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  • L’Ariège « frappe monnaie » pour le Salon International de l’Agriculture

    L’Ariège « frappe monnaie » pour le Salon International de l’Agriculture

    L’Ariège aura sa monnaie sur le salon de l’agriculture et ce c’est une entreprise de Lavelanet qui les a produit, celle de Guillaume Lopez.

    Conducteur de travaux à Toulouse, mais passionné depuis toujours par le bois, Guillaume Lopez crée son entreprise de mobilier en bois, LPZ, en juin 2014. Lavelanétien d’origine c’est tout naturellement qu’il s’installe dans sa ville natale.

    Un an plus tard LPZ devient LPZ Gravure et Découpe Laser. Avec sa machine pour faire de la découpe laser CO2 (jusqu’à 6mm d’épaisseur), il peut graver la signalétique intérieure extérieure (Plaques boîtes aux lettres, rues, etc…) des objets publicitaires (Portes clés, badges etc) ou encore des médailles, des plaques militaires, des plaques pour animaux de compagnie, des trophées…, le tout conçu et imaginé à Lavelanet. Guillaume Lopez travaille tous les matériaux (bois, plexiglas, verre, pierre, cuir, plastic, tissus, carrelage…)

    5000 pièces pour le Salon !

    Depuis, l’artisan Lavelanétien a conquis de nombreux marchés et c’est en janvier qu’il est chargé, par l’Agence de Développement Touristique Ariège Pyrénées, de frappé une monnaie ariégeoise pour le Salon International de l’Agriculture qui se tiendra à Paris du 25 février au 5 mars. Avec un côté pile représentant un mammouth et un côté face gravé «fabriqué en Ariège» ces pièces de monnaies seront distribuées aux lauréats des jeux et animations ou aux invités, leur permettant ainsi de consommer les produits ariégeois vendus sur le stand de 120m2 où se relaieront durant 9 jours, 17 exploitants producteurs et artisans. 

    LPZ Gravure et Découpe Laser
    11 rue Victor Hugo – Lavelanet 

    lpzgravure@gmail.com 
    www.facebook.com/societeLPZ

     

     
     
  • Ax-les-Thermes : la 3ème édition hiver du Festival Explos refuse du monde !

    Ax-les-Thermes : la 3ème édition hiver du Festival Explos refuse du monde !

    Mercredi 15 février, la troisième édition « WINTER » du Festival Explos à Ax-les-Thermes, a, pour la première fois de son histoire, refusé du monde. Phil Bence, l’organisateur de l’évènement y voit comme une récompense des efforts effectués depuis plusieurs années pour promouvoir ce festival d’images et de films Outdoor qui attire maintenant, été comme hiver, un public local et de vacanciers de plus en plus nombreux.

    Le début de soirée vers 18h00 n’annonce pas foule, quelques habitués commencent à peine à s’installer dans la salle café-musique du Casino où sont présents les partenaires historiques de l’événement : PETZL, le fabricant français de matériel d’escalade et de spéléologie et Telemark-Pyrénées, l’entreprise locale de vente à distance sur Internet.

    L’apéritif qu’a prévu d’offrir Laurent Boquet de la Ferme du Quié est prévu pour 18h30 et « la cantine » du Festival où une variété de « Chilis » carnés ou végétariens revisités à la mode du chef sont prévus ; l’occasion de permettre aux festivaliers de se restaurer avant une séance d’images explosives et de débats avec les réalisateurs de films.

    Pour le moment, seule la buvette du Festival où, comme à l’accoutumée c’est la Bière VALAX qui rafraîchit les convives, tourne à plein régime !

    L’apéro démarre, les stands se remplissent et les discussions autour de la montagne et des matériels font écho dans cette salle immense où la foule commence à investir les lieux : l’ambiance est à son comble et chacun, accoutré de sa doudoune fétiche ou de ses croquenots, touche l’ADN du festival.

    Nous sommes bien dans un monde de montagne et de passionnés !

    On se connait tous en définitive, la petite communauté de la vallée est venue à son rendez-vous hivernal annuel agrémentée de quelques touristes et prestataires techniques qui viennent de Toulouse ou d’ailleurs. Ce soir, tout le monde est d’ici et tout le monde revendique sa place : on n’est pas « touriste », on fait partie de cette communauté de passionnés de montagne et de sensations fortes, c’est pour ça qu’on est là !

    20h00 : la salle ouvre et la séance va enfin pouvoir commencer. Au bout de quelques minutes, Phil Bence va vérifier si tout le monde  pourra rentrer et compter les places sur les strapontins… Ça coince, la salle est pleine et avec regret, il l’annonce aux quelques retardataires qui sont obligés de repartir pour une autre soirée.

    Dommage pour eux, la soirée de plus de 3 heures se termine vers une heure du matin après 3 films, des échanges avec les réalisateurs, caméramen venus de l’autre coté d’autres montagnes, après la traditionnelle tombola du Festival…

    Phil Bence est crevé mais satisfait…ce sera une autre route pour la prochaine édition estivale…il va falloir trouver une solution pour les prochaines éditions pour faire rentrer tout le monde : pas question de décevoir les fans car la passion de la montagne ici, c’est sacré !

     

     

  • Des jeunes bretons visitent l’Ariège et ses environs

    Des jeunes bretons visitent l’Ariège et ses environs

    Après un premier échange en Bretagne durant l’été 2016 autour des activités nautiques, c’était au tour des jeunes bretons de Trégueux de venir découvrir les richesses de l’Ariège durant les vacances d’hiver. 

    Cet échange s’est fait dans le cadre du jumelage entre les villes de Lavelanet et de Trégueux. Comme thèmes principaux durant ce séjour, les activités autour de la glisse, la découverte du patrimoine et de la gastronomie.

    Outre ces 12 jeunes bretons, un groupe de 14 jeunes issus des secteurs Jeunesse de la Communauté de communes du Pays de Mirepoix et de Lavelanet ont participé, du dimanche 12 au samedi 18 février à ce camp.

    Lundi soir, Trégueusiens, Lavelanétiens et Mirapiciens ont été reçus en mairie par le Comité de jumelage et le maire de Lavelanet.

    Hébergés à l’internat du Lycée Jacquard, ils ont pu découvrir tout au long de la semaine diverses activités choisies par leurs soins avec le concours de leurs encadrants : José Lopez (CCPM), Gladys Munoz et Karine Tolosa animatrices à Lavelanet.

    Au programme : découverte de la cité de Carcassonne, ski aux Monts-d’Olmes mardi et mercredi, veillées, cinéma offert par le Comité de jumelage, découverte de la ville Rose et d’un trampoline parc, visite du marché de Lavelanet et du patrimoine local…

    Pour le Comité de jumelage Emilie Allabert adjointe en charge de la culture a dit son plaisir « à voir vivre de tels séjours d’échanges ». Propos relayés par Marc Sanchez qui a adressé « ses amitiés au maire de Trégueux, Christine Métois, son Conseil et ses administrés ».

  • N’a peut-être pas existé… Chroniques d’Olivier de Robert

    N’a peut-être pas existé… Chroniques d’Olivier de Robert

    Avis aux tyrans, aux bombardeurs, et autres quêteurs d’immortalité sur le dos des autres, la postérité leur réserve peut-être (surement !) un cruel épitaphe : « N’a peut-être pas existé »…

  • Le jour du brushing… Chroniques d’Olivier de Robert

    Le jour du brushing… Chroniques d’Olivier de Robert

    Dans la série « nos publicitaires sont givrés », voilà une étrange perle où l’on tente de nous vendre pour 10000 euros de bagnole en mettant en avant le jour de canicule où on aura fait un brushing…

    Givrés je vous dis !

  • Restaurant Le Paquito, un morceaux d’Espagne à Lavelanet.

    Restaurant Le Paquito, un morceaux d’Espagne à Lavelanet.

    Nés à Lavelanet et d’origine espagnole de la région l’Abacete, Yannick et Aymeric Munoz ont repris en 2012 le restaurant fondé par leur père en 1999, Le Paquito.

    Situé à l’origine place Henri Portet le restaurant, suite à un incendie en aout 2015, à déménagé à l’ancienne « Bulle » bien connu des lavelanétiens.

    Cuisine traditionnelle, spécialités espagnoles et pizza au feu de bois sur place ou à emporté, Aymeric et Yannick travaillent en famille et avec les amis. 

    Yannick est pizzaiolo, Aymeric se distingue au service et à l’accueil avec sa femme et sa belle soeur, David leur ami d’enfance se charge de la cuisine. Une jeune équipe qu’est venue renforcer Romane une jeune apprentie. 

    Avec son foie gras poêlé aux figues, sa cocotte brioché aux saints-jacques, sa salade César ou encore sa paella, sa zarzuela et autre fideua et bien sur sa pizza au feu de bois, le Paquito est un petit restaurant familial ou l’on trouve une cuisine maison, simple et de qualité accompagnée d’un accueil sympathique.

     

  • Pour Joseph Calvi, l’artisanat est capital pour le département

    Pour Joseph Calvi, l’artisanat est capital pour le département

    Il y a quelques jours, Azinat.com a rencontré Joseph Calvi, président de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de l’Ariège. Il nous livre son sentiment sur l’avenir de l’artisanat et son importance dans les territoires ruraux de montagne comme l’Ariège, et nous parle des projets de la chambre pour 2017.

    «Depuis six ans, malheureusement je trouve que l’on a plus été dans la résistance que dans la construction. On s’est beaucoup battu pour défendre l’apprentissage, ce qui peut paraître paradoxal puisque 80 % des jeunes qui sortent de notre CFA trouvent un emploi.

    Par la suite dans les 10 années qui suivent il y en a un sur deux qui va créer une entreprise, il est donc incroyable de ne pas être soutenu par les pouvoirs publics. On a vécu un phénomène assez particulier puisque l’auto-entreprise s’est transformée en micro entreprises c’est-à-dire un régime social et fiscal, ce phénomène c’est développé et le souci c’est que l’on a créé dans notre secteur une forme de précarité avec des entreprises qui, pour la plupart, ne gagnent pas le SMIC à l’heure et donc des protections sociales qui ne sont pas dignes d’un grand Pays.

    On a résisté et c’est venu à mener une concurrence que l’on pourrait qualifier de déloyale avec d’autres entreprises artisanales qui ne sont pas sur les mêmes charges fiscales et sociales. C’est regrettable que sur un même territoire et un même secteur économique que l’on ait inventé un système ou deux entreprises n’ont pas forcément les mêmes règles du jeu et ça nous a énormément occupé .

    L’artisanat est le premier employeur et la première force économique du département

    L’artisanat est le premier employeur et la première force économique du département, et nous avons l’intention de nous rapprocher de tous les hommes politiques du département qui veulent trouver des solutions d’avenir et d’emploi pour les jeunes de leur territoire. Je pense que si nous travaillons tous ensemble de façon intelligente, nous aurons demain un avenir positif dans notre département.

    Il est évident que le secteur qui a le plus souffert de la crise c’est le bâtiment. C’est un secteur où, s’il n’y a pas une politique de soutien derrière, et étant donné que c’est un très très gros employeur, il y aura, en terme d’emplois, des résultats catastrophiques. Ce que l’on peut regretter c’est que, au niveau national, on ai vu des politiques se mobiliser pour sauver des usines de 300 – 400 salariés, et ils ont bien raison, mais c’était une période où le bâtiment perdait 400 emplois par jour.

    Voilà demain les défis à relever pour l’artisanat : faire comprendre aux politiques que l’on a la solution de développement d’entreprises et de création d’emplois.

    la chambre de métiers de l’Ariège n’est pas très riche, c’est une des plus petite chambre de France, donc on doit trouver des solutions pour continuer à travailler et à bien travailler. On a créé il y a quelques années « la cité du goût et des saveurs » qu’on a repris d’une chambre à Saint-Brieuc, qui a inventé le concept, et on l’a adapté à une chambre de métiers rurale.

    Demain le FABLAB

    Aujourd’hui ça met en avant les professionnels ariégeois, les produits locaux et quelque part notre CFA, puisque la plupart des cours se déroulent dans le restaurant d’applications du CFA.

    Demain on va chercher et aider une nouvelle génération d’entrepreneurs avec le Fablab, des outils ultra modernes qui vont être mis à disposition des toutes petites entreprises pour leur permettre de se développer, mais aussi quelque part de créer ensemble, et d’amener une dynamique dans notre département.

    L’artisanat permet aux jeunes de rester au pays et de développer leur activité au pays

    Je suis Vice-Président National, et à ce niveau là je vais avoir un nouveau gouvernement qui va arriver prochainement et on aura à construire, avec ce nouveau gouvernement, l’avenir de l’artisanat et l’avenir de l’apprentissage et on va se mobiliser pour que, dans les décisions importantes que prendra ce gouvernement, l’intérêt que représente l’artisanat et l’apprentissage n’échappent pas aux politiques.

     L’atout de l’artisanat c’est qu’il est installé sur l’ensemble du territoire et qu’il forme les jeunes de l’ensemble du territoire, y compris ceux qui ont été abandonné ces dernières années.

    On travaille au quotidien pour améliorer la mobilité et de permettre à ces jeunes qui sont sur des zones de montagne de pouvoir trouver des entreprises et venir se rendre à l’apprentissage. On travaille aussi à leur trouver un hébergement et faire en sorte que l’apprentissage, y compris en milieu rural soit toujours un atout et qu’il permette à des jeunes d’avoir une vraie solution d’avenir, de rester au pays et de développer leur activité au pays.»

    Joseph Calvi pour Azinat.com

  • Lercoul enfin raccordé à l’internet mobile

    Lercoul enfin raccordé à l’internet mobile

    Le 2 février 2017, Michel Combot, directeur général de la Fédération Française des Télécoms et les représentants des opérateurs de téléphonie mobile, Bouygues Télécom, Free, Orange et SFR ont inauguré, en présence des élus, à Lercoul, un site multi-opérateurs dans le cadre du programme de couverture des zones blanches.

    Cette inauguration a eu lieu en présence de : Christophe Hériard, secrétaire général de la préfecture de l’Ariège, Frédérique Massat, Députée de l’Ariège, Alain Duran, Sénateur et Président de l’Association des Elus de l’Ariège, Carole Delga, Ancienne ministre, Présidente de la Région Occitanie/Pyrénées-Méditerranée, Henri Nayrou, Président du Conseil départemental de l’Ariège et Gérard Galy, Maire de Lercoul.

    Ce site, mutualisé de manière volontaire par les opérateurs, desservira principalement les 150 habitants des communes de Lercoul, Gesties et Siguer, avec des débits théoriques maximum de 3,6 Mb/s.

    Les opérateurs ont des obligations très importantes contenues dans leurs licences en matière de déploiements mobiles et ont des taux de couverture important du territoire en 2G et en 3G. Les déploiements des services 4G sont également en constante progression.

    Toujours concernant la 4G, les opérateurs ont par ailleurs des obligations spécifiques en matière d’aménagement du territoire : couverture ambitieuse en 4G de la zone dite prioritaire (18% de la population, 63% de notre territoire) – 40% le sont déjà.

    Par ailleurs, la concurrence par les infrastructures incite les opérateurs à aller au-delà de leurs obligations afin de proposer une qualité de services toujours meilleure au profit des consommateurs.

    «C’est une demande forte des citoyens, une demande des élus notamment des élus de montagne et c’est, pour les opérateurs,  le moyen de démontrer leurs engagements en matière de couverture de territoires.» Explique Michel Combot

    Conscients qu’il est nécessaire d’apporter une réponse adaptée aux enjeux de la ruralité, les opérateurs participent aussi activement à la démarche de résolution des problèmes identifiés de couverture mobile du territoire avec l’État, en lien avec les collectivités locales.

    En 2015, les opérateurs se sont fortement mobilisés, avec l’État et les collectivités locales, pour que les différents programmes de résorption des zones blanches de la téléphonie mobile initiés au fil des ans soient menés à leur terme et même complétés. En plus des services voix (2G), ils auront déployé de manière mutualisée, d’ici mi-2017, l’internet mobile dans 3582 centres-bourgs situés en zones blanches. Cet engagement fort pour l’aménagement du territoire s’appuie sur le déploiement de réseaux nationaux ambitieux des opérateurs, qui représentent un investissement de 2,3 milliards d’euros annuel.

    Au 31 décembre 2016, ce sont déjà 2624 communes du programme « Zones Blanches – centres- bourgs » (parmi lesquelles 848 communes de montagne) qui bénéficient de l’internet mobile de manière mutualisée par au moins trois opérateurs dont 1064 communes couvertes durant l’année 2016.

    Selon un rythme de déploiement qui s’accélère, 958 nouvelles communes du programme « Zones- Blanches centres-bourg » disposeront de l’internet mobile d’ici juillet 2017 dans les mêmes conditions, sous réserve pour certaines de la mise à disposition de l’infrastructure par la collectivité.

    Dans l’Ariège, 32 communes du département, dont 30 situées en zones de montagne bénéficient déjà de l’internet mobile, sur les 57 communes du programme « Zones-Blanches centres-bourg ».

    Chaque opérateur réalise lui-même une partie de ces sites – on parle d’opérateur « leader » – et accueille, de manière mutualisée ou en itinérance, les autres opérateurs.

    Dans une optique de transparence vis-à-vis des citoyens et des élus, un état d’avancement des sites couverts en internet mobile jusqu’en juillet 2017 sera publié mensuellement sur le site internet de la Fédération www.fftelecoms.org.

    Le programme « Zones Blanches – centres-bourgs » équivaut, certes, à la couverture d’environ 1% de la population mais correspond surtout à une surface du territoire de plus de 7%, soit une surface presque équivalente à celles des Pays-Bas.

    La liste des communes concernées et l’état d’avancement du programme sont accessibles ici : www.francethd.fr/mobile

    Sources : Fédération Française des Télécoms

     

  • Importer ou disparaître… Chroniques d’Olivier de Robert

    Importer ou disparaître… Chroniques d’Olivier de Robert

    Mes pauvres amis, le drame du célibat en milieu rural est tel qu’à Bénac, on avait fauché un épouvantail parce qu’il était féminin !

    Il faut faire quelque chose, et je ne vois que l’importation…

  • Une fuite, vite Brico Machin…, Chroniques d’Olivier de Robert

    Une fuite, vite Brico Machin…, Chroniques d’Olivier de Robert

    A quoi servent les magasins de bricolage ? A te faire croire que tu peux bricoler, comme ça, un beau matin si semblable au précédent…

    Du coup tu te lances et assez rapidement tu t’en dégoutes.

    Du re-coup, tu fais appel à un artisan et comme tu as tout pété, ca va te couter un bras… Alors où ces magasins sont tenus par des pervers, ou par des artisans.

    Ou par des artisans pervers…

  • Lavelanet : des vœux de fraternité et un appel à l’implication citoyenne

    Lavelanet : des vœux de fraternité et un appel à l’implication citoyenne

    Jeudi 26 décembre, lors de ses vœux, Marc Sanchez Maire de Lavelanet et conseiller départemental du Pays d’Olmes a appelé ses concitoyens à s’emparer du projet « Lavelanet 2050 ». « Notre territoire est en pleine mutation ; aujourd’hui comme jamais, nous avons besoin de vous, de votre implication pour mener à bien tous les projets en cours ».

    Beaucoup de Lavelanétiens, d’habitants du Pays d’Olmes et, au delà, du Pays des Pyrénées Cathares, ont participé hier au soir à la cérémonie des vœux du 1er édile.

    « Construire tous ensemble Lavelanet 2050 »

    Tout d’abord, un « message de fraternité et de paix, avec une pensée particulière pour toutes celles et ceux qui ont souffert en 2016 ». Mais aussi, après les remerciements d’usage, un message d’engagement pour « poursuivre tous ensemble, en concertation, la reconstruction de Lavelanet au service du Pays d’Olmes, et ce, afin de répondre aux besoins de nos habitants. »

    Travaux effectués : réhabilitation de l’espace Mady de la Giraudière (cinéma le Casino) et à venir, grands projets en cours : hôpital, gendarmerie, centre nautique, accessibilité, mobilités douces, Maison des projets qui constitue l’un des premiers symboles du renouveau… ont été listés par le maire, avant qu’il ne s’attarde, après le visionnage d’un film « Lavelanet 2050 », sur ce projet phare.

    « La commune a fait de la revitalisation économique et environnementale du centre-bourg, l’une des priorités de son mandat. Nous avons engagé une requalification de Lavelanet comme pôle urbain innovant, vecteur d’une attractivité renouvelée pour tout un territoire. Construit avec vous tous, ce projet de pays, outre son volet urbain et sa dimension environnementale, est axé sur le développement économique avec la requalification des friches industrielles portée par la CCPO et soutenue par les différents dispositifs d’État affectés au Pays d’Olmes. » Souligne Marc Sanchez

    Une grande place a été accordée à la Jeunesse, avec notamment l’implication des lycéens en 1ère et terminale Gestion Administrative du Lycée Professionnel Jacquard à cette cérémonie ; participation également de ces jeunes gens au devenir de leur commune. Car pour Marc Sanchez et son équipe : « centre-bourg dynamique et animé, Lavelanet sera un gage de qualité de vie, de cohésion sociale et de développement économique local pour tous les habitants du Pays d’Olmes et du Pays des Pyrénées cathares. Lavelanet, devenant le carrefour des 4 M (Mirepoix, Montbel, Montségur, Monts d’Olmes) et porte d’entrée des Monts-d’Olmes, sera garante de l’ambition affichée pour notre avenir et celui de nos enfants ».

    Message de fraternité, appel à l’intelligence collective, au vivre et travailler ensemble ont émaillé les vœux du maire.

    Un dernier message avant que tous ne se retrouvent autour d’un apéritif concocté par les Producteurs en Pyrénées Cathares :

    « ne l’oublions pas, c’est au sein de nos villes que se tissent les solidarités, au sein de nos écoles que se transmettent les valeurs de la République, aux coins de nos rues que se construit le vivre ensemble. Si l’on ne peut pas changer le passé, construisons le présent et préparons l’avenir. Tous ensemble nous devons, main dans la main, construire « Lavelanet Pays-d’Olmes Pyrénées cathares 2050 ».

  • Primaires Citoyennes : Jean-Christophe Bonrepaux appelle à voter Valls

    Primaires Citoyennes : Jean-Christophe Bonrepaux appelle à voter Valls

    Jean-Christophe Bonrepaux, premier secrétaire de la Fédération Socialiste de l’Ariege, ainsi que Christine Tequi et Henri Nayrou  appellent à voter Manuel Valls au second tour des primaires citoyennes, qui auront lieu dimanche 29 janvier prochain. Rencontré il y a quelques jours, Jean-Christophe Bonrepaux nous explique pourquoi ce choix pour une partie de la gauche en Ariège.

    Aujourd’hui tout amène à penser que le second tour de l’élection présidentielle se fera entre François Fillon et Marine Lepen. Nous considérons que ce n’est pas inéluctable et nous pensons que la gauche peut passer au deuxième tour. Dans l’idéal il faudrait que la gauche soit rassemblée pour éviter cet événement, mais plusieurs raisons cela n’a pas été possible malgré nos appels au rassemblement. 

    Nous souhaitons créer un mouvement, dans le cadre de cette primaire, pour espérer que le candidat issu de cette primaire puisse être bien placé lors de l’élection présidentielle.

    Dans le contexte de la primaire, c’est une personnalité que les gens choisissent et nous avons fait le choix de Manuel Vals, car il a de l’expérience il est resté aux responsabilités jusqu’au bout. Il n’a pas faiblit, ni renoncé et montré, ce dont il était capable. On pense qu’il est au coeur de l’électorat ciblé qui permettra de passer au second tour. De plus, ce qu’il propose, est un projet ambitieux mais réaliste, et il assume son bilan.

    «Manuel Vals est le mieux placé pour passer le cap du premier tour des élections présidentielles »

    Dans sa globalité, regardons avec fierté ce bilan et c’est important pour la cohérence que l’on veut dans cette campagne. C’est un projet ambitieux par rapport à l’Europe,  au travail, au pouvoir d’achat et à la ruralité. A noter que c’est aussi un des rares candidats à parler de la ruralité . 

    Une raison essentielle pour lesquelles pour nous Manuel Vals est le meilleur candidat, c’est qu’il a une stature de chef d’état  et peut se comparer à François Fillon et aller chercher l’électorat qui s’est laissé charmer par Emanuel Macron qui est un danger pour la gauche car il met en danger les chances de la gauche d’être au deuxième tour…