariégeois de l’Année, Floriane Caux n’arrête pas de grimper

    Dernier Who’s Who ariégeois de l’Année, Floriane Caux n’arrête pas de grimper

    Floriane Caux, Frédérique Massat et Michel Comte sur les trois premières marches du Podium des 99 personnalités à plus forte notoriété en Ariège pour cet fin d’année.

    Peu de changement donc si ce n’est l’arrivée à la troisième place de Michel Comte  artisan joaillier à Montjoie en Couserans près de Saint-Girons.

    On ne vous présente plus Floriane Caux et Frédérique Massat qui se balladent en tête du Who’s who depuis plusieurs mois. 

    Passé ce tiercé de tête, quels changements notables en trois mois dans le classement ?

    Une belle remontée des ariégeoises ce trimestre, avec Anne Brenon qui gagne 15 places et se classe 7ème, Martine Crespo qui arrive en 11ème position en gagnant pas moins de 39 places,  Perrine Laffont notre jeune « bosseuse » qui prend la 16ème place après avoir conquis la 2ème en finale dame lors de la Coupe du Monde à Reka en Finlande et enfin Denise Déjean, écrivain, qui fait également une belle remontée de 44 places pour se retrouver 45ème.

    Olivier Campardou fondateur de l’Asinerie de Feillet dans le Couserans remonte de 42 places pour se retrouver 27ème du classement.

    Voir le classement complet : Classement-whoswho-oct-dec2016

    Et comme chaque fin d’année, nous avons procédé à la moyenne des classements de l’année 2016 avec aux trois premières places : Floriane Caux, Frédérique Massat et Henri Nayrou.

    Voir la moyenne des classements 2016 : Classement-whoswho-moyenne2016

    Crédit photo : Floriane Caux www.florianecaux.com

    Le Baromètre de notoriété des personnalités qui font l’Ariège est tenu par Azinat.com depuis le 15 septembre 2007, il est remis à jour tous les 3 mois

    Classement des 99 personnalités à plus forte notoriété en Ariège. Score avec catégorie et nombre de pages référencées sur Google.fr (méthode : recherche par nom associé au mot ariège*, comme : «Prénom Nom» + Ariège ) Premier classement effectué le 15/09/07.
    (pour obtenir l’historique des classements et le détails sur plus de 99 personnalités suivies du pannel, merci de nous contacter par email redaction@azinat.com)

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  • Jean-Paul Raffit : « La racine et la question de nos origines »

    Jean-Paul Raffit : « La racine et la question de nos origines »

    C’est avec beaucoup de bonheur que nous avons rencontré dans nos locaux Jean-Paul Raffit, artiste musicien, qui s’est gentiment prêté au jeu de l’interview. 

    Guitariste et compositeur né à Pamiers, Jean-Paul Raffit se plait à dire que dans le ventre de sa maman, il était dans la même rue que Gabriel Fauré. Venu tardivement à la musique, avec sa première guitare à l’âge de quinze ans, il a eu la chance de pouvoir vivre rapidement de sa passion en se produisant dans les bals. 

    Après avoir accompagné les plus grands artistes ; Bernardo Sandoval, André Minvielle ou encore Eric Lareine, Jean-Paul est revenu à ses racines ariégeoises et s’est installé avec sa famille, il y a une douzaine d’années, dans le hameau natal de sa grand-mère, Montseron dans le Séronnais. 

    «C’est le lien avec ma famille, mais c‘est surtout un endroit qui me plaisait quand j’étais enfant. C’est un endroit de grottes, de légendes et de vieux châteaux et c’est quelque chose qui me nourri beaucoup. La racine et la question de nos origines.

    C’est en 2009 que Jean-Paul Raffit forme l’Orchestre de chambre d’hôte, une compagnie musicale qui réuni des femmes et des hommes qu’il a rencontré tout au long de son parcours et avec qui il aime jouer. Une formation qui lui tiens à coeur. «Dans cette formation, mon travail c’est plutôt d’être fédérateur, d’animer notre groupe, d’amener la composition et de diriger les projets pour qu’il aient un équilibre artistique et humain.»

    Depuis une dizaine d’années, Jean-Paul est également très impliqué sur le travail du Ciné-Concert et notamment avec le cinéma le Lavelanet, avec lequel il a un projet de création d’un lieu où l’on pratiquerait plus régulièrement des Ciné-Concerts et également la création de musiques pour le cinéma. 

    Avec l’Orchestre de chambre d’hôte, il a également composé la musique de « Alice Comédie », les aventures trépidantes de la petite Alice, dans 4 courts-métrages de Walt Disney des années 1920 qui sortira le 7 décembre. 

    Pour suivre l’Orchestre de chambre d’hôte : www.orchestredechambredhote.com

    Photo et images contextuelles du Film : Collectif les Zooms Verts 

  • Verino Piedigrossi, l’itinéraire d’un Rital de l’Italie à l’Ariège

    Verino Piedigrossi, l’itinéraire d’un Rital de l’Italie à l’Ariège

    A l’occasion de la sortie de son sixième ouvrage «Stupéfiante fenaison», le plus rital des ariégeois, l’écrivain Verino Piedigrossi, est venu nous rendre visite et nous a parlé en toute amitié, de sa vie et de ses livres.

    Originaire des Abruzzes, une région du sud de l’Italie, Verino débarque en Ariège le 13 décembre 1947 à l’âge de huit ans. Sa famille s’installe dans le petit village de Vicdessos, dans une maison  donnée par l’entreprise Péchiney où son père travaille depuis six mois. 

    Après avoir passé un C.A.P de chaudronnerie, Verino suit les traces de son père et commence sa carrière à Péchiney, alors la plus grosse industrie du département. Il y restera dix ans puis, voulant « repousser ses horizons », il s’engage dans une carrière commerciale. 

    C’est à l’âge de soixante six ans qu’il décide d’écrire : «J‘ai voulu laisser une trace à mes enfants, mes petits-enfants, mes neveux et nièces qui sont nés en France, et comme j’étais le mieux à même de la famille à pouvoir traduire notre histoire, je me suis mis à l’écrire. J’ai écris sept pages, je l’ai fait lire autour de moi, ma femme mes enfants… qui m’ont incité à aller plus loin. Alors de sept pages j’ai fini à trois cents pages». Cette histoire il l’a intitulée «L’odyssée d’un rital» dans laquelle il retrace l’exode chaotique de sa famille et la mise en place et le parcours de chacun.

    Bien qu’il en soit à son sixième livre, «L’odyssée d’un Rital» reste, nous explique t’il, sa locomotive. «Les autres sont les wagons. Même si j’y ai mis la même passion, «L’odyssée d’un Rital», étant une autobiographie, c’est plus émouvant et plus attachant, on se reconnait dans cette histoire que l’on soit français de souche, italien, espagnol, ou qui que ce soit.»

    Viendront ensuite deux romans, «Le berger du vallon rouge» et «Le violon sous le toit», un roman policier, «Le sarbacanier du clair de lune», et un essai sur l’environnement, «La triade infernale».

    Cette année c’est donc «Stupéfiante fenaison», son troisième roman et sixième ouvrage qui vient de sortir. Une troisième fiction qui débute dans une région agricole des Hautes-Pyrénées, entre Lannemezan et Auch. Un croisement, un abri-bus, une voiture qui s’arrête, un passager qui descend dépose deux mallettes et repars aussitôt, tout cela sous l’oeil curieux d’un agriculteur… Nous n’en dirons pas plus. 

    «Avec cette histoire, contrairement aux autres, je ne savais pas ou j’allais. Elle m’est venue d’une simple phrase que j’ai posé sur un papier en voyant ce paysage. J’ai créé les personnages et puis je me suis contenté de les suivre, et je les ai suivi pendant trois ans. C’est le seul que j’ai écris en trois ans mais je suis content du résultat parce que je me croyais incapable d’écrire un tel roman.»

    verino-piedigrossi.pagesperso-orange.fr

     

     

  • Who’s Who troisième trimestre 2016, Floriane Caux toujours en tête

    Who’s Who troisième trimestre 2016, Floriane Caux toujours en tête

    Dans ce troisième classement de l’année 2016, Floriane Caux, photographe, caracole toujours en tête avec un score de 27.900 pages référencées sur google contre 14.100 en juin dernier.

    Frédérique Massat, Députée de la 1ère circonscription de l’Ariège et Présidente de la commission des affaires économiques de l’Assemblée Nationale garde sa deuxième place. Soulignons que Madame Massat reste dans le trio de tête depuis janvier 2015 .

    A la troisième place, Monsieur Jean Clottes remonte de trois rangs au classement, devançant ainsi Monsieur Henri Nayrou, Président du Conseil Départemental qui lui se classe quatrième.

    A la cinquième place, et c’est une première* Sébastien Portet alias Espé dessinateur, que nous avions rencontré il y a deux ans lors de la sortie du 5ème chapitre de la Bande Dessinée « Château Bordeaux« .

    Une belle remontée de 44 places pour Michel Comte, bijoutier dans le Couserans, qui se place en huitième position après Jean-Pierre Bel et Olivier de Robert.

    Des jolies remontées également pour Paul Fontvieille restaurateur (+43 places), Nicolas Hubert, ‎Directeur de la Communication au Conseil Départemental de l’Ariège (+65 places), Mady de la Giraudière, qu’on ne présente plus (+23 places), Jean-Pierre Stahl Président du Comité Economique Social et Environnemental de l’Ariège  (+45 places) et Fabrice Chambon guide conférencier (+45 places).

    Voir le classement complet : classement-whoswho-juil-sept2016

    Prochain classement en décembre 2016

    Le Baromètre de notoriété des personnalités qui font l’Ariège est tenu par Azinat.com depuis le 15 septembre 2007, il est remis à jour tous les 3 mois

    Classement des 99 personnalités à plus forte notoriété en Ariège. Score avec catégorie et nombre de pages référencées sur Google.fr (méthode : recherche par nom associé au mot ariège**, comme : «Prénom Nom» + Ariège ) Premier classement effectué le 15/09/07.
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    * En ce qui concerne le classement de Espé sur google, nous avons ajouté à notre recherche le terme BD («Espé» + BD + Ariège). En effet le mot Espé signifiant « Ecole supérieure du professorat et de l’éducation » cela faussait le classement. 

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  • Alain Sutra : Je suis un homme de gauche !

    Alain Sutra : Je suis un homme de gauche !

    Classé en trente sixième position dans le Who’s who « Ambassadeurs de l’Ariège sur le Net », Alain Sutra est maire de Tarascon sur Ariège depuis déjà de nombreuses années, amoureux de sa ville, de culture et d’Amérique latine, il nous a reçu dans son bureau à la Mairie pour une interview vidéo d’une vingtaine de minutes qui vous permettra de mieux le connaitre.

    Alain Sutra est originaire de Tarascon, comme beaucoup d’enfants de l’Ariège, la vie l’a emmené loin du « Pays », à l’étranger et dans d’autres endroits de France et puis les incidents de la vie ont fait qu’il est revenu sur Tarascon pour s’y installer..

    Ses origines politiques,

    Alain Sutra est un homme de gauche comme il se plait à le rappeler, il a oeuvré dans deux partis ; le Parti socialiste au départ bien avant de venir s’installer sur Tarascon puis le Parti Radical de Gauche : Il rend sa carte du PS en 2000, une victoire aux élections de la ville en 2001 contre Robert Naudy  le fait remarquer par Jean-Michel Baylet le président du parti Radical de Gauche. Depuis ce temps, tout en étant de gauche il est devenu « un opposant » sur une terre historiquement « socialiste », Il est devenu président du Parti Radical de Gauche du département.

    Ses valeurs,

    Alain Sutra est un républicain, et les valeurs de la république sont essentielles dans ce qu’il croît et les actions qu’il mène : la laïcité n’est par pour lui qu’un mot important mais une attitude qu’il revendique ; enseignant de métiers cela parait « évident » et fondamental. «La laïcité  fédère toutes les autres valeurs de la république»

    Son expérience internationale,

    Alain Sutra a travaillé dans l’éducation nationale en Amérique Latine pendant une dizaine d’années, notamment au Pérou et au Panama, d’où sa passion pour la musique de ces territoires mais aussi sa manière de voir le monde, son ouverture aux différences… Il a dirigé un centre culturel au Pérou où il a pu forger son expérience et donner une image de notre pays. Son expérience internationale a changé sa vie en tant qu’homme.

    Son engagement pour Tarascon

    La ville de Tarascon est un espace qui a connu de nombreux brassages ; au carrefour des vallées, un passé industriel, une terre d’immigration et une terre de mélange de cultures (Espagne, Portugal, Russes, Italiens, Maghreb, …) Ayant joué au football dans son enfance sur Tarascon, lorsque le temps du retour sur la ville, la politique et son engagement associatif sur l’enfance et la jeunesse lui a pris son temps ; devenir Maire devenait évident et coulait de source. Il a pris ces fonctions avec le courage nécessaire mais aussi le recul que lui avait donné son expérience extérieure : Tarascon était meurtris par la décision de fermeture de Pechiney : Mais la ville étant une ville où il y a avait des hommes qui avaient envie d’y rester et de s’y investir et a su lui donné une nouvelle orientation et nouvel avenir : après le désenclavement apporté par l’autoroute voulue par Robert Naudy en tant que président du Conseil Départemental : la ville a su se donner un autre avenir.

    Sa vision de l’Ariège et de son avenir : «l’Ariège est entre de bonnes mains et en perpétuel mouvement»

    L’Ariège change avec sa population ; comme ce qu’il analyse sur Tarascon, certes les traditions, la culture, le patrimoine notamment « historique et préhistorique » resteront toujours là, mais la population évoluant, il lui semble que de nouvelles initiatives voient le jour et vont voir le jour : c’est une chance pour l’Ariège et qui lui donne confiance en son avenir : »Je crois en l’avenir de l’Ariège ! » nous dit-il en conclusion. Mais il ne s’appuiera plus sur les richesses traditionnelles…

     

  • « Manhattan Marilyn », le thriller du plus new-yorkais des écrivains Ariégeois

    « Manhattan Marilyn », le thriller du plus new-yorkais des écrivains Ariégeois

    Auteur – éditeur ariégeois de coeur, Philippe Laguerre-Ward est né le 13 juillet 1958 à Bordeaux, il débarque en Ariège début août 1958 dans le village familial de Gourbit. Pendant une vingtaine d’années, il effectuera les trajets Bordeaux (où il vit) – Ariège (où il passe toutes les vacances scolaires à chercher le trésor des cathares dans les grottes et les châteaux ariégeois) avant de s’installer définitivement à Pamiers en 1982.

    marilyn2Ecrivain et éditeur par passion, il dévore les livres, il en possède plus de 10 000 et il les a quasiment tous lu. De Oui-Oui au Clan des 7 en passant par le Club des 5, le virus l’a pris dès son plus jeune âge et ne l’a plus lâché. Mais Philippe est fan d’un genre particulier qu’il appelle « les mauvais genres » et qui se situent dans le domaine de l’imaginaire (Science-fiction, fantastique, polar, fantasy ….).

    Il décide d’écrire il y a une trentaine d’années, le jour où, déçu par un roman, il se dit qu’il pourrait faire mieux et se lance dans l’écriture de son premier ouvrage, « Artahe » l’histoire d’un Dieu Ours dans les Pyrénées. Cela lui prendra 10 ans.

    Avec une quinzaine de nouvelles, un recueil Noir Duo (Rivière Blanche) et un roman (le chant de Montségur) sur le trésor des cathares écrit en collaboration avec  Sylvie Miller, Philippe Ward est l’un des rares écrivains de l’imaginaire français.

    Aujourd’hui, et sous son vrai nom, Philippe Laguerre nous livre un thriller sur deux grands mythes américains : Manhattan et Marilyn.

    C’est suite à un voyage à New York, dont il tombe fou amoureux, que l’envie le prend d’écrire sur la ville qui ne dort jamais, ou plutôt « la ville qui vit tout le temps » comme il préfère la décrire. Depuis 2010 il y retourne chaque année. En 2011 il tombe sur un livre « Une blonde à New York » avec des photos de Marilyn qu’il trouve superbes. Philippe a trouvé son idée, « Manhattan Marilyn » un thriller qui bouge aussi vite que New York.

    Résumé :

    Ancienne Marine en Irak, Kristin Arroyo découvre dans les affaires de son grand-père décédé – un célèbre portraitiste – des clichés inédits de Marilyn Monroe. Aidée par un photographe, elle décide de monter une exposition. Malheureusement, rien ne se passe comme prévu : une mystérieuse organisation s’en prend à eux. Pourchassée, traquée, la jeune femme va rapidement comprendre que son destin est lié à celui de Marilyn Monroe et s’efforcer de reconstituer les derniers jours de l’égérie hollywoodienne afin de percer le mystère qui entoure sa disparition.

    Manhattan Marilyn
    Philippe Laguerre Paru le 20 mai 2016
    Roman (broché)

  • Who’s Who deuxième trimestre 2016, les photographes ont le vent en poupe !

    Who’s Who deuxième trimestre 2016, les photographes ont le vent en poupe !

    Jamais deux sans trois, pour la troisième fois c’est un femme qui prend la tête de notre who’s who du second trimestre 2016. Elle était classée deuxième le trimestre dernier et la voilà en première place, Floriane Caux.

    Floriane Caux est photographe, elle a fait l’Ecole de Photographie et des Arts & Médias de Toulouse de 2006 à 2009 (ETPA) et exerce maintenant dans le monde du mariage et dans le monde entier.

    Elle se retrouve devant Frédérique Massat qui descend donc à la deuxième place.

    Pas de femme à la troisième place (ce sera peut être pour la prochaine fois), puisque l’on retrouve, comme au premier trimestre Monsieur Henri Nayrou, Président du Conseil Départemental.

    Cette fois le classement fait la part belle aux photographes : Raphaël Kann gagne 33 places et se classe 49ème, Marc Mesplié en gagne 17 pour se retrouver en 56ème place. Laurent Crassous  et Alain Baschenis gagnent respectivement 9 et 7 places.

    On note ce trimestre une fort belle remontée du chorégraphe Kader Nadjar qui gagne 73 place pour se retrouver en 31ème position.

    A noter aussi que Patrick Anné, journaliste sportif, remonte de 39 places et Claudius de Cap Blanc, affabulateur, de 38 places.

    L’Ariège département d’artistes ?

     Voir le classement : Classement-whoswho-avr-juin2016

    Prochain classement en octobre 2016

    Le Baromètre de notoriété des personnalités qui font l’Ariège est tenu par Azinat.com depuis le 15 septembre 2007, il est remis à jour tous les 3 mois

    Classement des 99 personnalités à plus forte notoriété en Ariège. Score avec catégorie et nombre de pages référencées sur Google.fr (méthode : recherche par nom associé au mot ariège*, comme : «Prénom Nom» Ariège ) Premier classement effectué le 15/09/07.
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  • Georges-Patrick Gleize, « Le vent de la jeunesse »

    Georges-Patrick Gleize, « Le vent de la jeunesse »

    Répondant gentiment à notre invitation, Georges-Patrick Gleize, entre Salons du livre, signatures et cours au Lycée,  nous a rendu visite dans nos locaux pour nous parler de son dernier Roman « Le vent de la jeunesse »

    Après nous avoir entrainés sur les terres mirapiciennes avec «Le serment des Oliviers», Georges-Patrick Gleize, avec son quatorzième roman «Le vent de la jeunesse», nous fait traverser le XXème siècle à travers Paris, la Corrèze et l’Ariège en suivant le destin de trois générations de femmes.

    Au delà de ces beaux portraits de femmes et d’un mystère de famille dont il a le secret, Georges-Patrick Gleize mène le lecteur dans la vallée d’Auzat, sur les traces de ces immigrés italiens et espagnols qui ont travaillé à la construction du barrage d’Izourt en 1939 et ont connus, pour certains, une terrible fin.

    Georges-Patrick nous a également dévoilé les prémices de son prochain roman qui cette fois se déroulera dans le Couserans et terminera « la trilogie » des secrets de familles au travers de la destinée de quatre hommes.

    Résumé

    vent-de-la-jeunesseFlore, jeune journaliste, croise le regard insistant d’un inconnu à Paris dans le métro. Incident banal qu’elle aurait aussitôt oublié si le jeune homme ne lui rappelait étrangement quelqu’un.
    Quelques jours plus tard, chez sa mère en Corrèze, Flore découvre la photo d’un homme ressemblant trait pour trait à l’inconnu de Paris. Ce pourrait être la même personne si la photo ne datait de 1939. Qui est l’homme de la photo ?
    Se heurtant au silence obstiné de sa mère, Flore part sur les traces de la seule personne susceptible de l’éclairer : sa grandmère, qu’elle n’a jamais connue. Avec pour seul indice son prénom, Anna, elle parvient à reconstituer peu à peu le destin de cette émigrée italienne venue travailler avec ses parents dans les Pyrénées ariégeoises. Mais l’histoire d’Anna se brouille pendant la période troublée de l’Occupation…
    En voulant connaître le secret de ses origines, Flore va briser un terrible tabou…

    d<sf<

    Le Vent de la jeunesse
    Georges-Patrick Gleize
    Editions Calmann-Lévy
    Série : Cal-Lévy-France de toujours et d’aujourd’hui
    calmann-levy.fr

    [callout]Rencontre et signatures

    • 9 Avril 2016 : Signatures  Leclerc Multimédia Pamiers – 09
    • 16 Avril 2016 : Signatures Leclerc Multimédia Foix – 09
    • 18 Avril 2016: Signatures Librairie Les Couverts Mirepoix – 09
    • 22 Avril 2016:  Signatures Librairie Bruel – Lavelanet- 09
    • 24 Avril 2016 : Salon du Livre de Souillac – 46
    • 26 Avril 2016: Signatures Librairie La croisée de Beynat – 19
    • 30 Avril 2016: Salon du Livre de Castillonnès – 47
    • 5 Mai 2016: Signatures Librairie Les Beaux Livres – Ax-Les-Thermes – 09
    • 7 Mai 2016: Signatures Librairie La Mousson- Saint Girons – 09
    •  5 juin 2016: Salon du Livre de Pamiers – 09
    • 3 Juillet 2016 : Salon du Livre de Mirepoix – 09
    • 10 Juillet 2016 : Salon du Livre de Massat – 09
    • 17 Juillet 2016 : Salon du Livre de Tarascon/Ariège – 09
    • 12 Aout 2016 : Salon du Livre de Felletin – 23
    • 22 et 23 Octobre 2016: Salon du livre de Parisot – 81
    • 16 Novembre 2016: Conférence Verniolle – 09
    • 20 Novembre 2016: Salon du Livre d’Auterive – 31[/callout]
  • Who’s Who premier trimestre 2016, la part belle aux élus !

    Who’s Who premier trimestre 2016, la part belle aux élus !

    Pour ce premier trimestre 2016, cinq élus ou anciens élus se partagent les six premières places de notre who’s who ariégeois, le classement des 99 personnalités à plus forte notoriété sur le web en Ariège.

    Deux fois n’est pas coutume, c’est une femme qui arrive en tête en ce mois d’avril 2016. Frédérique Massat, députée de la 1ère circonscription de l’Ariège et Vice-Présidente de la commission des affaires économiques de l’Assemblée Nationale prend la première place du classement.

    On se souvient que la première femme à avoir pris la tête du classement était Annie Fachetti Chargée de communication à Ariège Expansion (l’agence de développement économique du département) en 2010.

    Pour la première fois dans le trio de tête, nous trouvons Floriane Caux, photographe. Une femme également (et ça c’est bien). Voilà quelques temps que Floriane « grapille » régulièrement quelques places. Cette fois elle gagne dix places et se retrouve seconde.

    Henri Nayrou perd un place mais reste sur le podium. André Trigano perd 3 places et se retrouve quatrième, Jean-Pierre Bel garde sa cinquième place suivi par Augustin Bonrepeaux.

    Voilà pour les élus locaux.

    On retrouve avec grand plaisir Monsieur Jean Clottes qui remonte de quatre places et se retrouve dans les dix premiers avec Fabien Pelous, Olivier de Robert, et Yoann Huget qui se retouve dixième.

    Il faut attendre la dix-septième place et Philippe Lacube, qui gagne quand même 31 places, pour voir un représentant de la gastronomie ariégeoise.

    Elus locaux, photographe, historien, écrivain, sportif, restaurateur, voilà un joli panel représentatif de notre département.

    On vous donne rendez-vous début juillet pour le classement du deuxième trimestre.

     voir le classement : Classement whos’who janv-mars 2016

    [callout]Le Baromètre de notoriété des personnalités qui font l’Ariège est tenu par Azinat.com depuis le 15 septembre 2007, il est remis à jour tous les 3 mois

    Classement des 99 personnalités à plus forte notoriété en Ariège. Score avec catégorie et nombre de pages référencées sur Google.fr (méthode : recherche par nom associé au mot ariège *, comme : «Prénom Nom» Ariège ) Premier classement effectué le 15/09/07.(pour obtenir l’historique des classements et le détails sur plus de 99 personnalités suivies du pannel, merci de nous contacter par email redaction@azinat.com)

    Reproduction même partielle, interdite sans accord préalable

    Tous droits réservés Azinat 2007-2014 ©

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  • Martine Crespo « je ne peux pas vivre ailleurs qu’en Ariège »

    Martine Crespo « je ne peux pas vivre ailleurs qu’en Ariège »

    Martine obtenu un bac agricole et un BTS de production animale au lycée agricole de Pamiers, mais n’ayant pas pu s’installer comme agricultrice et voulant absolument rester « au pays » elle décide de faire des croustades, pâtisserie qu’elle aime par dessus tout. (voir notre reportage sur les croustade ICI)

    Femme engagée, Martine a choisi de valoriser ce patrimoine culinaire du Couserans mais pas que, elle a également opté pour le développement durable qui pour elle est un moteur de performances sociales, économiques et environnementales.

    Il y à trois ans elle s’est donc lancée dans la RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises) avec l’envie de faire participer les consommateurs à une consommation plus responsable : moins de plastiques pour les courses, fabrication de compost et valorisation des déchets culinaires en cuisine, découverte de produits locaux, jardin partagé, engagement dans la monnaie locale la Pyrène.

    « je ne peux pas vivre ailleurs qu’en Ariège »

    « Ma relation avec l’Ariège est quasiment fusionnelle » dit elle « J’aurais pu partir mais je n’ai absolument pas voulu. Je ne peux pas vivre ailleurs, c’est un constat. J’ai besoin de ce contact à le terre, à la nature. Je ne veux pas partir d’ici, il y a tellement à faire, on peut repenser une autre forme d’économie, mais il faut sortit un peu du cadre car si l’on veut calquer un modèle économique de grande ville sur un modèle d’une petite ville comme Saint-Girons ou les campagnes environnantes, ça ne peux pas marcher ».

    « L’Ariège pour moi, c’est la solidarité. Les paysage sont accidentés et on ne vit pas de la même façon en montagne que dans la plaine. S’il n’y a pas cette solidarité entre les petits territoires accolés les uns aux autres, ça me semble difficile de pouvoir donner à tous les mêmes choses en terme de déplacement, d’adsl…. pour moi, l’Ariège c’est la solidarité avant tout« 

    Interview réalisée à Saint Girons, propos recueillis par Azinat.com

    Où trouver les croustades de Martine Crespo :

    La Boutique à croustades
    38, rue Pierre Mazaud – Saint-Girons
    Tél. : 05 34 14 30 20

    Philippa et Martin Finn
    21, rue des Marchands – Foix
    Tél. : 05 34 09 34 27

    Cécile et Cyril Auriac-Plazolles
    54, rue Peyrolières – Toulouse
    Tél. : 05 61 12 47 04

    croustade.com
    croustade.com/blog

  • La croustade, la « madeleine de Proust » de Martine Crespo

    La croustade, la « madeleine de Proust » de Martine Crespo

    Traditionnelle du Couserans, la croustade était autrefois le dessert tant attendu des réunions de famille ou de la fête annuelle du village. Depuis 1983 Martine Crespo lui redonne son authenticité.

    « Nous étions une famille de cinq enfants et ma grand-mère ne faisait des croustades que pour les baptêmes, les communions et pour la fête du village. Nous devions attendre une année complète pour avoir des croustades. Mais, fin du fin, c’est qu’elle les faisait le jeudi ou le vendredi et nous avions le plaisir de les contempler, installées sur une table sur laquelle elle avait mis un drap blanc. On les regardait, on sentait l’odeur et on devait attendre. Je pense que cette frustration énorme m’a conduite à aimer à ce point les croustades. » Martine Crespo.

    C’est en 1883 que Martine décide de redonner son authenticité et ses lettres de noblesse à la véritable croustade. D’abord sur les marchés, puis, la demande devenant importante, elle décide d’ouvrir un boutique à Saint-Girons, puis une boutique de petite restauration à Foix tenue par Philippa et Martin Finn.

    Le succès, elle le doit à la qualité de la pâte feuilletée qu’elle travaille à l’ancienne, comme sa grand-mère, mais également à la qualité des produits presque tous locaux : Lait et crème du Gaec de la Baure à Lescure, fromage de vache de la Calebasse à St Lary, fromage de chèvre d’Arrout… un coût de matières premières élevé par rapport à la moyenne mais c’est là le prix à payer pour donner aux croustades une saveur unique.

    Malgré l’apparente simplicité, le feuilleté est quelque chose de complexe. Ici la pâte est fabriquée de A à Z, elle repose pendant 4 ou 5 jours et doit être étirée plusieurs fois sans laisser le beurre s’échapper, une pratique difficile à acquérir.

    Depuis 33 ans, Martine a adapté ses recettes aux saisons, elle propose aujourd’hui une carte de spécialités salées et sucrées de la plus traditionnelle à la plus élaborée comme celles au foie gras ou à la coquille Saint-Jacques.

    Une entreprise économiquement
    et écologiquement responsable.

    Outre le soutien à l’économie locale à travers l’achat de produits locaux, 900 kg par an de produits compostables arrivent dans le jardin de Martine au lieu des ordures ménagères, les produits invendus sont donnés au Secours Populaire, les produits de la veille et de l’avant veille sont commercialisés -20% et -30%. On peut également réglé ses achats en « Pyrène » la monnaie locale ariégeoise (ça, on vous reparle bientôt).

    Où trouver les croustades de Martine Crespo :

    La Boutique à croustades
    38, rue Pierre Mazaud – Saint-Girons
    Tél. : 05 34 14 30 20

    Philippa et Martin Finn
    21, rue des Marchands – Foix
    Tél. : 05 34 09 34 27

    Cécile et Cyril Auriac-Plazolles
    54, rue Peyrolières – Toulouse
    Tél. : 05 61 12 47 04

    croustade.com
    croustade.com/blog