Étiquette : Who’s Who

  • Une « Histoire de la France Polissonne »

    Une « Histoire de la France Polissonne »

    Tout, vous saurez tout des nuits folles du Régent, des frasques du jésuite toulonnais Girard, du phimosis de Louis XVI, de la délicate procédure du « Congrès », de l’histoire de la ceinture de chasteté ou de cette noble dame fécondée… par un vent d’Est pour le moins coquin.

    Le titre est volontiers coquin et alléchant mais « rassurez-vous, (ou pas)  il ne s’agit pas d’un livre porno, ni même salace », prévient d’emblée son auteur !

    Par son Histoire de la France polissonne, Patrick Caujolle continue de faire ce qu’il fait à merveille depuis plusieurs années : raconter la grande histoire par les petites histoires.

    Dans une passionnante enquête, première du genre dans l’hexagone, l’écrivain soulève les jupes de l’histoire de France pour en tirer de succulents récits. Sait-on qu’une maison close idyllique et dessinée en forme de phallus a été conçue au XVIIIe siècle par l’un des plus grands architectes de notre pays ? Comment le Docteur Voronoff a-t-il redonné la vigueur sexuelle à de célèbres patients en leur greffant des testicules de singe ? De quelle manière Victor Hugo, qui était accroc au sexe, a-t-il consigné tous ses « exploits » dans des carnets secrets ?

    Des talents d’une « petite comtesse » de Béziers, en passant par le parc aux cerfs de Louis XV, jusqu’aux écarts de Napoléon III et du président de la République Félix Faure, c’est avec faconde et finesse que l’auteur dévoile les faces cachées de notre passé.

    L’histoire de la France polissonne, éd. Le Papillon rouge, 288 pages. 20,50  euros.

    Egalement

    Après « Les Mystères de Haute-Garonne », ouvrage mosaïque qui recense bon nombre de faits ou de destins insolites et pittoresques de ce département, ouvrage aussitôt suivi en 2009 par les « Mystères du Tarn et Garonne », Patrick  Caujolle sort aujourd’hui « Les Mystères du Gers »

    Il  a exhumé des antres des archives départementales du Gers et de la mémoire des anciens une myriade d’anecdotes et de personnages qui ne demandaient qu’à remonter à la surface du temps.

    Paru aux éditions de Borée. 26 €.

     

  • Philippe Lacube, « la seule richesse des gens de là-haut, c’est la liberté »

    Philippe Lacube, « la seule richesse des gens de là-haut, c’est la liberté »

    Né en 1963 à Foix, Philippe Lacube a toujours rêvé d’être agriculteur. Après une formation il part rouler sa bosse dans les Pyrénées et en Amérique du sud.

    Il y a 17 ans il revient s’installer chez lui en Ariège avec l’idée d’amener de la valeur ajoutée à ce qu’il produit. Pour cela il doit valoriser ce produit vers le consommateur.

    Sur la base de sa ferme, le GAEC du Quié située à verdun où il élève des vaches gasconnes, Philippe va développer toute une gamme de produits : le restaurant La Montanha, les gites, un magasin de produits locaux, la découverte de la transhumance au plateau de Beille. Tout cela dans un seul but, faire découvrir et partager, non seulement en termes alimentaires mais aussi de culture, l’histoire de ces montagnes ariégeoises.

    « Je veux que ces montagnes vivent, je veux qu’il y ait des écoles, je veux qu’il y ait des gens qui travaillent, je veux qu’il y ait un avenir […] on est pas la frontière sauvage » explique Philippe avec passion.

  • Who’s who avril 2013, La Georgette à l’honneur

    Who’s who avril 2013, La Georgette à l’honneur

    Les who’s who se suivent mais ne se ressemblent pas. Au classement de ce premier Who’s who 2013, c’est notre Georgette internationale qui est à l’honneur en la personne de Monsieur Jean-Louis Orengo son créateur.

    Who's who avril 2013, La Georgette à l'honneur Ariège Pyrénées

    crédit photo Modelnature.fr

    Une coincidence puisque nous sommes en plein trophées de la restauration ? Peut être ! mais sans doute aussi parce que « Georgette » commence à se faire une belle place dans le monde de la gastronomie. Après un voyage aux Etats Unis, ce petit couvert multi fonctions va partir conquérir le Japon.

    On retrouve à la deuxième place Annie Fachetti, chargée de communication à Ariège Expansion et qui gagne 70 places depuis décembre 2012. C’est la plus belle remontée de ce classement.

    En troisième position Fabien Barthez gagne lui 1 place.

     En ce qui concerne les plus belle remontées de ce classement, on retrouve :

    Jean-François Brachotte Pdg de Mapaero qui gagne 57 places. Louis Marette, maire de Mazères 33 places,  Marc Carballido Vice-Président du Conseil Régional 30 places, Raphaël Kann photographe 29 places et Marc Sanchez Président de la communauté de communes du Pays d’Olmes et maire de Lavelanet plus 28 places.

    Nous vous donnons rendez-vous fin juin pour un classement plein de surprises… ou pas.

    Classement des 99 personnalités à plus forte notoriété en Ariège. Score avec catégorie et nombre de pages référencées sur Google.fr (méthode : recherche par nom associé au mot ariège *, comme : « Prénom Nom » Ariège )

    Who's who avril 2013, La Georgette à l'honneur Ariège pyrénées

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

  • Philippe Laguerre-Ward, l’imaginaire ariégeois

    Philippe Laguerre-Ward, l’imaginaire ariégeois

    Bien que né à Bordeaux, Philippe Laguerre alias Philippe Ward est profondément ariégeois. Ecrivain et éditeur par passion, son crédo, « Pour que mon village ne meure pas, il faudra que sa mémoire demeure. »

    Philippe Ward568x300

    Son village, depuis au moins 1650…, c’est Gourbit, mais oui Gourbit près de Tarascon, juste à coté du Parc de la Préhistoire. Il y possède d’ailleurs encore une petite maison. « Je pense que mes ancêtres ont décoré les grottes de Bédeilhac et de Niaux…» dit il avec humour mais non sans fierté, car l’Ariège il l’a dans le coeur. «J’ai l’Ariège collée à moi depuis que j’ai sept jours ».

    Ecrivain et éditeur par passion, il dévore les livres, il en possède plus de 10 000 et il les a quasiment tous lu. De Oui-Oui au Clan des 7 en passant par le Club des 5, le virus l’a pris dès son plus jeune âge et ne l’a plus lâché. Mais Philippe Ward est fan d’un genre particulier qu’il appelle « les mauvais genres » et qui se situent dans le domaine de l’imaginaire (Science-fiction, fantastique, polar, fantasy ….).

    Il décide d’écrire il y a une trentaine d’années, le jour où, déçu par un roman, il se dit qu’il pourrait faire mieux et se lance dans l’écriture de son premier ouvrage, « Artahe » l’histoire d’un Dieu Ours dans les Pyrénées. Cela lui prendra 10 ans, « Je me suis rendu compte que ce n’était pas si facile d’écrire, et puis l’Ours en Ariège c’est un sujet sensible ».

    Avec une quinzaine de nouvelles, un recueil Noir Duo (Rivière Blanche) et un roman (le chant de Montségur) sur le trésor des cathares écrit en collaboration avec  Sylvie Miller, Philippe Ward est l’un des rares écrivains de l’imaginaire français.

    Philippe Ward c’est aussi l’éditeur de Rivière Blanche qu’il a créée il y a huit ans. Une maison d’édition hors normes qui publie des anthologies, des romans inédits (français, espagnols, américains, russes, basques, australiens…), des ouvrages qui se situent uniquement dans le monde de l’Imaginaire.

    Mais les ouvrages dont il est sans doute le plus fière sont ceux de ses parents, Jacky et Paulette Laguerre sur le village de Gourbit et où il est question des petites histoires du village entre 1700 et 1940.

    Le site officiel de Philippe Ward

  • Georges Patrick Gleize,  » l’Ariège c’est une terre humaine… Elle est nous même et nous sommes d’Elle même »

    Georges Patrick Gleize,  » l’Ariège c’est une terre humaine… Elle est nous même et nous sommes d’Elle même »

    Georges Patrick Gleize, bien que né « par hasard » dans le seizième arrondissement de Paris, est profondément ariégeois.

    Georges Patrick Gleize, " l'Ariège c'est une terre humaine Ariège-Pyrénées

    Le temps de pousser son premier cri et le voilà chez ses grands-parents à Foix où il passera toute son enfance, avant d’entamer des études supérieures à Toulouse qui le conduiront au professorat d’Histoire.

    Sa carrière de professeur l’entraînera dans toute la France, jusqu’à Dunkerque pour finalement revenir au Pays avec son épouse en 1991. Il enseigne aujourd’hui l’ Histoire au Lycée du Castella à Pamiers. Bon nombre d’entre vous ont d’ailleurs été son élève.

    A l’occasion de l’interview qu’il nous avait consacré pour la sortie de son dernier roman « La Fille de la Fabrique » il a évoqué sa carrière d’écrivain ainsi que son profond attachement à sa terre « presque » natale.

    Dans cette seconde interview il nous confie : « l’Ariège c’est une terre humaine… Elle est nous même et nous sommes d’Elle même » Georges Patrick Gleize,  pour Azinat.com.

    Dans notre prochaine interview, Georges Gleize nous parlera de sa passion pour l’écriture.

  • « La Fille de la Fabrique », maintenant en librairie

    « La Fille de la Fabrique », maintenant en librairie

    « En ce petit matin de septembre 1964, au pied des Pyrénées, au confins du Comminges et du Volvestre, le ciel était d’un bleu transparent, presque diaphane. »

    "La Fille de la Fabrique", c'est dès aujourd'hui en librairie Ariège-Pyrénées

    C’est par cette phrase que débute « La Fille de la Fabrique », le onzième roman de Georges-Patrick Gleize.

    Dans ce onzième récit c’est une femme de quarante ans, sur les traces de son enfance et à la recherche de sa propre identité que l’on va découvrir et aimer au fil des pages toujours imprégnées de son amour du Sud et de ses traditions.

    Une histoire en partie réelle qui rentre dans le cadre de cette thématique que l’écrivain explique comme  «ce passé qui ne passe pas, ces souvenirs qui vous accrochent et vous poursuivent, et qui vous conditionnent pour faire de vous ce que vous êtes »  une thématique déjà abordée dans d’autres romans « Rue des Hortensias rouges » et « Une nuit en juin .

    Mais Georges-Patrick Gleize nous a habitué à un roman par an, alors qu’en est-il du prochain ? et bien il est déjà commencé et il nous en livre les prémices dans son interview.

    Séances de dédicaces

    • 15 Mars 2013: Librairie Les temps modernes Pamiers – 09
    • 16 Mars 2013 : Médiathèque  Martres – Tolosane – 31
    • 23 Mars 2013:  Espace Culturel  Leclerc Pamiers – 09
    • 29 Mars 2013: Librairie Bruel Lavelanet – 09
    • 30 Mars 2013: Librairie la Mousson St Girons – 09
    • 1 er Avril 2013: Librairie Les couverts Mirepoix – 09
    • 5, 6 et 7 Avril 2013: Salon du livre de Limoges – 87
    • 12, 13 et 14 Avril 2013: Salon du livre de Balma – 31
    • 20 Avril 2013: Espace culturel Intermarché Foix – 09
    • 1er Mai  2013 : Fête des Fleurs Beynat – 19
    • 4 et 5 Mai 2013: Salon du livre de Châteauroux – 36
    • 15 Mai 2013: Médiathèque de Saverdun – 09
    • 18 Mai 2013: Librairie les beaux livres – Ax-les-thermes – 09
    • 2 juin 2013: Salon du livre de Pamiers – 09
    • 9 Juin 2013: Salon du livre de Sainte Foy Peyrolières – 31
    • 15 Juin 2013: Librairie Hersoc Carmaux – 81
    • 7 Juillet 2013: Salon du livre de Mirepoix – 09
    • 20 et 21 Juillet 2013: Salon du livre de Font Romeu – 66
    • 11 Août 2013: Salon du livre de Tarascon – 09
    • 16 Août 2013 : Salon du livre de Felletin – 23
    • 20 Août 2013 : Librairie de Beynat – 19
    • 20, 21 et 22 septembre 2013: Salon du livre de Tonneins – 47 

     

  • Mady de la Giraudière, Mady et les animaux

    Mady de la Giraudière, Mady et les animaux

    Pour ce troisième volet de nos entretiens avec Mady de la Giraudière, nous avons retenu sa passion pour les animaux. Des chiens, des chats, des chevaux… elle en est entourée.

    Mady de la Giraudière, Mady et les animaux Ariège-Pyrénées

    Quelquefois, ses animaux nous parlent et quand les animaux de Mady nous racontent des histoires, ce sont des histoires… des histoires d’Ariège bien entendu.

     

  • Le 8 mars, la journée des femmes ariégeoises !

    Le 8 mars, la journée des femmes ariégeoises !

    La journée de la femme trouve ses origines dans  les manifestations de femmes au début du xxe siècle en Europe et aux États-Unis, réclamant l’égalité des droits, de meilleures conditions de travail et le droit de vote.

     Les insurgées de l’époque, des femmes ordinaires : ouvrières, mères de famille, femmes de soldats, françaises,  russes, voyant leurs droits mais également leurs valeurs ignorés. Les premières journées de la femme marqueront le début d’une longue lutte pour l’égalité et la paix.

    Le 8 mars 1977, les Nations Unies adopte une résolution enjoignant ses pays membres à célébrer une « Journée des Nations Unies pour les droits de la femme et la paix internationale ». En France, il faudra attendre le 8 mars 1982 pour que le gouvernement socialiste de François Mitterrand donne un statut officiel cette journée.

    Le 8 mars 2013 Azinat.com adopte la résolution de parler des femmes ariégeoises.

    Bien sûr on ne peut pas parler de toutes les femmes alors nous avons décidé de parler de celles classées dans notre who’s who 2012, il faut faire un choix. Mais on le sait il y en a beaucoup d’autres.

    Elles sont journalistes, historienne, femme politique, chef d’entreprise, artiste peintre photographe ou écrivain et elles sont au classement des 99 premiers « Ambassadeurs de l’Ariège sur le Net ». Petite ombre au tableau elles ne sont que 14 sur 99 on est loin de la parité, mais, notre historienne Anne Brenon est deuxième au classement général ce qui est quant même une performance.

    Alors qui sont ces femmes qui, par leur notoriété sur le web, font la promotion de l’Ariège.

    Anne Brenon, ariégeoise de coeur, historienne et auteur de nombreux ouvrages sur le catharisme est la première de notre calssement. Annie Fachetti est chargée de communication, elle a été longtemps à la première place. Et enfin, dans le trio de tête Frédérique Massat notre Députée.

    Mady de la Giraudière, notre grande artiste peintre dont vous pouvez voir les portraits actuellement sur notre site est à la quatrième place suivie de Martine Crespo dont on ne présente plus les excellentes croustades et de Floriane Caux jeune photographe de talent.

    Claudine Palhiès, directrice des Archives départementales de l’Ariège et chargée de cours à l’Université de Toulouse-Le-Mirail. Laurence Cabrol, journaliste à Ariège news qui sillonne l’Ariège d’est en ouest et du nord au sud pour nous apporter toujours plus d’information sur notre beau département.

    En 10ème place nous retrouvons Florence Guillot Directrice de la Maison des Patrimoines d’Auzat et Docteur en Histoire et Archéologue.

    Josiane Gouze-Fauré Présidente de l’Union Patronale Midi-Pyrénées. Claudine Barthez. Françoise Pancaldi, Maire Adjointe à la Mairie de Pamiers et Déléguée à la Communauté de Communes du Pays de Pamiers. Josette Elay qui a mis l’Ariège au centre de son roman « Secrets de granit ». Et enfin Cécile Dupont, rédactrice en chef de la Gazette Ariégeoise et membre de la Confrérie de l’Azinat et de la Rouzolle.

    Ce vendredi 8 mars 2013, nous rendons hommages à ces femmes et toutes les autres qui font de l’Ariège un département où la réussite n’est pas un vain mot.

     

     

  • Mady de la Giraudière, Mady et la couleur

    Mady de la Giraudière, Mady et la couleur

    « Ariège belle Ariège, Ariège eau de neige, chargée d’Or, où est ton trésor ? ».  C’est par ces mots que Mady de la Giraudière défini l’Ariège, son Ariège. Bien sûr, elle ne peint pas que l’Ariège, mais c’est une de ses sources d’inspiration.

    Mady de la Giraudière, Mady et la couleur Ariège-Pyrénées

    Il y a quelques semaines, elle nous a reçu (voir notre article) pour nous parler de sa vocation de peintre, de son attachement à l’Ariège. Nous avons passé un excellent moment et, découvrant qu’elle avait beaucoup de choses à nous dire, nous avons décidé de vous faire partager cette aventure.

    Dans cette deuxième partie de notre entretien, la couleur est son maître mot. Des quatre saisons à l’explication des couchers de soleil. Voici Mady de la Giraudière « Aux couleurs du temps ».

     

  • Mady de la Giraudière, « Ariège belle Ariège, Ariège eau de neige, chargée d’Or, où est ton trésor ?

    Mady de la Giraudière, « Ariège belle Ariège, Ariège eau de neige, chargée d’Or, où est ton trésor ?

    Née à Toulouse « par accident » Mady de la Giraudière est farouchement attachée à l’Ariège, au Pays d’Olmes et à Lavelanet. C’est là qu’elle grandit. Une enfance merveilleuse dans une grande demeure, trois générations, un chien, un chat, les montagnes et la nature.

    Mady de la Giraudière, "Ariège belle Ariège,Pyrénées

    D’aussi loin qu’elle se rappelle, sa vocation est venue à l’âge de cinq ans lorsqu’elle dessine avec le rouge à lèvre de sa mère les portraits en pied de ses parents sur le mur de la chambre…

    Cette vie idyllique   « d’enfants sauvage » va souffrir de neuf ans d’internat à Toulouse. L’Ariège lui manque ses animaux sa couleur… tout ce qui fait son paradis. Mais rien n’arrête sa passion dévorante pour le dessin.

    Grand bien nous fasse puisque aujourd’hui, à plus de 90 ans, Mady peint toujours et encore.

    Grâce à son succès, son talent mondialement reconnu (Chevalier dans l’Ordre des Arts et Lettres en 1987, Officier dans l’Ordre des Arts et Lettres au titre de la promotion de juillet 2011), ses nombreux voyages, ses rencontres avec les plus Grands, elle fait rayonner l’Ariège au quatre coins du monde.

    Aujourd’hui c’est un premier portrait de Mady que nous vous proposons dans lequel elle nous parle de sa vocation de son attachement à ses racines, il y en aura d’autres, elle a tant à nous dire…

    www.madydelagiraudiere.com

  • Who’s who, le classement annuel 2012 Jean Clottes en tête

    Who’s who, le classement annuel 2012 Jean Clottes en tête

    Comme il est d’usage depuis 2009, nous vous présentons le classement général des 99 personnalités ariégoises qui font parler d’elle sur le net. Il s’agit là de faire la moyenne des quatre classements de l’année et cela réserve des surprises.

    Who's who, le classement général 2012 Jean Clottes en tête Ariège-Pyrénées

    Sur toute l’année 2012, arrive en tête monsieur Jean Clottes, dont nous avons fait l’interview il y a quelques jours. Sans doute est-ce dû à la sortie du film « La grotte des rêves perdus » de Werner Herzog dans lequel il tient un rôle prépondérant puisqu’il a été un des premier à pénétrer dans la grotte Chauvet.

    A la deuxième place nous retrouvons madame Anne Brenon, grande spécialiste du catharisme. Cette année 2012 est donc marquée par l’histoire et la culture et nous nous en félicitons.

    A la troisième place  et pour la première fois depuis la création du Who’s Who, monsieur Eric Fourcaud, chargé de projet, spécialiste de la gestion des informations et de la veille stratégique à l’agence de développement économique Ariège Expansion et bien entendu fondateur d’Azinat.com.

    Viennent ensuite Jean-Louis Orengo et sa fameuse « Georgette », André Trigano Maire de Pamiers, Olivier de Robert, Annie Fachetti qui a longtemps été N° 1 de notre classement, Jean-Pierre Bel, Fabien Barthez et Pierre Bertrand.

    Un florilège de personnalité aux 10 premières places (sportifs, historiens, chefs d’entreprise, acteurs du développement économique, élus) qui dépeint parfaitement cette Ariège de contraste et de diversité.

    Classement 2012 :

    classement annuel2012

  • Henri Nayrou, « Mettre l’être humain au coeur du dispositif »

    Henri Nayrou, « Mettre l’être humain au coeur du dispositif »


    Henri Nayrou, " Mettre l'être humain au coeur du dispositif " Ariege-Pyrénées

    Rugbyman, journaliste sportif, rédacteur en chef  et directeur pour le journal Midi Olympique, Député de l’Ariège de 1997 à 2012, Conseiller Général du canton de Saint-Girons, le CV de Henri Nayrou en dit long.

    Né à Suc-et-Sentenac dans la haute vallée de Vicdessos, c’est un montagnard dans l’âme, viscéralement attaché à l’Ariège. Aujourd’hui, il présente ses voeux aux ariégeois.

    Extrait :

    Azinat : « Qui est Henri Nayrou pour l’Ariège ? »

    « Je suis né en montagne, ce qui ne laisse pas insensible. Je ne sais pas si on a plus de globules rouges que les autres, mais on a quelque fierté à être montagnard, on a appris très tôt à dire non à ce qui ne convient pas… ».

    Azinat : « Quelle serait votre grande phrase pour l’Ariège ? »

     « Il y en à deux, la première c’est que l’Ariège a les défauts de ses qualités (…) demain l’Ariège aura les qualités de ses défauts… la seconde, dans beaucoup d’endroits la nature a bon dos, en Ariège elle a bon goût »

    Azinat : « Que souhaitez vous pour l’Ariège et les ariégeois pour cette année 2013 ? »

    « Que l’Ariège puisse profiter des ses atouts naturels, au premier rang desquels cette réserve naturelle d’eau, mais également la forêt (…). Que l’on trouve le bon tempo pour convaincre les citadins de faire un pas de coté et de venir nous rejoindre (…) le développement économique bien sûr, le développement démographique en jouant le partenariat avec Toulouse... »

    « qu’il y ait un glissement démographique vers la vrai vie et l’Ariège aura enfin les qualité de ses défauts »

     « Il est inéluctable, si on veut mettre l’être humain au coeur du dispositif , qu’il y ait un meilleur équilibrage territorial entre les métropoles, les grandes villes, les petites villes de province, le rural et la montagne. » Henri Nayrou pour Azinat Janvier 2013