Auteur/autrice : Laurence D’Azinat Tv

  • Ski-club de Beille, les mercredis à la neige

    Ski-club de Beille, les mercredis à la neige

    Ski à roulettes, skating, biathlon, ski de fond et, nouveauté 2017, section handi-ski, la saison du ski-club de Beille a débuté début janvier en Espagne, faute de neige. Mais les chutes récentes d’or blanc ont permis un retour à la normale.

    Depuis le 4 janvier, tous les mercredis, un encadrement est assuré par les membres du club et les moniteurs ESF dont Laure, Olivier et Arnaud Bosc font partie.

    Le club compte une soixantaine d’adhérents licenciés dans le cadre de la FFS (Fédération Française de Ski) mais il compte en tout une centaine de personnes,  adhérents ou amis, qui viennent aider à l’organisation des courses.

    Des adhérents qui viennent de plus en plus loin, de Toulouse et de la région toulousaine, puisque le ski-club est le seul en Ariège à proposer du ski nordique.

    La grande nouveauté de la saison 2016-2017 est sans doute la création de la section Handi-ski, encadrée par Patrick Carbonnel et, au cours de la saison, une journée de sensibilisation et de promotion de l’activité. 

    Coté compétitions, le biathlon et le nordique-skieur-cross prévus le 30 janvier est reporté à une date ultérieure ; on trouvera, mi-mars l’Envolée de Beille, une des plus grosses courses pyrénéenne pour les enfants suivie, l’avant-dernier week-end de mars de la Beilloise, une course populaire tout public, tout âge, tout niveau.

    Rendez-vous donc tous les mercredis à 13h45 sur la place de Les Cabannes ou à 14h30 à Beille pour goûter aux joies du ski nordique. Inscriptions encore possibles !

    Contact Bernard Gaya 06.08.34.43.01
    sites.google.com/site/skibeille/

  • Lavelanet, la société CMA a le vent en poupe

    Lavelanet, la société CMA a le vent en poupe

    Depuis les années 30 et la création de la société « Laffont » à Villeneuve d’Olmes par Achille Laffont, qui travaillait alors pour les usines textiles, la Chaudronnerie-Mécanique-Ariègeoise (CMA) sise 65, rue Jean Jaurès à Lavelanet n’a eu de cesse de s’agrandir et se développer.

    Aujourd’hui, l’entreprise Lavelanétienne s’est spécialisée dans l’usinage d’ensembles mécano-soudés de grandes dimensions. La société CMA est épaulée depuis 2009 par une autre entreprise Lavelanétienne : Constructions Montages Assembliers, cette entreprise partenaire forte d’une trentaine de salariés est quant à elle spécialisée dans la mécano-soudure de grande dimension.

    « Depuis plus de 80 ans, CMA et ses collaborateurs se positionnent auprès de partenaires de grands groupes industriels sur différents secteurs d’activités : fabricants de machines spéciales, fabricants de machines-outils, production pétrolière, automobile, nucléaire, papeterie, sidérurgique, etc » rappelle Christian Georges PDG et petit fils du fondateur. En sus, dans ces locaux de plus de 6000 M2, CMA fabrique des prototypes fonctionnels, systèmes d’outillages, machines et équipements industriels. Issu du regroupement et de la mise en synergie de quatre pôles de compétences techniques et industrielles complémentaires dans les domaines de l’usinage de grandes dimensions, de la mécano-soudure, de l’ingénierie et du tournage, CMA, forte de plus de 60 techniciens salariés et collaborateurs hautement qualifiés, dispose d’un réseau de clients directs et indirects en France, en Europe et dans le monde. Outre ces activités, le groupe et son département méthodes et technologies, travaille sur trois missions complémentaires : études de faisabilité et de fabricabilité, veille technologique concernant les matériaux et équipements de production, sourcing fournisseurs.

    Quand on visite les locaux de CMA, et ses halls de production spécialisés (usinage grandes dimensions, fraiseuse à portique, usinage conventionnel, fraisage et tournage grandes dimensions, mécano-soudure intégrant les débits en oxycoupage,  stabilisation par vibration, grenaillage, peinture, conditionnement), on ne peut qu’être impressionné par le dynamisme de l’entreprise. Ce matin du 12 décembre, les techniciens s’affairaient autour du chariot servant à transporter des têtes d’éoliennes off-shore (de 120 tonnes chacune) devant partir en convoi exceptionnel dans l’après-midi. Une livraison finale pour Général Electric, mais une commande pour le bureau d’études EXCENT de Toulouse, donneur d’ordre. « Car CMA », ainsi que nous l’explique Julien Constantino Responsable qualité (ingénieur mécanique de formation), «notre «groupe»  dispose de l’ensemble des moyens de fabrication et d’usinage lui permettant de fabriquer et de monter des sous-ensembles, ensembles complets ou outillages spécialisés que nous commandent nos donneurs d’ordre ». Dans le même ordre d’idée, les locaux de CMA abritent encore une fabrication exceptionnelle pour aider sa voisine Sabart Aéro Tech à l’écroûtage de lopins pendant l’aménagement de sa nouvelle ligne de production. Un peu plus loin, on peut observer un immense chariot qui servira en ce début d’année à transporter des moteurs d’avion. Il sera livré sur le site de SNECMA Villaroche.

    À n’en point douter, CMA a le vent en poupe. Ici, flexibilité et réactivité ne sont pas de vains mots, car les partenaires continuent à innover pour le bénéfice de ses clients. Julien Constantino, responsable qualité (ingénieur Lavelanétien de formation) glissant : « pour nous tous, chaque nouvelle pièce est un nouveau challenge ».

  • La neige tombe enfin, les stations respirent !

    La neige tombe enfin, les stations respirent !

    La neige tombe enfin sur le massif pyrénéen, il était temps ! L’or blanc se faisait attendre, et depuis cette nuit, «alléluia» les stations se recouvrent d’un beau manteau blanc.

    Elles se sont données du mal les équipes des stations pour satisfaire les visiteurs pour palier au manque durant les vacances de Noël. Et début janvier la station des Monts d’Olmes a posté sur sa page FaceBook des vidéos d’appel à la neige. Vidéos qui ont eu leur petit succès sur les réseaux sociaux.

    L’appel a donc été entendu, et aujourd’hui il neige sur toutes les stations ariégeoises, le temps est donc venu de chausser skis, snowboards, et autres raquettes pour goûter aux joies de la poudreuse. 

    À Ax trois domaines, 10 pistes sont ouvertes avec 30 cm de neige au bas et 50 cm en haut de la station. ax-ski.com/fr/

    Aux Monts d’Olmes,  il y a 20 cm de neige sur la station et ça continue de tomber. Toute l’équipe est sur le pont pour ouvrir d’autres pistes : www.montsdolmes.com

    La petite station de Goulier a 3 pistes d’ouvertes sur 6 et il y a actuellement 25cm de neige. Ascou a également 3 pistes d’ouvertes et 25 cm de neige.

    Un petit tour dans le Couserans et la station de Guzet avec seulement deux pistes d’ouvertes. Mais la webcam nous montre un beau manteau neigeux et laisse présager d’autres ouvertures. www.haut-couserans.com/Guzet/

    Finalement le plateau de Beille avec 1500 m de pistes ouverte au ski de fond ainsi que l’espace luge, avec 5 cm de neige fraîche. www.beille.fr

    Même si ce n’est pas encore la pleine saison, toutes les stations restent optimistes pour ce week-end et surtout pour les prochaine vacances d’hiver.  

    Et si les chutes de neige ne sont pas suffisantes ; il suffira de refaire un appel à la neige ! 

     

  • La fabuleuse histoire du peigne en corne en Pays d’Olmes

    La fabuleuse histoire du peigne en corne en Pays d’Olmes

    Janine Fauré est responsable de la section peigne en corne au Musée du Textile et du Peigne en Corne de Lavelanet, mais elle est surtout fille, petite fille et arrière petite fille de « peigners ». Elle nous raconte l’histoire du peigne en corne.

    S’il est estimé que les premiers peignes dates d’environ 9 500 à 12 500 ans avant J C, l’on est pas très sûr de l’origine de la fabrication du peigne en corne dans notre Région. Certains disent que se sont les protestants qui ont amené la fabrication du peigne en corne au XVI ème et XVII siècle. Mais déjà, dans les archives on trouve des fabricants de peigne en bois à Toulouse, ces derniers venant se ravitailler en matière première sur le Palntaurel. 

    Ce n’est qu’au XIXème siècle que l’on a commencé à travailler la corne et que l’industrie du peigne à pris son essor. 

    Cette industrie était florissante au XIXème et pendant la première moitié du XXème siècle, on comptait une cinquantaine d’usines réparties dans la vallée de l’Hers, à Fougax et Barrineuf et à Sainte Colombe sur l’Hers et 1500 ouvriers travaillaient dans l’industrie du peigne à la fin du XIXème siècle. Il fallait, à l’époque, 18 opérations différentes pour obtenir un peigne : «Un vrai travail artistique» explique Janine. 

    Jusqu’à la première guerre mondiale c’était une industrie familiale, ensuite, beaucoup d’ouvriers qui avaient travaillé dans le peigne en corne ont décidé de s’associer et ont fondé des coopératives. 

    Aujourd’hui il ne reste qu’une usine qui fonctionne à l’Aiguillon.

    La corne venait d’Argentine, d’Afrique du Sud, du Liban, de Turquie… Durant la guerre, les bateaux n’arrivant plus, la fabrication s’est un peu ralenti et on s’est remis à fabriquer des peignes bois et également avec la monture en bois et les dents en corne. 

    Le peigne râteau avec les grosses dents, le démêloir, le décrassoir (peigne à poux), le peigne à moustache, le figaro ou peigne à queue (peigne de coiffeur)… il existe une quantité de peignes différents. Mais celui dont Janine est le plus fière, est celui inventé par son cousin au lendemain de la coupe du Monde de foot de 1998 et la victoire de l’équipe de France, le peigne pour chauve dédié à Fabien Barthez, celui là on vous jure qu’il existe. 

    Pour acheter des peignes en corne rendez-vous sur la boutique : www.peignecorne.com

     

  • Le Club des Entrepreneurs du Pays des Pyrénées Cathares tient son Assemblée Générale mercredi 11 janvier

    Le Club des Entrepreneurs du Pays des Pyrénées Cathares tient son Assemblée Générale mercredi 11 janvier

    Que vous soyez déjà membre ou pas encore, vous pouvez participer au Club des Entrepreneurs du Pays des Pyrénées Cathares que nous souhaitons le plus ouvert possible à toutes les entreprises du territoire, quel qu’en soit la taille ou le secteur : il s’agit de favoriser connaissances mutuelles, de stimuler échanges et partages au travers 4 rencontres par an et une logique « Club » 1 fois par mois.

    le Club est désormais ouvert aux entrepreneurs de TOUS secteurs : agricole, tourisme, artisanat, commerce, service, industrie… installés en Pays des Pyrénées Cathares.

    A l’ordre du jour :

    –       Bilan des comptes et des activités 2016

    –       Election d’un nouveau Conseil d’Administration & Bureau (dans ce cadre, les candidatures sont ouvertes dès à présent. N’hésitez pas à vous faire connaitre que nous puissions enregistrer votre candidature pour le vote du 11.01.17)

    –       Etablissement du programme 2017. Pour l’heure, comme convenu lors de la dernière Assemblée Générale, il est prévu à minima un programme de :

    • 4 visites d’entreprises (en Mars, Juin, Septembre, Décembre – à ajuster)
    • les soirées « Lounge Bar » à Cap Mirabeau, tous les 2ème mardi de chaque mois
    • des réunions thématiques, ou d’autres évènements pourront être organisés selon les opportunités ou les demandes

    –       Questions diverses

    –       L’AG sera suivie d’un apéritif dinatoire.

    Mercredi 11 janvier, à 18h30 – au Centre Multisports de Lavelanet 
    40 ter, avenue Alsace-Lorraine

    Pour en faciliter l’organisation et si vous le l’avez pas encore fait, nous vous prions de bien vouloir retourner ce mail ou téléphoner (au 05 34 09 33 20) au plus tard le 09.01.2017  pour nous informer de votre présence (ou pas) à l’A.G, ainsi qu’à l’apéritif dinatoire.

    Jean-Marc GOMEZ, Caroline ROUBEYRIE, et l’ensemble du bureau
    CLUB DES ENTREPRENEURS DU PAYS DES PYRENEES CATHARES

    Tel. 05 34 09 33 70
    CAP MIRABEAU
    1, Chemin de La Coume
    09300 LAVELANET

     

  • Sur les routes en Ariège, La Bastide sur l’Hers

    Sur les routes en Ariège, La Bastide sur l’Hers

    Au pied des collines du Plantaurel, au coeur des Pyrénées et au seuil de l’Aude, La Bastide-sur-l’Hers s’allonge dans la vallée de l’Hers.

    Anciennement nommée « La Bastide de Congoust » du nom de la famille de Congoust, elle est mentionnée dès le XIIe siècle dans l’entourage des Trencavel, alors vicomtes de Carcassonne.

    Après la défaite des seigneurs occitans au XIIIe siècle, le village entre dans la seigneurie de Mirepoix, également appelée « Terre du maréchal », qui correspond à l’ensemble des terres données à Gui de Lévis, bras droit de Simon de Montfort.

    Que la commune se soit appelée « de Congoust », « du Peyrat » ou « sur l’Hers », le terme de  » bastide » est récurrent. Les fortifications (mur de la ville, porte d’Amont) apparaissent dans les textes depuis au moins 1512. Les maisons et l’église devaient participer directement au rempart et étaient entourées d’un fossé, au moins côté nord (actuelle avenue du 11 novembre).

    Deux portes permettaient l’accès à l’intérieur de la ville. La porte d’Amont, dont il reste encore des vestiges, se situait au niveau de l’actuelle place du temple. La porte d’Aval devait prendre place sur l’actuelle place de la Liberté, au niveau de la rue Emile Zola.

    Le noyau primitif, fondé avant 1244, se situe autour de l’actuelle place de la ville.

    La Bastide à connu de nombreux bouleversements lors notamment de la disparition des industries du  jais et du peigne en corne.

    Église Notre Dame de l’Assomption

    Bien que mentionné dans les textes à partir du XIVe siècle, l’édifice initial date vraisemblablement de la construction du village (XIIIe siècle). Plusieurs campagnes de travaux ont ensuite eu lieu. La date de 1527 (sur la clé de voûte du sas d’entrée) en indique probablement une. Un orgue y a été installé en 2008, à la suite d’un legs anonyme au curé de la paroisse, qui en a lui-même fait don

    Pour en savoir plus :

    www.pyreneescathares-patrimoine.fr
    www.labastidesurlhers.fr

  • Sur les routes de l’Ariège « On the road Again » 1ère semaine 2017

    Sur les routes de l’Ariège « On the road Again » 1ère semaine 2017

    3, 2, 1 … C’est parti !!!!

    Rappel : comment procéder pour participer au jeu : le premier qui trouve l’endroit exact gagne deux stickers Azinat pour coller en plage arrière de sa voiture (ou un autre cadeau selon la semaine à vérifier sur la page Facebook). 

    Pour participer laisser votre message avec votre adresse email et postale sur ce formulaire de contact ou sur notre page FaceBook

    Deux stickers Azinat à gagner pour le premier qui répondra correctement.

    Réponse la semaine prochaine avec un petit historique de l’endroit ou du thème de la photo.

    La dernière fois il s’agissait de la commune de Vernajoul

  • A Lavelanet, le nouveau bar à vins le « Gargantua » propose tapas et menus insolites…

    A Lavelanet, le nouveau bar à vins le « Gargantua » propose tapas et menus insolites…

    Le quartier historique de Lavelanet change de visage, petit à petit. Avec, entre autres, l’ouverture du « Gargantua», un bar à vin – tapas – restaurant dans la rue de Verdun (ancienne rue des marchands).

    Après l’ouverture de la Maison des Arts et de la Maison des projets, place à la gastronomie avec Christine Venturini.

    « Je cherchais un établissement correspondant à mon concept », indique Christine, tombée amoureuse de cette bâtisse du centre-bourg, grâce à une annonce Internet.

    Mais elle avait également le désir irrépressible de se rapprocher des Pyrénées, colonne vertébrale de sa famille. Il faut savoir que Christine Venturini a connu Lavelanet toute petite, grâce à un grand-oncle qui, après avoir fui Franco, a longé les Pyrénées depuis Perpignan pour s’installer à Lavelanet comme manœuvre dans les usines textiles.

    Après quelques mois de travaux, l’établissement a ouvert ses portes le 15 juillet dernier et se découvre avec plaisir. Là, Christine propose une cuisine aux saveurs du Midi et de la Catalogne (gambas au muscat de Rivesaltes, Boles de Picolat, calamars farcis, coq au vin…) pour accompagner un verre de vin choisi parmi une large sélection de bouteilles, principalement des vins de la vallée de l’Agly. Vous pouvez aussi opter pour des tapas et savourer un « pan con tomate » ou diverses charcuteries dans cet endroit cosy et chaleureux.

    Une fois par mois, le Gargantua organise une soirée à thème ; le 8 janvier se sera « soirée pantoufles et galettes des Rois »…« L’objectif est que ce soit un endroit où l’on souhaite se retrouver entre amis, en famille », résume la patronne tombée sous le charme de Lavelanet. « Il faut que ce quartier, l’un des plus anciens de Lavelanet retrouve la vie qu’il a connu. Plein de projets, initiés par la mairie, sont en cours ; j’y crois, tout comme les nouveaux propriétaires du quartier. »

    Le Gargantua est ouvert tous les jours de 8h30 à 23h l’hiver (de 7h30 à 23h en été). 31 rue de Verdun. Tous les midis du lundi au vendredi. Formule : plat-dessert-café 12€. Le soir tapas ou menu à la carte. Samedi et dimanche le menu week-end ou à la carte. Réservations au 06 75 48 74 05.

  • Épiphanie, comme les Rois Mages en Galilée

    Épiphanie, comme les Rois Mages en Galilée

    Le Gâteau des Rois, par Jean-Baptiste Greuze, 1774 (musée Fabre).

    Melchior, Balthazar et Gaspard figurent dans un épisode de l’Évangile selon Matthieu, qui, ayant appris la naissance de Jésus, viennent « de l’Orient » guidés par une étoile pour rendre hommage « au roi des Juifs » et lui apporter à Bethléem des présents d’une grande richesse symbolique : or, myrrhe et encens.

    L’Épiphanie donc ou Jour des Rois est une fête chrétienne commémorant la visite des rois mages à l’enfant Jésus. Épiphanie provient du grec Epiphaneia, qui signifie “manifestation”, ainsi cette fête célèbre la manifestation de Dieu parmi les hommes le 6 janvier de chaque année.

    Ce jour n’étant pas férié, l’épiphanie est fêtée le premier dimanche après le 1er janvier. La date est donc variable, chaque année elle a lieu le 1er dimanche de janvier, sauf si ce dimanche tombe le jour de l’an, auquel l’Épiphanie a lieu le 2e dimanche de janvier.

    L’étoile du Berger

    Certains astronomes ont émis l’hypothèse, en recoupant d’anciens écrits ou des faits scientifiques, que celle-ci était la comète de Halley, une nova ou bien la conjoncture de Jupiter, Saturne et Mars. Ces différents événements eurent lieu entre 11 et 5 avant J-C, et les rois-mages étaient probablement astrologues. Peut-être ne faut-il chercher que la symbolique de l’étoile dans le récit biblique.

    une fête païenne

    Avant d’être associé à la religion chrétienne, le 6 janvier était une fête païenne qui correspondait au solstice d’hiver, qui avait lieu 12 jours après le culte de Mithra, également une fête païenne la renaissance du jeune dieu-soleil, et qui était fixée au 25 décembre suivant le calendrier julien imposé par César. S’en suivait 12 jours et 12 nuits durant lesquels le dieu-soleil venait à maturation, et pendant lesquels démons et enchantements venaient restaurer le chaos primordiale à la renaissance du soleil.

    Lors des Saturnales (fêtes romaines sur la fin du mois de décembre et au commencement de janvier), les Romains désignaient un esclave comme « roi d’un jour ». Les Saturnales étaient en effet une fête d’inversion des rôles afin de déjouer les jours néfastes de Saturne, divinité chtonienne. Au cours du banquet (au début ou à la fin des Saturnales, selon les différentes époques de la Rome antique) au sein de chaque grande familia, les Romains utilisaient la fève d’un gâteau comme « bulletin de vote » pour élire le « Saturnalicius princeps » (Maître des Saturnales ou Roi du désordre). Pour éviter toute forme de triche, le plus jeune enfant choisit la part de chacun après s’être glissé sous la table.

    Galette ou gâteau des Rois ?

    Dans la majeure partie de la France, il n’y a pas de débat sur la recette de la galette. Les habitants désignent par le terme « galette des rois » le gâteau à la frangipane. On y trouve rarement la recette de la couronne aux fruits confits appelé « couronne bordelaise ».

    En revanche au sud d’une ligne Bordeaux -Nice, Il existe un débat sur « la véritable galette des rois ». Si la recette à la frangipane est connue et consommé par une partie de la population, cette galette est désignée par le terme péjoratif de « galette parisienne ». Cela permet de l’opposer à la recette locale qui est une brioche avec des fruits confits. Cette recette est appelé « couronne des rois » ou Gâteau des Rois.

    Les déplacements des populations en France, souvent du nord au sud, fait cependant que la proportion de la consommation de galette des rois « parisienne » a tendance à croitre dans le sud.

    A Toulouse, Il se vend huit couronnes pour deux « parisiennes ». Mais selon les professionnels cette part augmente régulièrement avec les Néo-Toulousains.
    Dans les Pyrénées, la couronne reste privilégiée mais « la parisienne » représente, en 2014, 20 à 30 % et en augmentation.
    à Bordeaux, la brioche est privilégiée et est même explicitement appelé  » couronne bordelaise ». alors que le même produit est simplement appelé « gateau des rois » ailleurs dans le sud voir « galette provencale » en région Paca.

    Traditionnellement vendue et consommée quelques jours avant et après cette date, on peut consommer cette galette tout le mois de janvier, voire jusqu’à la fin de carnaval dans les départements français d’outre-mer.

    Sources : icalendrier.fr  Wikipédia

  • Sixième jour que la montagne brûle à Ustou et personne n’en parle !!!

    Sixième jour que la montagne brûle à Ustou et personne n’en parle !!!

    «Sixième jour que la montagne brûle à Ustou et personne n’en parle !!!» Voilà le message et la photo qu’a posté ce matin Massoud Bourdax sur notre page Facebook. On peut d’ailleurs suivre l’évolution de la chose sur sa page perso.

    Joint par téléphone, Massoud nous confirme que ça brûle sur les hauteurs d’Ustou dans la vallée d’Ossèse depuis jeudi dernier soit le 29 décembre.

    La cause selon lui, un écobuage mal maitrisé (La Préfecture avait lancé un arrêter d’interdiction d’écobuage mais seulement jusqu’au 18 décembre).

    Et depuis, aucune intervention, si ce n’est le survol d’un hélicoptère il y a quelques jours, puisqu’il n’y a aucune habitation.

    «Hier il est même tombé de la cendre», explique Massoud, «on voit à peine le soleil derrière la fumée.», et d’ajouter : «quand il y a un pic de pollution à Paris, on en parle pendant des jours, mais là rien»

    Et aujourd’hui, la montagne brule toujours !

    «Je vais encore avoir un beau spectacle ce soir» conclu t’il.

    Selon Annie Rieu qui commente aussi sur Facebook, «ça brûle aussi de l’autre côté de la montagne sur la vallée de Douillous’et fraychet, côté Salau….les habitants sont dans la fumée depuis 3 ou 4 jours….»

    Une affaire à suivre ! 

     

  • Dernier Who’s Who ariégeois de l’Année, Floriane Caux n’arrête pas de grimper

    Dernier Who’s Who ariégeois de l’Année, Floriane Caux n’arrête pas de grimper

    Floriane Caux, Frédérique Massat et Michel Comte sur les trois premières marches du Podium des 99 personnalités à plus forte notoriété en Ariège pour cet fin d’année.

    Peu de changement donc si ce n’est l’arrivée à la troisième place de Michel Comte  artisan joaillier à Montjoie en Couserans près de Saint-Girons.

    On ne vous présente plus Floriane Caux et Frédérique Massat qui se balladent en tête du Who’s who depuis plusieurs mois. 

    Passé ce tiercé de tête, quels changements notables en trois mois dans le classement ?

    Une belle remontée des ariégeoises ce trimestre, avec Anne Brenon qui gagne 15 places et se classe 7ème, Martine Crespo qui arrive en 11ème position en gagnant pas moins de 39 places,  Perrine Laffont notre jeune « bosseuse » qui prend la 16ème place après avoir conquis la 2ème en finale dame lors de la Coupe du Monde à Reka en Finlande et enfin Denise Déjean, écrivain, qui fait également une belle remontée de 44 places pour se retrouver 45ème.

    Olivier Campardou fondateur de l’Asinerie de Feillet dans le Couserans remonte de 42 places pour se retrouver 27ème du classement.

    Voir le classement complet : Classement-whoswho-oct-dec2016

    Et comme chaque fin d’année, nous avons procédé à la moyenne des classements de l’année 2016 avec aux trois premières places : Floriane Caux, Frédérique Massat et Henri Nayrou.

    Voir la moyenne des classements 2016 : Classement-whoswho-moyenne2016

    Crédit photo : Floriane Caux www.florianecaux.com

    Le Baromètre de notoriété des personnalités qui font l’Ariège est tenu par Azinat.com depuis le 15 septembre 2007, il est remis à jour tous les 3 mois

    Classement des 99 personnalités à plus forte notoriété en Ariège. Score avec catégorie et nombre de pages référencées sur Google.fr (méthode : recherche par nom associé au mot ariège*, comme : «Prénom Nom» + Ariège ) Premier classement effectué le 15/09/07.
    (pour obtenir l’historique des classements et le détails sur plus de 99 personnalités suivies du pannel, merci de nous contacter par email redaction@azinat.com)

    Reproduction même partielle, interdite sans accord préalable

    Tous droits réservés Azinat 2007-2016 ©

    si vous n’êtes pas sur ce classement et que vous pensez avoir été oublié merci de nous le signaler

  • 2016 s’achève, nous attendons avec impatience 2017

    2016 s’achève, nous attendons avec impatience 2017

    Voilà déjà 8 ans que nous trainons nos guêtres dans le département et on ne s’en lasse pas. Tous les ans vous êtes fidèles au rendez-vous et de plus en plus nombreux. Facebook, twitter, youtube et bien sur azinat.com voient le nombre de fans, de visiteurs, de followers… augmenter et nous sommes fiers de ça.

    150.000 visiteurs sur notre media cette année, plus de 7750 fans sur notre page FaceBook,  980 followers sur notre compte twitter et enfin 316 abonnés et plus de 78.000 visites sur notre chaine youtube. Nous dirons que 2016 s’achève bien.

    Bien sûr l’année n’a pas été toute rose et nous avons appris avec tristesse la disparition de notre amis Michel Sébastien qui nous avait fait découvrir sa géographie amoureuse de l’Ariège.

    Margaux notre globe-trotteuse est repartie, cette année à la découverte de la Nouvelle Zélande, et nous continuons à rêver en suivant ses aventures du bout de monde. Isabelle Corbières, nous a fait découvrir la géologie des Pyrénées. Depuis plusieurs mois maintenant nous avons la joie de voir et d’écouter Olivier de Robert et ses nouvelles chroniques, drôles et émouvantes : on ne s’en lasse pas. 

    Nous continuons notre tour d’Ariège gastronomique avec des recettes en vidéos, des traditions culinaires et la découverte de restaurateurs…

    Enfin, n’oublions pas  notre fidèle dessinateur CIRE qui, depuis plus de trois ans maintenant, croque, avec l’humour qu’on lui connait, une actualité pas toujours très drôle.

    Voilà donc une année qui se termine !

    A tous les ariégeois, d’origine et de coeur, à celles et ceux qui conquièrent le monde, à celles et ceux qui n’ont jamais froid, qui ont de l’humour quoi qu’il arrive… toute l’équipe d’Azinat vous souhaite d’excellentes fêtes de fin d’année ainsi que…

    …des WIP ! Des CLIP ! CRAP ! des BANG ! des VLOP ! et des ZIP ! SHEBAM ! POW ! BLOP ! WIZZ !

    adishatz !